Allie et Nicole, par Annie The Slick

Lundi 15 décembre 1 15 /12 /Déc 21:27

Le mariage 2

L’église était pleine de monde.

Les invitées formèrent une sorte de haie d’honneur lorsque les deux familles arrivèrent.

Caricature d’un jeune marié, Tawnee fut la première à entrer. Elle était resplendissante dans un smoking noir, parfaitement taillé, dont la coupe épousait flatteusement ses formes. Un magnifique collier de perles noires complétait la mise, remplaçant avantageusement le trop conventionnel "nœud papillon".

Peu à peu, le brouhaha s’estompa et l’orgue entonna un hymne. Toutes les têtes se tournèrent et la mariée fit son apparition.

Le silence se fit total et l’on aurait presque pu entendre les respirations se suspendre lorsque Lauren fit son entrée. Une immense sensation de puissance l’envahit en remarquant les regards envieux qui la dévisageaient. Aucune d’entre elles n’approchaient de près ou de loin sa beauté sculpturale.

Elle resta immobile un moment profitant de cette sensation nouvelle, de la magie de cet instant.

Puis elle s’avança, majestueuse, en direction de sa "future femme". Son cœur était en morceaux. Allie et elle étaient prisonnières de sa diabolique belle-mère et elle ne voyait aucune solution pour échapper à ce piège odieux.

Alors qu’elle progressait le long d’allée jonchée de pétales, l’image qu’elle renvoyait aux invitées passa de l’admiration à la convoitise. Tout le monde savait le vice et la perversion qui se dissimulaient, derrière cette mise en scène grandiose.

Les regards lubriques perforèrent son âme aussi efficacement que des couteaux aiguisés.

Dans un état-second, elle continua à progresser au rythme des notes nuptiales qui résonnaient dans l’église. Tel un zombie, elle se concentra sur ses pas, veillant à ne pas trébucher sur ses hauts talons. Elle se força à avancer au travers de toute cette hypocrisie, espérant malgré tout que cette mascarade aurait une fin heureuse.

Alors qu’elle approchait de la chaire, Alex se leva et s’empara de sa main. Au même moment, la musique s’interrompit et celle-ci en profita pour lui glisser à l’oreille :

— Souviens-toi d’Allie.

Le ton glacial, lourd de promesses, fit frissonner Lauren.

Le prêtre, une femme, s’avança.

— Qui mène cette jeune fille à l’autel? Demanda-t-elle.

— Moi. Répondit Alex d’une voix redevenue chaleureuse.

Et, d’autorité, elle plaça la main de la mariée dans celle de Tawnee avant de s’asseoir.

De plus en plus atterrée, Lauren se laissa guider et escalada les quelques marches qui lui permettraient de se tenir auprès de Tawnee pour cette cérémonie exécrable. Un murmure courut dans l’assemblée. Un rayon de soleil avait percé les vitraux, révelant l’indécence de sa robe dont la transparence était apparue aux yeux de tout le monde. Pour les invitées se tenant aux premiers rangs, son corps appraissait dans toute sa nudité.

Les courbes magnifiques de son corps, ses petits seins dont les tétons pointaient outrageusement, ses jambes admirablement galbées et les fossettes adorables de ses petites fesses n’avaient plus de secret pour personne. Certaines d’entre elles, aux extrémités de la nef, eurent même une vision fugitive de son pubis glabre.

Le seul morceau de tissu qui ne s’effaça pas complètement dans la clarté fut son voile. Tawnee, dans son smoking coupé à la perfection, allait épouser une jeune femme quasiment nue. Nombre des invitées ressentirent une humidité caractéristique éclore entre leurs jambes et les imaginations s’échauffèrent.

Enfin, le silence retomba, uniquement troublé par les cliquettements du photographe.

Et la cérémonie se déroula de façon aussi conventionnelle que tous les mariages. Lectures et discours se succédèrent au cours d’un service en tout point identique à celui que la morale chrétienne préconisait. Durant toute la cérémonie, Lauren se tint aux côtés de Tawnee, inconsciente de sa nudité à peine voilée. Elle participa tant bien que mal, ne cessant de penser à Allie.

Enfin, la religieuse murmura :

— Il est temps d’échanger les bagues.

Tawnee sortit une petite boîte de sa poche. Elle l’ouvrit et en tendit une à Lauren. Elles étaient identiques : Un énorme diamant au centre et plusieurs petits répartis tout autour. Incapable de réprimer un sourire de triomphe, Tawnee tendit son doigt. Lauren tremblait tellement que la religieuse dut l’aider à passer la bague autour de l’annulaire offert.

— Lauren, répétez après moi s’il vous plaît. Moi, Lauren Jacobs…

— M… Moi Lauren Jacobs… Bredouilla-t-elle en reprenant les paroles de la religieuse.

— Déclare prendre pour épouse Tawnee Cantrell…

— Dé… Déclare prendre pour é… épouse… Tawnee… Cantrell.

Elle la regarda à travers son voile. Tout cela ne pouvait être qu’un rêve, un cauchemar. Les paroles de la religieuse lui parvenaient à travers un brouillard qui semblait s’épaissir.

— Tout ce que je suis et tout ce que j’ai t’appartiens… Tout !?

— À compter d’aujourd’hui, je t… t’appartiendrai et te serai ent… entièrement dévouée, je t… te chérirai entre t… toutes et te resterai fidèle pour le m… meilleur et pour le p… pire. Pour le meilleur et pour le pire ?!

La religieuse sourit et se tourna vers Tawnee. A son tour, celle-ci passa sa bague autour de l’annulaire de Lauren.

— Tawnee, à votre tour de répéter après moi.

— Moi, Tawnee Cantrell, déclare prendre Lauren Jacobs pour épouse. Son sourire s’était transformé en une grimace de satisfaction diabolique.

— À compter d’aujourd’hui, j’accepte ton obéissance, ta dévotion, ta soumission et ta fidélité. Lauren eut l’impression que son cœur allait s’arrêter. Je promets de te guider et de diriger ta vie pour le meilleur et pour le pire.

— Au nom du seigneur et avec tout le pouvoir dont m’a investie le grand état de New-york, je vous déclare épouse et femme ! Annonça triomphalement la prêtresse.

— Vous pouvez vous embrasser.

Tawnee l’enlaça fermement et l’embrassa langoureusement. Puis elle la fit tourner sur elle-même, face à l’audience. Les "vivas" et les applaudissements fusèrent tandis que la main de Tawnee glissait contre le bas de la robe de Lauren.

— J’ai le plaisir de vous présenter à tous et pour la première fois, Mesdames Tawnee Cantrell !!!

Sur ces mots, Tawnee entraîna son épouse à travers l’allée centrale et toutes deux sortirent de l’église.

****

Les portes de la limousine se refermèrent et la grosse voiture s’éloigna tandis que le bras de Tawnee s’agitait par la fenêtre. Quelques secondes plus tard, elle se jeta sur sa jeune épouse. Celle-ci se débattit avec l’énergie du désespoir. Elle connaissait l’enjeu de ce combat : Sa virginité.
Lauren se réfugia au fond de son siège, mais Tawnee, qui l’avait attrapée par le poignet, la contraignit à se rapprocher et s’empara du bas de sa robe qu’elle remonta sans ménagement sur ses cuisses.

— Tawnee, je t’en supplie, est-ce qu’on ne peut pas en parler avant ?

— Bien sûr ma chérie, tu veux savoir comment je vais te baiser ? Demanda-t-elle avec un sourire vicieux en lui laissant un peu de répit.

Elle s’agenouilla devant la banquette et dégrafa la braguette de son pantalon de smoking pour en extraire un membre factice noir. Lauren regarda avec frayeur l’engin menaçant qui mesurait près de vingt centimètres de long et semblait impatient de pénétrer son sexe tendre.
Folle de terreur, Lauren remuait sa tête convulsivement de droite à gauche.

— Tu veux peut-être lui demander d’être charitable avec toi. Peut-être qu’en étant bien gentille, tu réussiras à l’amadouer, tu ne crois pas ?

Et elle éclata de rire avant de se jeter à nouveau sur Lauren, tentant de la clouer contre le dossier du fauteuil. La jeune fille se défendit avec toute son énergie mais elle se retrouva bientôt coincée entre le fauteuil et la porte, les jambes largement écartées de part et d’autre du corps de sa "femme". Elle tenta de la frapper mais l’autre n’eut qu’à forcer un peu pour lui immobiliser les poignets.

Au comble du désespoir, Lauren dut reconnaître une nouvelle fois sa défaite. Le gland du sexe en caoutchouc butait contre son pubis, cherchant l’entrée de son sexe sans défense. Les coups de reins de Tawnee se succédaient, envoyant la tête du godemiché entre les fesses, puis à l’entrée du vagin, mais chaque fois Lauren se cabrait, s’écartant de la menace autant que possible.

Elle lutta jusqu’à ce que, finalement, Tawnee trouve le moyen de la bloquer en maintenant ses poignets d’une main et écartelant ses cuisses à l’aide des siennes. De sa main libre, elle guida l’horrible objet à l’entrée de son sexe où elle l’immobilisa, menaçant.

Impuissante, Lauren cessa de lutter et regarda Tawnee dans les yeux.

— S’il te plait Tawnee, je t’en supplie, ne me fais pas mal !

Elle avait perdu tout espoir d’échapper à son destin et elle n’avait plus qu’une idée : Ne pas être maltraitée.

— Tu veux que je sois douce ? Je t’ai sodomisée au moins une douzaine de fois sans prendre aucune précaution et tu sais que je peux faire ce que je veux de toi. Pourquoi devrais-je être douce maintenant ?

— Parce que je serai une bonne épouse et que je te donnerai du plaisir en échange.

— Oh mais tu m’en donneras de toute façon, non ? Tawnee réfléchit un instant. Dans ce cas, prouve-le. Je veux que tu prennes ma bite entre tes mains et que tu la guides toi-même à l’intérieur de ton vagin.

Elle relâcha les poignets de sa victime, mais continua à s’appuyer contre ses cuisses.

Docilement, la jeune fille tendit ses mains et toucha le monstre qui patientait contre l’entrée de son sexe. Il semblait énorme. Elle baissa les yeux. Quelles sensations allait-elle ressentir à l’intérieur de son petit sexe ? Est-ce que ça serait les mêmes que dans son anus ? Il était si gros. L’appréhension lui fit mordre ses lèvres.

— Recule un peu s’il te plait. Demanda-t-elle finalement en attrapant l’engin entre ses doigts. Il à l’air tellement gros.

Tawnee relâcha quelque peu sa pression, dégageant un petit espace entre elles. Lauren avança légèrement son bassin et positionna le gland entre ses lèvres intimes.

— Vas-y doucement, je t’en supplie.

Tawnee se cambra un peu et la pointe du gadget s’écrasa légèrement contre les lèvres de son épouse.

— Vas-y tout doucement. Lauren ferma les yeux et renversa sa tête en arrière lorsque le godemiché de sa "femme" pénétra son vagin.

— Oooohhhh aaaahhh, oui attends… Oooohhhh doucement… aaahhh… ressort maintenant s’il te plaît.

Elle fit glisser ses mains contre le bas du dos de sa "femme" et tira sur la courroie qui ceignait sa taille pour la faire reculer. Mais à peine Tawnee s’était-elle retirée qu’elle avança à nouveau ses reins, enfonçant progressivement le godemiché sur près de trois centimètres.

Un nouvel aller-retour lui fit gagner quelques centimètres supplémentaires et Lauren sentit l’engin buter contre son hymen.

— Tu y est Tawnee… Lança-t-elle d’une voix précipitée. Je te sens contre mon hymen.

— Maintenant, je vais te dépuceler. Comme ça, tu seras définitivement à moi.

Et elle fit un nouvel aller-retour, appuyant plus fermement contre la fine membrane.

Lauren serra les dents et ferma les yeux. Tawnee accentua sa pression et le pucelage céda.

— AAAAAIE !!!

Le membre venait de passer la petite barrière et se frayait un chemin dans cette partie inviolée de son vagin.

— Aahhh oooohhhh, hhhmmmm !!!

Lauren n’avait pu retenir ses larmes. Tawnee s’était mise à la pilonner lentement, augmentant progressivement la profondeur de ses coups de reins à chaque poussée, maintenant un rythme lent et doux jusqu’à ce que la douleur que ressentait Lauren s’évanouisse.

— Ca va mieux maintenant ?

— Un peu.

La jeune épouse commençait à apprécier les sensations qui fusaient au fond de son vagin, c’était complètement différent de ce qu’elle avait ressenti avec son anus jusqu’à maintenant. Pourtant, ça lui paraissait bizarre d’être pénétrée de ce côté après avoir eu les fesses forcées pendant des semaines. Elle avait tellement été habituée à être sodomisée que c’était une sensation tout à fait nouvelle ; elle s surprit même à penser qu’il n’était pas impossible qu’elle y prenne plus de plaisir.

— J’ai une surprise pour toi. Déclara sa "femme" en commençant à accélérer ses mouvements.

