Le dressage de Sophie, par Alexis

Jeudi 5 avril 4 05 /04 /Avr 21:12

 

Chapitre 4 : Réveil brusque

 

Ce premier réveil fut des plus troublants. Une douleur au niveau de mes seins venait de me tirer de mes rêves brusquement. Quand j'ouvris les yeux je vis Maîtresse Caroline en robe de chambre, penchée sur moi, et qui s'amusait à me torturer les seins encore endoloris par le traitement qu'ils avaient subis la veille.

-Allez petite feignante, réveille toi, je te rappelle que tu n'es pas en vacances ici !! Bon ce matin tu vas servir seulement à mon plaisir.

Je ne savais pas vraiment ce qu'elle voulait dire par là mais j'avais bien l'impression depuis quelques jours de ne plus lui servir qu'à ça.

-Allez ouvre la bouche je te prépare un réveil remplie de sensations.

Elle me présenta devant la bouche un instrument que je n'avais jamais encore vu, c'était un bâillon mais au lieu d'être muni d'une boule, au centre des lanières il y avait un anneau d'environ 4-5cm de diamètre. Encore à moitié endormie je n'ouvris pas la bouche mais Maîtresse Caroline se remit d'une main habille à me torturer la poitrine ce qui eut pour effet de me faire crier et elle en profita donc pour m'introduire cet objet. J'eu beau essayer de le faire sortir avant qu'elle ne l'attache mais mes propres dents le bloquait. Je voulais lui demander de le retirer mais je n'arrivais plus à articuler un mot.

Elle quitta sa robe de chambre et me fit découvrir son corps nu, elle avait de très belle forme et était parfaitement proportionnée. Elle grimpa sur le lit, mis une jambe de chaque côté de mon corps et face à moi rapprocha son sexe de mon  visage. L'odeur était forte, elle était toute excitée car ses lèvres étaient dégoulinante de son jus. Elle essaya de les coller sur mon visage mais je tournai la tête pour esquiver.

-Ah oui je ne suis pas assez appétissante pour toi petite salope ? Mais sache que même ton visage m'appartient maintenant et que je peux en disposer comme ça me chante.

Elle se remit à pincer la pointe de mes seins mais cette fois si avec une extrême violence, la douleur était terrible mais je ne pouvais pas bouger. J'aurais voulut la supplier mais aucun mot compréhensible ne sortait de ma bouche.

-Alors maintenant tu vas sortir ta langue et t'appliquer pour me rendre propre ??

Je fis un geste de la tête pour lui dire que j'étais d'accord, j'aurais fait n'importe quoi pour qu'elle arrête.

-Je préfère ça petite salope.

Elle posa donc son sexe sur mon visage, et ma langue venait d'être souillée par se goût fort de mélange d'urine et de sa mouille.

-C'est très bien ça !! Allez joue avec mon petit clito.

Je n'avais jamais eu de relation lesbienne mais la crainte qu'elle recommence à me torturer me poussait à m'appliquer. Au bout de 5 minutess elle commençait à se laisser aller et parfois elle s'appuyait tellement sur moi qu'elle m'empêchait de respirer. Puis elle se laissa jouir et s'effondra sur moi.

Elle se releva et descendit du lit après avoir repris des forces. Elle récupéra un objet qui était posé sur le sol. C'était une petite batterie, un fil était branché à celle ci et au bout il y avait un petit instrument de la forme d'un obus d'environ 2 cm de diamètre et de 6cm de long. Je n'avais aucune idée de son utilisation.

-Voilà un petit jouet qui va bien t'amuser. Il procure des sensations tout à fait étrange.

Je pouvais voir sur son visage un immense sourire qui ne me rassura pas. Elle prit un coussin et me le positionna sous le bas du dos afin de relever mon bassin.

- As-tu déjà eu un rapport anal ?

Je lui fis un signe négatif de la tête et commençait vraiment à paniquer. Je n'avais jamais accepté la sodomie et voulait garder cet orifice vierge mais elle avait d'autres plans pour moi.

Elle revint se positionner sur le lit mais cette fois ci a genoux entre mes jambes. Mon intimité n'avait plus de secret à cause coussin qui dévoilait tout. Elle présenta le petit instrument métallique devant mon anus, il était vraiment très froid. J'essayais de gigoter pour lui montrer mon désaccord mais elle se mit à donner des claques plutôt fortes sur mon clitoris. La douleur stoppa net mon envie de rébellion. D'un geste rapide et sec elle introduisit le plug en moi. J'eu une réaction de recule et un cri étouffé.

-Très bien, voila qui est fait. Ce petit joujou est en fait  une électrode qui réagit au son.

Elle se mit un micro au tour du coup.

-A chaque son plus ou moins fort la décharge est plus ou moins violente. On va essayer.

Elle brancha l'appareil et fit un son très léger. La sensation était étrange mais la douleur était bien présente. Elle se repositionna au niveau de mon visage et dit :

-Allez remets toi au travail et fais moi jouir.

Elle voulait que son plaisir devienne une torture pour moi.

Comme elle trouvait que je ne me mis pas assez rapidement au travail et elle recommença à me torturer les seins.

J'appliquais avec soins ma langue sur son sexe offert pour épargner mes seins endoloris. Mais au bout d'un certain temps de caresses forcées  Maîtresse se mit à gémir et le petit appareil introduit en moi commençait à se faire sentir douloureusement. Chaque tentative d'arrêt de ma part se soldait par une douloureuse maltraitance de mes seins. La douleur s'intensifia au moment ou Maîtresse Caroline se mit à jouir, se fut pour moi un moment très difficile a passer mais je dois admettre qu'à cette torture se mêlait un plaisir insoupçonné.

