Sarah: La punition de Sarah, par Alexis

Jeudi 2 février 4 02 /02 /Fév 21:06

Chapitre 6 : Sarah se retrouve cul et chatte à l’air


Sarah était courbée en deux et se massait les seins


"Attention, Sarah." Dis-je.


Sarah reprit aussitôt sa posture, quoique un peu distraitement. Bien que ses gémissements aient cessé pour  le moment, les larmes ont continué à couler de ses yeux rougis et elle  reniflait périodiquement. Elle semblait sous le choc par ce qu'il s'était passé, alors j'ai attendu un peu pour lui laisser reprendre ses repères et admirer son opulente poitrine se soulever à chaque respiration saccadée.


J’ai noté avec plaisir les empreintes de mains parfaitement formées, rouges, sur le côté de chaque sein frémissant.


Sarah regarda vers le bas et remarqua de nouveau sa culotte mouillée. Avec un petit gémissement elle a avancé ses mains pour se couvrir, mais, pensant mieux me satisfaire, et  avec un soupir, elle les laissa retomber sur ses flancs.

 

La garce m’excitait lorsqu’elle me résistait . . . mais elle m’excitait aussi lorsqu’elle se soumettait ! Elle n’était pas sortie de l’auberge !


«Oui, je suppose que c’est très embarrassant.", ai-je dit d'un ton aimable.

 

«Ici, ma fille, pose toi sur la chaise. ". Après qu'elle fut assise, elle a commencé à plier distraitement ses bras sur sa poitrine saillante, mais à la vue de mon regard a rapidement remis ses bras sus ses côtés.


"Je pense que je vois une certaine amélioration, Sarah. Tu semble comprendre enfin qu’elle est la place d’une élève punie et faire preuve de l'obéissance totale et immédiate que je suis en droit d’attendre. Ai-je raison? »


"Oui Madame la Directrice. Sniff ... Oh, s'il vous plaît laissez-moi mettre mes vêtements ...", regardant nerveusement ses tétons en érection.


«Crois moi, en mon fort intérieur, je ne demande que cela Sarah, mais je manquerais à mes devoirs si je ne tenais pas fermement la direction de cette séance de discipline. . . . Maintenant, voyons, où  en étions-nous? Oh, oui, je me souviens maintenant, mais peut-être que maintenant que tu es bien obéissante va tu me le dire? Pourquoi a t-on invité Ken et Sam à se joindre à nous? »


Le visage de Sarah pâlit: «Oh oui .... Madame la Directrice... Oh, s'il vous plaît ..."


"Et qu'est-ce donc?


Sarah se mit à sangloter: «Ohhhh, vous ... vouliez que je ... oh!"


"Allez!"

«Vous voulait me faire enlever mes sous-vêtements! Oh, Mme Marks, n'y a t-il pas d'autre
façon de me punir? Je suis très pudique, et la m-ma religion ... "


«Sarah, ma chère, tu n’a pas à te préoccuper de moralité et de modestie. Tu n’es plus dans une école religieuse. Tu ne dois apprendre qu’à obéir. "


Sarah a commencé à trembler, "Oh, mais ... ne nous s-même ... Je veux dire que j'ai déjà h-ma
b-soutien-gorge ... "


"Si je dois appeler Sam et Ken, ma chérie, alors, je te laisse seule avec eux pendant une heure. As-tu idée de ce qu’ils ont envie de faire avec toi pendant une heure? . . . Je ne suis pas certaine qu’ils se contentent de te fesser ! Mais peut-être ne t-en plaindrais tu pas ! Permets-moi de les appeler ... "

"Non! Pitié . . .! Oh, mon Dieu, pardonne-moi!" Elle se tordait les mains.


«Eh bien, lèves-toi et enlève ta culotte! De toute façon, elle est trempée de tes sécrétions ! On dirait que tu as pissé ! Tu seras bien plus à l'aise ! », ai-je ajouté en riant.


Le visage sillonné de larmes, Sarah se leva et  a commencé à avancer lentement sa culotte sur ses hanches.

La culotte avait atteint le point critique ou la jeune fille allait exposer ses poils pubiens. La pauvre Sarah a cessé de la pousser vers le bas et me regardait suppliante. Je lui ai souri et fait un mouvement léger mais significatif vers le bouton de mon bureau.


Avec un sanglot étouffé, Sarah a poussé sa culotte vers le bas, passé le point critique et soudain, la culotte tomba à ses pieds. Elle dévoila ainsi une belle chatte dodue, seulement un peu caché par une très légère toison pubienne constituée de poils roux épars qui avaient du mal à cacher de grosses lèvres roses et un clitoris prometteur.

 

Mécaniquement, Sarah tenta de couvrir son sexe de ses mains. Encore une fois, j'ai souri et déplacé mon doigt vers le bouton magique.


Sarah s'écria: «Non!", et par à-coups a retiré ses mains. C'était une lutte homérique, et par deux fois ses mains ont commencé à regagner leur poste, mais la raison l'a emporté.


«Viens ici, ma chérie, à côté du bureau. Bon. Je veux voir à quel point tu t-es laissée allé ! »


La jeune fille fit le tour du bureau et je me tournai vers elle. Je lui ai indiqué de se mettre à environ deux pieds en face de moi, et, merveille des merveilles, elle obéit. En silence, je laissai mes yeux voraces voyager, monter et descendre sur son corps nubile et voluptueux. D’elle-même, elle rejeta les épaules en arrière et tint son dos bien droit. Ses seins me sautèrent presque qu’a la figure. Mon souffle me manqua. Puis j'ai commencé à regarder son con, ce qui, j'en suis sûr, lui a causé une grande souffrance morale, mais elle garda la position.


Je commentais d’un petit rire, "Hmmmm, je vois que nous avons besoin de l'utilisation d'une serviette ou un sèche-cheveux,! ».


En effet, les poils roux arrosés avec les gouttelettes de Sarah étaient luisants.


J’ai contourné mon bureau jusqu’au et j’ai ouvert un tiroir de l’armoire, qui contenait différentes tailles de serviettes. J'ai pris une serviette blanche, moelleuse.


"Ohhh, Madame la Directrice ..." gémit Sarah, comme elle a vu ce que je faisais.


J'ai décidé que c'était un bon point de paraître clémente.

 

Je tendis la serviette à l’adolescente.


«Hmm, je peux imaginer qu'il serait très dommageable pour ta pudeur que je te touche là, Sarah. Sèche-toi toi-même. N'oublie pas, cependant, que je vais vérifiez par la suite ta propreté ».



Elle saisit la serviette, la regarda sans comprendre, et hésita.


«L'obéissance, Sarah, . . . »


Rapidement, la pauvre fille a commencé à appliquer la serviette sur sa chatte humide. Elle a commencé  plutôt mollement, comme trop timide pour se frotter devant moi. C'était plutôt charmant.

"Tu ferais mieux de t-assurer et faire un nettoyage approfondi Sarah, parce que je serai intraitable à l’inspection », dis-je. « Evidemment, cela serait plus simple si tu étais épilée comme presque toutes tes camarades !


