Allie et Nicole, par Annie The Slick

Samedi 17 mars 6 17 /03 /Mars 22:09

Chapitre 8 : Séance pipi et piercing (1ère partie).

 

Allie se réveilla, couchée par terre. La nuit dernière, Nicole l’avait encore fouettée. Pourtant ça n’était pas sa faute si elle avait perdu tous ses vêtements. Pourtant Nicole ne semblait pas s’en soucier. Les marques rouges qui s’entrecroisaient sur son dos en témoignaient.
Elle se mit à pleurer silencieusement en se remémorant son châtiment. Ses sanglots étaient étouffés par le bâillon en forme de boule qui était coincé dans sa bouche, attaché étroitement derrière sa tête.

Lorsqu’elle était rentrée à  la maison, Nicole était d’une humeur exécrable. Betsy l’avait appelée au travail pour lui raconter les exploits d’Allie durant la journée. L’épisode urinaire lui avait profondément déplu.
À peine arrivée, elle avait fait agenouiller l’adolescente sur le sol, lui avait attaché les mains à la tête du lit et avait étroitement lié ses chevilles l’une contre l’autre.
Puis elle lui avait longuement fouetté le dos avec un fouet dont la lanière mesurait près d’un mètre vingt de long. Allie avait eu beau pleurer et supplier, les seuls sons qui étaient sortis de sa bouche étaient les gémissements pathétiques que le bâillon douloureux avait laissé passer.

— Tu as pissé dans ta culotte devant une de mes amies ! L’admonesta-t-elle en abattant le fouet sur le dos nu de l’adolescente.

— Jamais je n’ai été aussi humiliée.

Le fouet sifflait en soulignant ses paroles. Allie glapissait et secouait la tête négativement.

— Ne me répond pas petite salope.

Et le fouet sifflait à nouveau.

La punition se poursuivit jusqu’à ce qu’Allie s’évanouisse. Lorsqu’elle se réveilla, il faisait noir. Elle était entravée, nue, sur le sol. Son gadget anal était toujours enfoncé entre ses fesses et un phallus artificiel obstruait son sexe. Paradoxalement, Nicole avait affectueusement étendu une couverture sur le corps martyrisé de l’adolescente avant de se coucher.

Allie était en état de choc, pourquoi tout ceci lui était-il arrivé ? Elle ne voulait être le jouet de personne, elle voulait juste être une adolescente normale.
Finalement, pendant qu’elle pleurait, l’épuisement prit le dessus et elle sombra dans un profond sommeil.

Elle sentit un mouvement à ses pieds. Nicole était entrain de détacher ses jambes. La ruée soudaine de sang dans ses membres libérés lui communiqua de nouvelles vagues de douleur dans tout le corps.
Nicole lui laissa les bras liés et la regarda en souriant. Tout se passait si bien. Allie était maintenant une adolescente soumise, salope et battue. Il était temps de passer à la prochaine phase de son plan.

— Allons-y petite chienne. Ton travail du matin t’attend.

Elle attrapa Allie par les cheveux et la força à se lever puis la traîna littéralement jusqu’à la salle de bain. C’était très inconfortable pour Allie de suivre avec les bras attachés, le gadget anal entre les fesses, et le phallus en plastique logé dans son sexe. Elle se sentait empalée et devait se dandiner un peu avec ces objets enfoncés en elle.

— Prépare ma douche, petite salope.

Son bâillon ne lui permettait que de pousser de petits gémissements, mais la douleur était vraiment minimale comparée à ce qu’elle avait dû endurer ces deux derniers jours.

Pendant que sa Maîtresse allait soulager sa vessie, Allie régla la température de la douche. Comme ses mains étaient toujours attachées dans son dos, elle dut se retourner pour actionner le robinet. La douleur et les deux objets enfoncés en elle la déconcentraient quelque peu. Lorsqu’elle eut enfin réussi à faire couler l’eau, Nicole la fit venir près d’elle.

— A genoux !

Allie s’agenouilla entre les jambes écartées de sa Maîtresse. Sa bouche bâillonnée se trouvait à peu près à la hauteur du nombril de sa maîtresse.

— Enlevons ce vilain bâillon, de toute façon, je ne pense pas que tu en aies besoin pour l’instant.

Allie se pencha légèrement pour que Nicole puisse lui passer les mains derrière la tête. Bientôt, la pression désagréable qui lui écartelait les mâchoires se relâcha, si bien qu’il lui fut douloureux de refermer la bouche. Elle la conserva donc à moitié ouverte.

Nicole attrapa la nuque de l’adolescente et la força à se pencher sur son sexe.

— Tu t’es tellement régalé de pisser n’importe où hier que je pense que tu dois apprendre à aimer mon urine aussi. Nicole relacha sa vessie et commença à uriner sur le visage de l’adolescente. Les yeux fermés, Allie crispa ses paupières et tenta de fermer la bouche, mais les muscles de ses mâchoires étaient trop engourdis par l’épreuve qu’ils avaient enduré toute la nuit. La pisse de Nicole éclaboussa son visage, dégoulinant dans sa bouche et sur son menton, coulant sur sa poitrine. Elle ne put s’empêcher d’en avaller un peu et se mit à tousser, submergée par la miction.

Nicole épancha son envie en arrosant copieusement le visage de l’adolescente, ses cheveux et son buste. Son jouet sexuel était entièrement détrempé par le liquide jaune qui giclait de sa vulve. Elle n’en revenait pas du plaisir qu’elle prenait à dégrader la jeune fille comme ça. Il allait falloir qu’elle réfléchisse aux nouvelles épreuves qu’elle allait pouvoir lui imposer.

Une fois soulagée, elle déclara :

— Maintenant, ma fille, nettoie-moi. Et elle attira le visage de l’adolescente contre son sexe.

Au début, Allie ne bougea pas et resta immobile avec son nez écrasé contre le pubis de sa Maîtresse, la bouche appuyée contre le sexe souillé par la pisse. Elle était complètement désorientée, baignant dans l’urine, ses trous remplis, les bras attachés. Mais Nicole enfonça le clou.

— Sors ta langue et lèche-moi petite pute !

Finalement, la langue de la jeune fille, saturée par l’urine, émergea entre ses lèvres et se mit à lécher consciencieusement le sexe de sa Maîtresse. Le goût salé de la miction imprégnait déjà sa bouche, la saveur de l’excitation de Maîtresse allait peut-être contribuer à adoucir l’affreuse sapidité.

Impatiente, Nicole plaqua sa vulve contre le visage de l’adolescente et jouit dans une secousse rapide. La tyranie qu’elle éxerçait sur la jeune fille l’excitait énormément et il fallait qu’elle se contienne, elle était réellement emballée par la suprématie qui s’était établie entre elles.

Finalement, elle se redressa devant l’adolescente agenouillée.

— Viens, petite chienne, allons prendre une douche, j’ai besoin que tu me nettoies.

Allie se redressa et tenta de suivre la jeune femme, mais elle n’arrivait pas à ouvrir ses yeux, de peur que l’urine y pénètre.

— Oh ! Ma pauvre chérie, laisse-moi détacher tes bras.

Elle contourna l’adolescente et délia ses bras. En sentant le sang se ruer à nouveau dans ses artères, Allie ne put retenir de petits cris. Nicole poussa la jeune fille aveuglée par la pisse jusqu’à la douche, l’y fit pénétrer et referma la porte derrière elles.

— Maintenant ma petite esclave chérie, nettoie-moi.

Allie s’empara du savon et obéit. Nicole s’était placée au milieu de la cabine et la laissait s’organiser, tourner autour d’elle, savonnant l’intégralité de son corps en le frottant délicatement. Elle se sentait dans la peau d’une princesse décadente disposant de son esclave personnelle qui devait honorer ses moindres désirs. La vie était belle et ça ne pouvait aller que de mieux en mieux.

Allie pleurait silencieusement. Sa seule consolation était que l’odieuse mixture avait été lavée par la douche. Elle avait essayé de se laver rapidement pendant les brefs moments au cours desquels elle se trouvait derrière sa Maîtresse. Elle ne savait pas si celle-ci l’autoriserait à prendre le temps de se doucher. Ça n’avait pas été le cas la veille. Elle nettoya le sexe et l’anus de sa Maîtresse en leur accordant toute l’attention et la délicatesse nécessaires. Elle savait que Nicole aimait ça et tout ce qui pouvait la mettre de bonne humeur était bien venu. Si elle était dans de bonnes dispositions, elle n’aurait probablement pas envie de la fouetter à nouveau.

Lorsque la jeune fille eut terminé de la nettoyer, Nicole la fit pivoter sur elle-même et la prit dans ses bras.

— Allie, je t’éduque à devenir une jeune demoiselle "comme il faut", mais si tu continues à avoir un comportement aussi déplorable que faire pipi dans ta culotte, je devrais être plus stricte. Me fais-je bien comprendre ?

— Oui Maîtresse. Répondit Allie à la façon d’un automate.

Elle se sentait bien dans les bras de Nicole, ses seins merveilleux étaient si doux contre les siens. Elle se sentait en sécurité. Il y avait probablement une bonne raison pour que sa Maîtresse lui fasse subir toutes ces épreuves.

— Bien, dit Nicole en se penchant pour déposer un baiser sur les lèvres de l’adolescente.

Allie sentit l’une des mains de sa Maîtresse s’égarer entre ses fesses et entrer en contact avec son gadget anal.

— Nous avons rendez-vous au salon de beauté aujourd’hui, ça sera une surprise. J’aurai un cadeau pour toi et il faut que tu te prépares correctement pour que je puisse être fière de toi.

Allie ne comprit pas de quoi il s’agissait. Son attention fut soudain accaparée par l’objet en caoutchouc qui s’animait doucement entre ses fesses.

Nicole descendit son autre main et commença à jouer avec le godemiché qui se trouvait dans le sexe de l’adolescente. Elle fit pivoter la jeune fille afin qu’elle lui tourne le dos et l’obligea à se pencher en avant afin de pouvoir la solliciter des deux côtés à la fois. Allie se mit à gémir.

— Oh ouiiii Maîtresse ! Baisez-moi.

Elle plaça ses bras ankylosés au-dessus de sa tête et s’arc-bouta contre la paroi pour mieux s’offrir.

Elle explosa dans un orgasme ravageur.

— Aaahhhhh !!!

Nicole ôta le godemiché du sexe de son esclave, mais laissa le gadget anal en place.

— Il vaut mieux le laisser là, c’est sa place maintenant.

Elles sortirent de la douche. Allie aida sa Maîtresse à se préparer pour la journée. Elle la sécha et coiffa ses cheveux, la maquilla, l’habilla, tandis qu’elle restait nue, embrochée par le jouet anal.

Une fois satisfaite, Nicole guida l’adolescente, toujours nue, jusqu’à la cuisine pour le petit-déjeuner. Elle fit asseoir la jeune fille au pied de sa chaise et mangea tranquilement, jouant nonchalament avec ses petits seins.

Ensuite, Nicole lui fit revêtir sa robe rouge et ses talons.

— Tu n’auras pas besoin de sous-vêtements aujourd’hui, petite chienne, comme ça tu ne risqueras pas de les perdre.

Allie retourna dans sa chambre et se regarda dans le miroir. Elle y vit une adolescente dépenaillée, les yeux rouges d’avoir trop pleuré. Elle ne se posa pas de questions sur ce qu’elle faisait, et agit sans réflechir, c’était plus facile comme ça.
Elle baissa les yeux, incapable de contempler son image, s’empara de la robe rouge et l’enfila. Ses fesses étaient à peine couvertes par le tissu et le haut de la robe démontrait sans ambages qu’elle ne portait pas de soutien-gorge. Elle chaussa les chaussures à talons aiguilles qui lui faisaient penser à celles que portent les femmes de mauvaise vie, tenta de se recoiffer quelque peu et se précipita dans le salon où l’attendait sa Maîtresse.

— Sans plus attendre, Nicole se dirigea vers le garage et monta dans la BMW. Allie ressentit avec un certain trouble la sensation familière du cuir froid contre ses cuisses et ses fesses nues.

Elles se mirent en route pour l’institut de beauté.

Une fois sur place, Nicole guida Allie jusqu’à l’entrée. La réceptioniste les regarda avec intérêt.

— Que puis-je pour vous, Madame ?

— J’ai pris rendez-vous pour ma petite chienne aujourd’hui, un nettoyage classique, rasage et quelques autres services.

La réceptioniste fit venir Jackie. À peine arrivée, celle-ci ôta sans cérémonie sa robe à l’adolescente, la tirant sur sa tête sans même l’avertir. Allie ne protesta pas, elle s’attendait à être avilie. La jeune femme tendit la robe à Nicole et escorta les deux femmes dans les profondeurs de l’institut.

L’estheticienne les préceda à travers le salon dans lequel plusieurs femmes se faisaient coiffer. En passant devant elles, Allie pouvait sentir leurs regards prédateurs sur ses fesses nues. Lorsqu’elles furent arrivées dans la pièce du fond où on lui avait rasé le sexe, Nicole se tourna vers Jackie et dit :

— Cette petite salope a un problème urinaire. Tu devrais aller chercher un seau pour qu’elle puisse se soulager tout de suite, ça éviterait qu’elle se souille pendant que tu la raseras.

Choquée, Allie se tourna vers Nicole. Elle ne pouvait pas lui demander ça, pas faire pipi devant une autre femme.

— S’il vous plaît Maîtresse, permettez-moi d’utiliser les toilettes.

—  C’est absurde Allie, ça sera bien plus commode pour Jackie de te faire uriner dans un seau.

Allie n’y crut pas, mais elle ne voulait pas ergotter avec Nicole. Elle préfera ne pas prendre le risque d’une autre séance de flagellation. Jackie revint avec un seau qu’elle déposa devant l’adolescente.

— Allez, salope, vas-y.

Allie enjamba le seau et s’accroupit légèrement. Elle fit abstraction de la présence des deux femmes et relacha lentement sa vessie. La miction tinta bruyament contre le fond du seau en métal, le jet jaune cascada en crépitant et éclaboussa un peu ses mollets.

Au même moment, le rideau se tira sur la jolie blonde qui pénétra dans la pièce.

— Nicole, j’ai appris que tu étais là. Dit la blonde dont les seins parfaits essayaient de se libérer de la blouse légère qui les contenait difficilement.

Elle s’avança vers Nicole.

Effarouchée par l’arrivante, Allie ne put empêcher son sphincter de se contracter, bloquant aussitôt la miction.

Nicole se retourna bursquement vers Allie.

— Ne t’arrête pas, petite salope, tu as besoin de vider entièrement ta vessie avant de te faire nettoyer, c’est la moindre des politesses envers Jackie.

Puis elle ignora l’adolescente et enlaça la femme blonde.

— Sarah, ça me fait plaisir. Comment vont les affaires ?

Nue et supposée faire pipi dans son seau, Allie n’arrivait pas à se soulager au milieu de ces femmes, l’humiliation était trop forte. Elles étaient toutes habillées alors qu’elle était nue, avilie, au milieu d’elles.

— Comment s’appelle ta nouvelle petite salope, Nicole ? Elle a l’air d’avoir un petit sexe adorable.

— Sarah, je te présente Allie. Elle a un petit problème urinaire. Je suis obligée de m’assurer qu’elle a bien vidé sa vessie pour que Jackie n’ait pas de problèmes avec elle. Allez, petite salope, presse-toi un peu, tu n’oserais quand même pas nous faire attendre n’est-ce pas ?

Accablée, Allie baissa les yeux. Son cerveau eut une sorte de "court-circuit" et elle ferma les yeux, se concentrant pour relancer la miction. Les femmes se tenaient autour d’elle, parlant de choses et d’autres pendant qu’elles attendaient que l’adolescente ait fini de se soulager. Finalement, un petit filet commença à sortir et se transforma en un jet jaune puissant.

— Ah, ça-y-est. Et bien ça n’est pas trop tôt. Dit Jackie.

Allie avait l’impression de vivre dans une autre dimension. Elle était en train de faire pipi, nue, devant trois autres femmes. Elle n’aurait jamais commis une telle ignominie, il y a seulement quelques jours de ça, et elle n’aurait jamais imaginé en arriver là un jour. C’était si embarrassant et si honteux.