Une fois remise de ses émotions Maîtresse Caroline me délivra de cet engin de supplice et de mon bâillon. Elle quitta ensuite ma chambre et vint me libérer de mes entraves quand fin de matinée.

- Il est temps que tu prépares mon déjeuner.

Elle me détacha du lit mais ne prit pas soin de m'habiller. Elle fixa une chaîne entre mes poignets, mes chevilles et le tout était relié à mon collier.

Je lui ai préparée son repas et du lui le servir sur la terrasse extérieur.

-Ta position quand tu attends que je mange sera à partir de maintenant à genoux sauf pour les grandes occasions tu resteras debout pour faire le service.

-Oui Maîtresse.

Je due rester dans cette position environ une heure. Je n'avais pas pu aller aux toilettes depuis hier soir et n'avait pas pu prendre une seule douche. Le temps commençait à durer et j'eu l'impression que j'allais me faire dessus.

Je ne pouvais plus tenir, mon visage était crispé et je gigotais pour essayer de faire passer mon envie. Maîtresse Caroline comprit rapidement mon désagrément.

-Ah oui ma petite chérie, tu n'as pas eu le loisir de faire tes besoins. Et bien regarde une fois que tu auras débarrassée la table tu auras tout le loisir de te satisfaire dans le jardin.

-Mais Maîtresse je ne peux pas, je ...

-Allez arrête de faire ta mijaurée, tu crois que les esclaves se servent des commodités de leur maître ? Laisse-moi rire. De toute façon je vois bien que tu ne peux plus te retenir alors débarrasse la table et vas y.

Elle avait raison je ne pouvais plus me retenir, l'envie devenait trop forte, mais je du lutter pour avoir le temps de débarrasser sa table. Une fois fini je me dirigeais vers l'immense pelouse mais Maîtresse caroline m'interrompit pour me fixer une laisse au collier.

-J'ai toujours aimé promener les chiens !! Elle se mit à rire. Allez suit moi je ne veux pas que tu t'oublies sur la terrasse.

J'étais en train de vivre une humiliation totale, je venais de perdre mon statut d'être humain. Mais malgré tout ça je m’accroupis devant elle et fit mes besoins comme un chien. Quelques l'armes ont coulé sur mon visage mais je n'ai à aucun moment eu la volonté de me rebeller. L'humiliation fut totale quand elle décida juste après de me laver au jet d'eau à l'aide d'une éponge.

Je m'enfonçais de plus en plus dans mon état d'asservissement....

 

 

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Dimanche 1 avril 7 01 /04 /Avr 17:46

Chapitre 3 : Une première journée intense

 

Ca y est, je venais de recevoir mes "fonctions" et je savais que je ne pouvais plus revenir en arrière. Je me sentais à la fois désemparée et à la fois bizarrement excitée par l'inconnu. En plus, je serai rémunérée pour ce travail donc il fallait juste être courageuse.

 

Une fois qu'elle m'eu énumérée le planning elle me fit découvrir plus en détail la cuisine pour que je puisse m'y retrouver quand je ferais à manger.  Quand la visite fut terminée je dû lui préparer le petit déjeuner elle me détailla précisément tout ce qu'elle voulait et me dit :

-Attention ne te trompe pas et réussit bien les préparations parce que le petit déjeuner est le repas le plus important de la journée et si il est loupé je serai de mauvaise humeur et je pense que tu n'as pas envie de ça.

-Bien je ferai attention Maîtresse.

-On verra ça, je t’attends dans le salon dépêche toi !

Je me mis tout de suite au travail mais ce ne fut pas chose facile car je n'arrêtais pas de chercher ce dont j'avais besoin mais dans l'ensemble je pensais ne pas avoir trop mal travaillé. Je me présentai donc devant Maîtresse Caroline puis lui servi ses tartines, sont café et son fruit.

-J'espère que c'est bon parce que tu as pris ton temps !

-Désolée Maîtresse mais je ne connais pas très bien la cuisine.

-Je ne veux pas savoir, mais tu vas voir tu vas bientôt très bien la connaître.

Une fois qu'elle commença à déjeuner je voulu me retirer dans la cuisine mais elle me dit :

-Reste là ! Je ne crois pas t'avoir demandé de partir. Je crois que tu as encore beaucoup de chose à apprendre !

C'est vrai que je me sentais mal à l'aise je ne savais pas trop quoi faire, c'était la première fois que je devais servir quelqu'un. Alors je suis resté debout à un mètre d'elle en là regardant manger.

Une fois qu'elle eut terminé elle me dit :

-Pour cette fois ce n'est pas trop mal. Même si tu as trop fais griller les tartines et que as mis trop de sucre dans mon café. Allez débarrasse, je ne pense pas que ce soit trop dur pour toi ça ?

-Non Maîtresse.

Ces réflexions étaient désagréables mais je pensais pouvoir les supporter. Je fis la vaisselle, la rangea et nettoyât la table puis revint vers elle.

-Bon puisque tu m'as dis que tu ne t'y retrouvais pas encore dans cette maison tu vas avoir le loisir de la connaître par cœur : tu vas nettoyer tous les sols avec une brosse et un sot. Tu verras après tu connaîtras tous les recoins sur le bout des doigts.

-Mais Maîtresse j'en ai pour des heures.

-Et alors tu es bien là pour ça ?? Et puis tu commences à m'énerver à toujours répondre !

Elle me saisit le bras et avec une importante force elle me coucha sur la table basse du salon.

-Reste ici ne bouge pas.