La jeune fille se mit à se nettoyer chatte et cuisses avec application.


«Je vais prendre ça.", lui dis-je une fois qu’elle eu terminée, pour reprendre la serviette.


La serviette était définitivement humide. J’ai porté la serviette à mes narines et je me suis mis à la renifler. Sarah courba l’échine sous la honte.


«Je ne veux maintenant plus détecter la moindre trace d'humidité ou tout autre signe d’excitation sexuelle ! Tu dois apprendre à réprimer tes bas instincts.»


«Oui, Madame la Directrice."


J'ai dit: «Eh bien, il m'a semblé que tu as fait un travail approfondi, donc je vais renoncer à tout examen pour l'instant. Eh bien, ma chérie, où en étions-nous? »


«Je ne sais pas de Madame la Directrice ». Elle renifla.


«Eh bien, je veux dire, tu es venue ici pour la punition, n’est-ce pas ? Je pense que nous devons ne pas l’oublier. Maintenant, je crois que nous étions en train de commencer une fessée, à l’origine sur ta jupe. Puis, grâce à ton entêtement, elle allait être donnée sur ta culotte. Maintenant, ma chérie, toujours grâce à ton propre comportement, elle va l’être sur les fesses nues, alors que tu es complètement nue. "


Le regard d'horreur qui a traversé son visage en ce moment était merveilleux, certainement le
genre de chose qui me maintient dans le goût du travail bien fait.


"Ohhh, s'il vous plaît, Madame la Directrice, n'ai-je pas été assez puni? Ces garçons... ce qu'ils ont fait à mes ... et je suis toute nue ... j’ai trop honte, . . . s'il vous plaît laissez-moi ... mettre ma culotte et ensuite vous fessez moi comme je le mérite "


J'ai ri aux éclats.

 

«Sarah, ma chérie, tu ne semble pas comprendre à quel point j'ai été clémente. Maintenant, laisse là ces billevesées. Voyons, où vais-je te . . . ? Oh, bien sûr, . . . sur la chaise . . .  et courbe toi juste dans la position ou tu étais auparavant. Maintenant, Sarah !"


La fille savait qu'elle devait obéir, et elle marcha lentement, avec angoisse, vers la chaise qui l'attendait en face de mon bureau. Elle reprit sa position, mais en se rendant compte qu’elle exposait ainsi sa raie fessière, son anus et sa chatte avec impudeur. Cerise sur le gâteau, ses seins libérés pendaient maintenant lourdement vers le sol.

 

Le tableau était absolument magnifique !


J'ai posé doucement ma main droite sur les fesses et entendu  son souffle. Alors j’ai frotté doucement pendant qu’elle gémissait sous l’humiliation.


Elle se mit à pleurer. Je l'ai aidée à atteindre le bas de la chaise et à saisir les  pieds de chaise aussi bas que possible. Puis je me suis déplacé autour d'elle.


«Eh bien, Sarah, je peux voir pourquoi tu étais si peu disposés à assumer cette position. Tu expose en effet absolument toute ton intimité! Heureusement que je suis une femme ! Il ne faudrait pas que Sam et Ken soient obligés d’entrer !» La pauvre fille gémit de désespoir.


«Maintenant Sarah, tu va devoir garder cette position sans faillir ! »


"Oui, Madame la Directrice."


J’étais aux anges. Le cul de Sarah était splendide ! Je me promis de ne pas relâcher ma proie tant que je ne me serais pas occupé de son cul, ses seins, sa chatte et son anus comme ils le méritaient ! Mes deux « Boys » allaient être à la fête.


J'étais fascinée, subjuguée. Mon cœur bondissait à chaque petit clin d'oeil de l’anus provoqué par les tics nerveux compréhensible de Sarah.

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Mardi 24 janvier 2 24 /01 /Jan 23:36

Chapitre 5 : Sarah se retrouve les seins à l’air


"Ohhhh ... non, Madame la Directrice, je ne voulais pas! Je suis désolé, je suis désolé!" La pauvre en bavait. Elle allait avoir d’autres occasions de le faire ! Elle est cependant restée bien fléchis sur la chaise, les fesses dans sa jolie culotte blanche si joliment présentée.


"D'abord, tu va passer le reste de notre séance comme la luxurieuse  Jezebel que tu es, c'est-à-dire nue! ».


"Non!"

«Oh, oui! Et maintenant, lève-toi!"


Sarah obéit.


Elle a rapidement sauté hors de la chaise, en disant: «Jamais, jamais! Vous ne pouvez pas me faire ça ! »

Quand elle se fut calmée un peu, j'ai ajouté, «Sarah, ma chère, si tu voulais m’agacer pour aggraver ta punition par plaisir, et bien laisse-moi te dire que tu as réussi ! Tu as de façon flagrante et sans cesse défié mes commandements, et, peut-être le pire de tout, tu t-es odieusement livrée à tes bas instincts en t-excitant sexuellement lors d'une session disciplinaire. Cette dernière infraction est tout simplement impardonnable. "


Sarah était calme maintenant, intimidée encore, à l'écoute de chacun de mes mots.


«Grâce à ta liste impressionnante d’infractions, une liste non moins impressionnantes de sanctions sont programmées. Mais ton comportement abject me force à étendre et amplifier tes punitions. Je pense que je peux t-assurer que, après ton expérience ici aujourd'hui, tu ne pourras jamais plus faire preuve d'insubordination ou te laisser aller en ma présence. "


«Oh, je suis désolée! . . . Je serai sage! S'il vous plaît . . . vous me touchiez . . . et je ne pouvais pas empêcher ce qui est arrivé ! »


«Je suis désolé, Sarah, il n'y a aucune excuse pour se comporter comme une garce. Une vraie jeune fille sait se contenir ! Cependant, comme toujours, je te laisse la possibilité d’alléger ta peine en devenant obéissante. Vas-tu enfin maintenant commencer à suivre mes ordres sans discuter? »


"O. . . Oui, Madame la Directrice.", gémit ma pauvre victime.


«Bon!, Retire tes sous-vêtements à l'instant. Le soutien-gorge en premier."


"Oh! Oh, s'il vous plaît ... Je ferai tout ce que vous dites, mais, JE NE PEUX PAS faire ça! Je ne peux pas! », éclata la jeune fille, en larmes, en se tordant les mains.


Dans un accès de désespoir, elle tomba à genoux devant moi ", Mme Marks ... vous pouvez comprendre ... Je vais être obéissante mais je ne peux pas enlever mes sous-vêtements . . . Ce serait un péché! "


"Silence ma fille!"


Elle obéit, debout en tremblant et sanglotant en face de moi.


«Ma chérie, vos inquiétudes au sujet du péché sonnent un peu creux après la façon dont vous vous êtes livrée au plaisir sexuel sous mes doigts ! ».


