Sarah: La punition de Sarah, par Alexis

Mardi 8 mai 2 08 /05 /Mai 16:20

Chapitre 15 : Sarah est nettoyée de fonds en comble :

 

Sonia s’éloigna à nouveau et revint avec une bonbonne d’eau et une canule à la main.

 

Comme elle avait enfoncée sa matraque à boules, elle enfonça la canule dans l’anus sans défense de la jeune fille.

 

La canule était reliée à la bonbonne par un conduit de caoutchouc. A la moitié du conduit, une poire.

 

Sonia appuya dessus. Cela eu pour effet de pomper l’eau dans la bonbonne pour l’injecter dans les boyaux de la rouquine.

 

Dès l’intromission de la canule dans son anus, Sarah sortit de sa torpeur. Elle se remit à pleurer et gémir de plus belle, suppliant à nouveau de la seule façon encore possible pour elle : en balançant la tête de droite à gauche.

 

Peu à peu son ventre s’arrondit pour finir par la faire paraître enceinte.

 

Ce n’est que lorsque tous les muscles de Sarah se contractèrent que Sonia arrêta. La bonbonne était quasi vide.

 

Elle saisit la jeune fille par la lanière de cuir du bâillon-gode et la tira pour la faire avancer.

 

« Retiens toi ma jolie ! », lui ordonna t-elle.

 

Sarah, à 4 pattes, se déhancha pour avançer vers la douche de l’infirmerie. La malheureuse ne pouvait se voir, mais avec ses seins gigotant en tous sens, son ventre de fille enceinte de 9 mois et ses fesses tremblotantes, elle était positivement obscène !

 

Sonia la fit entrer dans la douche et la fit accroupir de façon à ce qu’elle lui fasse face. Elle lui exposait ainsi ses superbes mamelles et sa chatte béante, puisqu’elle devait garder les cuisses grandes ouvertes.

 

« Allez ma jolie, vide toi les boyaux ! Ils vont être tout propre après ! »

 

Sarah fit non de la tête, visiblement au comble de la torture.

 

« On ne va pas y passer le journée tout de même ! », s’exclama Sonia. « Mme La Directrice t-attends ! »

 

Et sur ce, elle s’avança et appuya sur le ventre de l’adolescente.

 

L’eau gicla à gros jets de l’anus avec force bruits humiliants, entrainant la matière fécale qui était dans les intestins.

 

J’eu un nouvel orgasme à ce moment, encore plus fort que les précédents.

 

« Parfait ! Cela doit briller comme un sous neuf ! », constata Sonia.

 

Elle pu retirer ces gants et les jeter au sol.

 

« Allez Lin-Yi, passe moi ça à la douche ! »

 

Souriant toujours à pleines dents sans s’en cacher, la belle asiatique saisit le tube de douche, tourna le robinet et doucha Sarah sous toutes les coutures.

 

La jeune fille en eu le souffle coupé !

 

En effet, la puissance du jet tenait plus du Karcher que du jet de douche ! Et l’eau était glacée.

 

Lin Yi éclata de rire et se mit à chanter :

 

« Swiming in the rain . . . swiming in the rain . . .  ».

 

Elle s’appliqua à nettoyer Sarah en profondeur. Tout passa au jet : seins, chatte, cuisses, ventre, dos, etc. Et à plusieurs reprises.

 

Ce n’est qu’au bout de longues minutes que la douche s’arrêta enfin, sur l’ordre de Sonia.

 

L’infirmière fit sortir la jeune fille de la douche.

 

Sarah grelottait et tremblait de tous ses membres. Si elle avait pu, elle aurait claqué des dents.

 

Sonia détacha la lanière de son gode et lui libéra enfin la gorge.

 

Libérée, l’adolescente eu une quinte de toux à s’en arracher les poumons.

 

Une fois calmée, Sonia lui lança :

 

« Et bien jeune fille, et la politesse ? »

 

Sarah la fixait, les yeux vides, ne sachant visiblement pas ce qu’elle attendait d’elle.

 

« Peut-être devrais-je parler à Mme La Directrice de ce mépris pour le travail des autres ! ».

 

Sarah comprit enfin.

