Samedi 17 mars 6 17 /03 /Mars 22:09

Chapitre 8 : Séance pipi et piercing (1ère partie).

 

Allie se réveilla, couchée par terre. La nuit dernière, Nicole l’avait encore fouettée. Pourtant ça n’était pas sa faute si elle avait perdu tous ses vêtements. Pourtant Nicole ne semblait pas s’en soucier. Les marques rouges qui s’entrecroisaient sur son dos en témoignaient.
Elle se mit à pleurer silencieusement en se remémorant son châtiment. Ses sanglots étaient étouffés par le bâillon en forme de boule qui était coincé dans sa bouche, attaché étroitement derrière sa tête.

Lorsqu’elle était rentrée à  la maison, Nicole était d’une humeur exécrable. Betsy l’avait appelée au travail pour lui raconter les exploits d’Allie durant la journée. L’épisode urinaire lui avait profondément déplu.
À peine arrivée, elle avait fait agenouiller l’adolescente sur le sol, lui avait attaché les mains à la tête du lit et avait étroitement lié ses chevilles l’une contre l’autre.
Puis elle lui avait longuement fouetté le dos avec un fouet dont la lanière mesurait près d’un mètre vingt de long. Allie avait eu beau pleurer et supplier, les seuls sons qui étaient sortis de sa bouche étaient les gémissements pathétiques que le bâillon douloureux avait laissé passer.

— Tu as pissé dans ta culotte devant une de mes amies ! L’admonesta-t-elle en abattant le fouet sur le dos nu de l’adolescente.

— Jamais je n’ai été aussi humiliée.

Le fouet sifflait en soulignant ses paroles. Allie glapissait et secouait la tête négativement.

— Ne me répond pas petite salope.

Et le fouet sifflait à nouveau.

La punition se poursuivit jusqu’à ce qu’Allie s’évanouisse. Lorsqu’elle se réveilla, il faisait noir. Elle était entravée, nue, sur le sol. Son gadget anal était toujours enfoncé entre ses fesses et un phallus artificiel obstruait son sexe. Paradoxalement, Nicole avait affectueusement étendu une couverture sur le corps martyrisé de l’adolescente avant de se coucher.

Allie était en état de choc, pourquoi tout ceci lui était-il arrivé ? Elle ne voulait être le jouet de personne, elle voulait juste être une adolescente normale.
Finalement, pendant qu’elle pleurait, l’épuisement prit le dessus et elle sombra dans un profond sommeil.

Elle sentit un mouvement à ses pieds. Nicole était entrain de détacher ses jambes. La ruée soudaine de sang dans ses membres libérés lui communiqua de nouvelles vagues de douleur dans tout le corps.
Nicole lui laissa les bras liés et la regarda en souriant. Tout se passait si bien. Allie était maintenant une adolescente soumise, salope et battue. Il était temps de passer à la prochaine phase de son plan.

— Allons-y petite chienne. Ton travail du matin t’attend.

Elle attrapa Allie par les cheveux et la força à se lever puis la traîna littéralement jusqu’à la salle de bain. C’était très inconfortable pour Allie de suivre avec les bras attachés, le gadget anal entre les fesses, et le phallus en plastique logé dans son sexe. Elle se sentait empalée et devait se dandiner un peu avec ces objets enfoncés en elle.

— Prépare ma douche, petite salope.

Son bâillon ne lui permettait que de pousser de petits gémissements, mais la douleur était vraiment minimale comparée à ce qu’elle avait dû endurer ces deux derniers jours.

Pendant que sa Maîtresse allait soulager sa vessie, Allie régla la température de la douche. Comme ses mains étaient toujours attachées dans son dos, elle dut se retourner pour actionner le robinet. La douleur et les deux objets enfoncés en elle la déconcentraient quelque peu. Lorsqu’elle eut enfin réussi à faire couler l’eau, Nicole la fit venir près d’elle.

— A genoux !

Allie s’agenouilla entre les jambes écartées de sa Maîtresse. Sa bouche bâillonnée se trouvait à peu près à la hauteur du nombril de sa maîtresse.

— Enlevons ce vilain bâillon, de toute façon, je ne pense pas que tu en aies besoin pour l’instant.

