Chapitre 23: Tatouages 1
Allie se réveilla avec le bras de Nicole en travers de son buste. Elle avait du mal à se souvenir de la dernière fois qu’elle avait dormi dans un lit. Est-ce que ça remontait à des semaines ? Ou bien des mois ? Elle aprécia son confort et la sensation du corps de Nicole, nue contre son dos.
Alors la douleur se réveilla.
Ses poignets la faisaient souffrir, à force d’avoir été attachés à la tête du lit et les marques sur ses fesses la cuisaient, mais le souvenir du plaisir qu’elle
avait éprouvé la nuit dernière était encore plus fort que toutes les misères qu’elle pouvait ressentir.
À ce souvenir, son sexe se mit à mouiller.
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Après qu’elle soit rentré à la maison, Nicole l’avait harcelé pour qu’elle lui raconte comment ça s’était passé. Elle avait tout raconté dans les détails :
Maîtresse Alex et sa fille Lauren, comment elle avait été forcée à donner du plaisir à l’adolescente récalcitrante, comment elle l’avait préparée à devenir une bonne petite fiancée lesbienne.
Nicole avait paru très satisfaite de sa perfomance et de la façon dont elle avait obéi à Maîtresse Alex.
Elles regagnaient la chambre pour se coucher, Allie sur le sol et Nicole dans le lit, quand Nicole l’avait arrêtée et lui avait demandé combien de femmes elle avait
sucé ce jour. Habituellement elle dépassait facilement les trois imposées, arrivant même assez souvent à cinq ou six mais aujourd’hui… Le service pour lequel elle avait été vendue n’en comprenait
qu’une.Nicole lui jeta un regard assassin. Allie se défendit en prétextant que ça n’était pas de sa faute, qu’elle n’avait pas eu d’autre opportunité. Le revers de la main de Nicole contre sa
joue la projeta sur le sol.
— Il y a toujours une possibilité.
Elle se redressa, surplombant l’adolescente entièrement nue de toute sa hauteur. Agrippant l’anneau du collier qu’elle avait autour du cou et le tira méchament.
— Et d’après toi quelle devrait être ta punition pour avoir désobéi à la règle numéro trois ?
— Je vous en prie Maîtresse, rien. J’ai été gentille, j’ai fait mon possible pour faire tout ce qu’on me demandait.
Allie commença à pleurer. Elle s’agenouilla aux pieds de sa Maîtresse et entoura ses bras autour de ses jambes vêtues d’un superbe pantalon en soie.
— Les règles sont claires ma petite lécheuse de chatte, même si je te permets de compter l’adorable petite foufoune de Josie ce matin, il t’en manque quand même une.
Nicole adressa un sourire carnassier à son jouet préféré. Elle attrapa l’adolescente par les cheveux, s’assura que sa prise était suffisament ferme et commença à traîner la jeune fille suppliante et pleurant de toutes ses larmes à travers la chambre.
— Je pensais avoir été suffisamment claire sur les règles. Tu dois les suivre "à la lettre". Masturbation tous les matins au réveil. Épilation intégrale. Respect inconditionnel envers tes supérieures et trois chattes par jour. Tout ça est très important pour ton éducation.
Un sourire condescendant sur les lèvres, Nicole parlait lentement, détachant ses syllabes pour accentuer ses paroles, tout en tirant l’adolescente qui faisait son possible pour échapper à son châtiment.
— Tu aurais du plaider ta cause auprès de Maîtresse Alex, tu aurais du lui expliquer ta situation, je suis sûre qu’elle t’aurait autorisée à sucer une autre paire de chattes.
Elle propulsa la jeune fille par-terre. Allie s’écroula, prostrée, en sanglotant. Nicole se lécha les lèvres, Allie paraissait si vulnérable. Elle mourait d’envie de la prendre sans délai. Lentement, Nicole déboutonna son pantalon et le fit glisser sur ses jambes. Elle baissa sa culotte noire et enjamba l’adolescente en pleurs.
— Retourne-toi et agenouille-toi immédiatement !
Allie se retourna et vit sa Maîtresse au-dessus d’elle, toujours aussi majestueuse avec son entrecuisse luisant d’excitation, prête à être servie. Elle obéit rapidement et enfouit son visage entre les cuisses de sa dominatrice, léchant furieusement, espérant que si elle satisfaisait suffisamment sa Maîtresse, sa punition serait plus légère.
— Bordel, petite pute ! Hurla Nicole. — Tu sais vraiment comment bouffer une chatte maintenant.