— Hmmmm !!! Ah bon ? Répondit Lauren en agrippant les fesses étroites de Tawnee à travers le pantalon de smoking.

— Je peux jouir avec cette bite, tu vas voir.

Elle s’immobilisa quelques instants et fouilla dans sa poche pour en extraire quelque chose. Son sexe était enfoui au plus profond du vagin de Lauren. Elle tendit la main. Ça ressemblait à une poire en plastique de la taille d’une balle de tennis.

— Tu vois ça ? C’est plein de foutre, si je le presse, ça sort de ma bite comme si c’était une vraie.

Elle replaça l’étrange objet dans sa poche et recommença à pistonner son épouse. Choquée, la jeune fille ne savait plus quoi penser.

— Mais ce n’est pas du vrai… Je veux dire… Ce n’est pas du vrai sperme. Demanda-t-elle en posant ses mains sur les épaules musclées de sa "femme".

— Exact Lauren. On peut se procurer facilement du faux sperme, mais j’ai trouvé quelque chose de mieux.

Lauren sentit son estomac se transformer en yoyo.

— Qu’est-ce que c’est alors ?

— Eh bien, il se trouve que mon père avait fait un don de sperme avant de mourir. Je me le suis procuré et j’ai rempli la poire avec. Ce que je vais t’injecter lorsque je jouirai, c’est le sperme de mon père. Je vais te féconder avec une semence la plus proche possible de la mienne.

Les yeux de Lauren s’agrandirent comme des soucoupes. Elle n’en croyait pas ses oreilles

— Non Tawnee, tu ne peux pas faire ça ! Ça n’était pas prévu. Nous avions un marché !!!

— Comment ça ! Tu es ma femme. Je peux te baiser à chaque fois que je le désire. Et qu’est-ce que tu t’imagines que "consommer une union" veut dire ? Uniquement baiser avec un sexe factice ?

Et elle accéléra la cadence, défonçant un peu plus l’entrecuisse de son épouse.

— Consommer une union veut dire éjaculer, et pour être officiel, ça doit être REEL. J’ai bien l’intention de consommer notre union avant d’arriver à la réception. Je veux que tu gardes mon éjaculation au fond de toi pendant toute la durée du dîner. Je veux que tu le sentes au fond de toi, que ça te rappelle constamment que je suis ta femme, ta Maîtresse et aussi ton mari, oui, ton MARI. Tu m’appartiens et tu dois faire tout ce que je souhaite.

Ses coups de reins s’intensifièrent au point que Lauren heurtait brutalement le dossier à chaque aller-retour.
Les larmes coulaient de plus belle sur le beau visage de la jeune épouse. Tawnee avait laissé libre cours à toute la brutalité qui la caractérisait, et son pilonnage menait Lauren à l’orgasme contre sa volonté. Elle tenta de combattre la vague de plaisir qui montait au fond de son ventre mais rien n’y fit et elle sentit son orgasme menacer d’éclater.
Alors Tawnee l’écrasa contre le dossier et s’immobilisa.

— Es-tu prête petite chienne ?

Elle la maintenait fermement et son sexe restait bloqué au fond de son vagin. Son pantalon de smoking noir était appuyé contre l’entrejambe dénudé de Lauren qui était relié au sien par le godemiché.

— Maintenant, je jouis.

Elle avait attrapé la poire en caoutchouc et, la tenant à quelques centimètres des yeux de son épouse, elle la pressa d’un seul geste.
Lauren sentit le sperme gicler au fond de son vagin.
Tawnee poussa un gémissement au moment où la semence de son père jaillit dans le ventre de sa victime. Au même moment, un mini-orgasme la traversa. L’idée de féconder Lauren ainsi avait suffi à la faire jouir.

Elle resta enfouie entre les cuisses de sa victime pendant qu’elle achevait de vider la poire. Incapable de se contenir, Lauren sentit son orgasme lui échapper au moment ou l’odieux liquide giclait au fond de son ventre. Malgré tous ses efforts pour se contenir, elle frissonna et laissa échapper un petit gémissement et attrapa les fesses de sa "femme" pour faire pénétrer le godemiché encore plus profondément.

— Hmmmm… Gémit Lauren dans une dernière tentative pour réfréner l’orgasme qui menaçait de la ravajer. MMMmmm… OOOOHHH ! AAAAHHHHHHH !!!

Elle tenta de mordre ses lèvres pour le contenir, mais c’était insuffisant. Le plaisir la submergea, achevant ainsi de consommer son union avec Tawnee. Le jet de sperme qui résidait maintenant au fond de son vagin la fit jouir d’autant plus fort qu’il la dégoutait.
Tawnee s’appliqua à la repousser fermement au fond du siège. Son sexe, toujours enfoui, elle procédait par petits coups de reins, heurtant le fond du vagin par petites pressions successives, prolongeant et amplifiant l’orgasme de son épouse.

— Oui ma petite chienne, jouis bien. Tu as aimé que je te baise pendant qu’on se rendait à la réception.

Lauren jouissait toujours lorsque la limousine s’engageait sur le chemin qui menait à la maison. Tawnee appliqua quelques dernières secousses puissantes à son godemiché et se retira, abandonnant son épouse tremblante et choquée par son orgasme. Elle sortit un mouchoir blanc de son smoking et s’en servit pour nettoyer les traces de sperme et de sang qui souillaient son sexe factice. Puis elle le tendit à bout de bras, en présentant les traces à Lauren, et se rajusta. Elle referma sa braguette sur son sexe comme s’il faisait partie intégrale de son corps.

— Tu ferais bien de t’essuyer un peu avant qu’on soit arrivées.

Sans y réfléchir, Lauren saisit le mouchoir souillé que l’autre lui tendait. Elle restait étendue sur le siège, sans forces, les jambes grandes ouvertes et le sexe offert. Un mélange glaireux nettement teinté de rouge en coulait et se répandait tout doucement sur le cuir de la banquette. Encore groggy de l’orgasme dévastateur qu’elle venait d’éprouver, elle ne parvenait pas à réfréner les tremblements qui la parcouraient.

Elle avait perdu sa virginité. Tawnee avait fait d’elle une femme. Tawnee… Sa femme… sa Maîtresse… Son mari…

— Dépêche-toi de te couvrir, ma chère épouse. Nous sommes arrivées et je ne voudrais pas que tu me fasses honte.

La porte de la limousine s’ouvrit et Lauren s’empressa de rabattre sa robe sur ses cuisses pour masquer son impudeur.

Elle était à mi-chemin entre la voiture et le comité d’accueil lorsqu’elle réalisa qu’elle tenait encore le mouchoir souillé de sang et de sperme à la main.

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Allie et Nicole, par Annie The Slick - Communauté : Soumissions féminines
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Dimanche 14 décembre 7 14 /12 /Déc 21:25

Chapitre 32: Le mariage.

 

C’était le jour des noces.

Coquette savait que, ce jour, elle devait fournir un service extra spécial à sa Maîtresse. À 5h30 elle pénétra silencieusement dans la chambre afin de pouvoir tout préparer. Dès que le bain fut prêt, elle se débarrassa de son uniforme de soubrette et s’agenouilla devant le lit.

—  Mademoiselle Lauren, c’est l’heure, c’est le jour de vos noces.

Lauren pivota et se retourna, dos à sa bonne. Coquette était habituée depuis longtemps à ce comportement, cela faisait maintenant des mois que ce cérémonial se répétait, presque depuis que Maîtresse Alex l’avait affectée au service de Mademoiselle.

Avec précaution, elle souleva les couvertures et se glissa sous le drap, contre le corps de Lauren. C’était la raison pour laquelle elle s’était présentée d’aussi bonne heure, elle voulait prendre son temps pour profiter une dernière fois du corps de l’adolescente. Le lendemain serait différent, la jeune fille appartiendrait à Tawnee et Coquette n’était pas sûre que ses services seraient toujours requis.

Elle se plaqua contre le dos de l’adolescente et murmura :

— Qu’est-ce que Mademoiselle désire que je lui fasse ce matin ?

— Tu sais très bien ce que je veux… Lèche-moi aussi bien qu’Allie, j’ai encore envie de rêver d’elle.

Coquette sourit, Après qu’elle et Allie avaient passé quelques moments ensemble, plus tôt dans la semaine, Lauren faisait une fixation sur ses fesses. Depuis ce moment, la soubrette avait léché plus d’anus que de chattes. Elle rampa sous les couvertures et se faufila vers les parties intimes de l’adolescente.

Lauren poussa un soupir en se concentrant sur son imaginaire. Son sang se mit à bouillonner lorsque la langue de sa femme de chambre se mit à explorer son anus.

****

Après sa douche, Coquette accompagna sa petite Maîtresse, entièrement nue, jusqu’à sa chambre. Elle la fit mettre au centre de la pièce et alla chercher ses vêtements. Lauren attendit sans bouger.

Pour commencer, elle s’agenouilla à ses pieds et lui enfila religieusement une paire de bas en soie. Elle les fit délicatement rouler le long des jambes, appréciant autant que sa Maitresse la sensation grisante sur les jambes admirablement galbées.

Puis, elle ouvrit la penderie pour rapporter la robe de mariage qui brillait comme une perle dans le clair-obscur de la pièce et semblait si légère qu’on aurait dit qu’elle était faite de fils d’araignée. La domestique la tint à bout de bras devant l’adolescente.

— Vous serez rayonnante dans cette merveille.

Et elle aida la future mariée à l’enfiler.

C’était un travail délicat, la robe avait une découpe très particulière destinée à mettre en valeur les formes de Lauren. Elle épousait au plus juste les courbes de la jeune fille et révélait impitoyablement celles-ci par endroits. Les hanches et la taille étaient très étroites, et un dos nu sculptural, en forme d’ovale, descendait jusqu’à la naissance des fesses entre lesquelles il plongeait en pointe. Le devant s’appliquait contre son buste comme une seconde peau, épousant à la perfection la forme de ses petits seins parfaits dont même les tétons déformaient le tissu.

À croire que le vêtement était en fait une peinture.

Coquette ne put résister et saisit une des pointes de seins à travers le tissu.

Elle s’agenouilla à nouveau et aida la fiancée de Tawnee à chausser ses escarpins en cuir blancs, ne se privant de caresser ses jambes au passage. Grisée, elle laissa ses mains glisser délicatement en remontant jusqu’à la lisière des bas. Lauren se mit à respirer plus fort.

Ses doigts serpentèrent sur l’intérieur d’une cuisse et entrèrent en contact avec les lèvres intimes dont l’humidité trahissait l’excitation de l’adolescente.

— Est-ce que Mademoiselle souhaite quelque chose d’autre ?

Le bout de son doigt glissa doucement à l’entrée de la conque ruisselante, faisant délicatement sa place en écartant les parois moites qui gardaient l’entrée.

— Ouiiii !

Coquette poussa un peu et enfonça son index jusqu’à la deuxième phalange avant de le retirer rapidement.

Encore plus ?

— Oh ouiii ! Bon sang Coquette oui !

La soubrette introduisit alors entièrement son doigt et l’agita doucement, au rythme des gémissements de l’adolescente.

— Mademoiselle coule comme une fontaine.

Elle ressortit son doigt et le joignit à son majeur avant de les faire pénétrer tous deux en amorçant un mouvement de va-et-vient. Elle les introduisit à fond, resta immobile quelques secondes et les ressortit le plus lentement possible, se délectant des contractions vaginales de Lauren. Puis elle s’interrompit, poussant la frustration et l’impatience de la jeune fille à leur comble.

— Je suis désolée Mademoiselle, mais je dois y aller.

Et elle rabattit le voile sur l’adolescente tandis que celle-ci frottait ses cuisses l’une contre l’autre pour tenter d’apaiser son excitation. Puis elle se releva et admira le tableau. Elle avait devant elle une composition artistique pouvant rivaliser avec n’importe quelle statue de la renaissance. Un Boticelli enveloppé dans une dentelle de perles blanches.

— Mon dieu ! Mademoiselle Lauren. Dit-elle, les mains sur les joues. Vous êtes la plus belle jeune fille que j’ai jamais vue.

Submergée par l’émotion, elle se pencha une dernière fois sur elle et l’enlaça, tentant de refreiner les pulsions qui l’envahissaient à la vue de cette beauté stupéfiante.

— Il faut que j’y aille. Ne tardez pas, votre mère vous attend avec impatience.

Et elle sortit de la pièce précipitamment.

****

Lauren descendit l’escalier avec une grâce majestueuse. Une princesse en blanc. Chaque pas qu’elle faisait semblait soigneusement étudié, comme s’il avait été répété un nombre de fois incalculable. À croire qu’elle était née pour ça, cette comédie grotesque.

Elle jouait son rôle à la perfection ; ne cessant de se répéter la promesse d’Allie. Elle serait libre à la fin de la réception. Seules, ces pensées lui permettaient de rester lucide. Seul l’espoir de cette rédemption tant attendue lui permettait de tenir sans s’effondrer en larmes.