En effet, la tache humide sur sa culotte était plus grande et plus évidente. Ce n'était probablement pas qu'elle a été de plus en plus excitée, elle était probablement au-delà de cette expérience maintenant. L’humidité avait eu simplement la chance de tremper à travers sa culotte. Néanmoins, la chère fille était mortifié de constater ce point.


"Vous avez deux secondes pour commencer à enlever votre soutien-gorge. Je ne plaisante pas."


Sarah était paralysée.


J'ai attendu pendant quelques secondes. Elle est restée paralysée.


Je me tournai vers mon bureau et  poussai le bouton qui convoquerait Ken et Sam. Sarah
savais ce que je faisais et a plaidé: «Non, Madame la Directrice! Pas eux!"


Il était trop tard. Les deux heureux adolescents entrèrent.


"Merci Ken, Sam, d'être venus. Maintenant, permettez-moi de vous signaler une manifestation certaine de l’état d’esprit de cette jeune fille". Et je montrai la tache humide dans l'entrejambe de Sarah.

 

 « Maintenant, les garçons ", ai-je dit:« Nous avons une coupable désobéissante à traiter. Enlevez moi ce soutien gorge pour commencer . . . Et inutile de prendre de gants, vous voyez bien que malgré ses cris la demoiselle éprouve un vif plaisir à la situation . . . que nous allons faire passer !"

Sarah a essayé de s'échapper, mais c'était sans espoir. Ils l’ont rapidement saisit, tout en la tenant fermement.

 

Sam fit sauter les crochets de son soutien-gorge de qualité industrielle.


Encore une fois Sarah était dans une situation désespérée. Elle a crié, «Je vais le faire! Arrêtez-les,
Mme Marks!"


"Ahem. Arrêtez-vous les garçons . . . Qu’est-ce-ce que tu dis, ma chérie? »


«Je ferai ce que vous voulez!"


"Et qu'est-ce que c'est?


«Je ... Je ... Oh, Dieu me pardonne !.... je vais enlever mes sous-vêtements."


«Eh bien! Commence donc!"


Sam et Ken lâchèrent à contrecœur la délicieuse adolescente, qui se tint là, ne sachant que faire.

«Eh bien, n’as-tu pas dis que tu allais retirer tes sous vêtements?"


"Oh, mais pas avec eux ici. Je vais le faire en face de vous, . . .  "


«Oh, Sarah, Sarah, quand vas-tu enfin apprendre? Bon, une fois de plus, je serai clémente. Puisque tu m’as forcé à faire appel à Sam et Ken, tu va enlever ton soutien-gorge devant eux, mais ils partiront ensuite et tu retireras alors ta culotte devant moi seulement ! »


"Ohh! Ohhh! ». La panique pure que je lu dans les yeux de Sarah n'a pas de prix !

 

« Allons Sarah ! A moins que tu ne préfère te faire retirer soutien-gorge et culotte par tes 2 amis ?"


Une nouvelle explosion de sanglots accompagna l’action d’obéissance de Sarah : elle enleva les bretelles de son soutien-gorge.


Ce fut un moment merveilleux. L'une des filles les plus timide et prude que j’ai  jamais rencontré était sur le point de livrer d’elle-même ses seins nus en face de sa directrice d’école et deux jeunes adolescents lubriques. C'était la dernière chose qu'elle voulait faire, mais elle n’avait pas le choix ! Cela a été une exquise agonie mentale pour elle et son visage d’adolescente innocente trahissait l’horreur qu’elle ressentait. Les crochets et les clips sautèrent les uns après les autres et le soutien-gorge a commencé à glisser. Résignée, Sarah laissa tomber le soutien-gorge sur le sol. Toutefois, elle a instantanément  couvert ses seins en repliant ses bras sur eux. L’opulence de ses seins faisait cependant que ceux-ci débordaient généreusement des bras. Pour une adolescente, Sarah avait tout simplement des seins hors du commun. Les yeux des deux garçons sortaient de leurs orbites.


«Je ne crois pas que t-avoir donné la permission de couvrir tes seins Sarah ! »


"N-non, Madame la Directrice. », répondit-elle d’une petite voix.


« Eh bien, alors ...?", lui dis-je très doucement, mais avec une connotation menaçante.


Sarah abaissa lentement ses bras à ses côtés, en dévoilant une paire de seins qui avait parfaitement le droit d'être considéré comme légendaire. Ils étaient très volumineux et lourds, avec de gros mamelons roses, mais ils avaient la fermeté merveilleuse et la désinvolture qui ne pouvait appartenir qu’à une jeune fille  de 17 ans. Ces magnifiques mamelles étaient complétées par une taille très fine et un ventre plat mis en valeur par des hanches bien charnues. Le corps de cette mijaurée était une invitation à la punition corporelle et à la perversité!


Sarah était mortifiée.

 

"Tes mamelles sont tout simplement énormes Sarah, je me demande comment tu réussi à tenir debout! ", ai-je commenté en riant.


En fait, j'étais très heureuse qu’elle soit dotée de tels seins ! J’avais très récemment mis au point un assez intéressant  dispositif de punition qui avait été conçu avec une grande fille à la poitrine plantureuse. J’allai pouvoir le tester sur Sarah!


«Sarah, puisque tu as encore obligé  Sam et Ken à se déplacer pour rien, tu vas rester sur place pendant qu'ils pétrissent tes seins. Ils leurs font visiblement beaucoup d’effet ! Cela les dédommagera un peu! »


"Ohhh! Non, non!". La pauvre fille a commencé à reculer.


"Sarah!".

La jeune beauté a cédé, laissant tristement les bras tomber à ses côtés. Mais je n'étais pas satisfaite.


«Les épaules en arrière, Sarah, le dos bien raide . . . offre tes mamelles de façon digne !"


Avec un frisson et un sanglot, Sarah rejeta ses épaules en arrière, ce qui projeta ses seins en avant, les faisant saillir encore plus.


J'ai hoché la tête aux garçons et ils se sont approchés de leur proie. Sarah réussi à rester en position comme chaque garçon saisit d'une de ses mamelles. Sarah soupira  à ce premier choc. Comme les deux adolescents ont commencé à pétrir et presser les masses de chairs elle a commencé haleter d'angoisse.


Très vite, les mamelons grossirent et devinrent plus épais. La tache humide se faisait encore plus grande sur la culotte. La jeune fille démarrait en dépit d'elle-même!


«Juste une minute les garçons. Je pense que notre jeune coquine est en train de céder à nouveau à ses pulsions indécentes ! . . . Regardez son entre-jambe! "


Tous, y compris le malheureux sujet de mon intervention, regarda vers le dit entre-jambes. Sarah, étouffée par la honte de ce qu'elle voyait, ne pu rien dire. Sam et Ken éclatèrent de rire. La culotte
était maintenant assez humide pour être  semi-transparente et laisser deviner les poils pubiens roux.