Allie poussa sa langue la plus profondément possible au cœur de l’intimité de sa Maîtresse. Elle lécha, suça, aspira les chairs, se régala de la saveur du vagin qu’elle était forcée de vénérer. Elle mordilla le clitoris, faisant pousser un cri de bonheur à sa dominatrice au moment ou l’orgasme la submergeait. Celle-ci écrasa sa tête entre ses cuisses et s’agenouilla de part et d’autre de sa tête, la chevauchant comme s’il ne s’était agit que d’un vulgaire objet sexuel, la clouant contre le sol à l’aide de son sexe, écrasant le visage de l’adolescente, dirigeant elle-même son orgasme contre la langue de l’adolescente.
— BORDEL !! Hmmmm !!!
Elle grogna pendant que les vagues de plaisir parcouraient son corps. Elle adorait maltraiter sa petite salope soumise.
Nicole reprit lentement ses esprits et se dégagea de l’adolescente, s’étendant contre elle de façon à ce que son sexe trempé repose contre l’entrecuisse imberbe de l’adolescente. Elle prit sa tête entre ses mains et se mit à embrasser son adorable visage souillé par les sécretions. En état de choc, Allie ne se déroba pas aux baisers délicats de sa Maîtresse. Il fallut que leurs lèvres se soudent pour qu’elle rende le baiser, d’abord timidement, puis passionnément lorsque la main gauche de Nicole glisse entre leurs deux corps, puis entre ses jambes. Elle poussa un gémissement lorsque les doigts impérieux s’emparèrent de son sexe trempé.
Elle écarta ses jambes et se concentra sur les sensations incomparables que lui procurait sa Maîtresse.
— Ouais, tu y es presque ma petite, supplie-moi de te faire jouir.
Elle la pénétra, enfonçant entièrement son majeur entre les parois lubrifiées par le plaisir, écrasant le cadenas contre son clitoris.
— Adjure-moi de te faire prendre ton pied, petite salope.
Nicole s’écarta un peu, prit appui sur son coude et regarda l’adolescente fermer ses adorables yeux et commencer à gémir.
— Hmm Maîtresse, Oh ! OOh! OOH !! Maîtresse !!! Hmmmmm.
Allie releva ses jambes, mit ses mains derrière ses genoux et écarta les cuisses au maximum de ses possibilités, s’ouvrant comme un livre, faisant preuve de toute la souplesse que lui conférait son âge, livrant toute son intimité à Nicole.
— OOOHH !!! MAÎTRESSE !!! S’il vous plait ! Est-ce que je peux jouir s’il vous plait !
Nicole ne répondit pas, se contentant de continuer à pistonner lentement le sexe de l’adolescente.
— S’IL VOUS PLAIT MAITRESSE !!!! Hmmmm !!! OOOOHHHHH JE VOUS EN PRIE MAÎTRESSE !!!! HMMMMMM !!!
Nicole introduisit un deuxième doigt dans la gaine qui se contractait spasmodiquement. Un clapotis accompagnait le mouvement de ses doigts à l’intérieur du sexe détrempé.
— HHHHMMMMM !!! Maîtresse ! OOOHHHH !!! Maîtresse, MAÎTRRRESSSE !!!!!! AAAAHHHHH !!!
Et un orgasme d’une violence inouie la poussa au paroxisme du plaisir. Un orgasme qui semblait ne jamais vouloir finir ; elle attrapa les bras de sa Maîtresse et s’en servit comme point d’appui pour agiter son bassin contre les doigts qui lui donnaient ce plaisir si violent.
Nicole se s’extirpa de l’adolescente agitée de derniers soubressauts et se releva. Elle se dirigea vers l’armoire placée contre la fenêtre. Elle y prit de la corde et revint près d’Allie qui gémissait toujours. Elle s’empara de ses poignets et les attacha rapidement ensemble. L’adolescente sortit ausstôt de sa torpeur.
Maîtresse ??? Non s’il vous plait ! Je vous en prie ! permettez-moi de vous lécher encore mais ne me punissez pas ! Je ferai tout ce que vous voudrez !
Mais elle ne se débattit pas, se contentant de renifler silencieusement.
— Jeune fille, non seulement tu as enfreint la règle numéro trois en ne bouffant pas ton quota de chattes aujourd’hui, mais pour couronner le tout, tu viens de jouir sans ma permission…
Tirant sur la corde, elle la la tira jusqu’à la tête du lit et y attacha ses poignets.
