Allie et Nicole, par Annie The Slick

Mercredi 11 avril 3 11 /04 /Avr 19:18

Chapitre 13: Règles (2ème partie)

 

— Oui Maîtresse. Ses pensées se concentrèrent sur le sexe de Betsy. Elle avait déjà léché la serveuse et se souvenait de son goût une petit peu sucré. Son excitation monta, humidifiant son intimité.

— Pénètre-toi avec ton doigt, espèce de petite pute lesbienne soumise.

Allie se rendit compte que le langage ordurier ne faisait qu’ajouter à son excitation. Elle inséra son doigt dans sa vulve et le fit aller et venir comme sa Maîtresse le lui avait ordonné. Elle pouvait sentir les parois veloutées de son vagin devenir de plus en plus humides.

— Tu n’as qu’à t’imaginer que tu es obligée de sucer une chatte avec un énorme godemiché enfoncé dans ta cramouille de salope.

Allie suivit ses conseils et s’excita encore plus.

— Maintenant, le sexe factice est dans ton cul, fais-le bouger entre tes fesses.

Allie s’exécuta sans se faire prier et se mit à gémir en approchant de l’orgasme.


Nicole observait l’adolescente se mener au plaisir au pied de son lit. Elle aimait tant ça, elle pouvait l’obliger à se masturber à la demande. Son esclave était vraiment le jouet parfait. Toute femme devrait avoir sa propre salope.

Allie jouit en poussant un gémissement et continua à sodomiser son petit anus en se laissant emporter par les vagues du plaisir.

Dès que l’adolescente eut terminé, Nicole ordonna :

— Debout esclave, c’est l’heure de ton service matinal.

Allie se releva tant bien que mal. Elle était à nouveau dans cette espèce de transe sexuelle qui commençait à lui être si familière. Ses tâches furent, à peu de choses près, les mêmes que les matins précédents : Elle dut faire couler la douche de Maîtresse Nicole puis s’agenouiller entre ses cuisses pendant qu’elle urinait dans la cuvette des toilettes.
Ce matin-là, elle fut soulagée que Nicole ne lui fasse pas sur le visage comme la veille. Mais cette fois Nicole ne l’autorisa pas à utiliser le papier toilette. Elle l’obligea à lécher l’urine qui souillait son sexe jusqu’à ce qu’il ne subsiste plus une trace.
Allie s’acquitta de sa tâche sans broncher, cela lui paraissait tellement moins désagréable que ce que sa Maîtresse lui avait imposé le matin précédent. Pour elle, lécher le sexe de Nicole était près de devenir quelque chose de naturel. Elle avait franchi tellement de degrés dans la soumission dans un laps de temps si court, que le fait de lécher le sexe d’une autre femme juste après qu’elle ait fait pipi lui paraissait tout à fait acceptable.

Lorsqu’elle s’estima suffisamment propre, Nicole céda sa place à Allie pour qu’elle se soulage à son tour, puis elles entrèrent dans la douche. L’adolescente lava sa Maîtresse, accordant une attention toute particulière à la règle 18 (elle ne voulait pas être encore fouettée), se répétant à voix basse :

— Je suis responsable du corps de ma Maîtresse, je devrai le rendre aussi beau qu’il me sera possible. Ce sera la seule chose qui aura de la valeur pour moi. Je devrai être fière de l’apparence de ma Maîtresse.

— Que dis-tu salope ? Demanda Nicole.

Allie répeta un peu plus fort afin que Nicole entende :

— Je suis responsable du corps de ma Maîtresse, je devrai le rendre aussi beau qu’il me sera possible. Ce sera la seule chose qui aura de la valeur pour moi. Je devrai être fière de l’apparence de ma Maîtresse.

— Brave fille, nous réviserons toutes les règles en prenant le petit-déjeuner. Sur ce, elle coupa le robinet. La Maîtresse et son esclave sortirent de la douche.

Allie prépara sa Maîtresse pour la journée. C’était le samedi et Nicole voulait rester à la maison à paresser. Elle mit un survêtement moulant, bleu marine avec des bandes galonnées sur les manches et sur les côtés des jambes. Il mettait les formes de son corps en valeur et lui donnait un air sportif élégant.

Pendant le petit-déjeuner, Allie répondit correctement aux questions qui portaient sur les règles et Nicole la complimenta sur ses capacités d’apprentissage.

— Allie ! Te souviens-tu que nous avons une invitée ce soir ?

Le cœur de l’adolescente s’affola.

— Je veux que tu nous prépare quelque chose de spécial pour ce soir. Tu devrais y aller.

Et elle se désintéressa de l’adolescente et s’installa dans le salon pour lire le journal.

****

À midi, par deux fois et du bout des doigts, Nicole avait mené sa soumise à l’orgasme, au beau milieu de la cuisine. Elle avait systématiquement exigé qu’Allie lui rende la pareille, du bout de la langue, agenouillée sur le carrelage, les bras croisés dans le dos avant de préparer des pâtes carbonara et de la salade pour le dîner.

La sonnette retentit à l’entrée.

— Va ouvrir petite chienne !

Choquée, Allie était restée immobile dans la cuisine.

— Ne laisse pas quelqu’un attendre à la porte, petite salope, c’est malpoli. Et souviens-toi de la règle numéro 7…

L’adolescente était entièrement nue, excepté son collier de chien, hésitante, elle s’approcha lentement de la porte.

La sonnette retentit à nouveau. Allie se glissa silencieusement derrière la porte et l’ouvrit. Elle fit son possible pour rester derrière, espérant que la personne qui attendait ne verrait pas sa nudité. Sous le coup de l’émotion, elle avait oublié son collier.

Une jolie jeune fille brune, qui semblait être à peu près du même âge qu’elle se tenait sur le pas de la porte. Elle portait un short court, un haut de bikini rouge, une paire de lunettes de soleil et des tongues. Instinctivement, l’adolescente s’imagina en train de déshabiller la jeune fille. Elle aimait beaucoup ses petits seins fièrement dressés qui remplissaient adorablement le petit bikini et dont les tétons pointaient sous le tissu. Elle imagina ses lèvres entourant les pointes érigées, suçant, suçant, suçant et dut secouer la tête pour évacuer l’image de son esprit. Elle ne voulait pas fantasmer sur des femmes nues. Elle n’était pas une lesbienne, elle aimait les garçons, elle n’aimait pas les filles.

Elle sortit de sa torpeur, se cachant toujours derrière la porte, lorsque la jeune fille dit :

— Salut, je suis Brittney. Je fais partie de l’équipe de majorettes du Lincoln High. Nous proposons des lavages de voitures. Est-ce que votre voiture a besoin d’un nettoyage ?

— Je ne pense pas. Répondit Allie.

Elle ne pouvait quand même pas demander à cette fille la permission de lui sucer le sexe… Ça n’était pas convenable.
Elle se tint inconfortablement derrière la porte, essayant de se cacher, espérant que la fille s’en irait rapidement.

— C’est un collier de chien que tu portes ? Demanda Brittney.

Non, non, non, s’il vous plaît, ne permettez pas que ça recommence se dit Allie.
Elle fit un petit oui de la tête et baissa les yeux, humiliée. Etait-il possible de vivre quelque chose de pire que ça ?

— Waow ! Mais pourquoi portes-tu ça ? Demanda-t-elle.

Allie répondit aussi doucement que possible :

— Il le faut.

Sans quitter le sol des yeux.

— Tu peux me le montrer ? Demanda la jeune fille en se penchant pour regarder derrière la porte.

Elle constata que l’adolescente ne portait pas de vêtements, que des anneaux transperçaient ses tétons et qu’un petit cadenas était suspendu au capuchon de son clitoris.

— Oh mon dieu, regarde-toi ! Dit la brune en pointant le doigt sur elle. — Tu as un cadenas sur le clito !

À ce moment, Nicole les rejoignit dans l’entrée, et demanda :

— Qui est-ce Allie ?

Elle s’approcha des deux jeunes filles, Allie, nue, un collier de chien autour du cou et ses piercing d’un côté, et Brittney, la jolie petite majorette avec son short court et son haut de bikini de l’autre.

Allie ne répondit pas, si bien que Nicole se présenta elle-même.

— Bonjour, moi c’est Nicole.

