— Allez ! Debout la-dedans ! Dit Nicole en agaçant Allie du bout de son pied.
Allie se déplia, abandonnant la position fœtale dans laquelle elle dormait. Elle roula sur le dos et leva les yeux vers sa Maîtresse.
Nicole se leva et l’enjamba, splendide dans sa nudité. Allie fut frappée par la beauté et le maintien de la brune qui la surplombait, digne et fière de sa nudité. Elle avait les mains sur les hanches, un léger sourire sur les lèvres et son pubis était une invitation pour le futur et le présent de la jeune soumise.
Elle se souvint de quelques mots que lui avait soufflés sa Maîtresse quelques mois auparavant.
"Ce sexe que tu adoreras, dont tu rêveras en t’endormant, que tu nettoieras et dont tu prendras le plus grand soin".
Elle réalisa que l’essentiel de ces mots était réel aujourd’hui.
Nicole se pencha et attrapa le coin de la couverture légère qui couvrait son esclave. Elle tira et dénuda l’adolescente, révélant sa nudité et le collier enchaîné à la tête de son lit.
Elle connaissait ses obligations. Sa vie entière était régie par des règles claires et la numéro 16 l’astreignait à se masturber tous les matins. Elle écarta les jambes et commença à jouer avec son sexe, insérant son doigt entre les lèvres de sa fente sous le regard attentif de sa Maîtresse debout devant elle. Elle souleva le petit cadenas qui ornait le haut de son intimité et se mit à titiller son clitoris. Sa main recouvrait en partie le tatouage qui décorait son sexe imberbe. Rapidement, une humidité caractéristique se développa au sein de son sexe, lubrifiant ses muqueuses, lui permettant d’accélérer la cadence de ses caresses.
— Presse-toi ma fille !
Nicole s’impatienta, un sourire sadique au coin des lèvres. Ses yeux se gorgèrent de l’image que lui renvoyait la jeune
fille qui s’activait, toujours enchaînée au lit. Dieu qu’elle était agréable à regarder, et à tourmenter…
Allie tirait de plus en plus fort sur le petit
cadenas, elle avait récemment découvert que c’était un moyen infaillible d’arriver rapidement à ses fins. Elle lui donna de petites chiquenaudes qui le faisaient rebondir sur ses chairs
déliquescentes, puis le fit tourner sur lui-même à une cadence de plus en plus frénétique jusqu’à ce qu’elle serre ses dents et jouisse dans une gerbe de plaisir. Elle n’avait pas quitté des yeux
le corps sculptural de sa Maîtresse.
— C’est bien ma fille.
Nicole détacha la laisse de l’adolescente et l’entraîna vers la salle de bain pour qu’elle s’occupe de sa toilette.
Lâchant la laisse, elle s’assit sur la toilette pendant qu’Allie réglait la température de l’eau.
— Je t’attends jeune fille ! Déclara Nicole avec un sourire narquois.
Le cœur de la jeune fille s’accéléra, elle savait ce que sa Maîtresse allait exiger d’elle et elle détestait ça. Pourtant, elle serra les dents et s’approcha des toilettes, s’agenouilla entre les jambes de sa Maîtresse et pencha sa tête entre ses cuisses.
— Supplie-moi. Dit Nicole en baissant les yeux sur le visage d’Allie qui se trouvait à quelques centimètres de son entrecuisse.
L’adolescente avait étroitement fermé sa bouche et ses paupières étaient tellement crispées que Nicole pouvait les voir trembler. Ses adorables cheveux blonds pendaient jusque dans la cuvette.
— Supplie-moi de te pisser sur le visage.
Comme dans un rêve, Allie s’entendit parler. Elle ne pensait pas ce qu’elle disait mais l’idée d’en avoir fini au plus vite lui donnait des forces.
— S’il vous plaît Maîtresse, pissez-moi sur le visage.
— Puisque tu me demandes si poliment, je pense que j’aimerais que tu passes ta langue sur ma chatte d’abord. Lèche-moi.
Allie étira son cou et poussa sa langue contre le sexe de Nicole. Elle se mit à lécher consciencieusement. Elle savait comment mener sa Maîtresse au plaisir, cela faisait maintenant longtemps qu’elle avait perfectionné sa technique.
— Bien, maintenant continue à me lécher. Ne t’arrête surtout pas.
Le ton avait changé, s’était fait plus menaçant.
