Préambule
Mon prénom est Sophie, je suis une étudiante de 20ans au parcours scolaire plutôt réussi. Cette année est ma dernière en fac d'éco. L'année prochaine j'envisage d'intégrer une classe préparatoire aux grandes écoles. Je dois cette réussite à ma mère qui m'éduque seule depuis mon plus jeune âge. Elle a toujours été loyale et juste avec moi, mais n’a jamais accepté aucun égard de conduite de ma part. Les quelques petites fautes que j'ai pu commettre on toujours été sanctionnées sévèrement, mais sans punitions corporelles (malgré une fessée étant très petite).
Voilà pourquoi j’avais la pression maximum pour réussir mes partiels du deuxième trimestre.
Me voilà donc seule devant ma copie le jour de l'épreuve principale, mes révisions avaient été irréprochables puisqu'au bout de1h50 j'avais pratiquement fini. Il ne me manquait plus qu'à relire et j'étais "libérée", mais c'est à ce moment que Stéphanie ma voisine de droite, une fille de la promo avec quelques difficultés, me dit en chuchotant :
- Sophie, donne-moi les réponses de la question 4 s’il te plait, je suis complètement bloquée.
Je fis mine de ne pas entendre pour éviter les problèmes. Mais elle relança :
- S’il te plait, il ne me manque que ça et j'en ai vraiment besoin.
Connaissant ces petites lacunes, je regardais la surveillante, Madame "Caroline", (une prof de la fac que nous connaissons plutôt bien) et fit passer à Stéphanie une partie de mon brouillon où se trouvait les réponses.
-Tiens.
-Merci !!
Ceci fait je fini de relire, rendis ma copie. Je me sentais libérée, j'étais maintenant en vacances et je devais chercher du travail pour payer mes études de l'année prochaine. Mais le soir ma mère rentra dans ma chambre et me tendit le téléphone :
-Oui allo ?
-Bonjour Sophie, c'est Madame Caroline j'aimerai que tu passes me voir demain à mon bureau à l'université.
- Heu oui mais c'est à quel sujet ???
- C'est pour parler de ta poursuite d'étude, j'ai des nouvelles pour toi. Tu passes vers 13h30?
-Oui très bien.
-Alors à demain et ne soit pas en retard.
-Au revoir Madame à demain.
Je n'étais pas très étonnée car Madame Caroline a toujours été sympathique avec les étudiants qui travaillaient et en particulier avec moi.
Le lendemain je me rendis donc à l'université pour mon rendez avec Madame Caroline.
Me voila devant son bureau : Toc toc toc
-Entrez
- Bonjour Madame
- Ah, Sophie. Entre et assied toi, me dit elle d'un ton plutôt sévère. Alors comment se dont passée ses épreuves ?
- Très bien Madame, je pense les avoir bien réussies.
- Pas de problème pour la dernière épreuve ? Elle était plutôt dure.
- Non je m'en suis bien sortie.
- Ah oui? Remarque c'est plutôt facile . . . quand on a les réponses ! Je t'ai vu tricher avec Stéphanie !!
Elle m’avait vu donner cette feuille à Stéphanie. Je rougie aussitôt.
- Mais non Madame ce n'est pas ce que vous croyez, c'est elle qui m'a demandée de l'aider.
- Elle ne m'a pas donnée la même version !
- Mais vous n’allez pas la croire plutôt que moi !
- Mon 1er réflexe a été de croire qu’elle mentait en effet . . . jusqu'à ce qu’elle accepte que je la mette à l’épreuve ! 20 coups de cravaches à cul nu ! Et comme elle maintenait la même version, j’ai refait un service ! Et elle a maintenu son affirmation, sans dévier !
Je n'en revenais pas : je voulais rendre service et on m'avait trahie. Stéphanie lui à fait croire que c'était moi la coupable.
J’étais ensuite effarée du traitement subit par Stéphanie. Cela devait se voir.
- N’aie pas l’air aussi outrée, elle l’avait bien méritée cette punition pour t-avoir aidée à tricher ! Mais comme elle n’avait pas copié, j’ai fait preuve de mansuétude : j’ai décidé de ne pas en référer au Recteur, à la condition qu’elle se présente à mon bureau une fois par semaine jusqu'à la fin de l'année pour recevoir ses 20 coups de cravaches à cul nu ! Mais je ne pourrai sans doute pas faire preuve de la même indulgence pour toi !
- Mais Madame vous ne me croyez tout de même pas capable de faire une pareille bêtise alors que j'ai cette possibilité de poursuite d'étude ?
- Je crois plutôt que tu avais fait l'impasse sur ce sujet et que tu voulais assurer cette épreuve ! Me dit-elle en tapant le poing sur son bureau.
Et là complètement paniquée je me mis a pleurer. Ne sachant plus quoi dire, elle avait l'air convaincue par la version de Stéphanie.
- Allons calme toi il fallait y penser avant ! M’envoyât-elle sur un ton sec.
- Mais Mada...
- Silence, je crois que tu as de gros problème, regarde j'ai déjà rédigé le rapport sur cet incident. Elle me montra une lettre adressée au recteur. J'étais effondrée.
- S'il vous plait je vois que vous ne me croyez pas mais pensez a ce qui peut m'arriver si vous faites ça !!.
- Je sais, ton année ne serait pas validée et ton entrée à ton école préparatoire serait impossible. De plus, tu sais que tu pourrais être interdite de concours pendant 5 ans?
- Oui c'est pour ça que je n'aurais jamais pu faire une chose pareille.
- SILENCE !! Me cria-t-elle, il fallait que tu y penses avant. En plus je vais devoir avertir ta mère.
Si ma mère apprenait que sa fille avait triché, elle me renverrait de la maison surtout à ce niveau de ma scolarité.
- S’il vous plait Madame ne faites pas ça je ferais tout ce que vous voudrez. Dites-moi. Il fallait a tout prix que je me sortes de ce cauchemar.
- Je ne crois pas que je puisse t'aider, il est de mon devoir d'avertir mes supérieurs. Me rétorqua madame Caroline.
Et là je ne sais pas ce qui m'est arrivée, je me jetai a genoux devant son bureau, j'étais désespérée.
- S’il vous plait Madame, je vous en supplie, je ferai vraiment tout ce que vous voudrez !!
Si je me fiais à la façon dont Madame Caroline avait puni Stéphanie, je crois que j'allai regretter ces paroles, mais trop de choses étaient en jeu. J'allais perdre mes espoirs de réussite professionnelle après tant d'efforts, et ma mère allait sûrement me mettre a la rue, je ne pouvais pas la décevoir.
- Tu es prête a expier ta faute pour cette réussite ?me dit elle
- Oh oui Madame!
- Alors il y a peut être un moyen pour que "j'oublie" ce petit écart.
- Oui dites moi
-Mais il faut que tu sois sure de vraiment tout accepter ce que je te dirais de faire. Parce que dis-toi bien qu’à tout moment je pourrais envoyer cette lettre.
- Oui madame je suis prête. Mais qu'allait elle me proposer ? De l'argent, un service ? Je n'en avais aucune idée.
- Très bien alors commence par aller fermer ma porte de bureau a clé et reviens de positionner debout devant moi.
Je suis allée fermer cette porte et revint me poster juste devant elle, encore sous le choc de ce qui m'arrivait.
- Très bien alors tu vas me remplir une petite décharge où tu attestes les faits et où tu m'autorises à employer tous les moyens éducatifs, et toutes les punitions que je jugerai utiles, pour que je te remettes dans le droit chemin. Que tu dates et signes. Ce sera notre garantie, en plus du rapport. Et rappelles toi bien que je peux le présenter a tout moment.
Je fis cette décharge même si je savais que je n'avais rien fait mais c'était le seul moyen pour que je m'en sorte.
- Merci ma chérie tu as pris une sage décision. Maintenant déshabilles toi !
- Pardon ?
- Tu as très bien compris.
- Mais ... je n'ai pas eu le temps de finir qu'elle m'envoyât une magistrale gifle en pleine figure.
C'est à partir de ce moment que j'ai compris ce qui m'arrivait. Alors timidement je m’exécutai. J'étais vêtue d'une petite robe légère et de tongs (les beaux jours étaient déjà là) . Je fis glisser la robe par terre, j'étais maintenant en sous vêtement devant ma prof, je ne comprenais plus rien j'avais l'impression de faire un mauvais rêve.
