Sarah: La punition de Sarah, par Alexis

Dimanche 26 février 7 26 /02 /Fév 23:15

Chapitre 11 : les cloches sonnent


«Ah ha! Je savais qu'ils étaient ici!!"


Dans ma collection de clips et de colliers, j'ai choisi deux belles pinces «papillon» en métal, assez fermes et lourdes.


Je me suis assis dans mon fauteuil et fit signe à Sarah de venir vers moi. J'ai l’ai placée entre mes jambes écartées, en face de moi, afin que ses seins pendent comme des gros fruits murs merveilleux devant mes yeux avides. J'ai tenu les colliers de serrage dissimulés dans une main et avec l'autre, j’ai caressé et massé les superbes masses de chairs. Sarah était horrifiée et bien sûr pleurait à chaudes larmes.


Je tournais ses mamelons en tous sens, émerveillée par leur taille et fermeté. Ils en devenaient encore plus grands et plus ferme.


«J'espère que tu n’es pas encore en train de t-abandonner à tes instincts Sarah! », dis-je en plaquant ma main entre son entre-jambe afin de palper sa chatte. Elle était légèrement humide, mais cela aurait pu être simplement provoqué par l'effort. Je lui ai donné le bénéfice du doute.



Brandissant les pinces devant les yeux de Sarah, j'ai dit: "Je vais les fixer à tes mamelons, Sarah. (Elle avait les yeux creusés.) Cela va être un peu inconfortable, mais dois-je te rappeler l'importance de l'obéissance ? Je ne veux pas de résistance et aucune lutte, ou tu sera encore plus désolée de ce qui va s'en suivre! ».

 

Avec ma main droite, j'ai légèrement pressé le sein gauche de Sarah, juste derrière le mamelon, ce qui fit pointer le délectable morceau encore plus fortement, et puis j'ai fixé avec soin la pince. Dès que la pince mordit la chair fragile, Sarah hurla et fit un bond en arrière, comme pour me fuir.


« Owww! Owww! Oh! Ça fait mal! Oh, oh!! »

« Tais-toi, Sarah! Et reviens à ta place! »

Elle obéit, mais elle ne put retenir une série continue de cris étouffés.

«Non, non! S'il vous plaît, oh s'il vous plaît!", a t-elle a plaidé, comme elle me voyait préparer la répétition de l'opération avec l’autre mamelon.

Je restai bien entendu sourde à la supplique.

"Ahh! Owww! Oh, ça fait trop mal! Oh!"

J'ai glissé de ma chaise et me suis levée, laissant Sarah se concentrer sur sa nouvelle douleur. Je
allée vers un autre tiroir et ai récupéré deux cloches en laiton d’environ 500 grammes chacune. Ce n’était pas un poids terriblement lourd pour tenir dans une main, mais je soupçonnais que Sarah allait trouver leur poids tout à fait suffisant lorsqu’ils allaient se retrouver suspendus à ses mamelons.

 

Les cloches se suspendaient aux pinces par un crochet. J'ai fixé les 2 poids en les maintenant afin qu’ils ne tirent pas de suite sur les seins.


Les yeux de Sarah étaient fermés et elle ne vit donc pas la manœuvre.


Je laissais ensuite lentement descendre les cloches et les lâchaient.


Libérées, les cloches tintèrent joyeusement.

La réponse de Sarah fût homérique.

«Ahhhhhhh! Owwwww! Oh! Oh, oh! Je ne peux pas le supporter! Ooooh!".

 

Elle hurla et son visage devint rouge et déformé par la douleur. Apparemment, ses fesses en feu étaient définitivement passées au second plan de ses préoccupations!

 

En hurlant, Sarah se débattit et découvrit que cela ne faisait qu’accentuer sa douleur. Elle essaya donc de rester immobile.


J'ai noté que les mamelons étaient désormais étendu à environ deux fois leur longueur normale,
qui était déjà impressionnante. Sarah était sexy en diable !


Encore une fois je me suis levée et je repris la direction de mon tiroir à trésor pendant que Sarah continuait de crier et sangloter. J'ai récupéré 2 nouvelles pinceset 2 nouvelles cloches identiques aux précédentes et me dirigeais vers ma jeune victime en prenant soin de faire taire les cloches.


Les yeux à nouveau fermés, Sarah gémissait de douleur et ne me remarqua pas avancer un tabouret derrière elle. Elle frissonne un peu lorsqu’elle a senti ma main chaude caresser sa cuisse molle, mais les cloches qui tiraient sur ses mamelons douloureux l'ont empêchée de faire toute tentative d'évasion ou de défendre sa personne.

Je me suis donné quelques instants pour profiter de la vue qui s’offrait à moi. Les fesses de Sarah s’exposaient sans pudeur devant mes yeux : à l’origine bien blanches, elles étaient maintenant écarlates et rayées de marques rouges et violacées. Sa chatte dodue apparaissait encore rouge et gonflée et son petit trou du cul était toujours plus mignon et rose que jamais.

Les cris de Sarah diminuaient progressivement et j’ai glissé ma main jusqu'à son entre-cuisse et soigneusement saisit une de ses grandes lèvres.

"Ohhh . . . qu’est-ce que vous ...?", s’exclama Sarah d'une voix tremblante.

Pour toute réponse, j'ai rapidement fixé l’une des pinces à sa grande lèvre et suspendu une cloche qui se mit à tinter..

"Owwwww! Ohhhhhh! Non! Pas ça! Pas là! Aïe! Enlevez-là! Aïe! S'il vous plaît, Pitié! ".

Pauvre fille! Elle avait une idée de ce qui allait arriver, mais ne pouvait pas bouger pour échapper sans causer à ses mamelons une douleur encore plus forte.