— Moi c’est Brittney, est-ce que vous jouez à quelque chose de pervers ou quoi ?

— Et bien, Allie que voici est très attirée par toutes les choses du sexe, et moi je m’occupe simplement de la conseiller et de l’aider à assouvir ses fantasmes. Tu n’imagines pas dans quels états elle se trouverait si je ne l’aidais pas à canaliser ses pulsions lesbiennes.

Nicole était extrêmement fière d’elle. Elle avait la certitude qu’Allie était complètement humiliée et abattue, obligée à se tenir nue devant l’inconnue, tandis qu’on parlait d’elle comme d’un objet.

— Elle est gay ?

— Attends ! Tu ne veux pas dire qu’elle ne t’a pas encore demandé l’autorisation de sucer ta minette ?

— Quoi ? Bien sûr que non !

— Ca ne va pas du tout ça !, dit Nicole en se retournant face à allie. — C’est très impoli, ma fille, tu mérites une punition pour désobéir à la règle numéro 7. Maintenant fais ce qu’on te dit et demande…

Allie pleurait presque lorsqu’elle demanda à la jolie brune :

— Aimeriez vous que je suce votre minou, Maîtresse ?

Elles ne l’entendirent qu’à peine tant elle parlait doucement.

Nicole réagit aussitôt, avant même que la majorette ait pu répondre, elle ajouta :

— C’est une bonne petite lécheuse de chattes, et elle s’améliore sans arrêt. Si tu n’as jamais été léchée par une fille, ça pourrait être la bonne occasion pour essayer.

— Ben… Je ne sais pas… Je ne suis pas comme elle… Je veux dire que je ne suis pas gay, et je ne veux pas tromper mon petit copain.

— Voyons Brittney, te faire sucer la minette par Allie ne veut certainement pas dire que tu es gay, seulement que tu souhaites vivre une nouvelle expérience. Beaucoup de filles essaient, et te voir en train de te faire sucer le sexe par Allie pourrait probablement être une expérience inoubliable dans la vie d’un jeune homme. Pourquoi ne lui demanderai-tu pas s’il veut venir voir la prochaine fois. Vous seriez bien venus tous les deux si vous vouliez revenir la semaine prochaine. Peut-être qu’on pourrait aussi convaincre Allie de l’aider un peu, malgré son ignorance en matière de sexes d’hommes.

— Bien… Pourquoi pas… Faut voir… Elle regarda par-dessus son épaule, dans la rue.

— C’est à dire que je suis un peu pressée, nous essayons de trouver des gens du coin qui seraient intéressés par le lavage leur voiture à la station-service du quartier.

Nicole sembla réfléchir un moment.

— D’accord, mais au fait, pourquoi n’irais-tu pas demander aux autres si elles ne sont pas intéressées par une aventure avec cette petite salope ?

D’un geste, Nicole invita Brittney à rentrer et ferma la porte derrière elle.

— Viens par là, Allie va te montrer comme elle est douée.

Allie pleurait presque, elle aurait voulu dire à Nicole qu’elle ne voulait pas faire l’amour à Brittney, mais les deux jeunes femmes étaient déjà passées au salon.

Nicole conseillait à l’adolescente brune de se détendre et de se laisser faire par la salope. Elle s’assit sur le canapé et fit signe à Brittney de se placer au milieu de la pièce.
Allie n’avait pas besoin qu’on lui indique ce qu’elle devait faire, elle s’agenouilla devant la jeune fille et tendit la main vers son short.

— Allie ! C’est impoli, qu’est-ce que c’est que ces manières ? Demande-lui si elle t’autorise à voir son minou.

Allie s’arrêta et leva les yeux vers la majorette.

— Est-ce que je peux vous enlever votre short Maîtresse ?

— Oui. Répondit Brittney, manifestement nerveuse.

— Appelle la "salope", elle adore ça. Ajouta Nicole.

Allie déboutonna le short de la brune, et l’abaissa. Le mouvement révéla une adorable culotte assortie avec le haut du bikini.

— Est-ce que je peux vous enlever votre bikini Maîtresse ?

— Oui salope. Répondit Brittney, souriant timidement en éprouvant l’ivresse du pouvoir qu’elle exerçait sur la fille agenouillée à ses pieds.

Allie crocheta la ceinture du bikini et le baissa à son tour, mettant à nu un adorable petit sexe de lycéenne.

—      Est-ce que je peux lécher votre minou Maîtresse ?

—      Vas-y salope. Dit-elle avec un rire de gorge.

Allie posa sa langue sur le sexe de la brune, et se mit à lécher sans retenue. Brittney lança sa tête en arrière et s’écroula sur le sol, tandis que les vagues d’un plaisir ravageur la submergeaient.
Nicole se leva du canapé et alla chercher son appareil photo numérique. Elle prit plusieurs photos des deux filles, prenant soin de cadrer les photos sans que le visage de Brittney y apparaisse alors que celui d’Allie, lui, était parfaitement visible. Sur plusieurs photos, la bouche de l’adolescente était plaquée goulument sur le sexe de la majorette.

Brittney eut un orgasme aussi rapide que ravageur. Elle se rhabilla et s’en alla en promettant d’en toucher quelques mots à ses copines.

L’après-midi d’Allie se poursuivit entre préparation du repas et léchage de sexe.

Avant quatre heures, Allie avait fait la connaissance de 5 autres majorettes. Elle les avait accueillies correctement sur le pas de la porte, demandant à chacune d’entre elles :

— Puis-je lécher votre minou Maitresse ?

Elle les avait ensuite léchées jusqu’à la jouissance. Nicole prit des photos de chaque rencontre. Même si leur visage n’apparaissait pas sur les photos, on s’apercevait sans conteste que les partenaires d’Allie étaient différentes à chaque série. Nicole envisageait de poster les photos sur un site web.

Enfin, Allie s’acquitta du dîner.

— Joli travail, salope, tu as parfaitement bien respecté la règle numéro quatre aujourd’hui. Je n’aurai pas besoin de te punir pour celle-là. Par contre, au début, quand Brittney à sonné à la porte, tu n’as pas respecté la règle numéro 7. Nous règlerons ça ce soir avec Betsy, je suis certaine qu’elle va aimer ça.

Allie attendit l’arrivée de Betsy avec appréhension.

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Mercredi 4 avril 3 04 /04 /Avr 20:14

Chapitre 12 : Règles (1ère partie)

 

Lorsque enfin les deux femmes arrivèrent à la maison, Allie était trop épuisée pour réfléchir correctement. Sa journée avait été tellement dure : On lui avait fait pipi dessus, on avait posé des anneaux sur ses seins et son sexe, et pour finir elle avait été offerte à trois inconnues. Tout ce qu’elle souhaitait était de rentrer et se cacher quelque part, faire le vide d’une manière ou d’une autre et oublier qu’elle était devenue l’esclave sexuelle de Nicole. Comment en était-elle arrivée là ? Il y a quelques jours, elle se considérait encore comme une adolescente normale, et aujourd’hui elle était devenue la pire salope lesbienne qu’il soit. À tel point qu’elle n’arrivait plus à compter le nombre de sexes féminins qu’elle avait léché ou sucé pendant les dernières 24 heures.
Elle se consola en pensant qu’au moins elle était rentrée, qu’elle ne vivrait plus de situations aussi humiliantes, qu’il n’y aurait personne d’autre pour voir sa nudité.

Nicole gara la BMW dans le garage.

— Suis-moi petite salope.

Elles se dirigèrent vers la maison.

Une fois à l’intérieur, Nicole se retourna face à Allie et lui dit :

— Jusqu’à présent, j’ai été assez tolérante avec toi, jeune fille, mais maintenant il me faut mettre en place quelques règles. Elles pourront te paraître un peu rigoureuses, mais c’est pour ton bien.

Allie baissa les yeux et approuva.

— Règle numéro un, tu devras m’obéir en tous lieux et en tous temps. Me fais-je bien comprendre ?!

— Oui Maîtresse, répondit Allie d’une toute petite voix.

Nicole s’approcha de l’adolescente, posa sa main sous ses petites fesses et caressa un moment la peau nue sous la jupe plissée.

— Maintenant, mon petit jouet sexuel, nous allons faire quelques exercices d’entraînement, d’accord ?