Lorsqu’elle eut terminé son petit "pissou", Jackie la fit étendre sur la chaise "spéciale salopes" et lui attacha les mains et les poignets dans une position identique à la fois précédente. Puis elle pompa sur une pédale pour écarter les jambes de l’adolescente au maximum. Comme la dernière fois, elle s’arrêta lorsqu’elle fut à la limite du grand écart. La douleur fit pleurer Allie mais l’estheticienne s’approcha d’elle calmement et lui enfila un bâillon boule entre les mâchoires. De douleur, Allie crispa les yeux tant l’écartement de ses jambes était difficile à supporter.

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Allie et Nicole, par Annie The Slick - Communauté : Soumissions féminines
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Mardi 13 mars 2 13 /03 /Mars 20:49

 

Chapitre 7 : Le cours d’aérobic (deuxième partie)

 

 

 

À l’intérieur, un groupe d’une vingtaine de femmes s’activait au rythme des instructions d’une jolie blonde. Josie marcha droit vers elle. Les participantes s’interrompirent et regardèrent les deux intruses entrer. L’une d’entre elles était en tenue de sport, l’autre ressemblait plutôt à une star du porno. Son entrejambe était complètement trempé. On pouvait distinguer des taches jaunes qui ressemblaient à de l’urine sur ses chaussettes blanches en coton.
Allie tenta de se faire oublier en se plaçant dans un coin de la salle afin de dissimuler à quel point ses vêtements étaient souillés. Malheureusement pour elle, la pièce était entièrement équipée de miroirs, si bien que toutes les femmes purent voir ses fesses aussi bien que si elle les avait exhibées.

 

Josie s’adressa à la blonde.

 

— Billy ! Voici Allie. Elle est inscrite à ton cours. Désolée pour le retard mais elle a eu un accident en chemin.

 

Et sans ajouter un mot, elle fit demi-tour et abandonna l’adolescente, debout dans sa tenue outrageante, les seins presque nus et le minuscule maillot souillé d’urine ne couvrant qu’à peine son sexe.

 

— Va te mettre au fond et essaye de suivre, petite traînée. Fit la jolie monitrice.

 

Allie fit le tour de la pièce. Toutes les femmes la suivirent du regard en la dévisageant. Arrivée à sa place, elle tenta d’exécuter les exercices, mais le moindre mouvement, ne faisait qu’exposer ses seins à la vue de tout le monde. Heureusement, qu’elle avait une petite poitrine, sinon chaque exercice aurait été un calvaire.
L’exercice suivant consista à sauter sur place. À chaque mouvement, le gadget anal bougeait dans son rectum, ce qui ne tarda pas à lui procurer quelques frissons de plaisir qui l’accablèrent de honte.
Tous les corps des jeunes femmes qui participaient au cours étaient mis en valeur par des justaucorps qui révélaient plus qu’ils ne cachaient de jolies paires de fesses.
Allie était obsédée par les souvenirs dans lesquels elle était étendu nue, aux pieds de sa Maîtresse.
Après quelques minutes, elle commença à ressentir une humidité différente entre ses cuisses et se rendit compte que cela l’excitait. Non, pensa-t-elle, elle ne voulait pas ça, pas ici…
Le godemiché continuait à la stimuler et les exercices lui rappelant en permanence sa condition de sodomisée.

 

L’adolescente tentait de se concentrer, mais le mouvement constant entre ses fesses, ainsi que l’inconfort de ses pieds qui clapotaient dans ses chaussures à cause de l’urine qui s’y était introduite, rendait la chose impossible. Elle semblait en permanence avoir un pas ou deux de retard. Les femmes les plus proches d’elles devaient penser qu’elle n’était qu’une putain complètement idiote pour s’habiller de cette manière.

 

Son plaisir continua à augmenter l’approchant de plus en plus de l’orgasme. Bientôt elle imagina que toutes les femmes autour d’elle étaient nues, ce qui n’était pas difficile vu l’épaisseur des vêtements en lycra qu’elles portaient.
Elle essaya de faire bouger le bouchon qui lui obstruait le derrière pour se soulager mais, rien à faire. Finalement, quand elle fut à bout de résistance, elle glissa sa main derrière elle en plein cours et tira la lanière du maillot sur le côté afin d’avoir accès à son anus. Espérant que personne ne pouvait la voir, elle attrapa la base du gadget entre son pouce et son index et commença à le faire bouger d’avant en arrière au rythme des exercices, s’imaginant agenouillée entre les jambes de Billy, l’instructrice blonde. Elle commença à imprimer un mouvement de va et vient à l’objet, en regardant autour d’elle pour vérifier que personne ne s’en était rendu compte. Heureusement, elle était au fond de la salle et il n’y avait qu’une ou deux femmes qui auraient pu la voir.  Comme elles étaient concentrées sur Billy, il n’y avait pas trop de risque.
Elle s’enhardit un peu et fit bouger l’objet de deux à trois centimètres à chaque fois, se sodomisant allégrement. Elle tentait de continuer à faire les exercices en même temps que tout le monde. Proche de la délivrance, elle ferma les yeux.

 

Alors qu’elle commençait à suivre son propre rythme, qui n’était pas en accord avec le reste du cours, les deux femmes les plus proches se rendirent compte de son manège. Elles arrêtèrent leurs mouvements et la regardèrent avec stupéfaction et dégoût, puis elles avertirent leurs voisines en leur désignant la fille en train de jouer avec son anus.

 

Bientôt, tout le cours entier s’interrompit pour regarder l’adolescente, inconsciente du spectacle qu’elle offrait, prendre son plaisir dans la salle d’aérobic. Les 20 femmes restèrent immobiles choquées de voir la jeune fille pousser et tirer le gadget anal à l’intérieur de son sphincter, un coup à l’intérieur et un coup à l’extérieur du rectum, les yeux fermés, en gémissant.
Après quelques instants de ce traitement, Allie n’y tint plus et tira le devant de son maillot sur le côté, exhibant son jeune sexe imberbe à l’audience. Elle commença à caresser son clitoris. Son plaisir monta et elle se mit à gémir de plus belle. Les femmes autour d’elle la fixaient, comme hypnotisées par sa masturbation. Elles commencèrent à l’encourager. Allie ne s’en rendit pas compte. Elle tirait l’objet sur une dizaine de centimètres hors de son anus avant de le renfoncer à l’intérieur convulsivement. Elle le poussait et le tirait avec l’énergie du désespoir pendant que son autre main sollicitait furieusement son clitoris. Ses gémissements se transformèrent en cris lorsqu’elle atteint son orgasme. Les spectatrices l’acclamèrent.

 

Elles rirent de l’adolescente pendant que cette dernière se calmait.

 

— Quelle salope.

 

— Un gadget anal tu te rends compte.

 

— Le sexe rasé… Quelle pute.

 

Allie réalisa soudain qu’on la regardait.

 

— Salope.

 

— Putain.

 

— Vicieuse.

 

Elle reprit ses sens en réalisant que les autres femmes la traitaient de tous les noms. Oh mon dieu, qu’avait-elle fait. Quelle horreur. Que lui était-il arrivé ?
Elle renfonça le gadget dans son anus et courut à travers le rassemblement de femmes, quitta la salle et sortit dans le couloir. Son maillot n’était même pas ajusté et son sexe était visible pour tout le monde mais elle s’en moquait. Il fallait qu’elle se sauve.

 

Dans sa précipitation, elle heurta une femme et tomba à ses pieds. La porte de la salle claqua sur des éclats de rire.

 

— Hé, fais attention ! Dit la femme.

 

Allie s’empressa de remettre son maillot en place, dissimulant son sexe autant que possible. Elle était encore sous le coup de l’émotion tant son orgasme avait été puissant, mais en même temps, elle ressentait une humiliation terrible, écrasante. Pourquoi avait-elle fait ça ? Elle ne voulait pas se comporter comme ça. Elle était juste une adolescente, pas une salope de lesbienne, une putain de lesbienne. Elle aurait voulu ramper dans un trou et s’y blottir pour pouvoir pleurer tranquillement.

 

Finalement, la jeune fille roula sur le dos et regarda la femme. C’était Betsy, la serveuse du restaurant d’il y a deux jours…

 

— Hé Allie, quel plaisir, laisse-moi t’aider.

 

Elle attrapa la jeune fille sous les bras et l’aida à se mettre debout, profitant au passage de la vue imprenable de ses adorables petits seins fermes.

 

— Hmmm, qu’ils sont beaux.

 

Dit-elle en glissant sa main sous le minuscule tee-shirt pour tâter l’un d’entre eux et les masser quelque peu.

 

— Je vais vraiment adorer la nuit de samedi que nous allons passer ensemble, jeune fille.

 

Elle relâcha les seins de l’adolescente.

 

Betsy était entièrement habillée car elle avait terminé son entraînement. Allie se sentait tellement gênée d’être si peu vêtue devant son aînée. Elle était encore sous le coup de l’émotion après ce qui s’était passé au cours d’aérobic.

 

— Dis donc, qu’est-ce que tu fais maintenant ? je vais déjeuner avec quelques copines, tu ne veux pas venir avec nous ?

 

Allie aurait préféré refuser, mais Betsy représentait le seul moyen dont elle disposait pour quitter le club

 

— Avec plaisir, dit-elle d’une toute petite voix, — Est-ce que tu pourras me ramener chez moi après ?

 

— Ok poupée, c’est parti.

 

Betsy repartit vers l’entrée du club. Allie se sentait tellement indécente avec cette tenue. Sa seule consolation était que l’urine avait pratiquement séché. Elle ne sentait plus qu’une légère odeur de pisse qui s’estompait de plus en plus. Elle suivit Betsy, les fesses exposées à la vue de tout le monde.

 

Lorsque Betsy arriva à l’accueil, elle se dirigea vers la réceptionniste :

 

— Tu es prête Josie ?

 

Allie eut l’impression que le ciel lui tombait sur la tête. "Oh non, pas Josie."

 

Josie leva les yeux vers Betsy et répondit :

 

— Ouais

 

Elle remarqua Allie :

 

— Mais dis donc, tu connais Allie toi aussi ?

 

— Ouais, je l’ai rencontré il y a deux nuits environ. Puis, d’une voix plus basse : — Elle est chaude non ?

 

— Tu ne me croiras jamais… Je te raconterai ça pendant le déjeuner. Où sont Sandy et Ashley ?

 

À ce moment, deux nouvelles femmes arrivèrent, l’une d’entre elles était une rousse qui devait mesurer au moins 1m 80 et l’autre une petite brune aux cheveux courts. Les quatre femmes étaient habillées normalement et prêtes pour aller manger.

 

— Salut les filles !

 

Il y eut une série d’embrassades.

 

— Voici Allie, elle va manger avec nous.

 

Les deux nouvelles femmes lui jetèrent un bref regard et l’ignorèrent. Toutes quatre se mirent en route. Allie traîna derrière elles, pleinement consciente de l’obscénité de sa tenue.

 

Elles arrivèrent à la voiture d’Ashley, la grande rousse. C’était un gros 4x4. Comme la rouquine s’installait au volant, Sandy s’assit sur le siège passager et les trois autres femmes montèrent derrière. Bien évidemment, Allie se retrouva assise entre Betsy et Josie. Ashley mit le moteur en marche et commença à sortir du parking. Josie posa sa main sur la cuisse de l’adolescente.

 

— Comment c’est passé ton entraînement, jeune fille ?

 

Betsy posa sa main sur l’autre cuisse d’Allie.

 

— Bof… Pas très bien…

 

— Ah bon ? Quel dommage.

 

Dit Josie avec peu de conviction, en déplaçant lentement sa main sur la cuisse de l’adolescente.

 

— Non, s’il vous plaît. Dit Allie d’une voix à peine audible. — Je vous en prie.

 

Betsy regarda Josie faire glisser sa main sur l’abdomen de l’adolescente et se mettre à masser son bas-ventre, juste au-dessus du pubis. Elle tira sur sa jambe pour l’écarter un peu plus.

 

— S’il vous plaît. Dit Allie une nouvelle fois. Cependant, le ton semblait plutôt vouloir dire "encore s’il vous plaît."

 

Ashley parlait du club et Betsy lui répondit simplement "Hmm hmm" tant elle était absorbée par les caresses que Josie prodiguait à l’adolescente.

 

— Ecarte moi l’empiècement de sa culotte, Betsy. Murmura Josie.

 

Sandy se retourna et vit à quoi elles se livraient. Elle fit signe à Ashley qui dérégla son rétroviseur pour mieux voir ce qui se passait derrière elle.

 

— Waow ! Vous allez vous la faire dans ma voiture ?

 

— C’est pas une mauvaise idée. Répondit Josie.

 

Betsy tendit la main vers l’empiècement du maillot de l’adolescente.
Allie protesta silencieusement. Elle sentit la main de la jeune femme entrer délicatement en contact avec son sexe et tirer le tissu étroit sur le côté. Inévitablement, elle frissonna, tant l’étoffe était fine. L’effleurement la fit frissonner. Les deux femmes qui l’encadraient tirèrent sur ses jambes pour les écarter encore plus, lui faisant poser ses cuisses nues sur leur pantalons en jean. Elle était maintenant complètement offerte.
Josie fit descendre sa main sur le sexe de la jeune fille et l’empauma délicatement. Elle écarta les lèvres de l’adolescente et inséra son majeur entre les babines humides.

 

— Ben dis donc, qu’est-ce qu’elle mouille. Dit Josie en commençant à jouer avec le clitoris d’Allie. Sandy lécha ses lèvres et se mit à masser son propre sexe à travers son jean.

 

Betsy se pencha sur l’adolescente, attira son visage vers le sien, et l’embrassa passionnément. Elle remonta sa main sous le tee-shirt et se mit à masser les petits seins. Allie se mit à gémir à contre les lèvres de Betsy. Elle n’arrivait pas croire que ça recommençait. Elle n’était pas une lesbienne, elle voulait juste être une fille normale.
Elle gémit encore quand Josie fit pivoter doucement sa main pour introduire son majeur à l’entrée de son vagin et se mit à faire de petits mouvements d’avant en arrière. Très rapidement, le plaisir la submergea. Les deux femmes ne cessèrent de jouer avec son corps que lorsqu’elles arrivent au restaurant. Allie avait eu deux autres orgasmes, Betsy l’avait embrassée continuellement et, Josie n’avait cessé de la pénétrer avec son doigt. Allie était complètement abrutie par le plaisir lorsque Ashley éteignit le moteur.

 

Betsy interrompit le baiser et Josie se retira de son sexe. L’adolescente resta assise dans un état second à l’arrière du 4x4.
Les autres femmes descendirent de la voiture.

 

— Vas-y, petite ! Lui fit signe Josie.

 

À moitié consciente, l’adolescente rampa hors de la voiture. Josie et Ashley la rattrapèrent juste avant qu’elle ne chute au sol.

 

— Je pense qu’on va bien s’amuser cet après-midi. Rajouta-t-elle.

 

Les quatre femmes éclatèrent de rire en s’avançant vers l’entrée du restaurant.

 

Lorsqu’elles arrivèrent à la porte, Allie réalisa avec horreur que son sexe était entièrement découvert. Elle se mit à gigoter en tentant d’attraper l’arrière de son maillot pour réajuster le minuscule morceau de tissu entre ses jambes. Mais, les deux femmes qui la soutenaient étaient très fortes et tenaient ses bras si fermement qu’elle n’arriva pas à atteindre la lanière rebelle.

 

— Josie, s’il vous plaît. Est-ce que je peux me rhabiller ?

 

— Comment m’as-tu appelée, salope ? Je ne crois pas que ce soit le meilleur moyen de demander quelque chose. Dit-elle en tirant le bras d’Allie dans son dos, imitée aussitôt par Ashley.

 

Ses bras immobilisés fermement dans son dos lui firent cambrer le corps et pousser la poitrine en avant, faisant pointer ses petits tétons à travers le petit tee-shirt.

 

L’esprit d’Allie était encore embrumé par les orgasmes qui l’avaient submergée dans la voiture. Elle répondit presque automatiquement.

 

— Est-ce que je peux me rajuster s’il vous plaît Maîtresse.

 

— C’est mieux. Bien sûr que tu peux te rhabiller, nous serions gênées pour toi si tu entrais dans cet état. Elles lâchèrent ses bras et Sandy ouvrit la porte. La serveuse s’avança pour les accueillir en se demandant si elle n’avait pas rêvé pendant que l’adolescente se revêtait enfin.

