Allie et Nicole, par Annie The Slick

Lundi 20 février 1 20 /02 /Fév 18:52

Chapitre 3 - Après le dîner, Allie est remise à sa place.

 

Lorsqu’elles arrivèrent à la voiture, Nicole se tourna vers Allie et dit :

— J’ai oublié de donner mon numéro de téléphone à Betsy, cours vite la retrouver et donne le lui petite chienne. Je t’attends dans la voiture.

Sur ce, elle se désintéressa de l’adolescente décontenancée et alla à la voiture.

Allie resta sur place un moment à se demander ce qu’elle devait faire. Elle ne pouvait pas se résigner à donner son numéro de téléphone à la serveuse lesbienne, cela aurait été trop révelateur, mais Nicole avait déjà lancé l’invitation. Lentement, elle commença à se diriger vers l’ascenseur.
La seule chose qu’elle désirait était d’être à la maison dans les bras de Nicole. Est-ce que ça faisait d’elle une lesbienne ? Elle se retrouva devant la porte de l’ascenseur et pressa le bouton.

En ayant l’impression d’être une autre personne, elle pénétra dans la cabine et monta jusqu’au restaurant. Arrivée à l’étage, elle se dirigea vers le maître d’hôtel et demanda d’une petite voix si elle pouvait parler à la serveuse qui s’appelait Betsy. Visiblement, cela lui déplaisait, mais il fit venir la serveuse.

Betsy la rejoignit devant l’ascenseur.

— Oui Allie, qu’y a-t-il ? Demanda-t-elle en étudiant l’adolescente. Elle se lécha les lèvres sensuellement en inspectant le corps moulé dans la robe noire sexy.

Allie avala sa salive nerveusement.

— Nous avons oublié de vous donner notre numéro de téléphone.

— Waow, super !

Betsy prit un stylo et un morceau de papier dans son tablier et regarda Allie dans l’expectative. Elle se prit à attendre avec impatience le prochain week-end, pour pouvoir mettre cette petite salope dans son lit.

— 01 44 33 22 11. Dit allie honteusement, en baissant les yeux. Elle était en train de donner son numéro de téléphone à une lesbienne pour qu’elle puisse la rejoindre et abuser d’elle. C’était l’humiliation totale.

— Merci poupée. J’attendrai samedi prochain avec impatience. J’apporterai spécialement quelque chose pour toi.

L’ascenseur remonta et Betsy tint la porte pour laisser sortir un couple. Allie monta dans la cabine et, sur une impulsion, Betsy la suivit s’assurant au passage que ses collègues ne la voyaient pas. Elle attira l’adolescente contre elle et l’embrassa goulûment sur la bouche, faisant pénétrer sa langue entre les lèvres de la petite soumise, en profitant pour peloter ses fesses nues sous sa jupe. Elle rompit le baiser et abandonna l’adolescente hébétée dans l’ascenseur laissant la porte se refermer.

Choquée, Allie appuya sur le bouton de descente. En l’espace de quinze minutes, deux femmes l’avaient embrassée. Elle avait du mal à reprendre ses esprits. Les baisers avaient été très agréables, mais elle les avait concédés presque contre sa volonté. Avant ce jour, elle n’aurait jamais immaginé pouvoir embrasser une femme. Peut-être était-elle une lesbienne. Peut-être même une salope insatiable comme le lui disait Nicole. L’ascenseur s’immobilisa. Elle sortit.

Nicole avait approché la voiture et l’attendait à proximité de l’ascenseur. Allie s’assit à côté d’elle.

— Ca y est ? Tu as donné notre numéro ?

— Oui. Répondit Allie d’une voix à peine audible.

— Qu’est-ce qui ne va pas petite salope ? Demanda Nicole en posant sa main sur sa cuisse.

— Elle m’a forcée à… Dit l’adolescente en baissant les yeux.

— Waow, elle en pince pour toi. Est-ce que tu as aimé ? Demanda la jeune femme en faisant glisser sa main sur la cuisse de la jeune fille, remontant insidieusement vers l’entrejambe.

— Je ne sais pas.

— Est-ce que tu as essayé de l’en empêcher ?

La main de Nicole disparut sous la jupe et entra en contact avec la culotte de l’adolescente. Instinctivement, Allie écarta les jambes pour offrir son sexe à sa tutrice.

— Non.

Inconsciemment, elle espérait que Nicole allait à nouveau jouer avec elle. Le souvenir de son étreinte avec Betsy raviva son désir. La serveuse l’avait embrassée sans lui demander son avis et elle s’était laissé faire avec un plaisir veule.

Lentement, la main de Nicole glissa sous le tissu. Ses doigts caressèrent le pubis, s’emmêlant dans la toison duveteuse.

— Elle veut te sucer la chatte. Est-ce que tu as déjà été léchée par une fille à cet endroit auparavant ?

— Non.

Répondit Allie qui avait de plus en plus de mal à se concentrer sur la conversation. Elle écarta un peu plus les jambes. Nicole continuait à conduire, se contentant de farfouiller dans les poils de son pubis, rien de plus. Allie commençait à devenir folle. Quoi que fasse Nicole, elle mouillait. Sa tutrice conduisait en regardant droit devant elle et semblait l’ignorer totalement. Allie écarta encore un peu les jambes, espérant que Nicole allait en profiter pour déplacer ses doigts jusqu’à sa minette.

— Je t’apprendrai quand nous serons rentrées. Nicole resta silencieuse un moment, faisant tourner les poils épars entre ses doigts.

— Dis-moi, Allie ! Tu as aimé ta salade ?

Frustrée, l’adolescente regarda la conductrice. Qu’avait-elle en tête ? Pourquoi ne la caressait-elle pas mieux que ça ?

— Oui… Nicole… S’il te plaît.

— Qu’y a-t-il petite chienne ? Demanda Nicole en continuant à jouer avec son pubis.

— Est-ce… Est-ce que s’il te plaît… S’il te plaît, est-ce que tu peux jouer avec ma foufoune ? Supplia-t-elle.

— Il faut que tu me demande plus poliment, et tu dois m’appeler Maîtresse. Tu as vraiment du mal à te souvenir de mes requêtes.

Nicole attrapa une mèche et tira. Allie décolla brusquement le bassin en accompagnant le mouvement douloureux. Elle eut l’impression que sa tutrice allait lui arracher les poils.

— Aiiiie… Maîtresse ! Pourriez-vous me caresser s’il vous plaît ?

— C’était mieux. Nicole relâcha la pression. Mais nous sommes presque arrivées, et tu dois comprendre que tu ne peux pas satisfaire tous tes vices.

Elle sourit légèrement. Allie gémit silencieusement et glissa sa propre main dans sa culotte avec l’intention de se satisfaire elle-même.

— Arrête ça immédiatement, petite salope ! Surprise par le ton autoritaire de Nicole, l’adolescente retira sa main de son string.

 

— Est-ce que je t’ai autorisée à te caresser ?

— Non Maîtresse ! Allie avait employé le mot inconsciemment. Le ton autoritaire employé par sa tutrice lui parut naturel.

— J’ai bien l’intention de gérer au plus près tes petites manies de nymphomane. Tu te caresseras UNIQUEMENT quand je te le permettrai.

 

Elle regarda l’adolescente sévèrement.

 

— Me suis-je bien faite comprendre ?

— Oui Maîtresse.

Elles finirent le reste du trajet en silence.

Nicole rangea la voiture dans le garage. Allie se dirigeait vers l’entrée de la maison, lorsque Nicole l’attrapa et la repoussa en arrière, contre la voiture, en l’embrassant. Frustrée par toutes les privations qu’elle avait endurées, Allie lui rendit avidement son baiser. Sans cesser de l’embrasser, Nicole entreprit de lui ôter sa robe. La jeune fille l’aida en faisant glisser les bretelles sur ses épaules. Rapidement, la robe tomba sur le sol. Vêtue uniquement de ses sous-vêtements et de ses talons l’adolescent s’offrit encore plus aux lèvres de son aînée. Elle sentit la main de la jeune femme s’attaquer à la fixation de son soutien-gorge qui ne tarda pas à rejoindre la robe à ses pieds. Ses petits seins se tendaient fermement contre le tailleur de Nicole. Cette dernière se recula brusquement, crocheta la taille du string de l’adolescente et l’arracha presque du corps de la petite blonde. Allie dut s’accrocher désespérément au toit de la voiture pour garder son équilibre.

— Quitte tes chaussures petite salope. Allie s’exécuta aussi vite que possible. Elle était complètement nue devant sa maîtresse. Cet état de fait lui paraissait maintenant tout à fait naturel. C’était sa Maîtresse.

Nicole la traîna vers l’avant de la voiture et la renversa, le dos sur le capot de la BMW. Elle la força à écarter les jambes et plaça sa main sur son sexe.

— Je vais te baiser, et te dévorer. Dorénavant, tu m’appartiens corps et âme.

Allie laissa échapper un petit glapissement lorsque Nicole enfonça son doigt dans son intimité. La jeune femme s’accroupit et se mit immédiatement à lécher expertement le sexe de l’adolescente. Elle avait attendu si longtemps pour goûter la jeune fille qu’elle ne pouvait plus se contenir. Rapidement, la mince adolescente se mit à gémir et à ruer sur le capot de la voiture.

— Ohh… Maîtresse… Hmmm ! Nicole avait introduit sa langue dans fente de l’adolescente et s’en servait pour la pénétrer. Elle avait écartelé les lèvres de la petite blonde au maximum de leur possibilité pour avoir accès à l’entrée du vagin et au clitoris. Allie porta sa main sur sa bouche et eut un orgasme. Nicole se recula un instant.