L’estomac d’Allie se contracta. Qu’est-ce que Nicole allait bien pouvoir inventer ?

La jeune femme laissa sa main errer sur le corps de l’adolescente. Dans le même mouvement, elle releva la jupe et exhiba les petites fesses parfaitement rondes. Puis, elle fit demi-tour, traversa le salon et lança nonchalamment à Allie :

— Déshabille-toi.

Allie s’exécuta prestement, ôtant la mini-jupe, le petit chemisier transparent, sa culotte, ses chaussettes et ses chaussures.

— Rejoins-moi dans le séjour.

Entièrement nue, Allie s’avança jusqu’au salon. Nicole  y trônait, assise sur le canapé.

— Bien, maintenant la règle numéro 3 : Tu devras rester constamment nue, tant que je n’en aurai pas décidé autrement.

Allie ne bougeait pas, les yeux braqués sur le sol, se tenant nue devant sa Maîtresse.

— Je suppose que tu te demandes quelle est la règle numéro 2 ? Et bien la règle numéro deux stipule que tu feras l’amour avec toutes les personnes que je te désignerai. Ce seront exclusivement des femmes, mais il se peut que je te demande aussi d’aller avec un homme de temps en temps.
Pour finir, j’ai dressé une liste complète de règles que tu devras apprendre par cœur. Je te la donnerai plus tard.

— Ce ne sont que les trois premières, mais tu devras obéir à chacune d’entre elles, à moins que je t’en dispense exceptionnellement. Maintenant tourne toi, tout doucement, que je puisse t’inspecter.

Allie se mit à tourner sur elle-même, sous les yeux de sa Maîtresse.

— Montre-moi chacun de tes piercings et remercie-moi pour chacun d’entre eux au fur et à mesure.

Allie acquiesça et souleva son sein gauche, il était si petit qu’elle n’arrivait pas à le faire tenir dans sa main. Elle le souleva et dit d’une petite voix :

— Merci pour mon piercing Maîtresse.

Pour rien au monde elle n’aurait voulu contrarier sa Maîtresse.

— C’est bien ma fille, maintenant mets un peu plus d’enthousiasme pour les autres. J’attends que tu saches apprécier les efforts que je fais pour toi.

Nicole adorait ça, elle savait que l’adolescente détestait ses piercing, mais plus elle la dégradait, plus ça l’excitait.

Allie attrapa son sein gauche.

— Merci pour mon piercing Maîtresse.

Sa voix était monté d’un cran.

— Souris, ma fille, tu n’es pas contente d’avoir de nouveaux bijoux ?

— Si Maîtresse.

L’adolescente essaya de sourire. Elle baissa la main vers son clitoris mutilé et souleva le petit cadenas.

— Merci pour mon piercing Maîtresse.

— Il n’y a pas de quoi, petite salope. Si tu te tiens bien, je t’en ferai peut-être poser quelques autres. Maintenant approche.

Allie s'avança vers sa Maîtresse.

— A genoux, espèce de petite suceuse de chattes, et rampe jusqu’à moi.

Allie se prosterna et se glissa entre les jambes écartées de sa Maîtresse.

— Quatrième règle, tu porteras tout le temps ton collier.

Nicole retira le vilain collier à chien de derrière son dos et le passa autour du cou mince de l’adolescente.

— Tu te souviens de ce qui y est inscrit ? Allie la salope. Je trouve que ça résume assez bien ce que tu es devenue non ?

— Maintenant lève-toi que je puisse admirer ma petite esclave qui s’entraîne.

Allie se redressa.

— Bon dieu, tu es une sacrée petite poupée sexy, on dirait une actrice porno tout juste pubère.

Nicole se leva et passa majestueusement à côté d’Allie.

— Va me préparer à dîner.

L’adolescente partit en trottinant, nue et humiliée.

Après manger, Nicole se retira dans le salon. Elle se fit servir un verre de vin par la jeune fille puis la congédia prétextant qu’elle devait nettoyer la cuisine.
Lorsque ce fut terminé, Nicole la fit s’agenouiller à ses pieds pendant qu’elle regardait les informations, s’amusant distraitement avec ses seins, tiraillant sur leurs anneaux.

Ensuite l’adolescente dut aider sa Maîtresse à se préparer pour la soirée. Tout d’abord, elle dut la déshabiller, puis la masser et enfin lui lécher le sexe. Lorsque Nicole fut couchée, comblée, elle demanda à la jeune fille :

— Petite pute ! tu trouveras les règles que tu dois apprendre imprimées sur ce document. Dit-elle en désignant le pied de son lit. — J’attends de toi que tu les connaisses par cœur demain matin. Chaque règle méconnue te vaudra un coup de fouet.

L’adolescente se pencha sur son petit couchage et s’empara du document qui y était posé.

Prends cette feuille et va dans le salon pour l’apprendre. Quand tu la connaitras par cœur, tu pourras revenir. Avant de te coucher, tu attacheras ton collier à cette laisse. Elle désigna une chaîne qui pendait, fixée au montant du lit. — Et tu dormiras par terre, comme indiqué dans la règle numéro 7. Maintenant, laisse-moi dormir, salope.

Choquée Allie s’empara de l’imprimé et quitta la chambre. Elle avait encore le goût du sexe de sa Maîtresse sur ses lèvres lorsqu’elle s’assit pour réviser les règles que lui imposait sa Maîtresse.

Le document commençait ainsi :

Règles pour Allie l’esclave sexuelle lécheuse de chattes.

1) J’obéirai à tous les ordres de Maîtresse Nicole.

2) Je ferai l’amour avec toutes les personnes que me désignera Maîtresse Nicole.

3) Je resterai nue en permanence tant que Maîtresse Nicole ne m’ordonnera pas le contraire.

4) Je sucerai au moins trois sexes de femme chaque jour, sans compter celui de Maîtresse Nicole.

5) Je porterai mon collier chaque fois que je serai à la maison.

6) Je m’adresserai à toutes les femmes en les appelant "Maîtresse".

7) Lorsque j’irai ouvrir la porte d’entrée, si c’est une femme, je lui demanderai : "Puis-je sucer votre minette, Maitresse ?" Quel que soit son âge, son origine raciale ou son apparence physique.

8) À la fin de l’année scolaire, je devrais avoir séduit une camarade de classe et avoir une relation lesbienne avec elle. Lorsque je serai en seconde, je devrai séduire une terminale, lorsque je serai en première, je devrai séduire une terminale et lorsque je serai en terminale, je devrais séduire une seconde. À la fin de l’année, je devrais les avoir suffisamment entraînées pour qu’elles demandent la permission de sucer le sexe de Maîtresse Nicole.

9) Je porterai mon gadget anal tout le temps.

10) Je serai responsable de mon hygiène intime. Je devrai avoir le sexe épilé en permanence. Aucun poil rebelle ne sera toléré. Je devrai organiser moi-même mes rendez-vous à l’institut de beauté pour qu’on s’occupe de moi.

11) Je dormirai nue au pied du lit de ma Maîtresse à moins que Maîtresse Nicole m’en dispense.

12) J’assisterai au cours de fitness trois fois par semaine.

13) Je ne devrai jamais m’asseoir sur un siège quelconque sans la permission de Maîtresse Nicole.

14) Je ne prendrai aucune décision sans avoir consulté Maîtresse Nicole.

15) Je devrai toujours avoir un visage souriant.

16) Je me masturberai tous les matins.

17) Je comprends que je suis une esclave sexuelle et que ma vie est entièrement contrôlée par Maîtresse Nicole.

18) Je suis responsable du corps de ma Maîtresse, je devrai le rendre aussi beau qu’il me sera possible. Ce sera la seule chose qui aura de la valeur pour moi. Je devrai être fière de l’apparence de ma Maîtresse.

19) Ma vie est dédiée à ma Maîtresse.

TOUT MANQUEMENT AU STRICT RESPECT DE CES REGLES SERA SÉVÈREMENT PUNI.

Allie eut du mal à lire l’intégralité du document, les larmes qui lui échappaient abondement la gênaient beaucoup. Nicole ne pouvait quand même pas l’obliger à faire tout ça ? Comment pourrait-elle sucer trois sexes différents par jour ? C’est alors qu’elle se souvint que depuis deux jours, elle en avait sucé trois aujourd’hui et quatre la veille.