Allie savait ce qui allait se
produire, elle se prépara, fermant les yeux du mieux qu’elle pouvait. La voix de Nicole la fit frissonner.
— Ca y est salope, ça vient.
À cet instant, l’urine gicla directement du méat urinaire, s’écrasant contre sa langue et son palais.
Elle fit pourtant ce qu’on lui avait ordonné et continua à lécher le sexe de sa Maîtresse pendant que le liquide jaune giclait à l’intérieur de sa bouche, éclaboussait ses joues et ses paupières, rebondissait contre sa langue en coulant le long de son cou et sur ses petits seins percés, trempant son corps et les carreaux froid du sol sous ses genoux. Incapable d’y échapper, l’adolescente dut en avaler une grande quantité et faillit vomir lorsque l’urine chaude de Nicole dégringola en cascade dans sa trachée, en ligne directe vers son estomac
Elle continua à lécher lorsque Nicole crispa ses muscles, projetant la pisse odorante sur sa soumise avec le plus de
force possible.
Elle continua à lécher lorsque sa Maîtresse inclina sa tête vers l’arrière et poussa un cri de plaisir.
— Oh oouuuiii !!!
Elle continua à lécher lorsque le flot se tarit et se transforma en un petit filet.
Alors, Nicole attrapa son esclave par la nuque, retint le peu d’urine qui encombrait encore sa vessie et plaqua fermement sa bouche contre son sexe.
— Avale le reste, petite chienne.
Et elle relâcha une dernière fois son sphincter, dirigeant le dernier jet directement dans la bouche de son esclave, ne
lui laissant d’autre choix que d’avaler la pisse qui envahissait son palais. Écœurée, Allie dut avaler l’intégralité du liquide salé au goût infecte en une seule gorgée.
Nicole appuya encore plus fort la bouche de l’adolescente contre son sexe et jouit d’un seul coup. Ses sécrétions intimes se mélangèrent à l’urine dans la bouche de la jeune
fille qui continua à lécher sans s’interrompre. Un frisson parcourut le corps de Nicole lorsque son plaisir commença à retomber.
— Mon dieu ! Que c’est bon de pisser pendant que tu me lèches.
Elle libéra l’adolescente.
— Nous ferons ça plus souvent.
Allie toussa un peu et de l’urine se mit à couler de son nez, ses cils et son menton.
Sans autre manière, Nicole se leva, enjamba la jeune fille agenouillée à ses pieds et se dirigea vers la douche.
— Viens ici, salope. Tu nettoieras tes saletés plus tard.
Allie rampa sur les talons de sa Maîtresse. L’urine qui avait pénétré entre ses paupières la brulait mais elle était heureuse de pouvoir se glisser dans la douche avec Nicole. Cela lui permettrait au moins de se débarrasser de ce liquide nauséabond qui empestait sa bouche et le reste de son corps.
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Après le petit-déjeuner, Nicole fit revêtir sa tenue de gymnastique à Allie. Il s’agissait de son petit débardeur, qui ressemblait plutôt à un petit bas de bikini dont les bretelles passaient autour les épaules au lieu de la taille. Le triangle de tissu qui recouvrait son entrejambe aurait masqué le pubis d’une femme à condition qu’il soit taillé suffisamment court. Il recouvrait tout juste sa petite fente et montait juste au-dessus de de l’ornement qui perçait le capuchon de son clitoris. Mais cela n’était pas un problème puisque l’adolescente se faisait épiler deux fois par semaine par l’esthéticienne.
Ce qui l’inquiétait maintenant était son nouveau tatouage qui était clairement visible au-dessus de l’élastique de la petite culotte. Tout le monde pourrait lire les mots blasonnés sur la partie supérieure de son pubis : "Propriété de Maîtresse Nicole" et en dessous, les mots : "Pour femmes uniquement".
L’adolescente se rendit immédiatement compte à quel point ces inscriptions seraient visibles. Elle ne pouvait pas aller faire de gymnastique vêtue ainsi, n’importe qui saurait tout sur sa condition de soumise.
En guise de haut, Nicole lui fit mettre un minuscule tee-shirt qui était coupé juste au-dessus de ses aréoles. Le moindre mouvement exhiberait les pointes de ses seins à qui voudrait bien la regarder. Pour l’instant, les anneaux qui les perçaient se contentaient de pointer juste en dessous du haut du maillot.
Elle se dirigea vers l’entrée où Nicole l’attendait.