Elle revint très rapidement avec un martinet et des bouts de cordes. Elle commença par me retirer ma robe tant bien que mal vu ma position et mes légers débattements puis elle me fixât les quatre membres aux pieds de la table. J'étais terrifiée je la suppliais.

-Maîtresse excusez moi, s'il vous plait, je me terrai maintenant.

-C'est trop tard petite peste tu vas recevoir une petite correction qui va t'aider à te mettre au plis.

Et elle se mis à me fouetter les fesses avec ces lanières de cuir, puis elle fit rougir mon dos et mes cuisses. Je criais mais ne pouvais pas éviter les coups. Elle me corrigeât pendant environ dix minutes mais ce me paru une éternité. Puis elle me détachât puis passa sa main sur mes fesses et mon dos comme pour admirer le résultat. J'étais en larme et mon corps me brûlait mais elle m'emmena vers un placard ou ce trouvait le matériel pour faire le ménage puis elle dit de prendre un sot et la brosse et d'aller faire mon travail. Je saisi les instruments, j'étais révoltée mais la correction que je venais de recevoir me poussa à me conduire docilement. Elle ne me rendit pas ma robe et je me retrouvais juste vêtue de mes talons et de mes entraves à quatre pattes pour faire briller tous ses sols. La tache était longue et pénible. Je me suis arrêtée juste à midi pour lui préparer son repas mais moi je n'avais toujours rien mangé et je commençais à avoir mal au ventre mais je n’osai pas lui demander quelque chose par peur de représailles. J'ai fini le ménage vers 15h complètement exténuée, les genoux endoloris et une faim énorme.

Comme je pensais avoir fais du bon travail je lui dis :

-Maîtresse s'il vous plait est ce que je pourrais manger maintenant.

-Allez si tu veux, assis toi par terre sur le tapis de salon et ne bouge pas.

Ce que je fis sans problème après ces dures heures de ménages. J'étais encore nue mais ne ressentais, bizarrement, pratiquement pas de gêne, j'avais tellement du mal à réfléchir par honte et par peur que je pense que c'est ça qui me rendait si docile.

 Au bout d'environ quinze minute elle vint me chercher et me fixa une laisse au bout du collier que je portais, je me sentais terriblement ridicule à côté de cette femme. Elle m'emmena à quatre pattes jusqu'au sous sol où je vis deux gamelles une d'eau et l'autre on aurait dit une sorte de purée ou de compote, c'était en fait de la nourriture pour bébé.

Elle me relia les mains dans le dos par un mousqueton et me dit :

-Voilà le vrai repas d'une parfaite petite esclave régale toi.

-Mais Maîtresse je ne peux pas manger comme ça!! J'étais complètement paniquée et honteuse de cette situation.

-Ah oui tu ne peux pas très bien je les enlève.

-Non Maîtresse s'il vous plait j'ai très faim je vais manger comme ça.

-D'accord mais maintenant silence et mange on n’a pas que ça à faire !

Je penchai la tête sans pouvoir m'aider de mes mains et comme un chien je me suis mise à manger, mes fesses nues étaient relevées et je devais lui offrir en spectacle mes parties intimes. J'étais vraiment devenue une esclave.

Ce ne fut pas facile d'en cette position mais au bout de 5min j'avais tout vidé. Elle me fit boire puis me mouilla légèrement le visage pour nettoyer la nourriture qui si trouvait. J'ai eu le droit de remettre ma robe ensuite pour faire les lessives et repasser le linge de ma Maîtresse. Elle m'avait, pour ça, fixer une chaîne qui était fixer au mur de a buanderie à la cheville droite puis relier les poignets par une chaîne pour réduire mes mouvements. Je dois dire que comme ça il n'était pas facile de manier un fer. Elle revint me chercher vers sept heures pour que je prépare le repas et que je lui le serve au salon toujours avec les poignets reliés mais cette fois mes chevilles l'étaient aussi et elle fixa une chaîne à mon collier qui reliait mes poignets et mes chevilles. Mes mouvements étaient réduits et ce ne fut pas chose facile de préparer  à manger et de lui apporter les plats. Pendant qu'elle mangeait elle fit rester debout à côté d'elle et parfois de donnait quelque bout de nourriture comme un maître à son chien.

Une fois le repas terminée et que tout fut nettoyé elle me fit m'agenouiller à côté de son fauteuil et me dit :

-Comme c'est ta première soirée ici je te permettre de te reposer.

Je pensais dans ma tête c'est bon je vais pourvoir aller me coucher ou elle va me permettre de regarder la télé. Mais ses projets pour moi étaient tout à fait différent en revint avec différent accessoires. Elle avait pour idée que je lui serve de table. Elle me fixa les chevilles, puis me relia les poignets dans le dos. Puis elle m'installa une sorte de plateau qu'elle fixa par une chaînette autour de mon cou puis me découvris les seins juste un petite geste de recule

-Allons ne bouge pas tu vas voir c'est très marrant.

Elle me fixa les deux autres extrémités du plateau par des pinces reliées à des chaînettes aux tétons. La douleur fut vive et je laissai partir un : "aie".

-Ne t'inquiète pas tu vas t'y habituer.

Puis elle finit par me poser un bâillon boule dans la bouche qui fut très désagréable à porter.

-Bon voila j'ai fini reste le dos bien droit  et regarde toujours en fasse de toi.

Facile à dire mais la position était vraiment pénible. Elle revint ensuite avec un verre d'alcool qu'elle posa sur le plateau puis s'installa dans son fauteuil pour lire un livre.

