Allie et Nicole, par Annie The Slick

Vendredi 23 août 5 23 /08 /Août 22:17

 

Chapitre 18 : Séance photo

 

— Allez petite salope ! Presse-toi un peu, nous allons être en retard pour ta séance de photos.

 

Impatiente, Nicole attendait que sa petite esclave sexuelle sorte de sa chambre. Allie apparut, vêtue de l’uniforme de la parfaite petite écolière : Une petite jupe bleu marine très courte, des chaussettes blanches, des mocassins en cuir verni noir et une chemise blanche trop petite pour elle dont les pans avaient été noués à la taille au lieu d’être boutonnés. Pour une fois, Nicole l’avait autorisée à porter une culotte. Celle-ci était en coton blanc, une taille en dessous de la sienne, mais au moins cela lui épargnerait les exhibitions dont l’habitude était devenue règle. L’adolescente était heureuse. Cela faisait des semaines qu’elle n’avait pas été autorisée à s’habiller si décemment pour sortir.

 

Nicole lui claqua les fesses et lui tendit un verre d’eau.

 

— Bois ça ma chérie.

 

— Mais Maîtresse, c’est le quatrième aujourd’hui, je n’ai plus soif.

 

— Serais-tu désobéissante petite salope ?

 

— Non Maîtresse, répondit l’adolescente en rougissant.

 

Elle prit le verre qu’on lui tendait et l’avala. Son envie d’aller aux toilettes devint insoutenable.

 

— Est-ce que je peux aller aux toilettes s’il vous plait Maîtresse, j’ai envie de faire pipi.

 

— Tu n’auras qu’à y aller en arrivant, maintenant nous risquons d’être en retard. C’est une opportunité très importante pour ta carrière de mannequin. Il n’est pas question que nous soyons en retard.

 

Allie suivit sa Maîtresse et monta dans la BMW. De la matinée, à aucun moment, Nicole ne l’avait autorisée à se soulager. Elle avait du boire quatre grands verres d’eau et sa vessie commençait vraiment à lui faire mal. S’asseoir dans la voiture ne lui apporta aucun réconfort.

 

Lorsqu’elles arrivèrent au studio de photo, Allie n’avait plus d’autre solution que de croiser les jambes pour ne pas uriner dans sa culotte. Nicole l’ignora et s’avança, hautaine, vers la réception. C’était un petit studio de photo, sale et peu accueillant, mais la réceptionniste qui les reçut était une jolie brune.

 

— Bonjour Nicole, soyez la bienvenue, je vais prévenir Shannon immédiatement.

 

Elle attrapa le téléphone et échangea quelques mots avec son interlocutrice avant d’annoncer :

 

— La petite pute pour la séance photo est arrivée.

 

Allie blêmit.

 

La brune raccrocha et se retourna vers elles.

 

— Shannon sera à vous dans un instant.

 

Allie leva des yeux suppliants vers sa Maîtresse.

 

— S’il vous plait Maîtresse, j’ai vraiment envie d’y aller. Se plaignit-elle.

 

— Silence petite gouine.

 

Rouge pivoine, l’adolescente regarda la réceptionniste glousser au commentaire de Nicole.

 

Honteuse de se faire traiter de la sorte devant une inconnue, elle baissa les yeux.

 

— Tu auras l’occasion de pisser bien assez tôt.

 

À ce moment, une jeune femme brune sortit d’une porte latérale et leur fit signe d’entrer. Elle avait un long corps sec, dépourvu de formes et une allure plutôt masculine

 

— Vous pouvez la faire entrer, Nicole, je suis prête.

 

Nicole fit pénétrer l’adolescente gênée à l’intérieur du petit studio.  Il y avait, en tout et pour tout, une pièce au centre de laquelle se trouvait ce qui ressemblait à un pupitre d’écolier violemment éclairé par des lampadaires. Au mur, un tableau noir tentait de donner l’illusion d’une salle-de-classe. Allie se demanda à quel genre de séance photo Nicole avait décidé de la faire participer. Jusqu’à présent, l’idée de poser pour des photos l’avait excitée mais, devant la tournure que prenaient les évènements, son estomac était un peu serré.

 

— Faites asseoir la salope sur sa chaise et nous pourrons commencer.

 

Nicole poussa Allie vers le milieu de la pseudo-salle-de-classe.

 

— Assieds-toi sur la chaise, petite pute.

 

Shannon, attrapa son appareil photo et prit rapidement quelques clichés de l’adolescente effrayée.

 

— Bien ! Elle est drôlement chaude cette petite salope. Clic-clac

 

— Maintenant, salope, tu vas faire comme si tu étais une lycéenne. Prends le stylo et fais en sorte d’avoir l’air concentré.

 

Allie fit ce qu’on lui demandait. Elle avait du mal à se concentrer du fait que son envie d’uriner la taraudait de plus en plus mais elle fit son possible pour ressembler à une lycéenne sérieuse. Clic-clac, clic-clac.

 

— Bien ! Maintenant fais comme si tu avais une grosse envie de faire pipi.

 

Quoi ? Pensa l’adolescente. Pourquoi me demande-t-elle ça ?

Au moins, elle n’eut pas beaucoup à se forcer vu ce qu’elle endurait depuis si longtemps. Elle fit une moue douloureuse et serra étroitement ses jambes presque nues. Clic-clac.

 

— C’est ça ! Maintenant croise tes jambes et regarde autour de toi, comme si tu voulais vérifier si tu es bien seule dans la salle.

 

Allie regarda à droite et à gauche comme si elle recherchait quelqu’un. Clic-clac, clic-clac.

 

— Super ! Joli travail. Maintenant lève-toi  et prends quelques poses en nous montrant un peu tes jolies petites fesses.

 

Allie se redressa. Que se passait-il ? Pourquoi cette femme voulait-elle photographier ses fesses ?

 

— Continue à faire comme si c’était douloureux et garde les jambes serrées, mais penche-toi un peu comme pour t’assurer que personne ne peut voir que tu es habillée comme une pute.

 

Clic-clac.

 

— Soulève l’arrière de ta jupe et montre-moi ta petite culotte.

 

Confrontée à nouveau à ses démons, mécaniquement, Allie fit ce qu’on exigeait d’elle.

 


Les poses qu’on l’obligeait à prendre s’apparentaient plus à de la pornographie qu’à autre chose. Sa tête se mit à tourner et elle eut l’impression que sa vue se voilait. Elle fit exactement ce qu’on attendait d’elle.

 


Je ne veux pas être photographiée dans une revue pornographique, non pas ça… Je veux être une fille normale, se dit l’adolescente en exposant ses fesses recouvertes par le coton blanc à la photographe. Clic-clac.

 

— Génial ! Ok, retourne-toi et assois-toi en écartant les jambes et en soulevant ta jupe pendant que tu continues à regarder autour de toi.

 

Allie se rassit sur la chaise et souleva sa jupe, révélant à la femme sa petite fente imberbe qui s’imprimait à travers la petite culotte. Clic-clac, clic-clac, clic-clac.

 

— Ok, avance un peu tes fesses. Clic-clac.

 

— Maintenant, regarde ta culotte.

 

Allie baissa les yeux, heureuse de dissimuler quelque peu son visage à l’objectif. Clic-clac.

 

— Bien, maintenant, dès que je te le demande, tu commences à pisser. Je veux que tu continues à regarder quand ta pisse commencera à traverser ta culotte.

 

Quoi ?? Se demanda Allie. Elle veut que je quoi !! Que je me fasse pipi dessus pendant qu’elle me photographie.

 

— N… Non… J… Je ne peux pas faire ça. Dit l’adolescente avec une toute petite voix. Elle reprit une position plus décente et referma ses cuisses.

 

— COMMENT CA NON ? Qu’est-ce que tu t’imagines, petite gourde. Je te paye pour ça, sale petite pute, alors pisse ! ET TOUT DE SUITE !

 

La colère de la femme effraya Allie.

 

— Non, je vous en prie, pas ça !, dit l’adolescente, au bord des larmes.

 

Clic-clac, Shannon prit quelques photos de l’adolescente effondrée. Après tout, ça pouvait coller avec le sujet.

 

Puis, furieuse, elle se tourna vers Nicole.

 

— Bordel Nicole, je croyais qu’elle aimait se pisser dessus ! J’ai horreur de perdre mon temps.

 

Sans perdre son calme, Nicole s’approcha de son esclave et se pencha sur elle avec un regard menaçant.

 

— Ecoute, petite salope. Tu veux me faire honte devant Shannon ou quoi ? Je sais que tu adores te pisser dessus et en plus tu dis que tu as envie depuis suffisamment longtemps. Alors fais immédiatement ce que Shannon te demande si tu ne veux pas que je te punisse. Tu enfreins les règles 1, 15, et 17. Alors je te conseille de faire un beau sourire et de faire dans ta culotte exactement comme Shannon te le demande.

 

Sur ce, la jeune femme retourna s’asseoir à sa place, abandonnant la jeune fille à son accablement.

 

— Bon, on y va ?

 

Allie fit oui de la tête.

 

Complètement anéantie, elle n’avait qu’une hâte : en finir au plus vite avec ça.

 

— Bien, alors maintenant tu écartes tes jambes, tu soulèves ta jupe et regardes ta culotte. Quand je te donnerai le signal, tu lâches tout.

 

Allie écarta les cuisses en grand. Elle avait l’impression que l’objectif de l’appareil ne visait que sa petite culotte blanche.

 


Clic-clac, clic-clac.

 

— Allez, Go !

 

Rouge pivoine, Allie ferma les yeux et tenta de penser à autre chose. Elle relâcha  progressivement sa vessie qu’elle maintenait au bord de l’éclatement depuis si longtemps. Finalement, le soulagement fut tel qu’elle ne put s’empêcher de remarquer à quel point c’était bon de se laisser aller. Lorsqu’elle sentit l’urine gicler contre sa culotte, elle ne put retenir un gros sanglot qu’elle tenta maladroitement de dissimuler.

 

Un petit point jaune se forma au centre de l’empiècement de la culotte. Les déclics de l’obturateur se succédaient à un rythme infernal. Le volume de la tâche augmenta rapidement quand l’urine commença à se diffuser au cœur du tissu en coton de la petite culotte blanche.

 


Clic-clac, clic-clac, clic-clac.

 


Rapidement l’entrejambe fut souillé de jaune et un petit jet commença à émerger. Allie eut un petit sourire inconscient tant le relâchement de sa vessie la soulageait.

 


Évidemment, Shannon ne manqua pas d’immortaliser l’expression extatique sur le visage de l’adolescente.

 

L’urine continua à gicler à travers le sous-vêtement commençant à détremper le bord de la chaise, formant un petit filet qui s’écoulait, goutte-à-goutte, sur le sol. En heurtant le carrelage, la miction éclaboussait les chaussures et les chaussettes de l’adolescente. Puis la puissance du jet jaune augmenta, trempant l’ensemble de la petite culotte du pubis jusqu’aux fesses, pour le plus grand bonheur de la photographe.

 

Finalement, la source se tarit et le jet perdit progressivement son intensité jusqu’à ce qu’il ne fut plus visible à travers le tissu devenu presque transparent.

 


Clic-clac, clic-clac.

 

S’agenouillant entre les cuisses de l’adolescente, Shannon continua à mitrailler en gros plan l’entrejambe de la petite culotte que l’humidité plaquait contre le sexe juvénile, ne manquant pas d’immortaliser, lui aussi, le petit cadenas qui pendait en haut de la fente imberbe.

 

— Super, j’adore. En plus elle a un piercing sur le clito. Génial. Rajouta-t-elle sans cesser de mitrailler.

 

— Ok, petite salope. Maintenant mets ta main dans ta culotte et commence à te caresser.

 

Clic-clac.

 

Allie jeta un bref coup d’œil à Nicole qui acquiesça discrètement. Alors elle glissa sa main sous la culotte trempée qui lui collait à la peau et commença à jouer avec son sexe.

 

Clic-clac.