Elle relut l’ensemble des règles et s’arrêta à la numéro 12. Elle se leva et se rassit sur le canapé en secouant la tête un bref instant. Mais comme elle ne voulait pas être punie, au comble du désespoir, elle se laissa glisser lentement sur le sol.

Après environ une heure passée à apprendre ces horribles règles qui allaient dorénavant régir sa vie, elle retourna dans la chambre de Nicole, attacha son collier à la laisse qui pendait du montant, tira la petite couverture sur son corps et essaya de s’endormir.

******

Le lendemain matin, Allie fut réveillée par le pied de Nicole qui lui tapotait les fesses.

— Masturbe-toi, esclave, tu n’as pas déjà oublié la règle numéro 16 ?

Allie roula sur elle-même et leva les yeux vers sa Maîtresse. Nicole, debout devant elle, la fixait avec un air sévère.

— Allez, lécheuse de chattes, écarte tes petites cuisses de grenouille et masturbe-toi.

Rouge de honte, Allie écarta les jambes et plaça sa main entre ses cuisses. Son sexe était sec et elle heurta le cadenas accroché au capuchon de son clitoris. Elle le souleva d’une main et commença à se caresser de l’autre.

— Est-ce que tu penses à lécher une minette ?

— Oui Maîtresse, mentit-elle. En fait, elle ne pensait à rien. Mais maintenant que sa Maîtresse en parlait… Elle imagina un sexe humide et musqué dans lequel elle aurait enfoui sa langue.

— Est-ce que tu penses au minou de Betsy ? Tu vas probablement le lécher ce soir.

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Jeudi 29 mars 4 29 /03 /Mars 21:12

Chapitre 11 : Nouveaux vêtements (2ème partie).

 

Allie se pencha entre les jambes, elle pouvait sentir l’odeur musquée du sexe humide, sa bouche se mit à saliver un peu à la perspective de ce qui l’attendait. Qu’est-ce qui m’arrive ? Pensa-t-elle. On dirait que j’aime ce goût. Mais je ne veux pas aimer ça.
Sans réfléchir, elle ouvrit la bouche et attrapa l’élastique de la culotte entre ses dents et se mit à le tirer vers le bas. Le sexe délicieusement soigné d’Amanda s’offrit à sa vue, à quelques centimètres seulement de son nez, rose et humide. Allie pouvait voir à quel point la vendeuse mouillait. Elle eut l’impression que c’était une autre qu’elle qui tirait lentement, avec ses dents, la culotte de la jeune femme jusqu’à ses chevilles. Il n’était pas possible que ça soit elle qui soit là, agenouillée, nue, dans une cabine d’essayage, sur le point de lécher le sexe d’une inconnue. La journée avait déjà été si horrible… Elle avait été fouettée, percée. Lécher encore une autre vulve (elle avait perdu le compte du nombre de femmes qu’elle avait été forcée à satisfaire) ne serait pas si grave finalement.

Lorsque son sous-vêtement fut abaissé, la vendeuse lui dit :

— Ok, salope, maintenant lèche moi. Je suis sûre que c’est ce que tu sais le mieux faire.

Allie s’avança un peu et poussa sa langue contre la vulve de la femme. Elle se rendit compte que chaque femme avait un goût différent. Certaines étaient un peu acidulées, d’autres plutôt âcres. Elle se surpris à aimer le goût d’Amanda. C’était presque sucré.
Amanda attrapa l’adolescente par la nuque et plaqua étroitement son visage contre son sexe.

Jessica faisait le guet à l’extérieur, elle entrouvrit la porte et jeta un coup d’œil sur le spectacle qui se déroulait à l’intérieur. Elle n’arrivait pas à y croire. Jamais elle n’avait vu quelque chose d’aussi obscène. Elle n’aurait jamais cru qu’Amanda puisse être aussi vicieuse. L’adolescente nue avait sa tête enfouie entre les cuisses d’Amanda. Sa collègue avait rejeté sa tête en arrière, les yeux clos sur son extase. La jolie rousse sentit l’excitation la gagner un peu. Elle regarda rapidement derrière elle. Il n’y avait personne. Elle glissa sa main dans son pantalon, sous sa culotte, dénicha son clitoris et commença à le titiller délicatement. Elle pouvait voir le sexe et l’anus de l’adolescente et quelque chose qui dépassait de son rectum. Mon dieu, quelle salope. Jessica accélera le mouvement de sa main sans lâcher du regard les deux filles dans la cabine d’essayage.

Amanda regarda vers elle et sourit.

— Tu ne veux pas entrer ? Comme ça tu verras mieux.

Jessica pénétra dans la pièce exiguë. Elle n’avait encore jamais vu deux femmes faire l’amour. Elle resta un moment, dans un état second, debout à côté de la porte qu’elle venait de refermer.

— Approche-toi et vois comme cette petite salope de lesbienne me lèche bien.

Amanda tapota sur le banc à côté de l’endroit où elle était assise.
Jessica s’assit sans réfléchir, les yeux de l’adolescente s’étaient fixés sur elle, tandis que sa bouche s’aplatissait sur le sexe de sa collègue. Sa langue pénétrait profondément dans la vulve offerte.
Amanda grogna.

— Ouais petite pute, juste-là, continue comme ça.

Elle leva les yeux vers Jessica.

— Pourquoi n’enlèves-tu pas ton pantalon, ça serait plus facile pour te caresser ?

Jessica était trop excitée pour contester. Elle ouvrit sa braguette et glissa sa main dans sa culotte, trouva son petit clitoris et recommença à l’agacer.

Amanda avait agrippé la petite blonde par les cheveux pour la forcer à aplatir son visage contre son entrecuisse. La rousse commença à se masturber plus vite. Sa collègue rejetait sa tête en arrière en jouissant silencieusement.

— Mmmmhhhhh !

Elle fut tellement stupéfaite, qu’avant qu’elle ait pu réagir, l’adolescente s’était précipitée entre ses jambes pour abaisser son pantalon et sa culotte sur ses chevilles. Elle était trop excitée pour l’en empêcher.

C’était la troisième fois qu’Allie léchait une femme aujourd’hui. Elle ne put s’empêcher de penser que ça se reproduirait. Celui de Jessica avait un goût un peu plus aigre que celui d’Amanda, pas mauvais, mais différent.

Au contact de la langue d’Allie, la rousse se mit à respirer bruyamment.

— Ooohhh… Oh mon dieu !

Amanda, remise de son orgasme, s’était redressée. Elle contourna Allie et découvrit le gadget qui encombrait son fondement.

— Putain ! Quelle salope ! Elle a un machin enfoncé entre les fesses ! Tu aimes tant ça : être sodomisée ?

Elle s’agenouilla derrière l’adolescente, attrapa la partie qui dépassait et l’appuya fermement contre son pubis pour donner de grands coups de reins à la petite blonde, la heurtant avec fougue.

— Ouais petite pute, prends ma bite dans ton cul.

Elle se mit à s’agiter en calant la fréquence de ses coups de reins avec le rythme de son propre plaisir. En même temps, elle faisait bouger la tête d’Allie dont le front heurtait le pubis de Jessica en cadence. Sa langue pénétra dans la vulve de Jessica, s’enfonçant plus profondément à chacune des poussées que lui imposait Amanda.
La brune menait en même temps les deux femmes sur le chemin de l’orgasme.

Soudain, Amanda entendit un petit gémissement derrière elle. Stéphanie s’était approchée et regardait à travers la porte qu’elle avait entrouverte.

— Viens nous rejoindre, elle peut s’occuper de nous trois, c’est une sacrée petite salope de lesbienne, elle adore les chattes.

La blonde secoua la tête pour refuser, mais elle resta dans l’entrebâillement.

— Allez ! Tu n’auras peut-être jamais plus une occasion comme celle là. Même si tu es 100% hétéro, tu as le droit d’être un peu curieuse non ?

Amanda continuait à bouger en rythme tout en s’adressant à Stephanie. Elle donna un dernier coup de rein avant de se redresser en libérant l’objet en caoutchouc qui résidait entre les fesses de l’adolescente.

Elle s’approcha de la porte, l’ouvrit et tira la blonde paralysée dans la cabine d’essayage.