— Est-ce que tu aimes être léchée par une femme ?

Elle continuait à la pénétrer avec son doigt en la questionnant.

— Oui, je vous en prie Maîtresse ! Sucez ma minette s’il vous plaît. Elle employait le mot "Maîtresse" sans même s’en rendre compte. La jeune femme se pencha entre les cuisses nues et recommença à la lécher sans cesser de la pénétrer avec son doigt. Allie eut un nouvel orgasme presque instantanément.

Avant que l’adolescente ait repris ses esprits, Nicole la fit rentrer dans la maison. Choquée par l’orgasme, intégralement nue, Allie la suivit comme dans un rêve. La jeune femme la tenait fermement par la main. Elle lui fit monter l’escalier et l’emmena dans le séjour.

— Ferme tes yeux petite salope, j’ai une surprise pour toi. Allie obéit. Elle attendit, nue, l’esprit embrumé, au milieu du salon, ondulant légèrement sur ses pieds. Elle entendit Nicole quitter la pièce et se diriger vers la chambre. Elle garda les yeux fermés jusqu’au retour de sa Maîtresse.

Lorsqu’elle revint, Nicole traversa la pièce et vint se placer derrière elle, tout contre. Elle plaça une main sur ses fesses et fit cheminer son doigt lentement le long de la raie de ses fesses. Allie poussa un petit cri de surprise.

— Mets tes mains dans ton dos.

L’adolescente s’exécuta. Rapidement, Nicole referma une paire de menottes sur ses poignets. La jeune fille haleta, ouvrit les yeux et essaya de se libérer.

— Arrête de gigoter petite chienne, ça n’est qu’un jeu. Elle secoua la chaîne reliant les menottes. Allie se calma et s’immobilisa à nouveau.

 

— Je ne t’ai pas autorisée à ouvrir les yeux petite salope, la surprise n’est pas finie.

Allie ferma les yeux.

— Bien, maintenant reste tranquille un moment. Toujours exposée, nue et menottée, Allie attendit pendant que Nicole la contournait. Elle sentit une main effleurer un de ses seins et sursauta. Nicole lui frappa les fesses.

 

— Ne bouge pas, salope.

Allie tenta à nouveau de rester immobile tandis que Nicole continuait à tourner autour d’elle. Elle réussit à se contenir lorsqu’elle sentit la main de son aînée s’emparer d’un de ses petits seins et le masser délicatement.

— Brave petite. Maintenant, écarte les jambes pour moi petite chienne.

Nicole fit courir ses mains le long des fesses de la jeune fille et explora l’intérieur de ses cuisses. Les jambes écartées, l’adolescente avait du mal à conserver son équilibre. Sans cérémonie, la brune introduisit son majeur dans la fente offerte, les lèvres humides épousèrent la forme de son doigt.

— Encore humide n’est-ce pas ?

Allie était complètement désorientée, elle était au comble de l’humiliation mais en même temps, son corps la brûlait d’un désir ardent. Nicole ôta son doigt.

Elle sortit un collier de chien de derrière son dos. Il était épais et noir, avec des petits clous sur sa circonférence et une plaque métallique sur laquelle était inscrit : "Allie la salope". Elle le passa délicatement autour du cou de l’adolescente qui ne comprit pas tout de suite de quoi il s’agissait.

— Voilà, je te l’ai acheté il y a quelques semaines et j’étais impatiente de voir comment il t’irait. Maintenant tu es la parfaite petite salope, nue, avec un collier sur lequel il est écrit "salope".

Allie fut horrifiée et eut les larmes aux yeux. Comment en était-elle arrivée là. Elle était une fille sage, pas une salope.

Nicole attacha une laisse au mousqueton du collier et poussa la jeune fille au milieu de la pièce.

— A genoux ! Allie obtempéra, elle était trop abasourdie par les événements pour faire autre chose. — Ouvre les yeux petite chienne.

Elle fit ce qu’on lui disait et vit Nicole debout devant elle, les jambes légèrement écartées, resplendissante. Elle ressemblait à une jeune femme de haute société dans son splendide ensemble bleu marine. Ses cheveux noirs parfaitement coiffés, tenant la laisse de sa petite chienne nue. Allie se sentit toute petite devant tant de perfection.

Nicole continua :

— Je veux que tu me regarde me déshabiller, je veux que tu puisse bien voir le corps que tu vas adorer cette nuit et pour toujours. Tu vas lécher mes seins, mon sexe et te servir de ta bouche pour me donner du plaisir de toutes les façons dont j’aurai envie.

Elle tira sur la laisse de sa jeune soumise et se pencha en avant pour l’embrasser, introduisant sa langue dans la bouche de l’adolescente.

— Me suis-je bien faite comprendre ?

— Oui. Répondit Allie dans un soupir en levant les yeux sur sa Maîtresse.

— Oui qui petite chienne ?

— Oui Maîtresse. Répondit l’adolescente d’une petite voix, baissant les yeux sur le sol en signe d’allégeance.

Nicole sourit.

 

— C’est mieux, nous allons bientôt faire de toi une parfaite petite esclave sexuelle lesbienne. Tiens-moi ta laisse quelques instants. Elle se pencha derrière la jeune fille et plaça la laisse dans ses mains menottées.

 

— Pendant que je me déshabille pour toi. Allie prit le lien de cuir dans sa main.

 

— Souviens-toi bien que je veux que tu étudies tout mon corps, je veux que tu en apprenne par cœur toutes les courbes et cavités.

Elle ôta sa veste et la plia précautionneusement sur l’accoudoir du canapé, bientôt suivie par son pantalon. Allie voyait sa Maîtresse la surplomber avec ses bas, porte-jarretelles et culotte noirs plus un chemisier blanc. Le chemisier ne tarda pas à rejoindre la veste et Nicole se tint debout devant sa soumise en sous-vêtements. Elle s’avança jusqu’à ce que son bassin soit au niveau du front de l’adolescente.

— Sens-moi, salope. Je veux que tu connaisses mon odeur.

Son sexe se trouvait juste à la hauteur du nez de la jeune fille, Allie respira l’odeur musquée.

— Tu m’excites, je mouille. Allez, au travail, je ne peux plus attendre de sentir ta langue en moi.

Elle fit un pas en arrière et ôta sa culotte en l’extirpant de sous son porte-jarretelles, dégrafant et re-fixant rapidement chaque bretelle. Puis elle se replaça devant l’adolescente.

— Tu vois ma chatte ?

Allie regarda le triangle de poils noirs, elle pouvait à peine voir le haut des lèvres de la jeune femme.

— Je t’ai posé une question petite chienne !

— Oui Maîtresse. Répondit-elle en veillant à employer un ton respectueux.

— Est-ce que tu veux la sucer ? Allie baissa les yeux et ne répondit pas tout de suite. — Il ne peut vraiment y avoir qu’une seule réponse à cette question pour une lesbienne nymphomane comme toi. Si je me souviens bien, tu as invité ici une serveuse lesbienne pour samedi prochain. Alors est-ce que tu veux sucer la chatte de ta Maîtresse, la chatte que tu vas vénérer, la chatte dont tu rêveras en t’endormant, la chatte que tu vas nettoyer et dont tu prendras le plus grand soin… MA CHATTE…

— Oui Maîtresse.

Répondit l’adolescente, les yeux replis de larmes. Elle pleurait parce qu’elle était devenue ce genre de fille si rapidement, parce que, bien qu’elle se sente humiliée et maltraitée, elle avait envie de sucer le sexe de Nicole. Il lui paraissait naturel d’être nue devant sa Maîtresse (c’est ainsi qu’elle l’identifiait maintenant), que l’on décide à sa place de la façon dont elle devrait se comporter.

— Parfait

Nicole s’assit sur le bord du canapé, écarta ses jambes et dit :

— Rampe jusqu’ici et tend-moi ta laisse, petite chienne.

Annie se déplaça à quatre pattes jusqu’à se trouver entre les jambes de sa tutrice. Son nombril se trouvait à eu près à la hauteur du sexe sa Maîtresse. Nicole se pencha dans son dos et s’empara de la laisse.

— Bien petite salope. Dit-elle en lui tapotant la tête avec condescendance.

— Maintenant, baisse-toi un peu plus et contemple mon sexe.

Allie s’assit sur les talons et regarda la fente de la jeune femme.

— Regarde comme il luit pour toi, je suis très humide pour toi.

Allie plongea son regard dans les chairs moites du sexe de Nicole.

— Viens plus près ma fille, colle-toi contre moi afin bien me sentir et ne plus rien voir d’autre que mon sexe.

Allie s’inclina jusqu’à ce que son nez soit à quelques centimètres de l’intimité de sa Maîtresse.

— Alors que penses-tu de ma chatte ?

— Elle est très mouillée Maîtresse. Répondit l’adolescente d’une toute petite voix.

— Tu ne trouves pas qu’elle est d’un joli rose ?

— Si Maîtresse.

— Je veux que tu l’embrasse tout doucement, avec amour, que tu poses tes lèvres très délicatement.

