Au retour de week-end de Sarah, j’eu la surprise de la voir accompagnée de sa mère, qui me demanda une entrevue immédiate.
Je la fis attendre quelques minutes pour le principe et je la fis entrer avec sa fille.
Sarah portait la tenue réglementaire de l’école et je ne doutais pas qu’elle portait maintenant aussi les sous-vêtements prescrits, tout indécents quels les jugeaient !
La mère était vêtue d’un tailleur strict, la jupe lui tombant sagement au-dessus des genoux. C’était une superbe rousse à la crinière fournie, bien en chair sans être en surpoids, avec des hanches charnues et une poitrine opulente. On sentait la femme qui avait eu plusieurs maternités mais qui avait fait des efforts pour rester belle.
Merci de m’avoir reçue si rapidement Madame la Directrice, me dit-elle de but en blanc.
Mais c’est bien normal Mme Mc Cluskey! répondis-je.
Je serais directe avec vous Madame : Sarah m’a avoué les punitions qu’elle a reçues en fin de semaine dernière, en vue de me demander de quitter votre école.
Voyez-vous ça ! . . . Elle a sans doute été plus rapide sur les causes de ces punitions ! Et suite à cet aveu vous souhaitez la retirer ?
Mme Mc Cluskey était visiblement interpellée.
Mais pas du tout Madame ! Mon mari et moi-même avons inscrits Sarah en connaissance de cause dans votre établissement ! Ma sœur nous avait clairement expliquée que l’on ne transigeait pas avec la discipline ici ! Nous avons signés la décharge qui vous donnait toute licence pour les punitions.
Je souris intérieurement, l’entretien se présentait très bien.
Personnellement, je trouve que vous avez été un peu dure, mais peu importe, vous êtes seule juge ! Je suis ici pour que Sarah ne se fasse pas d’illusions : mon mari et moi-même soutenons l’équipe pédagogique et ses méthodes sans réserves ! J’ai été scandalisée de la conduite de Sarah . . . vous détenez l’autorité dans cet établissement et elle vous doit respect et obéissance ! J’ai profondément honte et je suis consciente que Sarah a besoin de la plus grande discipline !
La jeune fille ravala un sanglot, tout espoir de retourner dans son ancien établissement brisé.
Je vous en remercie. L’équipe pédagogique de cet établissement a besoin du soutien des parents dans son action. Nos plus grandes difficultés viennent souvent du manque de relais de notre action dans les familles !
La rouquine piqua un fard.
Vous me dites que vous étiez fixée sur les méthodes de notre établissement grâce à votre sœur ?
Oui, Beth Mc Callagan.
Ah oui, je la remets !
Effectivement, à partir du moment où elle me donna son nom d’épouse, je la remis très bien. Elle avait inscrit sa fille chez nous sur les conseils d’une amie en nous recommandant la plus extrême rigueur. Elle était elle-même adepte d’une éducation stricte à base de punitions corporelles humiliantes et il a donc été assez facile de prendre en main sa fille.
Je saisi la perche de suite.
Oui, sa fille était un cas assez difficile mais nous avons réussis à redresser la barre grâce à la vigilance de votre sœur au sein de la famille! . . . je ne vous cache pas que je ne vous sens pas aussi énergique mais un peu plus laxiste !
. . . Je le crains madame . . . j’ai lâchée trop la bride à mes enfants . . .
C’est en effet regrettable . . . je comprends mieux l’état de délabrement moral de votre fille Mme Mc Cluskey.
Elle rougit de plus belle.
J’ai toujours manqué d’autorité et préféré les méthodes douces, la persuasion.
Ce qui fonctionne rarement avec les adolescentes d’aujourd’hui et le mépris pour toute autorité qui marque notre époque et qu’elles ne savent pas gérer !
Oui . . . je suis d’accord Madame . . . c’est pour cela que je m’en remets à vous totalement.
Je réfléchi à toute vitesse et vis une opportunité originale.
Je vous en remercie Mme Mc Cluskey, mais je vais devoir refuser de donner suite à cette confiance car en l’absence de relais familial à notre pédagogie le cas de Sarah est visiblement désespéré et je ne voudrai pas qu’une pomme pourrie gangrène tout le panier !
La mère de Sarah était saisit et sa fille visiblement soulagée.
Madame Marx, je vous en prie, Sarah a besoin de votre aide! . . . D’autant que je n’ai pas votre volonté, ni celle de ma sœur !
Je fis mine de réfléchir.
Est-ce que vous travaillez Mme Mc Cluskey ?
Non je suis femme au foyer
Bien . . . dans ce cas, j’accepte que Sarah puisse continuer sa scolarité chez nous . . .
OH merci . . .
Mais à une condition . . .
Laquelle ?
Que vous vous formiez aussi chez nous à être une éducatrice irréprochable et intraitable . . . comme l’est votre sœur!
Sur ce, la sonnerie retentit.
Je me tournai vers Sarah :
Allez en cours petite péronnelle, nous reparleront de votre fourberie plus tard !
Sarah ne demanda pas son reste et partit en cours.
Alors . . . Marion, que décidez-vous ?
Marion Mc Cluskey était sur les chardons ardents. Elle était intiment convaincue que Sarah avait besoin de discipline mais de là à accepter mon offre, il y avait un pas . . . !
Mais elle se décida à sauter le pas pour le bien de sa fille.
J’accepte Madame Marx .