— Viens donc t’asseoir, tu seras mieux pour regarder.

Elle guida Stephanie jusqu’au banc et la fit asseoir à côté de Jessica.

— Regarde comme cette petite pute enfonce bien sa langue dans Jessica, elle aime vraiment ça. Ça ne t’excite pas ?

Stephanie fit un oui de la tête.

— Ça ne te donne pas envie de te caresser ? moi j’en ai drôlement envie.

Amanda posa sa jambe sur le banc, tout près de la blonde et se mit à caresser son propre clitoris. Le visage de Stephanie n’était plus qu’à quelques centimètres de son sexe. Elle était assise à côté de Jessica qui se faisait lécher le sexe par une petite blonde au corps juvénile. Lentement elle souleva sa jupe et baissa suffisamment son collant pour avoir accès à son sexe. Elle glissa sa main entre ses cuisses et se mit à se caresser.

Jessica avait rejeté sa tête en arrière et approchait de l’orgasme. Allie sentit que la femme allait jouir et prit son clitoris entre ses dents en le mordillant délicatement. Jessica explosa aussitôt et eut un orgasme tellement ravageur qu’elle eut beaucoup de mal à retenir les grognements qui menaçaient de sortir de sa gorge. L’adolescente fut surprise par la quantité de mouille que la rousse sécrétait. On aurait dit qu’elle était en train d’uriner, mais le goût était bien celui de l’orgasme. Elle avala tout.

Lorsqu’elle releva la tête, elle vit qu’Amanda pointait le doigt vers l’entrejambe de la blonde. L’adolescente s’avança à quatre pattes jusqu’à la troisième vendeuse et s’agenouilla entre ses jambes.
Stephanie sentit qu’on lui baissait complètement son collant et sa culotte. Brusquement, la tête de la petite putain blonde s’était imposée entre ses jambes et une langue chaude et délicieuse s’insinuait au cœur de son intimité. Elle poussa un gémissement et s’agrippa au banc.

Amanda aida Jessica dont le corps était sans forces à quitter le banc et la fit s’agenouiller à côté de la petite salope blonde, la poussant un peu sur le côté.

— Regarde bien ma chérie… Tu vois comment elle s’y prend ? Regarde comment elle fait glisser sa langue entre les lèvres de Stephanie.

Petit à petit, la brune poussait le visage de sa collègue vers le sexe de Stephanie.

— Tu n’aimes pas comment elle enfonce sa langue dans la vulve de Stephanie ?

Le visage de Jessica se trouvait tout près du sexe de sa collègue blonde, elle regardait attentivement la langue d’Allie lécher et sucer comme si sa vie en dépendait.
Sa joue s’appuyait maintenant contre celle de l’adolescente, tandis qu’elle ne perdait pas une miette du spectacle qui s’offrait à elle. Cette petite vicieuse se servait de sa langue comme d’un petit membre. La rousse se lécha les lèvres, son estomac se contracta.

Amanda se pencha contre elle et lui susurra à l’oreille :

— Vas-y… Juste avec le bout de la langue… Goûte Stephanie. Je suis sûre que tu en meurs d’envie.

Hypnotisée, Jessica se pencha tout doucement, indépendamment de sa volonté, sa langue franchit ses lèvres et se posa au bord du sexe de la blonde. Elle n’arrivait pas à croire qu’elle faisait une chose aussi incroyable mais son excitation était telle qu’elle avait vaincu toutes ses inhibitions. Jamais un homme ne lui avait fait cet effet.
Elle plongea et sa langue se mêla avec celle d’Allie, s’enroulant autour du clitoris de Stephanie.
Amanda s’empara d’une des mains de la blonde et la plaça derrière la tête de Jessica.
Aussitôt, celle-ci attira la bouche de la rousse contre son sexe.
Jessica se mit à lécher son premier sexe féminin. Allie et elle, ne mirent pas longtemps à procurer à la blonde un formidable orgasme. Elles avaient leurs nez fermement appuyés sur le pubis de Stephanie et leurs langues menaient un ballet endiablé au cœur de la chair rose et humide du sexe de la rousse.

Finalement, Amanda tira l’adolescente en arrière, abandonnant Jessica toute seule entre les cuisses de sa collègue blonde. La rousse léchait la chatte de sa collègue comme une pro.

— Maintenant, il est temps de t’habiller, ta Maîtresse ne devrait plus tarder.

L’esprit embrumé d’Allie lui refusait tout service. Elle resta debout, immobile, à regarder les deux vendeuses se livrer à leurs ébats pendant qu’Amanda l’habillait.
Elle lui enfila un chemiser très fin qui était aux moins deux tailles trop petit et ne le boutonna pas, se contentant de nouer les deux pans du vêtement entre eux. C’était un peu comme si Allie portait un bikini à manches. Le tissu était tellement transparent qu’on pouvait voir ses fiers petits seins dont les tétons formaient une petite protubérance circulaire.
Stephanie gémissait sous la langue de Jessica.
Ensuite, Amanda lui passa une jupe plissée qui, visiblement, était de la taille d’une fillette de douze ans tellement elle était courte. Elle était bleue marine et ne recouvrait que partiellement ses fesses.
Pour finir, une paire de chaussettes blanches, une paire de chaussures noires en cuir verni et une culotte à fleurs en coton complétèrent la tenue.

— Parfait, je trouve que la culotte te confère une petite touche d’innocence. Dit Amanda en poussant Allie sur les genoux pour qu’elle s’occupe à nouveau de son sexe.

Lorsque Nicole revint, elle trouva les trois femmes dans l’entrée du magasin. Elles étaient derrière leurs caisses et entouraient Allie qui était agenouillée derrière le comptoir, sous la jupe de Stephanie, en train de lui lécher le sexe. Jessica et Amanda regardaient. Nicole se rendit compte que la main de la brune était posée sur les fesses de Jessica, un peu comme si elle voulait affirmer sa possession.
Bien sûr, au cours des semaines suivantes, Amanda et Jessica devinrent plus que des collègues. La rousse déménagea chez Amanda qui était la dominante dans leur relation. Jessica endossa le rôle de la soumise très facilement et bientôt, elle lécha les sexes des femmes avec autant de plaisir qu’Allie.

Nicole adora la tenue de son esclave. Au moment de partir, elle ne manqua pas de laisser sa carte à chacune des trois vendeuses, les assurant qu’elles seraient invitées au prochain anniversaire d’Allie.

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Mercredi 28 mars 3 28 /03 /Mars 20:18

Chapitre 10 : Nouveaux vêtements (1ère partie).

 

Nicole conduisait. Pendant ce temps, Allie, toujours nue sous sa robe légère, tentait de s’habituer aux vagues de douleur qui éclataient aux endroits de ses piercings. Elle glissa sa main entre ses cuisses et tâta le petit cadenas qui était maintenant attaché à son clitoris. L’objet installé sur le haut de son clitoris lui procurait une sensation bizarre. Elle laissa tomber sa tête sur sa poitrine et se mit à pleurer en silence. Il fallait qu’elle dise à Nicole que tout ça devait s’arrêter, qu’elle n’aimait pas être utilisée comme ça.

— Si tu veux jouer avec ton nouveau hochet, salope, montre le moi d’abord. Soulève ta jupe.

Allie n’eut aucune réaction, elle resta simplement assise sans aucun courage.

Nicole la gifla violemment.

— Quand je te demande de faire quelque chose, ESCLAVE…

Elle avait accentué le mot, le laissant faire son chemin dans la tête de l’adolescente. Il était temps de lui apprendre quelle était sa vraie place.

— Tu le fais… Maintenant tu soulèves ta jupe et tu me montre comment tu joues avec ton nouveau jouet.

Sonnée par la claque, Allie souleva lentement sa jupe, exposant son sexe imberbe et son nouveau piercing à sa Maîtresse. L’esprit embrumé, elle fit descendre sa main pour toucher le cadenas qui transperçait le capuchon de son clitoris. C’était bizarre d’avoir quelque chose attaché à cet endroit.

— Regarde ta chatte, tu vois le cadenas ?

Allie baissa les yeux, elle regarda le cadenas qu’elle tenait dans sa main et approuva de la tête.

