Vendredi 8 février 5 08 /02 /Fév 20:52

Chapitre 7 : Première soirée en compagnie de Maîtresse Stéphanie

 

Il était environ 18h quand Maîtresse Caroline quitta la ferme.

Je me retrouvais maintenant seule, encore nue car les deux femmes n'avaient pas trouvé important de me rhabiller. De 18h à environ 20h Stéphanie m'envoya ranger ses affaires et celles de Maîtresse Caroline dans leurs placards respectifs, ensuite je dus faire leurs deux lits, nettoyer un peu la poussière et passer l'aspirateur. Pendant que je m'exécutais elle ne me porta aucune attention, elle m'ignorait totalement. Elle prit une douche changea de tenue s'installa sur la terrasse. Une fois mes activités terminées elle voulut que je lui prépare le dîner. Ce que je fis volontiers pour en profiter pour manger en douce car depuis le début de la journée je n'avais eu droit qu'à une petite collation au réveil. Je lui servis son repas et pendant ce temps je fus invité à rester à genoux à coté de sa chaise, comme quand Maîtresse Caroline prenait son repas. J'avais bien fait de me servir sans sa permission avant elle, car elle ne me proposa pas de manger quelque chose. Elle prit son temps pour finir et vers 21h30 elle me fit débarrasser et laver la vaisselle. Elle pendant se temps, avait rejoint le salon et s'était installée dans un fauteuil pour fumer une cigarette. Ce n'est que je l'ai rejoint après mes taches terminées, qu'elle m'adressa la parole. Elle voulut que je lui raconte en détail ce que m'avait fait subir Maîtresse Caroline depuis que j'étais à son service. C'était vraiment très désagréable de me retrouver dans cette situation debout, complètement nue face à cette fille qui n'était qu'une copine de classe encore hier et qui était devenue ma Maîtresse. Tout au long de mon explication je remarquais que ce que je lui disais l'excitait beaucoup et j'étais d'autant plus mal à l'aise. Cela dura environ trois quarts d'heures car elle n'arrêtait pas de me poser des questions.

Elle me dit enfin :

- Je crois que tu as remarqué que cela m'excitait beaucoup, je ne pensais pas éprouver tant de jouissance face à une telle situation. D'ailleurs je suis moi aussi novice dans le domaine de la domination mais j'ai vraiment envie de me perfectionner. En attendant j'ai envie que tu me donnes du plaisir.

Elle m'avait saisie par le poignet et m'a tirée jusque dans sa chambre, là elle me fit m'allonger sur le ventre. Elle ouvrit un tiroir et en sortit plusieurs bouts de cordes. Elle me dit :

- Je ne suis peut être pas très expérimenté mais Caroline m'a expliquée deux trois trucs.

Elle m'attacha les poignets dans le dos, lia mes chevilles avant de les remonter au niveau de mes fesses pour les attacher aux poignets. Elle passa une corde entre mes cuisses et mes mollets pour que je ne puisse plus déplier mes jambes. Elle venait de m'immobiliser en "hogtied". Je ne pouvais bouger que mon coup. Ensuite elle se déshabilla et vint s'allonger sur le dos, je me retrouvais entre ses jambes, le visage limite collé contre son sexe. Dans la main elle tenait un petit martinet aux lanières de cuir avec lequel elle me menaça si je ne lui donnais pas de plaisir à l'aide ma langue. Ce que je fis aussitôt de crainte d'être fouetté. Ceci ne l'empêcha pas de m'appliquer quelque coup sur le dos et la plante de pieds. Il ne lui fallu pas très longtemps pour jouir. C'était un impressionnant orgasme vu les secousses qui faisaient bouger son corps. Je fus contrainte de recommencer plusieurs fois de suite avant qu'elle ne s'endorme épuisée par la violence de chacun de ses orgasmes. Moi je fus réduite à dormir attachée et malgré la position inconfortable, ce ne fut pas long avant que je m'endorme à mon tour épuisée par cette journée difficile.

Il était environ 9 heures quand Maîtresse Stéphanie me réveilla en me libérant de mes liens. J'étais toute enquilosée et les cordes avaient laissé de grosses traces sur mes membres. Elle me regarda amoureusement et me dit :

- Tu as vraiment été merveilleuse, je n'ai jamais pris autant de plaisir que hier soir.  D'ailleurs pour te remercier je t'autorise à prendre le petit déjeuner avec moi, je sais que Caroline veut que tu ne manges pas à table mais on va faire une exception.

-Merci Maîtresse

Maîtresse Stéphanie enfila une robe de chambre mais moi je n'y eu pas droit, la nudité ne me gênait presque plus et je préférais ne rien porter plutôt que d'être obligé de porter la tenue de soubrette.

Je du préparer le café, mettre le pain, le beurre et la confiture sur la table et je pu enfin m'asseoir à table avec ma Maîtresse J'avais vraiment très faim et n'était pas sur d'avoir le droit de manger à midi. Je dévorais mes tartines quand Maîtresse Stéphanie me dit :

-Et ben, elle ne devait pas te nourrir souvent, je vois que je t'ai fait un beau cadeau et je pense avoir droit à des remerciements.

-Oui Maîtresse, merci beaucoup.

-Je pense avoir droit à plus qu'une simple phrase.

Elle posa ses pieds sur la table et se les badigeonna avec de la confiture. Et me dit :

-Tu as l'air de vraiment aimer ça alors lèche, vas y !

-Mais Maîtresse je n'ai pas fini de manger.

-Ah oui tu refuses et bien . . . si, tu as fini de manger.

