Chapitre 4 : Réveil brusque
Ce premier réveil fut des plus troublants. Une douleur au niveau de mes seins venait de me tirer de mes rêves brusquement. Quand j'ouvris les yeux je vis Maîtresse Caroline en robe de chambre, penchée sur moi, et qui s'amusait à me torturer les seins encore endoloris par le traitement qu'ils avaient subis la veille.
-Allez petite feignante, réveille toi, je te rappelle que tu n'es pas en vacances ici !! Bon ce matin tu vas servir seulement à mon plaisir.
Je ne savais pas vraiment ce qu'elle voulait dire par là mais j'avais bien l'impression depuis quelques jours de ne plus lui servir qu'à ça.
-Allez ouvre la bouche je te prépare un réveil remplie de sensations.
Elle me présenta devant la bouche un instrument que je n'avais jamais encore vu, c'était un bâillon mais au lieu d'être muni d'une boule, au centre des lanières il y avait un anneau d'environ 4-5cm de diamètre. Encore à moitié endormie je n'ouvris pas la bouche mais Maîtresse Caroline se remit d'une main habille à me torturer la poitrine ce qui eut pour effet de me faire crier et elle en profita donc pour m'introduire cet objet. J'eu beau essayer de le faire sortir avant qu'elle ne l'attache mais mes propres dents le bloquait. Je voulais lui demander de le retirer mais je n'arrivais plus à articuler un mot.
Elle quitta sa robe de chambre et me fit découvrir son corps nu, elle avait de très belle forme et était parfaitement proportionnée. Elle grimpa sur le lit, mis une jambe de chaque côté de mon corps et face à moi rapprocha son sexe de mon visage. L'odeur était forte, elle était toute excitée car ses lèvres étaient dégoulinante de son jus. Elle essaya de les coller sur mon visage mais je tournai la tête pour esquiver.
-Ah oui je ne suis pas assez appétissante pour toi petite salope ? Mais sache que même ton visage m'appartient maintenant et que je peux en disposer comme ça me chante.
Elle se remit à pincer la pointe de mes seins mais cette fois si avec une extrême violence, la douleur était terrible mais je ne pouvais pas bouger. J'aurais voulut la supplier mais aucun mot compréhensible ne sortait de ma bouche.
-Alors maintenant tu vas sortir ta langue et t'appliquer pour me rendre propre ??
Je fis un geste de la tête pour lui dire que j'étais d'accord, j'aurais fait n'importe quoi pour qu'elle arrête.
-Je préfère ça petite salope.
Elle posa donc son sexe sur mon visage, et ma langue venait d'être souillée par se goût fort de mélange d'urine et de sa mouille.
-C'est très bien ça !! Allez joue avec mon petit clito.
Je n'avais jamais eu de relation lesbienne mais la crainte qu'elle recommence à me torturer me poussait à m'appliquer. Au bout de 5 minutess elle commençait à se laisser aller et parfois elle s'appuyait tellement sur moi qu'elle m'empêchait de respirer. Puis elle se laissa jouir et s'effondra sur moi.
Elle se releva et descendit du lit après avoir repris des forces. Elle récupéra un objet qui était posé sur le sol. C'était une petite batterie, un fil était branché à celle ci et au bout il y avait un petit instrument de la forme d'un obus d'environ 2 cm de diamètre et de 6cm de long. Je n'avais aucune idée de son utilisation.
-Voilà un petit jouet qui va bien t'amuser. Il procure des sensations tout à fait étrange.
Je pouvais voir sur son visage un immense sourire qui ne me rassura pas. Elle prit un coussin et me le positionna sous le bas du dos afin de relever mon bassin.
- As-tu déjà eu un rapport anal ?
Je lui fis un signe négatif de la tête et commençait vraiment à paniquer. Je n'avais jamais accepté la sodomie et voulait garder cet orifice vierge mais elle avait d'autres plans pour moi.
Elle revint se positionner sur le lit mais cette fois ci a genoux entre mes jambes. Mon intimité n'avait plus de secret à cause coussin qui dévoilait tout. Elle présenta le petit instrument métallique devant mon anus, il était vraiment très froid. J'essayais de gigoter pour lui montrer mon désaccord mais elle se mit à donner des claques plutôt fortes sur mon clitoris. La douleur stoppa net mon envie de rébellion. D'un geste rapide et sec elle introduisit le plug en moi. J'eu une réaction de recule et un cri étouffé.
-Très bien, voila qui est fait. Ce petit joujou est en fait une électrode qui réagit au son.
Elle se mit un micro au tour du coup.
-A chaque son plus ou moins fort la décharge est plus ou moins violente. On va essayer.
Elle brancha l'appareil et fit un son très léger. La sensation était étrange mais la douleur était bien présente. Elle se repositionna au niveau de mon visage et dit :
-Allez remets toi au travail et fais moi jouir.
Elle voulait que son plaisir devienne une torture pour moi.
Comme elle trouvait que je ne me mis pas assez rapidement au travail et elle recommença à me torturer les seins.
J'appliquais avec soins ma langue sur son sexe offert pour épargner mes seins endoloris. Mais au bout d'un certain temps de caresses forcées Maîtresse se mit à gémir et le petit appareil introduit en moi commençait à se faire sentir douloureusement. Chaque tentative d'arrêt de ma part se soldait par une douloureuse maltraitance de mes seins. La douleur s'intensifia au moment ou Maîtresse Caroline se mit à jouir, se fut pour moi un moment très difficile a passer mais je dois admettre qu'à cette torture se mêlait un plaisir insoupçonné.
Une fois remise de ses émotions Maîtresse Caroline me délivra de cet engin de supplice et de mon bâillon. Elle quitta ensuite ma chambre et vint me libérer de mes entraves quand fin de matinée.
- Il est temps que tu prépares mon déjeuner.
Elle me détacha du lit mais ne prit pas soin de m'habiller. Elle fixa une chaîne entre mes poignets, mes chevilles et le tout était relié à mon collier.
Je lui ai préparée son repas et du lui le servir sur la terrasse extérieur.
-Ta position quand tu attends que je mange sera à partir de maintenant à genoux sauf pour les grandes occasions tu resteras debout pour faire le service.
-Oui Maîtresse.
Je due rester dans cette position environ une heure. Je n'avais pas pu aller aux toilettes depuis hier soir et n'avait pas pu prendre une seule douche. Le temps commençait à durer et j'eu l'impression que j'allais me faire dessus.
Je ne pouvais plus tenir, mon visage était crispé et je gigotais pour essayer de faire passer mon envie. Maîtresse Caroline comprit rapidement mon désagrément.
-Ah oui ma petite chérie, tu n'as pas eu le loisir de faire tes besoins. Et bien regarde une fois que tu auras débarrassée la table tu auras tout le loisir de te satisfaire dans le jardin.
-Mais Maîtresse je ne peux pas, je ...
-Allez arrête de faire ta mijaurée, tu crois que les esclaves se servent des commodités de leur maître ? Laisse-moi rire. De toute façon je vois bien que tu ne peux plus te retenir alors débarrasse la table et vas y.
Elle avait raison je ne pouvais plus me retenir, l'envie devenait trop forte, mais je du lutter pour avoir le temps de débarrasser sa table. Une fois fini je me dirigeais vers l'immense pelouse mais Maîtresse caroline m'interrompit pour me fixer une laisse au collier.
-J'ai toujours aimé promener les chiens !! Elle se mit à rire. Allez suit moi je ne veux pas que tu t'oublies sur la terrasse.
J'étais en train de vivre une humiliation totale, je venais de perdre mon statut d'être humain. Mais malgré tout ça je m’accroupis devant elle et fit mes besoins comme un chien. Quelques l'armes ont coulé sur mon visage mais je n'ai à aucun moment eu la volonté de me rebeller. L'humiliation fut totale quand elle décida juste après de me laver au jet d'eau à l'aide d'une éponge.
Je m'enfonçais de plus en plus dans mon état d'asservissement....
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