J’ai alors attaché l'autre pince et la 2ème cloche. Les grandes lèvres étaient étirées à l’extrême et ressemblaient maintenant plus à 2 grandes babines bien roses!


La jeune fille s'est laissée aller à un gémissement rauque, un gémissement de souffrance extrême.

 

"Arrrrrghhh! . . .Ohhhhharrrrgghhh!

En dépit de sa tentative de rester immobile, elle tremblait de douleur tandis que les cloches, à la fois devant et derrière, se balançait légèrement et tintaient doucement. Peu à peu, ses plaintes se sont apaisées jusqu'à ce qu'il ne reste plus qu’une sorte de halètement douloureux.

Pour m’amuser, je projetai une des cloches suspendues à sa chatte sur la seconde. Cela provoqua un tintement joyeux et une série de hurlements désespérés. La cloche est entrée en collision avec sa partenaire et toutes deux se balançaient d'avant en arrière, provoquant la distension des grandes lèvres vaginales. Tout ce que Sarah put faire, c'est de gémir et pleurer tout en restant à attendre que le mouvement douloureux s’arrête de lui-même.

Je me suis levée, ramassa la canne, et dit: «Eh bien, Sarah, il est temps de reprendre ta progression. Tu n’avais plus que 2 circuits à effectuer et ta bastonnade sera finie. "

« Ohhh! J . . . J. . . je ne peux plus bouger ... s'il vous plaît, Madame La directrice! Ah! Ohhh! »

« Tu ferais mieux de te remettre en piste ma chérie, sauf si tu veux entendre tes jolies clochettes sonner bien entendu ! »

« S'il vous plaît, s'il vous plaît ... pl ... ça fait mal ... je serai ... sage ... Ah! Ohhh! »

Et la pauvre fille a commencé à se déplacer lentement par petit pas. Elle a réussi à être très prudente, de sorte que, tandis que les cloches ne balançaient un peu, elles sonnaient à peine. Néanmoins, il était évident que le moindre mouvement était douloureux.

«Viens, ma fille, nous n'avons pas toute la journée, tu sais. C’est bien . . . mets toi dans la bonne direction maintenant ».


Vlan!

 

La canne a repris ses travaux, entrant en collision avec le derrière déjà meurtri de la belle.

Sarah a crié, à la fois de la douleur du coup de canne et de la réaction inévitable de ses colifichets.

Vlan! Vlan!

 

J'ai décochais deux traits en diagonale. Cette fois, elle sauta presque, et les cloches rebondirent joyeusement. Ses cris et ses hurlements étaient impressionnants.

"Tu ferais mieux de bouger, Sarah, parce que cette bastonnade se poursuivra jusqu'à ce que tu ai terminé tes tours. "

Vlan! Vlan!

 

Cette fois, j'ai visité les parties supérieures des fesses bien bombées et Sarah est presque tombée. Le résultat pour sa chatte et ses mamelons devait être assez douloureux ! Les cloches sonnaient fort. !

Sarah réalisa qu’elle avait tout intérêt à commencer à bouger. Elle a commencé à se dandiner, un pas devant l’autre, en essayant de son mieux d’éviter des dommages supplémentaires à ses parties sensibles. Cependant rien de ce qu'elle pouvait faire ne pouvait m’empêcher de la flageller et de faire tinter ses grelots ! Comment la petite a crié et pleuré! Je fis une pause, rien que pour le plaisir de profiter de la vue de la jeune fille en pleurs.

Je repris ensuite la punition en visant l’intérieur fragile des cuisses. Sarah a commencé à se déplacer plus rapidement, en essayant d'éviter les coups, en faisant tinter les cloches à tout va.

Vlan! Vlan! Vlan! Vlan!

 

La pauvre fille était désespérée.

 

Elle augmenta sa vitesse, jusqu'à se déplacer environ au quart de sa vitesse de pointe précédent. Ses seins rebondissaient et dansaient, en jetant les cloches en tous sens qui entraient en collision les unes avec les autres.

Le cul de Sarah était un pudding flamboyant de couleur prune.

 

Il ne restait plus à l’adolescente qu’un tour et demie à effectuer.


Vlan! Vlan! Et une ligne rouge vif apparut sur chaque sein, pour changer.


Sarah fut tellement choquée qu'elle ne cria pas.


Vlan! Vlan! Une de plus sur chaque sein.


"Ahhhhh! Hooooo! Ahhhh! Sarah réalisa rapidement son erreur et me tourna de nouveau le dos, continuant sa quête, se dandinant à pleine vitesse, ses fesses recevant de nouveau coups après coups meurtriers. Enfin, Sarah termina sa course autour de la pièce. J'ai arrêté la canne, mais elle continuait de se dandiner en criant et faisant tinter ses bijoux. C'était très distrayant, je dois dire.

«Sarah, ma chérie, vous pouvez désormais arrêter."  

 

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Mercredi 22 février 3 22 /02 /Fév 19:44

Chapitre 10 : Sarah entravée


"Maintenant, comme je le disais, nous commençons à être très en retard, donc je pense que nous allons aller droit au but. Tout d'abord, puisque nous avons établi que tu n'es pas capable de maintenir ta position de punition, je pense que nous avons besoin de contraindre tes mouvements. Vas à ce mur, là, Sarah, et apporte-moi l’objet suspendu là. Oui, celui-là. Amène-le ici "


L’excuse du retard était une excuse qui fonctionnait toujours très bien !


L'équipement que m’apporta Sarah se composait d’une barre de bois à laquelle étaient fixés des brassards de cuir assez grands pour être attachés autour des cuisses d'une jeune fille, juste au dessus du genou.

 

La barre de bois se fixait de plus aux poignets par deux autres brassards, reliés à la barre par deux chaînes de métal. Souriant, je reçu d'une source provenant Sarah confus et effrayés et le leva pour son usage.