 

— Penche la tête en arrière salope. Montre-nous bien comme tu aimes ça, espèce de petite cochonne.

 

Clic-clac.

 

Allie fit ce qu’on lui ordonnait. Elle détestait subir cette humiliation. Faire pipi dans sa culotte devant cette inconnue et se laisser photographier comme la dernière des actrices-pornos était démoralisant au possible. Elle ferma à nouveau les yeux avec l’impression de vivre un cauchemar éveillé.

 

À ce moment, une voix hurla dans ses oreilles, la faisant sursauter.

 

— Mais qu’est-ce que tu fais espèce de petite sale !

 

Choquée, elle constata qu’une femme venait de pénétrer dans le studio. Prise en flagrant délit, elle sursauta et retira précipitamment ses doigts de sa culotte. Les yeux écarquillés, elle observa la nouvelle arrivante avec terreur. C’était une grande brune, bien habillée. Mon-dieu, une prof… Se dit Allie.

 

— DEBOUT ! Beugla la femme.

 

Allie se redressa le plus vite possible.

 


Sans lui laisser le temps de réagir, la brune l’attrapa brutalement par le bras et la força à s’incliner sur le bureau. Clic-clac, clic-clac, l’objectif cliquetait à un rythme d’enfer. L’adolescente ne se débattit pas. Elle se laissa manipuler par la femme en pleurant à chaudes larmes, incapable de dissimuler ses sanglots. La prof souleva sa jupe, exposant la petite culotte imprégnée par l’urine et l’entrecuisse trempé à l’objectif de la photographe.

 


Clic-clac, clic-clac.

 

— Bordel, c’est excellent ! Fut le seul commentaire de Shannon.

 

La brune s’adressait à elle comme si elle n’était qu’une petite gamine à l’école primaire.

 

— Espèce de petite cochonne. De quel droit te permets-tu de faire pipi dans ma classe. Il y a des toilettes pour ça sale petite pisseuse. Ne bouge surtout pas, tu mérites une punition.

 

Et elle s’éloigna rapidement, abandonnant l’adolescente à moitié couchée sur le bureau, la jupe rabattue sur son dos. Elle revint rapidement avec une règle plate en bois jaune d’un mètre de longueur sur une largeur de quatre bons centimètres, et, sans un mot, se mit à cingler violemment le postérieur de la jeune fille, trempé par l’urine.

 


Allie sursautait à chaque coup. Elle ne put retenir ses gémissements. Pourtant la douleur était minime, comparée à celle qu’elle avait ressenti lorsque Nicole l’avait punie au cours des semaines précédentes.

 


L’humiliation était pire que tout. Se faire traiter de sale petite pisseuse et se faire photographier pendant qu’on la punissait pour son inconduite manqua de la faire défaillir. Elle qui tenait plus que tout à n’être qu’une adolescente comme les autres.

 


TCHAC.

 


Elle cacha son visage derrière ses cheveux.

 


Clic-clac.

 


TCHAC.

 

— Baisse lui sa culotte. Dit Shannon.

 

— Oh non ! S’il vous plait… Pas ça. Dit Allie.

 

On l’ignora.

 

— Je vous en prie, pas ça…

 

Malgré ses protestations,  elle n’esquissa pas un seul geste de rébellion tandis que la prof baissait sa culotte souillée sur ses genoux, exposant ,en plein devant l’objectif, ses fesses et son entrecuisse rendus brillants par l’humidité.

 


Clic-clac.

 


TCHAC.

 


Clic-clac.

 


TCHAC.

 

 

 

— Super. Maintenant vas-y, baise-la.

 

Allie eut du mal à comprendre ce que disait Shannon, mais elle tourna la tête et vit que la prof dégrafait son pantalon pour en sortir un godemiché ceinture. Incapable de dire un mot, elle fit non de la tête.

 

Clic-clac.

 


La prof lui rabattit la tête sur le bureau et farfouilla un moment entre ses cuisses. Puis elle sentit l’extrémité du godemiché se frayer un chemin dans  l’entrée de son sexe où il commença à aller et venir.

Clic-clac, clic-clac, clic-clac, clic-clac.

 

La fausse prof faisait ressortir son godemiché avant de le renfoncer de plus en plus profondément dans l’intimité de l’adolescente. Après quelques allers retours, Allie fut capable de recevoir l’intégralité de la longueur de l’engin. Elle grogna et se soumit au viol. La scène dura tout le temps que le souhaita Shannon qui ne cessait de mitrailler.

 

— Dans le cul, maintenant.

 

La prof retira son sexe factice et farfouilla un instant entre les fesses de l’adolescente avec l’intention de lui ôter le gadget anal qu’elle portait en permanence.

 

— Non !, dit Shannon.

 

— Laisse cette salope le faire elle-même.

 

Puis, s’adressant à Allie :

 

—  Toi, la pute, tu regardes ta prof et tu la supplies de te la mettre dans le cul. Et veille bien à te débarrasser de ton gode en souriant.

 

Allie était horrifiée. Il fallait qu’elle demande à cette horrible femme de la sodomiser ? Non, elle ne pouvait pas faire ça.

 

Pourtant, ce fut comme si une autre volonté que la sienne la gouvernait. Elle se retourna, sourit, retira le gadget anal de son anus et demanda poliment à la prof de la baiser par le cul.

 


Clic-clac, clic-clac, clic-clac.

 

— C’est bien petite pute. Vas-y maintenant, tu peux la lui mettre dans le cul.

 

Allie sentit le gland du membre factice s’appuyer contre son sphincter et le franchir d’un seul coup. Elle accueillit le phallus artificiel sur toute sa longueur dès le premier coup de rein. Le godemiché qu’elle portait en permanence avait suffisamment distendu son anus. Elle grogna sous les coups de boutoirs de la brune, butant à chaque coup contre le bureau.

 

Lorsque Shannon fut satisfaite de la prestation elle s’adressa à la prof :

 

— Ok, maintenant tu gicles dans son cul et tu t’essuies sur sa jupe.

 

Regardant derrière elle, Allie assista au mouvement que la prof fit pour retirer le godemiché de son anus. Elle rougit de plus belle et secoua la tête lorsque la femme mima une masturbation en faisant aller et venir sa main le long du tuyau de caoutchouc. Puis, glissant une main dans une de ses poches, elle pressa sur une petite poire et fit gicler un long jet crémeux à travers l’extrémité du godemiché. Elle arrosa copieusement l’anus et le sexe de l’adolescente de longs jets de sperme, puis acheva l’éjaculation en appliquant un dernier et énorme jet sur la jupe de l’adolescente, un autre sur son chemisier et enfin un dernier sur son visage.

 

— Place-toi devant elle et enfonce-lui dans la bouche. Commanda Shannon.

 

La prof prit position devant l’adolescente humiliée et la força à prendre le membre souillé entre ses lèvres, s’enfonçant sans vergogne dans la bouche de sa victime. Du sperme coulait sur le menton d’Allie et gouttait sur le sol devant le bureau. La prof s’amusa ensuite à l’étaler sur le visage de l’adolescente en promenant son membre sur ses joues, son front et son menton. Puis elle s’essuya dans ses cheveux et sur sa jupe avant de se reculer pour contempler son travail.

 

— Excellent travail, merci Simone. Il ne me reste plus que quelques photos à faire. Tu peux aller te rhabiller.

 

La brune se retira et Shannon termina la séance par une multitude de gros plans de la pauvre Allie.

 

Le sperme qui ruisselait du cadenas entre ses cuisses.

 


Clic-clac.

 


Sa culotte trempée par l’urine qui pendait sur ses genoux.

 


Clic-clac.

 


Son visage souillé de sperme.

 


Clic-clac.

 


Son dos, ses fesses, sa jupe…

 


Clic-clac, clic-clac, clic-clac.

 

— Ok, petite pute. Tu as été très bien. Une vraie salope. Merci Nicole, finalement, ce fut une bonne séance.

 

Et après ces quelques mots, elle alla rejoindre la Maîtresse d’Allie à l’autre bout de la pièce.

 

L’adolescente se redressa et tenta de retrouver ses esprits. Sa culotte était entièrement souillée, mais elle se sentait mieux en la portant que si elle avait été cul-nu sous sa jupe. Elle tenta d’essuyer le sperme mais tout ce qu’elle réussit fut de l’étaler sur sa peau comme s’il s’était agi d’une crème. L’odeur tenace de l’urine agaçait en permanence ses narines et ses vêtements et ses cheveux étaient constellés de filaments gluants.

 

Enfin, Nicole la rejoignit.

 

— Joli travail, petite salope, tu viens de gagner 1500 €. Je les garde, mais ne t’inquiète pas, je les déduirai de ta note.

 

Note ? Se demanda l’adolescente. Quelle note ?

 

— Il faut bien que tu commences à me rembourser l’argent  que tu me dois à un moment ou à un autre.

 

Nicole regarda sa petite soumise avec satisfaction. Elle était entièrement recouverte de semence et elle empestait l’urine à plein nez. Cette petite salope était mûre. Elle ferait tout ce qu’on lui demanderait et pourrait bientôt tourner des vidéos.

 


Quelque-chose comme "Allie la petite lesbienne vicieuse" ou "Allie et ses petites copines". Il restait quelques détails à régler avec Shannon.

 

Elle poussa l’adolescente hors du studio sans lui permettre de se nettoyer. L’odeur de l’urine subsistait longtemps après son passage et le sperme avait commencé à sécher un peu partout sur son corps. Lorsqu’elles passèrent devant l’hôtesse d’accueil, celle-ci ne put retenir une grimace. Arrivées à la voiture, Allie se tint devant sa porte en attendant que sa Maîtresse lui ouvre. Mais celle-ci se dirigea vers l’arrière du véhicule.

 

— Désolée mais tu es vraiment trop répugnante pour monter à côté de moi. Viens par ici et grimpe dans le coffre, espèce de petite sale.

 

Submergée par la honte, Allie fit marche arrière et se coucha dans le coffre.

 

— Fais bon voyage, petite pute. Dit Nicole en refermant le coffre.

 

L’adolescente pleura durant tout le voyage de retour à la maison.

 

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Allie et Nicole, par Annie The Slick - Communauté : Soumissions féminines
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Mardi 9 juillet 2 09 /07 /Juil 22:37

Chapitre 17: La fête d’anniversaire (2ème partie).

— Allie ! Ne soit pas désagréable et remercie tes invitées pour ce merveilleux cadeau. Je leur ai dit que tu aimais beaucoup ce genre de magazines et elle méritent tes remerciements. Maintenant, ne me fais pas honte…

Le ton de Nicole était très autoritaire et elle semblait fâchée, mais au fond d’elle-même elle se délectait de la gêne qu’éprouvait l’adolescente. Allie réalisa qu’elle s’était trompée. En fait, cette fête n’était pas pour elle mais pour Nicole. Elle se résigna. Que pouvait-elle faire d’autre que se soumettre à cette nouvelle humiliation

— Merci pour ces merveilleux magazines. Elle sourit timidement aux filles qui ricanèrent encore plus.

L’adolescente rougit de plus belle.

Allie attrapa le paquet suivant, c’était celui de Brittney.

— J’espère qu’il va te plaire. J’ai eu tellement honte au magasin lorsque j’ai dû te l’acheter… Mais comme Nicole m’a dit que tu en voulais un gros, j’ai pensé que c’était le cadeau idéal.

Allie ne comprit pas ce que cela voulait dire. Elle ouvrit la boîte en cherchant une explication. Ce fut en soulevant le couvercle qu’elle comprit. C’était un godemiché anal qui ressemblait beaucoup à celui qu’elle portait en permanence. Les seules différences étaient sa couleur, celui-ci était rouge, et sa taille ; il était beaucoup plus gros que l’ancien. Elle se dit qu’elle allait certainement avoir mal lorsqu’il lui faudrait le mettre dans son petit trou. Elle le tendit à bout de bras pour que tout le monde puisse bien le voir.

— Merci pour ce cadeau, Maîtresse Brittney. Dit-elle mécaniquement.