«Les garçons, vous voyez devant vous une salope sans pudeur, qui se livre à ses bas instincts devant des étrangers et en pleine punition ! . . . Pire encore, elle est totalement hypocrite ! Elle se prétend catholique pratiquante, trop pudique pour subir une fessée sur sa jupe, et porte des sous-vêtements de bonne sœur contraires au règlement ! Comme l'inspection de ses seins lui a donné l'excuse de ce relâchement, il est juste que ces seins subissent une réprimande immédiate ! Maintenant, à tour de rôle, je veux que chacun de vous donne sur le sein que vous avez en main une bonne claque. Peut-être cette thérapie est-elle la seule voie. Ken, commencez !"


Ken m'a souri, puis à Sam, puis à l’incrédule Sarah. Sans avertissement, il a ramené sa main et lui a donné une claque vigoureuse sur le côté du sein qu’il venait de relâcher. Le son était terriblement fort et la poitrine recula sous le choc. Sarah a crié, reculé et saisit alors sa poitrine insultée.

Juste assez fort pour couvrir son scandalisé "OH", je dis: «Sarah, reprends ta position ! »"

Une nouvelle plainte a accompagné son obéissance rapide. Elle commençait à apprendre! Un éclair  rouge, empreinte d'une main, était visible sur la chair auparavant blanche. Dès qu'elle retrouva sa posture, Sam décocha une claque encore plus violente sur l’autre sein. . . Il y avait mis tout son cœur ! Sarah a crié et a reculé à nouveau sous le choc.


J’ai  alors dit à Sam et Ken de se retirer pour le moment.

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Mardi 17 janvier 2 17 /01 /Jan 23:14

Chapitre 4 : Sarah perd sa jupe et se fait malaxer le cul et la chatte !


C'en était trop pour Sarah, comme je m'y attendais et . . . l’espérait, pour pouvoir aggraver sa punition. Elle hurla et immédiatement se retrouva debout, se protégeant la poitrine des mains.


"Comment osez-vous! . . . Vous ne pouvez pas faire ça! Oh! Aidez-moi! A l'aide! ", hurlait-elle.

 

Sarah était hors de contrôle. Elle criait à pleins poumons.


Elle sauta en avant, frappa la chaise. Sa jupe est tombé vers le bas (dommage),
et elle-même était appuyée à la porte. Ses mains étaient toujours derrière elle,
essayant de protéger son anatomie arrière d’une insulte supplémentaire. C'était très amusant de voir
le moment où elle se rappela que son haut était presque nu, avec seulement son soutien-gorge
pour prévenir l'exposition complète de ses gros seins. Les deux mains maintenant en vinrent à
nouveau à protéger son haut de mes yeux.


 J'ai attendu patiemment que son état de crise se calme. Ce qui finit par arriver, la jeune fille finissant par comprendre que personne n'allait venir à son aide.


A la fin, j'ai demandé: «Sarah, qu'est-ce qui te prends?"


«Vous . . . vous . . . vous avez t-touché mes ... mes ... fesses! . . . Vous ne pouvez pas faire
ça, je sais que vous ne pouvez pas! ». Elle était presque hystérique.


"Sarah, Sarah, là tu remets à nouveau en cause mes actes et mon jugement ! Avoir la prétention de me juger quand tu es la coupable, placée sous ma Dominion pour le temps de ta punition. Je crains que je n'ais comme recours que de te montrer la folie de tes actions. "


Sarah avait assez d'expérience maintenant pour soupçonner que je ne bluffais pas.  Cette remarque a cassé net sa tirade et l'a amenée à regarder, tremblante, dans l'attente de voir ce que je ferais. Elle savait très bien qu'elle avait à craindre les conséquences de ses actes. Elle avait l'air tout à fait charmante, à ce moment - sa belle chevelure rouge dans le désarroi, le visage rouge de honte, ses beaux yeux bleus larges et fixes. Sa poitrine se soulevait par saccades, en partie exposée.


"Sarah, Sarah, tu use ma patience. Pourtant, je me sens encore décidée à être patiente
et miséricordieuse. Sans doute parce qu’en tant que femme je compatis à ta détresse. Normalement, je devrais appeler nos amis Sam et Ken pour te mettre totalement nue devant eux! Cependant, je vais te proposer un choix afin de te permettre de me démontrer que ton voeux d'obéissance n'est pas vain. D'abord, ma fille, es-tu enfin prête à être réellement  obéissante? »


Sa fureur hautaine avait été remplacée par la peur. Elle savait très bien qu’entre Sam, Ken, et moi, il  ne serait pas question de résistance possible. Elle s'imaginait sans doute nue et à notre merci. Elle était donc prête à saisir à n'importe quelle perche que  je pouvais offrir. Voilà, chers lecteurs qui est un bon état d'esprit pour une «victime», je vous assure!


L'une des choses merveilleuses à propos de Sarah, c'est que malgré ses craintes, une grande partie de son attention a été exclusivement consacrée à conserver sa pudeur et pas du tout
à éviter la douleur physique qui devait faire partie de sa punition. Ce fut, je crois, pour deux raisons. La première était qu’elle était une fille très pudique qui n'avait jamais été nue devant une autre personne que sa mère, et la seconde qu’elle n'avait jamais connu de châtiments corporels, surtout de moi, et qu’elle n’avait donc aucune idée jusqu’ou ils pouvaient aller !


«J'attends, Sarah."


"Oui, Madame la Directrice ... je serai obéissante». Elle me répondit d'une voix si basse que je pouvais à peine entendre.


«Je suis contente de l'entendre.  Maintenant, je ne peux pas laisser cette explosion de folie furieuse sans aucune conséquence. . . .  Tu es une fille pudique, n'est-ce pas? "


Tout ce que j'ai entendu en réponse ont été de doux sanglots comme elle se tourna vers moi.

«N'est-ce pas, Sarah?


"O-Oui ... Madame la Directrice ..."


«C'est commode. Je pense que nous allons donc te retirer ta jupe à titre de punition."


"Ohhhh!"

«Maintenant, souviens-toi de Ken et Sam, et plus vite que ça. Maintenant!" Je durcis ma voix juste pour  produire l'effet que j'attendais. La pauvre jeune fille, démoralisée, a été forcée de choisir entre deux maux, et elle était assez intelligente pour réaliser qu’être en soutien-gorge et culotte en face de moi, c'était mieux que d'être nue devant moi et deux jeunes gens en rut. Elle ouvrit la fermeture éclair de sa jupe, sanglots au coeur, et l'a laissé tombée avec un profond soupir.


Quel moment merveilleux de triomphe!


Bien sûr, le calvaire de la demoiselle ne faisait que commencer! Plus elle me résistait, plus elle m’excitait et me donnait envie de pousser le bouchon plus loin !


Comme Sarah était là dans son soutien-gorge et sa culotte, elle semblait trop confuse pour faire grand chose. De toute évidence elle avait besoin d'être dirigée. "Très bien, Sarah. Je vois que
tu apprends enfin  le bien-fondé de l'obéissance. Maintenant, voyons, où en étions-nous? Oh!
Oui, j'étais sur le point de donner une fessée sur le cul . . . que tu as très impressionnant je dois dire! »


Un sanglot étouffé répondit à cette remarque cruelle, mais juste.


