Chapitre 10 : Nouveaux vêtements (1ère partie).
Nicole conduisait. Pendant ce temps, Allie, toujours nue sous sa robe légère, tentait de s’habituer aux vagues de douleur qui éclataient aux endroits de ses piercings. Elle glissa sa main entre ses cuisses et tâta le petit cadenas qui était maintenant attaché à son clitoris. L’objet installé sur le haut de son clitoris lui procurait une sensation bizarre. Elle laissa tomber sa tête sur sa poitrine et se mit à pleurer en silence. Il fallait qu’elle dise à Nicole que tout ça devait s’arrêter, qu’elle n’aimait pas être utilisée comme ça.
— Si tu veux jouer avec ton nouveau hochet, salope, montre le moi d’abord. Soulève ta jupe.
Allie n’eut aucune réaction, elle resta simplement assise sans aucun courage.
Nicole la gifla violemment.
— Quand je te demande de faire quelque chose, ESCLAVE…
Elle avait accentué le mot, le laissant faire son chemin dans la tête de l’adolescente. Il était temps de lui apprendre quelle était sa vraie place.
— Tu le fais… Maintenant tu soulèves ta jupe et tu me montre comment tu joues avec ton nouveau jouet.
Sonnée par la claque, Allie souleva lentement sa jupe, exposant son sexe imberbe et son nouveau piercing à sa Maîtresse. L’esprit embrumé, elle fit descendre sa main pour toucher le cadenas qui transperçait le capuchon de son clitoris. C’était bizarre d’avoir quelque chose attaché à cet endroit.
— Regarde ta chatte, tu vois le cadenas ?
Allie baissa les yeux, elle regarda le cadenas qu’elle tenait dans sa main et approuva de la tête.
— Est-ce que tu comprends ce que ça veut dire ?
Allie acquiesça de la tête, bien que n’arrivant pas à y croire.
— Ca veut dire que tu m’appartiens, petite salope.
Allie se remit à pleurer, elle n’avait pas envie d’être une esclave.
— S’il te plaît Nicole…
Nicole la gifla à nouveau.
— Adresse-toi à moi correctement, salope.
— Est-ce qu’on peut rentrer à la maison s’il vous plaît Maîtresse.
— Non, ma fille, j’ai promis de t’offrir quelque chose pour te récompenser d’avoir été gentille et de t’être fait percer pour moi. En fait, j’ai envie de t’acheter une nouvelle tenue. Betsy vient nous rendre visite demain, et il faut absolument que tu te présentes sous ton meilleur jour pour ce premier rendez-vous.
Oh non, pensa Allie. Pas encore le centre commercial, elle ne pouvait pas accepter ça.
Elles se garèrent devant la galerie marchande. Nicole descendit, mais Allie resta assise, cherchant désespérément une excuse pour attendre dans la voiture. Perdant patience, Nicole alla ouvrir la porte.
Nicole adorait ça, elle possédait sa propre petite soumise et pouvait en faire tout ce qu’elle voulait. Pour l’instant, elle était un
peu brisée, mais cette nuit elle allait apprendre les nouvelles règles que sa Maîtresse allait instaurer.
Mais d’abord, elle avait besoin d’une nouvelle tenue pour son rendez-vous du lendemain soir avec Betsy. Elle se pencha dans la voiture et attrapa son nouveau jouet par le bras et fit descendre la
jeune fille à moitié nue de la BMW.
— Allez viens, espèce de petite gouine, on y va.
Elle traîna la jeune fille dans sa robe rouge échancrée à sa suite en marchant d’un pas décidé. Arrivées à destination elle traîna
Allie jusqu’au rayon adolescents de chez Kiabi.
Celle-ci trottait à ses côtés en suppliant faiblement.
— S’il vous plaît Maîtresse.
Nicole l’ignora. Tous les vêtements étaient conçus pour de très jeunes adolescentes. Adorables petites jupes, minuscules hauts aux
couleurs fluo…
Allie ne portait plus ce genre de vêtements depuis plusieurs années.
Il y avait trois vendeuses ce jour-là. Nicole alla directement s’adresser à la plus jolie.
— Bonjour, cette jeune fille a son premier rendez-vous ce soir et je recherche de jolis vêtements pour elle. Pourriez-vous nous conseiller ?
Allie se tenait près de Nicole et tentait de masquer tant bien que mal l’indécence de sa tenue, mais quelle que soit la façon dont elle se cachait, on avait l’impression qu’elle ne cherchait qu’à exhiber un bout de fesse ou de sein. Elle était obsédée par l’idée qu’une de ces vendeuses puisse voir l’un ou l’autre de ses piercings.