— Tu devrais l’essayer pour vérifier si c’est la bonne taille. Dit Nicole en se léchant les lèvres.

Allie eut un léger mouvement négatif de la tête avant de se reprendre. Elle ne pouvait pas refuser, surtout maintenant, sinon Nicole risquait de la punir très sévèrement pour lui avoir désobéi devant toutes ses amies. Et elle connaissait suffisamment sa Maîtresse pour savoir que la punition serait cruelle et douloureuse.

Résignée, elle écarta les jambes et s’inclina en arrière sur son tabouret. Elle tira sa nouvelle culotte sur le côté et exhiba son anus bouché par le gadget anal à l’assemblée. Les pom-pom girls en restèrent bouche-bées, désignant du doigt l’objet obscène qui encombrait les fesses de l’adolescente. Elles voyaient tout de l’intimité d’Allie : son anus et sa petite fente à peine dissimulée derrière l’échancrure de la petite culotte. La jeune fille retira l’objet gluant de ses fesses. Sa lubrification le faisait luire. Puis elle le présenta à l’assemblée en brandissant le nouveau en même temps afin que tout le monde puisse bien les comparer. Le rouge était plus large, même si on avait l’impression qu’il était le grand frère de l’autre. Elle plaça le bout de l’objet contre son anus palpitant et commença à forcer pour lui faire pénétrer la petite bague élastique. Après quelques difficultés, le rectum se dilata et laissa l’intrus glisser au sein de l’intestin. La petite rondelle, déjà dilatée par l’ancien godemiché, ne tarda pas à s’adapter au phallus artificiel. Malgré tout, Allie ne put retenir une larme lorsque la douleur la fit grimacer.

— Alors petite chienne ? Qu’en penses-tu ?

— Il est vraiment gros Maîtresse.

— Parfait, une salope telle que toi doit toujours avoir un gros gode pour la combler.

— Oui Maîtresse.

Au même moment, la sonnerie de la porte d’entrée retentit. Allie regarda Nicole par-dessus son épaule. Sa Maîtresse consultait sa montre.

— Ça doit être ta surprise. Reste ici, je vais aller ouvrir.

Allie se demanda qui cela pouvait bien être. Les invitées l’ignoraient et discutaient entre elles. Ashley et Jytte s’amusaient en obligeant leurs soumises à se livrer à un petit spectacle. Elles avaient fait agenouiller "petite gouine" devant Sandy puis elles l’avaient obligée à plonger sa tête entre les cuisses de Sandy et la sucer devant les pom-pom girls qui n’en croyaient pas leurs yeux et les autres femmes qui les acclamaient. Josie frottait convulsivement son entrecuisse à travers son pantalon en regardant attentivement les deux soumises se livrer impudiquement à ces ébats.

Lorsque Nicole revint dans le séjour, elle ne souffla pas un mot, se contentant d’éteindre la lumière et de mettre de la musique. Puis elle demanda à Ashley et Mistress Jytte de calmer les ardeurs de leurs esclaves.

— Joyeux anniversaire Allie, j’ai une surprise pour toi. Lança-t-elle.

Et à ce moment, une blonde à forte poitrine, vêtue d’un uniforme de policière, pénétra dans la pièce. Elle portait un pantalon très moulant en skaï, des mules noires à talons aiguilles très hauts, une veste boutonnée bleue marine de laquelle sa poitrine menaçait de s’échapper à chaque pas et une casquette de police.

Elle prit place au centre de la pièce et escalada la table basse sur laquelle elle se mit à danser en se déshabillant devant tout le monde. Bouton par bouton, elle commença à dégrafer sa jupe.

— Bonjour tout le monde, je m’appelle Danielle, ce soir, nous allons faire la fête avec Allie. Qu’en dites-vous ?

Les femmes applaudirent. Danielle descendit de la chaise et se dirigea vers Allie. Elle se pencha sur l’adolescente et ses cheveux recouvrirent son visage lorsqu’elle chuchota doucement dans son oreille.

— Alors, c’est toi la petite salope lesbienne ? Je suis sûre que tu vas adorer.

Et aussitôt, elle s’assit sur les genoux de la jeune fille, face à elle, en collant ses seins à quelques centimètres de son nez. L’adolescente n’en revenait pas. Comment et pourquoi Nicole lui avait-elle fait ça ? Une strip-teaseuse… Elle n’avait pas envie qu’une inconnue se déshabille pour elle, c’était obscène. Elle aurait voulu ramper jusqu’à un trou et y mourir. Mais elle se souvint de la règle n°15 et parvint à sourire, alors que la prostituée appuyait fermement l’entrejambe de son pantalon contre ses genoux, frottant ses jambes nues.

Puis elle ôta sa veste et s’en débarrassa en ondulant à quelques centimètres de l’adolescente. Elle portait un soutien-gorge en dentelle qui lui faisait une poitrine pigeonnante. Lorsqu’elle se pencha sur l’adolescente, celle-ci se retrouva avec le nez enfoui entre les seins plantureux.
Ensuite, Danielle plaça ses mains derrière la tête de l’adolescente et la tira dans son décolleté, la privant presque de respiration. Recouvrant la jeune fille de ses longs cheveux parfumés, elle lui chuchota à l’oreille.

— J’ai besoin d’un petit coup de main ma gosse, tu veux pas détacher mon soutien-gorge ?

Allie tendit une main tremblante dans le dos de la strip-teaseuse et, encouragée par la femme, dégrafa le sous-vêtement. Les seins de Danielle surgirent de leur prison. D’un geste expert, elle lança son soutien gorge dans l’assistance et emprisonna l’adolescente entre les deux globes de sa poitrine nue.
La chair chaude des seins de la femme contre ses joues occasionnait des frissons dans tout le corps d’Allie. Elle sentit une démangeaison familière entre ses cuisses. Non, s’il vous plait, non, pensa l’adolescente, il ne faut pas que ça m’excite.
Danielle écarta ses seins du visage de la jeune fille humiliée, se pencha et déposa un baiser passionné sur sa bouche. Ce n’était pas vraiment compris dans le spectacle qu’elle produisait habituellement mais cette gamine lui faisait vraiment de l’effet.

Presque contre sa volonté, Allie rendit le baiser, son sexe commençait à s’humidifier et Danielle continuait à se tortiller sur ses genoux, prenant un soin malicieux à l’effleurer diaboliquement. L’odeur de la danseuse était enivrante, un mélange de musc et de gingembre. L’excitation de l’adolescente augmenta d’un cran. Dans un état second, elle laissa Danielle se saisir de ses mains et les placer sur ses seins moites. Indépendamment de sa volonté, elle se mit à les caresser. Elle commençait à se prendre au jeu lorsque Danielle se releva et la contourna. Les femmes qui les entouraient participaient avec véhémence au show. Les pom-pom girls acclamaient Danielle, subjuguées elles aussi, par la plastique et la sensualité de la danseuse.

Allie tenta de reprendre ses esprits. Elle devait se contrôler, mais derrière elle, Danielle fit glisser ses mains le long de sa robe et se mit à jouer avec ses petits seins à travers le tissu. Elle claquait les pointes de ses tétons en leur donnant de petites chiquenaudes et tiraillait sur les anneaux qui les transperçaient. Allie ferma les yeux et se laissa entraîner sur les pentes du plaisir.

— Écarte tes cuisses petite cochonne. Chuchota Danielle. Allie obéit. — Tripote-toi et ne t’inquiète pas. Je ne suis là que pour te faire du bien, c’est mon boulot.

Dans un état second, l’adolescente glissa une main dans sa minuscule petite culotte et se mit à titiller son clitoris, les yeux déjà fermés. Au fond de son cerveau, une petite voix tenta de lui rappeler que les jeunes filles de bonne famille ne se masturbaient pas devant tout le monde, mais elle fut noyée par une vague de plaisir. La strip-teaseuse se servait de son corps comme d’un instrument de musique. La seule chose qui comptait pour elle était d’arriver le plus rapidement possible au 7éme ciel.

Danielle fit à nouveau le tour de l’adolescente et recommença à frotter ses seins contre le visage de la jeune fille. Allie gémit et tenta de les lècher mais Danielle se recula rapidement. Elle se retourna, face aux spectatrices, déboutonna son pantalon et le baissa langoureusement sur ses pieds. Par la même occasion, elle révéla à Allie une paire de fesses parfaites qu’ornait un string du plus bel effet.
Puis, la strip-teaseuse recula et positionna son derrière tout près de la jeune fille qui n’eut qu’à tendre la main pour effleurer les deux globes parfaitement ronds offerts à quelques centimètres d’elle. De l’autre main, elle se mit à caresser furieusement son clitoris.

— Allez, poulette, baise-la donc.

Il n’en fallut pas plus à Allie. Elle crocheta l’ourlet de la culotte de Danielle et la baissa.

Danielle feignit la surprise et se tint debout avec son sous-vêtement sur les chevilles. Elle se retourna vers l’adolescente et agita son index dans un geste de réprimande tandis qu’elle agitait son postérieur à l’attention des spectatrices. Aucune d’entre elles ne perdait une miette du show qui se déroulait devant leurs yeux ébahis.

Puis elle se recula hors de portée de l’adolescente qui gémissait sans discontinuer, se cambra en arrière et, faisant preuve d’une souplesse impressionnante, finit d’ôter son pantalon et le jeta sur les spectatrices. Il atterrit sur la tête de Sandy, ce qui fit rire Ashley aux éclats.

Puis la strip-teaseuse, toujours courbée en avant, revint vers Allie, sa culotte sur les genoux.

— Embrasse ma chatte, petite pute. Ordonna-t-elle à l’adolescente.

Allie embrassa le sexe offert.

— Hmmm, ouiii  ma jolie, enlève-moi ma culotte.

Allie obéit et Danielle se mit à virevolter de la façon la plus provocante qui soit, entièrement nue, devant la jeune fille.
L’adolescente était anéantie, elle détestait l’excitation qui s’était emparée d’elle, mais maintenant elle n’en pouvait plus, et elle avait absolument besoin d’assouvir son désir.

Danielle glissa sa main droite entre les jambes écartées de l’adolescente et empauma son sexe. Son doigt s’introduisit dans la petite culotte.

— Mais tu es trempée, espèce de petite cochonne.

Elle plaça un de ses tétons entre les lèvres d’Allie qui se mit à téter, tandis que la strip-teaseuse tripotait son entrecuisse à travers le tissu de la culotte. L’adolescente se mit à gémir de plus belle lorsque la danseuse abaissa la petite culotte et inséra deux doigts dans sa fente humide d’excitation.
Elle fit aller et venir ses doigts entre les cuisses de l’adolescente en faisant en sorte que les spectatrices attentives et passionnées n’en perdent pas une miette.

L’orgasme qui submergea Allie fut d’une violence à laquelle elle n’était pas habituée. Danielle retira ses doigts et les tendit à l’assistance médusée, montrant à tout le monde à quel point ils étaient mouillés par les sécrétions de l’adolescente. Enchantées, les spectatrices l’applaudirent à tour de bras, l’acclamant pendant qu’elle récupérait ses vêtements éparses et délaissait l’adolescente hébétée et engourdie, abandonnée sur son tabouret, les jambes écartelées et le sexe ruisselant offert à la vue de toutes les invitées.
Petit à petit, Allie reprit ses esprits et regarda autour d’elle les femmes qui applaudissaient.

— Super spectacle !
— Quelle salope !
— Regardez comme elle aime s’exhiber.

Rouge de honte, l’adolescente était complètement abattue. Elle venait d’être tripotée par une strip-teaseuse devant toutes ses invitées. Anéantie, elle referma les cuisses, s’assit et tenta de faire un petit sourire timide à l’assemblée. Elle ne voulait surtout pas donner à Nicole une occasion de la punir en public.

Du coin de l’œil, elle aperçut sa Maîtresse qui parlait avec la danseuse dans l’entrée.
Elles se souriaient et riaient joyeusement. Nicole lui tendit une liasse de billets, la remercia et lui demanda si elle pouvait rester jusqu’à la fin de la fête. Danielle accepta volontiers.