"Retourne sur la chaise et reprends ta position! Allez!"


C'est avec une réticence angoissée que notre pauvre chérie se força à revenir à sa position honteuse - à cheval sur l'assise de la chaise, les mains tendues vers le bas et les pieds de chaise, et l'arrière train  bien fléchis et délicieusement bien présenté. Comme auparavant, l'horreur de sa position sembla arrêter ses larmes, et ainsi ses sanglots ont été remplacés par un silence apeuré.


J'ai replacé ma main, si innocemment à nouveau, sur la courbe supérieure de son cul. Elle haletait. Par les contractions de ses muscles je pouvais dire qu'une partie d'elle était paniquée et voulait s'échapper, tandis que son côté plus rationnel la  mettait en garde que ce qu'elle éprouvait était le moins élevé des maux potentiels.


J'ai repris mon discours dans un ton calme et nonchalant, «Eh bien, ma chère, il semble que
tu étais opposé à ce que je faisais avec mes doigts. N'est-ce pas? "


Tout ce que je pouvais entendre était sa respiration rapide et étranglée. Le tremblement semblait 
augmenter.

"Sarah! Réponds-moi quand je te parle! Quand je te pose une question, tu réponds! Maintenant, je vais répéter. Tu semblais avoir une objection à mon toucher de certaines parties de ton corps qui doit pourtant lors d’une punition être entièrement à ma disposition?  Est-ce vrai? Réponds! »


«Oh lala ... oui ... Madame la Directrice ...", murmura t-elle avec une toux dans sa voix.


«Il est important que tu comprenne que je suis la responsable ici. Quoi que je fasse, c'est
pour ton bien, que tu le comprennes ou non. Pour montrer que tu comprends
cela, je veux que tu me demande de reprendre ce que je faisais ».


Un soupir.


"Oh s'il vous plaît, Madame la Directrice! S'il vous plaît! Je ferais n'importe quoi! Oh ...."


"Sarah ... si Sam et Ken reviennent dans cette pièce, tu va souhaiter m'avoir obéi! Demande!"


"Uhmmm . . . euh  .. . Ah, je ne peux pas ... S'il vous plaît, Madame la Directrice, s'il vous plaît ! Mettez vos mains . . .  dans ma culotte! Ohhhhh .... !


« Eh bien, étant si joliment demandé, ce serait bien discourtois de refuser! »

 

Pour ajouter à la torture, c’est très lentement et  légèrement que je fis pénétrer mes doigts puis mes mains dans la culotte de Sarah, pétrissant ses fesses palpitantes. La respiration de la jeune fille sifflait entre ses dents. Puis, toujours aussi lentement ma main droite bascula devant la culotte, mais toujours à l'intérieur, prenant sa chatte à pleine main.


Elle a sursauté et gémit mais a réussi à tenir sa position. Je me mis à
travailler sa vulve. Cette fois, je malaxais la chatte de l’adolescente avec  ma main toute entière et mit à donner à la sacro-sainte moule de Sarah une caresse tout à fait approfondie.


La pauvre fille se tortillait, souffle coupé, et grinçait, "Ohh! Ahh! Oh, s'il vous plaît Madame la Directrice, arrêtez!"


« Tu n'étais pas sur le point de contester Sarah ? Quand je te dis qu'il n'est plus  question
de contredire mes actions, je ne plaisante pas! Ma patience et ma clémence ont des limites !"


«Oh! Ah! O-Oui s. .. Ah ... Madame la Directrice Ohhhh! . . . Excusez-moi Madame la Directrice ", me répondit  la jolie chose.


Impitoyablement, je continuais de presser, caresser, malaxer sa chatte sur toute sa longueur. Je lui dis: «Maintenant, juste pour rattraper tes écarts de comportement, je veux que tu me remercie pour avoir caressé ton sexe. Maintenant, Sarah! "


Son âme en proie au désespoir, la belle me répondit: "Ohhhhh ... ohhhh .... Je vous remercie, Madame la Directrice, pour  .... ohhhh- me caresser mes parties intimes ... Ah .... Ah! "

 

Juste pour tester sa soumission, j'ai lui ai pincé les fesses. Surprise, elle couina de douleur, mais garda sa position.


J'ai alors changé mon approche. Aux caresses et au malaxage, j’ajoutai les chatouilles et taquinait le clitoris. Sarah tremblait de plus en plus, mais j'ai aussi détecté un mouvement subtil - un léger balancement des hanches - Comme si elle voulait me faire appuyer plus fort.


«Maintenant, j'espère que tu comprends que je n'ai pas d’obligation à expliquer l'une de mes action, ma chérie. Cependant, j'ai de nouveau envie de faire preuve de clémence, alors je vais expliquer la raison parfaitement légitime de ce que je fais. Comme tu le sais, je suis sur le point de te donner une fessée. Ce sera une fessée très sévère, particulièrement énergique qui pourrait te blesser j'en ai peur."


Sarah respira rapidement et contracta ses hanches.


"Tu peux constater que ta chatte, euh, c'est à dire tes « parties intimes » sont un peu exposés dans cette position. En conséquence, il y a toujours une possibilité que des doigts errants frappent par inadvertance cet endroit fragile. Ainsi, je  teste la résistance et la fermeté de ces parties. Eh bien, je te rassure, j'ai constaté que je n'ai pas besoin d'être particulièrement prudente, parce que tu es particulièrement bien dodue et ferme à cet endroit, et une fessée occasionnelle ne va pas te faire de mal. Mon devoir me commande donc d’y aller franchement"


"Oh ... Oh ... s'il vous plaît ... st-stop! », implora ma victime.

 

 J’ai alors commencé à remarquer une certaine réaction que j'avais escomptée. Effectivement, je pouvais sentir l'humidité sourdre sur ma main qui continuait à triturer le sexe de Sarah.


« Mais, il y a une autre raison. Tu vois, ma chérie, il y a des filles qui sont si indisciplinées et sans honte qu’elles en viennent à éprouver du plaisir pendant la discipline. Je vais ... vérifier . . . hmmm ... qu'avons-nous ici? Sarah! Je suis vraiment choquée! », me suis-je exclamée d’un voix pleine de fausse indignation.

 

Après avoir retiré ma main de sa culotte, j'ai sniffé mon doigt à haute voix, et a annoncé, "Sarah! ma parole, tu mouille !"


«Oh, non, Madame la Directrice ..."


"Silence! Cela est inacceptable. Quelle vulgarité ! C’est flagrant ! J’ai la main trempée ! Je suis choquée, surtout d’une fille comme toi, qui prétend être une fervente catholique ».