— Ho ho ! Un premier rendez-vous ? Et qui est l’heureux élu ? Demanda la blonde.
— Ca n’est pas un garçon mais une fille, Allie est lesbienne et un peu salope aussi. Répondit Nicole d’un ton détaché.
Choquée par la déclaration, Allie plaça ses deux mains devant son visage. Pourquoi Nicole avait-elle dit ça ? Elle n’était pas lesbienne. Puis l’adolescente se souvint de ce qui s’était passé la veille, quand elle avait subi le viol en réunion que lui avaient imposé les quatre femmes chez Ashley et comment elle avait dû sucer et lécher leurs vulves pendant des heures. Peut-être en était-elle une finalement. Au comble de l’humiliation, elle baissa les yeux sur ses chaussures. Ses cheveux qu’elle n’avait pas coiffés depuis près d’une semaine pendirent autour de sa tête, la faisant étonnement ressembler à une petite pétasse vulgaire.
Chacune des trois filles eut une réaction différente. La blonde avec qui elles parlaient paraissait écœurée et regardait Allie avec un dédain qu’elle ne cherchait même pas à masquer. La rouquine parut complètement surprise et en garda la bouche ouverte. Par contre, la petite brune parut très intéressée par le commentaire de Nicole.
— Vous plaisantez ? Vous ne voulez quand même pas dire qu’elle va sortir avec une autre fille ? Demanda la rousse.
— Si, et c’est bien pour ça que je veux acheter quelque chose qui la fera ressembler à un petit bonbon acidulé. Quelque chose qui va vraiment faire mouiller le sexe de la fille avec qui elle a rendez-vous dès qu’elle la verra. Je me demandais si une tenue d’écolière ne ferait pas l’affaire. Est-ce que vous pourriez nous aider ?
Elle avait à nouveau choqué les vendeuses, mais finalement, la petite brune acquiesca et les accompagna jusqu’au rayon des jupes. Il y en avait quelques-unes qui étaient plissées ou à boutons. Tandis qu’elles s’éloignaient, la blonde les ignora alors que la rousse fixa les deux jeunes femmes qui suivaient la petite vendeuse brune.
— Qu’en pensez-vous ? Demanda-t-elle en dévisageant Allie des pieds à la tête. Elle distinguait les fesses rondes de la jeune fille
qui pointaient sous la jupe courte.
Cette adolescente l’excitait, elle rêvait de sentir sa langue se promener sur son sexe.
— Ouais, pouvez-vous l’aider à essayer quelques tenues ? Je dois passer à ma banque. Je n’en aurai que pour une heure, ça devrait vous suffire non ? Demanda-t-elle à la vendeuse avec un air entendu.
La petite brune se demandait si Nicole parlait bien de ce à quoi elle rêvait. Lorsque la jeune femme lui fit un clin d’œil, la vendeuse eut un grand sourire.
— Oui, ça devrait amplement suffire.
Elle fit quelques pas autour de l’adolescente, la détaillant sans vergogne.
Honteuse, Allie avait gardé la tête baissée. Elle n’écoutait pas la conversation et essayait d’oublier ce qui se passait autour d’elle, espérant qu’elles allaient rapidement rentrer à la
maison…
Nicole dit :
— Très bien, vous allez voir qu’Allie est très bien dressée. Elle obéira à toutes vos instructions.
Elle se tourna vers l’adolescente et lui souleva le menton entre le pouce et l’index.
— Allie, fais bien attention à ces charmantes jeunes filles, elles vont te trouver une jolie tenue. Fais bien tout ce qu’elles te disent, je ne voudrais pas avoir à te punir encore ce soir.
Allie eut un geste automatique d’acquiescement. Nicole se pencha sur elle et l’embrassa à pleine bouche devant la vendeuse. La jeune
femme rousse qui, derrière sa caisse, ne les avait pas quittées des yeux en eut le souffle coupé.
Qu’allait-il se passer ? Se demanda Allie. Nicole relâcha le menton de l’adolescente et sortit du magasin. Elle monta sur l’escalator et fut hors de vue avant qu’Allie ait pu dire quoi que
ce soit.
— Salut Allie, je m’appelle Amanda. C’est moi qui vais m’occuper de toi maintenant.
Amanda s’approcha de la jeune fille. Celle-ci, la tête tournée, cherchait sa Maîtresse du regard.
— Est-ce que tu as repéré une jupe qui te plairait ?
Elle posa négligemment sa main sur les fesses de l’adolescente. Mon dieu, pensa-t-elle, cette salope est nue sous ses vêtements. Allie sursauta à ce contact.
— Jessica ! Est-ce que tu peux venir nous donner un coup de main ?