— Est-ce que tu comprends ce que ça veut dire ?

Allie acquiesça de la tête, bien que n’arrivant pas à y croire.

— Ca veut dire que tu m’appartiens, petite salope.

Allie se remit à pleurer, elle n’avait pas envie d’être une esclave.

— S’il te plaît Nicole…

Nicole la gifla à nouveau.

— Adresse-toi à moi correctement, salope.

— Est-ce qu’on peut rentrer à la maison s’il vous plaît Maîtresse.

— Non, ma fille, j’ai promis de t’offrir quelque chose pour te récompenser d’avoir été gentille et de t’être fait percer pour moi. En fait, j’ai envie de t’acheter une nouvelle tenue. Betsy vient nous rendre visite demain, et il faut absolument que tu te présentes sous ton meilleur jour pour ce premier rendez-vous.

Oh non, pensa Allie. Pas encore le centre commercial, elle ne pouvait pas accepter ça.

Elles se garèrent devant la galerie marchande. Nicole descendit, mais Allie resta assise, cherchant désespérément une excuse pour attendre dans la voiture. Perdant patience, Nicole alla ouvrir la porte.

Nicole adorait ça, elle possédait sa propre petite soumise et pouvait en faire tout ce qu’elle voulait. Pour l’instant, elle était un peu brisée, mais cette nuit elle allait apprendre les nouvelles règles que sa Maîtresse allait instaurer.
Mais d’abord, elle avait besoin d’une nouvelle tenue pour son rendez-vous du lendemain soir avec Betsy. Elle se pencha dans la voiture et attrapa son nouveau jouet par le bras et fit descendre la jeune fille à moitié nue de la BMW.

— Allez viens, espèce de petite gouine, on y va.

Elle traîna la jeune fille dans sa robe rouge échancrée à sa suite en marchant d’un pas décidé. Arrivées à destination elle traîna Allie jusqu’au rayon adolescents de chez Kiabi.
Celle-ci trottait à ses côtés en suppliant faiblement.

— S’il vous plaît Maîtresse.

Nicole l’ignora. Tous les vêtements étaient conçus pour de très jeunes adolescentes. Adorables petites jupes, minuscules hauts aux couleurs fluo…
Allie ne portait plus ce genre de vêtements depuis plusieurs années.

Il y avait trois vendeuses ce jour-là. Nicole alla directement s’adresser à la plus jolie.

— Bonjour, cette jeune fille a son premier rendez-vous ce soir et je recherche de jolis vêtements pour elle. Pourriez-vous nous conseiller ?

Allie se tenait près de Nicole et tentait de masquer tant bien que mal l’indécence de sa tenue, mais quelle que soit la façon dont elle se cachait, on avait l’impression qu’elle ne cherchait qu’à exhiber un bout de fesse ou de sein. Elle était obsédée par l’idée qu’une de ces vendeuses puisse voir l’un ou l’autre de ses piercings.

— Ho ho ! Un premier rendez-vous ? Et qui est l’heureux élu ? Demanda la blonde.

— Ca n’est pas un garçon mais une fille, Allie est lesbienne et un peu salope aussi. Répondit Nicole d’un ton détaché.

Choquée par la déclaration, Allie plaça ses deux mains devant son visage. Pourquoi Nicole avait-elle dit ça ? Elle n’était pas lesbienne. Puis l’adolescente se souvint de ce qui s’était passé la veille, quand elle avait subi le viol en réunion que lui avaient imposé les quatre femmes chez Ashley et comment elle avait dû sucer et lécher leurs vulves pendant des heures. Peut-être en était-elle une finalement. Au comble de l’humiliation, elle baissa les yeux sur ses chaussures. Ses cheveux qu’elle n’avait pas coiffés depuis près d’une semaine pendirent autour de sa tête, la faisant étonnement ressembler à une petite pétasse vulgaire.

Chacune des trois filles eut une réaction différente. La blonde avec qui elles parlaient paraissait écœurée et regardait Allie avec un dédain qu’elle ne cherchait même pas à masquer. La rouquine parut complètement surprise et en garda la bouche ouverte. Par contre, la petite brune parut très intéressée par le commentaire de Nicole.

— Vous plaisantez ? Vous ne voulez quand même pas dire qu’elle va sortir avec une autre fille ? Demanda la rousse.

— Si, et c’est bien pour ça que je veux acheter quelque chose qui la fera ressembler à un petit bonbon acidulé. Quelque chose qui va vraiment faire mouiller le sexe de la fille avec qui elle a rendez-vous dès qu’elle la verra. Je me demandais si une tenue d’écolière ne ferait pas l’affaire. Est-ce que vous pourriez nous aider ?

Elle avait à nouveau choqué les vendeuses, mais finalement, la petite brune acquiesca et les accompagna jusqu’au rayon des jupes. Il y en avait quelques-unes qui étaient plissées ou à boutons. Tandis qu’elles s’éloignaient, la blonde les ignora alors que la rousse fixa les deux jeunes femmes qui suivaient la petite vendeuse brune.

— Qu’en pensez-vous ? Demanda-t-elle en dévisageant Allie des pieds à la tête. Elle distinguait les fesses rondes de la jeune fille qui pointaient sous la jupe courte.
Cette adolescente l’excitait, elle rêvait de sentir sa langue se promener sur son sexe.

— Ouais, pouvez-vous l’aider à essayer quelques tenues ? Je dois passer à ma banque. Je n’en aurai que pour une heure, ça devrait vous suffire non ? Demanda-t-elle à la vendeuse avec un air entendu.

La petite brune se demandait si Nicole parlait bien de ce à quoi elle rêvait. Lorsque la jeune femme lui fit un clin d’œil, la vendeuse eut un grand sourire.

— Oui, ça devrait amplement suffire.

Elle fit quelques pas autour de l’adolescente, la détaillant sans vergogne.
Honteuse, Allie avait gardé la tête baissée. Elle n’écoutait pas la conversation et essayait d’oublier ce qui se passait autour d’elle, espérant qu’elles allaient rapidement rentrer à la maison…

Nicole dit :

— Très bien, vous allez voir qu’Allie est très bien dressée. Elle obéira à toutes vos instructions.

Elle se tourna vers l’adolescente et lui souleva le menton entre le pouce et l’index.

— Allie, fais bien attention à ces charmantes jeunes filles, elles vont te trouver une jolie tenue. Fais bien tout ce qu’elles te disent, je ne voudrais pas avoir à te punir encore ce soir.

Allie eut un geste automatique d’acquiescement. Nicole se pencha sur elle et l’embrassa à pleine bouche devant la vendeuse. La jeune femme rousse qui, derrière sa caisse, ne les avait pas quittées des yeux en eut le souffle coupé.
Qu’allait-il se passer ? Se demanda Allie. Nicole relâcha le menton de l’adolescente et sortit du magasin. Elle monta sur l’escalator et fut hors de vue avant qu’Allie ait pu dire quoi que ce soit.

— Salut Allie, je m’appelle Amanda. C’est moi qui vais m’occuper de toi maintenant.

Amanda s’approcha de la jeune fille. Celle-ci, la tête tournée, cherchait sa Maîtresse du regard.

— Est-ce que tu as repéré une jupe qui te plairait ?

Elle posa négligemment sa main sur les fesses de l’adolescente. Mon dieu, pensa-t-elle, cette salope est nue sous ses vêtements. Allie sursauta à ce contact.

— Jessica ! Est-ce que tu peux venir nous donner un coup de main ?

Amanda prit Allie par la main et emmena la jeune fille sans réaction vers les cabines d’essayage. Allie cherchait toujours Nicole. Où pouvait-elle bien être ?
Jessica les rejoignit et Amanda lui demanda de prendre plusieurs tenues dans le rayon et de les leur apporter à la cabine d’essayage.

Amanda poussa Allie vers une cabine en se saisissant au passage d’une des robes qui pendaient au coin du rayon. Une fois à l’intérieur, Elle demanda à l’adolescente :

— Enlève ta robe, nous allons essayer quelques vêtements.

Elle n’attendit pas la réponse d’Allie et lui fit passer sa robe par-dessus la tête. Elle détailla longuement le corps à peine formé de la jeune fille.

— Tu es percée ? Pourquoi as-tu fait ça, espèce de petite salope lesbienne ?