-Non Maîtresse, ce n’est pas ce que je voulais dire . . . je vais le faire.

Mon appétit était plus fort que ma fierté, je préférais donc abdiquer. Je m’occupai donc de lui nettoyer les pieds avec ma langue. Je ne sais pas pourquoi mais je voyais que cela l'excitait beaucoup comme à chaque fois. Cette fille ressentait du plaisir à se faire adorer les pieds. Ce petit jeu dura environ 15 minutes avant qu'elle juge que j'avais léché toute la confiture. Je me remis donc immédiatement à dévorer mes tartines avant que Stéphanie me stoppe net et me dise :

-Est ce que je t'ai permis de manger ? Non il ne me semble pas. En plus je n'ai pas aimé le fait que tu ne t’exécutes pas immédiatement quand je t'ai donnée un ordre.

Elle se leva me saisit pas les cheveux et me fit agenouiller par terre.

-Il faut que tu comprennes quand je te dis de faire quelque chose ce n'est pas une proposition. Est ce que tu comprends ça ?

-Oui Maîtresse

-Bien, donc tu veux absolument les manger tes tartines et bien . . . d'accord.

Elle s'empara de mes tartines les jeta par terre et les piétina sauvagement jusqu'à ce qu'elles ne ressemblent plus à rien, écrasées sur le sol.

-C'est bon tu peux maintenant les manger.

Elle me ressaisit les cheveux et m'appuya le visage contre le sol, je sorti ma langue et commença à nettoyer le carrelage. Elle s'était rassise et contemplait le spectacle. Je du recommencer à lui nettoyer les pieds eu fois le sol propre.

-Et bien voila, tu auras prit un bon petit déjeuner, n'est ce pas ?

-Oui Maîtresse

-Bon j'espère que tu as compris. On va aller faire un brin de toilette toutes les deux. Lève toi et va dans la salle de bain je te rejoins.

Que de bonne chose ce matin : un bon déjeuner, une bonne douche.

Je finis de me laver les dents quand Maîtresse Stéphanie me rejoint. Elle posa un sac sur le sol, elle se déshabilla et s'introduisit dans la baignoire, fit couler de l'eau puis me demanda de la frotter et de la masser en même temps. J'étais munie d'une éponge avec laquelle je m'appliquais à la satisfaire le mieux possible en étant la plus doux possible. Elle avait l'air satisfaite. Je me disais que j'étais devenue très docile car je m'appliquais à rendre heureuse ma maîtresse mais ce qui me paraissait le plus bizarre c'est que cela ne m'effrayait pas, je trouvais ça normal. Elle se réserva juste sa toilette intime puis se rinça. Je dus la sécher comme un enfant qui sort du bain puis enfila un peignoir. Elle me dit :

-Je savais que tu avais une langue merveilleuse pour me donner du plaisir mais tu as aussi des mains de fée.

-Merci Maîtresse

-Bien, maintenant c'est à toi, mais toi tu vas dans la douche et pas dans la baignoire.

J'étais un peu déçue par ce qu'elle venait de dire mais je m'exécutais. Elle récupéra le sac qu'elle avait laissé tout a l'heure et en sortit deux bracelet d'entrave qu'elle me fixa autour des poignets reliés par une chaîne qu'elle fixa en hauteur au dessus du pommeau de douche. Elle me fixa une barre d'écartement aux chevilles ce qui lui permettait de disposer de mon intimité sans problème. Et pour finir elle me bâillonna avec le bâillon non pas à boule mais à anneau. J'étais le dos contre le carrelage de la douche. Elle commença par faire couler de l'eau froide, j'étais pétrifiée, je gigotais comme pour essayer d’éviter chaque goutte, mais rien n'y faisait. Ensuite elle alterna chaud et froid, la torture était terrible, j'avais l'impression d'avoir le corps entièrement brûlé. Puis elle ferma les robinets et, munie d'un martinet, elle me fouetta le corps. Aucune partie de la face a sa merci n'était épargnée, l'entre jambe, les cuisses, les seins, le ventre ... Je la suppliais d'arrêter mais aucun mot compréhensible ne sortait de ma bouche a cause du bâillon. Quand elle estima que ma peau était devenue assez rouge elle stoppa les flagellations pour me caresser, d'abord les seins puis le clitoris gonflé par les coups. A ma grande surprise l'excitation et les halètements ne mirent pas longtemps à arriver, mais quand elle vit que j'allais jouir elle stoppa les caresses pour recommencer les "chauds-froids", ce qui me coupa net le plaisir. Et enfin elle recommença les coups de martinets, mais uniquement sur les lèvres de mon sexe. La douleur était immense mais en même temps agréable.

Elle s'amusa plusieurs fois à varier plaisir et douleur pour enfin me faire jouir. Mon plaisir était immense et je me sentais épuisée.

Une fois mes esprits repris elle me savonna énergiquement et me rinça. Elle me libéra de mes liens et me tendis une serviette pour que je me sèche, ce ne fut pas chose facile car mon corps me faisait horriblement mal.

Pour m'humilier un peu plus, je dus faire mes besoins devant elle. Pour seule tenue elle me fixa les chaînes que je portais chez Maîtresse Caroline celles qui reliaient mes poignets, mes chevilles et ma taille.

Ensuite elle me donna une liste de toutes les taches ménagères que je devais faire (en quelques sorte, tout nettoyer !!) ce qui allait bien m'occuper pour plusieurs heures alors qu’elle allait se pavaner.

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Le dressage de Sophie, par Alexis - Communauté : Soumissions féminines
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