Lundi 21 septembre 1 21 /09 /Sep 22:03

Première chronique : Jenny, reporter

 

Jenny à 26 ans, elle est blonde, plutôt jolie. Elle est photo-reporter free-lance. Elle a tout fait, l'Iran, l'Irak, la Somalie, même la Corée du Nord. Là où il y a un dictateur, ou le peuple est tyrannisé, elle se rend au péril de sa vie pour prendre des images. Pour afficher à la face du monde les horreurs perpétrées par leur régime barbare.

 

Pourtant c'est ici, sur le sol américain, qu'elle est sur le point de percer à jour l'existence d'une secte tentaculaire qui s'étendrait dans tout le nord de l'Etat de Virginie. Après deux années d'investigations intensives, elle est parvenue à localiser l'une des hautes dirigeantes de cette organisation sous-terraine, Becky Lowell, surnommée "La Duchesse de Richmond". Et c'est avec l'intention d'en apprendre plus qu'elle s'introduit dans sa propriété isolée au nord de la ville.

 

Entrée en pleine journée, après le départ de sa cible, elle fouille un bureau et découvre des documents sur le réseau de cette organisation. C'est encore plus important que ce qu'elle croyait, cette révélation sera énorme…! Elle prend des photos, quand elle entend des bruits de pas dans les escaliers. Mince, elle n'a entendu personne entrer pourtant…! Il n'y a aucune cachette dans la pièce et impossible de fuir par la fenêtre. Jenny tente de se dissimuler derrière les portes qui s'ouvrent pour sortir dans le dos de la propriétaire des lieux, mais c'est peine perdue. Car la femme en question est accompagnée de quatre autres filles, qui ont tôt fait de la coincer.

 

La reporter crie et ordonne qu'on la laisse partir. Mais un coup violent dans l'estomac la faire taire et elle s'écroule au sol. Sa cible, la dénommée Becky Lowell, prend la parole.

 

Becky (toisant): Tu t'introduis dans ma propriété et tu crois que tu vas pouvoir en sortir aussi facilement…? Tu te goure sur toute la ligne ma petite.

 

Jenny (toussotant, les yeux rougies par la douleur): J'use de la liberté de la presse en étant ici. Vous devez me laisser partir, où les autorités de la ville sauront ce qui se passe ici. Je suis reporter, vous êtes prévenues…!

 

Becky: C'est bon, ramassez-là et asseyez-là sur une chaise.

 

Jenny pense leur avoir fait peur, elle se trompe.

 

Becky: Je sais très bien qui tu es; Jenny Barnes, 26 ans, née à Austin, photo-reporter engagée prête à violer la loi pour faire éclater la vérité au grand jour. Tu as même passé neuf semaines en captivité au Mexique en t'impliquant dans un trafic de traite de femmes. Je sais même que c'est là-bas que tu as entendu des rumeurs à propos de nous. Je connais bien ton travail, et je sais que c'est inutile de te menacer.

 

Jenny (écarquillant les yeux): Vous savez qui je suis…?

 

Becky: Tu crois être la seule à pouvoir enquêter…? Tu prends beaucoup de risques mais tu n'es pas très discrète. On t'a repéré y'a longtemps. Et quand on a compris qui tu étais, on t'a tendu ce petit piège.

 

Jenny: Me piéger…? Pourquoi faire, vous voulez me faire taire…?

 

Becky: Non ma chère, au contraire, je veux que tu ouvres ta bouche en grand. Pour venir honorer ta nouvelle Maîtresse la Duchesse pour commencer.

 

Becky donne l'ordre à ses subalternes et deux d'entre elles amènent Jenny à ses pieds pendant qu'elle dégrafe sa jupe et la laisse choir à terre, dévoilant un sexe nu à la toison finement entretenu à la blonde.

 

Jenny: Vous êtes cinglée…! Vous voulez quoi, que je vous bouffe la chatte…!? C'est hors de question, bande de malades…!