Allie se pencha lentement, fronça les lèvres et embrassa le sexe offert avec douceur. Nicole regardait avec fascination cette adolescente de rêve pousser sa bouche admirable entre ses lèvres intimes. Son rêve devenait réalité. Puis, Allie embrassa le clitoris de sa Maîtresse avec la même dévotion. Nicole ressentit une secousse lorsque son sexe qui la démangeait depuis si longtemps lui procura un plaisir inouï au contact des doux baisers de la petite. Elle rejeta la tête en arrière et poussa un gémissement. L’adolescente embrassa le côté des lèvres sexuelles de Nicole. Le goût musqué et salé la fit frissonner. La saveur était plus agréable que ce qu’elle s’était imaginé. Elle embrassa l’autre côté. Nicole raffermit sa prise sur la laisse de son esclave et s' en servit pour attirer la jeune fille encore plus fort contre son sexe.

— Maintenant, petite chienne, lèche !

Allie sortit sa langue et s’exécuta.
Elle n’était pas très experte mais Nicole pensa qu’elle allait devenir la meilleure lécheuse de chattes du coin lorsqu’elle en aurait fini avec elle. Rapidement la jeune femme se trouva au comble du plaisir en frottant convulsivement son sexe contre le visage de l’adolescente, et contre sa langue.

Elle allait vraiment se régaler avec son nouveau jouet.

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Allie et Nicole, par Annie The Slick - Communauté : Soumissions féminines
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Lundi 13 février 1 13 /02 /Fév 19:44

Chapitre 2 - Le couple va au restaurant.

Nicole était folle de désir ! Elle se trouvait dans sa voiture, avec une adolescente de rêve, blonde aux yeux bleus, qui était assise à côté d’elle et portait une jupe courte très provocante. Elle avait posé sa main sur la cuisse de l’adolescente, à quelques centimètres de son entrecuisse. Allait-elle réussir à se retenir jusqu’au dîner sans la violer ? Avec tous les événements de l’après-midi, elle en avait trempé sa culotte.

Pendant tout le chemin du retour, elle conduisit avec une main posée sur la cuisse d’Allie. Lorsqu’elle fut rentrée dans son garage, elle lui tapota à nouveau la cuisse et descendit de la voiture. Allie aurait voulu qu’elle laisse sa main un peu plus longtemps tant cela titillait sa libido. À regrets, elle suivit son amie dans la maison, portant toujours ses sacs. Elle la rejoignit dans la cuisine.

— Il est cinq heures, j’ai réservé pour six. Le temps de me préparer et on décolle dans une demi-heure. Elle sourit à l’adolescente et se dirigea vers la sortie de la cuisine. Au passage, elle lui tapota les fesses. — Ah au fait ! Dit-elle en traversant l’entrée, — En plus des sous-vêtements, j’ai acheté quelques justaucorps pour la nuit. Ils étaient très chers, mais je veux ce qu’il y a de mieux pour ma petite fille. Nous avons le temps, pourquoi ne les essayerais-tu pas pour montrer comme ils te vont ? Ça me ferait vraiment plaisir.

En posant les sacs sur le bar, Allie sentit son estomac se contracter. Elle attrapa lentement le sac "Victoria Secrets" et l’ouvrit pour regarder ce qu’il y avait à l’intérieur. Elle découvrit trois minuscules bodys, pliés sur ses sous-vêtements neufs : un rouge, un crème et un noir.

— Mets celui qui est couleur crème, je pense que c’est celui qui t’ira le mieux ! Lança Nicole depuis sa chambre.

L’adolescente les sortit du sac, c’étaient de petits justaucorps en soie, vaporeux et très échancrés. Visiblement, ils ne cacheraient pas grand-chose de son corps. Elle était troublée. D’un côté, elle savait qu’elle aurait dû éprouver de la reconnaissance envers son amie pour s’ être occupée si gentiment d’elle et lui avoir acheté tout ça, mais d’un autre côté, ça la mettait mal à l’aise de porter des parures aussi indécentes. Perdue dans ses pensées, elle commença à se déshabiller. Elle ôta la robe, puis son soutien-gorge et sa culotte, quitta ses chaussures et se tint nue, debout dans la cuisine. Elle leva à bout de bras le petit déshabillé crème transparent, cherchant dans quel sens elle devait l’enfiler.
Sans perdre de temps, elle l’enjamba et le fit glisser le long de ses cuisses jusqu’à sa taille. Elle mit les bretelles en place sur ses épaules et inspecta l’allure que ça lui donnait. Le vêtement lui semblait un peu trop grand et était si léger qu’il ne dissimulait aucune partie de son corps complètement. L’un ou l’autre de ses petits seins pointaient toujours tour à tour à l’extérieur et, sa foufoune ou ses fesses se découvraient au moindre mouvement.

Rouge de honte, elle se dirigea vers la chambre de sa tutrice. Lorsqu’elle y entra, Nicole avait déjà revêtu un splendide ensemble tailleur pantalon. Elle paraissait si adulte. Telle la femme d’affaires sûre d’elle qu’elle était. Elle se tourna et sourit à Allie.

— Tu es tellement sexy qu’on en mangerait.

Allie sourit légèrement. Elle ne savait pas exactement comment interpréter l’expression mais, finalement, elle se sentait bien dans la soie.

— Tourne-toi petite dévergondée. Allie pivota lentement sur elle-même. — Non, non, non, sois un peu plus provocante. Pense à ce que tu portes, soit un peu plus aguichante.

Allie tourna sur elle-même avec un peu de réserve et de sensualité. Elle voulait faire plaisir à sa tutrice, mais elle n’avait jamais pratiqué quoi que ce soit de ce genre auparavant.
Nicole adorait ça. Elle avait devant elle une adolescente dont le corps ressemblait à celui d’une fillette à peine pubère. Celle-ci s’exhibait en lingerie devant elle, dans sa chambre, faisant son possible pour paraître sexy. Elle attendait avec hâte le moment où elle la dominerait sexuellement, ce qui ne saurait tarder.

— Bien, il y a encore du travail. Comment te va-t-il ? Sans attendre la réponse, elle s’approcha, et avant que la jeune fille ait pu faire un geste, elle avait mis ses mains en coupe autour de ses seins. — N’es-tu pas un peu trop serrée ici ? La jeune femme en bavait presque lorsqu’elle glissa une main sous le tissu pour, enfin, toucher les petits seins aux formes parfaites. Les tétons de l’adolescente se tendaient déjà, tant elle était soumise à une excitation constante, mais ils devinrent encore plus rigides avec le massage qu’ils reçurent.

— Tu es à l’aise ? non ? Demanda Nicole sur un ton qui sonnait faux.

— Oui, je pense que ça va. Répondit Allie en poussant un soupir rauque.

— Et par ici ? Demanda Nicole en faisant glisser sa main à l’intérieur de l’ourlet qui bordait l’entre jambe. Elle pouvait sentir les poils de l’adolescente lui chatouiller le dos des doigts. Allie ferma les yeux en retenant son souffle. Tout son être se concentrait sur les mains de Nicole : Celle sur son sein qui la caressait gentiment et l’autre, tout contre sa féminité. Elle aurait aimé que la jeune femme s’enhardisse, qu’elle fasse glisser son doigt dans son sexe, à l’intérieur.

— Ça v… va b… bien. Répondit-elle d’une voix presque inaudible.

Nicole fit glisser ses doigts lentement à l’intérieur de l’ourlet, poussant Allie à écarter légèrement les jambes pour lui livrer l’accès à ses organes génitaux.

— Même là-dessous ? Demanda-t-elle alors que ses doigts se trouvèrent à quelques millimètres de l’intimité de la jeune fille.

— Oouuii.

Les doigts de Nicole entrèrent en contact avec sexe de l’adolescente. Elle était très humide.

— Dis donc, tu es trempée ! Bien, mais nous verrons ça plus tard. Pour l’instant, nous n’avons pas vraiment le temps de nous occuper de tes pulsions sexuelles.

Elle retourna sa main et inséra rapidement son majeur entre les lèvres étroites et lubrifiées de l’adolescente. Allie laissa échapper un gémissement et eut presque un orgasme. Elle ferma les yeux et crispa ses paupières, au bord de l’extase.

"Nous verrons ça plus tard." C’était la chose la plus dure à laquelle Nicole eut jamais dû se résoudre, mais elle retira son doigt de l’innocent tendron, et lui demanda d’aller chercher les deux autres justaucorps pour les essayer pendant qu’elle finissait de se préparer. Lorsque Allie se fut exécutée, elle renifla son doigt et en lécha les traces humides. Si jolie et si jeune, elle allait se régaler avec ce nouveau jouet.

Les jambes chancelantes, Allie regagna la cuisine. Elle y prit les deux déshabillés restants et retourna dans la chambre. La tête lui tournait sous les émotions conflictuelles qui l’habitaient. Elle aurait bien voulu que Nicole l’emmène au bout de son plaisir, mais, au fond d’elle-même, une petite voix lui murmurait que ça n’était pas possible. De plus, son accoutrement l’embarrassait. Elle n’aimait pas les filles et n’était pas lesbienne. Mais alors, pourquoi était-elle si excitée ?

Lorsqu’elle fut de retour dans la chambre, Nicole l’inspecta à nouveau en tournant autour d’elle.

— Super, cette couleur te va à merveille.

Allie se sentait exhibée comme un objet, c’était si gênant.

— Et si tu essayais le rouge, maintenant, tu dois probablement être très sexy avec lui.

Nicole resta debout devant l’adolescente pendant qu’elle quittait le body et se dénudait devant elle. Ses seins étaient parfaits. Sa minette était ornée d’un fin duvet. La jeune fille attrapa le sous-vêtement rouge et commença à l’enfiler.

La jeune femme consulta sa montre et dit :

— Zut, nous allons être en retard, il faut y aller.