— Je pense que tu as besoin que je te rafraichisse un peu la mémoire en ce qui concerne ta condition dans ce monde.
Abandonnant l’adolescente prostrée au pied du lit, elle retourna à l’armoire devant laquelle elle resta un moment, étudiant son contenu et ignornant les plaintes d’Allie. Elle sourit en voyant le godemiché-ceinture que Betsy lui avait offert tant de semaines auparavant et l’enfila. Elle adorait ce moment. Puis elle s’empara de son instrument de coercition préféré, une cravache d’environ un mètre vingt de long, facile à manier, très cinglante qui n’occasionnait pas facilement des blessures permanentes. Elle ôta son chemisier en soie et la suspendit à la porte de l’armoire. Puis elle revint vers sa victime agenouillée, avançant à petits pas pour faire durer son plaisir, s’amusant du sexe factice qui balançait obscènement sur son bas-ventre à chaque pas.
TCHAC !
Sans un avertissement, elle abattit la cravache sur les fesses de l’adolescente.
AAAIIIEEE ! Je vous en prie, Maîtresse, dites-moi ce que je peux faire !
CLAC !!
Elle frappa à nouveau les fesses d’Allie.
— AAIIE ! AAHH !! WOUAAAHHH !
À présent, l’adolescente pleurait à chaudes larmes.
— Je crois que tu mérites dix coups pour chaque chatte que tu n’as pas sucé aujourd’hui et dix coups supplémentaires pour avoir joui sans ma permission. Pour finir je veux que tu me supplie de te fouetter à chaque coup si tu ne veux pas que je double la punition.
À ce moment, Allie avait parfaitement intégré les règles. Aussitôt, d’une petite voix, entre deux sanglots, elle supplia entre ses dents serrées :
— S’il vous plait Maîtresse cravachez-moi.
TCHAC !
— AAIIE ! UN ! S’il vous plait Maîtresse, cravachez-moi.
TCHAC !
La punition continua jusqu’à ce qu’elles aient atteint dix coups.
— C’est bien ma fille, c’était la première partie de ta punition.
Et Nicole enjamba les fesses de l’adolescente, présenta le sexe factice à l’entrée du vagin et poussa.
— Nous allons agrémenter la punition avec un petit plaisir entre chaque session. Je tiens absolument à ce que tu apprécies cette expérience puisqu’une grande partie de ta vie consiste dans les punitions, c’est la moindre des choses de la part d’une esclave.
Le sexe de l’adolescente était encore lubrifié par les manipulations de sa Maîtresse, aussi Nicole la pénétra aisément et commença à aller et venir fermement, propulsant le corps entravé de la jeune fille contre le matelas à chaque poussée.
— Souviens-toi ma fille, la prochaine fois que tu seras sur le point de jouir, demande-moi la permission auparavant, il ne faudrait pas que je sois obligée d’augmenter le nombre de coups encore une fois.
Allie s’arque-bouta dans les cordes reliant ses poignets au lit et s’offrit aux coups de reins de sa Maîtresse, accueillant le sexe factice qui la pilonnait profondément dans son sexe. À chaque poussée, elle se sentait glisser vers l’orgasme. Bientôt, elle accompagnait le mouvement en plaquant son dos contre le bas-ventre de Nicole.
— Hmmm ! Oh ! OOOH ! MMMMH ! Maîtresse… HHHMMMM !
Nicole sentit l’adolescente se tendre, son dos s’arquer.
— Je vais jouir Maîtresse, s’il vous plait… hhhmmm !
C’est le moment que Nicole choisit pour se retirer.
— Pas encore petite chienne.
Allie grogna de frustration :
— Non, s’il vous plait Maîtresse ! Continuez à me baiser !
La frustration était telle qu’elle avait encore plus arqué son dos, comme pour aller à la rencontre du plaisir qui lui était refusé. Le contact avec le bout de la cravache lui fit reprendre sa position. L’adolescente se crispa et serra les dents.
— S’il vous plait Maîtresse, cravachez-moi !
— Brave fille !
CLAC !
— OUAAAIIIIE !!! UN ! S’il vous plait Maîtresse, cravachez-moi.
Les larmes se remirent à couler sur les joues de l’adolescente.
— TCHAC !
— AIIE-AAIIE-AAAIIIE ! DEUX ! MMhh… S’il vous plait Maîtresse, cravachez-moi !