Allie se pencha légèrement pour que Nicole puisse lui passer les mains derrière la tête. Bientôt, la pression désagréable qui lui écartelait les mâchoires se relâcha, si bien qu’il lui fut douloureux de refermer la bouche. Elle la conserva donc à moitié ouverte.

Nicole attrapa la nuque de l’adolescente et la força à se pencher sur son sexe.

— Tu t’es tellement régalé de pisser n’importe où hier que je pense que tu dois apprendre à aimer mon urine aussi. Nicole relacha sa vessie et commença à uriner sur le visage de l’adolescente. Les yeux fermés, Allie crispa ses paupières et tenta de fermer la bouche, mais les muscles de ses mâchoires étaient trop engourdis par l’épreuve qu’ils avaient enduré toute la nuit. La pisse de Nicole éclaboussa son visage, dégoulinant dans sa bouche et sur son menton, coulant sur sa poitrine. Elle ne put s’empêcher d’en avaller un peu et se mit à tousser, submergée par la miction.

Nicole épancha son envie en arrosant copieusement le visage de l’adolescente, ses cheveux et son buste. Son jouet sexuel était entièrement détrempé par le liquide jaune qui giclait de sa vulve. Elle n’en revenait pas du plaisir qu’elle prenait à dégrader la jeune fille comme ça. Il allait falloir qu’elle réfléchisse aux nouvelles épreuves qu’elle allait pouvoir lui imposer.

Une fois soulagée, elle déclara :

— Maintenant, ma fille, nettoie-moi. Et elle attira le visage de l’adolescente contre son sexe.

Au début, Allie ne bougea pas et resta immobile avec son nez écrasé contre le pubis de sa Maîtresse, la bouche appuyée contre le sexe souillé par la pisse. Elle était complètement désorientée, baignant dans l’urine, ses trous remplis, les bras attachés. Mais Nicole enfonça le clou.

— Sors ta langue et lèche-moi petite pute !

Finalement, la langue de la jeune fille, saturée par l’urine, émergea entre ses lèvres et se mit à lécher consciencieusement le sexe de sa Maîtresse. Le goût salé de la miction imprégnait déjà sa bouche, la saveur de l’excitation de Maîtresse allait peut-être contribuer à adoucir l’affreuse sapidité.

Impatiente, Nicole plaqua sa vulve contre le visage de l’adolescente et jouit dans une secousse rapide. La tyranie qu’elle éxerçait sur la jeune fille l’excitait énormément et il fallait qu’elle se contienne, elle était réellement emballée par la suprématie qui s’était établie entre elles.

Finalement, elle se redressa devant l’adolescente agenouillée.

— Viens, petite chienne, allons prendre une douche, j’ai besoin que tu me nettoies.

Allie se redressa et tenta de suivre la jeune femme, mais elle n’arrivait pas à ouvrir ses yeux, de peur que l’urine y pénètre.

— Oh ! Ma pauvre chérie, laisse-moi détacher tes bras.

Elle contourna l’adolescente et délia ses bras. En sentant le sang se ruer à nouveau dans ses artères, Allie ne put retenir de petits cris. Nicole poussa la jeune fille aveuglée par la pisse jusqu’à la douche, l’y fit pénétrer et referma la porte derrière elles.

— Maintenant ma petite esclave chérie, nettoie-moi.

Allie s’empara du savon et obéit. Nicole s’était placée au milieu de la cabine et la laissait s’organiser, tourner autour d’elle, savonnant l’intégralité de son corps en le frottant délicatement. Elle se sentait dans la peau d’une princesse décadente disposant de son esclave personnelle qui devait honorer ses moindres désirs. La vie était belle et ça ne pouvait aller que de mieux en mieux.

Allie pleurait silencieusement. Sa seule consolation était que l’odieuse mixture avait été lavée par la douche. Elle avait essayé de se laver rapidement pendant les brefs moments au cours desquels elle se trouvait derrière sa Maîtresse. Elle ne savait pas si celle-ci l’autoriserait à prendre le temps de se doucher. Ça n’avait pas été le cas la veille. Elle nettoya le sexe et l’anus de sa Maîtresse en leur accordant toute l’attention et la délicatesse nécessaires. Elle savait que Nicole aimait ça et tout ce qui pouvait la mettre de bonne humeur était bien venu. Si elle était dans de bonnes dispositions, elle n’aurait probablement pas envie de la fouetter à nouveau.