Amanda prit Allie par la main et emmena la jeune fille sans réaction vers les cabines d’essayage. Allie cherchait toujours Nicole. Où
pouvait-elle bien être ?
Jessica les rejoignit et Amanda lui demanda de prendre plusieurs tenues dans le rayon et de les leur apporter à la cabine d’essayage.
Amanda poussa Allie vers une cabine en se saisissant au passage d’une des robes qui pendaient au coin du rayon. Une fois à l’intérieur, Elle demanda à l’adolescente :
— Enlève ta robe, nous allons essayer quelques vêtements.
Elle n’attendit pas la réponse d’Allie et lui fit passer sa robe par-dessus la tête. Elle détailla longuement le corps à peine formé de la jeune fille.
— Tu es percée ? Pourquoi as-tu fait ça, espèce de petite salope lesbienne ?
Amanda tendit la main et joua pensivement avec les anneaux qui transperçaient les seins d’Allie. L’adolescente aurait bien voulu lui dire d’arrêter, mais Nicole avait exigé qu’elle fasse tout ce qu’on lui demandait et elle ne voulait pas être punie de nouveau. Son dos la faisait toujours souffrir.
Amanda poussa l’adolescente contre le mur de la cabine et posa ses mains sur sa taille puis elle se colla contre elle et
l’embrassa.
Allie rendit le baiser. Elle sentit la main de la vendeuse qui descendait en serpentant sur son corps avant de s’immobiliser contre le petit médaillon qu’elle avait entre les jambes.
— Mmmhh ! Murmura la jeune femme en tiraillant le piercing de l’adolescente.
Lorsqu’elle le relâcha, se fut pour glisser un doigt entre les parois imberbes de l’adolescente. Déjà humide, Allie écarta un peu les jambes pour mieux s’offrir. Elle se mit à gémir à travers les lèvres de la jeune femme.
Délaissant la bouche de l’adolescente, Amanda inséra son doigt dans le sexe juvénile.
— Oh ouais ! Tu n’es qu’une petite salope en chaleur, n’est-ce pas ?
Allie ne répondit pas, se contentant de gémir pendant que, du bout des doigts, la jolie petite vendeuse la conduisait au plaisir.
En entrant dans la cabine, Jessica fût tellement choquée qu’elle lâcha les vêtements qu’elle portait. Sa collègue avait cloué la fille
contre le mur. Cette espèce de putain en herbe était nue et Amanda lui enfonçait la main entre les cuisses. Pire encore, l’adolescente avait les seins ornés par des anneaux qui lui transperçaient
les tétons.
Amanda se tourna vers elle et dit :
— Ne reste pas comme ça ! Entre et ferme la porte.
L’orgasme d’Allie progressait à vitesse grand V. Elle se mit à jouir sous les doigts diaboliques de la vendeuse, gémissant et se cramponnant aux bras de la vendeuse, s’effondrant presque contre elle.
— Tu as aimé ? Bien montre-moi comment tu suces les chattes.
Jessica continuait à regarder.
— Ne laisse aucun client venir par ici.
La rousse resta environ une minute dans un silence abasourdi, puis ressortit du cagibi.
Allie ferma les yeux, Comment cela pouvait-il encore se reproduire ? Elle ne voulait pas être abusée dans une cabine d’essayage. Où était Nicole, où était sa Maîtresse, elle aurait surement
arrangé ça. Les pensées de l’adolescente tournaient dans sa tête indépendamment de sa volonté.
Amanda lâcha l’adolescente qui se laissa glisser sur ses genoux. Elle ôta rapidement son pantalon, se débarrassa de son chemisier, son collant et ses chaussures puis s’assit sur le banc. Elle écarta ses jambes, offrant une vue imprenable sur la culotte noire en dentelle qui lui recouvrait l’entrecuisse. Ses lèvres sexuelles étaient comprimées contre le tissu et Allie pouvait voir une tâche d’humidité imbiber la culotte.
— Viens par ici petite salope, et enlève-moi ma culotte.
Allie rampa sur ses genoux jusqu’à la jeune femme et tendit les mains.
— Pas avec tes mains, petite pute, avec tes dents…
Amanda écarta un peu plus ses genoux et pointa son sexe du doigt.
Novembre 2024 | ||||||||||
L | M | M | J | V | S | D | ||||
1 | 2 | 3 | ||||||||
4 | 5 | 6 | 7 | 8 | 9 | 10 | ||||
11 | 12 | 13 | 14 | 15 | 16 | 17 | ||||
18 | 19 | 20 | 21 | 22 | 23 | 24 | ||||
25 | 26 | 27 | 28 | 29 | 30 | |||||
|