 

Becky (s'accroupissant devant elle): Tu ne comprends pas bien ta situation. Quand tu es entrée ici, tu as cessé d'exister pour le monde extérieur, et tu ne quitteras jamais ma propriété. Maintenant je vais te laisser choisir où je vais te garder. A mon service en tant que bonne chienne docile, ou enterrée dans les jardins pour servir d'engrais aux plantes…? C'est toi qui vois, petite.

 

La reporter est terrifiée mais elle se dit que morte, elle n'a plus aucune chance de s'échapper.

 

Jenny (versant des larmes de rages et de hontes): C'est d'accord, je vais vous lécher.

 

Becky (se relevant): Tu as fait le bon choix. Maintenant scelle ce pacte de soumission en venant honorer mon noble sexe. Et fait ça bien…!

 

Vaincue et humiliée, Jenny vient timidement poser sa bouche sur le sexe de sa nouvelle Duchesse, qui lui colle le nez dans sa touffe frisée d'une main plantée dans ses cheveux.

 

Becky (ordonnant): Suce-moi comme si t'as vie en dépendait….! Tiens, d'ailleurs, c'est le cas…!

 

La Duchesse de Richmond – un terme qui prend soudain tout son sens pour Jenny – éclate de rire. Jenny est maladroite, sa langue encore plus. Mais Becky mouille toujours beaucoup d'assujettir une nouvelle fille, et contre son gré encore plus. Alors elle laisse faire sa nouvelle petite blonde quelques minutes, jouissant de son pouvoir. Et sachant que Jenny n'a pas encore l'expérience requise pour la faire venir, elle agrippe plus fermement ses cheveux blonds et se sert de son visage comme celui d'une poupée sexuelle pour se faire jouir dessus.

 

La blonde subit, impuissante, les bras retenus dans le dos par les deux femmes qui ne l'ont pas lâché. Elle sent ses narines être envahis par l'odeur du sexe de l'autre femme à chaque respiration, quand son nez tout entier ne finit pas dans la chatte ruisselante de Becky, qui sur le point de jouir redouble d'efforts.

 

Becky (orgasmant): Oh putain….! Oh putain ma salope…! Oh oui je vais jouir….!! Je viens, je viennnns…!!!

 

L'orgasme qu'elle ressent est fort, elle vacille sur ses jambes, mais ses deux autres subalternes la soutiennent par les bras pour ne pas qu'elle chute. Becky peut donc finir d'étaler sa jouissance sur le visage collant de Jenny.

 

Les sécrétions qui recouvrent son visage ont été si importantes que les paupières de Jenny se retrouvent collées, engluées dans la cyprine visqueuse. Mais ce n'est rien comparé au goût du jus de chatte qui a envahis son palais. Jenny est sûre à cet instant qu'il faudra des jours pour que l'odeur imprimée sur sa langue disparaisse. Mais au moins la séance de torture est finit. Du moins, c'est ce qu'elle croit.

 

Becky: Maintenant jure-moi fidélité et obéissance devant témoins, à moi, la Duchesse de Richmond, désormais ta Maîtresse exclusive. Jure sur ta vie m'offrir ton corps et ton âme…!

 

La blonde sait que sa vie est en jeu. Les deux femmes qui la tiennent manquent de lui déboîter les épaules, ce qui finit de la décider.

 

Jenny (priant pour que ça ne recommence pas): Je jure…! Je jure sur ma vie que je vous obéirais, que je vous serais fidèle. Je le jure sur mon âme, sur mon corps. Je vous appartiens…! Je le jure Duchesse…!

 

Becky (satisfaite): Bien, maintenant que tu as juré et que tu as été bénie par ma jouissance, je te lave des pêchés de ta vie passée de mon eau, de ma purificatrice urine, et je te baptise comme mon enfant dans ta nouvelle vie de soumise.

 

La blonde n'en croit pas ses oreilles, et à travers ses yeux encore embués du jus de la femme à qui elle vient de jurer loyauté et appartenance, elle arrive à peine à voir la cascade du liquide doré et bouillant qui vient s'abattre furieusement sur sa figure.