Après avoir franchi la moitié de l’escalier, Lauren constata qu’Alex et le personnel de maison au grand complet l’attendaient dans l’entrée. Elle ressemblait à un ange, sa robe épousait son corps à la perfection, en chassant sa beauté dans une dentelle aussi fine que la meilleure des porcelaines. La coupe du voile qui masquait ses traits s’arrêtait juste au-dessus de sa poitrine.

Les femmes rassemblées à ses pieds furent subjuguées par sa présence. Même la présence forte d’Alex fut estompée par cette apparition majestueuse.

Au fur et à mesure qu’elle approchait, l’apparition changea. C’était comme si Lauren venait de traverser une nappe de brouillard, son image se précisa et les contours de la robe se détaillèrent.

Le vêtement était une sorte d’œuvre géniale, paraissant inaccessible tant qu’elle était éloignée. Tandis que Lauren s’approchait, la robe sembla disparaître. La dentelle révéla toute sa transparence, ne cachant rien, attirant les regards, incitant les imaginations à envisager des choses, de vilaines choses, des choses moites et merveilleuses, dessinant des scènes sexuelles sur le corps de la future fiancée. La lumière la mettait en valeur, révélant sa peau aussi bien que si elle avait été nue, un téton par ici, la chair presque imberbe de son abricot par là. Sa nudité totale aurait été moins indécente.

Lorsque Lauren arriva au niveau du groupe qui la dévorait des yeux, personne ne bougea, comme si elles étaient toutes dévorées par les fantasmes qui proliféraient dans leur esprit.

 L’adolescente était devenue une déesse de la sexualité destinée à satisfaire tous leurs souhaits.

Enfin, Alex rompit le silence ; Mon dieu, je vais doubler le salaire de cette couturière. Se dit-elle.

— Approchez là par ici ! Ordonna-t-elle.

Elle aurait voulu profiter un peu plus longtemps de ce moment merveilleux mais le temps pressait.

Miranda attrapa Lauren par le bras. Coquette semblait désemparée, mais un regard d’Alex suffit à la ramener à la raison et elle s’empara de l’autre bras. Au même moment, Lauren sembla revenir à la réalité et commença à se débattre entre les mains des deux soubrettes.

— Non, BON SANG NON !

Elle se tourna vers sa femme de chambre.

— Coquette arrête ça ! Pas toi ! Stop, s’il te plaît.

Les larmes aux yeux, Coquette remua négativement la tête et joignit son effort à celui de Miranda pour entrainer la jeune fille dans le salon. Susan ôta le pantalon d’Alex et celle-ci prit place dans un confortable fauteuil en cuir.

— Amenez-moi cette petite salope ici.

Et elle écarta largement les cuisses, enjambant les accoudoirs.

— Et faites très attention à ne pas abimer cette superbe robe de collection, les filles…

Coquette et Miranda poussèrent Lauren en avant et la firent agenouiller entre les jambes écartées.

— Jusqu’à aujourd’hui, jeune fille, je me suis retenue de me servir de toi parce que je pensais qu’il aurait été inconvenant d’avoir ce genre de relation entre une mère et sa fille. Elle sourit diaboliquement. Mais maintenant que ce mariage va transférer ton appartenance à Tawnee, je pense que tu me dois bien ça.

Elle fit un geste aux deux servantes qui aussitôt soulevèrent le voile et abaissèrent le visage de Lauren sur l’entrecuisse de leur Maîtresse.

— Mon dieu, Lauren, je rêve de ce moment depuis la mort de ton père. Déclara Alex lorsque les lèvres de l’adolescente entrèrent en contact avec son sexe.

Lauren n’esquissa pas le moindre geste et garda ses lèvres étroitement closes.

— Allez, jeune fille, au travail. Je ne voudrais pas avoir besoin de te fouetter le jour de ton mariage. Et puis ça serait un vrai casse-tête de le faire sans abimer ta merveilleuse robe.

Lauren nia de la tête.

— Très bien ! Grimaça Alex sur un ton glacial. Susan, veux-tu relever sa robe en faisant attention de ne pas l’abimer. Si elle veut se marier avec les fesses marquées, libre à elle. Cela prouvera seulement qu’elle n’est qu’une petite traînée désobéissante et que sa future épouse devra être sévère avec elle. Tout ceci n’est que la vérité d’ailleurs, non ?

Lauren sentit qu’on soulevait sa robe, un courant d’air frais caressa ses fesses, la faisant frissonner. Susan s’approcha d’elle, munie d’une longue cane en bois qu’elle promena lentement sur les fesses offertes à sa convoitise.

— Je te donne une dernière chance ma chérie. Comprends bien que les traces seront visibles par tout le monde pendant la cérémonie et, de toute façon, tu me rendras hommage. Que ce soit avant ou après avoir reçu cette correction ne dépend que de toi…

Obstinément, Lauren refusa à nouveau. Dans le mouvement, ses lèvres glissèrent contre le sexe de sa belle-mère. Avec un regard exaspéré, Alex leva sa main en direction de Susan, et celle-ci se prépara à abattre la canne lourdement sur le petit derrière sans défense. L’adolescente fit un immense effort pour ne pas laisser transparaitre sa peur. Avec une mimique de défi, elle se contenta de lever les yeux vers Alex dans lesquels brillait un éclat maléfique. Les lèvres pincées, les deux femmes se défièrent un instant.

— Trois ! Déclara Alex, la main toujours en l’air, sans quitter sa victime du regard.

La jeune fille grimaça mais son visage resta appuyé contre son pubis.

— Deux… Allez jeune fille, c’est absurde… Mais, finalement, j’adore ça.

Elle avança un peu son bassin, appuyant son sexe contre le visage de Lauren.

— Un…

Au moment où Alex allait abaisser sa main, les lèvres de l’adolescente s’écartèrent et sa langue pointa à l’extérieur de sa bouche. Le geste d’Alex s’interrompit et elle tendit sa paume en direction de Susan, lui signifiant d’attendre. L’autre s’immobilisa, le bras déjà armé.

— Ahhh ouiii, donne du plaisir à maman, c’est ce qu’elle veut.

Elle s’arqua un peu plus dans son fauteuil, s’installant plus confortablement, et appuya son sexe contre la bouche de Lauren, s’offrant avec délices à la langue qui s’activait mollement.

— Met-y plus d’enthousiasme ! Ordonna Susan en stimulant les fesses de la jeune fille avec l’extrémité de sa canne.

Lauren tenta d’oublier dans quelle situation elle se trouvait, essaya de s’imaginer que c’était Allie qu’elle léchait, et non pas sa belle-mère.

Coquette et Miranda maintenaient fermement son visage contre le sexe d’Alex et elle se mit au travail, mettant en pratique tout ce qu’elle avait appris en la matière.

Bientôt, sa belle-mère se mit à gémir en agitant son bassin et elle sentit plus qu’elle ne vit sa main s’emparer de sa nuque.

— BORDEL, ce que tu es bonne !

Et elle se mit à s’agiter furieusement contre la bouche qui lui mangeait le sexe, frottant son sexe sans aucune délicatesse contre le nez de la future mariée.

— Hmmmm !!! Aaaahhhh ! Oui, mange-moi espèce de petite salope ! Hmmmm !!!!

Lauren se concentra sur sa tâche, mais les soubresauts de sa belle-mère rendaient la chose impossible. Plus elle approchait de l’orgasme, plus Alex frottait frénétiquement son sexe contre son visage.

— Ooooohhhh !!!! Je jouis, espèce de petite pute !

Et elle eut un orgasme d’une violence impressionnante. Lauren sentit ses sécrétions se répandre partout sur son visage.

— Ouiiiii ! Oh mon dieu !!!!

Les mouvements désordonnés d’Alex se calmèrent peu à peu et, pendant quelques instants, elle se contenta d’agiter doucement son sexe sur le visage de l’adolescente, n’en ignorant pas la moindre parcelle.

— Mon dieu, c’était génial.

Et elle relâcha la nuque de sa belle-fille.

Les deux servantes reculèrent la tête de Lauren, l’éloignant de l’entrecuisse de leur Maîtresse. L’adolescente toussa et chercha à reprendre sa respiration. Les sécrétions sexuelles d’Alex poissaient tout son visage.

— Oh ! Ma chérie, je suis désolée mais je crois bien que j’ai ruiné tout ton beau maquillage.

Elle se tourna alors vers Coquette.

— Arrange-ça, mais veille bien à ce qu’elle conserve toutes les traces de mon jus. Je veux qu’elle pense à moi lorsqu’elle jurera fidélité à sa nouvelle Maîtresse.

Elle baissa les yeux sur Lauren en souriant.

— Disons que c’est ton premier cadeau de mariage.

Coquette aida Lauren à se relever et fit ce qu’on lui avait ordonné. Elle ne savait pas quoi dire et se sentait coupable de trahir Lauren. Etait-elle tombée amoureuse ?

****

Lorsque Lauren fut prête, Lauren et Miranda la ramenèrent devant sa belle-mère.

La première chose que la jeune fille aperçut cette fille, nue, agenouillée entre les jambes d’Alex, dans la même position qu’elle occupait il y avait quelques instants. Ses poignets étaient liés à ses chevilles, dans son dos et la contraignaient à arquer son dos. Un capuchon masquait ses traits, mais Lauren sut immédiatement de qui il s’agissait ; elle était capable de reconnaître le corps de sa bien-aimée entre tous et n’importe où. C’était Allie

— Eh bien, je vois que je n’arriverai pas à te cacher l’identité de notre invitée.

Elle retira la capuche qui recouvrait la tête d’Allie et la future mariée put découvrir le baîllon-boule qui obstruait la bouche de son amour et l’empêchait de proférer le moindre mot. Celle-ci regarda autour d’elle, aperçut Lauren et remua la tête légèrement.

— Allie ! Lança Alex en tirant sur la chaîne qui pendait du collier que l’adolescente portait autour du cou. Ma chère Allie, savais-tu que ma fille est amoureuse toi ? Un sourire aux lèvres, elle avait scandé chacun de ses mots d’une nouvelle secousse sur la laisse.

Le sourire disparut.

— Ce sera sa perte.

Et elle poussa brusquement le buste d’Allie du bout de son escarpin. Celle-ci, incapable de maintenir son équilibre, bascula en arrière.

Dans le même temps, Alex se redressa et, maintenant toujours fermement la laisse, enjamba l’adolescente empêtrée dans ses liens. Elle se tint ainsi, un pied de chaque côté du corps de la pute qu’elle avait achetée et déclara

— Et sais-tu ce que j’ai ici Lauren ?

Elle pointa son doigt sur Allie.

Lauren fit non de la tête.

— Le meilleur moyen de m’assurer de ta pleine et entière coopération.

Elle recula d’un pas et souleva l’un de ses escarpins et en appuya la semelle sur le pubis imberbe de l’adolescente sans défense. Affichant un sourire diabolique, elle se servit de son talon pour heurter légèrement la chaire glabre, puis s’employa à en faire pénétrer le bout de sa chaussure entre les lèvres intimes de la jeune fille. Le cuir impeccablement verni s’enfonça de quelques centimètres.

— J… Je n… Je ne comprends pas. Répondit Lauren.

— Voyons ma chérie, tu sais que je suis une femme très décidée non ?

Elle parlait d’un ton très détaché en regardant sa victime qui gémissait silencieusement tandis qu’elle gagnait quelques centimètres en forçant l’entrée du vagin de l’adolescente.

Effrayée, Lauren ne put qu’acquiescer de la tête.

— Alors tu ne peux ignorer que ce marché, dont tu es l’enjeu, est l’affaire la plus importante que j’ai jamais entreprise.

Les larmes aux yeux, Lauren commençait à comprendre. Elle hocha la tête affirmativement.

— Si tu refuses de te marier… Son ton était redevenu menaçant.

Elle continuait à agiter doucement son pied en rythme entre les cuisses de l’adolescente. Incapable de se contenir, Allie sentit qu’elle commençait à mouiller. Au même moment, Alex recula son pied et, prenant un peu d’élan, heurta vicieusement l’entrecuisse offert. Allie se cabra dans ses liens en poussant un hurlement à moitié étouffé par la boule en plastique rouge.

Lauren eut l’impression que c’était elle qui venait de recevoir le coup de pied.

— Non, vous ne pouvez pas…

Les mots avaient du mal à franchir ses lèvres et elle ne produisit qu’un chuchotement en se rendant compte à quel point sa belle-mère pouvait être diabolique.

La pointe de l’escarpin s’était à nouveau introduite à l’entrée du vagin de l’adolescente.

— Si tu ne fais pas ce que j’attends de toi, si tu ne te maries pas avec Tawnee… Alors… Elle heurta plusieurs fois le sexe d’Allie, légèrement, avec la pointe de son talon cette fois ; comme si elle réfléchissait. Alors je devrais TUER cette petite pute…

Et elle réintroduisit sans ménagement le bout de son escarpin dans le vagin de l’adolescente, la faisant se cabrer une nouvelle fois, partagée entre la douleur et le plaisir honteux qu’elle en tirait.