Elle prit fermement la main de sa protégée qui en laissa échapper la lingerie sur le sol et la guida, toujours nue, jusqu’à la cuisine.

Nicole entra la première, impressionnante dans son splendide tailleur bleu marine, suivie par Allie, complètement nue.

— Dépêche-toi, petite vicieuse, il faut qu’on y aille. Mets ta robe noire et la lingerie assortie. Nous allons dans un endroit chic et je ne veux pas avoir honte de toi. Tiens, je vais t’aider.

Elle attrapa le soutien-gorge, se positionna derrière l’adolescente hébétée et lui fit passer le sous-vêtement, sans omettre d’empaumer les petits seins fièrement dressés pour s’assurer qu’ils étaient bien en place. Puis elle se saisit du string et le fit glisser avec délices le long des jambes minces de l’adolescente.

Lorsqu’il fut en place, elle tira sur le sous-vêtement, le faisant adhérer étroitement aux chairs tourmentées de sa victime.

— Comment te sens-tu ?

Elle crocheta un doigt sous le string et le fit glisser entre les cuisses d’Allie qui écarta les cuisses complaisamment. Son doigt se faufila aisément dans le sexe humide de l’adolescente. Elle s’appuya contre son dos. Devant l’absence de réponse, la jeune femme se servit de son autre main pour empaumer un petit sein et commença à la caresser.

— Je t’ai demandé comment tu te sentais.

Chuchota-t-elle dans l’oreille d’Allie.

— Hmmm… J… Je… Ils me vont bien. Bredouilla la jeune fille.

Nicole fit doucement glisser son doigt d’avant en arrière dans la conque humide tout en massant le sein de l’adolescente. Elle la tenait fermement plaquée contre elle.

— Tu veux que j’arrête ? Demanda-t-elle.

— Non… S’il te plaît, fais-le moi. Demanda la jeune fille dans un souffle.

— J’aimerais bien avoir le temps, mais nous devons partir.

Au même moment, elle enfonça entièrement son doigt dans le sexe sans défense. Submergée par une vague de plaisir, Allie serra les dents. Elle était au bord de l’orgasme. Mais Nicole en avait décidé autrement et se retira brusquement.

— Mets vite ta robe, petite cochonne, je ne veux pas être en retard.

Au comble de la frustration, Allie laissa échapper un soupir de désir. Elle en resta étourdie un moment avant de réaliser que Nicole lui redemandait de mettre sa robe.

Elle la fit passer par-dessus sa tête. La noire lui allait mieux que les autres. Au moins ses fesses ne seraient pas visibles à chaque pas. Nicole l’amena jusqu’à la voiture et démarra dès qu’elle fut assise.

— Peut être que nous pourrons nous occuper de cette démangeaison pendant le trajet. Baisse ta culotte petite salope.

Allie se dit que même si elle obéissait, ça ne lui ressemblait pas. Elle était une fille bien, pas une salope obsédée sexuelle. Mais pour l’instant, elle était trop excitée pour ne pas le faire. Elle attrapa l’ourlet de sa jupe et la souleva, exposant son entrejambe à la vue de sa tutrice, puis glissa ses doigts dans la ceinture de sa culotte, souleva les fesses de quelques centimètres, et fit glisser sa culotte jusqu’à ses genoux.

— Tu as un joli minou Allie.

L’adolescente sourit un peu, on ne l’avait jamais complimentée sur son sexe, mais il était vrai que, jusqu’à aujourd’hui, jamais personne ne l’avait vu. Elle resta immobile sans savoir trop quoi dire ou quoi faire.

— Tu pourrais dire merci quand on te fait un compliment. Lui dit Nicole d’un ton sévère.

— Merci Nicole. Répondit timidement l’adolescente.

— Est-ce que tu es toujours aussi mouillée ?

— Oui Nicole.

— Touche-toi et dis-moi à quel point tu es humide, mais ne te caresse pas.

L’adolescente tint sa jupe de sa main droite et plongea l’autre entre ses cuisses. Elle positionna son majeur contre sa fente et le fit pénétrer entre les parois de ses lèvres. C’était glissant et honteusement humide. Son doigt fut immédiatement couvert de sécrétions.

— Je suis très mouillée Nicole.

— Tu as envie de te caresser ? Demanda la conductrice.

Elle aussi recommençait à s’exciter en regarder l’adolescente s’exhiber.

— Oui Nicole.

Allie avait fermé les yeux, son doigt était resté contre son clitoris, l’appuyant sur sa fente, profitant de la pression. Une irrésistible envie de se caresser l’obsédait, tant elle s’était retenue jusqu’à présent.

— Si tu me le demande poliment, je te laisserai te caresser petite cochonne. Dit Nicole sérieusement.

— Est-ce que je peux me caresser s’il te plaît ? Supplia Allie.

— Demande encore, mais cette fois… en me vouvoyant et en m’appelant Maîtresse.

L’envie qu’éprouvait Allie était trop impérieuse pour qu’elle aie l’idée de remettre en question son aînée, elle répéta simplement :

— Est-ce que je peux me caresser s’il vous plaît Maîtresse ?

— D’accord petite salope, mais tu ne jouira pas tant que je ne t’y aurai pas autorisée.

Aussitôt, Allie commença à se masturber sur le siège de la BMW.

— Soulève un peu plus ta jupe, petite salope, je veux te voir faire.

Allie obéit en continuant à se caresser de plus en plus frénétiquement. Elle avait les yeux fermés et sa lèvre inférieure était serrée contre ses dents pendant qu’elle tentait furieusement de se soulager.

— Je te rappelle que je ne veux pas te voir jouir tant que je ne t’en ai pas donné la permission. Alors tu ferais mieux de ralentir un peu.

Allie gémit de frustration, s’il fallait qu’elle retienne sa jouissance, il fallait presque qu’elle arrête les mouvements de son doigt.

— Allie ! Tu m’entends ? La voix de Nicole se fit impérieuse.

— Oouuii. Dit la jeune fille en ralentissant son mouvement.

— Oui qui petite salope ? Demanda la jeune femme sévèrement.

— Oui Maîtresse. Répondit l’adolescente sans y penser en tentant désespérément de ralentir la rotation que son doigt effectuait autour de son clitoris.

— Je préfère ça. Écarte un peu plus tes jambes, petite cochonne. Je veux mieux voir ta minette.

Allie écarta ses cuisses autant que lui permettait l’élastique de sa culotte étiré au maximum. Nicole pouvait voir la finesse du tissu qui ressemblant à une bande élastique, les parois humides du sexe de la jeune fille que leur jus rendait luisantes. Assise au fond de son siège, l’adolescente avait immobilisé sa main et haletait à travers ses dents serrées. Le simple fait de garder son doigt appuyé sur son clitoris était déjà trop pour elle. Nicole était au paradis, l’obéissance de l’adolescente l’enchantait.

Elles approchaient du restaurant dans lequel Nicole avait réservé une table. En arrivant dans l’avenue, Allie gémissait de frustration.

— OK petite salope, tu peux jouir maintenant.

Allie recommença à remuer sa main en recherchant furieusement son orgasme. Au même moment, Nicole baissa sa vitre et dirigea sa voiture vers l’entrée du parking surveillé. À ses côtés, l’adolescente gémissait sans discontinuer, la culotte aux genoux, les jambes aussi écartées que possible, les yeux clos, la jeune fille agitait ses doigts aussi vite que possible. Nicole s’arrêta à côté de la guérite du gardien. C’était un jeune homme dont la mâchoire resta ouverte sous l’effet de la surprise qu’il éprouva en voyant la jeune fille qui se caressait sur le siège passager.

— Puis-je avoir un ticket s’il vous plaît.

Nicole avait légèrement haussé la voix pour se faire entendre à travers les gémissements de plaisir de la jeune fille. Sa question tira le jeune homme de sa rêverie.

— Hmmm… ouais.

Il lui tendit distraitement un billet et Nicole redémarra immédiatement tandis qu’Allie continuait inconsciemment à se masturber. Le gardien en resta bouche bée.

Lorsque la jeune fille atteignit le point culminant de sa volupté, elle éprouva le plus merveilleux orgasme de sa vie.  Elle se mit à haleter et son corps se tendit comme un arc lorsque sa jouissance explosa. Elle continua à caresser son sexe jusqu’à ce que son plaisir diminue suffisamment pour qu’elle puisse ouvrir les yeux. Elle remarqua qu’elles se trouvaient dans un parking souterrain, et n’eut même pas le souvenir d’y être descendu. Le moteur était éteint et Nicole l’observait en restant assise derrière son volant.

— Ca fait du bien petite salope ? Demanda Nicole.

Allie était complètement hébétée et elle s’entendit à peine répondre :

— Oui Maîtresse.

Venait-elle d’appeler Nicole "Maîtresse" ? Comment était-ce possible ?

Alors, elle commença à se souvenir de leur trajet, comment elle s’était masturbée, Nicole qui avait exigé qu’elle l’appelle "Maîtresse"… Y avait-il autre chose ? Oh mon dieu, pensa-t-elle, le gardien qui avait du tout voir.

— Nicole… est-ce que j’ai… est-ce que le gardien m’a vue ?

— Ah c’est sûr, petite cochonne, tu étais si indécente. Et je ne pouvais pas t’interrompre, tu semblais tant aimer ça. Tu lui a offert un tel spectacle qu’il va certainement en parler à ses collègues pendant des années. Maintenant remet ta culotte, petite nymphomane et allons-y, il va être tard.