 

Sandy demanda une table pour cinq, isolée de préférence. La serveuse les guida dans le restaurant à l’ambiance tamisée. Allie avançait au milieu des quatre femmes, humiliée de traverser le restaurant vêtue comme elle l’était. Leur groupe était constitué de quatre femmes habillées normalement plus une habillée comme une prostituée. Heureusement, il n’y avait pas grand monde à ce moment, bien qu’elle fût remarquée par une demi-douzaine de consommateurs. Elle entendit leurs commentaires en passant près d’eux :

 

— Regarde cette salope.

 

— Non mais tu as vu ce morceau ?

 

— Ben dis donc, j’aimerais bien lui mettre mon truc entre les jambes.

 

Comment en était-elle arrivée là ? Tout ce qu’elle souhaitait, c’était rentrer à la maison. Mais le seul moyen qui s’offrait à elle passait par les quatre volontés de Betsy. Elle redressa la tête, résignée. Au moins ici, elle était en sécurité. Affamée, elle allait au moins pouvoir se restaurer.

 

Elles prirent place à table. Allie se glissa prestement au milieu et réalisa avec soulagement qu’à cette place, elle était presque hors de la vue des autres consommateurs. La nappe cachait le bas de son corps et, si elle faisait attention à son tee-shirt, elle devait arriver à ne pas exposer ses seins à tout le monde. Pour la première fois depuis des heures, elle se détendit un peu. Ashley s’assit d’un côté d’elle et Sandy de l’autre. La serveuse leur apporta les menus et se retira.

 

— Alors les filles, vous n’allez jamais deviner ce que cette salope à fait aujourd’hui. Commença Josie. — Elle s’est pointée habillée comme une pute et j’ai voulu l’emmener au cours d’aérobic.

 

Allie était stupéfaite, Josie n’allait quand même pas raconter toute l’histoire. Non, ça n’était pas possible. Pas quand elle s’était fait pipi dessus. Mon dieu, je vous en prie, pas ça.
Josie continua :

 

— Elle m’a appelée "Maîtresse" ! Vous-vous rendez compte ? Je pense que c’est une soumise finie.

 

Allie sentit à nouveau une main se poser sur sa cuisse. Elles n’allaient quand même pas remettre ça ici ? Elles n’oseraient pas.

 

— Elle m’a dit qu’elle avait une envie urgente. Mais je ne l’ai pas crue, et nous nous sommes retrouvées dans la petite réserve du couloir.

 

Sandy s’empara de la jambe d’Allie et la posa sur la sienne. Voyant cela, Ashley attrapa l’autre et fit de même.

 

— Elle a perdu son équilibre et est tombée sur le cul.

 

Allie fit non de la tête. Ashley tendit la main et tira la bretelle de son maillot sur son épaule puis vers le bas, sous le tee-shirt, avant que l’adolescente puisse l’en empêcher. Sandy fit de même avec l’autre bretelle.

 

— Quand j’ai trouvé la lumière, je l’ai vue, assise par terre entrain de… Vous n’allez pas me croire… Elle se pissait dessus à travers ses vêtements.

 

Choquées, les autres femmes ouvrirent de grands yeux.

 

— C’est pas possible ! Dit Sandy.

 

— Je vous jure. Elle pissait à travers son maillot. Ça giclait par terre. Elle se vautrait dans sa pisse.

 

Malgré l’extravagance des propos de son amie, Ashley ne perdait pas le nord, elle fit glisser les bretelles du maillot le long du buste de l’adolescente et, d’un geste impérieux, les fit passer sous ses fesses avant que la jeune fille ait pu protester. Puis elle souleva le tee-shirt, exhibant les petits seins à peine formés au regard de ses amies.
Oh non, pensa Allie, je suis nue jusqu’à la taille maintenant.

 

— Alors j’ai pas pu me retenir, j’ai baissé ma culotte et je l’ai obligée à me sucer. Putain, c’était génial. C’est une sacrée lécheuse de chattes.

 

À ce moment, la serveuse revint. C’était une jolie petite brune.

 

— Avez vous choisi, mesdames ?

 

— Oui, c’est fait, répondit Betsy en regardant Allie avec gourmandise.

 

Toutes les femmes attablées éclatèrent de rire, enthousiasmées par le jeu de mots.

 

Elles se tournèrent vers la serveuse et commandèrent. Ce fut Ashley qui choisit pour Allie, ne la laissant même pas consulter le menu. Elle lui commanda une petite salade.
La serveuse les remercia et les laissa.

 

Allie était terrifiée d’avoir encore à s’exhiber, elle gigota un peu contre les deux femmes qui tenaient ses jambes écartées mais ne savait pas quoi faire. Faire du bruit attirerait l’attention sur elle. Sandy croisa son autre jambe par-dessus la sienne, la bloquant entre ses cuisses. Ashley, elle, fit passer rapidement l’autre jambe de l’adolescente au-dessus de sa tête et la fit glisser dans son dos avant de s’appuyer contre le dossier de la banquette pour la coincer.

 

— Non, s’il vous plaît, pas ici, laissez moi tranquille.

 

— Oh la ferme, petite salope. Dit Betsy. — On s’amuse un peu, c’est tout.

 

Allie regarda autour d’elle désespérément, mais mises à part les quatre femmes attablées avec elle, personne ne semblait s’intéresser à elle.
Ashley passa sa main sous les fesses de l’adolescente et la força à avancer un peu sur le siège afin d’exposer son sexe luisant à sa convoitise. Aussitôt, la main gauche de Sandy se retrouva entre ses cuisses et se mit à caresser son clitoris. Le choc électrique que ressentit Allie fut tel que ses yeux roulèrent dans leurs orbites.
Sandy commença à jouer distraitement avec son sexe tandis que Josie finissait l’histoire de Allie la salope.
L’adolescente gigota un peu et plaça ses mains sur celle de Sandy pour l’empêcher de caresser son sexe.

 

— Non, non, non, pas de ça jeune fille. Dit Ashley.

 

Elle attrapa les deux bras de la jeune fille et les rabattit violemment dans son dos où Sandy l’aida à les attacher ainsi que ses coudes avec les bretelles du maillot.

 

— Oh non, ne m’attachez pas… Je vous en prie ! Geignit l’adolescente.

 

— Si tu restais assise sans bouger, nous n’aurions pas besoin de t’attacher. Maintenant, reste tranquille et arrête de gigoter.

 

Les consignes qu’on lui imposait devenaient de plus en plus autoritaires au fur et à mesure que Sandy continuait à lui rendre hommage.

 

A cet instant, Allie était pratiquement nue. Elle n’avait plus sur le dos, que ses chaussettes souillées, ses chaussures et son tee-shirt. Elle sentait son plaisir monter et tenta de le contenir. Pourquoi lui faisaient-elle ça, elle n’était pas lesbienne.
Elle perdit le fil de ses pensées lorsqu’un orgasme commença à poindre dans son ventre, elle mordit ses lèvres et se mit à gémir tout doucement. Ses jambes étaient écartelées au maximum de ce que permettaient ses tendons, proches du grand écart. Ses bras étaient solidement attachés dans son dos à la hauteur de ses coudes et de ses poignets. Elle était sans défense, rien qu’un objet avec lequel on pouvait s’amuser sans retenue, auquel on pouvait faire ce que l’on voulait.

 

Sandy fit glisser sa main sous l’entrecuisse de l’adolescente et lui tâta l’anus du bout du doigt. Elle fit marche arrière aussitôt.

 

— Oh mon dieu, cette salope a un godemiché dans le…

 

Les autres femmes éclatèrent de rire. Josie lui demanda de le retirer :

 

— Enlève-le fais-moi voir !

 

Sandy plongea sa main dans le dos de l’adolescente, lui appuyant sans ménagement le buste sur la table et, ignorant les protestations peu convaincantes de la jeune fille matée, retira l’objet en caoutchouc de son rectum et l’exhiba devant ses amies.
Pour la première fois depuis 24 heures, les fesses d’Allie se vidèrent de l’intrus qui les encombrait. Elle sentit un vide en elle.

 

— Oh là là ! Elle portait ça toute la journée ? Remets-le en place.

 

Sandy repositionna la tête du godemiché contre le sphincter d’Allie et, lentement, le lui réintroduisit. Allie ferma les yeux en accueillant le bouchon. Son retour lui parut étonnement agréable. Sandy commença à sodomiser lentement la fille avec le gadget. Ashley lui mit la main droite entre les jambes et commença à jouer avec le sexe de l’adolescente.
L’orgasme d’Allie recommença à enfler en elle, sans répit cette fois, elle se mit à gémir comme une petite chienne, pencha sa tête en arrière contre le dossier de la banquette et jouit.
Elle poussait de tout petits gémissements, crispant ses lèvres pour maintenir sa bouche close, essayant tant bien que mal de rester discrète.

 

C’est ce moment que la serveuse choisit pour revenir et leur servir leur repas. Elle regarda Allie.

 

— Est-ce qu’elle va bien ?

 

De sa place, elle ne pouvait pas voir les mains de Sandy et Ashley s’amuser avec les trous de l’adolescente.

 

— Ouais, elle a seulement eu une séance d’entraînement vraiment difficile aujourd’hui et ça doit être des crampes. Répondit Josie.

 

Ashley poussa un peu plus en avant et pénétra le sexe d’Allie avec son majeur. L’adolescente subissait une double-pénétration au moment où la serveuse posa son assiette de salade devant elle. Elle essaya d’ouvrir les yeux pour remercier la serveuse, mais à ce moment une nouvelle jouissance la parcourut et elle dut monopoliser toute sa concentration pour ne pas crier d’extase.

 

Pendant tout le déjeuner, Sandy et Ashley continuèrent à abuser de l’adolescente. Elles mangèrent à tour de rôle, pendant que l’autre s’amusait avec l’adolescente. À la fin du repas, Allie était au bord de l’évanouissement.

 

Son plaisir avait été poussé à son point culminant lorsqu’elle avait senti quelque chose de sensiblement plus gros pénétrer son sexe. Elle avait baissé les yeux pour constater qu’on introduisait un vibromasseur dans sa vulve imberbe. Sandy l’avait enfoncé à fond et l’avait mis en marche. Dès lors, son plaisir avait atteint son apogée.
Elle ne se rendit qu’à peine compte qu’Ashley lui renfilait son maillot d’aérobic. Les quatre femmes se levèrent et quittèrent le restaurant. Le sexe d’Allie bourdonnait au rythme du vibromasseur dont la base poussait sur le tissu de son maillot, formant une protubérance visible sous son sexe.

 

Elles retournèrent à la voiture et reprirent les mêmes positions qu’à l’aller. Allie faillit avoir un autre orgasme en s’asseyant lorsque le vibrateur et le gadget anal se touchèrent à travers les parois intimes de son vagin et de son anus. Les sensations occasionnées par le fait d’être remplie des deux côtés étaient déjà trop en elles mêmes. Elle n’eut pas suffisamment de présence d’esprit pour protester lorsqu’elle sentit qu’on lui ôtait ses chaussures, puis ses chaussettes et qu’on les lançait dans le coffre du 4x4. Au même moment, Josie lui enleva une nouvelle fois son maillot qui suivit la même direction que ses chaussures. Elle n’avait plus sur elle que son petit tee-shirt. Ensemble, Betsy et Josie le firent passer par-dessus sa tête. Allie se retrouva nue dans la voiture d’une inconnue, entourée de femmes, un vibromasseur dans le sexe et un gadget anal entre les fesses.

 

Betsy se pencha et recommença à embrasser la jeune fille, forçant sa bouche avec sa langue. Allie gémit entre les lèvres de la jeune femme au rythme des vagues de plaisir qui la parcouraient. Josie glissa ses mains sous les fesses de l’adolescente et l’attira vers l’avant du siège. Une fois qu’elle eut accès aux deux extrémités de la jeune fille, elle se mit à agiter les deux objets en cadence.
Allie hurla presque lorsqu’elle jouit à nouveau, Josie la pistonnait des deux mains et elle n’arrivait pas à penser à autre chose qu’aux sensations qui cheminaient dans son corps. Son anus et son vagin la faisaient jouir en permanence, elle gémissait sans discontinuer pendant que Betsy ne cessait d’introduire sa langue au fond de sa bouche.

 

Elle fut incapable de marcher jusqu’à la maison d’Ashley. Elles s’étaient garées le long du trottoir et durent traîner l’adolescente nue jusqu’à la porte d’entrée. Allie resta sur le pas de la porte, à la vue de tout le monde, n’y faisant même plus attention. Sandy était derrière elle et avait glissé sa main entre ses jambes pour s’assurer que le vibromasseur et le gadget anal étaient toujours bien en place.

 

Elles entrèrent dans la maison, traînant l’adolescente nue et sans défense.

 

Une fois à l’intérieur, Josie prit à nouveau la direction des évènements.

 

— Agenouille toi au milieu du salon, petite salope.

 

Et elle poussa Allie vers le centre de la pièce. L’adolescente se sentit soulagée en pensant qu’au moins elle n’avait plus à s’exhiber en public.

 

— Attends nous ici, salope, on revient dans une minute.

 

Allie s’agenouilla au centre de la pièce. Le vibromasseur ronronnait dans son sexe, et son anus se contractait convulsivement sur l’intrus qui l’envahissait. Elle ferma ses yeux et laissa sa tête tomber sur sa poitrine. Soudainement elle se mit à pleurer silencieusement, les humiliations qu’elle avait subies ce matin réclamaient leur dû. Maintenant qu’elle était seule, les évènements horribles qu’elle avait vécus se télescopaient dans son cerveau. Elle frissonna et sentit un nouveau mini-orgasme naître au fond de son ventre. Non, s’il vous plaît, stop. Se dit-elle en elle-même. Je ne veux pas jouir encore. Elle souhaitait par-dessus tout s’en aller et rentrer chez elle. Peut-être que si elle demandait gentiment à Josie, celle-ci accepterait de la ramener tout de suite.

 

Les quatre femmes la rejoignirent dans le salon en prenant leur temps. Elles s’étaient accordé le temps de boire un verre. Elles s’approchèrent de l’adolescente agenouillée au centre de la pièce et l’entourèrent, la dominant de toute leur taille.

 

— J’aime ses seins, ils sont très jolis et ses tétons se dressent fièrement. Dit Sandy.

 

— Moi, c’est son sexe épilé qui m’excite.

 

— Je veux qu’elle me suce la chatte.

 

Elles parlaient d’elle comme si elle était un objet, ignorant ses sentiments, ne parlant que de son corps et de l’usage qu’elles pouvaient en avoir, de sa langue et de ses trous.

 

— Je pense que nous devrions encore lui attacher les bras dans le dos. Au restaurant, on a vu qu’on ne pouvait pas encore lui faire confiance. Dit Ashley en allant ouvrir un petit placard.

 

À l’intérieur, Allie aperçut quelques objets qu’elle reconnut parce que Nicole les avait utilisés sur elle. Munie de quelques cordes, Ashley revint vers elle.

 

Betsy et Josie lui rabattirent les bras dans le dos. Allie resta agenouillée, sans opposer de résistance, et laissa les femmes faire d’elle ce qu’elles voulaient.

 

— Comme tu peux voir, petite salope, Ashley adore attacher les filles. Ça la met vraiment en condition et c’est comme ça qu’elle s’amuse.

 

Maintenant, Allie sanglotait, mais personne ne s'en préoccupa. Ashley lui attacha les bras au niveau des coudes, les enserrant étroitement, tout le long, jusqu’aux poignets.

 

— Je viens de parler à Nicole.

 

Allie regarda Betsy, pleine d’espoir, et arrêta de pleurer. Peut-être qu’elle allait pouvoir rentrer chez elle après tout.

 

— Elle a dit que tu devais être rentrée à quatre heures pour préparer le dîner, mais qu’en attendant tu peux rester quelques heures ici pour qu’on s’amuse avec toi.

 

Incrédule, Allie secoua la tête négativement.

 

Allie passa le reste de l’après-midi, la tête entre les cuisses de chacune des femmes à sucer leur sexe. Lorsqu’elle fut finalement déposée sur le palier de la maison de Nicole, elle était complètement épuisée. Elle était nue, mais n’y prêtait pas vraiment attention. Elle pénétra dans la maison et commença à préparer le dîner de Nicole comme si cela lui permettait d'oublier.

 

 

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Allie et Nicole, par Annie The Slick - Communauté : Soumissions féminines
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Mardi 6 mars 2 06 /03 /Mars 22:32

Chapitre 6: Le cours d’aérobic (1ère partie)

 

Allie se réveilla en sursautant. Nicole lui donnait de petits coups de pieds.

— Réveille-toi petite chienne, tu as du travail qui t’attend.

