Chapitre 2 : Prise de mes nouvelles fonctions
Suite à cette soirée j'ai annoncé à ma mère que j'avais trouvé du travail mais que je devais quitter la maison car je venais d'être engagée comme bonne par ma nouvelle Maîtresse Caroline. Ma mère, ne voyant pas les choses du même point de vue que moi, fut ravie par cette nouvelle.
Je me suis réveillée vers 5h sans avoir vraiment pu fermer l'oeil de la nuit, je me posais trop de question. Je préparai un sac avec quelques affaires de toilettes, des vêtements et quelques affaires personnelles. Je ne pus rien avaler avant de partir et ma mère s'inquiétât de mon état de santé mais je lui expliquais que j'étais stressée par cette première journée de travail. En fait j'étais terriblement stressée mais je ne pouvais rien lui dire pour ne pas l'alarmer. Elle décida donc de me conduire en voiture chez Maîtresse Caroline pour éviter que j'y aille à pied.
Il était 6h50 quand nous sommes arrivées devant chez elle. J'ai attendu que ma mère s'éloigne pour entrer. Mon coeur battait a cent à l'heure mais je pris mon courage à deux mains :
Ding-Dong.
Maîtresse Caroline vint m'ouvrir très rapidement, elle devait m'observer depuis une fenêtre.
- Bonjour Sophie, je vois que tu es toujours très ponctuelle.
-Bonjour Maîtresse.
-Et je vois que tu te souviens bien de la manière dont tu dois t'adresser à moi. Allez rentre.
Elle referma brusquement la porte à clés derrière moi, comme pour éviter que je ne m'enfuie. Mais elle m'ordonna de rester juste devant l'entrée.
-Bon première inspection Sophie, je vois que tu as apporté des affaires avec toi. Mais tu n'auras besoin de rien ici il y a une tenue qui t'attend pour le rôle que tu vas occuper.
Elle saisit le sac de sport qui contenait mes affaires et le vida par terre.
-Alors voyons voir ce que tu avais prévu. Elle se mit à fouiller mes affaires en décrivant ce qu'elle voyait.
- Des culottes en coton comme c'est mignon, et regarder ces petites socquettes, je vois que tes soutiens gorges sont aussi des pièces de collection. Mais quel age as tu pour porter ce genre de sous-vêtements ?
J'étais devenue toute rouge. C'est vrai que c'était ma mère qui s'occupait encore de m'acheter mes habits et elle ne voulait pas que je portes des choses "vulgaires" comme les strings.
-De toute façon je confisque tout ça, comme je t'ai dit tu n'en auras pas besoin. Allez déshabille toi complètement !
-Mais Maîtresse Car.... Je n'eu pas le temps de finir ma phrase qu'elle m'envoyât une magistrale gifle en pleine figure.
-Je croyais t'avoir dit que tu n'étais pas ici pour donner ton avis mais pour exécuter mes ordres ???
-Sniff, pardon Maîtresse.
-Je préfère ça ! Allez assez perdu de temps fait ce que je t'ai dis.
Encore sonnée par cette gifle je n'eu pas le courage de me rebeller une deuxième fois de peur d'en recevoir une autre. J'étais habillée d'une simple robe d'été plutôt légère et de tong de saison. Je quittais donc ces derniers mais j’hésitai à enlever mes sous-vêtements.
-Tu es vraiment très accrochée à ces bouts de tissu mais je crois t'avoir dit de te déshabiller complètement.
Ce que je fis aussitôt malgré ma pudeur naturelle. Je crois que le ton qu'employait ma Maîtresse et la gifle que j'avais reçu m'avait ôtée toute envie de rébellion. Une fois que je fus nue devant elle m'ordonna de me mettre à quatre pattes pour ranger mes affaires dans mon sac. Une fois ceci effectué elle s'empressa de saisir mon sac et de le ranger dans l'armoire de l'entrée qu'elle ferma aussitôt à clés.
-Allez relève toi je vais te faire visiter ta nouvelle demeure.
Elle a commencé par me faire visiter le rez-de-chaussée avec la cuisine, le salon, la salle à manger et WC. Ensuite elle me montra le premier étage avec son bureau, une chambre d'amis, sa chambre et une immense salle de bain. Je me dis en voyant tout ça que j'occuperai sûrement la chambre d'amis. Puis elle me fit descendre au sous-sol dont le sol était une simple dalle en béton, et le contact avec mes pieds nus ne m'aidait pas à arrêter de frissonner. A ce niveau se trouvait la buanderie. Puis elle me fis rentrer dans une petite pièce d'environ six mètres carrés et me dis :
-Voici ta chambre !!!
Ces quelques mots m'ont glacée le sang. Le sol était aussi en béton, les murs en moellon. Je n'étais pas habituée à un grand niveau de vie mais ici c'était vraiment "simple". Dans cette pièce se trouvait un lit donc les quatre pieds étaient munis de crochets, un petit lavabo et un minuscule placard. Je ne m'attendais vraiment pas à ça et j'étais encore moins rassurée de devoir passer mes deux mois d'été ici.
-Comme tu peux le voir tu as ici tout ce qu'une esclave mérite. Je t'avais dit que t'as tenue te serait fournie regarde sur le lit.
C'est ça qu'elle appelait une tenue de travail ?? Il n'y avait seulement une robe ultra courte, un tablier blanc de soubrette, une paire de sandales à talons d'environ 7cm. Je n'étais pas du tout habituée à ce genre de tenue et je devrais pourtant à partir de maintenant ne plus être habillée que comme ça. Le cauchemar commençait.
-Alors c'est très beau quand penses tu ? Allez enfile tout ça.
Elle avait l'air très excitée par ma nouvelle tenue et me scruta longuement avant de me dire : ce n'est pas tout regarde ce qu j'ai pour toi. Elle sortie du petit placard de ma chambre une paire d'entrave en cuir pour les poignets, un collier et une paire de bracelets pour les chevilles qui bloquaient l'ouverture de mes sandales. Elle m'enfila le tout et les referma chacun avec un petit cadenas à clés. Elle avait l'air très satisfaite de l'image que je lui renvoyais de moi ainsi vêtue. Par contre moi j'avais l'impression d'étouffer et légèrement paniquée mais malgré tout ça aucun son de sortait de ma bouche, il y a juste une larme qui coulât le long de ma joue.
-Voici les consignes : réveil à 6h30, tu prépares mon petit déjeuner, tu nettoies un peu, je me lève en général vers 8h, ensuite aspirateur, ménage et lessive jusqu'à 12h puis tu prépares le déjeuné et l'après midi les taches seront variées et tes activités aussi. Et enfin le soir tu prépares le dîner, tu ranges un peu et on verra ce que je ferai de toi pour les soirées. Parce qu'il va falloir penser à ton éducation...
Ces derniers mots me terrifièrent et me poussaient à croire que ma vie allait changer à jamais...
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