«Eh bien, Sarah, qu'en pense-tu? Peut-tu imaginer comment ce petit article est d'être utilisé? "


Sarah regarda l'engin avec fascination craintive. Elle s'arrêta de pleurer, se concentrant pour trouver une réponse à ma question.


« Tout ce que tu as à faire est de mettre les plus grands brassards autour de tes jambes », lui expliquais-je en lui remettant l'engin en main.


Sarah recula, "Ohhh ... ohhh, Madame la directrice, s'il vous plaît-p ..." Elle avait visiblement très peur.

"Dois-je appeler nos amis, ma chérie?


«Non, non, Madame la directrice, je vais l-le faire ..." et la pauvre enfant tendit la main pour prendre le redoutable appareil en main.


Je le lui tendit. Il ne lui a pas fallu très longtemps pour attacher les brassards à ses cuisses. Puis, elle attendit, ne sachant visiblement que faire des 2 autres brassards.

 
Elle avait l'air tout à fait adorable: une adolescente nue et voluptueuse avec ses genoux attachés l'un à l'autre, mais suffisamment écartés pour qu'elle soit dans l'impossibilité de protéger le petit trésor placé entre ses cuisses à l'abri des regards et des . . . coups!


«Maintenant, attache le brassard à ton poignet gauche », Sarah."


"Oh, Mme Madame la directrice, s'il vous plaît, je vous promets que je vais rester en position! Vous n'avez pas à le faire . . . »


"Sarah, obéit-moi, maintenant."


Elle a commencé à chialer à nouveau, mais obéit, l'échine courbée. Avec un poignet fixé, la posture de Sarah devenait encore plus intéressante. La pauvre fille se retrouva dans une position assez provocatrice, fesses bien relevées.


«Bon, ma fille, maintenant je vais finir de t-attacher". Et j'ai rapidement fixé le poignet droit de Sarah la bande de cuir restante. Le choix de poses de Sarah est devenu plus limité. Si elle voulait être capable de regarder devant elle, elle devait adopter une posture accroupie. Sinon, elle pouvait redresser les jambes, mais cela la contraignait à se pencher en avant plus sévèrement. Cette position était tout à fait attrayante - pas pour elle bien entendue, mais pour moi! En outre, bien sûr, Sarah était désormais totalement entravée, incapable de se libérer seule.


Afin qu'elle puisse garder ses yeux sur moi, Sarah décida de se tenir jambes repliées, en me faisant face, postérieur vers le bas, loin de mes mains. Elle n'avait pas conscience qu'ainsi elle me présentait ses seins lourds qui pendaient sans défense.


J'eu un petit rire: «Eh bien, Sarah, tu ne manque pas de  charme dans ta nouvelle position »


Sarah tourna son regard suppliant et pitoyable plus sur moi, avec peu d'effet.


"Mme . . . Madame Marks, je promets que je vais rester en position pour la punition! Oh, s'il vous plaît, laissez-moi libre! "


J'ai ignoré cette demande. « Marche en arrière de quelques pas. Oui . . . ».


La pauvre fille se dandinait d'avant en arrière dans son absurde posture, pleurant amèrement d''humiliation. Après un peu de pratique, elle a bien reçu la coup de lui et traînant plutôt bien. L'effet visuel était délicieux: elle remuait les fesses et les seins grossièrement gigotant par petits pas pour reculer. Il était difficile de garder à l'esprit que la pauvre fille n'était pas si provocatrice à dessein.


Ses jambes ont dû être fatigué se de leur position courbée, et, bien sûr, Sarah se trouva obligé de redresser ses jambes afin de reposer ses muscles fatigués. Cela lui lui fit basculer tête et épaules vers le bas, et les fesses vers le haut, à l'équerre. A nouveau, la pose était charmante et j'accordais un  nouvel hommage mental à ses deux orifices vierge.


Je passais derrière mon bureau, en disant à Sarah avec un rire cruel, « je serai bientôt de retour, ma chérie! »


J'ai ouvert une porte à côté de l'armoire. A l'intérieur du placard je rangeais une grande variété de cannes. J'ai choisi l'un des modèles les plus sévères. En me dirigeant vers ma victime avec cet impressionnant instrument, je vis que Sarah lutta un peu, mais qu'elle constata rapidement qu'elle n'allait pas être en mesure de se libérer.


Saisissant Sarah par l'oreille à nouveau (j'adore faire ça!), je l'ai conduit à un mur de la pièce.


 «Maintenant, ma fille, voici ce qui va se passer. Tu n'as qu'à faire le tour de la salle trois fois et ta bastonnade sera finie. Je te conseille d'aller aussi vite que tu le pourras, parce que je vais te bastonner aussi vite que je le peux. Maintenant, voici la ligne de départ. Bien. Maintenant, le signal de départ est très simple - commence à bouger dès que tu sentiras le 1er coup de canne. "


Elle avait l'air si adorable là, attendant que la canne s'attaquer son fondement!


J'ai lancé la canne vigoureusement vers les fesses de Sarah . Elle s'imprima profondément dans les chairs de la jeune fille. Sarah hurla de douleur et de surprise. Elle sauta en avant en réaction à la douleur, mais, étant une fille intelligente, elle se souvint qu'elle commencer à avancer si elle voulait minimiser le nombre de coups sur ses fesses. Elle commença à se dandiner aussi rapidement qu'elle le pouvait, et je dois dire que l'image qu'elle a présenté a même réussit à détourner la canne pendant quelques secondes. J'ai été complètement pris par le balancement des fesses et  des seins de Sarah.


Je me suis reprise et décochait un 2eme coups dans le fessier de la belle!

"Allons, Sarah, plus vite! Vite!"

 

Vlan! Vlan!


"Owww! Owwwww! Oh, ça fait mal!"