Sarah ne pouvait que pleurer et ma tirade a continué: «Eh bien, ma chère, tout ce que je peux dire, c'est que ta punition prendra ce comportement scandaleux en compte. "

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Mardi 10 janvier 2 10 /01 /Jan 21:59

Chapitre 3 : 1eres claques sur les fesses


C'était évidemment une expérience nouvelle et déconcertante pour notre jeune Sarah. Une  heure auparavant, elle était entièrement vêtue et maintenant elle se retrouvait enfermée dans une pièce
avec moi et avec le torse dévêtu. Son visage était rouge cerise, ses yeux inondés de larmes. Elle était debout, toujours plus ou moins au même endroit, au milieu de la salle, ou les garçons l'avaient quitté. Elle  se pencha un peu et étreignit  ses seins, essayant désespérément de minimiser la quantité de la peau  exposée. La pose était d'un charme fou!


"Oh, oh!" ; miaula t-elle entre deux sanglots amers, "Oh, vous ne pouvez pas me voir comme ça!
Oh! S'il vous plaît, donnez-moi mes vêtements! Oh, je vous laisse ... me punir ... »


« Et sur quelle partie de ton corps tu vas me laissez te punir?", ai-je demandé cruellement.


"Oh mon ... Oh, je ne peux pas le dire  ...».

 

La pauvre bête était si confuse!


Calmement, je lui ai dit: «Réponds-moi vite et bien, ma chère Sarah, ou Ken et Sam seront de retour et t-enlèveront le reste de ce que tu as sur le dos! Quelle partie de ton corps vas-tu mettre à ma disposition avec docilité pour ta punition? »


"Ohhhhh ...", gémit-elle, désespéré. Elle était coincée! «Mon postérieur ...", a t- elle murmuré.

«Je ne t-entends pas."


«Mon postérieur! ». Oh, quelle douleur ce simple mot  a causé à la pauvre fille!


"Oui. Ton postérieur. Ton cul. Et, ma chère fille, tu ne récupéreras pas ta chemise et ta veste tant que ta peine ne sera pas  finie . . . avance sur cette chaise à dossier droit vers le centre de la pièce.  .  . Oui, c'est bien. "


J'ai été amusé de voir la jeune fille déplacer  la chaise avec une main alors qu'elle essayait encore de protéger sa pudeur de l'autre! Il serait incomplet de ne pas noter que ce spectacle était hautement érotique. Ma vulve en finit de s’épanouir !


Je me suis levée, tout en continuant à énoncer mes instructions: «Maintenant, Sarah assieds-toi  face à la chaise. Non, pas de dos, de face. Bien. Maintenant, mets tes jambes de chaque côté du siège de la chaise, va de l'avant jusqu'à ce que ton ventre touche le dos de la chaise. "


La pauvre fille hésita, mais, avec une réticence infinie, fit comme indiqué.


"Hmmm, très bien." J'ai noté: "Maintenant, laisse-moi t-expliquer ce qui va se passer." Je
regarde calmement, en appréciant secrètement le tremblement de la jeune fille effrayée, jouissant de  voir comment  ses yeux pleins de larmes ont suivi chacun de mes mouvements.


«Je vais te donner la fessée."


Sarah s'étrangla et étouffa un cri d'angoisse.


«Si tu avais été obéissante, ce serait une fessée sur ta jupe. Au lieu de cela, ce sera sans la jupe. . . . Sarah, souviens toi de Ken et Sam, n'oublie pas que ta pudeur  souffrira bien pire s'ils revenaient et ajoutaient ta jupe à leur collection!"


"Oh, je ne peux pas."


«Oh, Sam ...» ai-je commencé à appeler.


"Non, je vais le faire!" et, douloureusement, elle leva lentement le dos de sa jupe. Ce fut une lutte terrible, et elle a semblé s'arrêter juste à l'endroit ou sa petite culotte était sur le point de devenir visible.


"Sarah, n'oublie pas les garçons ..."


Ce fut juste assez pour faire pencher la balance. Pleurant à haute voix, secouée par d'amers sanglots, Sarah accomplit sa tâche honteuse et commença à dévoiler culotte. Quelques secondes plus tard, je regardais le cul de l'écolière enfermé dans une sorte  de grande culotte enveloppante. Encore une fois, la culotte n'était pas réglementaire, puisque celle-ci tenait du string ficelle minimaliste cachant à peine la vulve des jeunes filles. Et comme par ailleurs une disposition du règlement interdisait pour raison d’hygiène tout dépassement des poils pubiens des sous-vêtements, ce string contraignait les élèves à s'épiler au plus près de façon à ce qu'il n'y ait pas de poils disgracieux qui sortent de partout. Pour ne pas prendre de risque de punition lors de la visite médicale, la plus part des élèves se rasait d’ailleurs totalement ! Ce qui était du plus charmant effet et particulièrement apprécié par notre infirmière !

 

Pour une bonne catholique pratiquante sortant pratiquement du couvent, ce qu'endurait Sarah était presque au-delà de l'endurance!

 

« Et bien ! Nous devons à nouveau ajouter une violation de notre règlement ! La culotte réglementaire était sans doute trop indécente pour la prude jeune fille que tu es ! »


Les émotions de Sarah étaient très intenses, évidemment. Elles étaient au-delà de la parole. Elle
n'arrivait pas à surmonter sa gêne et son humiliation.


"Ohhh, Mme Marks ... s'il vous plaît ne le faites pas pour moi ..." gémit-elle.


J'ai remarqué que sa jupe glissait un peu.


"Remonte ta jupe sur le ventre Sarah . . . Bonne fille! Maintenant, tiens ta jupe, penche-toi un maximum sans tomber. Oui, c'est ça... "


La culotte se serra à merveille sur son cul plein comme Sarah se pencha en avant, le moulant comme une seconde peau.


"Penche-toi en avant jusqu'à  saisir les parties inférieures des  pieds de la chaise . . . Non, plus bas. "

 

 «Oh, Madame la Directrice ... Oh, s'il vous plaît!", gémît-elle, mais en obéissant.


La jeune Sarah se retrouva jambes écartées, courbée en deux, en culotte blanche lui moulant le cul  avec ses seins lourds qui pendaient vers le bas dans leur soutien-gorge. Son corps entier, même les fesses, était secoué de sanglots pitoyables.


Sarah s'est arrêtée brusquement de sangloter, en prenant conscience que je me promenais
vers mon bureau pour revenir ensuite. Toutefois, son tremblement augmenta.


«Sarah, ma chère, tu semble un peu nerveuse. Rappelle toi, c'est seulement une fessée! Maintenant,
je vais juste te donner un petit avertissement, un avertissement qui avec la plupart des filles ne serait pas nécessaire, mais dont je soupçonne qu'avec toi il l'est. Je vais te donner la fessée. Tu dois être consciente que donner une fessée implique inévitablement une main qui touche un cul. Je te préviens pour que tu ne doit pas changer  de position ou faire le moindre mouvement pour protéger ton postérieur sous la surprise. Si tu le fais, les conséquences seraient une aggravation de la punition fortement embarrassante pour ta pudeur ».


Je posais ma main gauche sur les courbes de la fesse droite de la belle. Qu'est-ce que ce cul était beau! Chaud et doux, mais ferme.