Allie reprit l’ouverture de ses paquets à l’endroit ou l’arrivée de la strip-teaseuse l’avait interrompue avec ce show torride.

C’était le tour du présent de Maîtresse Jytte. Celle-ci ne dit pas grand-chose et se contenta de sourire lorsque l’adolescente ouvrit la boîte mince de près d’un mètre de long. À l’intérieur, une paire de bracelets en cuir qu’on pouvait fixer sur une barre métallique de la longueur de la boîte. Allie n’avait jamais vu ce genre d’instrument auparavant et ne savait pas à quoi cela pouvait bien servir.
Ça avait l’air effrayant.

— "Petite gouine", tu devrais aider cette petite débauchée à essayer son nouveau cadeau.

La petite blonde rampa jusqu’à l’adolescente, lui prit le paquet des mains et s’agenouilla entre ses jambes. Elle passa attacha délicatement chaque bracelet autour de chacune des chevilles d’Allie. Avant que celle-ci ait compris ce qui lui arrivait, ses jambes étaient immobilisées par la barre que petite gouine venait de fixer à ses bracelets de cheville, les forçant à s’écarter l’une de l’autre d’un bon mètre.

— Allie ! Remercie Maîtresse Jytte pour cette superbe barre d’écartèlement. Ordonna Nicole.

Toujours sous le coup de son excitation précédente, Allie remercia humblement Maîtresse Jytte, tandis que "Petite Gouine" regagnait sa place aux pieds de sa Maîtresse.

Le cadeau suivant était venait de Josie. L’esthéticienne en semblait assez satisfaite.

— Ca m’a pris un long moment pour trouver le bon, mais je pense que celui-ci devrait s’accorder parfaitement avec le cadeau que Maîtresse Jytte t’a offert.

Le cœur d’Allie accéléra dans sa poitrine. Elle déchira le papier d’emballage avec appréhension. Il contenait une sorte de gant long et compliqué fabriqué dans une matière qui ressemblait à du cuir. Elle l’attrapa et le tourna et retourna dans ses mains, se demandant comment ça pouvait bien s’enfiler. Ça ressemblait à un long gant unique mais dans lequel on devait glisser les deux bras et qui les maintiendrai prisonniers l’un contre l’autre. Elle ne comprit absolument pas comment le mettre ni à quoi cela pouvait servir.

— Merci Maîtresse Josie, qu’est-ce que c’est ?

— Tu comprendras bien assez tôt à quoi ça sert. La jeune femme se retourna vers Nicole.

 

— Je rêve de la voir là-dedans depuis deux bonnes semaines. Est-ce que Sandy peut l’aider à l’enfiler, j’aimerais beaucoup voir comment ça lui va. Demanda-t-elle à Ashley.

Ashley approuva de la tête.

 

— Bien sûr. Allez Sandy, va aider cette petite chienne à enfiler son cadeau.

Allie se serait bien passé de cette démonstration, mais un seul coup d’œil vers le visage sévère de sa Maîtresse lui fit comprendre qu’elle n’avait pas le choix. Elle se redressa, conservant avec difficulté son équilibre tant la position que lui imposait la barre d’écartèlement était instable. Elle tendit le gant à Sandy qui s’avançait vers elle à quatre pattes pour l’aider. De honte, l’adolescente baissa la tête et se laissa faire par Sandy. Celle-ci lui rabattit les bras dans le dos et les glissa dans le gant. L’instrument de contention lui arrivait pratiquement jusqu’aux épaules. Sandy resserra les boucles, ce qui eut pour effet de cambrer le buste de l’adolescente en arrière tant la position lui tirait douloureusement les épaules en arrière. Rapidement, Allie fut incapable de faire le moindre geste.

La douleur la fit gémir un peu et des larmes pointèrent aux coins de ses yeux. Tant bien que mal, elle parvint encore à sourire aux femmes qui l’entouraient.

— Merci Maîtresse Josie, mais il me reste encore deux cadeaux et j’ai besoin de mes mains pour les ouvrir. Sandy, est-ce que tu peux me les enlever s’il te plaît ?

— Je crois que tout le monde te préfère comme ça. Répondit Nicole d’un ton qui ne souffrait pas la réplique.

 

— Sandy et "Petite gouine" vont t’aider à ouvrir les derniers emballages.

Nicole était aux anges, elle avait orchestré cette soirée de main de Maître et elle en était arrivé exactement à ce qu’elle souhaitait. Allie était entièrement immobilisée, incapable d’échapper à ce qui allait lui arriver. Ça serait la fête d’anniversaire de sa vie.

L’adolescente essaya de trouver quelque chose à dire, mais tout ce qu’elle put dire fut :

— Bien Maîtresse.

Mais qu’est-ce que je dis ? se demanda-t-elle, je n’ai pas envie d’être attachée comme ça.
Elle aurait rêvé de se trouver à mille  lieues d’ici.

Sandy s’empara d’un des deux derniers cadeaux et "Petite Gouine" de l’autre.

Les deux filles ouvrirent les deux cadeaux en même temps avec une parfaite synchronisation. Le premier était un masque en cuir et l’autre ressemblait à un godemiché ceinture.

Allie eut un regard horrifié lorsque Sandy lui montra le masque de cuir et commença à le lui passer sur la tête. Ça ressemblait plutôt à un casque et ça enveloppait sa tête. Lorsqu’elle réalisa ce qui lui arrivait, il était trop tard. Elle tenta de protester, mais "Petite Gouine" lui introduisit l’étrange objet cylindrique dans la bouche et l’attacha étroitement derrière sa tête. Elle le serra si fort, qu’Allie redouta que ça lui fasse mal à la tête. Elle ne pouvait voir qu’à travers les trous du masque et un intrus en plastique obstruait sa bouche. Les bras attachés dans le dos, les jambes écartelées, elle ressemblait à une esclave obscène dont on pouvait abuser à loisir. Elle se mit à pleurer, mais à travers son masque en cuir, baîllonnée comme elle l’était, personne ne l’entendit.

Nicole prit des photos.

Puis elle prit la direction des opérations afin d’organiser la seconde partie de la soirée. Elle divisa ses invitées en deux groupes. Certaines d’entre elles durent se rapprocher d’Allie pour faire l’amour avec elle ou simplement profiter de son sexe (qui était toujours propre et parfumée pour leur plus grand plaisir). L’autre groupe se mit en ligne devant la jeune fille. L’objet en plastique qui dépassait de sa bouche n’était autre qu’un simulacre de phallus et les jeunes femmes entendaient bien en user et en abuser. L’adolescente, avait été assise sur le canapé devant chaque file qui attendait patiemment son tour. Puis on la força à s’agenouiller au sol et la première, Josie, prit sa place sur le divan. Elle attendait, jambes écartées et culotte rabattue sur les mollets. L’humidité de son sexe attestait de son impatience. Elle attrapa le membre en plastique qui dépassait du visage de l’adolescente, la faisant ressembler à une licorne dont la corne émergeait de sa bouche. Puis elle guida l’adolescente sans défense jusqu’à ce que son visage soit à quelques centimètres de son intimité. Allie, dont la vue était limitée par le masque, eut du mal à comprendre ce à quoi on l’obligeait. Le sexe artificiel n’était qu’à quelques centimètres du sexe de l’esthéticienne et celle-ci le fit pénétrer dans son sexe en plaçant ses mains derrière la tête masquée de l’adolescente. Incapable de résister, Allie fut forcée à agiter son visage d’avant en arrière au rythme de la pénétration qu’on lui imposait. Totalement impuissante, elle ne put empêcher son nez d’entrer brutalement, plusieurs fois, en contact avec le pubis de la jeune femme. Josie se mit à gémir de plaisir.

— Hmmm Allie, que tu es bien montée.

Elle repoussa le visage de l’adolescente vers l’arrière et le plaqua brutalement contre l’os de son pubis, s’empalant sur le godemiché. Puis elle se mit à remuer convulsivement d’avant en arrière la tête de la pauvre jeune fille, laissant libre cours à la libido débridée que lui inspirait la scène surréaliste.

Soudain, Allie sentit une langue s’appuyer contre son sexe et commencer à la titiller avec expertise. Rapidement, des vagues de plaisir la submergèrent, la menant vers l’orgasme tandis que Josie se servait de sa tête comme d’un accessoire. Puis la langue l’abandonna, remplacée par un objet en caoutchouc qui se fraya sans difficulté un chemin au sein de son intimité lubrifiée par le cunnilingus.

Josie jouit fortement. Elle repoussa fermement la jeune fille et laissa sa place à l’une des majorettes qui s’empala aussitôt avec délices sur le visage de l’adolescente.
Au même moment, Allie sentit qu’on lui ôtait son gadget anal et qu’on le remplaçait par un godemiché. Simultanément, une autre langue prit le relai entre ses lèvres à la sensibilité exacerbée. Elle était en train de pénétrer une lycéenne avec un sexe factice qu’on avait placé de force entre ses lèvres, celle-ci tirait violemment ses cheveux d’avant en arrière et au même moment, une femme dont elle ne pouvait voir le visage la sodomisait à l’aide d’un godemiché pendant qu’une troisième la léchait avec expertise.

Comme des furies, elles abusèrent de son corps, encore et encore, durant toute la soirée. Chacune d’entre elles l’utilisa comme un objet, la pénétrant à l’aide d’un godemiché, dégustant son sexe imberbe ou bien s’empalant sur le sexe en plastique qui obstruait sa bouche. Allie avait l’impression de n’être rien de plus qu’un objet sexuel dont chacune pouvait faire ce que bon lui semblait. Bien évidemment, Sandy et "Petite Gouine" furent mises à contribution. Au plus fort de la soirée, les trois jeunes filles furent sodomisées à tour de rôle par les seize autres femmes dans une folle orgie lesbienne.

Lorsque la partouze commença à se calmer, Sandy était occupée à lécher amoureusement et le plus délicatement possible le sexe d’Ashley. Pendant ce temps, celle-ci discutait nonchalamment avec Nicole, la félicitant pour la réussite de la fête d’anniversaire d’Allie.
L’adolescente était épuisée, étendue sur le sol. On lui avait ôté sa barre d’écartèlement, mais ses bras étaient toujours attachés dans son dos et elle portait toujours son masque et le phallus artificiel. Assise sur le canapé, Nicole ne s’intéressait pas plus à elle que si elle avait été morte, se contentant de discuter avec les quelques invitées qui n’étaient pas encore rentrées chez elles.

Il ne restait qu’Ashley, Betsy et Brittney. Betsy avait entrainé Brittney à l’écart et lui parlait à voix basse, mais à voir leurs mains entrecroisées sous la table, Nicole se doutait de ce dont elles parlaient.

Allie n’allait jamais oublier cette fête d’anniversaire. Elle prierait même pour ne jamais revivre la même. Cependant elle se doutait bien que la prochaine, si Nicole le décidait, serait encore plus dépravée.

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Allie et Nicole, par Annie The Slick - Communauté : Soumissions féminines
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Mardi 26 mars 2 26 /03 /Mars 21:08

Chapitre 16: La fête d’anniversaire (1ère partie).

 

— Allie viens ici. J’ai terminé les invitations pour ton anniversaire.

Avec tous ces évènements, Allie avait oublié que son anniversaire approchait. Une vague de bonheur l’envahit : des cadeaux, des gâteaux, une fête rien que pour elle… Nicole était vraiment adorable, pensa-t-elle en rêvant à tous les plaisirs qui l’attendaient.

Nicole l’attendait dans la cuisine. Elle était vêtue du tailleur qu’elle mettait pour aller travailler, alors que l’adolescente, conformément à la règle n°3, était nue et ne portait que son collier de chien (règle n°5) et le godemiché anal qui était fermement inséré dans son rectum (règle n°9). Son dressage durait maintenant depuis plusieurs semaines et toutes ces règles avaient fini par devenir familières. Il lui arrivait même d’oublier les piercings sur ses tétons et le petit cadenas sur son sexe.

Nicole se lécha les lèvres en observant son petit jouet sexuel s’approcher. Elle lui tendit le carton d’invitation. En plein bonheur, Allie s’empara de la carte. Mais son sourire eut tôt-fait de disparaître lorsqu’elle vit les illustrations. Il s’agissait d’un montage photographique. Chacune des photos la montrait en gros-plan, entrain de s’activer entre deux cuisses féminines. Sa partenaire n’était jamais la même, comme le démontraient indéniablement les différents sexes. Certains étaient poilus, d’autres soigneusement "coiffés" ou bien parfaitement épilés, et on discernait parfaitement la bouche de l’adolescente, profondément enfouie entre leurs lèvres, appliquée à les honorer. On remarquait aisément qu’il n’y avait pas que sa langue qui était en contact avec l’objet de sa convoitise. Nicole avait soigneusement sélectionné des photos sur lesquelles force était de constater que sa bouche était plaquée hermétiquement contre les vulves qu’elle dégustait avec beaucoup de ferveur.

— Je les enverrai tout à l’heure. J’ai choisi les 15 invitées, femmes et jeunes filles, que tu apprécies le plus. Dit Nicole en se repaissant du désarroi qu’elle sentait naître dans l’esprit de sa soumise.

Les larmes aux yeux, Allie ouvrit la carte.

En titre, on pouvait lire : " C’est l’anniversaire d’Allie, tu es invitée à la fête la plus folle qu’on ait jamais organisé.

— Ça va être une fête gigantesque. J’ai invité toutes tes nouvelles amies. Betsy, Ashley et bien sûr, Josie, Jackie, Sarah et Brittney et toutes les pom-pom girls dont tu t’es si bien occupée. On va bien s’amuser.

L’expression horrifiée qui s’afficha sur le visage de l’adolescente fit sourire Nicole.

Ça va être le pied. Se dit-elle en pensant avec excitation à toutes les humiliations qu’elle allait pouvoir imposer à cette petite poupée vicieuse.

*****

Le jour venu, Allie s’éveilla comme d’habitude au pied du lit de sa Maîtresse, son collier attaché à la laisse noire qui pendait du montant. À part ça, elle était entièrement nue. Elle écarta ses jambes et se mit à se masturber. Nicole exigeait qu’elle le fasse tous les matins. Avec le temps, elle était devenue très réceptive à ces caresses. Les images sur lesquelles elle fantasmait n’étaient pas celles dont elle rêvait quelques semaines auparavant, mais celles de femmes et de jeunes filles nues. Elle était tellement impliquée dans cette homosexualité contrainte qu’il n’y avait plus de place dans son esprit pour les fantasmes hétérosexuels. Les seules similitudes avec cet aspect de la sexualité étaient les sexes factices avec lesquels ses différentes Maîtresses l’avaient possédée.

L’adolescente atteignit l’orgasme en s’imaginant en train de sucer la délicieuse petite chatte de Brittney, la pom-pom girl. C’était son fantasme préféré. La lycéenne lui ordonnait d’abaisser la petite culotte qu’elle mettait pour ses représentations avec la fanfare, puis elle devait écarter les jambes de l’adolescente et sucer son sexe délicieusement odorant et fruité. Elle eut un orgasme puissant en frottant son clitoris à un rythme frénétique.

Une fois apaisée, elle sauta hors de son couchage et débuta sa journée d’esclave. Elle détacha son collier et s’empressa d’aller préparer le bain de sa Maîtresse.

Une fois dans la salle de bain, elle se garda bien d’utiliser les toilettes, elle ne pourrait les utiliser que quand sa Maîtresse l’y autoriserait. Elle fit couler le bain et trottina jusqu’à la chambre, s’agenouilla au pied du lit de la jeune femme encore endormie et dit avec une voix de petite fille :

— Maîtresse, votre bain est prêt.

Nicole s’étira et sourit, appréciant à sa juste valeur la chance qu’elle avait de se faire réveiller par cette petite chienne soumise. Allie s’était vraiment bien adaptée à sa nouvelle vie. Elle s’était soumise si facilement qu’elle avait du mal à croire qu’elle ne rêvait pas. Il lui restait tant de choses à apprendre à l’adolescente, tant d’échelons à lui faire franchir avant d’arriver à ses fins. Chaque progrès de son esclave était un bonheur qu’elle vivait intensément. Elle repoussa les draps, exposant son corps nu à l’adolescente.

— Lèche moi la chatte, ma petite chienne adorée. Dit Nicole en écartant les cuisses pour offrir son sexe à l’appétit de l’adolescente. Il n’en fallut pas plus à Allie pour escalader le lit et plonger sa langue entre les cuisses de sa Maîtresse, se régalant du goût fort que la nuit avait déposé au cœur de son intimité. C’était le premier cunnilingus de la journée, mais il serait suivi de beaucoup d’autres. Nicole attrapa les cheveux de la jeune fille à pleines mains et guida le visage adorable jusqu’à ce que son plaisir explose en un feu d’artifice de sensations multiples.

Après avoir récupéré, elle se leva et se fit accompagner par l’adolescente jusqu’à la salle de bain, où elle s’adonna à ce qui était devenu depuis longtemps une routine régulière. Elle s’assit sur le siège des WC et soulagea sa vessie, tandis que cette petite chienne d’Allie s’agenouillait entre ses jambes et inclinait son visage contre le bord de la cuvette. Lorsqu’elle eut terminé, l’adolescente approcha encore plus son visage constellé par les éclaboussures et, sans qu’on le lui ordonne, lécha le sexe jusqu’à ce qu’il ne subsiste plus une seule trace d’urine. Cette petite salope s’adaptait vraiment à merveille à sa condition d’esclave sexuelle.

Pour la récompenser, Nicole l’autorisa à se soulager, ce qui fut une nouveauté bienvenue pour l’adolescente. Puis elles allèrent à la baignoire et Allie s’occupa de sa Maîtresse à genoux sur le sol carrelé et froid de la salle de bain. Elle lava Nicole des pieds à la tête, accordant une attention particulière à ses seins et son sexe. Elle savait à quel point sa Maîtresse aimait être massée à ces endroits. Puis la jeune fille lava les cheveux de sa dominatrice et l’aida à sortir du bain, la séchant délicatement à l’aide d’une serviette-éponge toute chaude.

Puis elle l’aida à s’habiller. Une paire de pantalons très élégants sur une culotte en dentelle très échancrée, une chemise blanche en soie et un soutien-gorge assorti. L’ensemble lui donnait beaucoup d’allure, lui conférant la silhouette d’une jeune femme résolument moderne et sexy.

Puis elles allèrent prendre leur petit-déjeuner. Agenouillée aux pieds de sa Maîtresse, Allie avait l’air d’une star du porno négligée, nue avec ses piercings, tandis que Nicole, au contraire, avait tout d’une femme d’affaires distinguée, assise sur sa chaise confortable.

— C’est ton anniversaire aujourd’hui, petite salope. Tu dois te faire jolie. Je t’ai pris un rendez-vous au salon ce matin.

Allie acquiesça de la tête et remercia sa Maîtresse.

— Tu as carte blanche pour le début de la matinée. Mets ta robe rouge. Allie s’empressa d’aller dans sa chambre pour mettre la robe. Elle évita de se regarder dans le miroir, incapable de faire face au genre de fille qu’elle était devenue. Elle se contenta de traverser la pièce, attrapa la robe provocatrice rouge sur un cintre et l’enfila. Puis elle s’empara de ses mules à talons hauts et ressortit.

— Tu passeras mon bonjour à Jackie, petite salope. Dit Nicole lorsqu’Allie franchissait le seuil de la porte d’entrée.

****

Arrivée au salon d’esthétique, Allie subit le traitement habituel. Elle s’estima heureuse de ne pas avoir d’extras à endurer, ne recevant que le lavement et la douche vaginale pour parfumer son sexe et son anus. Puis Jackie lui lava les cheveux et la coiffa avec beaucoup d’attention. Apparemment, elle avait reçu des consignes pour que l’adolescente soit la plus belle possible pour la fête de ce soir.

Lorsqu’elle rentra à la maison, elle était aussi propre à l’extérieur qu’à l’intérieur, fin prête.

********

Une fois à l’intérieur, elle se déshabilla entièrement, conformément à la règle n°3, et alla à la cuisine pour s’occuper des préparatifs.

Lorsque Nicole entra dans la cuisine, l’adolescente lui tournait le dos. Elle était penchée dans le four pour y entreposer les cookies. Sans un mot, aussi silencieuse que possible, Nicole glissa sa main entre les cuisses de la jeune fille et inséra sans compromission, son médius dans le vagin offert, jusqu’à la deuxième phalange. Sous l’effet de la surprise, la pénétration de l’intrus coupa le souffle d’Allie, mais elle ne se déroba pas. Elle savait que sa chatte devait rester accessible à sa Maîtresse en permanence. Elle écarta légèrement les jambes pour faciliter l’accès à son sexe imberbe.

— Alors ma petite lécheuse de chattes, cette fête d’anniversaire ne t’excite pas ? Demanda Nicole sans bouger son doigt, se contentant de le maintenir à l’intérieur de l’adolescente.

Elle se pencha contre l’oreille de la jeune fille, s’empara d’un de ses petits seins, et se mit à jouer nonchalamment avec l’anneau qui transperçait le téton d’Allie.

— Je parie que tu vas lécher un tas de minettes cette nuit, je suis sûre que tu meurs d’envie d’en goûter le plus possible de différentes non ?

— Oui Maîtresse. Répondit Allie.

Nicole agita tout doucement son doigt. Elle nageait en plein bonheur. Maintenant, l’adolescente était complètement soumise à tous ses caprices. Elle vivait constamment nue et  se tenait entièrement disponible pour sa Maîtresse à tout moment. Sexuellement, elle était devenue experte en léchage de chattes et, bientôt, elle serait malade à l’idée de ne pas avoir fait son maximum pour satisfaire sa Maîtresse.

— Est-ce que tu te rends compte que toutes ces femmes vont venir exprès pour toi ce soir ? Demanda Nicole en faisant bouger son doigt de plus en plus vite.

— Ouiii. Répondit Allie en s’offrant de plus belle à l’attouchement de sa Maîtresse.

— Tu vas voir, tu vas vraiment te régaler.

Et, du bout du doigt, elle mena l’adolescente à l’orgasme. Puis, elle le lui fit nettoyer méticuleusement et abandonna l’adolescente, lui recommandant de finir rapidement de préparer la soirée.

************************

Vers cinq heures, Nicole appela l’adolescente et annonça qu’il était temps qu’elle s’habille.

— Je t’ai acheté de nouveaux vêtements pour ce soir. Ils sont dans ta chambre. Va vite les mettre, j’ai hâte de voir comment ils te vont.

Allie s’empressa d’obéir et se dirigea vers sa petite chambre. Elle se doutait que les vêtements malmèneraient sa pudeur, mais elle se surprit à espérer qu’il en serait ainsi… Elle souhaitait que ses invitées la désirent le plus possible.
Mais que lui arrivait-il ? Elle s’immobilisa un instant au milieu de la pièce, entièrement nue, avec ce collier de chien obscène qui ceignait son cou, tentant de chasser les pensées lubriques qui s’imposaient à son esprit. Mais elle était à nouveau dans cet état second qui la submergeait, incapable de dominer cette double-personnalité qui prenait de plus en plus souvent possession d’elle.

Dans l’armoire, sur un cintre unique, étaient suspendus quelques vêtements moulants. Il y avait un petit string noir et une minuscule robe noire très légère. Elle les enfila et remarqua qu’il n’y avait pas de chaussures. Elle en conclut que Nicole l’autorisait probablement à rester pieds nus. Elle observa son reflet dans la glace. La robe ne cachait rien et l’on pouvait voir sans difficultés ses piercings à travers le tissu presque transparent. Le tissu descendait à peine plus bas qu’en dessous de ses fesses. Le string mettait son sexe en évidence, attirant irrémédiablement le regard sur son bas-ventre. Elle ressemblait à une petite fille dépravée, et elle avait compris depuis longtemps que c’était justement ce que Nicole désirait.

Elle retourna se faire inspecter par sa propriétaire.

— Parfait. Dit Nicole alors qu’au même moment, la sonnerie de la porte d’entrée retentissait.

— Va ouvrir, petite salope, et souviens toi de la règle n°7. Fit-elle avec un sourire carnassier.

Allie trottina jusqu’à la porte d’entrée. C’étaient Josie, Betsy, Ashley et Sandy. Elles étaient toutes vêtues de pantalons et chemisiers élégants excepté Sandy qui portait un imperméable. Cette dernière avait un air bizarre, presque honteux, et apparemment elle n’avait pas enfilé ses bras dans les manches de sa veste

— Voulez-vous que je vous suce, Maîtresses ? Demanda Allie. La phrase était devenue automatique.

Les invitées sourirent toutes sauf Sandy.

— Je pense que cela pourra attendre un peu, petite salope. Répondit la grande Ashley.

Elles entrèrent. Une fois à l’intérieur, Ashley ôta l’imperméable de Sandy. Celle-ci était entièrement nue, ses mains étaient attachées dans son dos et elle portait les mêmes piercings qu’Allie. L’aolescente réalisa qu’elle était en présence d’une autre esclave sexuelle. Sandy était vraisemblablement la soumise d’Ashley.

— Comment trouves-tu Sandy, petite salope ? Faire ta connaissance a été une telle révélation pour moi que j’ai réalisé que Sandy ne pouvait faire autrement que devenir mon jouet sexuel, tout comme toi avec ta Maîtresse. Au début, elle n’était pas trop coopérative, mais j’ai su lui montrer où était sa vraie place.

Ashley tenait dans sa main une vilaine laisse reliée à un collier de chien qui était passé autour du cou de Sandy. Elles suivirent Allie jusqu’au salon.

— Salut Aslhey, Dit Nicole. — J’adore ce que tu as fait de Sandy. J’ai toujours pensé qu’elle avait tout d’une soumise. On sait toutes que tu es la meilleure.

Toutes les femmes se mirent à rire, excepté Allie et Sandy. Ashley s’assit sur le canapé et exigea de Sandy qu’elle s’agenouille à ses pieds.

On sonna à nouveau.

— Es-ce que je peux vous sucer Maîtresses ? Demanda Allie au groupe de cinq pom-pom girls qui attendaient derrière la porte. Elles éclatèrent de rire et entrèrent dans la maison en se moquant de l’adolescente.

La dernière à entrer fut Brittney, elle se jeta pratiquement sur l’adolescente, l’embrassant goulument sur la bouche et la cramponnant par les fesses à la même occasion. Les autres acclamèrent leur copine.

— Vous avez vu ? Je vous avais bien dit que je le ferai. Catherine, tu me dois 20 €. Et elles ignorèrent l’adolescente abasourdie, l’abandonnant dans l’entrée pour rejoindre les autres invitées au salon.

Avant qu’Allie ait pu les suivre, la sonnerie retentit une nouvelle fois. Cette fois, c’étaient Maîtresse Jytte, son esclave blonde : "petite gouine", Sarah, la propriétaire de l’institut de beauté, Jackie l’esthéticienne qui s’était occupée d’Allie et la petite réceptionniste. L’esclave était vêtue comme une écolière, mais une fois à l’intérieur, Maîtresse Jytte la fit déshabiller et la poussa vers le salon.

— Bien nos invitées sont presque toutes arrivées, il n’en manque que trois. Dit Nicole, juste avant que la sonnerie ne retentisse une nouvelle fois.

Cette fois-ci, c’étaient Amanda, Jessica et Stephanie, les trois vendeuses du magasin de vêtements.

— Puis-je sucer vos minettes Maîtresses ? Demanda Allie une nouvelle fois.

— Peut-être plus tard, petite salope dit Amanda en tirant Jessica par la main. La rousse la suivit en restant étrangement silencieuse. Enfin, Stephanie les accompagna, quelque peu hésitante, comme si elle se demandait dans quoi elle venait de se fourrer.

Quand tout le monde fut dans le séjour, Nicole s’adressa au groupe.

— Merci à toutes d’être venues à la fête d’anniversaire d’Allie. Je propose que l’on commence avec les cadeaux. Allie ! Assieds-toi ici. Dit elle en désignant un tabouret à l’entrée de la pièce.

Allie s’empressa d’obéir. Après tout, elle avait hâte de voir quels cadeaux on allait lui offrir. Son excitation augmenta un peu. Les femmes déposèrent les paquets et rapidement, Allie se retrouva devant un monceau impressionnant de paquets cadeaux.

Elle attrapa le premier.

— De la part d’Amanda et Jessica. Dit-elle, comme n’importe quelle petite fille s'émerveillant devant ses cadeaux d’anniversaire.

La carte était simple et elle lut :

— Joyeux anniversaire et merci pour m’avoir aidée à initier Jessica à l’amour entre filles. C’est ma petite copine maintenant et j’adore ça. Amanda.

Allie lit à voix haute pour toute l’assemblée. Amanda sourit et Jessica, embarrassée, baissa les yeux.

L’adolescente déballa son cadeau. Il s’agissait d’une boîte contenait une paire de culottes. Chacune était un string et elles étaient de couleurs différentes. Allie remercia, même si elle trouvait un peu bizarre qu’on lui offre des sous-vêtements pour son anniversaire.

— Et si tu les essayais tout de suite ? Dit Nicole.

Allie regarda toutes les femmes qui faisaient cercle autour d’elle en la dévorant des yeux. Elle ne voulait pas enlever sa culotte devant toutes ces femmes, elle était déjà suffisamment impudique comme ça,  avec ses petits seins parfaitement visibles à travers le tissu léger de sa robe. Les invitées pouvaient certainement voir les anneaux qui transperçaient ses tétons très facilement. Au même moment, elle réalisa que toutes ses femmes l’avaient déjà vue entièrement nue. En fait la plupart s’étaient livrées à des attouchements sur elle et elle les avait toutes sucées, à l’exception de l’esclave "petite gouine", qu’elle avait masturbé jusqu’à l’orgasme dans le salon de beauté. Comme "petite gouine" et Sandy étaient nues elles aussi, elle se décida à suivre la suggestion de Nicole.

L’adolescente se leva et souleva lentement la robe minuscule, exposant sa petite culotte noire à l’assemblée. Elle crocheta l’élastique du sous-vêtement à la taille et le tira vers le bas. Maintenant, toutes les femmes pouvaient voir son sexe imberbe et le petit cadenas qui ornait le haut de sa petite fente. Celles qui n’avaient pas encore vu le piercing se mirent à bavarder entre elles sans cesser de la regarder.

— Montre ton bijou à tout le monde Allie, je ne pense pas que tout le monde l’ait déjà vu. Nicole se régalait de l’embarras éprouvé par sa soumise.

Rouge de honte, l’adolescente se tourna face à l’assemblée et souleva sa robe jusqu’à sa taille, révélant son sexe épilé. Sa fente sexuelle qui partageait son entrejambe faisait ressembler son sexe à celui d’une gamine pré-pubère, mais le cadenas obscène qui y pendait contrastait avec l’image virginale. Elle tendit la main et souleva la pièce métallique pour l’exhiber devant tout le monde. Comme elle avait incliné la tête en avant, ses cheveux recouvraient son visage, lui permettant de masquer l’humiliation qu’elle éprouvait. S’exhiber devant ces femmes était éprouvant, mais le pire dans tout ça restait que les cinq pom-pom girls qui assistaient à son avilissement étaient du même âge qu’elle.

— Splendide. Dit Maîtresse Jytte en souriant. — Crois-tu que nous devrions te faire équiper avec quelque chose dans ce genre, "petite gouine" ?

— Oui Maîtresse. Répondit la jeune fille assise aux pieds de sa propriétaire.

Allie s’empara d’une des petites culottes. Elle était encore plus petite que la sienne. Elle l’enjamba et la fit glisser le long de ses jambes. Son entrejambe n’était protégé que par une fine lanière qui partageait son intimité en deux.

— Tourne-toi et montre nous comment ça te va petite salope. Dit Ashley qui adorait la façon dont l’adolescente s’exhibait devant elles.

Allie pivota sur elle-même en soulevant sa robe jusqu’à sa taille de façon à exhiber ses fesses et son entrejambe. Intérieurement, la dégradation qu’on lui imposait la gênait énormément, mais elle continua à afficher un sourire pâle pour respecter les règles que lui imposaient sa Maîtresse. Toutes les spectatrices admirèrent ses petites fesses fermes et rondes. La lanière du string disparaissait entre les ravissantes babines de son sexe, courait entre ses jambes et réapparaissait au-dessus de ses fesses. Son pubis était à peine masqué par un petit triangle de tissu.

— Superbe, tu as vraiment un adorable petit cul de salope. Dit Ashley en caressant langoureusement la tête de Sandy qui était appuyée sur ses genoux.

Allie procéda de la même façon avec l’autre culotte, et la garda sur elle pour ouvrir le cadeau suivant.

Le présent était de Sarah, la propriétaire de l’institut de beauté. Il contenait un bon pour un tatouage gratuit au salon. Allie la remercia poliment, bien qu’elle n’ait aucune envie de se faire tatouer.

— C’est une idée de Nicole, elle a des vues sur l’un d’entre eux. Tu devrais venir la semaine prochaine, on s’occupera de toi comme il faudra.

— Oui Maîtresse. S’entendit répondre Allie.

Intérieurement, tout en elle lui hurlait qu’il n’en était pas question, mais pourtant, au fond d’elle-même, elle savait qu’elle n’y échapperait pas. Si sa Maîtresse l’avait décidé, elle ne pourrait pas s’y opposer. Elle espéra seulement que ça ne serait pas trop dégradant.

Le cadeau suivant venait des pom-pom girls, à part Brittney qui avait son propre cadeau. Les filles sourirent et chuchotèrent entre elles lorsqu’Allie déchira l’emballage. Elles ricanaient en murmurant des insanités qui l’humilièrent plus que tout.

— Quelle salope cette fille.
— Je n’arrive pas à croire qu’on puisse en arriver là.
— Elle doit se masturber en permanence.

Allie était horrifiée de constater que ces filles, qui avaient le même âge qu’elle, la considéraient comme une espèce de malade anormale. Les larmes aux  yeux, elle continua à déballer son présent.

Lorsque le carton apparut, Allie constata qu’il s’agissait d’une boite de chez Mistigriff. C’était certainement l’emballage d’une jupe, mais curieusement, ça pesait beaucoup plus lourd. Elle souleva le couvercle et jeta un coup d’œil à l’intérieur. Horrifiée elle crut vivre un cauchemar. Elles ne pouvaient pas lui offrir ça quand même… Pourquoi tant de méchanceté ? Elle n’avait pas mérité ça. Elle adressa un sourire contrit aux pom-pom girls, mais ne sortit pas le cadeau de sa boîte.

— Qu’est-ce que c’est petite salope, allez ne soit pas dure avec nous montre-nous ça et remercie les filles pour leur gentillesse. Dit Nicole en se réjouissant du désarroi de sa soumise.

Ayant conseillé les jeunes filles, elle savait parfaitement de quoi il s’agissait. L’humiliation qu’éprouvait Allie en découvrant ces cadeaux ouvertement sexuels l’excitait énormément. Elle savait pertinemment que l’adolescente détesterait les montrer à tout le monde.

Allie retira le couvercle et le déposa par terre, puis elle sortit son cadeau. C’était une pile de magazines. Les couvertures apparurent aux yeux de l’assemblée : Penthouse, club, Devot, Dépravations magazine, Déviations féminines, Leglove, Tabou, 18 ans, HotVideos… Elle eut du mal à sourire tant elle avait envie de jeter toutes ces revues pornographiques dégoûtantes loin d’elle. Comment avait-elles pu penser que ce genre de chose pourrait lui faire plaisir ? C’était complètement faux.

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Mercredi 2 janvier 3 02 /01 /Jan 22:55

 

Chapitre 15 : Betsy vient dîner (2ème partie).

 

Après manger, Betsy et Nicole s’installèrent dans le salon laissant l’adolescente débarrasser la table et nettoyer. Celle-ci ne se pressa pas, faisant durer le temps, comme si elle voulait retarder l’instant où elle devrait se livrer aux deux femmes.
Elle n’en avait pas encore fait la moitié lorsque Nicole entra dans la cuisine. Elle tenait à la main le gode-ceinture que Betsy venait de lui offrir.

— Esclave, j’ai besoin de ton aide pour mettre mon cadeau, attache-le sur ta Maîtresse.

Elle lui tendit l’objet en caoutchouc.
C’était un godemiché noir brillant, d’une longueur d’environ 20 centimètres.
Nicole avait défait son pantalon et attendait, dans l’expectative.

Engourdie par la terreur que lui inspirait l’objet, Allie le mit en place gauchement, touchant le membre factice avec beaucoup de retenue, le positionnant contre l’entrecuisse de sa Maîtresse avant d’attacher les lanières. Elle fit passer la lanière entre les jambes de sa Maîtresse et la serra fermement pour qu’il soit maintenu correctement en place.

— Sangle-le bien, esclave. Je veux pouvoir te baiser bien à fond.

Allie obéit en tremblant, et resserra les lanières aussi fort que possible.
Lorsque ce fut fait, Nicole la remercia et remonta son pantalon, glissant le membre factice à l’intérieur. Elle resta un moment dans la cuisine, observant l’adolescente ranger et faire la vaisselle, sa jupe était si courte qu’elle révélait ses fesses nues à chaque mouvement. Nicole s’approcha d’elle, se plaça dans son dos pendant qu’elle nettoyait la dernière assiette et s’appuya contre le corps de l’adolescente.

— Alors ? Tu es prête à pour la grande baise ?

Sa main glissa entre les cuisses d’Allie et se mit à jouer avec son sexe.

— Je veux être sûre que tu es prête à accueillir ma bite convenablement.

Ses doigts farfouillèrent un instant contre le pubis glabre avant de se glisser entre les lèvres légèrement humides.

— Tu commences à mouiller, c’est ma grosse queue que te fait cet effet ?

— Oui Maîtresse. Répondit Allie.

Elle avait de plus en plus de mal à finir la vaisselle.
Nicole sentait les sécrétions humidifier l’entre-cuisse de l’adolescente. Elle enfonça un doigt dans son vagin. Elle est si chaude, pensa-t-elle, il faut que je la prenne maintenant, ici. Elle défit son pantalon et sortit le membre en caoutchouc, le guida jusqu’à l’ouverture de l’adolescente et appuya doucement.
Allie poussa un cri en sentant le godemiché entrer en contact avec son sexe.

— Je vous en prie Maîtresse, pas ça… Non, ne me faites pas ça…

Nicole ignora les protestations de l’adolescente. Elle poussa lentement le gode contre le sexe juvénile. Elle patienta un moment à l’entrée de la vulve puis la pénétra irrémédiablement.
Allie posa ses mains de chaque côté de l’évier et arqua son corps pendant que sa Maîtresse s’appropriait sa virginité.

Pendant ce temps, Betsy, qui trouvait le temps long, s’était laissée guider par sa curiosité jusqu’à l’entrée de la cuisine. Elle assista à la défloration de l’adolescente. Bon dieu, qu’elle est chaude, pensa-t-elle, elle n’a pas pu patienter plus longtemps avant de tester le cadeau que j’ai offert à sa Maîtresse.
La serveuse ouvrit la braguette de son pantalon et exhiba obscènement son propre membre factice à travers l’ouverture.

Nicole se retira complètement avant de pousser plus en avant, elle gagna quelques centimètres. Puis elle lima pendant quelques secondes le sexe étroit de l’adolescente, se retirant presque intégralement, ne laissant à l’intérieur que la tête du godemiché à l’intérieur de la vulve juvénile. Enfin, d’un mouvement puissant elle enfonça l’objet en plastique jusqu’à la garde, plaquant son bassin contre les petites fesses de l’adolescente.
Allie poussa un nouveau cri, qui s’apparentait beaucoup moins à un gémissement de douleur. Les lanières du gode-ceinture s’imprimèrent dans la chair tendre de ses fesses.

Nicole se mit à besogner la jeune fille à un rythme lent, à chacun de ses coups de reins, l’eau éclaboussait l’évier.
Bientôt, l’adolescente oublia ses craintes et se mit à gémir sous les coups de boutoir de sa Maîtresse.
Nicole attrapa les cheveux de l’adolescente et lui fit tourner la tête vers son invitée. Dans le même temps, elle fit signe de s’avancer à la jeune femme.
Betsy s’avança vers les deux femmes en train de copuler. Nicole avait poussé sur la tête de l’adolescente, la forçant à se pencher vers son entrejambe, la bouche à quelques centimètres du membre factice qui pointait hors de son pantalon.

— Suce la queue de Betsy, salope.

Allie prit le membre de Betsy entre ses lèvres. Elle n’eut pas conscience de la suite, le godemiché qui pistonnait son vagin l’envoyait lentement mais sûrement au 7e ciel. Nicole baisait sa vulve et Betsy allait et venait dans sa bouche.

— C’est vraiment une putain de salope, dit Betsy en entrant et en sortant de la bouche offerte.

— Allons dans le salon, lui répondit Nicole.

Betsy ressortit de la bouche de l’adolescente. Nicole la fit se redresser en laissant son membre ressortir de la fente juteuse et rabattit sa jupe sur ses fesses.
Elles emmenèrent la jeune fille, abrutie par le traitement qu’elle venait de subir, jusqu’au salon.
Les deux jeunes femmes s’assirent sur le canapé, les membres factices toujours érigés entre leurs cuisses.

— Qu’est-ce qu’on s’amuse, dit Nicole.

— Ok salope, maintenant tu vas nous faire une petite danse bien sexy pour bien faire bander ces queues qui te regardent. Comme tu rêves qu’elles te baisent, montre leur bien à quel point tu es salope, espèce de petit garage à bites.

Allie se mit à danser langoureusement, exhibant ses fesses en ondulant des hanches devant les deux femmes.

— Ote ton petit copain de ton cul, petite pute. Ce soir, ton anus doit être disponible pour nos queues.

Allie était dans une transe proche de l’extase, elle continua à danser en retirant le gadget anal qui obstruait son rectum. Le vide qu’elle ressentit l’étonna, elle l’avait en elle depuis quatre jours complets maintenant. Elle continua son strip-tease en offrant aux deux femmes un spectacle de qualité, se penchant en avant pour écarter ses fesses, s’asseyant par terre en position de "grand-écart", exhibant ses charmes avec une impudeur qu’elle ne contrôlait plus. Ses vêtements gisaient sur le sol et elle ondulait, nue, devant ses deux admiratrices.

— Amène toi par ici, petite salope, et viens t’asseoir sur ma bite. Dit Betsy.

L’excitation qui habitait l’adolescente l’obsédait à un point tel qu’elle ne pensait plus qu’à jouir. Elle avait complètement oublié son dépucelage et était prête à tout pour arriver à l’orgasme. Elle s’approcha de la jeune femme et se présenta, accroupie, face à elle, poussant son sexe imberbe et rougi contre le membre factice. Elle plia les genoux, faisant pénétrer le gode dans son intimité qui était tellement lubrifiée que l’olisbos pénétra d’un coup sur une dizaine de centimètres. Il ne lui fallut que deux aller-retours pour se l’enfoncer jusqu’à la garde.
Elle commença à aller et venir au-dessus de la jeune femme, s’empalant toute seule, comme si sa vie en dépendait.

Rapidement, elle se mit à jouir.

— Brave petite salope. Lui dit Betsy en caressant ses petits seins à peine formés.

Nicole se leva et s’approcha de l’adolescente par derrière.

— Esclave ! Quelle est la règle numéro 1 ? Demanda-t-elle.

— Ob… Obéir à ma Maît… À ma Maîtresse. Répondit la jeune fille entre deux flexions sur le sexe de Betsy.

— Arrête de bouger et penche-toi en avant.

Allie fit ce qu’on lui ordonnait et s’affala contre Betsy. Elle sentit sa Maîtresse ajuster le deuxième gode à l’entrée de son petit trou.

— Demande-moi de te sodomiser, salope.

— Maîtresse… Baisez-moi dans le cul s’il vous plaît.

La raison d’Allie l’avait abandonnée. Une seule chose comptait : Etre baisée à fond et des deux côtés.

Nicole appuya l’extrémité du membre factice contre le rectum dilaté de l’adolescente. Le gadget anal qu’elle avait porté si longtemps avait si bien relâché les muscles, qu’elle pénétra sans difficultés et s’enfonça d’une dizaine de centimètres à la première poussée.

— HHMMMHHHH. Grogna Allie en accueillant sans retenue la sodomisation.

Nicole ressortit et poussa à nouveau. Rapidement elle enfouit toute la longueur de son membre entre les fesses d’Allie et se mit à aller et venir en calant le rythme des ses coups de reins sur celui de Betsy.

— Quelle pute ! Il n’y a qu’une sale pute pour aimer autant que ça de se faire baiser des deux côté à la fois, dit Nicole en faisant coulisser son godemiché dans l’anus de l’adolescente, s’enfonçant le plus profondément possible dans ses entrailles.

Allie se mit à onduler au rythme des coups de reins de ses Maîtresses, gémissant à chaque pénétration. Elle était comblée. Les deux substituts de sexe qui la pénétraient la menaient au 7e ciel aussi sûrement que sa Maîtresse lorsqu’elle la masturbait. Elle se mit à ruer de façon désordonnée et ses yeux roulèrent dans leurs orbites révélant le blanc de ses globes oculaires. Son orgasme l’emporta comme un torrent en fusion. Elle s’écroula sur Betsy pendant que les deux femmes continuaient à la pistonner, se désintéressant de l’état comateux dans lequel elle venait de plonger.

Ses deux Maîtresses la prirent pendant des heures, dans toutes les positions possibles et de toutes les façons possibles. Elles échangèrent souvent leurs places, lui imposant à chaque fois de nettoyer leur membre factice souillés par ses humeurs.
Plus tard, les deux femmes terminèrent la nuit dans les bras l’une de l’autre, sur le lit de Nicole, tandis que l’adolescente rompue et épuisée s’était endormie sur le sol du salon.

Le lendemain matin, les deux femmes se réveillèrent et prirent une douche ensemble. Bien entendu, Allie dut les laver toutes les deux tandis qu’elles s’embrassaient dans la douche.
Puis l’adolescente passa la matinée à préparer leur petit-déjeuner et à se plier à la moindre de leurs exigences.

— Waow, quel bonheur d’avoir sa propre petite esclave sexuelle, disait Betsy en buvant son thé pendant que l’adolescente, toujours nue, vêtue uniquement de son collier de chien lui vernissait les ongles de pieds.

— Oui, chaque femme moderne devrait en avoir une pour satisfaire à tous ses besoins. On devrait en chercher une pour toi, Betsy.

— Tu as raison, mais où trouver ce genre de petite salope ?

— J’ai bien une petite idée sur la question… Peut-être que l’une de ces petites majorettes du lycée pourrait faire l’affaire… Hmmm, éventuellement Britney pourrait être guidée vers ce en quoi consiste sa vraie place. Je vais-y réfléchir.

Betsy ne s’en alla pas avant la fin de l’après-midi, profitant toute la journée des soins attentifs et respectueux de l’adolescente.

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Mercredi 9 mai 3 09 /05 /Mai 19:33

Chapitre 14 : Betsy vient dîner (1ère partie).

Nicole envoya Allie prendre une douche et se préparer pour son rendez-vous. Pour la première fois de la semaine, elle autorisa l’adolescente à passer le temps qu’elle souhaitait dans la salle de bain, lui demandant de se faire aussi belle que possible. Surprise par tant d’attention, Allie déchanta lorsque sa Maîtresse lui tendit aussi une poire à lavement en lui disant :

— Tu devras être aussi propre à l’intérieur qu’à l’extérieur pour accueillir ton invitée. Ton petit sexe de lesbienne devra avoir bon goût, ce sera un dessert formidable.

Allie fut humiliée par les commentaires qui sous-entendaient qu’elle ne serait qu’un jouet sexuel pour Betsy ce soir. Force était d’admettre que c’était la vérité.

Elle se doucha pendant un long moment, profitant de ce petit moment de liberté, savourant la caresse de l’eau sur son corps nu.
Pourtant, elle n’arrivait pas à oublier la triste condition d’esclave que lui rappelaient en permanence les piercings qu’elle portait sur ses seins et son clitoris, ainsi que le gadget anal qu’elle gardait en permanence enfoncé entre ses fesses.
Elle sortit de la douche, s’essuya consciencieusement et s’administra le lavement, insérant la poire profondément pour faire gicler le liquide parfumé à la lavande dans son sexe juvénile.

Puis elle consacra un peu de temps à son maquillage, tentant d’oublier qu’elle se pomponnait pour une femme, et qu’elle avait été jusqu’à parfumer l’intérieur de son sexe afin qu’il sente bon lorsqu’elle le lui offrirait. Comment en était-elle arrivée là, elle n’avait pas envie d’être une esclave sexuelle lesbienne. Elle voulait seulement être une adolescente comme les autres.

À six heures, Allie était enfin prête. Elle avait revêtu le petit uniforme d’écolière que Nicole lui avait acheté la veille. Elle n’avait pas boutonné le chemisier blanc transparent, mais elle avait noué les deux pans sur son ventre. On pouvait voir ses petits tétons pointer à travers le tissu.
La jupe plissée bleu marine était plus que courte et ne recouvrait qu’à peine ses fesses. Quant à la petite culotte aux motifs à fleurs qu’elle portait en dessous, elle lui donnait encore plus l’allure d’une salope.
Pour finir, elle portait une paire de chaussettes blanches qui lui arrivaient aux genoux et sa paire de chaussures noires vernies.

Elle alla se présenter à sa Maîtresse pour se faire inspecter.

— Hmmm, tu as l’air succulente ma petite suceuse de chattes, fin prête pour ton rendez-vous. N’oublie pas la règle numéro 7 quand tu iras ouvrir la porte. Ça va tellement la surprendre…

Allie redoutait cette règle, elle n’arrivait pas à accepter d’accueillir n’importe quelle inconnue qui se présenterai devant la porte par ces mots…
Mais Nicole y tenait absolument.

L’adolescente mit la table pendant que Nicole regardait distraitement les informations dans le salon. Elle organisa un dîner romantique, mais avec trois sets de table selon les instructions de Nicole.

Tout était prêt lorsque, à 6h30, la sonnette retentit.

— Va ouvrir, petite lécheuse de chattes, c’est probablement Betsy.

Dans son déguisement d’écolière vicieuse, Allie alla à ouvrir la porte.

Betsy se tenait dans l’entrée, ravissante. Elle portait un pantalon décontracté et un chemisier blanc simple et sortait de chez le coiffeur. Elle était délicieuse. On aurait dit une femme moderne se rendant à une soirée romantique avec son amoureux.

Rouge pivoine, Allie baissa les yeux et s’enquit d’une toute petite voix :

— Puis-je sucer votre minou, Maîtresse ?

Betsy eut un sourire étincelant.

— Non, petite salope. J’ai autre chose en tête. Je te le rappellerai au moment de t’offrir ton cadeau.

Allie acquiesça sans lever les yeux, anéantie.

— Bien Maîtresse Betsy.

La jeune femme prit la main de l’adolescente et la plaça entre ses cuisses.

— Tu sens le cadeau en question ?

Il y avait une protubérance rigide qui dépassait sous le pantalon de Betsy, ça ressemblait à un phallus artificiel.

— Je me suis garnie avec une bite ce soir, et je vais te baiser comme un homme.

Allie essaya de retirer sa main mais Betsy la maintenait fermement en place, la faisant monter et descendre pour lui faire éprouver la longueur du membre factice.

— Je vois qu’Allie s’occupe déjà de te faire bander.

Nicole s’était approchée de la porte pour voir ce qui se passait. Les deux femmes échangèrent un sourire vicieux.

— Ouais, tiens je t’ai apporté un cadeau pour te remercier de m’avoir invitée.

Et elle tendit un paquet à Nicole avec son autre main, tout en continuant à masser son membre artificiel avec la main de l’adolescente.
Les yeux écarquillés par la détresse, Allie regarda sa Maitresse ouvrir son cadeau.

Il contenait un énorme godemiché équipé d’un harnais.

— Merci Betsy, j’envisageais d’en acheter un. Mais ne restons pas dans ici, donne-toi la peine d’entrer.

Betsy relâcha l’adolescente effrayée et pénétra dans la maison.

— Est-ce que ma petite salope t’a demandé si elle pouvait te sucer le sexe ? Demanda Nicole.

— Oui, Pourquoi ? C’est une sorte de rituel que tu lui imposes ?

— Exactement. La nuit dernière, je lui ai fait apprendre par cœur un certain nombre de règles auxquelles elle doit obéir. Je les lui ferai réciter après le dîner comme ça tu pourras te rendre compte. Allie ! Sers-nous un verre de vin au salon.

Lorsqu’Allie revint dans la salle de séjour, les deux femmes parlaient, assises sur le canapé. Elles comptaient le nombre de sexes que l’adolescente avait du lécher pendant la semaine. L’énorme godemiché noir trônait sur la table basse, n’attendant plus qu’elle. Elle se dit qu’elle n’arriverait jamais à accueillir quelque chose d’aussi gros en elle.

La jeune fille servit les boissons aux deux femmes.

— Allie ! Quelle est la règle numéro 4 ? Demanda Nicole.

— Je dois sucer au moins trois minettes tous les jours.

— Est-ce que tu as respecté cette règle aujourd’hui ? Demanda Betsy.

— Oui Maîtresse.

— Waow… Combien ? Demanda Betsy, intriguée.

Nicole intervint :

— Dis donc, salope, tu ne te souviens pas de la règle numéro 15 ? Tu dois toujours sourire, tu n’es qu’une petite salope de lesbienne heureuse, uniquement bonne à sucer des sexes et tu dois t’y consacrer tous les jours.

Les lèvres d’Allie composèrent un sourire peu convaincant.

— Maintenant, assois-toi.

L’adolescente prit place sur une des chaises de la salle de séjour.

— LEVE-TOI TOUT DE SUITE SALOPE ! Hurla Nicole.

Allie se leva d’un bond.

— Tu seras punie. Quelle est la règle numéro 13 ? Tu ne dois plus jamais t’asseoir sur un siège sans mon autorisation. Tu n’es vraiment qu’une putain de lesbienne stupide et sans cervelle ou quoi ?

— Pardon Maîtresse, oui Maîtresse. Dit l’adolescente en pleurant tout en tentant de sourire au même moment.

— Oui Maitresse quoi ? Insista Nicole.

— Je ne suis qu’une… stupide… Elle avait déjà oublié le reste de la phrase.

Nicole se leva et s’approcha de la jeune fille.

— Tu n’es qu’une putain de lesbienne salope et sans cervelle. Répète après moi !

Elle se tenait devant l’adolescente qui sanglotait.

— Je ne suis qu’une putain de lesbienne salope et sans cervelle.

Dit Allie à travers ses larmes, s’efforçant toujours d’afficher son sourire ridicule.

— Je préfère ça, mais tu mérites quand même une punition. Maintenant assois-toi par terre, à mes pieds.

Elles se rassirent : Nicole, à côté de Betsy, sur le canapé, et Allie par terre, à leurs pieds.

— Est-ce que tu aimes la tenue de cette petite salope, Betsy ?

— Oui, j’adore. Elle ressemble à une petite Lolita vicieuse, qui tente de se faire passer pour une séductrice.

Elles continuèrent à discuter en buvant leur verre, parlant d’Allie comme si elle n’était qu’un animal domestique.
Finalement Nicole déclara qu’il était temps de passer à table. Les deux femmes s’installèrent pendant qu’Allie leur servait les pâtes carbonara.
La jeune fille proposait le plat à Betsy lorsqu’elle sentit la jeune femme glisser sa main sous sa jupe et explorer son sexe à travers sa petite culotte à fleurs.
La jeune femme se rendit compte de la présence insolite de l’objet métallique qui fermait le haut de son sexe en s’appuyant sur son clitoris.
Allie se raidit, mais ne fuit pas l’intrusion des doigts de Betsy. Bloquant sa respiration, elle la sentit effleurer les contours du cadenas.

— Elle a quelque chose d’attaché sur son clit…

Betsy recula sa chaise, fit pivoter l’adolescente face à elle et baissa la culotte sur ses chevilles. Puis elle souleva le devant de la jupette et examina le sexe imberbe de l’adolescente. Bien en évidence, le cadenas trônait en haut de la petite fente.

— Waow… C’est tellement sexy, quelle sale petite vicieuse en chaleur !

Betsy s’amusa avec le cadenas, le soulevant et le relâchant délicatement.
Le mouvement sur son clitoris excita un peu l’adolescente.
La jeune femme se servit de son autre main pour introduire un doigt entre les lèvres sexuelles.

— Oh oh ! Cette petite cochonne est déjà toute trempée. Tu es impatiente de goûter à ma bite, n’est-ce-pas petite lécheuse de chattes ? Désolée, nous n’avons pas le temps pour l’instant, il va falloir que tu patientes jusqu’à ce que le dîner soit terminé.

Elle fit pivoter l’adolescente sur elle-même et lui claqua violemment les fesses.

— Maintenant, assois-toi sur ton cul de petite pute en chaleur et mangeons. Ne t’inquiètes-pas on va bien s’occuper de ta petite chatte, tout à l’heure. Tu seras baisée à fond et je te garantis que tu en auras pour ton argent dès que le repas sera terminé.

Allie se souvint de la règle numéro 15.

— Merci Maîtresse Betsy. Fit-elle en souriant tant bien que mal.

Elle ne voulait pas être baisée par une femme, elle s’imaginait que ça devait être une occasion très particulière qu’elle voulait réserver à son futur mari, pas à une femme. Elle ne pouvait pas les laisser faire, pas ça. Elle pouvait sucer des sexes mais comment pouvait-elle se laisser baiser ? Ça n’était pas possible.

Pendant tout le repas, elle fut incapable de se concentrer tant ce qui allait se passer ensuite l’obsédait.
Nicole continuait à la rabaisser, la traitant d’esclave sexuelle stupide ou idiote. À chaque fois, elle répondait par un "Oui Maîtresse" respectueux, incapable d’exprimer autre chose.

Nicole était comblée : Cette petite chienne était vraiment vicieuse et dévergondée jusqu’à la moelle. Elle était assise à table sans culotte, et elle attendait docilement de se faire baiser jusqu’à en perdre raison par les trois trous.
Elles allaient la prendre comme une chienne et rien que l’idée la faisait saliver à l’avance. Elle remercierait Betsy plus tard pour son cadeau, et peut-être qu’elle pourrait la baiser aussi ? Elle avait un corps parfait. Nicole lui fit un clin d’œil.

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  • : "Histoires érotiques de soumission féminine" est le blog des histoires érotiques de soumission de jeunes filles et jeunes femmes (éducation anglaise, dressage, punition, fessées, BDSM, etc)par des hommes ou des femmes dominatrices, écrites par Alexis, administrateur de ce blog. Ce blog se veut aussi le reflet de ses goûts en matière d'érotisme (récits d'autres auteurs, photos, dessins,etc).
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