Avant qu’Allie ait pu répondre, Nicole descendit de la voiture. La jeune fille resta sous le choc quelques instants. Que lui arrivait-il, elle n’était pas comme ça, elle ne pouvait pas s’être masturbée dans la voiture de Nicole, il n’y avait que les salopes pour se comporter ainsi. Et elle n’en était pas une… Non, elle ne pouvait pas être comme ça.

Nicole ouvrit la porte de sa passagère.

— Allez ma jolie, tu n’as pas le temps de recommencer sinon tu vas nous mettre en retard.

Allie sortit de la voiture, elle avait oublié que sa culotte était baissée et dut se tortiller pour la remonter pendant que Nicole l’avait attrapée par le bras et la guidait jusqu’à l’ascenseur. Sa robe remonta et elle renfila tant bien que mal sa culotte. Elle n’arriva pas à la remettre correctement et son sexe ne fut pas entièrement recouvert par le tissu du string. Elle dut renoncer à ses efforts pour ménager sa pudeur car elles arrivaient à l’ascenseur et elle ne voulait pas que quelqu’un la surprenne.

Elles pénétrèrent dans la cabine.

— C’est un restaurant chic ici, petite cochonne, alors je veux que tu te tiennes correctement et que tu contrôles tes manies de petite nymphomane en herbe.

La porte coulissante s’ouvrit et Nicole poussa la jeune fille, qui était encore sous le coup de l’émotion, devant elle. Un couple habillé avec classe entra en même temps qu’elles. Nicole poussa Allie dans le fond de l’ascenseur et relâcha son bras.

La porte se referma et Nicole entama une conversation banale sur la pluie et le beau temps avec le couple. Pendant tout ce temps, sa main resta sur les fesses dénudées de la petite blonde, la caressant doucement. Elle glissa lentement un doigt entre les jambes de l’adolescente et le fit coulisser délicatement entre les lèvres de son sexe. Allie aspira une grande goulée d’air. Sa tutrice continua à discuter avec le couple, parlant de la bourse, tout en insérant progressivement son doigt dans son sexe. Une phalange d’abord, puis deux et enfin jusqu’à la dernière phalange. Elle se mit à la masturber tout en conversant avec le couple. Allie était en feu, une odeur d’excitation commença à se répandre dans l’ascenseur. Dedans et dehors, dedans et dehors.

C’est en arrivant à l’étage du restaurant que la femme avec qui Nicole discutait commença à remarquer l’odeur musquée qui émanait d’Allie, elle lui jeta un regard suspicieux. Elle avait deviné que la petite salope était excitée, elle pouvait sentir l’odeur de ses émois. Nonchalamment, Nicole retira sa main de l’entrecuisse de l’adolescente et l’accompagna jusqu’au maître d’hôtel qui les accueillit à l’entrée. Le couple fut installé avant elles et Allie dut attendre debout, devant tout le monde, avec sa culotte de travers et son sexe ruisselant d’humidité, ne souhaitant plus qu’une chose : que Nicole achève ce qu’elle avait commencé. Elle souhaitait désespérément se rendre aux toilettes pour assouvir au plus vite le besoin qui la taraudait.

Le maître d’hôtel revint vers elles et leur demanda si elles avaient une réservé.

— Oui, au nom de Johnson.

Il regarda rapidement son carnet de réservations et leur déclina un sourire de commande avant d’appeler une hôtesse d’accueil pour les installer à leur table. Elle s’appelait Cheri. C’était une jolie femme blonde qu’Allie regarda différemment après les événements de la journée. En la suivant, elle observa la façon dont sa démarche faisait danser son postérieur. Elle se la représenta, sans aucun vêtement. Que lui arrivait-il ? Elle n’était pas lesbienne, elle aimait les garçons, non ? C’était très embarrassant. Cheri les guida à travers la salle jusqu’à une table située contre une fenêtre et s’apprêtait à installer Nicole lorsque celle-ci l’interrompit en lui parlant à voix basse :

— Je suis désolée d’avoir à vous demander ça, mais je ne voudrais pas cette petite nymphomane détériore vos sièges. Elle est trempée… Là-dessous… Vous savez… Intimement. Elle vient de se masturber pendant tout le trajet et j’ai peur qu’elle tache vos beaux sièges. Pourriez-vous nous apporter une serviette sur laquelle elle pourrait s’asseoir ?

L’hôtesse parut choquée, elle jeta un regard de désapprobation à Allie et les abandonna pour aller chercher ce qu’on lui demandait. Allie n’avait pu entendre les paroles de sa tutrice mais au moment où elle allait s’asseoir, Nicole exigea qu’elle attende le retour de la jeune femme. Elle s’assit tandis qu’Allie attendait debout, embarrassée, et se demandant ce que cheri était parti faire. L’hôtesse revint avec un torchon à vaisselle, elle poussa l’adolescente sans ménagement, murmurant "salope" entre ses dents et étala avec précaution la serviette sur le siège d’Allie. Plusieurs personnes attablées à proximité en furent témoins et dévisagèrent l’adolescente fille en chuchotant entre elles.

Allie était profondément humiliée : attendre debout pendant que la blonde plaçait la serviette protectrice sur son fauteuil la mortifiait. Elle aurait voulu ramper dans un trou à l’intérieur duquel elle aurait pu se cacher, mais Nicole lui ordonna de s’asseoir. Elle obéit et s’assit sur le torchon rêche. Le tissu usé lui fit une impression bizarre en entrant en contact avec ses cuisses.

L’hôtesse déclara que leur serveuse allait rapidement arriver et s’en alla.

Nicole fixa Allie d’un air grave.

— Je ne veux pas que tu boudes, ma jolie, nous sommes ici pour nous amuser. Mais, d’un autre côté, je ne peux pas non plus te laisser détériorer le beau mobilier de ce restaurant. Si tu ne te comportais pas comme une chienne en chaleur, il n’y aurait pas de problème.

— Je ne suis pas une salope. Répondit l’adolescente à voix basse.

— Pas une salope !? Je t’en prie, tu m’as suppliée de te pénétrer avec mon doigt avant que nous partions, ensuite tu t’es masturbée dans ma voiture pendant tout le trajet, tu crois que c’est un comportement normal pour une adolescente de ton âge ? Moi, je ne crois pas. Maintenant, il suffit avec cette mesquinerie, si tu arrives à garder tes mains hors de ton sexe, nous allons pouvoir commander à manger.

En levant les yeux, elles constatèrent que la serveuse se tenait à côté de leur table. Depuis quand ? Allie n’aurait su le dire, mais visiblement elle était là depuis suffisamment longtemps puisqu’elle se pencha vers elle et dit :

— Ne vous inquiétez pas mesdames, je ne vais pas vous poser de problèmes. Je suis lesbienne moi aussi, alors je comprends parfaitement à quel point il peut être compliqué d’assumer sa sexualité dans une société qui prône l’hétérosexualité.

Allie aurait voulu se défendre, mais Nicole répondit à sa place.

— Merci, nous apprécions votre compréhension, par moments cette jeune fille est tellement obsédée qu’elle a du mal à garder ses mains hors de sa culotte.

Ce fut Nicole qui passa la commande, ne laissant même pas à Allie le loisir de consulter le menu. Elle lui commanda une salade légère à la sauce vinaigrette et choisit un veau marsala et du vin pour elle.

Dès que la serveuse fut partie, Nicole lui demanda si elle la trouvait jolie.

— Ouais, j’imagine. Répondit Allie sèchement.

— Allie, qu’est-ce que c’est que cela signifie ? Ne m’es-tu pas reconnaissante de t’avoir emmenée dans un restaurant chic ? N’apprécies-tu pas tout ce que j’ai fait pour toi ? Décidément tu es bien ingrate.

Allie fût stupéfaite. Il ne lui était pas venu à l’idée qu’elle pouvait contrarier Nicole. Elle était la seule à l’aider et, par-dessus tout, elle ne voulait pas la décevoir. Elle tenta de se justifier confusément. Elle ne voulait pas passer pour une nymphomane, mais c’était peut-être ce qu’elle était. Quoi qu’il en soit, elle souhaitait de tout son cœur ne rien faire qui puisse déplaire à Nicole.

— Je suis désolée, Nicole, j’essayerai de faire de mon mieux.

— Je préfère ça, petite chienne. Maintenant sourit et amuse-toi.

Betsy, leur serveuse apporta les plats et s’attarda un peu à côté du fauteuil d’Allie. Nicole fit en sorte qu’elle porte son attention sur l’adolescente. Betsy paraissait avoir dans les 19 ans. C’était une brune plutôt athlétique. L’adolescente fut embarrassée quand la serveuse commença à s’intéresser à elle.

Plus tard, au cours du dîner, Betsy vint s’enquérir de leur confort. Nicole lui demanda s’il lui plairait d’avoir un aperçu des jambes d’Allie.

— Oui, ça serait génial. Dit la serveuse à voix basse. Nicole hocha la tête et sourit.

— Soulève un peu ta robe pour ta nouvelle amie, petite chienne, qu’elle puisse te voir un peu mieux.

Allie ne savait pas quoi faire, elle ne voulait pas montrer ses jambes à la serveuse mais elle ne voulait pas non plus faire d’esclandre. Alors elle se résigna à remonter l’ourlet de sa jupe de quelques centimètres sur ses cuisses, préservant sa pudeur autant que possible.

— Est-ce que cela vous suffit ?

Betsy se pencha en avant et regarda les genoux de l’adolescente.

— Non, je ne vois rien.