— Maîtresse, je vous en prie ! Je ne peux pas sortir dans cette tenue, tout le monde verra mes tatouages.
Nicole eut un sourire démoniaque.
— Idiote, elles n’ont pas besoin de lire quoi que ce soit pour savoir que tu es ma petite esclave lesbienne salope.
Elle s’empara de la main de la jeune fille et l’entraîna vers la voiture, ouvrit la porte de la place passager et y fit asseoir Allie.
Une fois assise au volant, elle révéla l’itinéraire à l’adolescente :
— Je dois passer au bureau ce matin. Je vais te déposer au salon, mais tu devras te débrouiller pour rejoindre le club de gym toute seule.
Elle se retourna vers Allie et lui fit un sourire.
— Je suis sûre que tu trouveras un moyen de te faire escorter jusqu’au club. Fais preuve d’imagination.
Elle s’arrêta de l’autre côté de la rue du salon d’esthétique et fit descendre Allie. Puis elle redémarra en trombe en lançant :
— À ce soir.
Sous le choc, Allie resta un instant immobile sur le bord du trottoir.
Tout le monde pouvait la voir. Mises à part les voitures qui circulaient, la rue était relativement vide. Elle fit une tentative pour traverser, mais un automobiliste qu’elle n’avait pas eu le temps de voir la klaxonna agressivement, la faisant battre en retraite.
Elle se décida à longer le trottoir. A chaque pas, son tee-shirt se soulevait en révélant ses seins nus. Elle l’attrapa
par l’ourlet et le rabattit sur sa taille.
Le trafic était trop dense, il allait falloir qu’elle utilise les passages piétons. Dans l’espoir de cacher
son tatouage, elle mit une main devant son entrejambe, tandis que, de l’autre, elle maintenait son tee-shirt en place. Elle trotta vers le coin de la rue aussi vite que possible, douloureusement
consciente que son postérieur était nu derrière le minuscule rempart de nylon qui lui courait entre les fesses. Arrivée devant le passage, elle pressa sur le bouton de commande des feux et
attendit impatiemment.
Frustrée par le décalage, elle l’enfonça plusieurs fois. Il fallait qu’elle aille se réfugier dans le salon le plus vite possible. À bout de nerfs, elle cogna sur le bouton plusieurs fois et ne remarqua pas la passante qui s’était arrêtée à côté d’elle.
— Mais qui voilà ? Ronronna une voix contre son oreille.
Au même moment, une main indiscrète pris possession de sa fesse nue. Allie sursauta et se retourna
brusquement.
Maîtresse Jytte se tenait tout près d’elle, éblouissante dans toute sa perfection féminine. Elle portait un élégant ensemble gris avec un
chapeau noir luxueux dont les larges bords n’éclipsaient pas les lunettes de soleil de marque qui voilaient ses yeux. La fragrance de son parfum exotique et dispendieux flottait jusqu’aux narines
de l’adolescente.
— Bonjour Maîtresse Jytte. Répondit la jeune fille dont le cœur battait à tout rompre.
Maîtresse Jytte souria à Allie. Elle prit un peu de recul et contempla le derrière de l’adolescente. Puis, avec un regard qui ne souffrait aucune contradiction, elle replaça sa main sur sa fesse gauche. Cette fois, la jeune fille ne broncha pas et se soumit servilement au caprice de la femme.
— Tu vas au salon ce matin petite salope ? Demanda-t-elle nonchalamment, tout en glissant sa main sous la petite bande qui séparait les fesses d’Allie.
Allie n’arriva pas à se concentrer sur la question. Elle se comportait comme un chevreuil tétanisé par les phares de la
voiture qui allait l’écraser. Elle se trouvait en pleine rue, pratiquement nue et cette femme lui caressait les fesses, à la vue de tout le monde.
Elle
tenta de dire quelque chose, mais aucun son ne réussit à franchir la barrière de ses lèvres. La main de Maîtresse Jytte continuait à explorer ses fesses et ne s’immobilisa que lorsque son majeur
se fraya un chemin entre les lèvres de son sexe. Elle resta comme ça, sans bouger, le doigt légèrement enfoncé au sein des muqueuses moites.
— Je t’ai posé une question petite lécheuse de chatte !
Le ton de la femme était devenu plus ferme et Allie sentit la menace qu’il faisait planer.
— Maîtresse, s’il vous plaît, il faut que j’y aille…
Elle sut que c’était la dernière chose à dire au moment où les mots franchirent ses lèvres.