Lorsque la jeune fille eut terminé de la nettoyer, Nicole la fit pivoter sur elle-même et la prit dans ses bras.

— Allie, je t’éduque à devenir une jeune demoiselle "comme il faut", mais si tu continues à avoir un comportement aussi déplorable que faire pipi dans ta culotte, je devrais être plus stricte. Me fais-je bien comprendre ?

— Oui Maîtresse. Répondit Allie à la façon d’un automate.

Elle se sentait bien dans les bras de Nicole, ses seins merveilleux étaient si doux contre les siens. Elle se sentait en sécurité. Il y avait probablement une bonne raison pour que sa Maîtresse lui fasse subir toutes ces épreuves.

— Bien, dit Nicole en se penchant pour déposer un baiser sur les lèvres de l’adolescente.

Allie sentit l’une des mains de sa Maîtresse s’égarer entre ses fesses et entrer en contact avec son gadget anal.

— Nous avons rendez-vous au salon de beauté aujourd’hui, ça sera une surprise. J’aurai un cadeau pour toi et il faut que tu te prépares correctement pour que je puisse être fière de toi.

Allie ne comprit pas de quoi il s’agissait. Son attention fut soudain accaparée par l’objet en caoutchouc qui s’animait doucement entre ses fesses.

Nicole descendit son autre main et commença à jouer avec le godemiché qui se trouvait dans le sexe de l’adolescente. Elle fit pivoter la jeune fille afin qu’elle lui tourne le dos et l’obligea à se pencher en avant afin de pouvoir la solliciter des deux côtés à la fois. Allie se mit à gémir.

— Oh ouiiii Maîtresse ! Baisez-moi.

Elle plaça ses bras ankylosés au-dessus de sa tête et s’arc-bouta contre la paroi pour mieux s’offrir.

Elle explosa dans un orgasme ravageur.

— Aaahhhhh !!!

Nicole ôta le godemiché du sexe de son esclave, mais laissa le gadget anal en place.

— Il vaut mieux le laisser là, c’est sa place maintenant.

Elles sortirent de la douche. Allie aida sa Maîtresse à se préparer pour la journée. Elle la sécha et coiffa ses cheveux, la maquilla, l’habilla, tandis qu’elle restait nue, embrochée par le jouet anal.

Une fois satisfaite, Nicole guida l’adolescente, toujours nue, jusqu’à la cuisine pour le petit-déjeuner. Elle fit asseoir la jeune fille au pied de sa chaise et mangea tranquilement, jouant nonchalament avec ses petits seins.

Ensuite, Nicole lui fit revêtir sa robe rouge et ses talons.

— Tu n’auras pas besoin de sous-vêtements aujourd’hui, petite chienne, comme ça tu ne risqueras pas de les perdre.

Allie retourna dans sa chambre et se regarda dans le miroir. Elle y vit une adolescente dépenaillée, les yeux rouges d’avoir trop pleuré. Elle ne se posa pas de questions sur ce qu’elle faisait, et agit sans réflechir, c’était plus facile comme ça.
Elle baissa les yeux, incapable de contempler son image, s’empara de la robe rouge et l’enfila. Ses fesses étaient à peine couvertes par le tissu et le haut de la robe démontrait sans ambages qu’elle ne portait pas de soutien-gorge. Elle chaussa les chaussures à talons aiguilles qui lui faisaient penser à celles que portent les femmes de mauvaise vie, tenta de se recoiffer quelque peu et se précipita dans le salon où l’attendait sa Maîtresse.

— Sans plus attendre, Nicole se dirigea vers le garage et monta dans la BMW. Allie ressentit avec un certain trouble la sensation familière du cuir froid contre ses cuisses et ses fesses nues.

Elles se mirent en route pour l’institut de beauté.

Une fois sur place, Nicole guida Allie jusqu’à l’entrée. La réceptioniste les regarda avec intérêt.

— Que puis-je pour vous, Madame ?

— J’ai pris rendez-vous pour ma petite chienne aujourd’hui, un nettoyage classique, rasage et quelques autres services.

La réceptioniste fit venir Jackie. À peine arrivée, celle-ci ôta sans cérémonie sa robe à l’adolescente, la tirant sur sa tête sans même l’avertir. Allie ne protesta pas, elle s’attendait à être avilie. La jeune femme tendit la robe à Nicole et escorta les deux femmes dans les profondeurs de l’institut.