— Allie, soulève ta robe jusqu’à la taille afin que Betsy puisse voir ta culotte. Tu es une jeune fille polie avec des bonnes manières n’est-ce pas ?

Allie était au bord des larmes, mais dans sa confusion, elle ne savait pas quoi faire. Elle souleva sa jupe jusqu’à sa taille pour montrer sa culotte à la serveuse. Ce fut à ce moment qu’elle se souvint qu’elle s’était mal reculottée et que la jeune femme allait avoir une vue imprenable sur son sexe. Honteusement, elle baissa la tête et exhiba son entrecuisse à la serveuse.

— Vous en montre-t-elle suffisamment maintenant ? Demanda Nicole.

— Oh ouais !

Répondit Betty en regardant avec insistance l’entrecuisse de l’adolescente dont le string noir était entièrement visible. Il était de travers et légèrement sur le côté, si bien que quelques poils duveteux, ainsi qu’une lèvre intime dépassaient sur le côté du sous-vêtement et étaient exposés à la vue de la jeune femme. Elle pouvait voir à quel point Allie était trempée et la tache d’humidité qui commençait à imbiber le torchon à vaisselle qui était étalé sous ses fesses.

— Heureusement que Cheri lui a donné une serviette, elle est en train de la tacher.

Nicole et Betsy rirent de bon cœur au grand désespoir d’Allie.

— Betsy, c’est peut-être un peu prématuré, mais aimeriez-vous venir à la maison ce week-end ?

Allie était effarée, qu’est-ce que Nicole avait en tête ?

— Je n’ai pas l’habitude de sortir avec mes clients, mais cette petite adolescente m’a réellement excitée. Ouais, j’aimerais vous rendre visite. À quelle heure ?

Les deux jeunes femmes mirent les détails au point et Betsy partit chercher leurs desserts.

— Je pense que tu lui a fait beaucoup d’effet ma chérie. Dit Nicole.

 — Tu ne trouves pas qu’elle est mignonne ?

Allie ne sut quoi répondre, elle n’avait jamais éprouvé d’attirance pour une femme, et elle n’avait jamais pensé qu’elle pourrait en éprouver un jour. Mais Nicole insista et lui dit qu’elle avait certainement des tendances cachées qu’elle lui révèlerait plus tard.

Lorsqu’elles eurent fini leur repas, Betsy les raccompagna jusqu’à la sortie en les remerciant d’avoir passé la soirée dans le restaurant. Nicole lui rendit la politesse et emmena Allie jusqu’à l’ascenseur. Une fois dans la cabine, elle attendit la fermeture des portes pour se jeter sur l’adolescente et la clouer contre la paroi.

Allie lut dans les yeux de sa tutrice tout le désir animal qu’elle lui inspirait. Elle ne se défendit pas lorsque Nicole posa ses lèvres sur les siennes et l’embrassa sauvagement.

— Je me suis retenue toute la journée. Tu m’as provoquée en permanence avec tes manières de petite chienne en chaleur.

Elle saisit la jeune fille dont ses bras et l’embrassa profondément. Allie avait les yeux grands ouverts, Nicole l’embrassait, ça la rendait si confuse, elle n’était pas une lesbienne… Elle n’aimait pas les femmes…
Mais le baiser et l’étreinte qui l’accompagnait étaient si agréables. Rapidement, elle rendit son étreinte à la jeune femme et ferma les yeux en s’abandonnant. Nicole la souleva et lui écarta les jambes en la maintenant contre la paroi. Allie entoura ses jambes autour de celles de la jeune femme et lui l’embrassa avec passion.

Soudain, alors qu’elles approchaient de leur étage, Nicole interrompit brusquement son baiser. L’adolescente émit un gémissement de frustration lorsque sa tutrice la reposa par terre et entreprit de remettre un peu d’ordre dans sa tenue. Lorsque les portes s’ouvrirent, elle attrapa l’adolescente hébétée par la main et la fit sortir de l’ascenseur.

— Tu seras ma petite salope lesbienne. N’est-ce pas ?

Allie aurait bien voulu dire que non, elle n’était pas attirée par les femmes et qu’elle n’était certainement pas une salope. Mais elle venait à l’instant d’embrasser Nicole passionnément dans un ascenseur et tout ce qui comptait maintenant était de faire l’amour avec elle. Son esprit d’adolescente était bouleversé.

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Allie et Nicole, par Annie The Slick - Communauté : Soumissions féminines
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mercredi 8 février 3 08 /02 /Fév 19:20

Chapitre 1: La prise en main

— Ne t’inquiète pas Allie, tu peux venir habiter chez moi aussi longtemps que tu le souhaites, je ne te laisserai pas tomber.

Nicole étreignit la si naïve jeune fille. Elle fantasmait sur la jeune adolescente depuis qu’elle avait été sa baby-sitter. La petite était alors âgée de six ans. Aujourd’hui, à 27 ans, elle avait obtenu sa garde car les parents d’Allie l’avaient désignée comme tutrice.
Les cheveux blonds de la jeune fille et ses yeux bleus étaient ternis par sa robe de deuil noire. Ses parents venaient d’être tués dans un accident de la circulation et elle n’avait pas d’autre famille. L’orpheline n’avait ni grands parents, ni cousins et venait juste de fêter son anniversaire. Elle n’avait nul endroit où aller.
Nicole, au contraire, avait une situation, une maison dans laquelle elle pouvait accueillir l’adolescente désespérée. Aussi lorsque Nicole proposa de l’héberger, Allie ressentit un grand soulagement.

Pendant les semaines qui suivirent, Nicole l’assista en permanence dans sa nouvelle vie. Elle l’aida à vendre la maison de ses parents, remplissant tous les documents administratifs à sa place. Allie était anéantie. Il y avait une chambre d’amis dans la maison. C’était petit, en fait à peine une pièce avec un lit et une armoire, mais, pour Allie, c’était un "chez-soi" au moment où elle en avait le plus besoin.
Nicole l’aida à déménager. Elle ne possédait que quelques vêtements car Nicole lui avait fait revendre tout le reste, prétextant qu’elle n’en aurait plus besoin puisque dorénavant, ce serait elle, Nicole, qui s’occuperait d’elle. Allie était encore trop sous le choc pour se poser des questions, elle accepta sans arrière-pensée les conseils de son aînée.

Lorsque Allie fut complètement installée, Nicole instaura quelques règles. Comme elle travaillait et que la jeune fille était inoccupée, elle lui demanda d’entretenir la maison, de faire le ménage et la cuisine. Elle prétexta que c’était pour son bien et qu’il valait mieux qu’elle s’occupe au lieu de rester à ruminer dans son coin. Puis elle rajouta qu’elle pensait que ça ne serait pas une bonne idée de sortir seule avec l’état d’esprit dans lequel elle se trouvait actuellement.
Allie passa donc ses journées enfermée, à nettoyer la maison de son hôtesse, à lui préparer à manger. Nicole était très exigeante et, souvent, Allie dut recommencer le nettoyage de la cuisine ou la salle de bain. Chaque fois, elle prétextait que c’était pour son bien et que ça lui changeait les idées. Rapidement, Allie s’habitua à faire ce que Nicole exigeait d’elle.

Un mois plus tard, Nicole décida qu’il était temps de sortir de la maison. Elle suggéra un repas au restaurant. Allie aima l’idée et en ressentit un peu d’excitation. Pour la première fois depuis le drame qui l’accablait, elle avait envie d’autre chose. Nicole prétendit qu’avant tout il fallait qu’elles aillent acheter de nouveaux vêtements.

— Tes vêtements ont vécu de meilleurs jours. Avait-elle dit en inspectant un vieux pull marron. Franchement Allie, ta garde-robe laisse à désirer. Elle fait vieux jeu et tes vêtements sont tous usés. Pour la plupart, ils datent de ton enfance et ne te vont même plus. Je pense qu’il est temps de trouver des vêtements qui conviendront mieux à une jeune fille de ton âge.

— Oui Nicole, tu as raison.

Elle partageait l’avis de sa tutrice bien que ses commentaires la mettaient mal à l’aise. Ces vêtements étaient tout ce qui lui restait de ses parents. Nicole ouvrit la commode dans laquelle Allie rangeait ses sous-vêtements et farfouilla quelques instants dans la lingerie.

— Décidément, il faut faire quelque chose. Dit-elle en inspectant une vieille paire de culottes grises en coton.

 — Franchement, ce sont des culottes de gamine, il faut qu’on t’achète des sous-vêtements de ton âge pour aller avec de nouveaux vêtements.

De la tête, Allie acquiesça avec un petit sourire résigné.

— Bien, allons-y, jeune fille, en route pour le centre commercial.

Nicole les conduisit en BMW jusqu’au centre commercial du quartier où elle connaissait une petite boutique de vêtements à prix abordables. Elles y pénétrèrent et elle commença à faire son choix pour Allie. L’adolescente se contentait de l’accompagner dans les rayons. Elle avait la charge de porter les robes que Nicole lui tendait au fur et à mesure qu’elle les décrochait des présentoirs. Ce n’étaient pas celles qu’elle aurait choisies, mais elle avait conscience que son amie faisait ça pour elle et, par reconnaissance, elle ne lui en toucha mot. Les robes étaient courtes et très fines, deux d’entre elles étaient rouges, une autre noire et la dernière avait des motifs fleuris.

Nicole l’escorta jusqu’aux cabines d’essayage, en trouva une qui était vide et y entra avec Allie.
Elle se tourna vers la blonde et dit :

— Ok, maintenant commence par celle avec les fleurs. Son regard était fixé sur la jeune fille, dans l’expectative.