Le poids du verre n'était pas vraiment important mais les pinces était qan même douloureuse en plus l'odeur d'alcool sous mon nez était vraiment très désagréable. Je suis restée environ comme ça 2 heures pour qu'elle lise son livre. Elle ne m'a a aucun moment adressée la parole mais quand elle voyait que ma position commençait a faiblir elle me regardait d'un air de me dire "attention si tu ne veux pas de correction reste bien sage !". C'est ce qui m'a poussé à ne pas bouger.

Vers 10 heures elle a donc décidée d'aller se coucher et d'enfin me libérer. Quand elle a enlevé les pinces de mes seins la douleur fut énorme et je ne pus échapper un cri étouffé.

Enfin elle me conduisit dans ma chambre, me déshabilla comme si j’étais handicapée mais décida de me faire dormir sur le dos, mes pieds et mes mains reliés aux extrémités du petit lit. Elle me couvrit ensuite d'une couverture.

Elle me regarda tendrement pour la première fois et me dit après m'avoir déposé un baiser sur le front :

-Je suis contente que tu sois là.

Elle referma la porte à clés après avoir éteint la lumière. Ma chambre était devenue un cachot. Je me suis endormis rapidement après cette journée plutôt mouvementé et bouleversante.

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Lundi 26 mars 1 26 /03 /Mars 19:48

Chapitre 2 : Prise de mes nouvelles fonctions

 

 

Suite à cette soirée j'ai annoncé à ma mère que j'avais trouvé du travail mais que je devais quitter la maison car je venais d'être engagée comme bonne par ma nouvelle Maîtresse Caroline. Ma mère, ne voyant pas les choses du même point de vue que moi, fut ravie par cette nouvelle.

 

Je me suis réveillée vers 5h sans avoir vraiment pu fermer l'oeil de la nuit, je me posais trop de question. Je préparai un sac avec quelques affaires de toilettes, des vêtements et quelques affaires personnelles. Je ne pus rien avaler avant de partir et ma mère s'inquiétât de mon état de santé mais je lui expliquais que j'étais stressée par cette première journée de travail. En fait j'étais terriblement stressée mais je ne pouvais rien lui dire pour ne pas l'alarmer. Elle décida donc de me conduire en voiture chez Maîtresse Caroline pour éviter que j'y aille à pied.

 

Il était 6h50 quand nous sommes arrivées devant chez elle. J'ai attendu que ma mère s'éloigne pour entrer. Mon coeur battait a cent à l'heure mais je pris mon courage à deux mains :

 

Ding-Dong.

 

Maîtresse Caroline vint m'ouvrir très rapidement, elle devait m'observer depuis une fenêtre.

 

- Bonjour Sophie, je vois que tu es toujours très ponctuelle.

 

-Bonjour Maîtresse.

 

-Et je vois que tu te souviens bien de la manière dont tu dois t'adresser à moi. Allez rentre.

 

Elle referma brusquement la porte à clés derrière moi, comme pour éviter que je ne m'enfuie. Mais elle m'ordonna de rester juste devant l'entrée.

 

-Bon première inspection Sophie, je vois que tu as apporté des affaires avec toi. Mais tu n'auras besoin de rien ici il y a une tenue qui t'attend pour le rôle que tu vas occuper.

 

Elle saisit le sac de sport qui contenait mes affaires et le vida par terre.

 

-Alors voyons voir ce que tu avais prévu. Elle se mit à fouiller mes affaires en décrivant ce qu'elle voyait.

 

- Des culottes en coton comme c'est mignon, et regarder ces petites socquettes, je vois que tes soutiens gorges sont aussi des pièces de collection. Mais quel age as tu pour porter ce genre de sous-vêtements ?

 

J'étais devenue toute rouge. C'est vrai que c'était ma mère qui s'occupait encore de m'acheter mes habits et elle ne voulait pas que je portes des choses "vulgaires" comme les strings.

 

-De toute façon je confisque tout ça, comme je t'ai dit tu n'en auras pas besoin. Allez déshabille toi complètement !

 

-Mais Maîtresse Car.... Je n'eu pas le temps de finir ma phrase qu'elle m'envoyât une magistrale gifle en pleine figure.

 

-Je croyais t'avoir dit que tu n'étais pas ici pour donner ton avis mais pour exécuter mes ordres ???

 

-Sniff, pardon Maîtresse.

 

-Je préfère ça ! Allez assez perdu de temps fait ce que je t'ai dis.

 

Encore sonnée par cette gifle je n'eu pas le courage de me rebeller une deuxième fois de peur d'en recevoir une autre. J'étais habillée d'une simple robe d'été plutôt légère et de tong de saison. Je quittais donc ces derniers mais  j’hésitai à enlever mes sous-vêtements.

 

-Tu es vraiment très accrochée à ces bouts de tissu mais je crois t'avoir dit de te déshabiller complètement.

 

Ce que je fis aussitôt malgré ma pudeur naturelle. Je crois que le ton qu'employait ma Maîtresse et la gifle que j'avais reçu m'avait ôtée toute envie de rébellion. Une fois que je fus nue devant elle m'ordonna de me mettre à quatre pattes pour ranger mes affaires dans mon sac. Une fois ceci effectué elle s'empressa de saisir mon sac et de le ranger dans l'armoire de l'entrée qu'elle ferma aussitôt à clés.

 

-Allez relève toi je vais te faire visiter ta nouvelle demeure.

 

Elle a commencé par me faire visiter le rez-de-chaussée avec la cuisine, le salon, la salle à manger et WC. Ensuite elle me montra le premier étage avec son bureau, une chambre d'amis, sa chambre et une immense salle de bain. Je me dis en voyant tout ça que j'occuperai sûrement la chambre d'amis. Puis elle me fit descendre au sous-sol dont le sol était une simple dalle en béton, et le contact avec mes pieds nus ne m'aidait pas à arrêter de frissonner. A ce niveau se trouvait la buanderie. Puis elle me fis rentrer dans une petite pièce d'environ six mètres carrés et me dis :

 

-Voici ta chambre !!!

 

Ces quelques mots m'ont glacée le sang. Le sol était aussi en béton, les murs en moellon. Je n'étais pas habituée à un grand niveau de vie mais ici c'était vraiment "simple". Dans cette pièce se trouvait un lit donc les quatre pieds étaient munis de crochets, un petit lavabo et un minuscule placard. Je ne m'attendais vraiment pas à ça et j'étais encore moins rassurée de devoir passer mes deux mois d'été ici.

 

-Comme tu peux le voir tu as ici tout ce qu'une esclave mérite. Je t'avais dit que t'as tenue te serait fournie regarde sur le lit.

 

C'est ça qu'elle appelait une tenue de travail ?? Il n'y avait seulement une robe ultra courte, un tablier blanc de soubrette, une paire de sandales à talons d'environ 7cm. Je n'étais pas du tout habituée à ce genre de tenue et je devrais pourtant à partir de maintenant ne plus être habillée que comme ça. Le cauchemar commençait.

 

-Alors c'est très beau quand penses tu ? Allez enfile tout ça.

 

Elle avait l'air très excitée par ma nouvelle tenue et me scruta longuement avant de me dire : ce n'est pas tout regarde ce qu j'ai pour toi. Elle sortie du petit placard de ma chambre une paire d'entrave en cuir pour les poignets, un collier et une paire de bracelets pour les chevilles qui bloquaient l'ouverture de mes sandales. Elle m'enfila le tout et les referma chacun avec un petit cadenas à clés. Elle avait l'air très satisfaite de l'image que je lui renvoyais de moi ainsi vêtue. Par contre moi j'avais l'impression d'étouffer et légèrement paniquée mais malgré tout ça aucun son de sortait de ma bouche, il y a juste une larme qui coulât le long de ma joue.

 

-Voici les consignes : réveil à 6h30, tu prépares mon petit déjeuner, tu nettoies un peu, je me lève en général vers 8h, ensuite aspirateur, ménage et lessive jusqu'à 12h puis tu prépares le déjeuné et l'après midi les taches seront variées et tes activités aussi. Et enfin le soir tu prépares le dîner, tu ranges un peu et on verra ce que je ferai de toi pour les soirées. Parce qu'il va falloir penser à ton éducation...

 

Ces derniers mots me terrifièrent et me poussaient à croire que ma vie allait changer à jamais...

 

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Mardi 20 mars 2 20 /03 /Mars 21:38

Chapitre 1 : Rendez vous chez Madame Caroline

 

Cet étrange après midi m'avait vraiment bouleversée. Vers 19h m'a mère m'appela pour le dîner, je ne pus rien avaler. Je lui expliquais que ce soir je devais m'absenter et que je ne savais pas a quelle heure j'allais rentrer.

A 19h45 je mis en route pour aller chez Madame Caroline, le voyage me paru une éternité tellement les questions me taraudaient l'esprit. Elle habitait une très jolie maison sur 2 étages, bien trop grande a mon goût pour un salaire de prof, elle n'était peut être pas seule ??? Mais qu’allait-il m'arriver ?

Ding Dong

-Ah Sophie tu es là. Vas y entre !

Je ne dis rien. L'intérieur de cette maison était aussi très impressionnant, et bien entretenu.

- Viens suis moi jusqu'au salon.

Elle s'assit mais ne m'invita pas à en faire de même.

-Alors comment trouves tu ma maison ?

-Très jolie Madame.

-Tant mieux quand tu vas devoir y passer du temps maintenant. Tu vas dire à ta mère que tu viens de trouver du travail, tu viens de te devenir ma bonne.

-Mais Madame, je dois vraiment trouver du travail, j'ai besoin d'argent pour payer mes études.

-Ne t'inquiète pas je te payerai comme pour n'importe quel travail. Mais aurais tu déjà oubliée, je crois, que tu n'as pas vraiment le choix. Dis-moi plutôt que tu es ravie !

-Merci madame, je suis ravie.

-J'aime mieux ça ! Pour commencer arrête de m'appeler Madame, appelle-moi plutôt Maîtresse. Tu viens de devenir officiellement mon esclave !!!

Maitresse-esclave, je crois que je venais de comprendre ce qui allait m'arriver à partir de maintenant mais je restais toujours autant effrayée.

Après cette brève explication de ma nouvelle situation elle me fit mettre les mains sur la tête, écarter les jambes. Je portais toujours la même petite robe que cette après midi. Elle la remonta sur le ventre et constata :

-Je vois que tu ne peux pas te passer de culotte ? Et bien tu vas apprendre ma petite, a partir de maintenant tu n'auras plus le droit d'en porter.

-Mais ...

-Silence et il va falloir que tu apprennes a parler quand on te donne la parole, je veux juste entendre "oui maîtresse"!

-Oui Maîtresse.

-Beaucoup mieux. Déshabille-toi.

-Oui maîtresse. Lui répondis-je. Cette honte me procurait un sentiment bizarrement agréable. Est ce que je prendrais goût a ce qui m'arrive. Oh non !

Je fis donc glisser ma robe et enleva mes sous vêtements.

-Et bien je t'ai fais de très jolies marques. Me dit-elle en empoignant mes fesses.