Je suivais la pauvre fille alors qu'elle avançait avec une habileté sans cesse croissante, en ajoutant à chaque pas une nouvelle rayure douloureuse sur son arrière-train, jusqu'à ce que, au moment où nous avions fait un tour de pièce, elle se mit à se déplaçer à une vitesse surprenante. Malheureusement pour son cul, je n'en ai pas moins réussi à lui décocher une trentaine de bons
coupe de la canne. Le cul de Sarah virait au pourpre foncé.


Les choses allaient cependant trop vite. Sarah avançait trop vite. A son rythme actuel, je ne pourrai que lui décocher au plus que cinquante coups, et je tenais à donner beaucoup plus que cela - pour son propre bien, bien sûr!


«Arrête, Sarah . . . J'ai dit stop!"


La jeune fille nue était tellement absorbée dans sa course qu'il lui a fallu quelques secondes pour enregistrer ma commande. Maintenant, elle se tenait immobile, haletante, avec ses jambes redressées afin de reposer ses muscles. Elle pleurait amèrement de honte et douleur. Je m'arrêtais pour boire avec ce spectacle magnifique sous les yeux.


«Tu évolue très bien Sarah. Je te félicite pour ton agilité. Toutefois, J'ai besoin de m'assurer que tu prenne la pleine mesure de ta punition ... "


«Mais, Madame la directrice, mon postérieur est en feu! J'ai été très, très punie déjà! Ohhh, je ne pense pas que je puisse prendre beaucoup plus de cela ... plus de canne s'il vous plaît. "


"Ton cul à un peu mal?" demandai-je, caressant l'objet de la discussion affectueusement, provoquant chez Sarah évidemment un certain malaise, à en juger par ses cris de protestation.


J'ai continué: «J'espère donc que tu vas apprendre à être plus respectueuse des règles de l'école, ma chérie et éviter toute répétition de cette expérience. J'ai bien peur que ton cul ait encore beaucoup plus à souffrir cet après-midi. "


"Ohhhh ... Madame la directrice! S'il vous plaît, je n'en peux plus!"


"Eh bien, je crains que tu vas devoir encore prendre sur toi! Quoi qu'il en soit, j'ai décidé de te fixer avec quelques jolis bijoux, que tu vas aimer, j'en suis certaine ».

 

Sur ce commentaire, je fouillais dans un tiroir.

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Dimanche 19 février 7 19 /02 /Fév 21:32

Chapitre 9 : La salle de punition


«Mon Dieu, ce n’est pas de chance, Sarah ! Si près du but . . . Tu as toute ma compassion ma chérie . . . Mais il ne faut pas te laisser aller ! On se relève !"


J'ai aidé la pauvre fille à se remettre sur ses pieds. Elle était courbée en deux, mais a réussi à rester debout. Toutefois, ses mains restaient entre ses jambes à masser doucement la chatte cuisante.


«Allons Sarah, pas besoin de faire tant d'histoires à propos de quelques petites gifles"


Sarah se redressa, ses bras sur ses côtés, ses merveilleux seins pointant vers moi.

 

Je remarquais que les jambes de la jeune fille étaient arquées.


"Sarah, un peu de tenue : mets tes jambes droites, s'il te plaît. Essayes-tu de me provoquer à nouveau?"


La jeune fille commençait véritablement à bien être conditionnée à l'obéissance. Elle referma les jambes de suite en couinant de douleur.


Avec une voix perdue de petite fille, elle dit: « Oh, Mme. Marks . . ."


«Oui, Sarah. »


"Cela signifie vraiment que je vais être punie en public . . . en face des garçons?"


"En présence des garçons, des filles et de nos instructeurs . . . je le crains oui"


« Ohhhh, non! »


Sarah allait tomber à genoux pour me supplier, mais je l'ai arrêté d’un geste clair de la main.

 
«Maintenant, nous avons vraiment besoin de vous consacrer à ta punition. Nous en sommes presqu’au point mort !"


"M-Mais, Madame la Directrice, vous avez fait tellement! J’ai subi tant de choses, je suis assez puni, n’est-ce  pas? "


"Vous avez reçu un petit échauffement en guise de fessée, c'est tout . . . ».


"Ca  . . . ça fait mal . . . ça fait trop mal . . . »


«Je suis désolée si ça fait mal, ma chérie, mais la punition est inévitable, je te l’ai déjà expliquée "


Un regard désespéré ce fixa sur ce joli visage.


« A la salle de punition maintenant".

 

Et j'ai attrapé Sarah par l’oreille droite et l’ai tirée vers une porte à la droite de mon bureau. Elle gémissait un peu mais a fait son mieux pour être coopérative et marchait avec moi, bien que sa démarche était arquée. J'ai ouvert la porte et fit signe à Sarah pour montrer la voie. J’ai allumé la lumière, comme elle passait par la porte, et j'ai été heureuse de capter son souffle coupé. Je suis assez fière de ma salle de punition, et elle fait toujours son petit effet sur mes futures victimes lors de leur 1ere visite.


Lors de sa 1ere visite, l’élève punie devine de suite qu’il s’agit d’un endroit spécial. Il est vrai qu’il y a de nombreux indices : le cheval de voltige avec ses bretelles stratégiquement placée, les différentes poulies au plafond et sur les murs, les deux «chevaux de bois » que j'avais acquis récemment et qui ont été si utiles à punir les jeunes filles qui se sont rendus coupables de délits sexuels, la chaise à gode rectal, les sacs à lavements accrochés aux murs, etc.


La salle elle-même était assez grande pour contenir confortablement toutes ces choses, et en plus pour conserver encore beaucoup d'espace pour bouger. L'éclairage était tamisé et agréable, mais la salle était aussi équipée de spots puissants.