L’adolescente fut un peu surprise que sa tutrice reste avec elle, mais elle resta silencieuse. Lentement, elle retira son pull-over, révélant un vieux soutien-gorge démodé. Nicole se régalait en regardant le déshabillage. C’était mieux que tout ce qu’elle avait pu imaginer, Allie ne lui avait pas demandé de sortir de la cabine d’essayage. C’est une soumise née, pensa-t-elle. Les jolis petits seins de la jeune fille se maintenaient fermement dans les bonnets B du soutien-gorge grossier. Elle était impatiente d’échanger le vilain sous-vêtement strict par un autre plus sexy et en dentelle, mais bon, chaque chose en son temps. Lentement, Allie baissa son vieux jean sur ses chevilles en rougissant, exhibant son corps jeune et mince, ses longues jambes bien galbées et ses petites fesses rondes et fermes que masquait une culotte de coton affligeante. Elle se retint péniblement pour ne pas se jeter sur elle, lui arracher ses effets et prendre possession de son corps, de force, sans plus attendre. Mhhh, patience, se dit-elle.

Allie se tenait devant Nicole, elle ne portait plus que sa culotte, son soutien-gorge et ses tennis. Toutes deux restèrent immobiles pendant un instant. Timidement, l’adolescente baissa les yeux. Le regard de la jeune femme l’inspectait avec insistance, remontant de ses pieds jusqu’à ses fesses pour finir par se fixer sur ses seins, se repaissant de l’apparition, criante d’innocence, qu’elle représentait à ses yeux.

— Alors ? Dit Nicole d’un ton impatient, malgré son regret de ne pouvoir profiter plus longtemps de cette vision enchanteresse. — Habille-toi donc ! A moins que tu aies envie de rester en sous-vêtements ?

Rouge de honte, Allie acquiesça de la tête et enfila la robe à fleurs. Elle était très courte et lui recouvrait à peine les fesses. En réalité, elle était trop petite pour elle, mais Nicole décida que ça lui allait à la perfection.

— La mode se porte très courte aujourd’hui.

Nicole se régala un moment des contorsions qu’Allie fit en tirant sur sa robe pour l’empêcher de dévoiler sa culotte, c’était possible mais, pour cela, elle devait se tenir droite. Evidemment, son hideuse culotte grise en coton dépassait mais elle allait remédier à cela très bientôt.

— Nicole, je ne peux pas porter ça, c’est trop court.

— Ne sois pas idiote, ma chérie, toutes les jeunes femmes à la mode s’habillent comme ça aujourd’hui, tu veux avoir l’air branché non ?

— Je ne sais pas.

— Écoute, je ne veux pas gaspiller mon argent à remplacer tes vieux vêtements ringards par des vêtements minables.

— D’accord, je comprends.

— Je préfère ça, maintenant essaye la rouge.

La robe rouge était encore mieux, plus sexy avec deux petits cordons minces, qui couraient sur les épaules à la place des bretelles. C’était encore une robe très courte qui mettait à mal la pudeur d’Allie et l’obligeait à déployer des trésors d’ingéniosité pour ne pas dévoiler ses charmes aux regards indiscrets. Bien entendu, elles essayèrent la troisième robe et, lorsque ce fut fini, le sexe de Nicole était tellement humide qu’elle avait taché sa culotte. Elle avait la certitude qu’Allie pouvait sentir l’odeur poivrée de son excitation. Avant de sortir, comme Allie s’apprêtait à remettre son pull-over et son jean, Nicole l’interrompit.

— Allie, j’aimerais que tu portes une de ces nouvelles tenues que je viens de t’acheter, mets la rouge, s’il te plaît, elle te va à merveille.

Le ton était sans équivoque. Elle prit la robe que la jeune femme lui tendait et assista, impuissante au geste rapide qu’elle fit pour s’emparer du pull-over et du jean. Allie n’allait jamais les revoir. Nicole avait prévu de jeter tous ses anciens vêtements.

L’adolescente, vêtue de la robe légèrement transparente, se sentait mal à l’aise devant son aînée.

— Bien, prochaine étape : "Victoria secrets", il te faut aussi de la lingerie.

Allie était mortifiée, est-ce que pour Nicole allait l’obliger à changer de dessous en sa présence ? Elle suivit timidement son amie jusqu’à la caisse. Pendant que Nicole payait, elle se tint derrière elle, embarrassée par sa tenue qu’elle trouvait outrageuse. Les regards des gens autour d’elle montraient leur désapprobation, mis à part quelques hommes qui pensaient sûrement à la baiser. Elle se sentait plus que nue, exposée à la vue de tout le monde, mais Nicole la réconforta en lui disant qu’elle était superbe, si bien qu’elle finit par se dire que c’était elle qui fantasmait.

Après avoir payé, Nicole lui fit porter les sacs. Cela l’empêchait de tenir sa robe et de ménager sa pudeur. Elles traversèrent la galerie marchande jusqu’à Victoria Secrets. Pendant tout le chemin, Allie sentait sur elle les regards des gens qu’elles croisaient. Un peu plus loin, un groupe de filles de son âge discutaient. L’une d’entre elles l’aperçut et la désigna du doigt. Elle se sentait humiliée, sa jupe était plus courte que celle d’une majorette et, à chaque pas qu’elle faisait, sa culotte se montrait à la vue de tout le monde. Quoi qu’elle fasse pour l’en empêcher, cela ne changeait rien.

Enfin, elles arrivèrent à la boutique. Allie en fût soulagée. Au moins ici, il y avait moins de monde. L’air très sérieux, Nicole la guida jusqu’à jusqu’au rayon des strings. Elle en choisit une douzaine sans même lui demander son avis. Ensuite elle se dirigea vers les soutiens-gorges assortis en dentelle et fit sa sélection. Allie essaya de protester, mais Nicole l’ignora superbement, la contourna et présenta un string contre ses fesses.

— Parfait, maintenant va essayer ça et rapporte-moi tes vielles fripes.

Allie protesta bien un peu mais Nicole la poussa gentiment vers les cabines d’essayage. Une fois à l’abri des regards, l’adolescente chercha un moyen de conserver les sous-vêtements qu’elle portait. Peut-être que si elle acceptait de mettre les neufs aujourd’hui, elle arriverait à convaincre Nicole de la laisser remettre les autres plus tard. Résignée, elle décida de les enfiler, c’était ce que Nicole attendait et elle savait que c’était pour son bien. Lentement, elle quitta sa robe, ôta son soutien-gorge et baissa sa culotte. Au moins, Nicole n’était pas rentrée dans la cabine avec elle. C’est à ce moment, le rideau s’écarta sur sa tutrice.

— Je me demandais si le noir ne t’irait pas mieux.

Allie était entièrement nue. Lorsque Nicole lui tendit la lingerie, ébahie, elle s’en saisit. Avant qu’elle ait pu réagir, Nicole s’accroupit et s’empara des sous-vêtements qui reposaient à ses pieds. Allie n’avait plus d’autre possibilité que de porter la lingerie échancrée. Nicole resta un moment à détailler la jeune fille des pieds à la tête. L’adolescente se demanda si elle avait fait quelque chose de mal et baissa les yeux. La jeune femme resta dans la cabine pendant qu’elle enfilait le string et ne sortit en refermant le rideau que lorsqu’elle eut mis le soutien-gorge.

Nicole n’arrivait pas à y croire. Allie acceptait sans conditions tout ce qu’elle lui imposait. Visiblement, elle n’attendait que ça. Avant ce soir, cette fille se prosternerait entre ses jambes.

L’adolescente enfila la robe rouge, et se regarda dans le miroir, elle se dit qu’elle ressemblait à une salope. La robe courte et légèrement transparente masquait à peine son entrejambe et si elle se retournait, elle distinguait clairement le reflet de ses fesses. La lingerie lui faisait une impression bizarre, c’était comme si elle portait une culotte normale qui aurait complètement glissé entre ses fesses. Ce sentiment était obsédant. Il lui rappelait continuellement à quel point sa tenue était scandaleuse, pas une parcelle de son corps ne serait à l’abri des regards indiscrets.

Elle ouvrit la porte de la cabine d’essayage et s’avança dans la boutique. Elle eut honte et rejoignit directement Nicole qui se tenait devant la caisse pour payer les sous-vêtements. Elle essaya d’attirer son attention, de lui dire qu’elle ne pouvait pas porter ces vêtements, mais son amie discutait avec la vendeuse, une jolie jeune fille, blonde, du même âge qu’elle. Elle ne fit pas réellement attention à leur discussion tant elle était sous le choc.

— Allie ! Va derrière la caisse, cette demoiselle a besoin de lire l’étiquette de ta culotte.

Allie fit ce qu’on lui demandait sans réfléchir.

— Hmmm… Où se trouve le prix ? Demanda la jeune femme.

À son tour, Nicole fit le tour de la caisse. Elle fit pivoter une Allie complètement hébétée de façon à ce qu’elle présente son derrière à la vendeuse, souleva l’ourlet de la courte jupe rouge, dévoilant les fesses parfaites d’Allie, avec, pour seul et unique rempart, la lanière du string qui les partageait. L’étiquette dépassait légèrement sous l’ourlet de la culotte. La vendeuse se pencha lentement en avant avec un air dédaigneux, l’attrapa et en coupa la fixation en plastique en la tirant fermement. Allie ne savait plus ou se mettre. L’adolescente l’entendit murmurer "putain" dans un souffle, tandis qu’elle s’emparait de l’étiquette. Elle aurait voulu se justifier et lui dire qu’elle se trompait, mais elle était trop choquée. Son embarras était tel qu’elle était au bord des larmes.