Terrorisée par son audace, crispée au possible, elle se garda bien de protester lorsqu’elle sentit le doigt de la femme,
si élégante, appuyer contre l’entrée de son vagin. Soudain ses défenses cédèrent et l’intrus fit son chemin au cœur de son intimité. Une première phalange, puis deux et enfin
trois.
Elle gémit silencieusement, assommée par l’idée qu’une femme puisse la violer comme ça, en publique, sur un vulgaire trottoir.
— Réponds à ma question petite pute.
La voix était redevenue plus calme, glaciale, contredite par le sourire de la Maîtresse femme.
— O… Ou… Oui Maîtresse, j’y allais.
— Bien. Alors allons-y. Traverse devant moi, je te suis pour profiter du spectacle.
Commandé par Maîtresse Jytte, le feu des piétons était passé au vert. Elle retira son doigt et claqua sèchement sa fesse
pour la décider à avancer.
L’adolescente se mit à marcher, consciente de la vue qu’elle offrait à l’autre femme : Ses fesses pratiquement nue sur
lesquelles l’empreinte de la main qui la cuisait devait briller, bien rouge, comme un phare en pleine nuit. Elle n’eut même pas la présence d’esprit de la couvrir tant elle était occupée à
préserver sa pudeur en masquant l’inscription qui ornait son pubis en tirant de toutes ses forces sur l’avant de son mini tee-shirt.
Elles finirent de traverser et remontèrent la rue en direction du salon.
Courant presque, Allie escalada les quelques marches et se réfugia à l’intérieur, loin des yeux indiscrets de tous les gens qui avaient du la voir.
Quelques pas derrière elle, Maîtresse Jytte entra à son tour en ricanant.
— J’ai adoré la façon dont tu fais valser ton petit derrière.
La réceptionniste leva les yeux.
— Ahhh, Allie, te voilà enfin, tu devrais aller tout de suite rejoindre Jackie, elle t’attend.
Telle une habituée, la jeune fille s’empressa de traverser la pièce dans laquelle on produisait des soins aux vraies femmes. Elle garda les yeux baissés tout le temps, faisant son possible pour éviter les regards réprobateurs, des clientes aux mains des stylistes et des manucures, qui se posaient sur elle.
Elle sentait l’air contre ses fesses nues, la confortant dans sa honte d’être nue. Le tissu de la petite culotte avait disparu depuis longtemps entre ses fesses, les exposant largement au regard des autres.
Une fois le rideau franchi, elle commença à se détendre, se sentant relativement à l’abri. Jackie détourna les yeux de l’entrejambe d’une autre fille à qui elle prodiguait les dernières touches d’une épilation intégrale. La fille en question ne put que tourner les yeux vers elle car elle était étroitement assujettie à la chaise de soins.
— Tu peux te déshabiller, Allie, je vais m’occuper de toi tout de suite.
Mécaniquement, l’adolescente ôta le peu de vêtements qu’elle portait. Elle se retrouva rapidement nue à attendre son tour.
— Ca y est, Missy, aussi lisse que le jour de ta naissance.
Et elle ponctua sa phrase d’un coup de langue précis et langoureux sur la petite fente glabre. Missy gémit à travers le bâillon qui obstruait sa bouche. L’esthéticienne la libéra, lui ôta la petite boule en plastique sur laquelle ses dents étaient serrées et lui donna une tape sur les fesses.
— Allez !
La jeune fille trottina vers ses vêtements et s’habilla. Elle ne portait qu’une petite jupe courte, un tee-shirt blanc
tout simple et n’avait ni chaussures ni sous-vêtements. Elle risqua un regard rapide vers Allie, dans lequel les deux adolescentes échangèrent une sorte de connivence propre à leurs conditions de
soumises respectives. Puis, sans un mot, elle partit.
Allie prit place dans le fauteuil encore chaud et s’apprêta à recevoir son traitement
bihebdomadaire.
***
De retour dans l’entrée du salon, après que Jackie l’aie nettoyée en profondeur et épilée, Allie se dandinait d’un pied sur l’autre en essayant de capter l’attention de la réceptionniste. Celle-ci discutait avec une femme qui ressemblait à Kathleen Turner : Cheveux roux, port royal, poitrine généreuse et ferme.
Il me faut un rendez-vous pour ma fille Sydney. Elle sera libre Mardi après-midi. Dit-elle dédaigneusement à la réceptionniste.