— Non, non pas ça… Vous ne pouvez pas faire ça…

— Ne me contredis plus jamais espèce de petite traînée. Rouge de colère, Alex abandonna sa victime pour s’approcher de Lauren. J’ai consacré de longues années à ce projet et tu feras ce que je t’ordonne, ajouta-t-elle en pointant directement son index sur la dentelle qui recouvrait les seins de la jeune fille.

Lauren se mit à pleurer de plus belle.

— Tu sais que je suis très sérieuse. Tu vas t’acquitter de cette tâche sans faire le moindre faux-pas. J’espère que tu m’as bien comprise. Il ne s’agit pas de paroles en l’air…

Incapable de répondre, Lauren sanglotait sans discontinuer.

Alex s’adressa à Susan.

— Range cette pute à sa place, dans le coffre de ma Jag. Puis se retournant vers sa fille elle lança d’une voix qui ne souffrait aucune protestation. Il est temps que nous nous rendions à l’église.

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Allie et Nicole, par Annie The Slick - Communauté : Soumissions féminines
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Dimanche 14 décembre 7 14 /12 /Déc 21:21

Chapitre 31: Chocolat.

 

 

 

La veille du grand jour, Lauren s’était réveillée avec un espoir.

 

Elle réalisait maintenant qu’elle était très profondément amoureuse d’Allie et cela lui donnait du courage pour affronter cette parodie de cérémonie de mariage avec Tawnee. Même si Allie, elle-même, avait insisté pour qu’elle accepte cette cérémonie, il fallait quand même qu’elle soit honnête avec elle-même et qu’elle y mette un terme avant qu’il soit trop tard

 

Elle décida qu’il fallait qu’elle ait une conversation avec sa belle-mère pour essayer de la ramener à la raison.

 

Il fallait absolument la convaincre qu’il était impossible que ce mariage ridicule ait lieu.

 

************************************

 

— Fais-la entrer Susan !

 

Alex se tenait derrière son bureau, ajoutant quelques touches finales à la réception.
Suzan ouvrit la porte et fit entrer Lauren dans le bureau.

 

— Que veux-tu Lauren ? Tu as dû remarquer que j’étais très occupée non ? Ajouta-t-elle en regardant la jeune fille avec agacement.

 

— Je… Heu… Alex… Je… Bégaya Lauren.

 

— Ne me fais pas perdre mon temps, jeune fille !

 

— Je-ne-peux-pas-me-marier-demain-parce-que-j’aime-Allie et, bien, je ne peux pas… Lança-t-elle frénétiquement.

 

Alex reposa le document qu’elle tenait et se laissa aller contre le dossier de son fauteuil.

 

— Tu ne peux pas te marier… hmmm…

 

Elle s’appuya sur les accoudoirs et pianota du bout des ongles.

 

— Ne pas pouvoir se marier… Maintenant… Voilà quelque chose d’intéressant…

 

— Ca n’est pas possible, je suis amoureuse d’Allie et je n’aime pas Tawnee. Si vous me forcez à l’épouser, je me détesterai.

 

— Ah oui… Tu te détesteras… Alex resta immobile pendant une minute. Es-ce que tu es en train de me dire que tu es réellement amoureuse de cette petite pute d’Allie ?

 

— Elle ne se prostitue que parce qu’elle y est obligée, et OUI, je suis amoureuse d’elle.

 

— Très bien ! Répondit Alex avec un sourire énigmatique. C’est très intéressant, ma propre fille amoureuse d’une vulgaire pute. Oui vraiment très intéressant.

 

— Son sourire s’effaça et elle regarda Lauren droit dans les yeux.

 

— Nan-nan-nan, je suis désolée, mais la cérémonie ne peut plus être annulée. Et il est hors de question que ma propre fille se marie avec une PUTAIN de petite pute.

 

Elle se leva, fit le tour de son bureau et vint se tenir devant Lauren.

 

— TOI ! Dit-elle en pointant son index sur le front de l’adolescente. Tu es la clef d’une affaire que j’ai mis des années à faire aboutir. Je ne tolérerai pas qu’un caprice de gamine, basé sans aucun doute sur quelques talents "linguistiques" - elle eut un petit rire mortifiant - et un vulgaire godemiché puisse ruiner mes plans !

 

Elle contourna l’adolescente et se pencha dans son dos pour lui chuchoter dans l’oreille.

 

— Lorsque vous serez mariées, tu n’auras qu’à t’organiser avec ta femme pour que vous conserviez Allie avec vous comme jouet sexuel. Qui sait, peut-être que Tawnee prendra autant de plaisir avec elle que toi…

 

Lauren fit une dernière tentative :

 

— Je vous en prie…

 

— C’est hors de question ! Répondit Alex. Et maintenant ! Elle retourna à son bureau. Fous le camp d’ici !

 

Susan ouvrit la porte et Lauren quitta le bureau en pleurant silencieusement.
Lorsque l’adolescente fut sortie, Alex regarda Susan avec un grand sourire.

 

— Maintenant, je la tiens…

 

— Comment-ça Maitresse ?

 

— Appelle Nicole pour moi, j’ai un petit service à lui demander…

 

Son sourire se transforma en ricanement.

 

— Décidément, tu comprends vite, mais il faut t’expliquer longtemps ! Maintenant, j’ai un moyen de pression imparable. Cette petite gourde fera tout ce que je voudrais lorsque j’aurai sa précieuse Allie à ma merci.

 

************************************

 

Allie se retrouva une nouvelle fois devant la porte d’entrée du manoir des Jacob. Cette fois, elle ne portait pas le moindre vêtement. Elle se tenait, nue comme un ver et résignée devant la porte d’entrée. L’humiliation était de moins en moins cuisante.

 

La porte s’ouvrit sur Susan, mais elle ne la laissa pas entrer tout de suite. Elle la détailla des pieds à la tête, lui faisant baisser les yeux.

 

Allie resta immobile sur le seuil, se faisant l’effet d’une marchandise qu’on inspectait. Désespérée, elle conserva la tête inclinée sur sa petite poitrine qu’un frisson recouvrit de chair de poule.

 

— Tu peux entrer petite salope. Déclara finalement Susan.

 

Elle obéit avec un léger soulagement.

 

— Suis-moi.

 

Elles traversèrent le couloir de l’entrée et arrivèrent devant le bureau d’Alex.
Susan l’y fit pénétrer et lui ordonna de s’agenouiller au milieu de la pièce, face au bureau.

 

— Maîtresse Alex sera bientôt là. Souviens-toi bien que tu n’es qu’une esclave lorsqu’elle viendra te voir.

 

Et elle l’abandonna à son triste sort.
Allie dut patienter ce qui lui parut une éternité. Elle perdit le compte des minutes, mais il lui sembla que la porte ne s’ouvrit pas avant une bonne demi-heure.

 

Alex entra dans la pièce.

 

— Ah oui, j’oubliais. Voilà la pute.

 

Allie baissa la tête, se gardant bien de dire le moindre mot.
Prenant tout son temps, Alex se dirigea silencieusement vers son bureau. Au passage, elle flatta la tête de l’adolescente, comme on l’aurait fait pour un animal de compagnie.

 

— Alors c’est toi la putain qui fait tourner la tête de ma belle-fille ! Déclara-t-elle en s’asseillant derrière son bureau.

 

Dans sa position, l’adolescente n’apercevait qu’à peine le haut de la console.

 

— Je me demande bien ce que je vais pouvoir faire de toi…

 

Et elle s’empara de son téléphone et composa un numéro.

 

— Elizabeth ! C’est Alex… Oui oui, je suis très heureuse que tout ça se termine enfin… Oui, Tawnee va se régaler avec elle, mais elle en a déjà eu un petit aperçu non ?

 

— Ecoute, je pense que j’ai trouvé une solution à mes petits tracas et je me demandais si tu accepterai de me rendre un petit service.

 

— Excellent… Tu te souviens de cette petite pute lesbienne ? Allie… Oui, et bien tu ne me croiras jamais mais ma petite salope de belle-fille est tombée amoureuse de cette gourgandine.

 

À ces mots, Allie leva la tête… Lauren était amoureuse d’elle. Il y avait au moins une personne dans ce monde qui la voyait autrement que comme une simple langue ou une vulgaire chatte.

 

— Je suis de ton avis, c’est complètement ridicule.

 

Alex continua à ricaner avec sa correspondante, se moquant des deux adolescentes. De temps en temps, elle jetait des coups d’œils à Allie qui se s’empressait de regarder la moquette sous ses genoux.

 

— Alors figure-toi que je l’ai louée pour plusieurs jours. Oui je ne sais pas encore combien. À Nicole… Oui c’est ça.

 

— Et bien je me disais qu’au lieu d’utiliser toutes ces filles que tu as prévues pour la répétition, on pourrait remplacer l’une d’entre elles par la pute…

 

— Parfait ! Je te la ferai parvenir avec Susan très bientôt… On se voit tout à l’heure.

 

Elle raccrocha.

 

— Hmmm, ça va être très amusant… Pas pour toi bien sûr, mais en ce qui me concerne, ça va être très, TRES agréable. Annonça-t-elle en affichant un de ses sourires diaboliques.

 

************************************

 

Allie fut abandonnée par terre, au milieu de la cuisine, complètement immobilisée par ses liens. Trois autres filles furent amenées et abandonnées près d’elle, dans la même position. Elles étaient toutes trois nues, sur le ventre, pieds et poings liés et bâillonnées. De simples ingrédients pour le diner, qu’on s’apprêtait, bien entendu, à garnir…

 

L’équipe de cuisine était très occupée à tout préparer. Il y avait trois plateformes en cours d’organisation. Une pour l’apéritif, une pour le plat principal et une pour le dessert. Bien entendu, Allie était destinée à celle du dessert.

 

Le chef était un homme impérieux dont le visage était orné par une moustache un peu alambiquée.

 

— Tout le monde est prêt ?

 

Allie tendit le cou et constata qu’il y avait trois groupes constitués chacun d’un responsable et de ses assistants qui se tenaient prêts.

 

— Parfait !

 

Il frappa trois fois dans ses mains.

 

— Alors c’est parti.

 

Brusquement, l’activité se mit à fourmiller et Allie grogna lorsqu’elle se sentit soulevée sans ménagement du sol par plusieurs paires de mains.
En moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, elle se retrouva attachée sur une chaise. Elle se trouvait sur un piédestal, les jambes largement écartées et les bras maintenus de manière à ce que ses mains soient positionnées comme si elle devait porter un plateau de nourriture. On lui laissa le bâillon-boule qui obstruait sa bouche tandis que l’équipe des desserts se mettait au travail.

 

Il était dix heures du matin et la répétition du diner n’aurait lieu qu’à sept heures du soir, alors que le diner débuterait vers onze heures. Elle allait devoir attendre un long moment.

 

La préparation commença avec un nettoyage minutieux, aussi bien à l’extérieur qu’à l’intérieur. On lui rasa le sexe avant de le frotter avec un savon légèrement alcoolisé. Puis on lui fit subir trois lavements et deux douches vaginales.

 

Une fois qu’elle fut propre comme un sou neuf, on lui enfonça un gadget anal qui avait pour but de la maintenir encore plus immobile qu’elle ne l’était sur le piedestal. Le godemiché, qui était fixé sur le sol, était prévu pour supporter son poids sans pour autant la dispenser des contractions musculaires intimes que sa position lui imposait. Bien que personne ne se soucie de la peine qu’elle endurait, il fut nécessaire de la maintenir aussi immobile que possible afin que les couches de chocolat ne se cassent pas.

 

Autant dire que la quantité de chocolat serait colossale.

 

Le châssis de la chaise était adapté à sa position et l’intégralité de son corps était immobilisée contre la structure métallique par de multiples courroies en plastique. Même ses doigts furent maintenus en place par de petits crochets métalliques, deux pour chaque doigt.

 

Une infirmière visita tour à tour chacune des filles que l’on préparait. Elle prit soin d’insérer un cathéter dans l’urètre de chacune d’entre elles. Les filles allaient devoir rester immobiles pendant neuf à treize heures. Toutes avaient un gadget en plastique enfilé dans l’anus, mais les empêcher d’avoir envie de faire pipi était une tâche plus ardue. L’expérience avait prouvé qu’il était plus sûr de maintenir leur vessie continuellement vide afin de s’assurer qu’elles ne risquaient pas de gâcher le repas à cause d’un jet d’urine incontrôlé et inattendu.

 

Elle leur administra également une piqure de calmant.

 

Rapidement, Allie perdit la notion des choses et flotta dans un brouillard euphorique et agréable. Elle ne soucia plus de ce qui allait lui arriver et se contenta d’observer les évènements comme si tout cela arrivait à quelqu’un d’autre qu’elle. Elle se sentait bien et plus rien ne l’inquiétait.

 

L’étape suivante de sa préparation concerna sa tête. Ses cheveux furent soigneusement réunis sur le haut de sa tête de façon à pouvoir être libérés une fois qu’elle aurait été garnie. Cela devait produire un effet saisissant. Ses oreilles furent bouchées et l’on inséra de petites pailles dans ses narines afin de lui permettre de respirer. Puis on ferma précautionneusement ses paupières à l’aide d’une colle organique et sans danger.