Lorsqu’elle eut payé, Nicole sortit dans la galerie marchande, suivie par Allie qui portait un sac supplémentaire. Elle avait l’impression que son derrière était nu, exposé à la vue de tout le monde.

— Un dernier achat pour te faire belle, jeune fille, et ensuite nous pourrons aller dîner.

Allie redoutait le prochain arrêt, mais, en même temps, elle se disait que cela ne pourrait pas être pire que de montrer ses fesses à une étrangère en étant exhibée si nonchalamment par son amie.

Elles cheminèrent jusqu’à un magasin de chaussures sous le regard ahuri des passants qui dévisageaient Allie pendant tout le trajet. Nicole marchait plus vite qu’elle et la précédait de quelques pas, si bien qu’il semblait qu’Allie se promenait seule. Lorsqu’elles furent arrivées, Nicole choisit plusieurs sortes de chaussures pour qu’Allie les essaye. Toutes avaient des talons assez hauts. Une vendeuse vint s’enquérir de leurs désirs. Elle était jeune et jolie. À croire que la beauté était le principal critère de recrutement dans ce centre commercial, se dit l’adolescente.

Nicole la fit asseoir sur une chaise pour essayer les premières paires. Les deux premières que la vendeuse lui proposa étaient une rouge et une noire. Elle s’agenouilla devant Allie qui réalisa aussitôt qu’elle lui offrait une vue imprenable sur ce qu’elle tentait désespérément de dissimuler sous sa robe. La jupe ne la couvrait presque pas et, comble de l’indécence, était remontée sur ses cuisses lorsqu’elle s’était assise. La jeune femme avait son sexe à peine voilé par le tissu en dentelle en vision directe.

L’adolescente fit son possible pour ne pas se donner en spectacle, mais au fur et à mesure qu’elle levait ses pieds pour mettre les chaussures, ses jambes s’écartèrent légèrement et sa foufoune, à peine masquée par la dentelle, en fût plus que jamais exhibée. Au comble de l’embarras, elle ressentit un début d’excitation lorsqu’elle constata que la jeune femme jetait plusieurs coups d’œil vers son entrecuisse pendant l’essayage. Est-ce que la jeune vendeuse le faisait exprès ? Elle en fût plus embarrassée que jamais. Aussi, dès que Nicole fut satisfaite, elle enfila les chaussures et quitta la boutique sans demander son reste. Nicole paya les achats et la rejoignit.

— Ok, nous en avons terminé avec ton "shopping". J’ai encore quelques magazines à acheter et nous pourrons aller dîner. Elles pénétrèrent dans une librairie. Il n’y avait que peu de clients et Allie se dissimula entre deux rayons pendant que Nicole faisait son choix. Quelques minutes plus tard, elle revint avec une pile de magazines. Sur le dessus, un "Marie-Claire" l’empêchait de voir le titre des autres revues. Elles se dirigèrent vers la caisse qui était tenue par une jeune femme. En faisant la queue, Allie se tenait le plus droit possible afin de dissimuler ses fesses sous le court vêtement. Le client qui les précédait avait de nombreux achats, si bien qu’il y eut rapidement du monde derrière elles : Deux hommes et deux femmes. Alors que leur tour arrivait, Nicole lui tendit un billet de cinquante Euros et lui demanda de payer pendant qu’elle téléphonait au restaurant pour retenir une table. Abandonnant Allie, elle sortit de la boutique.

Allie fit quelques pas et déposa la pile de revues sur le comptoir. À sa grande surprise, lorsqu’elles glissèrent les uns sur les autres, elle se rendit compte qu’il y avait plusieurs revues pornographiques sous le "Marie-Claire". Son sang se glaça dans ses veines. Qu’allait-on penser d’elle ? Sans aucun doute, tous leurs regards étaient braqués sur elle. Les deux femmes eurent une grimace de dégoût, l’un des hommes sourit et la vendeuse fronça les sourcils.

— On achète quelques distractions coquines à ce que je vois. Dit la vendeuse. Des ricanements retentirent derrière elle. Le comique de la situation leur faisait oublier leur désapprobation.

— Vous allez avoir les mains occupées cette nuit. Dit l’un des hommes.

Tout le monde se moquait d’elle.

— Vous-vous intéressez à la mode ? Demanda la vendeuse en exhibant une revue dont la couverture glacée montrait une blonde nue qui s’exhibait de profil pour masquer son sexe. Son bras n’arrivait pas à cacher entièrement sa poitrine dont on voyait distinctement l’un des tétons.

Allie paya et sortit de la librairie si précipitamment qu’elle ne prit même pas le temps de prendre le sac que la vendeuse allait lui tendre. Elle tenta de les ranger dans l’un des sacs de vêtements, mais fut si maladroite qu’elle en laissa échapper deux. Elle s’accroupit pour les ramasser, mais déjà quelques passants s’étaient arrêtés pour la regarder. La scène insolite que cette jeune femme si peu vêtue qui ramassait ses magazines pornographiques était proprement ahurissante. Allie fit le plus vite possible, humiliée à l’idée que tout le monde allait la prendre pour une lesbienne et qui allait se masturber en regardant des photos de femmes nues.

Nicole s’avança discrètement vers l’adolescente désemparée. Elle riait.

— C’était une bonne farce. hmmm ?

Allie tenta de sourire et d’en rire, mais elle n’arrivait pas à oublier son humiliation.

Nicole la précéda jusqu’à sa BMW noire, se disant qu’elle tenait la jeune fille. Elles montèrent dans la voiture et se mirent en route vers la maison.

— Maintenant que tu es habillée convenablement, nous allons pouvoir sortir, mais auparavant, j’ai moi aussi besoin de me changer. Nous allons d’abord passer à la maison et tu en profiteras pour te débarrasser de toutes tes emplettes.

Allie pouvait sentir le cuir du siège sous ses cuisses et ses fesses, au début c’était froid mais au bout d’un moment, il s’en dégageait une chaleur agréable.

— Que pense-tu de tes nouveaux habits Allie ? Demanda Nicole. Elle savait que la jeune fille détestait s’exhiber ainsi, mais elle adorait la façon dont ils révélaient son corps sans concessions. Elle voulait l’habituer à dévoiler ses charmes et pensait que le plus tôt serait le mieux car ce n’était que la première étape et elle aurait beaucoup plus à exhiber dans le futur.

— Je les aime bien, Nicole, merci beaucoup. Mentit Allie.

Nicole tendit le bras vers la jambe d’Allie et tapota le haut de sa cuisse de la main droite.

— Je t’en prie, petite chienne.

Sa main resta sur la cuisse de l’adolescente pendant qu’elle conduisait.

Les idées de la jeune fille tournoyaient dans sa tête. Pourquoi Nicole laissait-elle sa main sur sa cuisse ? Pourquoi l’avait-elle appelé comme ça ? Sa main était très chaude et ses doigts se trouvaient à quelques centimètres seulement de son sexe. Allait-elle l’enlever ? Pourtant, ça n’était pas désagréable et elle désirait autant qu’elle la fasse glisser vers son entrejambe pour la caresser que de lui demander d’arrêter ça. Toutes ces émotions l’avaient épuisée, aussi elle resta simplement assise, sans rien dire, durant tout le trajet du retour.

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Allie et Nicole, par Annie The Slick - Communauté : Soumissions féminines
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mercredi 8 février 3 08 /02 /Fév 19:15

Allie est une adolescente qui a perdu son père et sa mère dans un accident de la circulation. Elle est prise en charge par son ancienne baby-sitter, Nicole, qui la désire depuis toujours. Lesbienne perverse et sadique, celle-ci va contraindre la pauvre Allie à la satisfaire de diverses manières toutes plus inventives les unes que les autres.

 

 

L'histoire est à l'origine écrite par un auteur sous le pseudo de Annie The Slick, an langue anglaise.

 

Vous la trouverez en cliquant sur le lien suivant: link

 

Elle a été traduite par un auteur français sous le pseudo de Perverpeper, et publiée en langue française sur le même site et sur son site personnel:

 

http://www.perverpeper.com/perverpeper/00_accueil.html.

 

Le traducteur a gommé certain aspects de l'histoire, notamment le jeune âge d'Allie pour en faire une adolescente.

 

L'histoire est âpre, hard, mais terriblement efficace!

 

Laisser-vous entraîner par les longues mésaventures de la pauvre Allie!

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Allie et Nicole, par Annie The Slick - Communauté : Soumissions féminines
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Présentation

  • : Le blog de histoires-erotiques-de-soumission-feminine
  • Le blog de histoires-erotiques-de-soumission-feminine
  • : femmes Histoires érotiques
  • : "Histoires érotiques de soumission féminine" est le blog des histoires érotiques de soumission de jeunes filles et jeunes femmes (éducation anglaise, dressage, punition, fessées, BDSM, etc)par des hommes ou des femmes dominatrices, écrites par Alexis, administrateur de ce blog. Ce blog se veut aussi le reflet de ses goûts en matière d'érotisme (récits d'autres auteurs, photos, dessins,etc).
  • Partager ce blog
  • Retour à la page d'accueil
  • Contact

Recherche

Calendrier

Mai 2024
L M M J V S D
    1 2 3 4 5
6 7 8 9 10 11 12
13 14 15 16 17 18 19
20 21 22 23 24 25 26
27 28 29 30 31    
<< < > >>
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés