Chapitre 3 : Une première journée intense
Ca y est, je venais de recevoir mes "fonctions" et je savais que je ne pouvais plus revenir en arrière. Je me sentais à la fois désemparée et à la fois bizarrement excitée par l'inconnu. En plus, je serai rémunérée pour ce travail donc il fallait juste être courageuse.
Une fois qu'elle m'eu énumérée le planning elle me fit découvrir plus en détail la cuisine pour que je puisse m'y retrouver quand je ferais à manger. Quand la visite fut terminée je dû lui préparer le petit déjeuner elle me détailla précisément tout ce qu'elle voulait et me dit :
-Attention ne te trompe pas et réussit bien les préparations parce que le petit déjeuner est le repas le plus important de la journée et si il est loupé je serai de mauvaise humeur et je pense que tu n'as pas envie de ça.
-Bien je ferai attention Maîtresse.
-On verra ça, je t’attends dans le salon dépêche toi !
Je me mis tout de suite au travail mais ce ne fut pas chose facile car je n'arrêtais pas de chercher ce dont j'avais besoin mais dans l'ensemble je pensais ne pas avoir trop mal travaillé. Je me présentai donc devant Maîtresse Caroline puis lui servi ses tartines, sont café et son fruit.
-J'espère que c'est bon parce que tu as pris ton temps !
-Désolée Maîtresse mais je ne connais pas très bien la cuisine.
-Je ne veux pas savoir, mais tu vas voir tu vas bientôt très bien la connaître.
Une fois qu'elle commença à déjeuner je voulu me retirer dans la cuisine mais elle me dit :
-Reste là ! Je ne crois pas t'avoir demandé de partir. Je crois que tu as encore beaucoup de chose à apprendre !
C'est vrai que je me sentais mal à l'aise je ne savais pas trop quoi faire, c'était la première fois que je devais servir quelqu'un. Alors je suis resté debout à un mètre d'elle en là regardant manger.
Une fois qu'elle eut terminé elle me dit :
-Pour cette fois ce n'est pas trop mal. Même si tu as trop fais griller les tartines et que as mis trop de sucre dans mon café. Allez débarrasse, je ne pense pas que ce soit trop dur pour toi ça ?
-Non Maîtresse.
Ces réflexions étaient désagréables mais je pensais pouvoir les supporter. Je fis la vaisselle, la rangea et nettoyât la table puis revint vers elle.
-Bon puisque tu m'as dis que tu ne t'y retrouvais pas encore dans cette maison tu vas avoir le loisir de la connaître par cœur : tu vas nettoyer tous les sols avec une brosse et un sot. Tu verras après tu connaîtras tous les recoins sur le bout des doigts.
-Mais Maîtresse j'en ai pour des heures.
-Et alors tu es bien là pour ça ?? Et puis tu commences à m'énerver à toujours répondre !
Elle me saisit le bras et avec une importante force elle me coucha sur la table basse du salon.
-Reste ici ne bouge pas.
Elle revint très rapidement avec un martinet et des bouts de cordes. Elle commença par me retirer ma robe tant bien que mal vu ma position et mes légers débattements puis elle me fixât les quatre membres aux pieds de la table. J'étais terrifiée je la suppliais.
-Maîtresse excusez moi, s'il vous plait, je me terrai maintenant.
-C'est trop tard petite peste tu vas recevoir une petite correction qui va t'aider à te mettre au plis.
Et elle se mis à me fouetter les fesses avec ces lanières de cuir, puis elle fit rougir mon dos et mes cuisses. Je criais mais ne pouvais pas éviter les coups. Elle me corrigeât pendant environ dix minutes mais ce me paru une éternité. Puis elle me détachât puis passa sa main sur mes fesses et mon dos comme pour admirer le résultat. J'étais en larme et mon corps me brûlait mais elle m'emmena vers un placard ou ce trouvait le matériel pour faire le ménage puis elle dit de prendre un sot et la brosse et d'aller faire mon travail. Je saisi les instruments, j'étais révoltée mais la correction que je venais de recevoir me poussa à me conduire docilement. Elle ne me rendit pas ma robe et je me retrouvais juste vêtue de mes talons et de mes entraves à quatre pattes pour faire briller tous ses sols. La tache était longue et pénible. Je me suis arrêtée juste à midi pour lui préparer son repas mais moi je n'avais toujours rien mangé et je commençais à avoir mal au ventre mais je n’osai pas lui demander quelque chose par peur de représailles. J'ai fini le ménage vers 15h complètement exténuée, les genoux endoloris et une faim énorme.
Comme je pensais avoir fais du bon travail je lui dis :
-Maîtresse s'il vous plait est ce que je pourrais manger maintenant.
-Allez si tu veux, assis toi par terre sur le tapis de salon et ne bouge pas.
Ce que je fis sans problème après ces dures heures de ménages. J'étais encore nue mais ne ressentais, bizarrement, pratiquement pas de gêne, j'avais tellement du mal à réfléchir par honte et par peur que je pense que c'est ça qui me rendait si docile.
Au bout d'environ quinze minute elle vint me chercher et me fixa une laisse au bout du collier que je portais, je me sentais terriblement ridicule à côté de cette femme. Elle m'emmena à quatre pattes jusqu'au sous sol où je vis deux gamelles une d'eau et l'autre on aurait dit une sorte de purée ou de compote, c'était en fait de la nourriture pour bébé.
Elle me relia les mains dans le dos par un mousqueton et me dit :
-Voilà le vrai repas d'une parfaite petite esclave régale toi.
-Mais Maîtresse je ne peux pas manger comme ça!! J'étais complètement paniquée et honteuse de cette situation.
-Ah oui tu ne peux pas très bien je les enlève.
-Non Maîtresse s'il vous plait j'ai très faim je vais manger comme ça.
-D'accord mais maintenant silence et mange on n’a pas que ça à faire !
Je penchai la tête sans pouvoir m'aider de mes mains et comme un chien je me suis mise à manger, mes fesses nues étaient relevées et je devais lui offrir en spectacle mes parties intimes. J'étais vraiment devenue une esclave.
Ce ne fut pas facile d'en cette position mais au bout de 5min j'avais tout vidé. Elle me fit boire puis me mouilla légèrement le visage pour nettoyer la nourriture qui si trouvait. J'ai eu le droit de remettre ma robe ensuite pour faire les lessives et repasser le linge de ma Maîtresse. Elle m'avait, pour ça, fixer une chaîne qui était fixer au mur de a buanderie à la cheville droite puis relier les poignets par une chaîne pour réduire mes mouvements. Je dois dire que comme ça il n'était pas facile de manier un fer. Elle revint me chercher vers sept heures pour que je prépare le repas et que je lui le serve au salon toujours avec les poignets reliés mais cette fois mes chevilles l'étaient aussi et elle fixa une chaîne à mon collier qui reliait mes poignets et mes chevilles. Mes mouvements étaient réduits et ce ne fut pas chose facile de préparer à manger et de lui apporter les plats. Pendant qu'elle mangeait elle fit rester debout à côté d'elle et parfois de donnait quelque bout de nourriture comme un maître à son chien.
Une fois le repas terminée et que tout fut nettoyé elle me fit m'agenouiller à côté de son fauteuil et me dit :
-Comme c'est ta première soirée ici je te permettre de te reposer.
Je pensais dans ma tête c'est bon je vais pourvoir aller me coucher ou elle va me permettre de regarder la télé. Mais ses projets pour moi étaient tout à fait différent en revint avec différent accessoires. Elle avait pour idée que je lui serve de table. Elle me fixa les chevilles, puis me relia les poignets dans le dos. Puis elle m'installa une sorte de plateau qu'elle fixa par une chaînette autour de mon cou puis me découvris les seins juste un petite geste de recule
-Allons ne bouge pas tu vas voir c'est très marrant.
Elle me fixa les deux autres extrémités du plateau par des pinces reliées à des chaînettes aux tétons. La douleur fut vive et je laissai partir un : "aie".
-Ne t'inquiète pas tu vas t'y habituer.
Puis elle finit par me poser un bâillon boule dans la bouche qui fut très désagréable à porter.
-Bon voila j'ai fini reste le dos bien droit et regarde toujours en fasse de toi.
Facile à dire mais la position était vraiment pénible. Elle revint ensuite avec un verre d'alcool qu'elle posa sur le plateau puis s'installa dans son fauteuil pour lire un livre.
Le poids du verre n'était pas vraiment important mais les pinces était qan même douloureuse en plus l'odeur d'alcool sous mon nez était vraiment très désagréable. Je suis restée environ comme ça 2 heures pour qu'elle lise son livre. Elle ne m'a a aucun moment adressée la parole mais quand elle voyait que ma position commençait a faiblir elle me regardait d'un air de me dire "attention si tu ne veux pas de correction reste bien sage !". C'est ce qui m'a poussé à ne pas bouger.
Vers 10 heures elle a donc décidée d'aller se coucher et d'enfin me libérer. Quand elle a enlevé les pinces de mes seins la douleur fut énorme et je ne pus échapper un cri étouffé.
Enfin elle me conduisit dans ma chambre, me déshabilla comme si j’étais handicapée mais décida de me faire dormir sur le dos, mes pieds et mes mains reliés aux extrémités du petit lit. Elle me couvrit ensuite d'une couverture.
Elle me regarda tendrement pour la première fois et me dit après m'avoir déposé un baiser sur le front :
-Je suis contente que tu sois là.
Elle referma la porte à clés après avoir éteint la lumière. Ma chambre était devenue un cachot. Je me suis endormis rapidement après cette journée plutôt mouvementé et bouleversante.
Aucun commentaire pour cet article
Novembre 2024 | ||||||||||
L | M | M | J | V | S | D | ||||
1 | 2 | 3 | ||||||||
4 | 5 | 6 | 7 | 8 | 9 | 10 | ||||
11 | 12 | 13 | 14 | 15 | 16 | 17 | ||||
18 | 19 | 20 | 21 | 22 | 23 | 24 | ||||
25 | 26 | 27 | 28 | 29 | 30 | |||||
|