 

Sarah regarda autour d'elle les yeux exorbités, horrifiée.

 

J’ai alors enlevé ma veste et ma chemise, puis laissé tombé ma jupe, dévoilant un soutien-gorge de dentelle noire et une petite culotte échancrée assortie. Je fis sauter les attaches du soutien-gorge, dévoilant mes 2 petits seins entièrement bronzés et encore fermes pour leur âge, mais Sarah était trop occupée à examiner la salle pour s’apercevoir de quoi que ce soit. J’ai rangé mes vêtements dans un placard et j’ai enfilé un petit short de coton gris et un t-shirt de la même matière et de la même couleur beaucoup plus confortable. J'ai ensuite pris place dans mon fauteuil préféré, un fauteuil confortable placé dans un coin de sorte qu'il avait vue sur toute la salle de punition.


Sarah m'a regardé avec crainte. Elle avait inconsciemment repris son habitude d'essayer de protéger sa pudeur, avec un bras couvrant ses seins et l'autre main posé sur sa chatte. Elle s’était aussi d’elle-même adossée à un mur, peut-être pour protéger ses fesses.


Je souris: «Eh bien, Sarah, qu’en pense-tu? C'est une pièce bien-nommée, je dirais. Je peux te dire une chose - les jeunes filles comme toi ne quitte pas cette chambre sans avoir à appris une leçon forte sur la valeur du bon comportement."


Je me servis un petit verre de cognac à partir d'une carafe sur la table d'appoint à côté de mon fauteuil, allumais un cigare et me donnais le plaisir de profiter de la superbe beauté nue en face de moi. Elle pleurait et semblait à nouveau avoir perdu la parole. Ses yeux lançaient des regards aux objets de la pièce, de toute évidence pour essayer de comprendre leurs utilisations potentielles, leurs menaces. Avec quelques-uns, sans doute, elle n'avait aucun mal à discerner le but, alors que d'autres devaient la laisser perplexe.


J’ai d’ailleurs oublié de préciser que la pièce était très confortable. Le plancher était recouvert d'un lino couleur amande, les murs pastels étaient rembourrés, et l'éclairage était efficace et agréable. Comme toujours, quand j'entrais dans cette pièce avec un sujet, je pris quelques secondes pour tout boire un verre afin de me détendre et me préparer pour la suite des événements.


J’utilisais cette salle de punition pour les cas «spéciaux», ceux qui avaient besoin de beaucoup plus d'attention. Ceux qui allaient crier beaucoup plus que la normale ! Ou je préférai que les perturbations pour les classes ayant lieu juste en dessous de la salle soient minimisés.


La fermeture de la porte de cette chambre envoyait un froid glacial dans le cœur de la plus brave des filles. La porte fermée, il ne restait plus au monde que la fille et moi. Sarah semblait très impressionnée. Son reniflement s'était arrêté, pour être remplacé par une sorte de halètement.  «Maintenant, Sarah, viens en face de moi. "


Sarah poussa un gémissement, mais obtempéra  à mon ordre, en protégeant ses zones sensibles du mieux qu’elle pouvait.


«Maintenant, les mains sur ta tête et au garde à vous !"


Là encore, elle poussa un gémissement de désespoir et obéit, mettant ses mains sur la tête et rejetant ses épaules en arrière, ce qui eu pour effet de projeter ses seins en avant. J’avais ainsi vue sur ses gros seins laiteux, ses larges mamelons roses, son ventre mou et plat, sa chatte grasse et encore rouge couverte d’un léger gazon roux. Elle se tenait devant moi, tremblante, le regard implorant la miséricorde même si sa voix se tut.


Elle avait les jambes légèrement écartées, probablement en raison de la douleur continue de sa chatte.

« Jambes bien droites, Sarah ».


Elle obéit, mais j'ai noté une grimace de douleur qui stria son front.


"C’est ton clitoris, ce gros bout de chair rouge sortit de ta chatte ma chérie ? », ai-je demandé, en me penchant un peu pour obtenir une meilleure vue, provoquant chez Sarah un élan de détresse supplémentaire.


"O-Oui, Madame La Directrice . . ."


«Eh bien, quel morceau ! Tu vas avoir un franc succès auprès de tes camarades de classes masculins lors de ta punition publique ! Dommage que tu n’as pas pu pas durer un coup de plus ! »


Un cri de désespoir a répondu à cette pique.


J’en ai rajouté.

 

 "Oui, je comprends ton inquiétude ! Les châtiments publics seront probablement particulièrement pénibles, physiquement et moralement ! "


"Ohhh, Madame La Directrice! Ne me faites pas passer . . ."


"Silence! Maintenant, retourne-toi et montre-moi tes fesses».


Sarah se retourna et exposa son superbe postérieur sous mes yeux.


"Tu as un superbe fessier Sarah, et je pense que son apparence s’est améliorée après le début de fessée que tu as reçue : le rouge lui va très bien. Mais, je ne crains cependant que tes fesses affichent toutes les couleurs de l'arc-en lorsque j’en aurai finit avec elle. Maintenant, s'il te plaît va à ce mur sur ta droite et amène-moi l'objet suspendu là-bas. "

 

Sarah s’exécuta.

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Mardi 14 février 2 14 /02 /Fév 19:50

Chapitre 8 : Fessée sur la chatte


"Bonne fille. Peut-être que nous allons finir par arriver quelque part. Juste pour montrer que j’ai bon cœur, je vais te faire une nouvelle offre. Je vais te donner une autre chance, avant de finir de t-administrer ta punition. Je te donne une chance de réduire la peine que tu devras recevoir pour t-être encore abandonnée à tes plus bas instincts ! ».

 

Je lui décochai un  sourire franc.