Sarah se rigidifia d’un coups. Elle haletait. Je pouvais sentir qu'elle avait envie de protéger
son sacro-saint postérieur, mais n'osait pas bouger. Vu sa respiration rapide et saccadée, je me suis convaincu que le monde de Sarah était devenu subitement très simple. Il se composait de deux choses, ma main et ses fesses.


J'ai commencé à caresser la fesse, légèrement et innocemment.


"Oh ... oh ... oh, non .... Oh, Madame la Directrice, vous ne devriez pas ... je ne devrais pas ... Oh, s'il vous plaît, ne pas le faire. "


«Ma chère Sarah, permet-moi de te rappeler que je suis une professionnelle de la discipline.
Tu es ici pour être punie. J'ai été assez indulgente avec toi jusqu'à maintenant, mais
je suis fatiguée de t-entendre me dire ce que je dois ou ne doit pas faire. J'ai été employé en cette qualité depuis quatre ans maintenant, et je peux dire que l'école et surtout les parents sont tous très satisfaits de mes méthodes. Ce n’est pas à toi de les remettre en question."

 

Pendant tout ce temps je gardais ma main en place tout en continuant de caresser la fesse ainsi offerte.


J'ai continué: «Alors, si tu ne veux pas obtenir une peine encore plus sévère que celle que tu t-es déjà attirée, et qui est considérable, je te conseille de t'excuser auprès de moi"


Elle a commencé à pleurer, mais a réussi à pousser des sanglots: "Je suis désolé de douter de vos
méthodes, Madame la Directrice. "


J'ai donné une claque affectueuse à la fesse, produisant une forte secousse de l'arrière
train de la jeune fille. Je dis "bonne fille. Et tu va m'obéir pendant tout le reste
de ta session ici aujourd'hui? "

 

Un autre claque. Plus soutenue.


"Ohh! Ah ... ah, oui Madame la Directrice. Je vais être obéissante ... oh …"

 

Les claques s'enchaînaient, de plus en plus fortes.


 "Ahhh! Oh!"


"Sarah, réponds-moi! Est-ce que je fais mal?"


"N-Non, Madame la Directrice." Elle me répondit d'une voix à peine audible.


J'ai décidé de tester sa détermination à être obéissante. Laissant mes mains sur le sommet
de son cul, je fis en sorte que mes index pénètrent à l'intérieur de la culotte.

 

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Mercredi 4 janvier 3 04 /01 /Jan 20:24

Chapitre 2 : Veste et chemise tombent au sol


C'est avec un sourire sur les lèvres que je me tournai vers les portes de l'armoire murale derrière
moi. Lorsque  les portes se sont ouvertes, les yeux innocents de Sarah s'écarquillèrent à la vue d'un tableau impressionnant de cannes, de sangles, de pagaies et de fouets.


«Es-tu familière avec ces objets, Sarah? », ai-je demandé à la pauvre adolescente, qui recommença à sangloter de plus belle.


"N-non, Madame la Directrice . . . je crois que je sais à . . . à quoi servent certains d'entre eux. Mais, vous . . . ne peut pas ... pas ... "


Je me taisais, et Sarah a trouvé le courage de me poser une question qui faisait souffrir son jeune esprit.


«Madame la Directrice, . . . je  . . . demande . . . quelle partie du corps allez-vous punir?"


Avec un rire facile, j'ai répondu: "Plusieurs parties sont possibles, ma chérie, mais la plupart du temps, c'est la partie sur laquelle tu t-assois! »


Rougissant, elle a lancé: «Ohhhh non! Oh, non! Oh, je ne peux pas Madame la Directrice . . .  vous ne pouvez pas! Je veux dire . . .  Je suis catholique. Fervente catholique. Pratiquante. Vous ne pouvez pas me frapper sur les parties intimes de mon corps. Je suis désolée, mais ce n'est pas possible! Ce serait un péché de le permettre. Il suffira d'appliquer une autre punition. Ou, ou, je vais devoir quitter l'école. Je suis désolée, Madame la Directrice! Je vais appeler mes parents maintenant! "


Et l'impétueuse se leva et courut à la porte. Bien sûr, je l'avais verrouillée de mon bureau.


"Laissez-moi sortir! Vous ne pouvez pas me retenir! Mon père va vous poursuivre en justice!"


J'ai été subjugué par la façon dont elle avait l'air belle avec ses longs cheveux roux légèrement en bataille et le désarroi qui marquait son visage.

 

"Sarah", lui dis-je  froidement: «reviens t'asseoir. Maintenant".


La plupart des filles obéissent quand j'utilise ce ton de voix et Sarah n'a pas fait exception. Quand
en grande détresse, la jeune fille fut nouveau assise, je lui ai donné une lettre. Elle était de
son père et était adressée au directeur de l'école. Son contenu a été le coup de grâce de la pauvre fille, et je la regardais, amusée, lire les paroles de son père, la condamnant à la honte, l'humiliation et la douleur. Dans la lettre, le père de Sarah accordait explicitement à l'école le droit d'utiliser  « tous les moyens de discipline les plus stricts, y compris corporels », que je jugeai nécessaire. Le document était obligatoire pour toute inscription.


Elle fut étourdie pendant quelques instants. Puis, fondant en larmes, la jeune fille tomba à genoux devant le bureau et me supplia: "Oh, Madame la Directrice, s'il vous plaît ne le faites pas pour moi. Punissez moi de quelque autre manière - pas sur mon . . . oh, je ne peux pas . . . »


"Retourne t-assoir ma fille!"


Elle obéit, en continuant de pleurer amèrement.


«Maintenant, rappelle-toi ce que j'ai dit au sujet de m'obéir instantanément et complètement, et dis- moi exactement quelle partie de ton corps as-tu le plus peur de me voir punir. Répons, maintenant! "


Intimidée, la pauvre répondit: "On ... sur mon ... mon postérieur, Madame la Directrice. Pas là,  s'il vous plaît! Je ne peux pas permettre cela ».


En riant, je lui répondis: «Ma fille, ma fille, ton postérieur va être puni, exceptionnellement punis même, et tu n’as  rien à dire sur la question. Est-ce clair ? . . . Bien. Maintenant, tu as ton  mot à dire sur le fait de savoir si oui ou non tu va être passible de sanctions supplémentaires. Ce n'est tout simplement qu'en étant instantanément et totalement obéissante que tu pourras échapper à des aggravations de tes punitions, déjà particulièrement lourdes ! »


Bouleversée par les sanglots, Sarah a réussi à parler: «Oui, Madame la Directrice ... Oh, s'il vous plaît, ayez pitié de moi! "

 

« Allons Sarah, ma pitié t’est toute acquise ! Et dans la limite ou mon devoir pourra être remplis, tu pourras bien entendu compter sur ma clémence! »


Ensuite, après une lutte intense, apparemment, Sarah réussit à reprendre la parole.

 

« Mme Marks, je ne pourrai jamais vous laisser volontairement me punir et donc voir cette partie de mon corps . . . ma pudeur catholique le défend. Le seul moyen qui permettra d'y arriver, c'est par la force. Je vais vous résister, Madame la Directrice. Ainsi, mon honneur sera sauf."