 

« Oh non, Madame ! . . . J’étais en train de me remettre et je n’avais pas encore repris mes esprits ! . . . Je vous remercie Madame pour la peine que vous vous êtes donnée ! »

 

« C’est mieux ! . . . Mais je n’étais pas seule ! », renchérit Sonia.

 

« Merci Lin-Yi . . . Merci pour ton aide précieuse ! »

 

« Parfait ! », s’exclama Sonia en mettant un balai et une serpillère dans les mains de Sarah.

 

« En attendant de te sécher, nettoie-moi ce foutoir ! Je veux retrouver mon infirmerie propre ! »

 

Courbant l’échine, l’adolescente s’exécuta.

 

Et c’est totalement nue, rasée, les larmes aux bords des yeux et tremblant de froids, qu’elle effectua le nettoyage demandé, sous les yeux égrillards et les consignes de Sonia et Lin-Yi.

 

Une fois qu’elle eu terminée, Sonia lui reprit le matériel et le rangea.

 

« Parfait ! . . . Maintenant, nous allons tester l’élasticité de ton dernier trou . . . de ton vagin ! »

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Mardi 10 avril 2 10 /04 /Avr 21:02

Chapitre 14 : Sarah se fait sodomiser et raser de près

 

Sonia plaça la poire au dessus de la matraque et la pressa de toutes ses forces. Un filet huileux s’écoula sur les boules et sur sa main.

 

Celles-ci enduite d’huile, elle plaça la pointe de la poire sur l’anus de Sarah. La pastille rose de la jeune fille se contracta de peur. L’adolescente couina de frayeur, mais n’eu le temps de ne rien faire. Sonia enfonça la pointe de la poire dans l’anus sans défense et pressa de toutes ses forces vidant la poire dans le cul de sa « patiente ».

 

Ceci fait, elle retira l’engin, mais pour placer à l’entrée de l’anus la pointe de la matraque, encore plus menaçante.

 

De nouveau, l’anus rosé se crispa de peur. Les muscles de Sarah également.

 

Celle-ci supplia en bougeant la tête de droite à gauche de façon pathétique.

 

Sonia poussa alors la matraque dans le cul de l’adolescente dont tous les muscles se contractèrent.

 

La 1ère boule entra dans l’anus jusqu’alors inviolé.

 

La jeune fille tremblait de tous ses membres et pleurait. Un filet de bave continu s’échappait du gode ouvert qui lui distendait la bouche.

 

Après une belle claque sur une des fesses de sa patiente, Sonia recommença à pousser sa matraque pour faire pénétrer la 2ème boule, et à force d’insister y arriva.

 

Sarah trembla de plus belle.

 

Sans tenir compte des cris étouffés de l’adolescente, ni de ses spasmes, mon infirmière de choc poussa à nouveau la matraque et enfonça la 3ème boule dans le cul torturé.

 

Sarah poussa un feulement de bête à l’agonie et ne pu se retenir d’uriner !

 

Pour ma part, je ne pu me retenir non plus et j’eu mon 2ème orgasme ! . . . Sonia était une diablesse !

 

En voyant sa compagne de classe ainsi avilie, Lin-Yi souriait à pleines dents !

 

« Mon Dieu ! », s’exclama Sonia. « Quel manque de tenue ! . . . Qu’elle indécence ! Et bien je ne te conseille pas de te laisser aller ainsi devant Mme La Directrice ! »

 

Et tout en faisant ce constat, on ne peut plus exact, elle claqua à nouveau les fesses rebondies de l’adolescente à tout va cette fois, sans se retenir. Le cul plantureux de Sarah était à sa merci, elle en profitait à plein !

 

Une claque sur la fesse gauche, une sur la droite, et ainsi de suite. Entre deux volées de claques, elle pétrissait les fesses charnues à pleines mains.

 

Les fesses virèrent vite au rouge.

Elle enchaîna de la même façon avec les cuisses de la jeune fille.

 

«Bon, ton trou de balle est étroit, mais il peut soutenir une éventuelle punition de Mme La Directrice ! », conclu Sonia. « Je dirai même que quelques punitions lui feraient le plus grands bien en l’élargissant un peu ! »

 

Puis, elle se mit à tirer sur la matraque pour la retirer du cul de la belle rouquine.

 

Visiblement, cela lui fit aussi mal que la pénétration !

 

Une boule sortit. Puis une deuxième. Puis une troisième.