« Ta punition pour cette ultime faute devrait normalement être très douloureuse et très humiliante, et peut-être plus important pour toi, administrée en public . . . En fait, tu devrais recevoir cette punition à la vue de tous les élèves, filles où . . . garçons, des 2 écoles réunies. Et je te laisse imaginer quelle partie de ton corps je vais devoir punir, ma chérie, pour une faute d’une  telle gravité? ". J'ai terminé ma diatribe en continuant de sourire.


Sarah était tellement choquée qu'elle ne pouvait plus parler. Son visage s’était vidé de son sang.


J'ai continué: «Eh bien, puis-je déduire de ton expression choquée que tu es prête à faire l'expérience d'un tel châtiment ? »


"Oh, pitié . . .  s'il vous plaît . . . non, non . . . pas devant des garçons ...".


«Oui, cela pourrait certainement être embarrassant. Eh bien, voici ce que tu as à faire pour l’éviter. D'abord va t-assoir sur mon bureau. ".


La pauvre jeune fille effrayée obéit de suite, posant ses fesses endolories sur le bois dur avec une grimace. Ses jambes étaient sagement serrées et elle croisa les bras en face de ses seins. Elle me regardait la peur dans les yeux en attendant mes ordres.

"Très bien, Sarah. Maintenant, laisse-moi débarrasser mon bureau . . . Voilà ! Maintenant, tu vas te coucher sur le dos. . . Bien!". J'aidais la fille  tremblante à se coucher en veillant à ce que son postérieur soit au bord du bureau.


"Maintenant, je vais t-aider pour la partie suivante. Nous allons, oooph, lever tes jambes vers le haut, vers le haut et le ventre. Maintenant, Sarah, ne résiste pas, sauf si tu es vraiment désireuse d’expérimenter   les châtiments publics. N'oublie pas que tu montrerais à toutes les filles et garçons de l’école tout ce que tu me montre aujourd'hui."


Avec un gémissement de désespoir, Sarah m'a aidé à pousser ses jambes vers l’arrière, et elle
saisit ses chevilles quand je lui dis de le faire.


«Maintenant, tiens bien tes chevilles, ma chérie, et écartes-les au maximum. . . Bonne fille !"


La pauvre Sarah, parfaitement consciente de m’exposer sa chatte sans pudeur n’était plus que reniflements et sanglots comme si son cœur allait se briser. Son beau postérieur était perché sur le bord du bureau. Je pouvais constater que Sarah marquai facilement, comme beaucoup de rousse. Sa chatte était en effet rouge et un peu gonflée après n’avoir reçue qu’une claque.


En plus de sa chatte, j’avais une superbe vue sur son anus. Ce joli trou du cul était plus frais que jamais. Je pris à nouveau rendez-vous mentalement avec lui.


"Détends toi ma chérie. Je serai bientôt de retour ...", dis-je en passant derrière mon bureau pour prendre une tapette à mouche en plastique léger. Je suis ensuite retournée vers Sarah en lui donnant un sourire amical et en lui montra l'instrument.


«Oui, c'est seulement une tapette à mouche, ma chérie. J'ai l’ai trouvée admirablement appropriée pour punir les chattes des mauvaises filles. Qu’en penses-tu?"


Elle secoua la tête: «Non . . . vous ne . . . pas . . . »


«Par tous les moyens, Sarah, tu dois être guéri de ta dépendance à la jouissance sexuelle y compris par les mesures de rigueur les plus strictes. Maintenant, tout ce que tu dois faire est de rester allongée sur le dos et de garder tes chevilles en mains. Si tu les laisse aller pour un instant, je rétabli ton châtiment public. Je ne le dis pas toujours aux filles punies à l'avance, mais comme je t-aime bien, je te précise que tu dois tenir pendant vingt coups."


"N-non, Madame la Directrice! Je suis très sensible à cet endroit! Je ne pourrais pas le supporter! "


«Eh bien, OK, alors, Sarah, mais rappelle-toi, ton châtiment public va probablement commencer avec quelque chose comme cette petite punition et enchaîner par des mesures encore plus graves. Et puis, elle durera une journée complète. Toutefois, si c'est la façon dont souhaite être punie, je vais t-aider à descendre." Et j'ai fait mine de tendre les bras.


Mais Sarah a dit: «Non, je vais essayer, je vais essayer! Je ne peux être punie en public. Je ne peux pas! ».  Et Sarah est restée sur le bureau avec ses parties intimes lascivement exposées devant moi, de sa propre «libre» volonté! J’avais réussie à pousser ma victime à offrir volontairement sa chatte pour la punition!


"Une décision sage, Sarah. Après tout, ce n’est pas un tue-mouche qui va te faire grand mal ! »


Sarah semblait être plus réservée sur cette affirmation.


Allais-je vraiment donner à Sarah une chance d'échapper au châtiment public? Bien sûr que non. Je jouais avec elle comme le chat avec la souris. Je savais très bien que Sarah ne serait jamais en mesure de tenir bon, et j’allais y veiller. C'est l'une de mes techniques pour garder mon emploi intéressant et enrichissant !


J'ai soulevé la tapette. Les yeux de Sarah se sont creusés, et j'ai dit: «Tiens bon, Sarah ! ».


SMACK!

 

J'ai attaqué assez légèrement en ne frappant pas trop lourdement sur la chatte.


Elle a voûté le dos et a hurlé.

 

 "Ahhhhhgggg! Aïe! Aïe! Ohhhh! Ohhh! ».

 

Ses muscles des cuisses se sont contractés avec violence, mais elle est restée en place. Je voulais lui donner un peu d'espoir, afin qu'elle  pense pouvoir tenir! J'ai été très agréablement surprise par la sensibilité de cette partie de son anatomie.


SMACK!

 

Une autre claque, mais sa chatte déjà douloureuse encaissa ce coup un peu plus difficilement.