— Bien M’dame, est-ce votre fille ou votre pupille ? Demanda la brune derrière son comptoir.
La question fit naître un sourire sur le visage sévère.
— Pourquoi me demandez-vous ça ? C’est ma fille adoptive bien sûr.
Elle fixa son regard sur celui de la réceptionniste.
— Il lui faut le traitement particulier, celui que vous réservez aux filles indisciplinées.
— Bien M’dame. Est-ce que vous souhaitez qu’on lui applique un de nos services supplémentaires ?
— Non, pas cette fois, mais vous me donnerez une brochure avec vos tarifs.
— Je suis désolée M’dame mais c’est strictement confidentiel. Il faudra que vous rencontriez Sarah, la propriétaire du salon pour cela.
— Je comprends, alors ça sera tout pour aujourd’hui.
Elle s’apprêtait à ressortir lorsque, apparemment pour la première fois, son regard se posa sur Allie.
— Mais qu’avons-nous là ? Elle sourit. Aussi sexy et pas d’endroit où aller… Quel dommage.
— Oui M’dame… Heu, je veux dire non M’dame… Je veux dire… Je… Je vais à ma séance de gym. Bégaya Alllie.
— Ca alors, mais vous êtes bien timide, jeune fille.
Elle dévisagea l’adolescente de la tête aux pieds, se focalisant sur le tatouage qui décorait le pubis d’Allie.
— Propriété de Nicole… Hmmm… Pour femmes seulement… Tu es joliment décorée jeune fille.
— Oui M’dame. Répondit Allie.
Elle se tourna vers la réceptionniste et demanda d’une petite voix :
— S’il vous plaît, j’ai besoin d’un moyen de transport pour le "Club des Dames qui Savent Vivre" sur Main Street
— Nous ne sommes pas une station de taxis. Répondit la réceptionniste.
La femme qui ressemblait à Kathleen Turner prit alors la parole.
— Voyons Mademoiselle, ne soyez pas si rude avec cette jeune fille. Je serai heureuse de l’emmener à son club.
Le cœur d’Allie s’accéléra.
— Je ne pourrais pas M’dame. Répondit l’adolescente d’une voix à peine audible.
— Oh, mais j’insiste. Renchérit la rousse en attrapant le poignet d’Allie.
Et, sans concession, elle entraina l’adolescente à moitié nue hors de la boutique, lui fit descendre les escaliers et marcher jusqu’à sa Mercedes. Elle en ouvrit la porte et, avant qu’Allie ait réalisé ce qui lui arrivait, la fit asseoir sur le siège passager. Le contact de ses fesses sur le cuir froid de la luxueuse voiture la fit frissonner.
Puis, la femme fit le tour et s’assit au volant.
— Il faut d’abord que je passe à la maison, c’est sur le chemin. Je suis sûre que ça ne te dérangera pas.
— Non M’dame. Répondit la jeune fille.
De toute façon, elle s’attendait à quelque chose comme ça.
Dès qu’elles furent
en route, le ton de la femme changea. Elle se tourna vers Allie et lui dit :
— Nous n’avons pas beaucoup de temps. Il va falloir que tu me fasses confiance.
Allie ne répondit pas.
— Tu peux m’appeler Isis. Je suis la responsable d’une organisation dont le but est de libérer les filles comme toi et de punir les responsables.
Le visage d’Allie se figea. Que se passait-il ? Elle s’attendait à être violée où à être utilisée comme une pute lesbienne, mais les mots qu’elle venait d’entendre l’étonnaient. Elle était prête à être forcée dans tous les sens du terme et à sucer des sexes, mais pas pour une promesse aussi inattendue.
— Mon organisation surveille cet endroit depuis six mois maintenant. Nous espérons bientôt coincer la responsable de ce salon, et tu es une pièce Maîtresse de notre plan.
Au même moment, elle pénétra dans une belle allée menant à une superbe maison.
— Est-ce que tu penses que tu peux faire ça Allie ? Demanda Isis en éteignant le moteur. Penses-tu que tu peux jouer un rôle dans tout ça ?
Elle avait compris en partie la situation. Cette femme n’avait pas l’intention de la violer. Est-ce qu’elle allait la libérer de Nicole ? Elle réfléchit à cette nouvelle donne, ayant de la peine à y croire.
— Je ne sais pas.
Elle faillit dire qu’elle avait besoin de l’autorisation de sa Maîtresse mais se retint.
— Qu’est-ce que je vais devoir faire.