Puis elle sortie d'un tiroir de la table basse quatre bracelets de cuir munis d'anneau et me les fixa autour des poignet et des chevilles. Elle se rassit et me fit m'agenouiller juste devant elle, elle me présentant son pied droit juste devant le visage, elle portait des sandales noires. Elle me dit :

-Ton premier travail d'esclave sera de rendre ses chaussures aussi propres que le jour ou je les ai achetées, et ceci juste avec la langue. Allez au travail !!

Elle appuya la semelle de sa chaussure sur mes lèvres, et je ne sais pas comment j'ai fait mais ma langue s'est posée sur le plastique et j'ai commencé à nettoyer sa sandale. Une nouvelle partie de moi venait de se montrer : Sophie la soumise.

-Et bien tu vois que tu vas être une bonne esclave, fais moi briller tout ça !

Je sentais sous ma langue toutes les impuretés mais je continuais. Elle me fit lécher l'autre chaussure puis les enleva et me présenta ses pieds nus pour que je les lèche a leur tour.

-J'ai du beaucoup marcher aujourd'hui j'ai mal aux pieds, fait en sorte de les masser avec ta langue.

La vue de ses pieds me repoussait mais elle m'attrapa par les cheveux et me colla l'un deux sur le visage, elle força l'entrée de ma bouche avec ses orteils et les remua a l'intérieur. Ce fut ensuite au tour du deuxième et je me ressentais déjà cet avilissement forcé de plus en plus en moi.  Une fois l'adoration de ses pieds finie elle me fit m'allonger sur le canapé, sur le ventre grâce aux bracelets elle me fixa les bras avec des cordes nouées au canapé puis idem pour mes chevilles. Tous ses équipements les avait elle achetés rien que pour moi ou pratiquait elle ceci régulièrement ? En tout cas elle savait exactement ce qu'elle voulait faire de moi.

Elle saisit ensuite une fine baguette longue d’environ 80cm et elle commence par me fouetter la plante des pieds. Cette partie très sensible est très douloureuse. Il ne fallut pas longtemps pour que je me mette a sangloter, je la suppliais mais elle continua en me fouettant avec son terrible instrument sur toute la longueur des jambes. Ce supplice a duré environ 10 minutes mais il me parut une éternité. Elle sécha les larmes qui coulaient sur mon visage d'un geste plutôt protecteur malgré la détermination qu'elle avait mis à me faire ses marques. Elle me détacha quelques instants puis elle me lia les mains dans le dos. J'étais dans le canapé, elle me fixa les chevilles à deux coins opposés de la table basse, dans cette position mon sexe était complètement offert. Elle récupéra la culotte que j'avais du laissé me la frotta contre, le sexe et me fit ouvrir la bouche.

-Toi qui est tant accroché à ces bouts de tissus tu vas pouvoir y goûter pleinement.

Mais je laissais ma bouche fermée, elle me pinça le nez pour que je sois obligée de l'avaler. Le goût n'était vraiment pas appétissant. Elle saisit ensuite un foulard qu'elle nouât autour de ma tête pour faire un bâillon. Elle sortit ensuite un long gode d'une vingtaine de centimètre. Elle voulait me pénétrer ? Je n'avais jamais eu de relation avec une autre femme. Comprenant ce qui allait m'arriver je secouais la tête pour montrer mon mécontentement.

-Tu vas voir ma chérie tu vas adorer. Me dit-elle avec un sourire jusqu'aux oreilles.

Sans plus attendre après quelques caresses elle força l'entrée de mon vagin. Je gigotais, je n'étais pas prêtre. Elle réussi à l'insérer. Tout en me masturbant elle me pinçait le bout des seins, le plaisir commençait a se mélanger a la douleur, elle se retirait avant que je ne jouisse puis au bout de 20 minutes je succombai à un orgasme d'une rare violence. Comment est ce que je pouvais trouver du plaisir dans la souffrance ?

Une fois remise de mes émotions, elle me libéra de mes liens.

-Chaque fois qu'on terminera une séance comme celle ci tu me remercieras et tu me baiseras les pieds.

-Merci Maîtresse. Je m'inclinai et lui déposas un baiser sur le dessus du pied.

Elle me rendit mes affaire sauf ma culotte et me dit de me présenter le lendemain matin à 7h chez elle. 

Cette soirée fut très "marquante" mais je pense que le pire était à venir ...

 

 

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Jeudi 15 mars 4 15 /03 /Mars 20:55

Préambule

Mon prénom est Sophie, je suis une étudiante de 20ans au parcours scolaire plutôt réussi. Cette année est ma dernière en fac d'éco. L'année prochaine j'envisage d'intégrer une classe préparatoire aux grandes écoles. Je dois cette réussite à ma mère qui m'éduque seule depuis mon plus jeune âge. Elle a toujours été loyale et juste avec moi, mais n’a jamais accepté aucun égard de conduite de ma part. Les quelques petites fautes que j'ai pu commettre on toujours été sanctionnées sévèrement, mais sans  punitions corporelles (malgré une fessée étant très  petite).

Voilà pourquoi j’avais la pression maximum pour réussir mes partiels du deuxième trimestre.

Me voilà donc seule devant ma copie le jour de l'épreuve principale, mes révisions avaient été irréprochables puisqu'au bout de1h50 j'avais pratiquement fini. Il ne me manquait plus qu'à relire et j'étais "libérée", mais c'est à ce moment que Stéphanie ma voisine de droite, une fille de la promo avec quelques difficultés, me dit en chuchotant :

- Sophie, donne-moi les réponses de la question 4 s’il te plait, je suis complètement bloquée.