 

L’anus resta ouvert quelques secondes, puis tenta enfin de se refermer.

 

Sonia regardait sa matraque.

 

« Mon Dieu ! Tu as recouvert ma  matraque de merde ! »

 

Le cerveau encore embrumé par la douleur de Sarah comprit tout de même les propos ordurier de l’infirmière.

 

Elle courba l’échine de honte.

 

« Un bon nettoyage s’impose avant de te renvoyer chez Mme Marx ou tes boyaux vont se souvenir du voyage ! »

 

Puis, jetant sa matraque sur le sol, elle se releva.

 

« Mais avant, nous allons appliquer les consignes de Mme La Directrice et te faire une épilation intégrale ! »

 

Elle alla dans un coin de la salle et revint avec un broc visiblement rempli.

 

Elle enfila une paire de gants de latex blancs fins qui lui couvrirent mains et bras jusqu’aux coudes.

 

Elle plongea ses mains dans le broc et les ressortis.

 

Les gants étaient couverts d’une crème blanche assez pâteuse.

 

Sonia prit en main les fesses de Sarah et les malaxa pour les enduire du produit, les pétrissant bien plus que nécessaire.

 

Elle passa ensuite aux cuisses, aux jambes, au dos, au ventre, aux bras, et n’oublia pas les seins plantureux de la jeune fille qu’elle pétrit aussi consciencieusement que ses fesses et avec un plaisir évident, et bien entendu sa vulve qu’elle couvrit de crème.

 

Sa tâche terminée, elle se releva, prit en main un rasoir à la lame impressionnante et bien aiguisée et saisit Sarah à l’épaule.

 

« Je te conseille de ne pas bouger ma belle ! », commenta t-elle.

 

Elle plaça la lame sur l’épaule et se mit à raser le dos de l’adolescente.

 

La crème fit que celle-ci eu la peau rosée, mais pas trop irritée.

 

Tout le dos y passa. Puis les fesses et les cuisses.

 

Sonia se releva alors, saisit la jambe gauche de la jeune fille, la tira en l’air et la lui rasa de près.

 

Ceci fait, elle fit de même pour la jambe droite.

 

La laissant retomber, elle tira Sarah par les cheveux pour qu’elle s’agenouille et lui rasa les bras.

 

Elle saisi ensuite le mamelon gauche entre 2 doigts, tira le sein vers le haut et rasa la mamelle et le ventre autour, puis fit de même avec le sein droit.

 

Enfin, elle poussa sa patiente au sol, sur le dos, qui glissa sur la crème qui y était tombée, lui écarta les cuisses et rasa sa chatte au plus près, dégageant le mont de Vénus, les grandes lèvres et le clito, d’ailleurs érigé.

 

Cela me permit de constater que Sarah avait des lèvres encore plus proéminentes que je ne l’avais pensé !

 

Un morceau de choix auquel il allait falloir rendre tous les honneurs !

 

A la vue de ce spectacle, voisin du plumage de volaille, j’eu mon 3ème orgasme. Mes jambes flageolaient. Mais je ne pouvais m’arrêter de me branler comme une damnée !

 

Sonia enleva sa paire de gant et en mit une seconde.

 

« Bon, quitte à salir l’infirmerie, terminons toute la besogne salissante de suite ! », s’exclama t-elle en forçant une Sarah en état de choc, qui n’obéissait plus que mécaniquement, à se remettre à 4 pattes.

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Jeudi 8 mars 4 08 /03 /Mars 21:55

Chapitre 13 : Un bâillon-gode dans la gorge
 

A peine calée, j’entendis Sonia ordonner :

 

« Bien, tu peux te déshabiller Sarah ! »

 

La jeune fille rougit encore plus si possible.

 

« Mais . . . Melle . . . devant Lin-Yi ? »

 

Sonia fixa Sarah, faisant mine de ne pas comprendre.

 

« Lin-Yi est mon assistante personnelle à temps partiel. C’est pour cela que je l’ai sorti de sa classe pour lui demander de nous accompagner ! Elle m’aide sur les visites un peu particulières !  Tu peux donc te déshabiller sans gêne : tu ne seras pas la 1ere élève qu’elle verra nue ! »

 

« Oh, Melle . . . »

 

« Ecoute Sarah, je ne vais pas passer le reste de la journée sur ton cas. De plus, je te signale que Lin-Yi rate un cours afin de m’aider. Ce serait donc charitable d’essayer de ne pas lui en faire rater d’autres ! Mais si tu ne souhaite pas te déshabiller, nous retournons dans le bureau de la Directrice et nous lui expliquerons . . . ».