— Viens avec moi à l’intérieur, je vais t’expliquer.
L’adolescente sortit de la voiture et suivit la rousse jusqu’à la porte d’entrée. Celle-ci l’ouvrit, révélant trois autres femmes affairées. Deux pianotaient sur des ordinateurs installés dans le séjour et une troisième utilisait un téléphone.
— Ce sont mes assistantes.
Elle désigna une blonde assise derrière un écran :
— Voici Aphrodite, c’est elle qui s’occupe de nos arrières. Nous voulons être sûres de ne pas laisser de traces une fois que nous aurons agi.
Et voici Athena. Dit-elle en montrant la brune assise devant l’autre ordinateur. Elle traque les informations, les fichiers, les saletés. Grace à elle, nous connaissons les faiblesses de ces perverses dont nous nous servons pour les confondre.
Enfin, voici Aurora. Elle désigna la blonde qui téléphonait. Elle est mon bras droit et c’est elle qui est chargée des opérations musclées.
Allie se dit qu’elle ne ressemblait pas à une femme d’action, mais plutôt à un top-model.
— Et maintenant, toi Allie. À partir de maintenant, tu fais partie de notre équipe.
Elle se retourna vers l’adolescente.
— Penses-tu que tu peux nous aider à dissoudre l’ignoble réseau constitué de ces femmes qui orbitent autour du salon ? Tu joueras le rôle de l’infiltrée.
Allie n’arrivait pas à y croire. Elle n’avait jamais ne serait-ce que rêver d’échapper à Nicole et voilà qu’on lui offrait cette possibilité sur un plateau.
— O… Ou… Oui, oui je pense.
— Excellent !
Et Isis enlaça l’adolescente.
— Il va falloir que tu sois forte pendant quelque temps. Nous avons choisi un evènement qui devrait nous permettre de confondre presque toutes ces diablesses en un clin d’œil.
Elle se dirigea vers le bureau d’Athena et y prit un dossier, l’ouvrit et tendit une photo à
Allie.
L’adolescente blêmit. Elle avait reconnu Lauren. C’était auprès qu’elle avait du se prostituer lorsque Nicole l’avait louée à Maîtresse Alex. La
dernière fois qu’elle l’avait rencontrée, elle avait surtout vu son sexe, mais elle était sûre qu’il s’agissait bien d’elle.
— Oui, nous savons que tu l’as rencontrée. L’occasion pour laquelle nous espérons démanteler ce réseau sera le mariage de Lauren Jacobs avec Tawnee Cantrell. Ça sera l’évènement de l’année pour les éléments du réseau qui gravitent dans ce salon. Et enfin, voici leur point faible : Nous savons que Nicole et toi serez invitées…
Elle prit les mains de l’adolescente dans les siennes et la regarda dans les yeux.
— Allie, voici ce que nous attendons de toi…
Allie écouta attentivement ce qu’elle devrait faire.
******************
Allie était stupéfaite des révélations de l’après-midi. Elle ne réalisa qu’à peine qu’Isis la déposait devant le club.
Elle rentra dans le gymnase sans prendre garde aux regards sur sa nudité que lançaient les femmes qu’elle croisa.
Elle ne remit les pieds sur terre que
lorsqu’elle arriva devant Josie, toujours occupée à accueillir les clientes du club.
— Bonjour petite salope. Dit-elle en guise d’introduction.
— Je ne suis pas une salope. Répondit l’adolescente du tac au tac et regrettant aussitôt les mots qui venaient de lui échapper.
— Ah non ? La railla la jeune femme. Mais regarde-toi dans cette tenue de strip-teaseuse.
Allie baissa les yeux sur son ventre : Ses piercings qui pointaient sous son tee-shirt trop court, son tatouage que
tout le monde pouvait voir, l’indécence de sa tenue, toutes les pores de son être transpiraient le message "SALOPE". Et pas une salope ordinaire, mais une salope qui aimait les
FILLES.
Brièvement, l’adolescente tenta de reprendre le dessus en repensant à son recrutement récent, mais, avant qu’elle ait pu esquisser un geste de
repli, Josie se pencha sur elle et assujetti rapidement une laisse à l’un des anneaux qui perçaient ses seins.
— C’est mieux comme ça. Dit Josie en se levant.