Bien ! Vous ne pouviez pas le savoir, mais pour les employés de l’école, c’est toujours Madame ou Madame la Directrice ! De plus je dois vous préciser que la discipline et la rigueur qui s’impose à nos élèves s’impose aussi aux employés ! La seule différence, c’est que je ne vous punirai pas devant une élève pour sauvegarder votre autorité !
Marion déglutit, mais ne dit rien.
Bien, nous allons d’ailleurs commencer par une punition afin de sanctionner des années de laxisme et vous donner un aperçu de ce qui vous attend si vous ne prenez pas vos responsabilités à cœur ! . . . déshabillez-vous !
Nue, madame ?, demanda Marion, visiblement choquée.
Bien entendu ! les punitions ne s’appliquent pas autrement !
Madame la Directrice, je suis catholique pratiquante . . . je pourrai relever simplement ma jupe . . .
Totalement nue Marion !
Marion se leva et enleva avec réticence sa veste dévoilant un chemisier blanc.
Elle enleva ensuite ses chaussures puis sa jupe qui tomba a ses pieds, dévoilant ses jambes gainées de bas couleur chair. Ses cuisses étaient en effet charnues, mais agréables à regarder.
Elle enleva ses bas, libérant ses jambes et sa culotte blanche de grand-mère !
Elle enleva son chemisier, dévoilant un soutien-gorge assortit à la culotte, mais dénudant un ventre encore plat !
Puis vint le plus difficile : elle dégrafa son soutien-gorge, libérant 2 superbes seins lourds aux larges aréoles roses et aux grosses tétines, puis sa culotte, exhibant une chatte recouverte d’une toison rousse abondante mais qui laissait deviner des lèvres proéminentes et un cul aux fesses charnues. Un corps aux appâts de salope en puissance qu’il fallait aider à s’épanouir !
Marion se couvrit pudiquement les seins d’une main et le sexe de l’autre !
Vous êtes encore une superbe femelle, Marion, pour votre âge !, lui lançais-je. Monsieur Mc Cluskey ne doit pas s’ennuyer !
Elle rougit jusqu’aux oreilles.
Parfait ! Mains contre le mur, à l’équerre, cuisses bien écartées !
Marion se dirigeât vers le mur face au bureau, posa ses mains dessus puis recula pour pouvoir se baisser et se mettre à l’équerre. Ravalant un sanglot, elle écarta les cuisses, consciente qu’elle m’exposait sa chatte.
Je me levai et pris paddle dans un tiroir de mon bureau. Un paddle un peu spécial, bien épais, couvert de gros piquots, que je coinçais sous mon bras droit.
Je pris position à côté de la mère de Sarah et pris ses fesses à pleines mains, les malaxant, les triturant, les écartant pour dévoiler la raie et la pastille rose et la vulve offerte.
Comme vous le voyez Marion, avant d’administrer une punition, il faut repérer le terrain, en prendre possession . . .
Je palpai les cuisses sans vergogne, claquant les fesses de temps en temps afin de tester leur élasticité.
Je repris ensuite en main le paddle et envoyait le 1er coup en pleines fesses. Comme prévu, le paddle frappa sur la totalité des fesses, les piquots pénétrants bien dans les chairs
Marion hurla de douleur
Un peu douillette !
Je recommençai, prenant le rythme.
Marion hurlait mais gardait la position.
Au bout de 10 coups, le cul était rouge vif, strié de marques par les morsures des piquots. La dame marquait facilement, comme toutes les rousses.
C’était suffisant . . . pour aujourd’hui.
Comme vous devez le savoir Marion, une bonne punition pour être efficace, doit marquer la mémoire, doit faire mal, très mal, mais aussi être humiliante. C’est pour cela que les punitions sont données nues et souvent en public. Mais sur ce dernier point, nous devons déroger pour sauvegarder votre autorité. Que faire pour compenser ?
Je laissai le silence s’installer.
Marion haletait.
Comment humilier une fervente catholique comme vous Marion ?
La mère de Sarah ne répondit pas.
Et bien je sais ! Vous allez me lécher la chatte pour me remercier !
Marion qui avait gardé sa position se releva d’un coup en reculant.
Non Madame ! Je ne peux pas ! C’est trop dégoutant !
Voyez-vous ça ! . . . Mon idée est donc excellente ! . . . Ce n’est pas compliqué Marion . . . ou vous acceptez votre punition . . . ou vous devrez trouver une autre école pour Sarah . . . en espérant qu’elle soit capable de gérer ses perversions !
Marion blêmit.
Oh Madame, je vous en prie . . .
Vous souhaitez peut-être que je convie en plus au spectacle certains de vos collègues . . .
Non, Non Madame . . .
Elle s’avança enfin.
Je laissai tomber ma jupe, dévoilant ma chatte nue.
Elle s’agenouilla devant moi, tête à hauteur de ma moule.
Elle ne se décidait pas à attaquer. Je n’en pouvais plus.
Je la saisi à 2 mains par la tête et lui plaqua le visage sur ma chatte lui frottant la bouche contre mes lèvres et mon clito
Bouffe salope !
Elle se mit enfin à lécher et sucer le clito
Pour une 1ere ce n’était pas trop mal
Excitée, je jouie très vite sur son visage.
Je la libérai et remis ma jupe.
Parfait Marion . . . vous léchez comme une gouine . . . j ‘espère que vous avez bien honte de vous !
Oui Madame, oui
Bien, nous allons donc vous mettre en tenue pour votre prise de poste
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