J'ai été très impressionné. Il y avait là une jeune fille digne d'un défi! Vous vous demandez si
j'allai céder aux demandes courageuses de Sarah ? Bien sûr que non! J'étais  encore plus déterminée à ce que Sarah subisse sa punition dans la plus grande humiliation et inconfort possible. Sa «pudeur catholique» allait recevoir un choc!


Après quelques secondes, j'ai répondu calmement: «Sarah, tu as le choix entre te soumettre volontairement ou involontairement. Ce que tu n’as pas, c'est la  capacité à échapper au châtiment mérité qui t-attends. Si tu choisis de résister ... libre à toi. Mais tu devras en payer le prix. Mais si cela te permets d’avoir la conscience tranquille vis-à-vis de ta religion . . . Eh bien, permets-moi de proposer quelques possibilités hypothétiques. Disons que je t-ordonne de te pencher sur mon
bureau pour que je puisse te donner une bonne dose de coups de sangle sur ta jupe. Souhaites-tu obéir? » 


Sarah rougit, mais ses yeux brillaient de colère: «Non Madame la Directrice, je ne peux pas, mon code moral l'interdit! "


«C'est bien. Maintenant, disons que si tu résiste tu sera forcée de prendre cette position, soit par moi ou, si nécessaire, avec l'aide de l'un ou les deux de mes jeunes assistants masculins et que tu devra ensuite recevoir ta correction les fesses à l’air, devant ces jeunes hommes. Je pense que ce serait un outrage moral beaucoup plus grand pour ta pudeur, n'est-ce pas? Dis-moi, que ferais-tu dans cette situation? "


Sarah était abasourdie. Apparemment, elle n'avait même jamais envisagé l'idée que ses fesses pourraient être corrigées à nu.


" Madame la Directrice, vous ne pouvez pas me faire peur avec ces menaces. Je sais que cette école ne permettrait jamais une indécence aussi diabolique, et vous êtes une femme horrible à simplement penser ce genre de choses! "


"Je vois. Je pense qu'il est temps de te démontrer que je suis bluffe pas."


J'ai poussé un bouton sur mon bureau et tout de suite derrière moi une porte s'est ouverte. Entrèrent
deux beaux adolescents  bien bâtis. Sarah en eu le souffle coupé! Elle semblait presque prête à s'évanouir. Tout ce qu'elle pouvait faire était de regarder avec incrédulité ces deux garçons, qui avec empressement avaient déjà évalués les charmes féminins opulents de Sarah et devinés qu’ils allaient vivre de bien agréables moments.


J'ai dit: «Sarah, s'il te plaît, salue Sam et Ken. Ce sont mes assistants à temps partiel de l'école de garçons de l'autre côté de la route. Ils travaillent pour moi depuis plus d'un an, maintenant, et ils ont beaucoup d'expérience dans l'aide à m'apporter pour m'aider à convaincre les jeunes filles réticentes que toute résistance est futile. Inutile de dire que ces garçons aiment tout particulièrement leur  emploi et seront très heureux de t-enlever jupe et culotte et de t-attacher si nécessaire afin que je te corrige comme tu le mérite! . . . Evidemment dans une telle situation, je ne peux garantir qu’en empêchant de te débattre leurs mains ne s’égarent par mégarde sur des parties plus intimes de ton corps !» "


Je me suis arrêté quelques secondes pour permettre à Sarah de mieux apprécier sa situation.


J'ai continué: «Maintenant, Sarah. Une dernière fois. Veux-tu me promettre de te conformer à
tout ce que je te commande et accepter ta sévère, très sévère, mais méritée, punition, ou Ken et Sam auront toute licence pour te mettre . . . en condition?


Sarah a été incapable de répondre au premier abord. Elle me  jeta un regard éperdu et, quand elle a vu que je ne répondais pas, elle regarda à nouveau les jeunes garçons.


"Non, je ne peux pas! Je ne peux pas, je ne peux pas vous laisser faire n'importe quoi de moi, c'est indécent! ", finit-elle par dire.


« Eh bien, comme tu le souhaite. . . Ken, Sam, enlevez sa veste et sa chemise».


Avant que Sarah puisse faire quoique ce soit, les deux jeunes gens furent sur elle. Ils la saisirent tous les deux fermement. Très vite, la veste de la jeune fille, puis sa cravate et sa chemise se retrouvèrent au sol, en dépit d'une lutte furieuse et passionnée et moult cris au secours.

 

Tout ce que Sarah pu  faire était de tenir ses bras et ses mains devant ses seins dans une tentative futile pour protéger sa pudeur.


Avant qu'elle ait fait cela, j'eu le temps d'en avoir  plein la vue. Sarah ne portait pas le soutien-gorge réglementaire de l'école que j’avais personnellement crée. A dire vrai, c’était plus un ensemble de lacets et de froufrous, qui laissait notamment libre aux regards les mamelons et les tétons, qu'un soutien-gorge d'adolescente!


Non, Sarah portait l'un de ses soutien-gorge totalement enveloppant, protégeant totalement ses seins et qui étaient tombé en désuétude avec l'avènement des années soixante. Et quel travail elle devait avoir à envelopper ses seins : ils semblaient être vraiment prodigieux!


Pleurant à chaudes larmes, la jeune fille se tourna vers moi démoralisée.

 

« Je suis désolé, Madame la Directrice! S'il vous plaît, s'il vous plaît laissez-moi récupérer mes affaires. Je ... Je ... vais faire ce que vous demandez! Je vais être obéissante! Je ne peux pas être vue comme ça! Surtout pas des garçons. Oh, faites les  sortir, s'il vous plaît! "

 

Sarah ne pouvait visiblement pas passer à côté des regards de convoitise  de ses deux nouveaux  jeunes « amis ».


« Oui, bien », me disais-je, « nous allons voir ».

 

« Ken, Sam, vous pouvez allez maintenant, mais prenez votre butin avec vous."


De toute évidence déçus, mes deux assistants sont repartis, mais Sarah fut loin d'être soulagée en constatant qu'ils prenaient ses vêtements avec eux.


«Nooon! Oh, non! Cria t-elle, incapable de penser quoi faire d'autre en voyant ses vêtements partir.


«Maintenant, Sarah, tu  crois toujours que je  bluffe? » J'ai souri en lorgnant sans vergogne ses seins qui me rappelaient les cônes de deux missiles pintant mon nez. Ma vulve commençait à fondre de plaisir !


Fixant le sol, la jeune fille choquée dit: «Non, Madame la Directrice. S'il vous plaît, pourrais-je me rhabiller si je vous promets de vous obéir? "


«Je suis désolé, ma fille, mais il est trop tard pour cela. D’autant plus qu’il faut ajouter à la liste te tes infractions le non respect du port du soutien-gorge réglementaire ! Et si tu n'aime pas montrer tes seins, souviens-toi simplement que tu n'as que toi à blâmer et à examiner comment tu pourrais éviter de nouveaux embarras. "

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