« Aghghghg! Ohhh! Owwwww! », hurla t-elle avec frénésie.


«Je ne pense pas que tu vas t-abandonner à tes pulsions maintenant, n’est-ce pas ma chérie? » , ai-je
demandé, en regardant avec satisfaction la chatte de Sarah rougir. En effet, il ne semblait avoir aucun signe d'éveil.


SMACK!

 

J'ai alors décoché un coup un tout petit peu plus ferme, et ce fût presque trop pour Sarah. Elle poussa un cri très fort et ses jambes ont fait de leur mieux pour  ne pas partir en vrille. Mais de toute façon notre courageuse Sarah a réussi à tenir le coup.


Je crains que je ne laisse parfois mon plaisir m'emporter. Aussi fis-je attention de bien doser mes coup afin que l’adolescente puisse tenir presque jusqu’à la fin de sa punition. J’ai allégé le coup suivant. J'ai également ralenti le rythme des coups afin de lui donner un peu de temps pour récupérer. Dans les intervalles, j'ai bavardé amicalement sur ceci et cela - mes projets pour mon jardin, ce genre de chose. Sarah semblait un peu loin au cours de ces conversations, semblant se préoccuper plus de ses sensations que de mes propos.


Légers comme ils l'étaient, chaque coup semblait assez sérieux pour Sarah, par référence au peu qu’elle avait connu à ce jour dans sa jeune vie. Je me promis de compléter son éducation en la matière à vitesse accélérée !


Après dix-sept claques, la chatte de Sarah était passée au rouge foncé et était gonflé et marquée. Sarah semblait presqu’au bout de son endurance, mais résolue à s'accrocher jusqu’à la fin.


Pour le 19eme coup, j'ai soulevé la tapette et l'abattit avec violence sur la chatte offerte.


WHAAAAAP!

La douleur atroce étourdit la jeune fille. Les mains s’accrochèrent à ses jambes jusqu'à ce que les doigts virent au blanc. Une seconde plus tard un cri angoissé sortit de la bouche de ma victime. Elle réussit à peine à tenir sa position. Ses jambes et ses fesses tremblaient violemment.


WHAAAAAP!

 

Le 20eme coup fit l'affaire.


Sarah hurla et immédiatement lâcha ses jambes, tombant vers l'avant, se roulant compulsivement en boule au sol. Elle se blottit dans la position du fœtus, mains sur la chatte. J'ai souri, satisfaite.

 

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Sarah: La punition de Sarah, par Alexis - Communauté : Soumissions féminines
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Mardi 7 février 2 07 /02 /Fév 18:58

Chapitre 7 : Début de fessée sur le cul

 

Je posai alors mes mains sur les fesses de la jeune rouquine, qui sursauta en hoquetant.

 

Doucement, lentement, je me mis à les caresser, à les pétrir.

 

De nouveau, Sarah se mit à respirer par saccades, à haleter.

 

A chaque fois que mes pouces se rapprochaient de son anus, la jeune fille contractait ses fesses pour les protéger d’une éventuelle agression.


Mais Sarah est restée en position en ne faisant mine de se protéger avec ses mains qu’une seule fois. Une faute qu’elle corrigea de suite, sans besoin de rappel à l’ordre.


«Je te félicite, Sarah . . . tu as un cul magnifique ! Comme ta chatte, il est tellement dodu que je n’aurai aucun soucis pour t-administrer ta fessée ! "


La jeune fille réprima un sanglot de honte.


J'ai continué à «torturer» et à «taquiner» ma victime avec mes caresses légères en frôlant toujours sa chatte et son anus. Bientôt, je pris conscience que mon vrai but avait été atteint. Autrement dit, notre pauvre jeune fille s’excitait de nouveau. Je ne sais pas si j'ai d'abord senti l’odeur de la mouille ou si je l’ai vu suinter, mais les manifestations étaient parfaitement visibles. La  peau rose de l’adolescente était luisante et des gouttes de rosée étaient suspendues aux poils roux. Je  pouvais également voir le gonflement des lèvres vaginales maintenant clairement exposées. Magnifique spectacle ! L'arôme âcre des sexes de rousse était caractéristique.


J'ai arrêté ma caresse, et dit d'une voix choquée faussement choquée, je dis : « Sarah, je peux à peine croire ce que je sens et vois ! Vous vous êtes une nouvelle fois livrée à vos plus vils appétits !"


«Oh non, Madame . . . ! Non, nooooon! Je suis ... je suis désolée ... je n’ai pu m’arrêter . . ."

C'était amusant d’avoir une conversation avec une jeune fille dans la position de Sarah, « face à moi » comme elle était, avec son cul, sa chatte et son anus, qu’elle ne pensait maintenant plus à protéger, sous les yeux.


«Tu ne fais qu'empirer les choses, ma fille, en n'acceptant pas la responsabilité de ton comportement. Je ne veux pas être dupé et je ne l'accepte pas. Je ne peux pas croire qu’après ce que je t-ai dit, explicitement, que tu as le courage de t-abandonner à nouveau. Je ne crois pas avoir jamais rencontré une telle insolence et une telle impudeur! "


"Ohhhh, sniff »!, elle ne pouvait que pleurer, ses épaules et ses fesses s’agitant en rythme avec
ses sanglots.


«Eh bien, dis-je d'une voix froide, laisse-moi être parfaitement claire. Tu seras puni pour cela, ma fille - très lourdement . . . Je n'en dirai pas plus pour l'instant, mais on peut s'attendre à des conséquences graves pour ta soi-disant pudeur ! ».


Je laissais ces mots s'enfoncer dans son esprit à travers ses sanglots, et puis j'ai dis: "Mais le temps est à l'action. Nous devons faire avec. D'abord, ta fessée, et je te conseille très fortement de rester en position tout au long de la punition, peu importe à quel point ça fait mal."


