Je me suis dirigée vers le placard de mon bureau et je l’ouvris.
Les tenues étaient pour moi et elles allaient être un peu serrées pour Marion, mais ce n’était pas plus mal.
"Je vais vous prêter une tenue pour cette journée, mais ensuite ce sera à vous de vous vêtir conformément à votre fonction !"
"Oui madame"
"Tout d’abord en sortant de mon bureau, vous passerez à l’infirmerie pour vous faire épiler totalement, raie et chatte, ça déborde de partout et ce n’est pas hygiénique !"
" . . . mais que va dire mon mari Madame la directrice?"
"Et bien vous lui direz la vérité ou que c’est pour lui !""
". . . bien madame la directrice"
"Ensuite, plus question de ces tenues de grands-mères ! Vous mettrez de vrais bas avec portes jarretelles ou des bas mi-cuisses ou rien, une culotte laissant les fesses dégagées ou rien, et vos seins tiennent très bien, inutile de mettre un soutien-gorge !"
". . . mais Madame la directrice, je vais avoir l’air d’une pute !"
"Mais non ! D’une femme sûre d’elle-même et de sa féminité, capable d’en imposer à ces petites pestes !"
Je sortis une paire de bottes noires à hauts talons de 10 cm et les lui tendis.
"Mettez-les !"
Elle obtempéra.
Comme attendu, les bottes la grandissait et l’amincissait.
Je lui tendis une mini-jupe noire en stretch, qu’elle enfila.
Elle dut se contorsionner pour y entrer. La mini-jupe lui moulait le cul comme une seconde peau et lui tombait ras des fesses.
Entre les bottes et la mini-jupe noire, on ne voyait que ses cuisses blanches qui ressortaient de façon indécente.
"Comme vous n’avez pas de culotte digne de ce nom, vous n’en porterez pas aujourd’hui."
Je sortis ensuite un corset en stretch noir, le posait sur son torse et nouait les liens dans son dos. Le corset la moulait aussi comme une seconde peau et la couvrait de la jupe aux seins, qu’ils compressaient et faisaient pigeonner outrageusement laissant même deviner les mamelons roses.
"Madame . . . je suis obscène !"
"Mais non Marion ! Cette tenue met vos charmes opulents superbement en valeur! Vous allez réveiller les morts sur votre passage ! le plus important c’est de porter cette tenue avec assurance ! Les petites garces que vous allez éduquer n’attendent qu’un signe de faiblesse de votre part !"
Je la fis marcher dans le bureau pour qu’elle s’approprie sa tenue. La marche fut mal aisée au début, mais au bout de quelques minutes elle devint plus assurée . . . il faut dire que les bottes l’obligeait à se tenir bien droite ce qui faisait bien ressortir ses seins. Elle avait fière allure.
La voir déambuler me fit penser à une dernière touche.
Je pris une pince à cheveux, je m’approchai, je mis ses cheveux en queue de cheval et posa la pince.
Elle était superbe !
"Vous repasserez à mon bureau ce soir afin de vous changer, ce qui vous permettra de me faire un compte rendu de votre journée de discipline ! . . . Même si l’institut est quadrillé de caméra de surveillance, j’aime avoir des comptes rendus de vive voix afin de connaitre votre ressenti !"
"Oui madame la directrice."
"Si je ne suis pas satisfaite, vous serez de nouveau punie de la façon la plus humiliante possible !"
"Oui Madame la directrice . . . mais qu’elles sont mes fonctions ?"
"Vous êtes directrice adjointe et avez donc tous les droits sur nos élèves ! Votre travail pour l’instant est de patrouiller dans l’école afin de maintenir l’ordre et vous faire identifier et reconnaitre . . . de marquer votre territoire . . . sur les corps et les cervelles de ces petites garces! . . . A vous de vous faire connaitre !"
Marion obtempéra du chef, se dirigea vers la porte et sortit.
Une fois qu’elle eut franchi la porte, je m’assis à mon bureau, et ouvrit le logiciel sur mon ordinateur qui me permettait de me connecter aux caméras.
Je la vis marcher dans le couloir, cherchant l’infirmerie.
C’était l’intercours et les couloirs grouillaient de filles discutant entre-elles en attendant le cours suivant ou passant d’une salle à une autre.
La vue de l’altière Marion les intriguait visiblement, mais aucune d’entre elle n’osait l’aborder !