 

Cela l’obligea à garder les yeux fermés.

 

Elle était prête pour la première couche. Le responsable s’approcha pour superviser l’application. Il lui annonça qu’elle allait être entièrement recouverte d’un liquide chaud, que ça allait la brûler un peu mais qu’elle arriverait à le supporter et que cela ne lui occasionnerait pas de blessures durables.

 

Puis il lui expliqua qu’il s’agissait d’une substance qui ressemblait à du caramel chaud et qu’elle allait servir de base à la création.

 

Il s’empara d’un pulvérisateur à air comprimé et se mit à vaporiser l’adolescente. Il procéda d’abord par petits coups afin qu’elle s’habitue à la chaleur, puis s’appliqua à étaler sans discontinuer la substance brulante sur tout le devant de son corps. Brièvement, Allie ressentit une chaleur insoutenable à chaque endroit de l’application. Elle était incapable de faire le moindre mouvement et la brûlure fut encore pire lorsqu’elle atteignit son visage. Plongée dans le noir complet, elle se résigna à endurer son supplice.

 

Enfin, il enduisit les pointes de ses seins et son sexe. Aussitôt après, il ordonna à son équipe de prendre le relai. On appliqua alors des cubes de glaces sur ses tétons qui s’érigèrent aussitôt. Une fois satisfait, le responsable exigea qu’on la sèche rapidement et appliqua le caramel par petites touches sur ses pointes dressées, s’interrompant parfois pour qu’on les frotte à nouveau avec les glaçons, les emprisonnant, dures comme du bois, dans leur gangue de caramel figé. Les anneaux qui transperçaient ses tétons furent légèrement soulevés afin qu’ils restent accessibles pour les prochaines étapes.

 

Puis, ce fut le tour de son sexe auquel il consacra une attention toute particulière. À l’aide d’une petite brosse, il écarta ses petites et ses grandes lèvres le plus possible. Il travailla précautionneusement autour du cathéter, occasionnant des petites démangeaisons délicieuses au cœur de l’intimité de la jeune fille.

 

Dès que la première couche fut terminée, on plaça rapidement Allie dans une grande pièce froide pour faire durcir les substances qui recouvraient son corps.

 

Elle y resta enfermée pendant une quinzaine de minutes avant qu’on la repositionne pour la seconde couche. Celle-ci était plus épaisse et fut appliquée plus rapidement et Allie constata avec soulagement que la chaleur était plus supportable.

 

De nouveau, le responsable œuvra entre ses cuisses à l’aide de sa petite brosse.

 

L’adolescente n’était plus qu’un énorme coquillage durci, du bout des doigts jusqu’au sexe et du sexe jusqu’aux bouts de ses ongles de pieds.

 

On l’enferma une nouvelle fois dans la chambre forte où elle dut attendre pendant trente minutes.

 

Lorsqu’on l’en ressortit, midi était passé et il était temps d’appliquer les couches de chocolat. Le responsable se consacra entièrement à cette tâche. Il veillait à ce que l’épaisseur soit suffisamment importante tout en respectant avec beaucoup d’adresse les proportions du corps de l’adolescente afin de ne pas le dénaturer.

 

La couche qui fut appliquée sur son visage, ses seins et son sexe était plus fine, plus délicate afin que les formes de la jeune fille restent visibles. Celle qui enduisit ses bras et ses jambes fut plus généreuse et l’épaisseur de chocolat plus importante.

 

Elle reçut quatre couches de chocolat, avec un intervalle de 40 minutes dans la chambre froide entre chacune. Allie appréciait le refroidissement qui la soulageait de la chaleur intense provoquée par le chocolat liquide qui recouvrait son corps.

 

Enfin, elle fut recouverte d’une dernière couche. Par endroits l’épaisseur approchait les trois centimètres tandis qu’à d’autres elle était beaucoup plus fine. Particulièrement sur son visage et son sexe.

 

On distinguait sans problème le petit cadenas qui ornait son intimité, les anneaux qui transperçaient les pointes roides de ses seins et bien sûr le baîllon-boule qui obstruait sa bouche.

 

Il était cinq heures de l’après-midi et il restait encore beaucoup de travail à l’équipe. Allie fut replacée dans la chambre froide et l’on commença à la décorer. Il s’agissait d’une mixture de chocolat blanc et de teinture alimentaire rouge. Le mélange produisait un rose vif, qu’on appliqua artistiquement sur ses lèvres, les pointes de ses seins et son sexe afin de souligner leur délicatesse.

 

Lorsque les dernières retouches furent effectuées, on plaça des plateaux sur chacune de ses mains à l’intérieur desquels des petits caramels chocolat et autres petits récipients de sauces très appétissantes. Ses cheveux furent délicatement extraits de leur protection et coiffés par une styliste très compétente.

 

Pour finir, le responsable la rejoignit dans la chambre froide et, avec une adresse sans pareil, se servit d’un couteau pour découper le chocolat qui obstruait ses paupières. C’était un travail très délicat et, apparemment, il était le seul à pouvoir l’exécuter.

 

Il nettoya la colle qui maintenait ses yeux fermés et Allie recouvra la vue.

 

On lui présenta un miroir afin qu’elle puisse admirer l’œuvre dont elle était l’objet.

 

Elle découvrit une femme en chocolat, délicieusement provocante…

 

************************************

 

La répétition du diner était un évènement extraordinaire. C’était la soirée de l’année pour le cercle des amies auxquels les Cantrell et les Jacob appartenaient. La majorité de l’audience était constituée de femmes, mais il y avait aussi quelques hommes. Toutes et tous avaient revêtu leur plus belles parures pour l’occasion.

 

Tawnee portait une robe de soirée noire qui mettait en valeur sa superbe anatomie, jeune et musclée. Ses leçons de Kickboxing l’avaient façonné à la manière de celui d’une athlète. Elle pouvait revendiquer un corps de rêve, exempt du moindre gramme de graisse.

 

La robe moulante noire accentuait la forme parfaite de ses seins qui se dressaient effrontément en dépit de la gravité et dont les pointes déformaient le tissu. Le long fourreau, qui tombait sur ses chevilles, était fendu jusqu’à sa taille, révélant ses longues jambes admirablement galbées à chaque pas.

 

À son bras droit, couvert d’un long gant en chevreau noir, pendait une paire de menottes qui était reliée au bras gauche de sa promise, Lauren, lui-même couvert d’un gant identique mais blanc.

 

La jeune fille portait exactement les mêmes vêtements que Tawnee, mis à part leur couleur blanche. Pourtant, ses formes étaient quelque peu différentes de celles de sa fiancée. Là où celle-ci affichait des muscles fermes et fins, la peau de Lauren paraissait merveilleusement souple et moelleuse. Là ou les muscles des abdominaux évoquaient à une tablette de chocolat, le ventre plat de Lauren affichait une perfection idéale.

 

De même, si le visage de Tawnee affichait un sourire fier et orgueilleux, Lauren avait une mine découragée et son sourire n’était que tristesse et contrariété.

 

Elle accompagnait sa fiancée comme une ombre blanche, ne parlant que si on lui adressait la parole, ne prêtant attention qu’à celles qui l’exigeaient. Elle était proche du désespoir et seule la promesse d’évasion que lui avait faite Allie l’empêchait de craquer en plein milieu de cette réception cauchemardesque.

 

************************************

 

Le son d’un petit gong retentit, attirant l’attention des invités.
Susan annonça le début des festivités :

 

— Le chef Pelastrano a le plaisir de vous présenter : LA MER !!!

 

Aussitôt, l’équipe se précipita, roulant la table des apéritifs au milieu de la pièce.

 

Au centre de la table, trônait une sirène grandeur nature. Quatre gros hameçons d’une taille d’environ deux centimètres et demi chacun avaient récemment étés plantés dans ses seins nus.

 

Elle était immobilisée par des chaînes, comme si elle avait été capturée et puis ligotée sur le pont d’un chalutier.

 

Ses mains étaient retenues au-dessus de sa tête, liées à un gros anneau en métal.

 

Tout autour d’elle, une grande variété d’apéritifs de la mer attendait le bon-vouloir des convives.

 

Son corps était recouvert d’un nappage crémeux en guise de sauce pour les amuse-gueules.

 

Bien entendu, le bâillon boule qui obstruait sa bouche était indispensable pour que ses sanglots ne gâchent pas les réjouissances.

 

La plupart des invités se déployèrent autour de la délicieuse jeune fille pour se partager les hors-d’œuvre. Des mains commencèrent à s’attarder sur son corps sans défense, tandis que les commentaires encensant la présentation fusaient. Tout le monde attendait avec curiosité les plats suivants.

 

Les langues se délièrent et des boissons fraîches furent distribuées, assurant une ambiance chaleureuse jusqu’à l’annonce du diner. Les invités regagnèrent leurs places et l’apéritif fut rangé dans un coin de la pièce où on l’abandonna sans cérémonie contre un mur. Abandonnée à son triste sort, la pauvre fille, toujours immobilisée par ses chaînes, était maintenant complètement nue. Le nappage dont elle était couverte auparavant avait pratiquement disparu du bas de son corps. Certaines invitées avaient pris un malin plaisir à utiliser des instruments pointus et aiguisés par racler la sauce aux endroits les plus sensibles de la petite sirene malgré elle.

 

Dès que tout le monde fut assis, les lumières s’estompèrent lentement et le chef lui-même fit son entrée.

 

— Mesdames… Il parcourut l’assemblée du regard, … Et Messieurs. J’ai l’honneur de vous présenter le plat de résistance pour ce soir et j’espère que vous prendrez autant de plaisir à le déguster que j’en ai eu à le préparer. Et voici… WELLINGTON A LA FEMME !!!

 

Et sur ces mots, le plat de résistance fit son entrée dans la salle de réception. Il y fut accompagné d’un lourd silence, à peine troublé par quelques petits cris de stupéfaction.

 

La représentation d’une énorme rôtissoire était montée sur la table et une jeune fille, entièrement nue, y était embrochée.

 

Une broche métallique d’un diamètre de près de trois centimètres avait été enfoncée dans sa bouche et semblait traverser son corps de part en part pour ressortir par son anus. La victime gisait sur le dos au milieu des accompagnements d’où son ventre admirablement assaisonné dépassait. Ses poignets et ses chevilles, étroitement liés à l’armature supérieure de la rôtissoire, donnaient l’impression qu’elle était suspendue par les bras et les jambes, tandis que sa tête pendait en arrière, abandonnée. Un bandeau de tissu, sale et brulé, était étroitement attaché autour de ses yeux. Sa bouche était hermétiquement fermée sur la grosse barre qui la perforait comme l’aurait fait un monstrueux sexe noir en acier.

 

Le chef attendit que patiemment que l’effet de sa mise en scène arrive à son comble. Dans la foule, certains cris étaient proches de l’hystérie et il savait quelle était la limite qu’il ne fallait pas dépasser. Certaines des convives se léchaient les lèvres en envisageant la possibilité de déguster un peu de chair humaine, mais la plupart d’entre elles étaient horrifiées.

 

Un murmure alla en s’amplifiant, marquant la désapprobation des invités.

 

Lorsqu’il fut satisfait et qu’il estima avoir suffisamment éveillé la curiosité de son public, le chef ôta le panneau qui masquait la partie inférieure de la table à roulettes. Surprise, l’assemblée constata que le meuble n’abritait pas une fille, mais deux. Elles étaient positionnées de façon à ce que l’on ne voit que le buste de l’une et la moitié inférieure du corps de l’autre. Ainsi, l’illusion de l’orgie cannibale était parfaite.

 

Le silence de stupéfaction qui avait envahi la grande salle à manger fut aussitôt remplacé par un concert d’applaudissements et nombres de - « Bravo ! » « Magnifique ! » « Maestro ! » « Génial ! » - fusèrent d’un peu partout dans l’assemblée. Comblé par son succès, le chef s’inclina plusieurs fois devant les spectateurs.

 

Les deux filles étaient étroitement immobilisées sous la table. Un harnais était bouclé autour de la tête de celle dont les membres inférieurs étaient attachés à la rôtissoire. Le long sexe factice qui pointait à la hauteur de sa bouche était profondément enfoncé dans le sexe de celle qui présentait son buste à l’assemblée. La figure avait été exécutée depuis plusieurs heures et, pendant tout ce temps, elle avait eu de nombreux orgasmes. Le visage harnaché était couvert de sécrétions et d’urine car elle avait été incapable de contenir sa vessie.

 

Le chef Pelastrano frappa dans ses mains et l’équipe se mit au travail. Ils apportèrent deux autres tables garnies d’assiettes. On lui tendit un long couteau à découper et le bas de la table présentant les deux jeunes filles fut à nouveau masqué, redonnant l’illusion de véracité au tableau qu’elles formaient.

 

Il aiguisa cérémonieusement le couteau pendant que son équipe se préparait à servir le plat.

 

Puis il tendit le couteau à aiguiser à son sous-chef et s’empara de la fourchette que celui-ci lui tendait. Enfin, d’un geste théâtral, il se mit à découper la chair tendre de l’estomac offert devant lui, la déposant délicatement dans l’assiette qu’on lui tendait.