La brune se pencha en avant et tira la fine couverture qui recouvrait la jeune fille étendue sur le sol. Allie émit une petite plainte et se redressa. Tout son corps était endolori. Elle se remémora avec effroi les événements de la soirée. La punition qu’elle avait reçue pour avoir désobéi à une femme supérieure, avoir perdu sa culotte et son soutien-gorge et avoir quitté le phallus en plastique sans autorisation avait duré des plusieurs heures. La leçon avait été magistrale et elle n’était pas près de l’oublier.

Déjà, Nicole se dirigeait vers la salle de bain, vêtue de son élégant peignoir. L’adolescente la suivit d’un pas hésitant, nue. Nicole se plaça au centre de la pièce et leva les bras. Allie savait ce qu’on attendait d’elle. Elle tendit ses bras douloureux d’avoir étés attachés pendant des heures la nuit dernière et débarrassa sa Maîtresse de son peignoir. Telle une statue, Nicole garda la pose, irradiant de sa féminité irréprochable. Puis elle enlaça l’adolescente posant ses lèvres sur celles de la jeune fille, l’entraînant dans un baiser langoureux et délicat, faisant tourner sa langue dans sa bouche. Allie hésita un court instant avant de s’abandonner dans les bras de sa Maîtresse. Ce témoignage d’amour était ce qu’elle souhaitait le plus pour l’instant. La nuit avait été si douloureuse et elle avait eu si froid en dormant par terre.

Nicole rompit le baiser et s’écarta un peu, tenant toujours l’adolescente nue dans ses bras, pressant ses seins amples et parfaitement développés contre ceux à peine formés mais admirablement proportionnés d’Allie, leurs tétons appuyés les uns sur les autres. Elle baissa les yeux sur la jeune fille.

— Je t’aime Allie, ce qui s’est passé la nuit dernière était pour ton bien. Tu as besoin d’être prise en main.

Nicole fit descendre sa main sur les fesses de l’adolescente et trouva aussitôt le sillon duquel dépassait le gadget qui se trouvait toujours en place dans son anus.

— Pour t’en souvenir, tu vas le garder jusqu’à ce que je t’autorise à l’enlever. Mêmes règles que celles qu’on t’a édictées hier au salon de beauté… Et que tu n’as pas su respecter.

Allie se tortilla légèrement lorsque Nicole joua distraitement avec l’objet qui avait pris possession de son rectum.

— Es-tu amoureuse de moi Allie ?

— Oui Maîtresse. Répondit la jeune fille en prononçant respectueusement le mot qui commençait à devenir partie intégrante de son vocabulaire.

— Est-ce que tu as confiance en moi ? Demanda Nicole en tirant légèrement sur le gadget, le faisant sortir de quelques centimètres avant de le remettre en place.

Oui Maîtresse, mmmhhh. L’adolescente se mit à haleter au rythme de la sollicitation anale qu’elle recevait.

— Bien.

Elle se pencha à nouveau et embrassa une nouvelle fois Allie en continuant à imprimer des allers-retours au godemiché. Elle attira fermement la jeune fille contre elle en  lui renfonçant entièrement l’objet en plastique dans le fondement.

— Maintenant, dit Nicole en s’écartant de l’adolescente pantelante, Prépare ma douche.

Elle libéra Allie de son étreinte, la fit pivoter de dos et claqua son fessier déjà fortement rougi par les tourments endurés la nuit précédente.

Pendant qu’elle préparait le bain de sa Maîtresse, Allie se remémora son retour en larmes la veille. Elle avait refait le trajet en sanglotant. La première chose qu’elle fit en arrivant fut d’ôter l’odieux gadget qu’elle détestait… Elle aurait mieux fait de respecter les consignes de l’esthéticienne, il aurait cent fois mieux valu qu’elle s’abstienne, au moins elle n’aurait pas été fouettée si cruellement par Nicole. Heu… Peut-être…

Elle entendit Nicole uriner sur les toilettes derrière elle. Ce qui lui fit réaliser sa propre envie.

— C’est prêt Maîtresse. L’eau du bain était à la bonne température. Elle se retourna vers Nicole. Celle-ci écarta les jambes et désigna son entrecuisse du doigt.

— Viens ici, petite chienne, viens me faire un petit nettoyage.

Allie avança vers sa Maîtresse dont la miction venait de s’interrompre.

— Agenouille-toi, esclave, et nettoie-moi la chatte.

L’adolescente s’agenouilla devant la brune, le visage à hauteur de la cuvette. Une légère odeur d’urine pénétra son nez. Elle tendit la main vers le rouleau de papier toilette et en déchira quelques morceaux qu’elle mit rapidement en contact avec les lèvres ruisselantes de la jeune femme. Avec douceur, elle essuya délicatement le sexe de sa Maîtresse pendant que celle-ci la regardait faire.

Comment était-ce possible ? Elle était en train d’essuyer le sexe d’une femme qui venait d’uriner. Allie était trop fatiguée et abasourdie pour répondre correctement à cette question, mais elle savait que ça n’était pas quelque chose de convenable. Les filles bien ne nettoyaient pas le sexe des autres femmes, et elle était une fille bien. Elle pressa le papier toilette doucement entre les lèvres du sexe de Nicole et s’assura qu’il était sec. Je suis une fille bien, se dit-elle une nouvelle fois.

Nicole n’en revenait pas. Qu’il était facile de manipuler cette fille. Elle n’avait pris l’ascendant sur elle que depuis trois jours et déjà, elle essuyait son sexe après qu’elle ait pissé. Elle eut presque un orgasme en se demandant à quoi elle allait encore pouvoir la contraindre. Allie était vraiment parfaite.

Lorsque l’adolescente eut terminé, elle lui demanda de l’embrasser ; pour lui souhaiter bonjour. Elle écarta un peu plus les jambes et Allie se pencha lentement en avant pour déposer un baiser amoureux sur son sexe. Nicole pencha sa tête en arrière et eut un orgasme foudroyant au simple contact délicat des lèvres tendres de l’adolescente. Elle allait devoir se retenir mieux que ça si elle voulait faire durer le plaisir, se dit-elle.
Lorsqu’elle fut remise de son mini-orgasme, elle se redressa devant la jeune fille.

— Tu peux tirer la chasse et venir dans le bain avec moi.

Elle enjamba avec désinvolture la jeune fille agenouillée, se dirigea vers la douche et s’immergea sous la cascade d’eau tiède.

Allie tira la chasse, humiliée d’avoir dû essuyer le sexe de sa Maîtresse. Elle se remit debout et rejoignit Nicole dans la baignoire. Elle resta un instant debout, impressionnée par la perfection du corps de son aînée sur lequel l’eau cascadait. Elle frissonna légèrement, Nicole semblait baignée de lumière. Que lui arrivait-il ? Elle ne voulait pas être attirée par les filles, elle voulait être une adolescente normale et aimer les garçons. Elle aimait les garçons, pas les filles ! Non ? Elle était troublée, peut-être que Nicole avait raison, peut-être qu’elle était une lesbienne. Elle avait besoin de temps pour y réfléchir, d’être seule au calme pendant quelque temps. Lorsque Nicole serait partie travailler, elle pourrait sans doute se poser et étudier la question.

— Viens ici, petite chienne et lave-moi. Nicole lui tendit le savon, l’empêchant de mettre de l’ordre dans son esprit. L’adolescente préoccupée prit le savon et commença à en frotter ses mains. Nicole présenta son dos à la jeune fille et tira sur ses cheveux pour le dégager.

— Commence par là.

Allie obéit, étalant le savon entre les omoplates finement ciselées descendant jusqu’au creux du dos, au dessus des fesses.

— Allez, ma fille, n’oublie pas mes fesses, tu es responsable de ma propreté. Tu devrais être fière de cet honneur.

Allie nettoya délicatement les fesses parfaitement proportionnées de la jeune femme, l’une après l’autre.

— N’oublie pas l’entrejambe !Ajouta Nicole en écartant un peu ses cuisses.

Allie savonna l’entre fesse et, bien entendu, l’anus.

— Hmmm, c’est bon ma fille, tu devras bien de me sucer à cet endroit, il faudra que l’on s’occupe de ça dès que possible.

Allie repensa aux moments qu’elle avait passé à enfoncer profondément sa petite langue entre les fesses de sa tutrice. Etait-ce vraiment il y a deux jours ? Elle avait l’impression que ça faisait plus longtemps. Elle était perdue dans ses pensées lorsqu’elle sentit Nicole se coller contre elle.

— Oui, petite chienne, joue avec mon corps, nettoie ma chatte maintenant, occupe toi bien de cet endroit.

Nicole tendit le bras en arrière et attrapa une des mains de l’adolescente pour la tirer fermement et la pousser entre ses cuisses. Allie se mit à savonner le sexe de sa Maîtresse, l’enduisant de mousse alors que la jeune femme commençait à se tortiller contre elle. Elle étendit son autre main et se mit à laver les seins de Nicole.

La jeune femme se retourna.

— Agenouille toi et suce-moi, petite salope.

Elle mit ses mains sur les épaules de l’adolescente et la força à s’agenouiller dans la baignoire. L’eau cascadait partout sur Allie. Elle eut du mal à respirer, désorientée par les évènements, elle ne résista pas lorsque Nicole écarta ses jambes, l’attrapa par la nuque et força sa bouche à entrer en contact avec son sexe savonneux. L’adolescente n’eut d’autre choix que se mettre à lécher et sucer le sexe offert. La jeune femme attrapa une poignée des cheveux mouillés d’Allie dans une main, maintenant le visage d’Allie fermement contre son entrecuisse, et appuya l’autre contre le mur pour garder son équilibre.

Nicole était au paradis, elle allait aimer ses matinées. Se réveiller et se faire lécher le sexe sous la douche par sa propre petite salope personnelle était un régal. Elle lança la tête en arrière d’extase au rythme de l’orgasme qui grandissait. La douche éclaboussait son corps et noyait l’adolescente agenouillée entre ses jambes. La stimulation extraordinaire que lui procurait la jeune fille la poussa vers l’orgasme et la fit jouir.

— Oui, oui ma fille. Cria-t-elle. — Ooohh, hmmm, je suis entrain de jouir. Enfonce ta langue à l’intérieur, petite pute. Baise-moi avec ta langue, petite pute, baise-moi.

Allie raidit sa langue et l’enfonça dans le sexe de Nicole. Elle était trop courte pour pénétrer suffisamment loin, mais elle fit son possible.
Nicole se laissa emporter par son orgasme en pressant le visage de l’adolescente contre son entrecuisse.
Allie ne pouvait plus respirer, sa bouche était envahie par le sexe de sa Maîtresse et son nez était enfoui dans son pubis. L’eau de la douche coulait sur ses yeux et elle commença à voir des points noirs pendant que Nicole jouissait sur son visage.

Finalement, alors qu’Allie avait l’impression qu’elle était sur le point de perdre connaissance, Nicole gémit une dernière fois et relâcha la pression, repoussant l’adolescente en arrière, lui permettant enfin de reprendre une grande goulée d’air frais. Elle n’avait pas relâché la mèche de cheveux et, en reprenant ses esprits, remit l’adolescente sur pied et l’embrassa violemment, mordant ses lèvres en même temps. Puis elle empoigna fermement ses deux fesses et fit glisser ses doigts entre ses fesses s’amusant avec le gadget qui était toujours fermement inséré dans le rectum de l’adolescente.

— Je t’aime Allie, tu es ma petite esclave, n’est-ce pas ? Demanda finalement Nicole en relâchant complètement la jeune fille, frottant doucement sa cuisse contre le petit sexe de l’adolescente. Elle retira sa main des fesses sans défense et la glissa contre le sexe d’Allie, y fit pénétrer un doigt, l’enfonça avec délices avant de l’immobiliser au cœur de l’intimité de l’adolescente pantelante.

— Oui Maîtresse, oh oui. Répondit Allie en appuyant sa tête contre l’épaule de la jeune femme. L’orgasme qui grandissait en elle la faisait trembler. Satisfaite, Nicole agita rapidement son doigt d’avant en arrière, la faisant jouir aussitôt.

— Tu es ma petite esclave sexuelle. N’est-ce pas ?

— Oui, je suis votre esclave sexuelle. Répéta la jeune fille, comme dans un nuage.

— Tu es ma petite esclave sexuelle détraquée ? Demanda Nicole en se penchant pour embrasser l’adolescente une nouvelle fois. Enfonçant entièrement son doigt dans la vulve qu’elle considérait comme sa propriété.

— Oui Maîtresse, je suis votre petite esclave sexuelle détra… hmmm. Allie entoura le cou de la jeune femme de ses bras en serrant très fort pendant qu’elle lui rendait son baiser.

****************

Elles sortirent de la douche et Allie essuya le corps de sa Maîtresse, consacrant une attention particulière à son sexe et à ses fesses, séchant ses cheveux avec amour. Puis elle la coiffa et l’aida à se maquiller, s’appliquant à la satisfaire du mieux qu’elle pouvait.
Nicole était très impressionnée par la volonté de la jeune fille, visiblement, elle accordait beaucoup d’importance à son apparence.

Lorsque ce fut terminé, Nicole retourna dans sa chambre pour se faire vêtir.
C’est elle qui choisit les dessous ; une culotte noire échancrée et un soutien gorge assorti ; sans omettre d’exiger qu’elle embrasse chaque parcelle de son corps avant de la recouvrir avec les vêtements.
Ensuite, il fallut se décider parmi les multiples tenues qu’elle mettait pour aller travailler. Elles en choisirent une qui lui donnait une allure de femme d’affaires. Allie embrassait systématiquement le corps de sa Maîtresse avec dévotion.

— C’est parfait, petite salope.

Lorsqu’elle fut prête, elles allèrent dans la cuisine. Allie, toujours nue, suivait sa Maîtresse à pas feutrés. Elle leur prépara à toutes deux un pamplemousse, pendant que Nicole patientait tranquillement, assise à table, resplendissante dans son ensemble qui lui donnait beaucoup d’allure.
Lorsque ce fut prêt, Allie allait s’asseoir en face de sa Maîtresse lorsque celle-ci lui fit signe de s’agenouiller par terre, au pied de sa chaise. "À sa place". L’adolescente obéit et mangea en silence, à quatre pattes sur le carrelage froid de la cuisine.

Lorsqu’elles eurent terminé, Nicole déclara :

— Je t’ai inscrite à un cours d’aérobic ce matin, petite chienne. Je veux que tu prennes soin de ta ligne. Va dans ta chambre et regarde dans l’armoire, je t’ai acheté une tenue adaptée. Habille-toi rapidement, je te déposerai au passage, c’est sur mon chemin. Ne tarde pas, il est hors de question que je sois en retard.

Interloquée, Allie se demanda ce qui l’attendait.

Elle se releva et regagna sa chambre. La première chose qu’elle remarqua en entrant fut la disparition de son lit. Où allait-elle dormir ? Son estomac se contracta. Nicole n’allait quand même pas la faire dormir par terre tout le temps ? Non, quand même pas. Allie aurait voulu lui dire que ça n’était pas possible, pas ça, qu’elle avait besoin d’un lit pour dormir.

Elle aperçut quelques habits en haut de son armoire et s’avança. Ses idées tournaient dans sa tête à une vitesse folle. Il y avait un short en coton gris, un sweat-shirt de la même couleur, un tee-shirt découpé qui paraissait ridiculement court, et un petit maillot une pièce que certaines femmes portaient par-dessus leur collants en lycra pour accentuer la finesse de leur formes. Sauf qu’il n’y avait pas de collants.
Allie hésita. Elle était sur le point d’aller dire à Nicole qu’elle ne pouvait pas s’habiller comme ça, mais elle réfléchit et se dit que Nicole saurait forcément la convaincre. Quoi qu’il en soit, elle ne porterait que le short et le sweat-shirt, comme ça, personne ne pourrait la voir dans ces vêtements si indécents. Ils ressemblaient plus à des sous-vêtements qu’à autre chose.