Il faut dire que la mère de Sarah présentait bien : elle marchait le dos droit, les hanches bien courbées, les seins projetés en avant, sure d’elle-même, le regard impérieux !
Je la vit subitement s’arrêter. Elle prit la direction des toilettes et entra.
Je basculai sur la caméra intérieure des toilettes et mit le son.
Ma nouvelle directrice adjointe fût visiblement surprise par la configuration des lieux : la salle était spacieuse, propre, carrelée de blanc, avec de nombreux lavabos, mais les toilettes étaient à la turc, sans cabines !
Comme je dirige une école pour jeunes filles, je n’ai en effet pas vue l’intérêt de faire de frais supplémentaires à ce titre ! Et puis, c’était une façon supplémentaire de marquer la différence de rang entre élèves et enseignants, qui eux, avaient droit à des cabines individuelles.
A côté de chaque toilette, il y avait une paterne pour que les filles puissent y accrocher leur veste, mais aussi leur jupe et leur culotte.
En effet, elles étaient bien placées pour savoir que le règlement exigeait qu’elle conserve leur uniforme immaculé, et elles avaient vite compris, après quelques incidents sévèrement réprimés il est vrai, qu’il était plus prudent d’enlever le bas de l’uniforme en allant uriner ou déféquer.
Marion scruta les lieux et vit une fille accroupie, cul, chatte et cuisses à l’air. Elle était entourée de 3 filles, dont l’une avait un papier à la main.
« Qui a lancé cette insulte ? », tonna la rouquine.
Elle entrait décidément à fonds dans son rôle ! . . . Le fait que je lui ai dit que j’allai l’espionner ne devait pas y être pour rien !
Les filles sursautèrent.
Celle avec la feuille de papier prit la parole.
« C’est Sarah Mc Cluskey, Madame! Elle nous a traités de sales gouines! », dit-elle en désignant la fille accroupie.
Celle-ci se releva d’un bond, tel un ressort.
Marion eu visiblement un choc en reconnaissant sa fille.
Quel coup du sort ! J’avoue que j’étais aux anges !
L’adolescente s’apprêtait à prendre la parole en bégayant.
« Sors de la petite gourde ! Qu’est-ce que c’est que cette vulgarité jeune fille ? », lança Marion en se reprenant.
Sarah sortit da carré de toilette, exposant son imposant fessier et sa chatte appétissante à toutes.
« C’est à cause d’elles . . . elles veulent me faire inscrire au club de lesbiennes mam . . . », commença à répondre Sarah.
« Madame !, petite gourde », coupa Marion avant que Sarah n’ai terminée par l’appeler Maman.
« Réaction intéressessante » !, ai-je de suite noté. Il est vrai que si l’on savait que Sarah était sa fille, sa position serait plus délicate . . . elle devrait être encore plus intransigeante pour ne pas être accusée de favoritisme ! . . . A ne ps oublier !
« Oui . . . Madame », se reprit l’adolescente.
« Et alors ? », demanda Marion, implacable.
« Je ne suis pas lesbienne, Madame. Ça ne m’intéresse pas. Je leur ai dit, mais elles ne me laissaient pas tranquille. »
Marion se tourna vers la fille avec le papier.
Une très jolie petite blonde, aux cheveux mi- longs qui lui tombaient sur les épaules.
« C’est que Sarah n’est pas encore inscrite à un club Madame et Madame la Directrice tient à ce que chaque élève le soit ! C’était dans son intérêt ! Et en plus, on peut s’inscrire en tant qu’hétéro, uniquement pour s’instruire et s’informer ! », répondit la blonde.
Son nom me revint ! Raquel Bauer. Une petite pétasse de bonne famille, mais avec un bon potentiel de sadique.
Marion prit le papier en main et le lu.
« C’est le formulaire d’inscription ? »
La blonde opina du chef.
« Je vois qu’on peut s’inscrire en tant qu’hétéro, dominante, soumise ou mascotte. Pour les 3 premières, je vois à quoi ça correspond, mais la 3eme ? »
«La mascotte est la soumise de tous les membres, dominantes et soumises . . . la soumise n’est soumise qu’aux dominantes Madame ! »
«Et vous en avez beaucoup de mascottes en ce moment ? »
« Encore aucune, Madame ! »
Marion était pensive. Parfois son regard trainait sur les murs ou le plafond . . . elle cherchait les caméras ! La petite curieuse !