 

La Duchesse jubile, ça c'est le vrai pouvoir…! Celui de changer l'humiliation en honneur, car elle le sait, les quatre autres femmes dans la pièce tueraient père et mère pour recevoir la douche suprême, à laquelle seules les favorites des souveraines ont encore droits après leur baptême. Jenny n'en ait pas encore là, mais ça viendra, Becky le sait. Pour l'heure, la blonde se sent avilie comme jamais. Une autre femme lui pisse dessus, et sur le visage…! Le liquide chaud mouille ses cheveux, éclabousse ses vêtements, et même s'il la débarrasse d'une bonne partie des sucs sexuels de sa tortionnaire, il lui brûle aussi les yeux.

 

La reporter remercie quand même le ciel de pouvoir fermer la bouche et respirer par le nez, se disant que le goût d'une chatte valait toujours mieux que celui de la pisse. Soulagée de ne pas en avoir avalé, et encore plus quand ça s'arrête, Jenny déchante quand elle entend l'ordre claquer.

 

Becky: Maintenant que je t'ai lavé, c'est à ton tour. Nettoie-moi avec ta langue, et applique-toi, que ce soit aussi propre qu'avant que je me salisse pour toi.

 

C'est est trop pour elle, plonger sa tête dans une minette poisseuse et encore gouttelante de pisse, au-delà de la raison, elle ne peut pas. Un signe de tête de la Duchesse et un violent coup de pieds dans les reins la font rapidement changer d'avis. Jenny étoufferait misérablement sa douleur écroulée sur le sol si on ne la tenait pas. Sa tête retrouve le sexe ruisselant de Becky et elle active sa langue pour laper le plus vite possible. Elle veut que ça s'arrête pour souffrir en paix. Alors elle lutte contre la nausée et le goût pas si atroce de l'urine dans sa bouche, le sens du goût en partie anesthésié par le jus de sa nouvelle Maîtresse. Quelques douloureuses pressions sur ses bras la font accélérer le mouvement, et Becky la repousse brusquement ensuite d'un geste de la main.

 

Becky: Ca suffit, mouchoir…!

 

La Duchesse attrape le mouchoir en tissu qu'on lui tend et s'essuie méticuleusement les reliquats de ses sécrétions. Le geste est prémédité. Plus longtemps, et Jenny la salirait avec son visage dégoutant. Surtout, en récupérer comme ça lui permet de faire un de ces présents qui font l'immense joie de ses subalternes. Et Becky sait qu'une étoffe réunissant sa mouille et son champagne est le cadeau le plus prisé de ces dames. Elle offre donc le bout de tissu à celle qu'elle estime la plus méritante. Les filles ne savent jamais quand c'est leur tour, et la fille qui le reçoit laisse éclater un grand sourire avec des étoiles dans les yeux, plus aimante que jamais envers sa souveraine. Les autres sont réduites à baver d'envie, jusque dans leur culottes.

 

Becky (refermant sa jupe): Te voilà devenue l'un de mes sujets, Jenny Barnes de Richmond. Tu apprendras les lois et les honneurs qu'impliquent ce privilège. Emmenez-là…!

 

"A vos ordres Duchesse. Devons-nous l'emmener dans la dépendance…?"

 

Becky: Non, celle-là me plaît. Installez-là dans mes quartiers.

 

 

C'est vrai, Jenny lui plaît. Ca faisait des mois qu'elle l'avait à l'œil, depuis que la Comtesse de Virginie lui avait fait savoir qu'une fouineuse remontait vers sa ville, son territoire, Richmond. Et maintenant, elle était enfin sa propriété. Oui, Jenny allait devenir sa favorite, que ça lui plaise ou non. Et la Duchesse Becky allait faire en sorte que sa lui plaise, autant que lui plaisait cette petite blondinette, énormément…!

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Les nouvelles Souveraines , de KS - Communauté : Soumissions féminines
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