WHAP!

 

La première claque tomba sur la fesse droite avec violence.

 

Une vraie fessée fait mal.

 

Et Sarah recevait une vraie fessée !


"Oww! Oww! Ahh!", a hurlé Sarah en lâchant les pieds de chaise, se levant juste un peu. Ma récente conférence était cependant encore dans son esprit et comme elle voulait vraiment éviter toute nouvelle sanction plus dure encore, elle a réussi à se forcer à reprendre sa position. C'était un beau spectacle, à voir reparaître la chatte et l'anus après leur absence momentanée.


«Il était sage de te rappeler à toi-même, Sarah, et de réprimer tout élan d’indiscipline ! Cependant, même le moindre écart te coûtera une aggravation de ta punition !  Encore une fois, je te conseille de rester parfaitement immobile ».

 

WHAP! WHAP!

 

J’avais cette fois décochée 2 claques, une sur chaque fesse. Sarah a hurlé à chacune mais a réussi à maintenir son emprise sur la chaise.


WHAP! WHAP!

 

Deux autres claques, toujours aussi violentes.

 

Sarah a crié de nouveau et se tourna brusquement vers l'arrière, près de perdre de son emprise sur les pieds de la chaise. Comme elle se laissa retomber vers le bas, ces deux gros seins gigotèrent, se rappelant à mon bon souvenir.


J’accélérais alors la cadence de frappe, sans en atténuer la violence.


WHAP!
"Owww!


WHAP!
 "Owww! Ahhh!"


WHAP!
"Ahhhgg! Owww!"


WHAP!
"Ohhhh!
Sob! Ahhh! Oh, S'il vous plaît ....!"


WHAP!
"Ahhhhhgggg! Oh, arrêtez, arrêtez! Ça fait mal!"

 

Les fesses de  Sarah tremblaient et reculaient avec chaque coup. Ses cris étaient de plus en plus remplis de douleur et de désespoir. J'ai vu que ses jambes commençaient à trembler. Je me suis alors autorisée à commencer à frapper la chatte offerte entre deux claques sur les fesses accentuant encore la peur et la douleur de ma victime.


Sarah a essayé de son mieux pour faire preuve de courage, de tenir sa position, mais c'était une bataille perdue d’avance. J’étai résolue à frapper jusqu’à ce qu’elle cède !


Pour accélérer le mouvement,  j'ai appliqué une gifle très dure sur sa grasse, mais vulnérable, chatte !

Splatt!

"Aiiieeeeghhhhoowww!", a-t-elle criée tout en se relevant et en couvrant son intimité pour se protéger. Elle était en pleurs. Tout son corps était secoué de sanglots, ses seins lourds en premier, qui gigotaient sans retenue.


«Tu fais à nouveau preuve d'insubordination? », demandai-je.

"Ohhhh, je suis désolé, je suis désolé! Mais, vous frappez m-m-mes . . . ohhhh mon Dieu! Ohhh,
ça fait mal! ". Elle balbutiait travers ses larmes, bouleversée.


« Je crois que le mot que tu recherche est . . .  chatte, ma chérie. Ou peut-être . . . vulve? "

 

Je savourai l’air outré qu’elle arborait sur son visage.

 

" Il est inévitable qu’au cours d'une fessée grave, il y ai quelques coups qui tombent à côté de la cible. Cela fait partie d'une fessée, ma chérie. Et la fessée, j'ose le dire, est une activité avec laquelle tu ne semble pas avoir eu une connaissance suffisante dans ta jeune vie. Tu devrais m’être reconnaissante que je ne donne pas à ta chatte ma complète attention. Tu chanterais une mélodie différente, alors, je parie. Mais peu importe. Tu as prouvé que tu es une fille qui ne sait pas se discipliner. Tant pis pour toi, parce que cela signifie une augmentation de la sévérité de la punition. Cela signifie aussi que la présence de Sam et Ken sera nécessaire. Je vais donc les appeler ».


«Non, non, je vais rester en position! S'il vous plaît! Oh, je veux dire, tant que vous ne touchez pas moi ... là ... à nouveau. Non! Je veux dire ... ce que vous dites, je vais faire ... C’était inexcusable de ma part Madame La Directrice . . . Je reprends la position . . . Vous pouvez me punir comme vous le voulez Madame La Directrice! . . . Je suis à votre disposition . . . Seulement, n’appelez ces garçons!".

 

La pauvre Sarah n'appréciait certainement pas l'idée que Sam et Ken
aient vue sur ses voies intimes !


«Ma petite, j'espère que tu es consciente de la clémence répétée avec laquelle je te traite! . . . »

 

« Oui, Madame la Directrice . . . Merci, madame la Directrice ».


« Hmmm, nous allons voir. En tout cas, une chose est sûre, pour la fin de ta punition, tu seras entravée ! Je ne peux pas être dérangé en permanence et te commander de nouveau de te remettre dans la bonne position. Après tout,  j'ai à peine commencé ta punition et nous sommes déjà en retard. ".


"A peine commencée? M-mais vous avez . . .". Elle renifla, incrédule.


"Allons! Tu ne crois pas que l’on envoie les élèves dans mon bureau pour des punitions aussi légères ! Ne sois pas stupide, ma fille. Maintenant, nous allons voir. Je suis d'accord pour ne pas appeler Sam et Ken si tu accepte de plein gré de te soumettre à ta punition et surtout de ne plus résister en aucune façon. ".


"Oooh, Madame . . .?".


"Tu m’as entendu, Sarah. Tu accepte ou nos deux jeunes amis reviennent pour s'amuser un peu plus? ".

"Je vais le faire . . . Ohhhhhhh . . . Je ferai ce que vous voulez Madame la Directrice!"

 

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