Sans lâcher la laisse, elle fit le tour de son bureau en la tendant au fûr et à mesure de sa progression, contraignant les pointes de seins de l’adolescente à quitter le mince abri de tissu derrière lequel elles tentaient désespérément de s’abriter. Deux petites torsions sèches eurent raison du peu de pudeur qui subsistait dans l’esprit d’Allie.
Elle ne tenta même pas de se rebeller. Elle avait perdu tout amour-propre et le mince espoir de liberté qui l’avait habité auparavant s’était volatilisé.
— Suis-moi, espèce de gouine dégénérée.
Et elle l’entraîna à sa suite.
Arrivées à l’entrée d’une pièce qu’Allie ne
connaissait pas, elle ouvrit la porte et alluma la lumière. La salle était équipée de plusieurs rangées de vélos d’entraînement.
— Il n’y a pas de cours prévus ici avant un bon moment, nous allons t’installer là pour tes exercices.
Elle guida l’adolescente jusqu’à la dernière rangée et la fit attendre à côté de l’un d’entre eux. Puis elle sortit un godemiché de son sac et le tendit devant les yeux d’Allie. L’objet était noir et nervuré, il mesurait environ 20 centimètres de long. Josie l’attacha sur la celle de l’un des vélos à l’aide de bandes velcro et poussa la jeune fille pour la faire enjamber la selle.
L’adolescente hésita. Elle portait déjà son gadget habituel entre les fesses et être empalée sur ce nouvel intrus pendant qu’elle pédalerait ne laissait rien présager de bon.
— Monte sur ce vélo, petite chienne ! Aboya Josie.
Dans le même temps, elle claqua les fesses d’Allie pour l’encourager. La jeune fille enjamba la selle et se tint debout sur les pédales.
— Tiens-toi plus haut !
Docilement, Allie se positionna sur la pointe des pieds. La jeune femme en profita pour écarter l’empiècement de sa
petite culotte, exhibant son sexe autant que le petit cadenas qui en fermait le haut. Puis elle maintint le godemiché en place et guida le plaça entre les lèvres du sexe
d’Allie.
La jeune fille sentit le phallus artificiel pousser contre son sexe. Elle s’empala doucement sur le phallus artificiel.
Elle s’interrompit après quelques centimètres. Son sexe n’était pas suffisamment humide et l’engin était plutôt gros.
— Tu y est. Dit Josie. Plus profond maintenant, je ne voudrais pas être obligée de dire à Nicole que tu n’as pas été suffisamment coopérative.
Cela stimula Allie.
Elle tenta d’accentuer la pénétration en effectuant un léger mouvement de va-et-vient, ce qui lui fit gagner quelques centimètres. Une légère humidité commençait à se former au cœur de ses muqueuses mais l’engin était vraiment gros et chaque mouvement lui causait une douleur lancinante.
— C’est mieux petite chienne.
Elle regarda sa montre.
— Juste à l’heure.
Quelle heure ? Se demanda l’adolescente.
Elle avait réussi à s’empaler sur une bonne dizaine de centimètres lorsque la porte s’ouvrit sur un groupe de femmes.
— Pile à l’heure mesdames ! Déclara Josie.
Allie perdit son contrôle. Elle ne pouvait pas se montrer devant toutes ces femmes ! Sa détresse fut telle que ses forces l’abandonnère et elle s’assit complètement sur la selle. Malheureusement, le gadget en plastique ne suivit pas correctement le mouvement et entraîna ses petites lèvres à l’intérieur de son vagin. La douleur explosa dans le bas ventre de l’adolescente et lui fit l’impression que ses chairs intimes allaient se déchirer.
Le godemiché avait presque pénétré dans son intégralité et il ne subistait plus que quelques centimètres à l’extérieur de son sexe. Dans un reflex de pudeur, elle avait refermé ses cuisses pour dissimuler autant que possible l’indécence de sa situation.
Des larmes lui échappèrent. Elle serra les dents et prit son mal en patience. Comble de l’humiliation, elle n’avait pas la certitude d’avoir été suffisamment discrète pour cacher à toutes ces femmes ce qui se passait entre ses cuisses.
— Profite bien de ton cours de body-bike, je reviendrai te chercher dans une demi-heure. Lui lança Josie avant de sortir de la pièce.
Allie resta muette. La douleur que lui occasionnaient ses lèvres intimes, l’intrus qui perforait son sexe et son gadget anal occupaient toute son attention. Elle dut se pencher sur le guidon et s’y appuyer pour éviter de perdre connaissance.