Elle enfila d’abord le tee-shirt, puis le maillot une pièce. Le tee-shirt s’arrêtait juste en dessous de ses seins, dévoilant le bas de son petit soutien-gorge, si elle levait les bras, tout le monde le verrait.
Le maillot était encore pire, Il était si étroit qu’on pouvait facilement se rendre compte qu’elle était épilée. Le bas de la partie échancrée formait un "V" qui descendait presque jusqu’au bas de son pubis, si bien que si elle n’avait pas été épilée, TOUS ses poils auraient été exposés. Le morceau de tissu qui recouvrait son sexe ne voilait qu’à peine son intimité, il en épousait si étroitement la forme qu’il soulignait indécemment la forme de ses lèvres sexuelles. Les bretelles du maillot une pièce qui couraient sur ses épaules étaient tellement fines qu’elles exposaient encore plus ses petits seins. Elles étaient tellement tendues qu’elles plaquaient étroitement l’empiècement du tissu contre les replis de son sexe. Allie avoir besoin de temps pour se sentir à l’aise. Dans son dos, les bretelles se réunissaient en une fine lanière de tissu qui descendait verticalement jusqu’à ses fesses entre lesquelles elle cheminait en appuyant fermement sur sa raie.
Heureusement qu’il y avait les autres vêtements, ainsi personne ne pourrait la voir dans cette tenue indécente au possible. Ça aurait été pire que d’être nue, elle aurait ressemblé à une star du porno…
Elle enfila rapidement le short et le sweat-shirt.
Allie sursauta : Nicole se tenait dans l’ouverture de la porte.

— Désolée, je me demande si je n’ai pas oublié ma tenue de sport ici. Ah ! La voici. Mais tu t’es trompée, petite chienne, ces vêtements sont les miens. Donne ! Je les mettrai plus tard.

Elle tendit la main avec un petit geste d’impatience. Allie était abasourdie. Elle ne pouvait pas sortir dans cette tenue. Elle s’apprêtait à protester lorsque Nicole agita légèrement sa main, lui faisant comprendre que ça n’était pas le moment de réclamer. Toutes ses velléités de protestation s’envolèrent. Elle quitta le sweat-shirt et le tendit à sa Maîtresse, avant de s’enhardir et demander :

— S’il vous plaît Maîtresse, est-ce que je peux garder le short ?

Nicole regarda sa petite soumise avec consternation.

— Ma pauvre fille, j’ai bien peur que non. Ça serait inapproprié de t’autoriser à le porter. Elle tendit à nouveau la main. — Le short, tout de suite !

Allie quitta le vêtement protecteur, révélant son corps plus que nu à sa Maîtresse.

Nicole jubilait. Son plan se déroulait à la perfection, elle savait qu’Allie n’aurait jamais accepté de s’habiller ainsi, mais maintenant, elle était parfaitement préparée pour une nouvelle journée de sévices. Elle en avait fait son jouet, sa poupée docile, habillée comme une vulgaire prostituée et elle aurait bien aimé la violer sur le champ.

— Ok, en route. Dit la jeune femme en posant le short et le sweat-shirt sur le bar de la cuisine.

— Maîtresse ? Demanda Allie d’une toute petite voix.

— Oui petite chienne ? Répondit Nicole avec ennui.

— Est-ce que je dois vraiment y aller dans cette tenue ?

— Allons, petite chienne, ne sois pas idiote, c’est le top de la mode "aérobic". Vêtue comme ça, tu ne dépareilleras pas avec les autres filles du club.

Nicole savait pourtant bien qu’elle allait pourtant "faire tache" au milieu des autres filles.

— Maîtresse ? Demanda Allie d’une voix encore plus inaudible.

— Oui ! Quoi encore ? Répondit la brune d’un ton exaspéré.

— Il faut que j’aille aux toilettes.

— Il fallait y penser plus tôt. Nous devons partir immédiatement. Tu ne voudrais pas me faire arriver en retard au travail ? si ?

Et Nicole attrapa la main d’Allie et emmena sa petite salope lesbienne vers le garage.

Elles montèrent dans la BMW et se mirent en route pour le club de gymnastique.

— Tu es si sexy, tu me donnes envie de jouir rien qu’en te regardant, je parie que même les femmes hétéros du club vont fantasmer sur toi.

Allie se fit toute petite dans son siège, elle souhaitait de tout son cœur trouver un endroit dans le club où elle pourrait se cacher et attendre. Elle se sentait complètement nue et le cuir du fauteuil était froid sous ses cuisses nues.

Rapidement, avant même qu’Allie le réalise, elles arrivèrent. Nicole se gara, et fit le tour de la voiture pour ouvrir la porte à L’adolescente. Celle ci était au bord des larmes, ses petits seins étaient à moitié dénudés et son sexe et ses fesses nues à peine voilés par le maillot étroit. Nicole claqua les fesses d’Allie et referma la porte.

Elles traversèrent le parking et se dirigèrent vers l’entrée du club, Nicole, très élégante dan son tailleur et Allie à moitié nue. Elles croisèrent, un groupe de trois femmes qui dévisagèrent l’adolescente et la montrèrent du doigt. En passant, elle entendit leurs paroles :

— … À moitié nue… Quelle salope… Je parie que c’est une putain…

Puis elles furent hors de portée et Allie fit son possible pour ignorer tous les regards dédaigneux qui s’attardaient sur elle en essayant de se concentrer sur le dos de Nicole. À son grand désarroi, elles passèrent à côté d’une autre fille, qui tourna la tête pour observer le derrière indécent de l’adolescente avec un regard effaré. Allie sentit son regard comme s’il la brûlait.

Enfin, elles arrivèrent à la porte principale, Nicole l’y précéda. Il y avait plusieurs femmes dans l’entrée et un comptoir d’accueil derrière lequel une jolie blonde officiait. Elles s’approchèrent de la réceptionniste, les femmes dans l’entrée eurent un regard méprisant en découvrant l’adolescente outrageusement vêtue. Allie tenta de se placer à la droite de Nicole, tout près d’elle, de sorte à ce que la brune soit devant elle et que ses fesses soient contre le comptoir pour préserver autant que possible sa pudeur. Nicole passa son bras autour de la taille de l’adolescente.
Le comportement de la jeune fille donnait l’impression de vouloir rester contre son amie, comme une petite fille ou sa petite copine. Nicole laissa discrètement sa main s’égarer sur ses fesses. Cependant, le mouvement n’échappa pas à la réceptionniste.

— Bonjour, Josie.

— Bonjour Nicole.

Nicole connaissait bien Josie et surtout ses penchants lesbiens incorrigibles. Elle savait qu’elle adorerait voir une paire de fesses aussi bien faites que celles d’Allie. Aussi, pendant que l’adolescente faisait son possible pour masquer sa nudité à la vue des autres femmes, Nicole glissa sa main à l’intérieur du maillot et le tira sur le côté.
L’adolescente poussa un gémissement lorsqu’elle sentit sa Maîtresse jouer avec son minuscule maillot.

Josie se pencha sur son comptoir et passa sa langue sur ses lèvres.

— Belle journée, en effet.

Allie n’osait pas se dégager, elle ne voulait pas montrer à l’assemblée entière à quel point sa tenue était scandaleuse. Nicole en profita pour faire glisser complètement le maigre rempart du maillot sur le côté afin que Josie ait une vue imprenable sur les fesses de l’adolescente.

— Maîtresse, s’il vous plaît. Murmura Allie dans un souffle.

— Silence ! petite chienne, ce n’est qu’un jeu.

Et elle relâcha le tissu, le faisant claquer sur les fesses de l’adolescente. Allie le remit en place sur ses fesses, essayant de recouvrer un minimum de décence.

— J’ai inscrit cette jeune fille au cours d’aérobic de ce matin à 9h00. Dit Nicole en guise d’explication à la jolie réceptionniste.

— Il vient juste de commencer, il va falloir qu’elle se dépêche de le rejoindre. Répondit Josie, un peu déçue que le petit jeu de Nicole soit terminé.

— Peux-tu te charger d’elle ? Je suis pressée.

— Bien sûr Nicole. La jeune fille se leva de derrière son bureau et en fit le tour. Elle portait un pantalon élastique bleu marine et un petit débardeur blanc.

— Profite bien de ta séance, petite chienne. Dit Nicole.

Elle se pencha sur l’adolescente et lui planta un baiser passionné sur les lèvres.

— On se retrouve à la maison ce soir.

Et elle s’extirpa des bras de l’adolescente hébétée, lui planta une grande claque sonore sur les fesses et s’en alla.
En la regardant partir, Allie pensa qu’elle n’avait plus de moyen de locomotion. Comment allait-elle pouvoir rentrer à la maison ?

— Amène-toi pétasse. Dit Josie à la jeune fille qui regardait l’entrée, la bouche ouverte.

Elle se retrouvait seule, habillée comme une putain, dans un club de remise en forme, sans aucun moyen pour rentrer chez elle.
Josie posa sa main sur les fesses de l’adolescente et la poussa vers le couloir qui se trouvait sur la gauche de son bureau.

— Allez p’tite pouffe, le cours à déjà débuté.

Allie était abasourdie par les libertés que s’autorisait la jeune femme. Elle commença à s’avancer dans le couloir, la main de la réceptionniste appuyant toujours sur ses fesses.

Elles approchaient de la salle de cours lorsqu’elle réalisa que son envie d’uriner était plus intenable que jamais.

— Maîtresse, où se trouvent les toilettes ?

Au même instant, elle réalisa qu’elle avait employé le mot "Maîtresse". Une chape de honte s’abattit sur ses épaules, la jeune femme n’avait que quelques années de plus qu’elle.

— Comment m’as-tu appelée ? Demanda Josie.

Allie ignora la question, espérant qu’elle allait oublier l’incident, mais Josie l’attrapa par la lanière dorsale de son maillot et la stoppa en tirant si fort sur le tissu qu’il se détendit sur près de trente centimètres.

Un torrent de désir enfla dans les veines de Josie. Cette adolescente, habillée comme une pute, venait de l’appeler "Maîtresse". Pourquoi donc ? Est-ce que c’était ainsi qu’elle s’adressait à Nicole ? Si c’était une soumise, elle devait en savoir plus.

— Je t’ai posé une question. Comment m’as-tu appelée ? Demanda-t-elle en attirant l’adolescente plus près d’elle.

— Rien ! Répondit Allie d’une petite voix.

Josie s’approcha un peu plus près de la jeune fille.

— Je pense que si. Elle chuchota dans l’oreille de l’adolescente. — Je pense que je t’ai entendue m’appeler "Maîtresse", n’est-ce pas ?

Josie jeta un coup d’œil autour d’elle et vers l’entrée. Elles étaient seules. Elle glissa une main sous le petit tee-shirt et attrapa un des petit seins d’Allie.

— N’est-ce pas ?

Allie ne savait que faire, elle essaya d’échapper à l’emprise de la jeune femme, mais elle manquait de force et l’autre la retenait fermement par la taille et le sein.

— Tu m’as bien appelée "Maîtresse". Josie tordit le téton de l’adolescente. — N’est-ce pas ?

Les yeux de l’adolescente se remplirent de larmes. Comment en était-elle arrivé là ? Honteusement, elle baissa la tête.

— Oui Maîtresse…

— Je préfère ça. J’aime bien, tu peux continuer à m’appeler comme ça.

Elle fit glisser sa main le long du ventre d’Allie, jusqu’à la limite de son pubis.

— J’adore les petites chattes toutes lisses.

Elle imprima un mouvement de bas en haut à sa main à l’endroit où auraient dû se trouver les poils.

— Quelle salope tu fais à t’exhiber en public dans cette tenue. Tout le monde va se rendre compte que tu es épilée.

Allie eut envie de se glisser sous terre tant elle avait honte d’avoir été découverte avec autant de facilité par la jolie réceptionniste. Elle voulait rentrer à la maison et il FALLAIT qu’elle aille aux toilettes, elle ne voulait pas être une salope, et encore moins une lesbienne salope.

Josie fit passer deux doigts entre le maillot et la peau veloutée de l’adolescente et les fit glisser sur le sexe à peine voilé par le tissu échancré.

— J’ai envie de te faire l’amour ici, tout de suite. Chuchota-t-elle dans l’oreille de l’adolescente humiliée. — J’ai envie de ta langue dans mon sexe.

Allie se mit à haleter lorsque les doigts commencèrent à jouer avec son clitoris. Sans ôter les doigts de son sexe, Josie poussa l’adolescente contre la porte d’une réserve. Elle ouvrit la porte et la poussa sans ménagement dans le petit local, la faisant tomber par terre. Puis elle pénétra dans la petite pièce sombre à son tour, et ferma la porte derrière elle.

La chute sur le sol dur de la petite réserve, envoya une décharge électrique dans le godemiché que l’adolescente portait dans son anus. Avant même qu’elle s’en rende compte, sa vessie se relâcha.

— Non, s’il vous plaît, non. Plaida-t-elle en sanglotant presque tout en urinant à travers le maillot d’aérobic. Elle avait une envie si pressante que, finalement, son abandon lui procura un soulagement intense, à tel point qu’elle ne chercha plus à se retenir. Au moins il faisait suffisamment sombre pour masquer un peu sa honte. C’était tellement agréable de ne plus lutter. L’urine s’écoulait si fort qu’elle passait à travers son maillot comme s’il avait été troué, formant une petite fontaine avant de s’accumuler dans une petite flaque autour de ses fesses. Au moins elle trouvait un avantage à ce vêtement qui était si léger qu’il y avait peu de tissu pour absorber son urine.

C’est à ce moment que la lumière s’alluma.

— J’ai envie de voir cette jolie petite lesbienne salope pendant qu’elle va me manger la chatte. Dit Josie

Elle se retourna et s’aperçut qu’Allie était entrain d’uriner. La miction traversait sa tenue d’aérobic pour former une flaque odorante sous ses fesses.

— Oh mon dieu, c’est pas vrai ! Mais tu es une vraie salope. Tu te pisses dessus !

Au comble de l’humiliation, Allie ferma les yeux, elle entendit quelques froissements de vêtements frénétiques et en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, les mains de Josie attrapèrent fermement sa nuque et sa bouche fut une nouvelle fois en contact avec un sexe de femme. Elle se mit à lécher et à sucer la vulve de la jolie blonde, remarquant qu’elle aussi était épilée. Elle aima la sensation douce des lèvres sexuelles lorsqu’elle commença à sucer, essayant d’oublier sa situation scandaleuse. Sa vessie continuait à se vider au fur et à mesure qu’elle procurait du plaisir à la jeune femme.

— Bon dieu, quelle espèce de salope tu fais, sucer une chatte en pissant dans ta culotte. Putain, j’en jouis déjà !

Josie criait presque lorsqu’elle se mit à jouir sur le visage de l’adolescente.

— Hmmm, quelle pute ! Elle écrasa le visage de la jeune fille. — Quelle salope… Hmmm…

Elle attrapa à pleines mains des mèches des cheveux d’Allie. Celle-ci continuait à uriner, le liquide chaud et jaune s’amassait entre ses jambes et autour de ses fesses. Elle baignait dans une petite marre de pisse qui s’agrandissait au fur et à mesure. Josie se mit à trembler et resserra fortement ses cuisses autour de la tête de l’adolescente. Elle s’agrippa à une étagère afin de se maintenir en équilibre tandis qu’elle laissait sa jouissance la submerger.

— Waow, je n’ai jamais joui si rapidement. Elle frotta son sexe contre le visage de l’adolescente, le corps parcouru de spasmes. Allie était contente d’avoir le visage masqué par l’entrecuisse de la réceptionniste, elle n’aurait voulu pour rien au monde qu’on la voie dans cette position humiliante. Son jet d’urine commença à se tarir. La fontaine jaillissant de sa culotte diminua jusqu’à devenir une petite gerbe ralentie par le tissu et finit par devenir si faible qu’elle n’arrivait plus à traverser La miction trouva un nouveau chemin et dégoulina entre ses fesses à l’intérieur de sa tenue, rejoignant la flaque sous elle. Enfin, Josie se calma et relâcha la tête de l’adolescente.

Elle fit un pas en arrière et dévisagea la jeune fille. Rouge de honte, Allie avait baissé la tête, échevelée, ses cheveux étaient éparpillés autour de son visage. Le petit tee-shirt ne couvrait presque plus ses seins et le maillot ne couvrait plus rien du tout. Elle baignait dans son urine.

— Quelle putain ! regarde-toi petite salope ! Regarde ! Elle tendit la main et lui releva le menton. — Tu nages dans ta propre pisse !

Allie baissa les yeux entre ses cuisses, son maillot était trempé, le liquide avait imbibé le tissu en progressant vers les bretelles sur dix ou quinze centimètres et certainement plus dans son dos, vu la position qu’elle occupait. La marre d’urine s’était étendue autour d’elle, mais elle se sentait si bien d’avoir soulagé sa vessie qu’elle n’y faisait presque plus attention.