Je fis mine de ne pas entendre pour éviter les problèmes. Mais elle relança :

- S’il te plait, il ne me manque que ça et j'en ai vraiment besoin.

Connaissant ces petites lacunes, je regardais la surveillante, Madame "Caroline", (une prof de la fac que nous connaissons plutôt bien) et fit passer à Stéphanie une partie de mon brouillon où se trouvait les réponses.

-Tiens.

-Merci !!

Ceci fait je fini de relire, rendis ma copie. Je me sentais libérée, j'étais maintenant en vacances et je devais chercher du travail pour payer mes études de l'année prochaine. Mais le soir ma mère rentra dans ma chambre et me tendit le téléphone :

-Oui allo ?

-Bonjour Sophie, c'est Madame Caroline j'aimerai que tu passes me voir demain à mon bureau à l'université.

- Heu oui mais c'est à quel sujet ???

- C'est pour parler de ta poursuite d'étude, j'ai des nouvelles pour toi. Tu passes vers 13h30?

-Oui très bien.

-Alors à demain et ne soit pas en retard.

-Au revoir Madame à demain.

Je n'étais pas très étonnée car Madame Caroline a toujours été sympathique avec les étudiants qui travaillaient et en particulier avec moi.

Le lendemain je me rendis donc à l'université pour mon rendez avec Madame Caroline.

Me voila devant son bureau : Toc toc toc

-Entrez

- Bonjour Madame

- Ah, Sophie. Entre et assied toi, me dit elle d'un ton plutôt sévère. Alors comment se dont passée ses épreuves ?

- Très bien Madame, je pense les avoir bien réussies.

- Pas de problème pour la dernière épreuve ? Elle était plutôt dure.

- Non je m'en suis bien sortie.

- Ah oui? Remarque c'est plutôt facile . . . quand on a les réponses ! Je t'ai vu tricher avec Stéphanie !!

Elle m’avait vu donner cette feuille à Stéphanie. Je rougie aussitôt.

- Mais non Madame ce n'est pas ce que vous croyez, c'est elle qui m'a demandée de l'aider.

- Elle ne m'a pas donnée la même version !

- Mais vous n’allez pas la croire plutôt que moi !

- Mon 1er réflexe a été de croire qu’elle mentait en effet . . . jusqu'à ce qu’elle accepte que je la mette à l’épreuve ! 20 coups de cravaches à cul nu ! Et comme elle maintenait la même version, j’ai refait un service ! Et elle a maintenu son affirmation, sans dévier !

Je n'en revenais pas : je voulais rendre service et on m'avait trahie. Stéphanie lui à fait croire que c'était moi la coupable.

J’étais ensuite effarée du traitement subit par Stéphanie. Cela devait se voir.

- N’aie pas l’air aussi outrée, elle l’avait bien méritée cette punition pour t-avoir aidée à tricher ! Mais comme elle n’avait pas copié, j’ai fait preuve de mansuétude : j’ai décidé de ne pas en référer au Recteur, à la condition qu’elle se présente à mon bureau une fois par  semaine jusqu'à la fin de l'année pour recevoir ses 20 coups de cravaches à cul nu ! Mais je ne pourrai sans doute pas faire preuve de la même indulgence pour toi !

- Mais Madame vous ne me croyez tout de même pas capable de faire une pareille bêtise alors que j'ai cette possibilité de poursuite d'étude ?

- Je crois plutôt que tu avais fait l'impasse sur ce sujet et que tu voulais assurer cette épreuve ! Me dit-elle en tapant le poing sur son bureau.

Et là complètement paniquée je me mis a pleurer. Ne sachant plus quoi dire, elle avait l'air convaincue par la version de Stéphanie.

- Allons calme toi il fallait y penser avant ! M’envoyât-elle sur un ton sec.

- Mais Mada...

- Silence, je crois que tu as de gros problème, regarde j'ai déjà rédigé le rapport sur cet incident. Elle me montra une lettre adressée au recteur. J'étais effondrée.

- S'il vous plait je vois que vous ne me croyez pas mais pensez a ce qui peut m'arriver si vous faites ça !!.

- Je sais, ton année ne serait pas validée et ton entrée à ton école préparatoire serait impossible. De plus, tu sais que tu pourrais être interdite de concours pendant 5 ans?

- Oui c'est pour ça que je n'aurais jamais pu faire une chose pareille.

- SILENCE !! Me cria-t-elle, il fallait que tu y penses avant. En plus je vais devoir avertir ta mère.

Si ma mère apprenait que sa fille avait triché, elle me renverrait de la maison surtout à ce niveau de ma scolarité.

- S’il vous plait Madame ne faites pas ça je ferais tout ce que vous voudrez. Dites-moi. Il fallait a tout prix que je me sortes de ce cauchemar.

- Je ne crois pas que je puisse t'aider, il est de mon devoir d'avertir mes supérieurs. Me rétorqua madame Caroline.

Et là je ne sais pas ce qui m'est arrivée, je me jetai a genoux devant son bureau, j'étais désespérée.

- S’il vous plait Madame, je vous en supplie, je ferai vraiment tout ce que vous voudrez !!

Si je me fiais à la façon dont Madame Caroline avait puni Stéphanie, je crois que j'allai regretter ces paroles, mais trop de choses étaient en jeu. J'allais perdre mes espoirs de réussite professionnelle après tant d'efforts, et ma mère allait sûrement me mettre a la rue, je ne pouvais pas la décevoir.

- Tu es prête a expier ta faute pour cette réussite ?me dit elle

- Oh oui Madame!