À nouveau, Nicole frappa son esclave dix fois, dix coups cinglants qui la firent hurler, avant de la prendre à nouveau en levrette, rapidement et violemment jusqu’à ce qu’elle soit sur le point de jouir. Puis, elle se retira une nouvelle fois, abandonnant la jeune fille frustrée par le vide qu’elle ressentait, la suppliant de continuer à la pénétrer avec son phallus si dur et si bon.
De la sueur ruisselait sur son dos, la douleur et la frustration d’être abandonnée au bord de l’orgasme la rendait folle, elle souhaitait que la correction reprenne aussitôt pour endurer aussi vite que possible les dix coups afin que sa Maîtresse la pénètre encore avec son gros sexe bien dur.
— Maîtresse, cravachez-moi s’il vous plait.
TCHAC !
— Un, s’il vous plait Maîtresse, cravachez-moi !
À présent, elle ne criait plus, la douleur n’était plus qu’un passage obligé vers le plaisir, chaque coup de cravache la rapprochait de l’orgasme qu’elle espérait si intensément, chaque coup la rapprochait de la pénétration du merveilleux phallus de sa Maîtresse.
TCHAC !
— Ahhh… Deux, Maîtresse. S’il vous plait cravachez-moi.
CLAC !
La douleur était un passage incontournable vers la délivrance.
— Trois, Maîtresse, s’il vous plait cravachez-moi !
TCHAC !
— Ohhh… Quatre, Maîtresse cravachez-moi s’il vous plait !
Sa délivrance.
TCHAC !
— Cinq, Maîtresse, cravachez-moi s’il vous plait !
CLAC
— Six, Maîtresse s’il vous plait cravachez-moi !
À cet instant, les marques rouges s’entrecroisaient sur son dos.
TCHAC !
— MMHHH !! … Sept, Maîtresse s’il vous plait cravachez-moi !
Elle arqua son dos.
TCHAC !
— AHHHH !! … Huit, Maîtresse s’il vous plait cravachez-moi !
CLAC !
— NEUF !! Allie cria le numéro. NEUF, MAÎTRESSE S’IL VOUS PLAIT CRAVACHEZ-MOI !
Nicole était folle de désir en se repaissant de son esclave sexuelle entravée.
CLAC !
— DIX !
Nicole jeta la cravache et s’accroupit derrière l’adolescente, la pénétrant entièrement d’un mouvement doux mais ferme. Immédiatement, elle se mit à pistonner
violemment la jeune fille.
Allie hurla tant son extase était forte, de se faire empaler par sa Maîtresse.
Elle jouit presque instantannément, ses yeux roulaient dans ses orbites. Elle se mit à pendre dans ses liens, s’accrochant fermement à la corde qui la liait à la
tête du lit et se concentra sur les vagues de plaisir qui parcouraient son corps à chaque aller-retour du sexe en plastique.
Puis elle s’évanouit.
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Nicole s’était endormie sans quitter le godemiché. Elle se blotit contre le dos de l’adolescente et joua délicatement avec l’un de ses tétons, lui laissant le temps de bien sentir la pression de son phallus contre le bas de ses reins. Le sexe d’Allie s’humidifia encore plus. Elle pencha sa tête en arrière vers sa Maîtresse et l’embrassa de tout son cœur, y mettant une telle fougue qu’elle finit par la réveiller complètement.
— S’il vous plait Maîtresse, pénétrez-moi encore avec votre merveilleux sexe. Quémanda-t-elle en ouvrant ses jambes pour s’offrir.
Nicole sourit :
— C’est d’accord, ma petite salope préférée, comme tu veux.
Et elle attrapa l’objet et le réinséra à l’entrée du sexe de l’adolescente, força un peu jusqu’à ce que l’épais gland en caoutchouc jusqu’à ce qu’il fasse son
chemin. Elle l’enfonça d’une dizaine de centimètres et se mit à aller-et-venir délicatement. Elles continuèrent à se caliner et à faire l’amour pendant environ vingt minutes, chacune profitant de
l’autre à sa manière.
Finalement, Nicole chuchotta dans son oreille :
— Est-ce que tu as apprécié ta punition la nuit-dernière, ma petite pute adorée ?
Allie avait les paupières closes.
— Oui Maîtresse, vraiment.
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Conformément à l’ordre de sa Maîtresse, Allie était agenouillée, les genoux écartés, exhibant son petit cadenas qui pendait librement le long de son sexe. Ses fiers petits seins pointaient, mettant en valeur les petits anneaux qui les ornait et, comme d’habitude, un gadget en caoutchouc obstruait son anus.
— Tu te souviens de ça ma fille ?