Josie enchaîna : — Tu ferais mieux de nettoyer ça, je ne voudrais pas avoir besoin de te dénoncer.

Elle se rhabilla prestement et se tint debout dominant l’adolescente anéantie de toute sa hauteur.

— Allez, salope, il y a une serpillière et un seau derrière toi, dépêche-toi, il faut encore que je t’accompagne à ton cours.

Allie était complètement effondrée, elle ne pouvait plus aller à son cours maintenant, pas après avoir uriné dans sa tenue, ça n’était pas possible.

Elle se redressa lentement, la miction trempait ses fesses et sa position la faisait goutter le long de ses jambes en petits filets qui coulaient à l’intérieur de ses cuisses, le long de ses mollets, jusqu’à imprégner et souiller ses chaussettes en coton blanc de traces jaunes. Elle regarda autour d’elle à la recherche d’une serviette ou quelque chose d’équivalent, mais le local ne contenait qu’un balai avec une serpillière et un seau. Josie se tenait devant elle, entièrement rhabillée, les mains sur les hanches :

— Magne-toi un peu, salope, sinon tu vas être encore plus en retard !

Allie se saisit du balai, l’entoura avec la serpillière et frotta rapidement la flaque dans laquelle elle se tenait quelques instants auparavant. Elle essora la serpillière dans le seau et renouvela l’opération plusieurs fois.

Lorsque les deux jeunes filles quittèrent la protection de la petite réserve et se retrouvèrent dans le couloir, Josie dut pousser l’adolescente pour la faire avancer.

— Ton cul est plein de pisse, quelle salope dégueulasse tu fais.

À cet instant, deux jeunes femmes athlétiques les croisèrent. Elles ricanèrent en les voyant sortir du petit réduit.

— Je l’ai trouvée là-dedans… Vous ne devinerez jamais ce qu’elle y faisait. Déclara Josie avec un petit sourire sadique.

Allie n’en revenait pas, mais que racontait-elle ? La réceptionniste était au moins autant responsable qu’elle de ce qui venait de se passer.

— Cette petite vicieuse était entrain de se masturber. Regardez donc sa tenue, elle est si humide qu’on dirait qu’elle s’est pissé dessus.

Elle eut un petit rire. — Quelle salope !

Les deux femmes musclées grimacèrent et dévisagèrent Allie avec dégoût, elles continuèrent leur chemin en la traitant de "salope" et de "putain" Allie en fut encore plus humiliée.

— Allez, viens vite, salope, il je te rappelle que ton cours est commencé.

Que racontait-elle, pensa Allie, il était impossible qu’elle se rende au cours d’aérobic dans cet état, les vêtements trempés par l’urine et avec toutes ces sécrétions que le sexe de la jolie réceptionniste lui avait répandu sur le visage.
Mais, Josie ne la laissa pas y penser d’avantage, elle attrapa l’adolescente échevelée par la main et la traîna derrière elle durant quasiment tout le couloir. Rapidement, elles arrivèrent à l’entrée de la salle dans laquelle se tenait le cours. Josie ne ralenti même pas et la fit pénétrer dans la salle avant qu’Allie ait pu se rebeller.

 

 

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Allie et Nicole, par Annie The Slick - Communauté : Soumissions féminines
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Dimanche 4 mars 7 04 /03 /Mars 22:15

Chapitre 5 - Le salon de beauté (2ème partie)

 

Elle suréleva légèrement son bassin, attrapa la main de l’adolescente, et la guida à l’intérieur de son short. Allie était trop choquée pour l’en empêcher. Quand tout cela allait-il se terminer ? Jusqu’à présent, elle s’était toujours considérée comme une fille sage, mais maintenant… elle était nue… dans un salon de beauté… la main dans la culotte d’une autre fille, en train de toucher son sexe… qui était trempé.


Petite Gouine se mit à agiter la main d’Allie d’avant en arrière contre son intimité.

— S’il te plaît…

La plupart des femmes étaient reparties travailler. Seules restaient deux esthéticiennes, la vendeuse et Maîtresse Jytte. Toutes quatre regardaient les deux adolescentes se donner du plaisir.

— Regardez-moi ces deux petites cochonnes, ça les excite de s’exhiber comme ça devant tout le monde !, dit Jytte.

Allie l’entendit malgré son orgasme. Elle aurait été choquée si, au même moment, elle n’avait pas été submergée par la force du plaisir provoqué par les mouvements des hanches de sa partenaire contre son sexe.

Soudain, l’une des esthéticiennes s’approcha d’elles et attrapa la petite blonde par le bras pour l’écarter d’Allie.

— C’est l’heure de ta toilette, Petite Gouine.

Toute luisante des sécrétions de la jeune fille, la main d’Allie était ressortie du short. Sa compagne fut emmenée sans ménagement, gémissante de frustration. L’autre employée s’empara du bras d’Allie et la guida fermement à la suite de sa collègue. Et toi, Petite Pute, toi aussi c’est l’heure de ta toilette.

Les deux adolescentes furent entraînées à travers le salon. Elles franchirent la pièce principale dans laquelle plusieurs femmes se faisaient manucurer ou coiffer et se dirigèrent vers le fond de la boutique fermé par un rideau. Toutes les clientes regardèrent les deux jeunes filles, emmenées avec rudesse, les examinant comme si elles étaient des morceaux de viande. Allie rougit et baissa les yeux, tentant désespérément de masquer ses petits seins et son sexe à la vue de toutes ces femmes indiscrètes. Elle sentit leur regard sur ses fesses jusqu’à ce qu’elle soit dissimulée par le rideau.

Il y avait trois fauteuils dans la pièce. Mais ce n’étaient pas les mêmes que celles de la pièce qu’elles venaient de traverser. Il s’agissait de chaises gynécologiques avec des étriers et équipées de courroies fixées au-dessus de la tête. L’esthéticienne poussa sèchement Allie sur l’une d’entre elles, et avant qu’elle ait pu réagir, encore étourdie par son orgasme récent, Allie se retrouva arrimée aux étriers, les bras attachés par les courroies de cuir derrière sa tête. Elle se mit à se débattre.

— Arrête de bouger, Petite Pute, comment veux-tu que je puisse te raser si tu remues comme ça.

La femme lui sourit.

— Je m’appelle Jackie. C’est moi qui vais m’occuper de toi aujourd’hui. Tu devras venir me voir régulièrement tous les jours pour que je puisse maintenir ton sexe parfaitement rasé et tes trous suffisamment propres pour ta Maîtresse. Tu ne peux quand même pas lui offrir tes orifices sales… elle risquerait de se salir n’est-ce pas ?

Morte de trouille, Allie essaya de protester :

— Laissez-moi partir, s’il vous plaît, je veux m’en aller !

Rapidement, Jackie attrapa quelque chose derrière la chaise et le poussa dans la bouche de l’adolescente. C’était un bâillon constitué d’une balle en caoutchouc. Elle la lui enfonça dans la bouche avant de l’attacher derrière sa tête, lui emplissant entièrement la bouche et lui écartant les mâchoires douloureusement.

— Tu n’es pas autorisée à déranger les clientes, Petite Pute. Elle s’assura que le bâillon était bien attaché et alla se placer derrière l’adolescente.

Allie ne pouvait pas voir ce qu’elle faisait. La jeune femme revint devant elle et plaça un grand seau sous la chaise avant de faire rouler à côté d’elle un long support en métal au bout duquel était suspendu un sac à lavement. Les yeux de l’adolescente s’agrandirent de terreur et elle se mit à remuer la tête de droite à gauche désespérément. Jackie l’ignora superbement et enfila une paire de gants en caoutchouc. Elle appuya sur un bouton et un moteur électrique contraint les jambes d’Allie à s’écarter. L’esthéticienne ne relâcha la pression que lorsque ses jambes furent presque en position de grand écart, étirant douloureusement les articulations de la jeune fille. Satisfaite, elle saisit un bocal de Vaseline et lubrifia consciencieusement ses doigts. Puis elle s’accroupit entre les jambes de sa victime et, sans avertissement, viola son anus de son majeur, le fit tourner sur lui-même quelques instants dans le rectum distendu de l’adolescente. Horrifiée, Allie gémit comme un animal pris au piège à la fois de surprise et d’humiliation mais aussi sous le plaisir de la pénétration.

Lorsque Jackie estima que l’adolescente était suffisamment lubrifiée, elle attrapa l’embout du tuyau. Allie l’entraperçut alors qu’il passait brièvement dans son champ de vision, mais avant qu’elle ait pu s’y préparer, l’extrémité s’appuya contre son sphincter, suivie d’une poussée ferme qui fit pénétrer l’embout dans son rectum. Jackie l’ajusta brièvement et ouvrit le robinet. Un liquide chaud gicla dans les entrailles d’Allie, remplissant ses intestins.

L’esthéticienne se redressa et contourna l’adolescente assise, exposée, jambes écartelées, poignets emprisonnés derrière sa tête, et l’embout du tuyau à lavement enfoncé entre les fesses. Le liquide savonneux chaud coulait doucement dans son ventre. Ses yeux fermés etaient baignés de larmes.

— Pas besoin de pleurer, Petite Pute, tu vas recevoir ce traitement plusieurs fois par semaines à partir de maintenant.

Maîtresse Jytte entra dans la pièce et vint se pencher sur Allie. Elle posa sa main superbement manucurée sur sa joue.


Allie cligna des yeux avant de les ouvrir.

— J’ai parlé à ta Maîtresse, elle me semble être une femme tout à fait compétente. Nous allons déjeuner ensemble un peu plus tard dans la semaine.

Jytte fit cheminer sa main le long du corps de l’adolescente en s’attardant sur les mamelons, s’amusant distraitement avec eux.

— Elle approuve sans aucune réserve la punition que je t’ai donnée.

Elle fit descendre sa main plus bas.

— En ce qui te concerne…

Elle inséra un doigt dans le sexe d’Allie, pénétrant entièrement la jeune fille immobilisée dans ses liens. L’adolescente se cambra sous l’effet de la surprise et du plaisir alors qu’un orgasme explosait en elle.

— Petite Pute est un nom qui te va aussi bien qu’un autre.

Elle fit aller et venir son doigt plusieurs fois, avant de le retirer avec un sourire qui fit à nouveau sangloter la jeune fille d’humiliation. Elle ferma les yeux en signe de capitulation. Pourquoi Nicole lui faisait-elle subir ça ? Elle ne voulait pas être une salope. Elle voulait être une adolescente normale, simplement, comme les autres filles de son âge.

Maîtresse Jytte s’approcha de sa petite soumise qui était assise à côté d’Allie et recevait le même traitement.

— Brave fille

Dit-elle et elle tapota le sexe de la jeune fille.

— Si tu es sage, je te baiserai dans le cul cette nuit. Et puis, de toute façon, je te baiserai dans le cul même si tu n’es pas sage, sauf qu’auparavant, je te fouetterai.

Et elle quitta la pièce.

Allie dû garder la position pendant près de 5 minutes, Jackie s’affairait derrière elle et elle ne pouvait pas entendre ce qu’elle faisait. Finalement, l’esthéticienne revint et pressa un autre bouton sur la chaise, lui faisant reprendre une position plus proche de la verticale, ce qui éjecta l’embout du tuyau. L’adolescente grogna en relâchant ses intestins et expulsa l’odieux liquide savonneux mêlé à ses déjections nauséabondes. La jeune femme entreprit de laver l’entrecuisse souillé à l’aide d’une éponge. Puis elle empoigna l’anse du seau et s’éloigna. Allie l’entendit vider la mixture odoriférante et tirer la chasse.

Elle revint et replaça le seau au même endroit qu’auparavant.

— Encore deux lavements et nous pourrons nous occuper de ta petite chatte.

Elle accrocha un nouveau sac transparent sur le support et, souriant à l’adolescente, fit pénétrer un nouvel embout dans son anus. Elle ouvrit le robinet et Allie sentit une nouvelle fois le liquide se ruer dans son ventre. Elle gémit encore en entendant Petite Gouine expulser bruyamment son propre lavement dans son seau.

Jackie l’abandonna un moment. L’autre esthéticienne parlait à Petite Gouine :

— C’est bien ma fille, regarde comme ton anus se crispe, est-ce que tu aimes les lavements ?

— Oui M’dame. Répondit Petite Gouine.

L’esthéticienne vida le seau. La jeune fille était attachée de la même façon qu’elle. Elle observa attentivement l’introduction d’un autre tuyau entre les fesses de la petite blonde et la grimace qu’elle fit lorsqu’on ouvrit le robinet.

Allie sentait le liquide chaud ballotter dans ses intestins. Existait-il quelque chose de plus humiliant que ça ? Avoir son intimité nettoyée comme un animal. Elle referma les yeux, tentant d’oublier son infortune. Mais elle n’y arrivait pas. Ses bras commençaient à la faire souffrir, elle avait froid et elle se sentait exposée avec ses jambes écartelées comme elles l’étaient. L’embout du tuyau enfoncé dans son fondement, l’empêchait d’oublier son avilissement. Elle se sentait à peine plus qu’un morceau de viande, une salope préparée pour sa Maîtresse. Comment tout cela avait-il pu s’enchaîner si rapidement. Il y a seulement deux jours, elle était une fille normale et maintenant elle était attachée et n’importe qui pouvait abuser de son corps.
Sans avertissement, Jackie retira l’embout, l’adolescente gémit lorsque ses intestins relâchèrent le liquide savonneux. La sensation la soulagea, lui procurant un plaisir incomparable. Elle en eut presque un orgasme. Cette fois, le liquide était moins souillé et sentait moins mauvais.

— Plus qu’un ! Annonça Jackie en nettoyant l’anus de l’adolescente et en s’emparant une nouvelle fois du seau.

Elle alla jusqu’aux toilettes et le vida. Allie entendait Petite Gouine haleter et gémir pendant que son esthéticienne libérait le lavement dans ses entrailles.

Jackie revint et poussa le troisième embout dans son rectum.

— A la demande de ta Maîtresse, celui-ci est rempli d’eau de roses, infusée au lys, Petite Pute. Elle souhaite que ton anus sente aussi bon que possible.

Elle ouvrit le robinet, lui remplissant le ventre une dernière fois.

— Jane, il faut que je m’absente pour aller téléphoner, est-ce que tu as besoin de quelque chose ?

— Non merci, Jackie. Est-ce qu’il y a quelque chose à faire à Petite Pute ?

— Non, pour l’instant elle n’a besoin de rien.

Jackie sortit de la pièce, abandonnant Allie avec l’embout enfoncé dans l’anus, les intestins remplis et les yeux fermés.

Une minute plus tard, la réceptionniste entra dans la pièce, accompagnée par trois jolies femmes. Elle faisait visiter les lieux.

— Et c’est ici que nous occupons de nos esclaves. Nous proposons un service complet, quels que soient vos désirs.

Les trois femmes visitèrent la pièce, étudiant attentivement Allie et Petite Gouine. Allie ferma les yeux et pria pour que les femmes s’en aillent. Elle ne voulait pas être vue dans une position aussi humiliante, attachée, exhibée, avec l’embout du tuyau à lavement enfoncé entre ses fesses.

Une grande blonde vêtue d’un tailleur bleu marine se pencha vers l’entrejambe de l’adolescente et se tourna vers la réceptionniste :

— Puis-je ?

— Mais je vous en prie. Répondit celle-ci.

La blonde inséra son doigt entre les cuisses d’Allie qui ne put se retenir, elle avait été soumise à tant de stimulation aujourd’hui qu’elle était au bord de l’orgasme en permanence. Elle tenta de pousser sur le doigt de la femme.

— Celle là est une vraie salope. Je parie qu’elle suce les chattes comme une clocharde.

Elle continua à faire remuer son doigt entre les cuisses d’Allie.

— Comme vous pouvez le voir. Continua la réceptionniste, ignorant le comportement de la blonde. — Nous avons l’équipement pour : nettoyer, raser, tatouer, percer, épiler définitivement et, avec autorisation et dispense de responsabilité en bonne et due forme, nous pouvons même marquer votre esclave. Nous faisons notre possible pour être le lieu incontournable pour vos exigences les plus insolites. Pour des transformations plus exotiques, nous pouvons vous recommander les meilleurs spécialistes de la région, y compris les chirurgiens.

— Par ici Mesdames, je dois vous montrer notre service de remise en forme complète. C’est étudié pour satisfaire vos désirs les plus inavouables.