Amanda tendit la main et joua pensivement avec les anneaux qui transperçaient les seins d’Allie. L’adolescente aurait bien voulu lui dire d’arrêter, mais Nicole avait exigé qu’elle fasse tout ce qu’on lui demandait et elle ne voulait pas être punie de nouveau. Son dos la faisait toujours souffrir.

Amanda poussa l’adolescente contre le mur de la cabine et posa ses mains sur sa taille puis elle se colla contre elle et l’embrassa.
Allie rendit le baiser. Elle sentit la main de la vendeuse qui descendait en serpentant sur son corps avant de s’immobiliser contre le petit médaillon qu’elle avait entre les jambes.

— Mmmhh ! Murmura la jeune femme en tiraillant le piercing de l’adolescente.

Lorsqu’elle le relâcha, se fut pour glisser un doigt entre les parois imberbes de l’adolescente. Déjà humide, Allie écarta un peu les jambes pour mieux s’offrir. Elle se mit à gémir à travers les lèvres de la jeune femme.

Délaissant la bouche de l’adolescente, Amanda inséra son doigt dans le sexe juvénile.

— Oh ouais ! Tu n’es qu’une petite salope en chaleur, n’est-ce pas ?

Allie ne répondit pas, se contentant de gémir pendant que, du bout des doigts, la jolie petite vendeuse la conduisait au plaisir.

En entrant dans la cabine, Jessica fût tellement choquée qu’elle lâcha les vêtements qu’elle portait. Sa collègue avait cloué la fille contre le mur. Cette espèce de putain en herbe était nue et Amanda lui enfonçait la main entre les cuisses. Pire encore, l’adolescente avait les seins ornés par des anneaux qui lui transperçaient les tétons.
Amanda se tourna vers elle et dit :

— Ne reste pas comme ça ! Entre et ferme la porte.

L’orgasme d’Allie progressait à vitesse grand V. Elle se mit à jouir sous les doigts diaboliques de la vendeuse, gémissant et se cramponnant aux bras de la vendeuse, s’effondrant presque contre elle.

— Tu as aimé ? Bien montre-moi comment tu suces les chattes.

Jessica continuait à regarder.

— Ne laisse aucun client venir par ici.

La rousse resta environ une minute dans un silence abasourdi, puis ressortit du cagibi.
Allie ferma les yeux, Comment cela pouvait-il encore se reproduire ? Elle ne voulait pas être abusée dans une cabine d’essayage. Où était Nicole, où était sa Maîtresse, elle aurait surement arrangé ça. Les pensées de l’adolescente tournaient dans sa tête indépendamment de sa volonté.

Amanda lâcha l’adolescente qui se laissa glisser sur ses genoux. Elle ôta rapidement son pantalon, se débarrassa de son chemisier, son collant et ses chaussures puis s’assit sur le banc. Elle écarta ses jambes, offrant une vue imprenable sur la culotte noire en dentelle qui lui recouvrait l’entrecuisse. Ses lèvres sexuelles étaient comprimées contre le tissu et Allie pouvait voir une tâche d’humidité imbiber la culotte.

— Viens par ici petite salope, et enlève-moi ma culotte.

Allie rampa sur ses genoux jusqu’à la jeune femme et tendit les mains.

— Pas avec tes mains, petite pute, avec tes dents…

Amanda écarta un peu plus ses genoux et pointa son sexe du doigt.

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Mercredi 21 mars 3 21 /03 /Mars 19:54

Chapitre 9 : Séance pipi et piercing (2ème partie).

 

 

 

Indifférentes, Nicole et Sarah continuèrent leur conversation pendant que Jackie administrait trois lavements à l’adolescente. Tout d’abord, elle dut lui ôter le bouchon de caoutchouc qu’Allie portait maintenant depuis deux jours.
Les deux femmes parlaient du corps de la jeune fille comme s’il s’était agi d’un vulgaire morceau de viande, relevant la petitesse de ses seins, son sexe gonflé qui ressemblait à celui d’une petite fille, et son anus rose.

 

Allie sentit l’embout détesté violer une nouvelle fois son anus. Jackie ouvrit le robinet et injecta la mixture chaude et savonneuse dans ses intestins. Le procédé semblait être plus rapide cette fois. Jackie ôta l’embout et Allie laissa ses viscères expulser leur contenu. Encore deux fois, Jackie enfonça le bourrelet dans le sphincter de l’adolescente et la remplit. Allie commençait à être excitée par l’attention constante qu’on prodiguait à son entrecuisse. Le liquide chaud dans ses intestins la stimulait.

 

Puis la jeune femme administra à l’adolescente une sorte de douche vaginale, poussant l’embout de la poire entre les lèvres imberbes pour le faire pénétrer dans le jeune vagin et projeter le liquide parfumé au jasmin dans les tréfonds de l’intimité de la jeune fille. Allie grogna de plaisir en s’emplissant de la solution nettoyante. Lorsque l’esthéticienne ôta le réceptacle vide du sexe de l’adolescente, un jus dégoulina et s’écoula dans le seau placé sous son entrecuisse. Dès que sa vulve eut restitué tout le liquide, la jeune femme l’essuya avec un gant de toilette chaud, poussant jusque sous les fesses de l’adolescente pour essuyer aussi son anus. Elle appuya un peu le linge rêche dans le sphincter pour s’assurer qu’il était bien sec. Enfin, elle se leva, s’empara du seau et alla le vider dans les toilettes.

 

A son retour, Jackie tenait dans ses mains le matériel de rasage. Elle s’assit sur un tabouret entre les jambes de l’adolescente. Allie gémit de nouveau dans son bâillon. Elle sentait l’esthéticienne étaler la crème rasante sur son pubis et la répandre partout sur ses parties intimes les recouvrant de mousse. La sensation lui procura presque un orgasme. L’esthéticienne s’en rendit compte et se servit de sa main lubrifiée pour masser et caresser en tournant autour du clitoris de l’adolescente, la menant rapidement au summum de son plaisir. Allie gémit et balança la tête en arrière, elle était si près de l’orgasme. Jackie introduisit un doigt savonneux dans le sexe de la jeune fille, lui procurant à l’immédiat un orgasme fulgurant qui la fit crier.

 

— Quelle salope commenta Sarah. — Est-ce qu’elle suce aussi bien qu’elle en a l’air ?

 

— Pas encore, répondit Nicole. — Mais donne-moi encore quelques semaines et ça sera une excellente lécheuse de chattes.

 

L’esthéticienne entreprit de raser la jeune fille. Nicole et Sarah s’y intéressaient de temps en temps, mais elles ne cessèrent de discuter du bon vieux temps lorsqu’elles étaient au collège.
L’adolescente n’en revenait pas de la désinvolture avec laquelle elle était traitée,  étendue, nue, attachée étroitement à la chaise, les jambes douloureusement écartelées, épuisée et fourbue par l’orgasme et les dégradations qu’elle avait dû subir les jours précédant.
Jackie travailla rapidement sur le duvet qui recommençait à pousser autour de son sexe et de son anus. Bientôt l’adolescente fut à nouveau aussi lisse que le jour de sa naissance.

 

Une fois son travail terminé, Jackie se releva.

 


Allie était contente que ça soit enfin terminé. Maintenant, elle allait peut-être pouvoir profiter de sa journée.

 

Jackie se recula pour faire de la place aux deux femmes qui, bien entendu, s’approchèrent.

 

— Un sur chaque téton et un sur le capuchon de son clitoris. Dit Nicole.

 

Allie ne comprit pas de quoi elle parlait. Mais soudain elle vit ce que l’esthéticienne tenait entre ses doigts. Elle comprit enfin ce qu’elle allait devoir subir. Elle se mit à se débattre dans tous les sens et à crier derrière son bâillon.
Nicole tendit la main vers le visage de l’adolescente et saisit sa mâchoire d’une main ferme.

 

— Reste tranquille, petite salope ou bien je vais devoir te punir ici, devant tout le monde.

 

Allie continua à ruer dans ses liens.

 

— Tu l’auras voulu ! Dit Nicole avec colère. — Mesdames, voulez-vous me prêter main-forte s’il vous plaît.