- Allez enlève tout, . . . tu verras que tu vas t'y habituer très vite.
J'enlevai mon soutient gorge et ma culotte que je fis tomber par terre pour m'empresser de cacher mes parties intimes.
- Allez mets tes bras le long du corps que je puisse admirer ce joli physique et ces jolies formes. Elle commença à mettre ses mains sur toutes les parties de mon corps pour les jauger. Elle caressa mes seins et ensuite mes fesses :
-Oh qu'elles sont jolies et qu'elles vont être agréable a corriger . . . et en plus, vu la gravité de ta faute, cela va être une rééducation de longue haleine !. Ses derniers mots résonnaient dans ma tête. Elle s'assit sur une chaise et me fit m'allonger sur ses genoux.
-Ceci est un avant goût de ce que tu vas subir pour ta rédemption. Une fessée !! 30 coups à la main pour t'habituer.
Je pris peur:- oh non madame SVP !
-Tu as toujours le choix de la lettre...
Je laissais échapper un soupir qu'elle prit pour une acceptation de la punition.
-Tu vas compter chaque coup. Et je te conseille de ne pas crier sinon je recommence la punition à zéro.
-Bien madame.
-Je vois que tu comprends vite.
La première claque tomba, aucun cris ne m'échappa:-Un, deux, trois, quatre...trente.
Je n'avais rien dit mais des larmes coulaient le long de mon visage, plus de honte que de douleur. Je me frottais les fesses avec mes mains pour essayer de calmer les brûlures. Je n’avais jamais ressenti ça, autant de sentiments mêlés.
-C'est très bien ça tu es très docile !! Bon maintenant et pour finir 10 coups de règle en bois. Même conseil tu ne cries pas.
Le supplice était beaucoup plus douloureux au deuxième coup je ne pus m'empêcher de me protéger et de crier.
-Ce n'est pas très bien ça, je suis obligée de recommencer et c'est toi qui vas en faire les frais !!!
-Mais c'est très douloureux madame. J'ai le derrière en feu !
-Je ne veux rien savoir ne bouge pas !!! Elle me bloqua les poignets dans le dos avec fermeté.
-Et compte bien !!
-Un, deux, trois. Elle alternait sur chaque fesse et la douleur était horrible. Quatre, cinq, six, sept, huit. Les deux derniers coups ont été pour mes cuisses. J'éclatais en sanglot et me remit a ma frotter les fesses qui étaient devenue toutes rouges, elles me cuisaient. Je devais avoir d’horribles marques.
-Allez va te mettre au coin maintenant les mains sur la tête le temps que je range mes affaires, je vais te reconduire chez toi.
Dans ma tête tout était chamboulé, un sentiment bizarre m'avait envahie, beaucoup de honte mêlée à d'étrange sensations que je ne pouvais pas définir.
Une fois qu'elle eu récupérée toutes ses affaires j'eu le droit de me rhabiller, « mais je garde ta culotte » me dit elle « tu viendras la récupérer ce soir chez moi ».
-mais madame je ne peux pas rentrer chez moi comme ça ?
-j'ai dis que je te ramenais en voiture et tu verras tu vas éprouver un sentiment très agréable, allez de toute façon je ne demande pas ton avis.
-Bien madame
Sur le chemin elle me montra son domicile et me dit de m'y rendre 20h : j'ai plusieurs choses a t'expliquer, me dit elle.
Arrivée chez moi, je me rendis compte qu'il était déjà 17 h, j'étais restée plus de trois avec ma nouvelle maîtresse. Ma mère commençait a se faire du soucis mais je lui sortie une "fausse brève" explication et alla m'enfermer dans ma chambre en réfléchissant sur tout ce qui était en train de m'arriver. De plus cette soirée que j'allais passer avec madame Caroline m'effrayait beaucoup après ce que je venais de vivre je m'attendais au pire ..........
Novembre 2024 | ||||||||||
L | M | M | J | V | S | D | ||||
1 | 2 | 3 | ||||||||
4 | 5 | 6 | 7 | 8 | 9 | 10 | ||||
11 | 12 | 13 | 14 | 15 | 16 | 17 | ||||
18 | 19 | 20 | 21 | 22 | 23 | 24 | ||||
25 | 26 | 27 | 28 | 29 | 30 | |||||
|