La blonde retira son doigt du sexe d’Allie, et les quatre femmes sortirent de la pièce. Les sanglots d’Allie étaient étouffés par son bâillon. Comment la réceptionniste l’avait-elle appelée ? Esclave ? Elle n’était pas une esclave, ni une lesbienne. Tout ce qu’elle désirait, c’était d’être une adolescente comme les autres.
Jackie revint, s’avança jusqu’à l’adolescente et ôta l’embout. Allie vida ses intestins une dernière fois.

— C’est bon pour le côté pile, maintenant, occupons nous du côté face.

Elle ne vida pas le seau tout de suite. Elle attrapa une poire à lavements, ôta le capuchon et l’introduisit rapidement dans le vagin d’Allie. La jeune fille poussa un cri aigu à travers son bâillon.

— Nous ne pouvons plus lambiner, il ne me reste qu’une demi-heure pour te raser avant que ma prochaine petite salope arrive.

Jackie pressa la poire dans le vagin offert. Le liquide purifiant fouetta les chairs intimes de l’adolescente, la menant une nouvelle fois au bord de l’orgasme. L’esthéticienne laissa le premier jet s’écouler dans le seau et fit gicler le reste dans le bas-ventre de l’adolescente.

— Voilà, maintenant nous sommes prêtes pour nous occuper de tout ce duvet disgracieux, j’adore les minettes toutes lisses. C’est ça le meilleur moment.

Elle se redressa, lança la poire dans l’évier et alla une dernière fois vider le seau dans les toilettes.

Elle plaça un tabouret entre les jambes écartelées de l’adolescente, et s’assit.
Le sexe d’Allie était à une hauteur parfaite pour le travail qu’elle s’apprêtait à exécuter, juste à hauteur d’œil. Jackie n’aurait eu qu’à se pencher un peu pour déguster la vulve offerte. Elle s’empara d’un rasoir électrique et le mit en marche avec un déclic métallique. Elle sourit à l’adolescente en commençant à éliminer le fin duvet. Il ne lui fallut que quelques minutes pour que le pubis de l’adolescente n’ait plus qu’une toute petite épaisseur de poils. Un dernier déclic et le rasoir s’éteignit.

Elle pressa un tube dans le creux de sa main, y versant un peu de gel de rasage, puis frotta ses mains l’une contre l’autre jusqu’à obtenir une mousse qu’elle étala sur le pubis de l’adolescente, l’enduisant entièrement. Allie se sentait frustrée. La jeune femme évitait les lèvres de son sexe et son clitoris. Elle badigeonna la petite portion de peau située entre l’anus et l’entrée du vagin, passant même sur le fin duvet qui pointait autour de la petite rosette fripée. L’adolescente serait complètement imberbe lorsqu’elle en aurait terminé.

Jackie leva les yeux sur le visage d’Allie et y détecta la frayeur qui l’habitait. L’adolescente ne pouvait pas croire ce qui lui arrivait. Elle était attachée étroitement sur une chaise gynécologique, les jambes forcées en position écartée. Elle avait été odieusement violée à l’endroit le plus secret de son intimité, et maintenant on était entrain de raser entièrement son entrecuisse. Comment tout cela avait-il pu se produire ?

— Ne t’inquiète pas. Dit Jackie. — Je rase des dizaines de sexes par mois, le tien est très mignon, mais comme ça, il paraîtra plus mouillé.

Elle ouvrit un petit sachet en plastique contenant un rasoir jetable tout neuf et commença à enlever le fin duvet persistant sur le mont de vénus de l’adolescente avec de petits mouvements rapides. Précautionneusement, elle progressa sur le pubis de l’adolescente, écartant les lèvres sexuelles au passage, les positionnant de façon à être sûre de ne pas oublier la moindre parcelle de peau. Chaque mouvement qu’elle lui imposait envoyait l’adolescente sur les pentes de l’extase, au bord de la jouissance, la maintenant dans un état d’excitation maximum. De temps en temps, Jackie plongeait le rasoir dans le petit bol d’eau chaude pour rincer la mousse avant de reprendre son travail. Au grand désespoir de l’adolescente, elle annonça que son travail était arrivé à son terme.

La jeune femme s’empara d’un serviette chaude et humide et s’en servit pour essuyer l’entre jambe de l’adolescente. Les yeux d’Allie roulaient dans leurs orbites, elle était sur le point d’éprouver un orgasme dévastateur. Jackie se retira à temps pour l’empêcher de jouir. Elle se redressa et rangea son matériel, laissant l’adolescente frustrée gémir dans ses liens.

— Un moment Petite Pute, il faut que je mette le reçu en place.

Allie ne comprit pas ce qu’elle voulait dire mais lorsque la jeune femme réapparut dans son champ de vision, elle tenait à la main un godemiché anal d’une douzaine de centimètres sur la base duquel pendait une petite étiquette. Jackie consacra quelques instants à y écrire quelques mots.

— Voilà. Signée, scellée et livrée.

Elle plongea le bout du gadget dans une matière visqueuse et se pencha sur l’entrecuisse de l’adolescente. Elle ajusta l’embout contre l’anus, poussant doucement la tête de l’objet en plastique contre le rectum plissé de l’adolescente. Allie secoua la tête négativement tandis que l’esthéticienne approcha sa bouche de l’oreille de la jeune fille, tout en maintenant l’extrémité du godemiché à l’entrée du sphincter de l’adolescente.

— Maintenant, tu vas garder ça entre tes fesses jusqu’à ce que ta Maîtresse te l’enlève ce soir. Si jamais tu as une envie pressante…

Elle fit une pause et sourit cruellement de son commentaire

— Tu pourras l’ôter, mais après il faudra le remettre immédiatement en place entre tes fesses. Comprends-tu ?

Allie acquiesça de la tête en signe de défaite. Elle était si près de l’orgasme, maintenue dans un état d’excitation totale depuis ce qui lui semblait avoir duré toute une journée, qu’elle était prête à accepter tout ce qui pourrait lui permettre de jouir.

— Bien. Dit Jackie.

Et elle commença à enfoncer le godemiché dans les intestins de l’adolescente. Allie arqua son dos, submergée par l’extase que lui procura le viol de son anus. Les vagues d’un orgasme commencèrent à la parcourir. Jackie ne se contenta pas de la poussée qu’elle venait d’exercer sur le gadget. Elle se mit à faire aller et venir l’objet entre les fesses de l’adolescente, prenant plaisir à la violer analement. Enfin, elle l’enfonça entièrement dans les entrailles de la jeune fille. Elle serra les dents et immobilisa la paume de sa main contre la base du godemiché

— Ok, salope, tu es prête.

Elle libéra les chevilles de l’adolescente, ses poignets sans forces et la fit mettre debout. Allie s’effondra dans les bras de l’esthéticienne, incapable de tenir debout tant elle était épuisée. Jackie l’aida à se redresser.

— Allons allons, petite chienne, debout.

Elle défit le bâillon et l’ôta de la bouche de l’adolescente. Allie n’arrivait pas à refermer complètement sa bouche.

— Allez, en route. On se reverra la prochaine fois.

Elle claqua les fesses de l’adolescente et la poussa à travers le rideau vers l’entrée du salon.

Allie traversa devant les femmes qui se faisaient coiffer. Elle avait pleinement conscience de sa nudité, son sexe épilé, et le godemiché qui était enfoncé entre ses fesses. Elles la dévisagèrent avec dans les yeux une expression qui signifiait qu’elle n’était qu’une salope soumise qui méritait à peine qu’on lui permette de lécher leurs chaussures. La regardant avec dédain comme on regarde un objet avec lequel on s’amuse. Allie était anéantie. Elle essaya de cacher ses petits seins fermes d’une main et son sexe fraîchement rasé de l’autre tandis qu’elle se pressait de traverser le salon pour revenir devant la réceptionniste.

Lorsqu’elle arriva dans l’entrée, celle-ci déclara :

— Ca y est ? Ok, ton prochain rendez-vous est pris pour vendredi prochain à 14 heures.

Elle tendit à l’adolescente un carton sur lequel la date était notée. Allie resta debout devant le bureau, abasourdie, nue, tandis que la réceptionniste se désintéressait d’elle et se replongeait dans la lecture de son magazine pornographique.

— Heuu… M’dame… Dit Allie d’une petite voix.

Elle était complètement soumise maintenant, après avoir été humiliée et dominée toute la journée.

La réceptionniste leva les yeux, contrariée.

— Qu’y a-t-il Petite Pute ?

— Heu… Maîtresse Jytte vous à donné mes vêtements. Je devais les récupérer à la fin de mon traitement non ?

Allie pouvait sentir l’air frais entrer en contact avec son sexe fraîchement épilé et la sensation que lui causait le gadget enfoncé profondément entre ses fesses avait quelque chose d’obsessionnel.

— Ah oui ! Tu les as perdus tout à l’heure, quand tu as été punie. Je n’avais pas remarqué. Tu es tellement salope que la nudité te va très bien.

Elle se pencha derrière son bureau et en sortit la robe et les chaussures mais pas de trace des sous-vêtements. Elle les tendit à l’adolescente et se désintéressa d’elle à nouveau.

— Heuu… Excusez- moi… il me manque ma petite culotte et mon soutien-gorge.

La réceptionniste vérifia derrière son bureau.

— Eh bien ils n’y sont pas. Ça n’est pas de ma faute si tu n’es pas capable de te souvenir de ce que tu fais de tes habits. Probablement parce que tu penses sans arrêt à sucer des chattes. Dit-elle avec un rire moqueur.

— J’aime bien que tu sois imberbe, ça va bien à une salope telle que toi.

Allie en pleura presque, mais comparé à ce qu’elle venait d’endurer, les propos humiliants de la jolie réceptionniste étaient presque insignifiants.

Elle enfila rapidement la robe légère, mit ses chaussures de pute et trotta vers l’extérieur du salon, essayant de ne pas exhiber ses fesses nues et son sexe à tout le monde. Elle se hâta de rentrer à la maison en pleurant. Comment en était-elle arrivée là ?

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Allie et Nicole, par Annie The Slick - Communauté : Soumissions féminines
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Jeudi 23 février 4 23 /02 /Fév 21:02

Chapitre 4- Le salon de beauté

 

Le matin suivant, Allie se réveilla dans le lit de Nicole. Elle s’étira et s’assit.

Elle était nue.

Elle attrapa un drap et l’enroula autour d’elle en cherchant Nicole. Elle n’était pas dans la chambre. Elle se leva et se dirigea à pas feutrés vers le salon, toujours pas de Nicole.

— Nicole ? Appela-t-elle sans réponse.

Elle croisa son reflet dans un miroir et remarqua qu’elle portait un épais collier. Elle tenta de l’ôter et le drap tomba par terre. Bien, de toute façon, elle était seule dans la maison. Elle l’enleva et l’examina. C’était un collier de chien noir et moche. Elle commença à se remémorer les évènements de la dernière nuit et de la veille. "Oh non." Elle avait fait l’amour avec une autre femme. Pendant des heures, la nuit dernière, elle avait exécuté tous les ordres de Nicole. Elle avait sucé ses seins, son sexe et même "Oh mon dieu" son anus. Que lui arrivait-il? Elle s’assit sur le canapé, mais se redressa aussitôt comme si elle s’était brûlée, c’était là qu’elle avait sucé le sexe de sa Maîtresse pour la première fois.

Allie resta debout, elle avait, pour la première fois, employé dans sa tête, le mot "Maîtresse" en parlant de Nicole. Lentement elle se rassit sur le canapé et y resta quelques minutes en repensant aux dernières 24 heures. Elle avait changé, il n’y avait aucun doute là-dessus, mais restait convaincue qu’elle pouvait encore reprendre le contrôle des évènements. Elle n’aurait qu’à dire à Nicole qu’elles ne pouvaient plus avoir de rapports sexuels toutes les deux, et qu’elle aimait les garçons, pas les filles. De plus elle n’était absolument pas une salope et encore moins, de quelque façon que ce soit, la propriété de Nicole. Elle était indépendante et certainement pas une salope avec laquelle on pouvait s’amuser.

Allie venait juste de faire le point lorsque le téléphone sonna.

Elle décrocha le combiné. — Allo

— Bonjour petite chienne, as-tu passé une bonne nuit ? Demanda Nicole à l’autre bout de la ligne.

— Oui Maîtresse. Elle avait tenté de ne pas prononcer ce mot, mais il était sorti tout seul, si naturellement. À l’évidence, la conversation ne se déroulait pas comme elle aurait voulu.

— Bien. Tu semblais si paisible ce matin avec mon jus qui séchait sur ton visage que j’ai décidé de te laisser dormir pendant que j’allais travailler.

Allie ne répondit pas.

— Dis donc, petite salope, il va falloir que tu apprennes les bonnes manières. Tu pourrais me remercier. Dit Nicole d’une voix sévère.

— Merci Maîtresse. Zut, elle avait encore prononcé le mot.

— Ok, c’est mieux. Je t’ai pris un rendez-vous chez l’esthéticienne à 12h30, sois ponctuelle s’il te plaît. La patronne est une de mes amies. Ne t’inquiète pas pour le règlement, c’est déjà payé.
Son salon est à deux pas, au coin de la rue.

— Merci Maîtresse. Elle n’attendit pas de se faire réprimander une deuxième fois.

— Pour changer de sujet : Je sais que tu n’es qu’une petite fille vicieuse, alors je vais t’autoriser à te masturber ce matin mais attention : UNE SEULE FOIS. J’ai laissé les magazines que tu as achetés hier sur mon bureau. Tu peux t’en servir pour te stimuler.

Allie aurait bien voulu lui dire qu’elle se trompait, qu’elle n’avait pas envie de se masturber mais Nicole continua à parler.

— En échange, comme je ne peux pas assister à la scène, je veux que, ce soir, tu me dises quelles sont les photos qui t’ont le plus plu et quelles sont les filles que tu trouves les plus excitantes.

L’adolescente voulait protester, dire qu’il n’était pas question qu’elle se masturbe et encore moins en regardant des photos de femmes nues, qu’elle n’était pas une lesbienne. Mais Nicole ne lui en laissa pas le temps.

— Je t’aime petite chienne, j’ai passé une nuit fantastique avec toi et je n’en peux plus d’attendre d’être de nouveau nue avec toi.

Allie fut touchée par les paroles de sa tutrice, peut-être que Nicole lui avait fait une farce hier au soir, peut-être que les choses rentreraient dans l’ordre à partir de maintenant.

— Moi aussi, Maîtresse.

— Une dernière chose : Je me suis débarrassée de tous tes vieux vêtements. Ils étaient complètement usés et miteux. Je ne veux pas que ma petite salope préférée porte ce genre d’habits.

Allie en fut toute déconfite, il allait falloir qu’elle porte l’une des robes provocantes pour aller à l’institut de beauté

— Merci Maîtresse. Le mot lui avait encore échappé, il allait falloir qu’elle se reprenne en main. Ok, ce soir, elle dirait à Nicole que tout cela avait suffisamment duré, qu’elle n’était pas une salope et encore moins une lesbienne.

— Nous parlerons de tout ça ce soir petite vicieuse. Et elle raccrocha.

Allie resta sans faire un geste, nue, dans la cuisine, avec le combiné à la main avant de raccrocher et retourner jusqu’à son lit. Elle s’y assit comme dans un rêve. Devant ses yeux, sur le bureau de Nicole, se trouvaient les quatre magazines porno. Elle saisit le Penthouse sans y penser et, presque sans s’en rendre compte, commença à le feuilleter. C’était tellement absurde de s’imaginer qu’elle allait se masturber devant un magazine porno. C’était la première fois qu’elle en ouvrait un et elle se demandait ce qu’il y avait à l’intérieur qui pouvait tant fasciner les garçons et les hommes. Évidemment, les filles comme elle ne pourraient jamais s’intéresser à de telles photos.

La première photo, en noir et blanc, montrait une jeune fille qui ôtait ses vêtements et exhibait son sexe écartelé entre ses doigts. Elle l’ouvrait tant qu’Allie pouvait voir l’entrée de son vagin. Ce fut une surprise, elle ne s’était jamais imaginé que les poses puissent être aussi osées. Quelques pages plus loin, la page centrale présentait une femme splendide, initialement habillée d’une chemise de nuit. Fascinée par sa beauté, Allie eut l’impression que son regard la fixait droit dans les yeux. Elle feuilleta encore. Au fur et à mesure des poses, la femme effectuait un strip-tease qui se termina lorsqu’elle ne portait plus que sa paire de grosses bottes. Elle exhibait fièrement son sexe face à l’objectif, ce qui fit saliver l’adolescente.
Sans avoir vraiment conscience de son excitation, elle laissa sa main se faufiler insidieusement entre ses cuisses, faisant coulisser son majeur entre ses lèvres. L’exhibition s’achevait sur une double page au centre de laquelle la femme s’offrait intégralement à ses admirateurs dans une magnifique pose, étendue sur le côté, offrant son sexe à deux mains, exhibant son intimité rose et humide.