L’estheticienne les préceda à travers le salon dans lequel plusieurs femmes se faisaient coiffer. En passant devant elles, Allie pouvait sentir leurs regards prédateurs sur ses fesses nues. Lorsqu’elles furent arrivées dans la pièce du fond où on lui avait rasé le sexe, Nicole se tourna vers Jackie et dit :

— Cette petite salope a un problème urinaire. Tu devrais aller chercher un seau pour qu’elle puisse se soulager tout de suite, ça éviterait qu’elle se souille pendant que tu la raseras.

Choquée, Allie se tourna vers Nicole. Elle ne pouvait pas lui demander ça, pas faire pipi devant une autre femme.

— S’il vous plaît Maîtresse, permettez-moi d’utiliser les toilettes.

—  C’est absurde Allie, ça sera bien plus commode pour Jackie de te faire uriner dans un seau.

Allie n’y crut pas, mais elle ne voulait pas ergotter avec Nicole. Elle préfera ne pas prendre le risque d’une autre séance de flagellation. Jackie revint avec un seau qu’elle déposa devant l’adolescente.

— Allez, salope, vas-y.

Allie enjamba le seau et s’accroupit légèrement. Elle fit abstraction de la présence des deux femmes et relacha lentement sa vessie. La miction tinta bruyament contre le fond du seau en métal, le jet jaune cascada en crépitant et éclaboussa un peu ses mollets.

Au même moment, le rideau se tira sur la jolie blonde qui pénétra dans la pièce.

— Nicole, j’ai appris que tu étais là. Dit la blonde dont les seins parfaits essayaient de se libérer de la blouse légère qui les contenait difficilement.

Elle s’avança vers Nicole.

Effarouchée par l’arrivante, Allie ne put empêcher son sphincter de se contracter, bloquant aussitôt la miction.

Nicole se retourna bursquement vers Allie.

— Ne t’arrête pas, petite salope, tu as besoin de vider entièrement ta vessie avant de te faire nettoyer, c’est la moindre des politesses envers Jackie.

Puis elle ignora l’adolescente et enlaça la femme blonde.

— Sarah, ça me fait plaisir. Comment vont les affaires ?

Nue et supposée faire pipi dans son seau, Allie n’arrivait pas à se soulager au milieu de ces femmes, l’humiliation était trop forte. Elles étaient toutes habillées alors qu’elle était nue, avilie, au milieu d’elles.

— Comment s’appelle ta nouvelle petite salope, Nicole ? Elle a l’air d’avoir un petit sexe adorable.

— Sarah, je te présente Allie. Elle a un petit problème urinaire. Je suis obligée de m’assurer qu’elle a bien vidé sa vessie pour que Jackie n’ait pas de problèmes avec elle. Allez, petite salope, presse-toi un peu, tu n’oserais quand même pas nous faire attendre n’est-ce pas ?

Accablée, Allie baissa les yeux. Son cerveau eut une sorte de "court-circuit" et elle ferma les yeux, se concentrant pour relancer la miction. Les femmes se tenaient autour d’elle, parlant de choses et d’autres pendant qu’elles attendaient que l’adolescente ait fini de se soulager. Finalement, un petit filet commença à sortir et se transforma en un jet jaune puissant.

— Ah, ça-y-est. Et bien ça n’est pas trop tôt. Dit Jackie.

Allie avait l’impression de vivre dans une autre dimension. Elle était en train de faire pipi, nue, devant trois autres femmes. Elle n’aurait jamais commis une telle ignominie, il y a seulement quelques jours de ça, et elle n’aurait jamais imaginé en arriver là un jour. C’était si embarrassant et si honteux.

Lorsqu’elle eut terminé son petit "pissou", Jackie la fit étendre sur la chaise "spéciale salopes" et lui attacha les mains et les poignets dans une position identique à la fois précédente. Puis elle pompa sur une pédale pour écarter les jambes de l’adolescente au maximum. Comme la dernière fois, elle s’arrêta lorsqu’elle fut à la limite du grand écart. La douleur fit pleurer Allie mais l’estheticienne s’approcha d’elle calmement et lui enfila un bâillon boule entre les mâchoires. De douleur, Allie crispa les yeux tant l’écartement de ses jambes était difficile à supporter.

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Allie et Nicole, par Annie The Slick - Communauté : Soumissions féminines
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