Nicole tendit une feuille de papier à la jeune fille nue à ses pieds.
Allie y jeta un coup d’œil. C’était le document qu’elle avait eu comme cadeau pour son anniversaire. Il y était renseigné qu’elle avait droit à un tatouage gratuit. Son cœur fit un bon. Elle avait oublié ce présent singulier. Sans quitter sa position agenouillée, elle leva les yeux vers sa Maîtresse et lui rendit le document.
— Oui Maîtresse. Répondit-elle d’une toute petite voix.
Elle souriait mais au fond de son ventre, son estomac faisait des nœuds, redoutant la journée qui l’attendait et qui venait à peine de commencer.
— Non garde-la. Finalement, je me suis décidée pour un tatouage approprié… ou deux.
Elle eut un petit sourire diabolique vers sa "pupille".
— Je t’ai pris un rendez-vous dans une demi-heure. Il faut qu’on se presse si nous ne voulons pas être en retard.
Elle se pencha, attrapa Allie par la nuque et força ses lèvres contre les siennes, embrassant passionnément sa fille-objet. Allie rendit le baiser avidement tandis que sa Maîtresse s’emparait d’un des anneaux qui pendaient à ses tétons et se mettait à jouer avec lui. Nicole rompit le baiser et se leva en tirant sur l’anneau dans le même mouvement, étirant le téton douloureusement, puis elle sortit de la cuisine. Pour Allie, cela signifiait qu’il était temps de nettoyer les restes du petit-déjeuner puis d’aller mettre les vêtements de la journée que sa Maîtresse avait choisi pour elle. L’adolescente s’empressa de mettre la vaisselle dans le lave-vaisselle et trottina, toujours nue, vers son ancienne chambre.
Elle trouva une paire de caleçons blancs très légers posés sur le lit. Un débardeur tout simple, des chaussettes blanches et une paire de chaussures de tennis. Elle
commença par enfiler le caleçon. C’était un peu comme si elle ne portait rien, son sexe imberbe était presque aussi visible que s’il avait été nu, tant il était moulé par le vêtement léger. Allie
se dit que sa taille était au maximum du huit-ans pour la serrer autant, sans compter que le tissu était presque transparent. Il épousait les formes de ses fesses, révelant leurs courbes à qui
voudrait bien les regarder. Son caleçon descendait à peine en dessous de son entrejambe. Allie savait bien qu’il ne lui servirait à rien de discuter avec sa Maîtresse à propos de ce qu’elle était
supposée porter. Après tout, pour positiver, au moins elle ne l’obligeait pas à sortir entièrement nue…
Elle enfila le mini-débardeur. Le tissu était fait dans une matière rappelant celle des bas-résilles. Ses tétons et leurs anneaux étaient clairement visibles à la
lumière du jour. Elle se dépêcha de mettre les chaussettes et les chaussures.
— Allons-y petite chienne, ne soyons pas en retard.
L’adolescente s’avança sous le regard de se dominatrice qui la détaillait des pieds à la tête.
— Je te prendrai bien encore tout de suite et sur place, tu es si sexy.
Elle attira la jeune fille contre elle, forçant la jambe de son jean entre les cuisses de sa soumise et l’embrassa impérieusement sur la bouche, écrasant le
piercing contre son clitoris.
Allie haleta lorsque leurs lèvres se séparèrent, Nicole ne laissa pas reprendre ses esprits et la guida hors de la maison en lui prenant la main.
Une fois dans la voiture, elle ordonna à sa soumise de se caresser à travers son caleçon.
— Je veux que tu mouilles un maximum pendant le trajet jusqu’au salon.
Allie posa sa main sur son sexe et se mit à frotter lentement le petit cadenas. À l’usage, elle avait remarqué que le meilleur moyen et aussi le plus rapide pour se donner du plaisir était de caresser le piercing qui perçait le capuchon de son clitoris. Le tirer et lui donner de petites pichenettes l’excitait énormément, quel que soit le degré d’avilissement qu’elle subissait.
— Ecarte l’empiècement de ton short et mets-toi un doigt en même temps.
Allie s’empressa d’obéir, faisant pénétrer son index entre les tendres parois de son vagin, sans cesser de jouer avec son petit cadenas.
— Attention ! Interdiction de jouir tant que je ne t’y aurais pas autorisée.
Ouu… Ouuiii… Maîtresse. Répondit Allie.
Les manipulations auxquelles elle se livrait commençaient à la faire mouiller.
Elles arrivèrent au salon et Nicole se gara sur le parking réservé aux clients.
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