Venait ensuite un couple de lesbiennes. La jeune fille prit une inspiration profonde, ces deux femmes faisaient l’amour. Hypnotisée, elle étudia attentivement chaque photo : Quand elles se déshabillaient mutuellement, quand elles s’embrassaient, comment elles se servaient de leurs bouches pour se donner mutuellement du plaisir.
Son Majeur se posta à l’entrée de son vagin, lui faisant émettre un petit halètement. Elle feuilleta la revue lentement, jusqu’à arriver à la dernière photo montrant les deux femmes en position tête-bêche, se léchant mutuellement le sexe. L’index de l’adolescente pénétra profondément sa vulve, lui procurant un orgasme, tandis que ses yeux n’arrivaient pas à se détacher du tableau obscène que formaient les deux femmes.

Après s’être calmée, l’adolescente rejeta brusquement le magazine, comme si il lui brûlait les doigts. Était-elle homosexuelle ? Elle venait de se masturber en lisant un Penthouse. Finalement, peut-être que Nicole avait raison et qu’elle n’était qu’une petite lesbienne salope en chaleur.
L’adolescente remua la tête de gauche à droite, à la fois pour recouvrer quelque peu ses esprits après l’orgasme et par refus de ce qui lui arrivait.

Elle prit une douche et alla s’habiller. Peu importe la robe qu’elle mettrait, elles étaient toutes aussi provocantes les unes que les autres. Elle choisit celle des motifs en formes de fleurs, au moins elle n’était pas rouge criard. Elle enfila d’abord la lingerie assortie, le string qui lui comprimait la fente si impudiquement, puis le soutien-gorge en dentelles qui recouvrait à peine ses tétons. Elle fit glisser la robe sur ses formes, avec le sentiment qu’elle ne cachait pas grand chose de ses charmes.

Elle se mit en route pour le salon.

En entrant dans l’institut de beauté, elle s’immobilisa devant l’accueil. La vendeuse était une jeune femme impeccablement vêtue d’un tailleur noir. Elle ne portait pas de blouse et lisait un Penthouse. Elle la regarda entrer à travers une paire de lunettes élégantes. Allie se surprit à regarder le décolleté de la jeune femme.

J’ai un rendez-vous au nom de Allie Smith.

La jeune femme se pencha pour consulter son registre, offrant à la jeune fille un aperçu de la courbe agréable de ses seins. Elle releva la tête en niant :

— Non non, je n’ai rien à ce nom-là. Peut-être sous un autre nom ?

Son regard exprimait la désapprobation.

— Bien, alors j’imagine que ça doit être au nom de Nicole Johnson.

La vendeuse baissa à nouveau les yeux sur son registre, son geste fit s’écarter les pans de sa veste, ce qui permit à l’adolescente de voir un peu mieux ses seins, comme si elle faisait exprès de la taquiner.

— Êtes-vous la petite chienne de Maîtresse Nicole ?

— Oui ! Répondit Allie avant de se mordre les lèvres.

— Hmmm, je vois. Derrière un sourire moqueur, les yeux de la jeune femme étincelaient d’un air différent. Elle fixa l’adolescente avec un regard presque coléreux, la dévisageant de la tête aux pieds.

— Non ! Attendez ! J… Je v… Je veux dire que… Bégaya Allie.

Mais la jeune femme l’interrompit en agitant sa main dédaigneusement.

— Pas besoin de te justifier, nous avons l’habitude de nous occuper des filles dans ton genre. En fait, c’est même notre spécialité.

Elle la fixa et eut un sourire arrogant.

— Assied-toi là, salope.

Elle tendit le doigt vers une rangée de chaises alignées contre le mur.

— Jackie va s’occuper de toi.

Se désintéressant de l’adolescente déconfite, elle se replongea dans la lecture de son magazine.

— Je ne suis pas une salope. Répondit Allie en restant plantée devant la jeune femme.

— Pas une salope ? Ricana la jeune femme.

— En tout cas, tu t’habilles comme une salope. Tous les hommes que tu as croisé en venant devaient avoir envie de se jeter sur toi et t’arracher tes vêtements pour te baiser comme une chienne. En tout cas, moi, c’est l’envie que tu me donnes. Maintenant va t’asseoir si tu ne veux pas que j’appelle quelqu’un pour t’y aider.

Résignée, Allie s’assit sur la chaise. Le contact du plastique froid contre ses fesses nues la fit frissonner. La jupe ne couvrait pas grand-chose.

Au même moment, une jolie femme, vêtue d’une robe superbe, entra. C’était une grande brune très élégante, suivie par une jeune fille blonde, vêtue d’un short en jean découpé très court et d’un haut de bikini qui recouvrait à peine ses seins minuscules.

— Petite Gouine ! Assieds-toi à côté de la pute.

La jeune fille s’empressa de s’asseoir à côté d’Allie.

— Je ne suis pas une pute. Plaida Allie

La femme s’immobilisa. La petite blonde regarda Allie avec effarement.

— Oh oh ! La vendeuse s’empara du combiné téléphonique et déclara en ricanant :
— Les filles ! ça vous dit un petit spectacle ? Maîtresse Jyte est sur le point de donner une leçon à une petite salope arrogante.

Maîtresse Jytte se retourna lentement et fixa la Allie.

— Tu as dit quelque chose petite pute ?

Allie regarda autour d’elle nerveusement, plusieurs femmes venant du fond du salon étaient entrées dans la pièce. Il y avait maintenant 5 jolies coiffeuses, quelques superbes clientes, plus la jeune fille à côté d’elle, la vendeuse et Maîtresse Jytte réunies dans la petite entrée. Allie n’en revenait pas.

— Je t’ai posé une question, petite pute. Dit la femme en insistant lourdement sur l’insulte.

— Tu m’as dit quelque chose, espèce de petite traînée ?

Maîtresse Jytte s’approcha jusqu’à être contre l’adolescente, la dominant de sa hauteur. Les yeux d’Allie n’arrivaient pas à la hauteur de l’arrogante poitrine qui touchait presque son front en gonflant fièrement la robe.

— J’ai dit que je n’étais pas une pute. Répondit la jeune fille d’une toute petite voix. Elle avait baissé les yeux et, inconsciemment, son regard s’était posé sur ses jambes dont les pieds étaient chaussés d’une superbe paire de chaussure qui devait coûter, au bas mot, plus de 300 €.

— C’est bien ce que j’avais compris. Et qui t’a autorisée à m’adresser la parole ?

Elle tendit le bras et attrapa une pleine poignée des cheveux d’Allie, la forçant à lever la tête. Allie grimaça de douleur.

— Alors je t’écoute !

— Aaiiie, non Maîtresse.

La femme s’assit à côté de l’adolescente sans lâcher ses cheveux. D’un geste ferme, elle tira sans ménagement sur la tête de la jeune fille la forçant à se coucher en travers de ses genoux. Avant qu’Allie ait pu réagir, sa robe fut rabattue sur son dos, révélant ses fesses presque nues à la petite assemblée. Maîtresse Jytte lâcha la mèche de cheveux et attrapa les poignets de la jeune fille. Elle était beaucoup plus forte que l’adolescente et n’eut pas besoin de forcer beaucoup pour les tenir étroitement dans son dos à l’aide d’une seule main.

— Petite gouine, baisse la culotte de la pute, elle a besoin d’une bonne leçon pour apprendre à bien se tenir. La petite blonde court-vêtue se pencha, tira le string jusqu’aux chevilles de l’adolescente, qu’elle enserra nerveusement dans ses bras. Allie était maintenant "cul-nu" devant toutes ses femmes exposant sa petite chatte qui pointait entre ses jambes.

— Lâchez-moi s’il vous plaît. Je ne le ferai plus. Pleurnicha Allie avec une voix de toute petite fille.

— Je suis désolée ma fille, mais tu as parlé sans y être autorisée, ça mérite une fessée. Je pense que 15 claques devraient être suffisantes pour apprendre à une petite salope comme toi le respect de ses supérieures.

Et, elle claqua une première fois les fesses nues. Allie laissa échapper un cri.

— Silence, petite pute. Je ne veux pas que tu déranges les autres clientes. Ça serait impoli. Si tu cries encore une fois, je recommence à zéro.

Et elle claqua une nouvelle fois les fesses de la pauvre fille en disant calmement :

CLAC — Un…

Allie mordit ses lèvres pour bloquer les cris dans sa gorge. Elle sentit sa robe légère remonter sur son dos jusqu’à ce qu’elle soit coincée par ses poignets que Maîtresse Jytte maintenait dans son dos. La fessée se poursuivit.

CLAC — Deux… trois… quatre…

À Chaque claque que lui assenait Maîtresse Jytte, une empreinte rouge s’imprimait sur ses fesses.

Le petit groupe de femmes commença à compter à voix haute :

CLAC — Cinq… CLAC — Six…

Leur chœur augmentait à chaque coup, visiblement réjoui par la punition.

A sept, Maîtresse Jytte s’interrompit.

— Alors petite pute ! Comment t’appelles-tu ?

— Je suis une pute Maîtresse. Répondit l’adolescente d’une toute petite voix en sanglotant d’humiliation.

— C’est exact, et les putes n’ont pas besoin de vêtements. N’est-ce pas petite pute ?

— Non Maîtresse.

— Ne bouge pas, petite pute.

Jytte relâcha les bras d’Allie qui resta sans bouger et lui ôta sa robe, défit son soutien-gorge et jeta le tout au sol. L’adolescente était étendue, nue, sur les genoux de la jeune femme. Elle pleurait, autant à cause de l’humiliation que de la douleur qu’elle éprouvait.

— Maintenant, je veux que ce soit toi qui compte jusqu’à la fin pour moi, petite pute.

CLAC — Huit ! Compta Allie en serrant les dents.

Les spectatrices scandèrent le décompte avec elle.

CLAC — Neuf !

— Bien petite pute, maintenant compte plus fort, comme ça ma petite gouine pourra t’entendre.

CLAC — Dix ! Allie comptait plus fort, maintenant.

— C’est mieux. Maintenant, petite pute, je veux que tu dises "Merci Maîtresse" après chaque claque.

— Oui Maîtresse.

Malgré sa position, Allie pouvait sentir son sexe devenir humide. Pourquoi mouillait-elle ? Etait-elle une salope de lesbienne en chaleur, comme disait Maîtresse Nicole ? Non, certainement pas.

CLAC Sa rêverie fut interrompue.

— Onze ! Merci Maîtresse.

CLAC — Douze ! Merci Maîtresse

La fille appelée "Petite gouine" avait une vue imprenable sur la petite minette d’Allie : Ses lèvres humides étaient légèrement entrouvertes par l’émotion et tremblaient convulsivement à chaque claque. Elle passa sa langue sur ses lèvres et se pencha lentement sur l’entrecuisse de l’adolescente, comme si elle était incapable de résister à un sexe de femme. Maîtresse Jytte l’avait entraînée à sucer des chattes depuis sa plus tendre adolescence. Elle en adorait le goût, la sensation poisseuse qu’elle ressentait sur sa langue. Tout ce qui touchait aux vulves lui plaisait infiniment. Elle interrogea sa Maîtresse du regard :

— Maîtresse. Est-ce que Petite Gouine peut lécher la chatte de Petite Pute s’il vous plaît ?

— Hmmm… Petite Gouine, c’est demandé si gentiment… C’est d’accord. Petite Pute, écarte tes jambes, que Petite Gouine ait accès à ton sexe. Tu sais bien que tu en as envie, je peux sentir l’odeur de ton excitation d’ici.

Allie exécuta l’ordre de la Maîtresse, et écarta les jambes.

— Bien Petite Pute, allez vas-y Petite Gouine.

La petite blonde se pencha et plaça sa langue contre le sexe d’Allie. Celle-ci eut immédiatement un orgasme.

CLAC. Toute à son orgasme, Allie eut du mal à articuler.

— Trrrrreeeeiiizzze ! Merci Maîtresse.

Les femmes se déplacèrent derrière Allie, pour avoir une meilleure vue de la scène. Elles se mirent à encourager la petite blonde :

— Suce-la !

— Enfonce ta langue…

— Baise-la avec ta langue !

Petite Gouine commença à lécher le sexe d’Allie avec entrain. L’adolescente continua à jouir pendant que la langue de la fille entrait en elle comme une petite bite, s’enfonçant dans sa chatte.

CLAC

— Aiieee ! Quatorze ! Merci Maîtresse

Après un long et dur apprentissage, la jeune fille était devenue une experte des rapports lesbiens. Elle s’appliquait à maintenir l’adolescente au sommet de son plaisir. Allie était proche des convulsions lorsque le dernier coup tomba.

CLAC

— Quinze ! Merci Maîtresse.

Jytte poussa Allie sur le sol sans ménagements. Petite Gouine se retira à temps pour ne pas être entraînée dans sa chute. Jytte s’empara des vêtements d’Allie et les tendit à la vendeuse.

— Tu les-lui rendras lorsqu’elle s’en ira, je ne vois pas pour quelle raison elle en aurait besoin tant qu’elle est ici, tu ne crois pas ?

— Si M’dame. Répondit la jeune femme en souriant.

Allie resta étendue par terre, aux pieds des femmes qui s’affairaient en l’ignorant. Elles retournèrent toutes vers l’arrière du salon en riant et en parlant de la façon dont "cette salope avait eu ce qu’elle méritait". Deux femmes enjambèrent même l’adolescente prostrée par terre en s’en allant.

— J’ai pris un rendez-vous pour Petite Gouine. Elle doit recevoir le traitement "A+". N’hésitez pas à me signaler si elle est rétive. Il y a un bon moment qu’elle n’a pas été fouettée et j’ai l’impression qu’elle en profite pour prendre ses aises.

— Oui M’dame. Répondit la vendeuse, sachant que la petite blonde était piégée.

Il y aurait sûrement quelque chose à lui reprocher. Petite Gouine le savait aussi, bien entendu. Mais elle aimait être punie et ferait tout son possible pour recevoir une punition de sa Maîtresse. La simple idée d’une séance de fouet la faisait mouiller.

Maîtresse Jytte se retourna et regarda Allie qui était en train de ramper vers sa chaise pour s’asseoir, pressée de masquer autant que possible sa nudité aux autres femmes présentes dans la pièce.

— Qui est ta Maîtresse Petite Pute ? Il va falloir que je l’informe de l’impardonnable manque de respect dont tu as fait preuve aujourd’hui.

— Nicole Johnson Maîtresse.

Elle s’assit en couvrant ses seins d’une main et en tentant de masquer son entrejambes de l’autre.
Maîtresse Jytte se tourna vers la vendeuse:

— Peux-tu appeler la Maîtresse de cette petite pute pour moi s’il te plaît.

— Tout de suite M’dame.

— Merci.

— Petite Gouine !

— Oui Maîtresse.

— Tu peux jouer avec Petite pute pendant que je discute avec sa Maîtresse.

La jeune femme se détourna d’elles et se mit à discuter avec la vendeuse, ignorant les deux jeunes filles assises dans l’entrée.

Petite Gouine enjamba immédiatement les cuisses nues d’Allie pour s’asseoir à califourchon face à elle. Elle se pencha en avant pour l’embrasser. Surprise, Allie ouvrit de grands yeux. La petite blonde se livrait à elle sans aucune pudeur à l’entrée du salon. Elle forçait ses lèvres à l’aide de sa langue inquisitrice, enroulant ses bras derrière le cou d’Allie.

— Mmmfff…

L’adolescente tenta d’émettre un refus, mais ses lèvres étaient déjà vaincues et la langue pénétrait triomphalement dans sa bouche. Elle ressentit le mouvement de balancier que la petite blonde effectuait d’avant en arrière sur ses cuisses, frottant sa petite chatte sur elle. D’une main, Petite Gouine entreprit de déboutonner son short. Puis elle se recula de quelques centimètres.

—    S’il te plaît, Petite Pute, joue avec moi…

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Allie et Nicole, par Annie The Slick - Communauté : Soumissions féminines
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