« Voilà qui est incompréhensible ! . . . Ça me semble pourtant le meilleur moyen pour découvrir tous les aspects du lesbianisme ! », finit-elle par lancer.
Raquel sourit à pleines dents.
« En effet Madame ! Et connaitre le lesbianisme est essentiel, même si on n’est pas lesbiennes ! Je dirai même surtout ! Car comment être tolérante avec quelque chose que l’on ne connait pas ! . . . Et si on n’est pas lesbienne, le seul moyen de découvrir tous les aspects du lesbianisme, c’est d’y être obligée, de ne pas pouvoir se dérober, sinon on prend n’importe quel prétexte pour arrêter ! . . . Mais tout le monde n’est pas de mon avis ! »
« Et c’est bien regrettable, car c’est tout à fait sensée Melle ! », répliqua Marion.
« Raquel, Madame »
Marion se tourna vers Sarah, visiblement de plus en plus inquiète de la tournure des évènements.
«Et bien jeune fille, avant toute chose, nous allons vous faire prendre conscience de votre stupidité : vous aviez l’occasion de vous inscrire en tant qu’hétéro à ce club de découverte . . . et vous allez devoir le faire en tant que mascotte ! »
Les 3 lesbiennes du club sourirent à pleines dents à cette annonce : elles n’en attendaient visiblement pas tant, même si je n’ai pas cru un seul instant qu’elles allaient se contenter que Sarah soit une simple spectatrice en tant qu’hétéro une fois au club !
« Oh . . . non . . .mam . . . », commença Sarah
« Silence petite gourde ! Je ne veux entendre que -oui Madame- ou nous allons de ce pas dans le bureau de Mme la directrice afin qu’elle soigne comme il le faut votre vulgarité et votre désobéissance ! », la coupa sa mère.
Les larmes coulèrent sur les joues de l’adolescente qui réprimait ses sanglots, mais elle se tu. Sous le choc, son opulente poitrine se soulevait et retombait délicieusement.
« Oui . . . Madame », finit par dire la petite.
A cet acquiescement, les 3 lesbiennes regardèrent la chatte et le cul à l’air de Sarah d’une façon toute différente ! Encore un peu et elles allaient saliver les garces !
« Bien, faites remplir le formulaire Raquel ! », ordonna Marion
La blonde posa le formulaire sur un lavabo et tendit un stylo à Sarah.
L’adolescente s’avança, prit le stylo en main, et renseigna son prénom, son nom, et sa classe.
Au moment de cocher « mascotte », elle hésita.
« Oh pitié Madame, je ne serai plus jamais vulgaire ! »
«Remplissez, petite sotte ! »
La jeune fille cocha, mais s’arrêta au moment de signer.
Elle trépignait de la plus adorable des façons.
« Oh non . . . . Je ne peux pas . . . c’est si sale de faire l’amour avec des filles !
Raquel posa sa main droite sur son cul et se mit à le caresser, comme pour la rassurer.
« Allez, signe Sarah . . . Madame la directrice adjointe te l’ordonne . . . et on va bien t’éduquer . . . »
Sarah sursauta à la caresse et s’écarta.
« NON ! Je ne peux pas ! »
Marion s’avança et lui décocha une claque retentissante.
«Petite bécasse ! Vulgaire et désobéissante ! Et bien non seulement tu seras une mascotte, mais tu ne pourras quitter le club que sur décision des dominatrices du club, qui seront seules à pouvoir décider si tu es assez au fait de tous les aspects du lesbianisme. Et pour être certaine qu’il n’y ait pas de doute sur ton éducation, il faudra bien l’unanimité des dominatrices ! . . . Alors maintenant signe, à moins que tu ne veuille encore plus de contraintes !
Sarah éclata franchement en sanglots. Mais elle commençait à connaitre l’institution, et savait maintenant qu’elle n’avait aucun secours à attendre de sa mère . . . . elle signa donc d’une main tremblante.
« Quand vous dites - tous les aspects du lesbianisme- Madame, vous voulez bien dire tous ? Car il y a des aspects assez hard, comme le BDSM, ou encore plus . . . crad. », dit la blonde.
Marion eut une hésitation, mais prit vite sur elle.
« C’est bien une mascotte non ? »
Les 3 filles sourirent de plus belles.
« Bon, et bien voilà ce problème d’inscription réglée ! », s’exclama Marion. Nous allons pouvoir passer à la punition ! »
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