- Alors il y a peut être un moyen pour que "j'oublie" ce petit écart.

- Oui dites moi

-Mais il faut que tu sois sure de vraiment tout accepter ce que je te dirais de faire. Parce que dis-toi bien qu’à tout moment je pourrais envoyer cette lettre.

- Oui madame je suis prête. Mais qu'allait elle me proposer ? De l'argent, un service ? Je n'en avais aucune idée.

- Très bien alors commence par aller fermer ma porte de bureau a clé et reviens de positionner debout devant moi.

Je suis allée fermer cette porte et revint me poster juste devant elle, encore sous le choc de ce qui m'arrivait.

- Très bien alors tu vas me remplir une petite décharge où tu attestes les faits et où tu m'autorises à employer tous les moyens éducatifs, et toutes les punitions que je jugerai utiles, pour que je te remettes dans le droit chemin. Que tu dates et signes. Ce sera notre garantie, en plus du rapport. Et rappelles toi bien que je peux le présenter a tout moment.

Je fis cette décharge même si je savais que je n'avais rien fait mais c'était le seul moyen pour que je m'en sorte.

- Merci ma chérie tu as pris une sage décision. Maintenant déshabilles toi !

- Pardon ?

- Tu as très bien compris.

- Mais ... je n'ai pas eu le temps de finir qu'elle m'envoyât une magistrale gifle en pleine figure.

C'est à partir de ce moment que j'ai compris ce qui m'arrivait. Alors timidement je m’exécutai. J'étais vêtue d'une petite robe légère et de tongs (les beaux jours étaient déjà là) . Je fis glisser la robe par terre, j'étais maintenant en sous vêtement devant ma prof, je ne comprenais plus rien j'avais l'impression de faire un mauvais rêve.

- Allez enlève tout, . . . tu verras que tu vas t'y habituer très vite.

J'enlevai mon soutient gorge et ma culotte que je fis tomber par terre pour m'empresser de cacher mes parties intimes.

- Allez mets tes bras le long du corps que je puisse admirer ce joli physique et ces jolies formes. Elle commença à mettre ses mains sur toutes les parties de mon corps pour les jauger. Elle caressa mes seins et ensuite mes fesses :

-Oh qu'elles sont jolies et qu'elles vont être agréable a corriger . . . et en plus, vu la gravité de ta faute, cela va être une rééducation de longue haleine !. Ses derniers mots résonnaient dans ma tête. Elle s'assit sur une chaise et me fit m'allonger sur ses genoux.

-Ceci est un avant goût de ce que tu vas subir pour ta rédemption. Une fessée !! 30 coups à la main pour t'habituer.

Je pris peur:- oh non madame SVP !

-Tu as toujours le choix de la lettre...

Je laissais échapper un soupir qu'elle prit pour une acceptation de la punition.

-Tu vas compter chaque coup. Et je te conseille de ne pas crier sinon je recommence la punition à zéro.

-Bien madame.

-Je vois que tu comprends vite.

La première claque tomba, aucun cris ne m'échappa:-Un, deux, trois, quatre...trente.

Je n'avais rien dit mais des larmes coulaient le long de mon visage, plus de honte que de douleur. Je me frottais les fesses avec mes mains pour essayer de calmer les brûlures. Je n’avais jamais ressenti ça, autant de sentiments mêlés.

-C'est très bien ça tu es très docile !! Bon maintenant et pour finir 10 coups de règle en bois. Même conseil tu ne cries pas.

Le supplice était beaucoup plus douloureux au deuxième coup je ne pus m'empêcher de me protéger et de crier.

-Ce n'est pas très bien ça, je suis obligée de recommencer et c'est toi qui vas en faire les frais !!!

-Mais c'est très douloureux madame. J'ai le derrière en feu !

-Je ne veux rien savoir ne bouge pas !!! Elle me bloqua les poignets dans le dos avec fermeté.

-Et compte bien !!

-Un, deux, trois. Elle alternait sur chaque fesse et la douleur était horrible. Quatre, cinq, six, sept, huit. Les deux derniers coups ont été pour mes cuisses. J'éclatais en sanglot et me remit a ma frotter les fesses qui étaient devenue toutes rouges, elles me cuisaient. Je devais avoir d’horribles marques.

-Allez va te mettre au coin maintenant les mains sur la tête le temps que je range mes affaires, je vais te reconduire chez toi.

Dans ma tête tout était chamboulé, un sentiment bizarre m'avait envahie, beaucoup de honte mêlée à d'étrange sensations que je ne pouvais pas définir.

Une fois qu'elle eu récupérée toutes ses affaires j'eu le droit de me rhabiller, « mais je garde ta culotte » me dit elle « tu viendras la récupérer ce soir chez moi ».

-mais madame je ne peux pas rentrer chez moi comme ça ?

-j'ai dis que je te ramenais en voiture et tu verras tu vas éprouver un sentiment très agréable, allez de toute façon je ne demande pas ton avis.

-Bien madame

Sur le chemin elle me montra son domicile et me dit de m'y rendre 20h : j'ai plusieurs choses a t'expliquer, me dit elle.

Arrivée chez moi, je me rendis compte qu'il était déjà 17 h, j'étais restée plus de trois avec ma nouvelle maîtresse. Ma mère commençait a se faire du soucis mais je lui sortie une "fausse brève" explication et alla m'enfermer dans ma chambre en réfléchissant sur tout ce qui était en train de m'arriver. De plus cette soirée que j'allais passer avec madame Caroline m'effrayait beaucoup après ce que je venais de vivre je m'attendais au pire ..........

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