 

Les deux femmes se précipitèrent, trop contentes d’offrir leur aide. Tout d’abord elles attachèrent les poignets d’Allie ensemble avant de la libérer de la chaise. Puis elles fixèrent les liens de ses poignets à une poulie qui pendait au plafond. Lorsqu’elles les tendirent, l’adolescente fut soulevée de la chaise. On en profita pour lui détacher les jambes.
L’adolescente passa d’une position de contrainte allongée, les jambes écartelées, à une position ou elle était suspendue au plafond, nue, balançant sans défense au bout de ses liens. Ses mouvements désordonnés se calmèrent rapidement.

 

— Maintenant, sauriez-vous où je pourrais trouver quelque chose d’environ un mètre de long que je pourrais utiliser sur cette petite chienne rétive ?

 

Allie secoua la tête et leva les yeux pour voir comment elle était suspendue. Ses poignets étaient attachés à un crochet qui pendait au bout d’une corde venant du plafond. Elle essaya de se débattre pour libérer la corde, mais n’arriva même pas à la faire bouger.

 

Jackie alla chercher une espèce de fouet dans un placard. Sarah passa la tête entre les rideaux et prévint les autres femmes de ce qui allait se passer. Bientôt, cinq autres femmes s’étaient jointes à elles : deux coiffeuses, la réceptionniste et deux superbes clientes.

 

Nicole tapota gentiment le dos de l’adolescente.

 

— Sais-tu pourquoi je vais te punir, petite salope ?

 

Allie secoua la tête de droite à gauche, elle ne pouvait pas parler avec le bâillon qui obstruait sa bouche.

 

— Pour m’avoir désobéi et humiliée devant mon amie Sarah.

 

Elle fouetta sévèrement le dos de l’adolescente pour ponctuer sa phrase.

 

TCHAC !!

 

— HHHHMMMMM !! Hurla Allie à travers son bâillon.

 

Elle essayait de regarder par-dessus son épaule lorsqu’un autre coup heurta sa chair nue.
Les autres femmes s’exclamèrent lorsqu’elle reçut le coup.

 

TCHAC !!

 

Elle laissa échapper un autre cri étouffé. Chaque morsure de la lanière envoyait des vagues de feu sur le dos de la pauvre petite.

 

— Quand je te dis quelque chose…

 

TCHAC !!

 

— Tu le fais.

 

TCHAC !!

 

Nouveau cri étouffé.

 

Nicole alloua une bonne vingtaine de coups à l’adolescente. Elle se déména jusqu’à ce que celle-ci ne poussa plus que de faibles grognements à chaque lacération. Lorsqu’elle s’arrêta, la jeune fille pendait mollement dans ses liens.
Nicole s’approcha d’elle et passa son bras autour de sa taille.

 

— Maintenant, reste tranquille pendant que Jackie perce tes tétons et le capuchon de ton clitoris où je te promets que tu vas le regretter.

 

Sur ce, Jackie s’approcha de la jeune fille avec le matériel de piercing. Allie ouvrit les yeux. La douleur de son dos se calmait un peu pour se transformer en brûlure.
Ses yeux s’ouvrirent en grand lorsqu’elle vit l’horrible instrument dans les mains de l’esthéticienne.

 

Jackie l’appliqua contre le téton droit de l’adolescente, plaça la pointe de l’instrument contre le téton et pressa. Allie hurla dans son bâillon pendant que l’aiguille traversait la petite pointe de chair avec un petit "plop". La jeune femme retira l’aiguille et se saisit de l’anneau en or d’environ 5 centimètres que Nicole lui tendait nonchalamment. Elle le fit passer par le trou qui perforait le téton de l’adolescente.
Pauvre Allie, la souffrance était atroce. Des larmes coulaient sans discontinuer de ses paupières soudées par douleur. Elle sanglotait derrière son bâillon. Elle ne voulait pas qu’on lui perce les seins. Et le capuchon de son clitoris ?!
Pas ça, elles n’allaient quand même pas lui faire ça pour de bon ?

 

"Plop" le second téton fut percé avant même qu’elle s’en rende compte. La douleur redoubla, ses petits tétons si sensibles étaient en feu. Nonchalamment, Jackie glissa le deuxième anneau en or à travers le trou qu’elle venait de pratiquer. La poitrine de l’adolescente se soulevait convulsivement pendant qu’elle gémissait à travers son bâillon.

 

Jackie se tourna vers les spectatrices et leur demanda de l’assister en maintenant les jambes de la jeune fille écartées. La réceptionniste s’approcha et attrapa la jambe gauche tandis qu’une des deux coiffeuses se saisit de l’autre. Ainsi écartelée, Allie offrait intégralement son sexe à Jackie.

 

Elle sentit l’esthéticienne placer l’odieux instrument contre ses lèvres sexuelles.
S’il vous plaît ! non ! pensa-t-elle à travers la douleur étourdissante qu’elle éprouvait. Pas ici !

 

Jackie manœuvra les mâchoires de l’emporte-pièce et les plaça de chaque côté du capuchon de son clitoris. Proche de l’hystérie, Allie remua la tête. Une pression… Une douleur fulgurante… Elle s’évanouit.

 

Nicole regarda le corps inanimé de l’adolescente qui pendait dans ses liens. Elle était proche de l’extase. La lente plongée de la jeune fille dans les bas-fonds de la servitude se déroulait parfaitement bien. C’était la fille idéale, suffisamment servile mais aussi suffisamment innocente, la victime rêvée pour une dominatrice. Nicole se régalait, elle avait de si grands projets pour l’adolescente.
Elle tendit le troisième objet qui devait être implanté dans le corps de son esclave. C’était un petit cadenas en or et sa clef.
A sa vue, Jackie et Sarah sourirent.

 

Jackie inséra le cadenas dans l’ouverture qui transperçait le capuchon du clitoris de l’adolescente, le referma et en tendit la clef à Nicole.

 

— Merci Jackie, maintenant vous pouvez la redescendre.

 

Jackie reposa la jeune fille sur le sol où elle resta étendue, aussi immobile qu’une poupée. Elle libéra les poignets de l’adolescente pendant que Nicole plaçait la petite clef du cadenas de sa petite salope sur son porte-clefs. Elles tapotèrent les fesses de l’adolescente jusqu’à ce qu’elle sorte de sa torpeur.

 

Allie se réveilla étendue sur le sol. Son dos était en feu, ses tétons et son clitoris la brûlaient, mais la douleur était supportable. Elle se rendit compte que ses mains étaient libres. Elle tendit la main pour toucher les anneaux qui traversaient ses tétons, ils étaient froids. Elle sentit qu’ils traversaient ses tétons de part en part. Puis elle baissa sa main et s’enquit de ce que Nicole lui avait fait faire sur le sexe. Ça ressemblait à un petit cadenas. Elle souleva la tête pour regarder entre ses jambes. C’était bien un petit cadenas.
Maintenant, elle comprenait. C’était ainsi que Nicole lui faisait comprendre à qui appartenait son sexe.

 

Jackie ôta le bâillon de la bouche de l’adolescente qui de redressa en aspirant rageusement une grande goulée d’air.

 

Voyant l’expression de tristesse sur le visage d’Allie, Nicole déclara :

 

— Je suis désolée petite chienne, mais c’était pour ton bien. Tu dois apprendre à obéir, ça rendra notre relation tellement plus facile pour toutes les deux. J’avais tellement envie de te faire percer. Je trouve que c’est vraiment sexy, et tu es une petite salope tellement sexy que j’ai pensé que ça te paraîtrait naturel d’avoir quelques piercings.

 

Elle aida l’adolescente nue à se remettre sur ses jambes flageolantes et la prit dans ses bras.

 

— Ecoute, nous allons aller t’acheter un cadeau pour que tu te sentes mieux.

 

Elles passèrent la robe légère sur le dos de l’adolescente. Elle était si fine qu’elle ne masquait aucune des marques rouges qui brulaient le dos de la jeune fille. Nicole la guida jusqu’à sa voiture. À chaque pas, Allie sentait sa petite cargaison intime rebondir contre son clitoris, lui rappelant ce qu’elle était devenue : L’esclave sexuelle de Nicole. Déprimée, elle s’assit sur le siège passager.

 

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Allie et Nicole, par Annie The Slick - Communauté : Soumissions féminines
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