 

Laissant le couteau et la fourchette à son assistant, il apporta l’assiette à la table principale.

 

— Mademoiselle, j’espère que vous allez vous régaler.

 

Et il plaça élégamment l’assiette devant Lauren. Après le spectacle auquel elle venait d’assister, l’estomac de la future mariée était au bord de la révulsion et elle se dit qu’elle ne devait pas être la seule. Certaines invitées devaient s’imaginer qu’on leur servait vraiment de la chair humaine…

 

Il fit à nouveau face à l’assemblée et s’inclina une dernière fois en déclarant :

 

— Mesdames, messieurs, je vous souhaite bon appétit.

 

Et l’équipe s’activa. On aurait dit des abeilles autour d’une ruche. La viande fut découpée et les assiettes servies, tandis qu’un jus rouge, provenant de la viande, coulait sur la table comme s’il s’était agit de sang. Tous les invités se régalèrent, mis à part Lauren qui ne toucha pas à son assiette.

 

Pendant toute la durée du repas, elle dut synchroniser ses mouvements avec ceux de Tawnee. Les menottes les obligeaient à bouger leurs mains à l’unisson. Au comble du désespoir, Lauren se disait que cette soirée n’aurait pas pu être pire.

 

L’heure du dessert arriva

 

Les tables furent débarrassées et nettoyées, les verres remplis et le dessert fut annoncé.
On roula Allie jusqu’au milieu de la salle. Elle était entièrement figée sur son piédestal, une splendide statue en chocolat grandeur nature. Les jambes écartelées et chaque bras supportant un plateau couvert d’une grande variété de sauces différentes. La délicatesse du chocolat provoqua un murmure de contentement dans l’assemblée. La teinte rose de son sexe et de ses tétons sauta aux yeux des spectateurs. Les préparateurs avaient poussé leur sens du détail jusqu’à peindre couleur or le petit cadenas et les anneaux de ses seins pour les faire ressortir sur le chocolat.

 

Le chef Pelastrano revint à nouveau muni d’un marteau. Le murmure d’approbation tourna à l’ovation. Les invités se levèrent et l’applaudirent chaleureusement.

 

— Mesdames et messieurs. Ce dessert sera une petite entorse au déroulement de votre diner. Ce dessert requiert votre participation. Vous devrez venir vous servir vous-mêmes. Cette forme d’art nécessite que vous appréciez quelque chose de plus subtile que la simple délicatesse des morceaux de chocolat. Je vous laisse découvrir la magnifique surprise que vous réserve cette pièce.

 

Il se tourna face à Allie, brandit le marteau et l’abattit en plein centre de l’estomac de l’adolescente, morcelant le chocolat qui le recouvrait.

 

— Ca devrait être suffisant pour que vous puissiez commencer. Approchez-vous et passez un bon moment !

 

Et il fit demi-tour et quitta la pièce sous une nouvelle salve d’applaudissements.

 

Tous les invités se levèrent et s’approchèrent de la statue si appétissante. Lauren espérait pouvoir rester en retrait et ne pas participer, mais Tawnee ne lui laissa pas le choix.

 

Les deux futures mariées s’approchèrent de la table tandis que les invités leur faisaient une rangée d’honneur. Arrivée à proximité, Lauren eut un choc en reconnaissant les yeux d’Allie derrière le masque de chocolat.

 

Tawnee tendit la main, entrainant par la même occasion celle de Lauren, menottée à la sienne et pinça cruellement l’un des tétons entre le pouce et l’index. Sadiquement, elle serra en exerçant un mouvement de rotation, broyant la couche de chocolat qui le recouvrait. La douleur qu’elle lut dans les yeux de sa rivale qui roulaient dans leurs orbites lui occasionna un sourire vicieux. Rigoureusement immobilisée, Alllie fut incapable de faire le moindre mouvement et laissa échapper un petit gémissement pitoyable qui fut étouffé par son bâillon.

 

Pensant à l’amour que cette vulgaire prostituée avait fait naître dans le cœur de sa fiancée, un sentiment de jalousie l’étreignit furieusement. Quoi qu’elle fasse pour séduire cette petite pimbèche, elle eut la conviction de ne jamais obtenir autre chose qu’un pâle reflet de l’amour qu’elle portait à cette petite pute, même par la force. Elle détestait Allie pour cela. Elle réalisa qu’elle voulait vraiment posséder Lauren entièrement et que, tant qu’Allie serait au monde, elle ne serait jamais totalement à elle.

 

Il fallait qu’elle se débarrasse de cette petite pute.

 

Elle leva ses doigts à la hauteur des yeux de sa victime et engloutit les morceaux de chocolat, les croquants ostensiblement, les réduisant en miettes avec un sourire carnassier.

 

— Délicieux. Dit-elle en attrapant l’autre bout de sein afin de lui faire subir le même traitement.

 

Des larmes noyèrent les yeux d’Allie. Tawnee trempa le chocolat dans le caramel posé sur la main d’Allie et se retourna vers Lauren.

 

— Ouvre la bouche, ma chérie.

 

Lauren hésita.

 

— Ouvre ! Ma chère petite fiancée.

 

Rajouta-t-elle en grimaçant un sourire à travers ses dents serrées.

 

À contrecœur, Lauren obtempéra. Tawnee glissa le chocolat dans sa bouche et essuya le caramel qui poissait ses doigts sur sa langue et sur ses lèvres. Puis elle se pencha vers elle et l’embrassa langoureusement.

 

Allie se mit à pleurer de plus belle lorsque Tawnee s’éloigna en entraînant Lauren derrière elle.

 

Les invités se rapprochèrent d’elle et se servirent sur le corps de la pauvre adolescente. Chaque morceau de chocolat que l’on enlevait lui faisait le même effet qu’un morceau de sparadrap que l’on arracherait de sa peau. Certaines femmes le faisaient rapidement, mais d’autres le faisaient lentement, prenant tout leur temps. Toutes ces mains qui pinçaient, déchiraient, arrachaient étaient la torture la plus raffinée qu’Allie ait jamais du endurer.

 

Les femmes, toutes élégantes, craquelaient les couches de chocolat sur sa peau avant d’en arracher les morceaux, d’abord ici, sur son estomac, ensuite là, sur l’arrière de son bras, puis sur l’intérieur de sa cuisse, son cou, ses épaules, ses doigts, son pubis, ses doigts de pieds, ses ses mollets, sa poitrine, ses cuisses. Chaque tiraillement, chaque déchirure, produisait une petite douleur aigue qui se répétait sans jamais finir.

 

Elle allait devenir folle.

 

Les paupières crispées par la douleur, le souffle court, Allie criait sans discontinuer, mais tout ce que l’on pouvait percevoir ressemblait à un petit roucoulement.

 

Et cela continua, continua. Les invitées prenaient leur temps, elles se penchaient, ponctionnaient un morceau de chocolat et retournaient discuter entre elles. Elle n’était que le dessert ; que l’on dégustait.

 

Enfin, lorsque la plupart du chocolat fut consommé, Alex s’approcha. La seule partie du corps de l’adolescente qui était encore intacte était son sexe.

 

— Hmmm… Vous m’avez gardé le meilleur, comme c’est gentil.

 

Elle se pencha entre les jambes de la jeune fille et, se servant de ses deux mains, arracha lentement le chocolat en regardant Allie droit dans les yeux. La douleur submergea l’adolescente, lui arrachant un hurlement feutré. Elle s’évanouit sous le rire moqueur d’Alex.

 

************************************

 

Elle se réveilla à nouveau dans une obscurité totale. Elle était couchée dans un espace confiné, elle sentait encore quelques morceaux de chocolats collés sur sa peau et elle respirait difficilement. L’atmosphère étouffante lui provoqua une nouvelle crise de larmes.

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Samedi 13 décembre 6 13 /12 /Déc 21:23

Chapitre 30: En attendant le grand jour 2.

 

 

 

— Non non, stop ! Lança précipitamment Allie. Ne touche-pas à ta minette, concentre-toi uniquement sur les sensations que tu ressens entre les fesses.

 

Lauren interrompit son geste avec réticence. Un besoin obsédant la poussait à glisser ses doigts entre ses cuisses pour calmer la démangeaison irrésistible qui augmentait sournoisement au cœur de son intimité moite.

 

Durcissant la pointe de sa langue, Allie la présenta à l’entrée de l’anus et se mit à pousser doucement, la faisant pénétrer adroitement entre les muqueuses ramollies. Après un petit instant de surprise, Lauren se relâcha complètement et la langue s’enfonça à l’intérieur de sa rosette. Elle la sentit s’agiter tout doucement d’avant en arrière, s’enfonçant un peu plus à chaque poussée. Un sentiment bizarre, mais incroyablement excitant s’empara d’elle. Au comble de la honte, elle se surprit à envoyer son bassin à la rencontre de cette langue diabolique.

 

— Lauren, Déclara Allie sans ôter sa langue. J’ai l’impression que je suis en train de tomber amoureuse de toi.

 

Et elle s’enfonça le plus profondément possible, déclenchant un petit cri de surprise. Elle avait pénétré sur plusieurs centimètres et sa bouche lui faisait mal tant les muscles de sa langue étaient tendus, cherchant désespérément à gagner quelques centimètres. Son nez s’écrasait contre le coccyx de Lauren et elle peinait à respirer.

 

— OOOhhh Allie, HHHmmm…

 

Chaque fois que la langue ressortait, Lauren avait l’impression que son anus restait un peu plus ouvert, un peu plus distendu. Allie avait placé ses pouces de part et d’autres de son rectum et écartelait ses fesses à l’extrême. Sa langue avait recommencé son manège diabolique, s’appliquant à effleurer les muqueuses internes et Lauren avait l’impression de s’ouvrir, de s’ouvrir…

 

Son plaisir grimpait en flèche et elle se surprit à penser qu’après tout, Allie avait peut-être raison, que l’on pouvait éprouver du plaisir dans ce genre de rapports. Tout du moins à condition que sa partenaire ait envie de lui en donner.

 

Les prémices de l’orgasme se mirent à enfler dans son ventre.

 

— AAAHHH, mon dieu, ça n’est pas possible… AAAHHH OOOHHH Allie ma chérie contin… AAAAHHHH Ne t’arrête surtout pas, je crois que je vais jouir…

 

Allie augmenta le rythme de ses caresses, sa langue s’enfonçait, ressortait, effleurait, faisait durer le supplice, reprenait de plus belle, ne cessant de taquiner les muscles anaux qui, maintenant, se contractaient régulièrement autour de sa langue.

 

— HHHMMMM !!!! AAAhhh… Ohhh… hmmm…

 

Toutes deux savaient que l’orgasme de Lauren approchait à grands pas.

 

Allie enfonça sa langue à fond et plaqua hermétiquement ses lèvres autour des muqueuses et l’embrassa passionnément, faisant tourner sa langue à l’intérieur de la cavité. Emportée par son élan, elle attrapa fermement les cuisses de Lauren et se mit à pousser sa langue encore plus loin, le plus possible…

 

— HHHHHMMMMMM !!!! AAAAAAHHHHHH !!! OOOOOOOOHHHHHHH !!!!!

 

Aussitôt, Lauren se mit à jouir.

 

Allie conserva sa position, agitant frénétiquement sa langue à l’intérieur du sphincter qui se contractait convulsivement. Enfin, elle se retira délicatement. Les muscles intimes de Lauren étaient si contractés qu’ils lui donnaient l’impression d’être des mâchoires qui ne voulaient pas relâcher leur proie.

 

Après de longues secondes, Lauren se calma un peu. Après un dernier baiser délicat sur les muqueuses enflammées, Allie déclara :

 

— Je pense que tu es prête ma chérie.

 

Et elle se redressa un peu pour présenter la tête du gadget assujetti à son ventre contre l’orifice détrempé.

 

— Tu es prête pour ma bite ?

 

— Tout ce que tu voudras Allie. Fais de moi ce que tu veux, mon amour.

 

Allie força doucement, écrasant délicatement la fleur anale de Lauren.

 

Les fesses de Lauren se portèrent aussitôt à sa rencontre dans un mouvement d’offrande qui trahissait son impatience. Surprise, Allie s’immobilisa, et avant qu’elle réagisse, Lauren s’était empalée sur toute la longueur du membre factice.

 

— MON DIEU Allie, c’est si bon. BAISE-MOI, vas-y. Baise-moi dans le cul…

 

Allie se mit à aller-et-venir tendrement. Le godemiché entrait et ressortait avec aisance du rectum lubrifié par sa salive. Elle était étonnée par la facilité avec laquelle Lauren accueillait la totalité du membre au fond de son anus.

 

— OOOOHHHH ALLIE !!! Je t’aime ma chérie. HHHHMMMM !!! Oh que c’est bon ! AAAAHHH BAISE-MOI !!!!

 

Allie accéléra la cadence.

 

— Est-ce que tu peux encore jouir pour moi ma chérie ? Est-ce que tu peux jouir quand je te sodomise ?

 

Et elle accéléra encore, crochetant les fesses de Lauren à deux mains pour les écarter largement. Elle pouvait voir distinctement la corolle anale se distendre à chaque coup de piston qu’elle donnait et se rétracter lorsqu’elle ressortait.

 

Au même moment, la porte de la chambre s’ouvrit silencieusement sur la belle-mère de Lauren. Elle était accompagnée par plusieurs de ses invitées.

 

Toutes à leur affaire, les deux adolescentes ne remarquèrent pas les intruses qui s’approchèrent silencieusement sur un geste d’Alex. Le spectacle était d’une obscénité extraordinaire.

 

Couverte de sueur, Allie se démenait à un rythme endiablé entre les fesses de Lauren qui miaulait bruyamment à chaque poussée.

 

Ce ne fut que lorsqu’Alex s’assit sur le lit, tout près du visage de sa fille que celle-ci leva la tête et se tétanisa, le souffle coupé par la honte.

 

Allie s’interrompit aussitôt et les deux jeunes filles roulèrent sur le côté. Le godemiché luisant de sécrétions fit un bruit sonore en s’éjectant de l’anus de Lauren et glissa entre les jeunes filles sans quitter l’entrejambe trempé de Lauren.

 

Incapables de faire un geste, elles restèrent immobiles, nues, choquées d’avoir été surprises dans une position aussi humiliante.

 

— Non, non jeunes filles ! Ne vous interrompez pas en si bon chemin, continuez s’il vous plaît.

 

Toutes les invitées étaient venues avec leurs verres et semblaient prêtes pour le spectacle.

 

Les deux adolescentes ne firent pas un geste mais se regardèrent l’une l’autre.

 

— Allez allez, tout cela n’a rien de choquant. Allie n’est qu’une vulgaire prostituée qu’on paye pour baiser celles qu’on lui désigne, et toi, ma chère fille, tu as déjà été sodomisée plusieurs fois cette semaine.

 

Elle eut un sourire presque tendre.

 

— Vous êtes deux petites salopes, nous avons toutes entendu que tu étais sur le point de jouir et nous nous en voudrions de te priver de cet orgasme qui paraissait si prometteur. Dieu sait à quel point Allie est douée pour faire jouir les autres.

 

Humiliée, Allie baissa les yeux. La révélation brutale de sa condition par Alex la ramena à la dure réalité. Elle tenta de dissimuler sa gêne derrière ses cheveux.

 

Lauren niait l’évidence en remuant la tête de droite à gauche, refusant d’affronter la situation telle que la présentait sa belle-mère.

 

Alex agrippa le menton de sa fille dans la main et la toisa en plongeant ses yeux dans les siens.

 

— Continuez, j’insiste. Lança-t-elle d’une voix froide et menaçante.

 

Elle relâcha le menton de l’adolescente et, d’un geste qui ne souffrait aucune contestation, appuya sur ses épaules, la forçant à se remettre à plat-ventre.

 

Puis, d’un geste autoritaire, elle fit signe à Allie de recommencer à sodomiser sa belle-fille.

 

La jeune fille s’agenouilla à nouveau entre les cuisses de Lauren, jeta un coup d’œil circulaire à l’assemblée qui n’attendait que la reprise des festivités, et repositionna délicatement le membre factice contre le petit trou de Lauren.

 

Celle-ci enfonça son visage dans le matelas et se mit à gémir doucement en sentant le gadget chercher doucement l’entrée de ses fesses, la trouver et commencer à nouveau à la pénétrer.

 

Allie recommença à sodomiser la jeune fille devant les invitées de Maîtresse Alex. Elle retrouvait peu à peu son rythme précédant lorsque Suzan entra à son tour dans la chambre. Elle tenait une bouteille de vin et remplit les verres des invitées qui ne perdaient pas une miette du spectacle qui leur était offert.

 

Bientôt, Lauren fut à nouveau au bord de l’orgasme. Elle essaya de le combattre mais cette situation démente ne faisait que contribuer à la précipiter vers sa perte. Elle tourna son visage vers sa mère et prononça silencieusement les mots « Je vous déteste » alors que la jouissance la submergeait.

 

Alex sourit et articula silencieusement « Petite enculée ».

 

Allie pistonna Lauren de plus belle, la menant directement à l’orgasme. La jeune fille cria sa jouissance avant de s’effondrer mollement sur le matelas. Épuisée, Allie se coucha sur son dos et continua à aller-et-venir lentement au creux de ses reins tandis qu’elles reprenaient leurs esprits.

 

Elles restèrent ainsi un long moment. Les mouvements du bassin d’Allie étaient devenus presque imperceptibles.

 

— Hmmm, que vous étiez mignonnes. Alex se releva. Nous allons vous laisser entre vous. Continuez à vous amuser. J’ai payé cette pute pour toute l’après-midi et la soirée, alors profites-en bien.

 

Et elle quitta la chambre en emmenant ses invitées avec elle.

 

Lorsqu’elles furent seules, Allie, son sexe factice toujours fiché entre les fesses de la future mariée, l’entraîna avec elle, la faisant rouler sur le côté pour l’enlacer.

 

Elles restèrent ainsi un long moment, profitant chacune du contact de la peau moite de l’autre, savourant le mouvement infime du sexe factice. Allie qui jouait avec les seins de la jeune fille, sentait pointer les tétons encore durs comme du bois.

 

— Lauren ? Chuchotta-t-elle.

 

— Oui Allie ? Répondit-elle, d’une voix qui flottait encore dans les limbes du plaisir.

 

Allie ne cessa pas d’actionner le gadget dans l’anus de Lauren, le faisant aller et venir sur un ou deux centimètres. Lauren accompagnait le mouvement, allant même parfois à sa rencontre. Elle aimait les sensations qu’elle ressentait, le contact des petits seins d’Allie contre son dos et les baisers que celle-ci déposait délicatement sur sa nuque.

 

— Lauren, il faut qu’on parle de ton mariage.

 

La jeune fille émergea un peu de sa torpeur sexuelle.

 

— Pourquoi parler de ça maintenant ? Tu ne veux pas plutôt continuer à me faire du bien ?

 

Et elle arqua son dos pour mieux s’offrir, essayant de s’empaler encore plus profondément sur le membre en plastique de sa bien aimée.

 

— C’est important ma chérie. Rajouta Allie en s’immobilisant à l’intérieur de l’anus de Lauren. Une opération pour te libérer vient d’être montée. Elle a pour but d’empêcher ton mariage avec Tawnee.

 

Lauren se tordit le cou pour regarder Allie.

 

— Qu’est-ce que tu veux dire ?

 

Elle se retourna complètement, expulsant le godemiché de son anus. Celui-ci, encore gluant, se mit à pendre, abandonné entre les deux adolescentes.

 

— Je ne peux pas te communiquer tous les détails, seulement que toi, moi et d’autres, allons être libérées de notre esclavage aujourd’hui.

 

Elle regarda Lauren dans les yeux et déclara en épelant clairement ses mots :

 

— Mais pas avant la réception. Il faudra que tu te conformes à la cérémonie et que tu assistes à la réception. Tout dépend de toi.

 

— Allie, j… je ne sais pas, je voulais tenter quelque chose… pour me sauver…

 

— S’il te plaît Lauren. C’est aussi ma chance de quitter Nicole, d’être libérée de mon esclavage.

 

Elle s’empara des mains de Lauren et les appuya contre sa poitrine.

 

— Je t’en prie, fais-moi confiance, j’ai besoin de toi.

 

Lauren la fixa longuement, étudiant attentivement son visage.

 

— Est-ce que tu es vraiment amoureuse de moi Allie ?

 

— Oui Lauren. Je ne sais pas exactement pourquoi, mais je sais que je le suis.

 

Lauren approcha son visage du sien et l’embrassa.

 

— Je te fais confiance, Allie. Je ferais comme tu voudras.

 

Elles restèrent enlacées un long moment, s’embrassant du bout des lèvres. Alors Allie sourit timidement.

 

— Tu veux bien faire une dernière chose pour moi ma chérie ?

 

— Bien sûr Allie, tout ce que tu voudras.

 

— Est-ce que tu veux bien me faire la même chose Lauren ? Comme tout à l’heure, dans le cul…

 

Lauren passa le godemiché autour de sa taille et rendit la pareille à l’adolescente

 

- - - - - - - - - - - - - -

 

— Alors Lauren, vous vous êtes bien amusée toutes les deux ? J’espère que tu as aimé quand cette petite pute t’a sodomisée. Demanda Alex

 

Elles étaient assises sur la terrasse pour prendre le petit-déjeuner.

 

— Oui Alex. Répondit la jeune fille en rougissant.

 

Alex ne se formalisait absolument pas de la présence de Tawnee et sa mère.

 

— Elle était bonne ?

 

Lauren regarda Tawnee dans les yeux et déclara ostensiblement :

 

— C’est la meilleure que j’ai jamais rencontrée.

 

Tawnee en rougit de contrariété.

 

Lauren sourit intérieurement. C’était la première fois qu’elle avait l’occasion de rabattre son caquet à cette salope et ça faisait du bien.

 

 

 

- - - - - - - - - - - - - -

 

— Est-ce que tu l’as mise au courant de notre plan ? Demanda Isis, plus tard dans la semaine lorsqu’Allie suivait un nouvel entraînement.

 

— Oui, elle se mariera. Répondit Allie en se remémorant l’après-midi entière comme s’il s’agissait d’un rêve.

 

Maintenant, elle avait une raison supplémentaire de mener sa mission à bien, pour elle, mais aussi pour quelqu’un qu’elle aimait. Elle n’avait aimé personne depuis la mort de ses parents.

 

— Bien, je pense que tu mesures mieux l’importance de ta mission maintenant.

 

- - - - - - - - - - - - - -

 

— Vous aimez ma langue Mademoiselle ? Demanda Coquette.

 

Lauren se languissait d’une autre langue, pas celle de sa bonne. Elle essayait de s’imaginer que c’était la tête d’Allie qui était enfouie entre ses jambes. Elle réfléchit à ce qui pourrait attiser son plaisir.

 

— Coquette, lèche-moi le cul !

 

— Mais Mademoiselle, je n’ai jamais…

 

— Ne mens pas, Coquette. Je sais que tu dois faire tout ce que je te demande. Maintenant, enfonce ta langue dans mon anus.

 

Résignée, Coquette fit glisser sa langue entre les fesses de l’adolescente et se mit à lécher.

 

Lauren s’imagina que c’était Allie. Cela exacerba un peu son plaisir, mais Allie était bien plus habile que coquette.

 

— Mieux que ça Coquette, mets-y plus d’enthousiasme !

 

Ça allait prendre un peu de temps, mais Lauren était sûre qu’elle tirerait du plaisir de la langue de Coquette ce matin-là.

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Samedi 13 décembre 6 13 /12 /Déc 21:22

Chapitre 29: En attendant le grand jour 1.

 

 

 

— Allie, est-ce que tu t’es déjà servie d’une arme à feu ? Demanda Isis en regardant l’adolescente viser les cibles exposées au fond du sous-sol de la batisse.

 

— Non M’dame. Répondit la jeune fille.

 

Isis ôta la sécurité du revolver, le chargea, visa, tira et réenclencha la sécurité.

 

Allie l’imita et tira à son tour sur la cible, jouissant d’un sentiment de pouvoir inconnu jusqu’alors.

 

Dès le début, Nicole avait pensé qu’Isis lui inspirerait confiance. Elle avait intrigué auprès de la diablesse rousse pour qu’elle abuse de la naïveté d’Allie. D’autre part, Isis avait promis qu’elle se profiterait des talents de l’adolescente, ce qui était un bon moyen de s’assurer qu’Allie respecterait la règle n°4.

 

BANG!  BANG!  BANG!

 

C’était le meilleur moment que vivait Allie depuis près d’un an et demi.

 

BANG! BANG!  BANG!  BANG! BANG!  BANG!

 

- - - - - - - - - - - - - -

 

— Non non et non, stupide garce !

 

Alex se releva et gifla la couturière.

 

— Où est-ce que tu as appris à faire ton putain de travail ?

 

Lauren se tenait debout sur une estrade, elle portait une robe blanche de mariée qui la serrait à la taille et mettait ses petits seins en valeur. Le dos du vêtement était à moitié rabattu sur ses reins et l’ourlet, qui traînait par terre, recouvrait ses chevilles.

 

— Elle doit avoir l’air d’un ange ET d’une pute ! Hurla Alex.

 

Subitement, elle se calma et sourit avant de continuer d’une voix douce pleine de malice.

 

— Je veux que tout le monde la considère comme la plus jolie chose de la soirée, mais aussi qu’il n’y ait aucune ambiguïté sur le type de contrat qui unira nos deux familles.

 

Elle se retourna face à sa belle-fille.

 

— Ce sera la pute la plus chère de la soirée, elle vaudra des millions, mais elle restera toujours une putain…

 

Elle sourit à nouveau.

 

— Et je suis son maquereau.

 

Elle fixa à nouveau la couturière qui tremblait de peur.