Les autres femmes prirent place sur leurs bicyclettes. Au grand soulagement d’Allie, aucune d’entre elles ne choisit une de celles qui étaient sur la même rangée que la sienne. Au moins elles ne pourraient pas remarquer à quel point elle était obscène. Étonnamment, personne ne semblait s’être rendu compte de quoi que ce soit.
L’instructrice monta sur celle qui se trouvait face aux leurs et commença son cours. En guise d’échauffement, elle se mit à pédaler tranquillement.
Après quelques minutes, elle décida qu’il était temps de changer de rythme.
— Ok les filles, maintenant imaginez que vous êtes sur un sentier dans une forêt et que nous arrivons à proximité d’une colline.
Et elle se dressa sur son vélo. Toutes les autres femmes l’imitèrent mis à part l’adolescente. Celle-ci se demandait ce qui serait le pire : les imiter ou pas. Finalement, elle décida qu’elle avait intérêt à faire comme elles, ce serait le moins visible (en étant optimiste).
Elle fit comme tout le monde et se mit en danseuse. Le gros phallus sortit de son vagin. Heureusement pour elle, une légère humidité avait lubrifié ses parties intimes, soulageant quelque peu la douleur qui la torturait. Elles pédalèrent ainsi pendant un moment. L’adolescente commençait à haleter, d’une part à cause de l’exercice, mais aussi et surtout à cause du gros godemiché fixé sur sa selle. L’exercice la forçait à conserver l’engin inséré de quelques centimètres à l’entrée de son vagin et chaque coup de pédale le faisait coulisser un peu plus librement dans son intimité. C’était un mouvement émoustillant et bientôt, le godemiché en plastique ruissela de sécrétions.
— Ok mesdames, nous sommes arrivées au sommet. Maintenant rassoyez-vous.
À bout de forces, Allie s’écroula sur le sexe en plastique qui pénétra profondément dans son vagin, la faisant gémir profondément.
— Hmhmhmmmmm.
Allez, on continue. Ça n’était pas si difficile. Se moqua la monitrice.
Le bassin de l’adolescente montait et descendait légèrement au rythme de ses coups de pédales. Elle escaladait activement la pente du plaisir, se servant adroitement du godemiché sanglé sur sa selle. Elle n’arrivait pas à croire avec quelle rapidité son vagin s’était lubrifié.
— Ok, maintenant plus vite.
La jeune fille accéléra le mouvement. L’humidité qui luisait sur ses cuisses les faisait glisser sur la selle de la bicyclette. Le sexe factice lui donnait l’impression de buter contre son utérus à chaque coup de pédale. Elle commença à perdre contrôle et la promenade à vélo devint une chevauchée sexuelle. La voix de l’instructrice lui parvenait de moins en moins. Elle ne pensait plus qu’au merveilleux plaisir que lui causait l’objet qui défonçait son sexe.
Elle ne réalisa pas que les participantes commençaient à la regarder étrangement et se mit à agiter son bassin de plus en plus furieusement en gémissant de plus en plus fort.
— Hmmm… ooohhh… Ahhhh…
Elle était tellement concentrée sur son plaisir qu’elle ne se rendit pas compte que le groupe cessait l’exercice et que les femmes descendaient de leurs bicyclettes pour se regrouper autour d’elle. Elle avait fermé les yeux et accentuait encore et encore le rythme de sa course vers l’orgasme. Chaque fois que ses fesses se plaquaient contre la selle, son cadenas s’écrasait contre son clitoris, lui occasionnant une décharge de plaisir.
— OOOOHHH MON DIEU !!! S’écria-t-elle.
Elle était en plein sprint vers la délivrance.
— AAAAHHHH ! HHHHMMM !!! OOOOOOHHHHOOOUUUIIIIIIII !!!!!
Elle jouit en écrasant furieusement le cadenas contre son clitoris. Ses mains s’agrippaient convulsivement au guidon
pendant que la bicyclette tremblait violemment pendant toute la durée de l’orgasme dévastateur qui parcourait son corps.
Elle perdit connaissance et se
mit à glisser de son vélo, le sexe gluant s’échappa de son sexe et plusieurs femmes durent la retenir afin d’éviter qu’elle ne chute sur le sol.
La raclée que Nicole lui administra le soir même fut proportionnelle au scandale qu’elle avait causé. Allie était sûre que Nicole se délectait de cet esclandre, et particulièrement parce que ça lui donnait une occasion de fouetter sa petite esclave.
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