 

— ET IL EST HORS DE QUESTION QU’UNE DE MES INVITÉES AIT LE MOINDRE DOUTE LÀ-DESSUS ! Découvre mieux ses jambes, son décolleté et son dos. Mets-lui des gants et un voile plus grand. Cette robe devra être ton ultime création, ta plus belle œuvre. Tu n’auras plus jamais l’opportunité d’en créer une comme celle-là. Une parure qui marie aussi bien l’innocence et le vice.

 

Et elle partit dans un grand éclat de rire qui résonna comme celui d’un ténor.

 

Lauren remua la tête lentement, incapable de prononcer le moindre mot à travers le bâillon boule qui obstruait sa bouche. Ses pieds, légèrement écartés, étaient fixés à l’estrade par des bracelets en cuir et ses mains étaient attachées dans son dos.

 

Elle était réduite à l’état d’un mannequin de chair, un modèle obscène maintenu en place par la longue tige en métal froid qui pénétrait d’une douzaine de centimètres dans son rectum (sa fleur vaginale devant absolument rester vierge jusqu’au mariage).

 

- - - - - - - - - - - - - -

 

— Demain, tu te gouineras avec Lauren. Déclara Isis langoureusement.

 

Allie était agenouillée entre ses cuisses et embrassait amoureusement son sexe après lui avoir procuré un nouvel orgasme.

 

Comment sait-elle ça ? Se demanda Allie.

 

Comme si elle avait lu dans ses pensées, Isis poursuivit :

 

— J’ai un sixième sens pour ces choses-là, fais-moi confiance.

 

Elle se pencha et attira délicatement l’adolescente vers elle.

 

— Tu devras la convaincre qu’elle doit absolument se marier, la cérémonie doit avoir lieu, notre projet est bouclé et tout changement serait désastreux.

 

— Mais Isis, je ne peux pas lui dire ça, elle ne m’écoutera jamais.

 

— Allons Allie, tu seras notre agent de terrain. Il n’y aura que toi auprès de Lauren et ta mission sera de t’assurer qu’elle s’engage bien dans cette union.

 

Allie repensa alors à Lauren, elle se sentit proche d’elle, malgré les conditions dans lesquelles elles s’étaient rencontrées. Sans savoir pourquoi, elle acquit la conviction qu’elle allait faire son possible pour la convaincre.

 

— D’accord Isis, je ferai en sorte qu’elle se marie.

 

— On la libérera pendant la réception, et toi aussi.

 

Éperdue de reconnaissance, Allie la remercia en l’embrassant passionnément sur les seins.

 

- - - - - - - - - - - - - -

 

Coquette était toujours au service personnel de Lauren. Rapidement, la jeune fille s’était habituée à être réveillée par la langue de sa servante. Elle ne se formalisait plus et commençait même à apprécier certains aspects de ce dorlotage. Les soins que la bonne déployait pour l’habiller, la coiffer, la faire belle et la façon qu’elle avait de la traiter comme une princesse n’étaient pas si désagréables.

 

Une princesse lesbienne, mais une princesse quand même.

 

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— Ahhh Allie, je suis si contente de te savoir bientôt de retour parmi nous. Tu es sans conteste la meilleure de toutes les salopes que j’ai louées jusqu’à maintenant et, manifestement, tu es très fière de tes talents.

 

Alex adorait le spectacle qu’offrait l’adolescente en se tortillait timidement devant elle. Elle était tellement impudique dans sa tenue qu’elle prit plaisir à la faire attendre devant la maison.

 

On avait exigé qu’elle soit vêtue d’un petit débardeur et rien d’autre. Elle se tenait maintenant sur le pas de la porte d’entrée de la maison des Jacob, s’abstenant de dire le moindre mot, sachant que Maîtresse Alex aimait la voir comme ça, embarrassée.

 

— Bien, tu peux entrer. Finit par dire Alex, presque à contrecœur.

 

Elle claqua vigoureusement les fesses de l’adolescente lorsqu’elle passa devant elle.

 

Une fois à l’intérieur, Allie se rendit compte de l’agitation qui regnait en vue du mariage. On était vendredi, et le grand moment était prévu pour le samedi. Bien entendu, Nicole et elle faisaient partie des invitées. La répétition du dîner devait avoir lieu le soir même et il y avait au moins six servantes qui s’affairaient en nettoyant, en déplaçant les meubles et en préparant la salle à manger pour la cérémonie.

 

— Le grand jour approche. Déclara Alex. Ma petite Lauren va se marier. J’ai vraiment de la chance, perdre une fille n’est rien en comparaison du gain d’une belle-fille.

 

Une femme portant un gros classeur s’approcha. Elle dévisagea Allie des pieds à la tête avec un regard désapprobateur. C’était elle qui était en charge des préparatifs du mariage

 

Ignorant Allie, Alex lui donna quelques indications supplémentaires. La jeune fille resta derrière la maîtresse de maison, se sentant plus que nue avec son petit débardeur.

 

Lorsque la femme fut partie, Alex ordonna à Allie de la suivre jusqu’à la terrasse qui surplombait les jardins. Plusieurs femmes y étaient attablées, toutes vêtues de tenues de soirée. Le cœur d’Allie s’accéléra. De dos, Lauren était assise parmi elles.

 

Toutes levèrent les yeux lorsqu’Alex s’approcha.

 

— Lauren ma chérie, je t’ai loué une pute. Tu pourras profiter de ses services cet après-midi et ce soir, une sorte d’enterrement de vie de jeune fille.

 

L’assemblée s’esclaffa. Lauren se retourna et resta bouche-bée en reconnaissant Allie.

 

— Allez, danse donc ma fille, déballe-nous ta marchandise. Tu m’as coûté suffisamment cher…

 

Elle poussa l’adolescente au centre de la terrasse et la fit pirouetter devant ses invitées.

 

— Comme vous pouvez le constater, mesdames, cette petite salope porte un cadenas sur le clitoris, n’est-ce pas merveilleusement pervers ?

 

Tous les regards se fixèrent sur le bas-ventre où le petit cadenas dépassait obscènement.

 

Blasée, la jeune fille ne se formalisa pas, les humiliations qu’on lui faisait subir n’écornaient plus qu’à peine son amour-propre.

 

— Et son petit cul est tout simplement parfait, jeune, serré et ferme.

 

Puis elle la positionna dos à l’audience et agrippa ses fesses, les écartant largement.

 

L’adolescente se laissa faire veulement, se faisant l’effet de n’être qu’un animal qu’on évaluait dans une foire à bestiaux.

 

— Et elle suce les chattes comme une pro. Elle ricana. Hum hum, mais c’est vrai qu’elle est une pro.

 

— Allez jeune fille ! Dit-elle en s’adressant à Lauren. Fais-la monter dans ta chambre et amuse-toi avec elle. Cette pute n’est pas bon marché et je ne voudrais pas gaspiller l’argent qu’elle m’a couté.

 

Alex poussa Lauren pour qu’elle se lève, ce qui fit chuchoter les invitées, et lui donna quelques conseils obscènes sur la façon dont elles pouvaient se gouiner. Puis elle, d’un geste qui ne souffrait aucune contradiction, elle poussa les deux adolescentes vers la maison.

 

— Je viendrais vous voir dans quelques minutes pour m’assurer que tout se passe bien…

 

Rouges de honte, les deux jeunes filles échangèrent un regard. Allie avait pleinement conscience de sa nudité et suivit Lauren en montant l’escalier le plus rapidement possible.

 

Arrivées dans la chambre de la future mariée, elles faillirent buter contre une table qui avait été placée au milieu de l’entrée. Il y était posé trois choses : Un morceau de papier, un tube de lubrifiant et un godemichet. Surprises, elles restèrent figées un instant avant de pénétrer dans la pièce et refermer la porte.

 

Lauren s’empara du mot :

 

 

Chère Lauren,

J’espère que tu apprécies mes petits présents. Ce sont tes cadeaux d’enterrement de ta vie de jeune fille et je suis sûre que tu sauras les apprécier à leur juste valeur.

Je viendrais dans quelques minutes et je compte bien vous trouver en train d’utiliser à fond le godemiché.

Souviens-toi bien que tu dois rester vierge, ta petite fleur est réservée à Tawnee pour votre nuit de noces, mais j’autorise Allie à avoir des rapports anals avec toi. Je sais combien tu aimes ça, Tawnee m’a touché quelques mots à propos de votre petite aventure avec ta monitrice de tennis, petite vicieuse.

Ta mère qui t’adore,

Alex

P.S. Je détesterais être obligée de vous fouetter toutes les deux si mes consignes n’étaient pas respectées.

 

 

 

Lauren eut une grimace de désespoir et tendit timidement le mot à Allie.

 

Allie le parcourut rapidement et la regarda tendrement.

 

— Je serai très douce Lauren.

 

Et elle attrapa le godemiché à pleine main. Elle ne s’était jamais trouvée de ce côté de l’engin. Jusqu’à présent, c’était toujours elle qui avait dû subir les pénétrations et cette nouvelle donne éveillait sa curiosité.

 

Lauren se dirigea vers le lit et s’y assit. Elle se tint immobile, le regard dans le vague. Pendant ce temps, Allie enfila la ceinture du gadget et assujettit étroitement les courroies autour de ses cuisses et entre ses fesses. Elle baissa les yeux sur le sexe factice qui dépassait entre ses cuisses comme s’il était une extension de son corps. Elle éprouva un sentiment de pitié pour Lauren en pensant à ce qu’elle allait lui faire subir. Puis elle s’empara du tube de lubrifiant et vint s’asseoir à côté de la jeune fille.

 

— Il faut qu’on le fasse Lauren, tu as lu le mot. Je n’ai pas envie d’être fouettée encore une fois.

 

Elle appuya délicatement son épaule contre celle de la future mariée.

 

— Je sais Allie, mais Tawnee m’a déjà pénétrée plusieurs fois de ce côté la semaine dernière. Elle m’a sodomisée chaque fois qu’elle en a eu l’occasion avant de m’abandonner à mon triste sort. Elle leva les yeux sur Allie. Alors ça n’a rien à voir avec toi, c’est juste que je n’ai pas envie que ça recommence.

 

— Mais, tu ne l’as pas encore fait avec moi. Je suis sûre que je peux te donner du plaisir, même de ce côté.

 

Et elle se pencha sur Lauren et essaya de l’embrasser. La jeune fille eut un léger mouvement de recul et regarda Allie d’un air interrogatif. Elles restèrent immobiles un moment, se regardant dans les yeux. Puis le regard de Lauren s’adoucit, elle ferma les yeux, et tendit timidement ses lèvres à Allie. Elles s’embrassèrent tendrement.

 

Leur baiser dura quelques minutes, puis Allie souleva doucement la robe d’été et la fit passer délicatement sur la tête de Lauren. Celle-ci ne portait aucun sous-vêtement.

 

— Mets-toi sur le ventre.

 

Docilement, Lauren s’exécuta en surveillant nerveusement Allie du coin de l’œil.

 

— Je ne te ferai que du bien, Lauren. Simplement, fais-moi confiance.

 

Elle passa ses mains sous les cuisses de Lauren et les tira habilement vers le haut, faisant saillir son derrière. Les épaules plaquées contre le dessus-de-lit, Lauren se laissa passivement mettre en position et n’eut aucun mouvement de révolte lorsqu’Allie lui écarta largement les cuisses et se positionna entre elles, plaçant son bassin à proximité immédiate de ses fesses.

 

Avec une douceur infinie, elle posa ses mains sur chacune des fesses et les écarta largement, exposant le petit anus contracté à la lumière du jour. Puis, procédant par petites touches aériennes, elle titilla imperceptiblement la muqueuse du bout de la langue.

 

Surprise, Lauren poussa un petit cri et se mit à haleter silencieusement. C’était si sale, si vicieux… Personne ne l’avait jamais léchée à cet endroit.

 

Allie s’enhardit et se mit à lécher doucement le rectum palpitant, orientant tout doucement la pointe de sa langue vers le centre du muscle qui se crispait et se décrispait convulsivement. Petit à petit, elle prit possession de la totalité de l’endroit, s’attardant longuement sur la portion sensible entre la vulve et l’anus, n’ayant de cesse avant que ce soit ruisselant de salive. À aucun moment, elle n’eut de contact avec la vulve que l’écartèlement des cuisses livrait sans défense à sa convoitise, se concentrant uniquement sur le petit anus qui se crispait de moins en moins.

 

— Détends-toi Lauren, ça sera meilleur.

 

Lauren s’appliqua à essayer de détendre ses muscles anaux, haletant de plus en plus fort. La langue d’Allie virevoltait, se posait, s’immobilisait à l’entrée de son petit trou, repartait, traçait un sillon humide tout autour. Celle-ci employait toutes les connaissances qu’elle avait acquises à déguster la petite pastille, la titillant, picorant, léchant comme s’il s’était agi d’un clitoris.

 

Elle sut qu’elle avait gagné lorsqu’elle sentit la main de Lauren cheminer entre ses cuisses pour atteindre son sexe.

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Allie et Nicole, par Annie The Slick - Communauté : Soumissions féminines
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