 

La menace fit blêmir la jeune fille.

 

« Non Melle, je vais obéir ! », dit-elle en commençant par enlever sa veste, puis sa cravate, qu’elle posa sur  une chaise.

 

Sonia, satisfaite, sourit.

 

Sarah enleva ensuite ses souliers et ses chaussettes, comme pour retarder l’échéance. Mais elle du ensuite passer à la chemise et au soutien-gorge, dévoilant ainsi ses seins plantureux aux larges aréoles roses à sa camarade de classe. Résignée, elle fit ensuite tomber sa jupe et enfin sa culotte. Toujours pudique, elle ne pu s’empêcher de placer un bras devant ses seins et une main devant sa chatte.

 

« Mon Dieu ! », s’exclama Lin-Yi à la vue du corps encore marqué de la jeune fille, « tu as reçu une véritable dégelée ! » !

 

Sarah ravala un sanglot.

 

« Tu as du en faire de belles pour déguster comme ça ! », ajouta la petite asiatique avec perfidie.

 

Sonia saisit alors Sarah par un bras et commença son office. Elle la pesa, prit son tour de poitrine, son tour de hanche, son tour de cuisse. A chaque nouvelle mesure, je constatai que mon infirmière de choc touchait par « accident » des parties sensibles ; tétons, mamelons, chatte, fesses. Soucieuse de ne pas braquer Sonia à nouveau, Sarah se contraignait à ne pas bouger.

 

Sonia fit ensuite bouger Sarah : mains sur les pieds, jambes bien tendues, bras en l’air bien étirés, bras à la perpendiculaire du torse, petits sauts sur place. A chaque fois, les seins opulents de la jeune fille gigotaient avec élégance et sensualité.

 

« Et bien tout cela me semble en parfait état de marche ! », conclu Sonia en prenant en main une longue spatule de bois plate.

 

« Mais vu ce qu’à laissé entendre Mme La Directrice de la suite de ta punition, je me dois de vérifier le bon état de tes orifices ! »

 

L’infirmière s’approcha de Sarah et se plaça devant elle.

 

« Ouvre la bouche ! »

 

Sarah ouvrit timidement les lèvres.

 

« Allons, plus fort ma jolie ! »

 

La jeune fille ouvrit plus franchement la bouche.

 

D’un geste vif, Sonia enfonça la spatule dans la gorge de Sarah, buttant contre la luette, et la plaqua contre la langue comme pour observer le fonds de la gorge de sa patiente.

 

C’était visiblement la 1ere fois que l’on enfonçait quelque chose aussi loin dans la gorge de Sarah.

 

La gorge de la belle eu un spasme et fit mine de vomir.

 

Tout aussi vivement, Sonia retira la spatule. Sarah respira bruyamment, en état de choc.

 

« Et bien, quel cinéma ! », lança Sonia. « Si l’attention de Mme La Directrice se porte sur cet orifice, tu risque de l’exaspérer ! »

 

Sarah ne pu retenir ses sanglots.

 

« Oh non ! Cela a été plus fort que moi ! . . . je ne souhaite qu’obéir, mais je n’ai pas pu . . . », gémit-elle.

 

« Excusez-moi Melle, je ne voudrai pas être indiscrète, mais pourquoi Mme La Directrice voudrait-elle punir Sarah par ses . . . orifices ? », demanda Lin-Yi.

 

« Tout simplement parce que cette prude jeune fille s’est oubliée en pleine punition et a éprouvé un plaisir très sexuel sous les coups ! »

 

« Oh mon Dieu ! Quelle honte ! », s’exclama la belle asiatique. « Je comprends mieux la sévérité de Mme La Directrice ! Ce n’est pas à notre école que les parents de Sarah devaient la placer, mais dans une maison de passe !»

 

Sonia éclata de rire.

 

« Oh non, Melle . . . ». Sarah mourait de honte que Lin-Yi connaisse la vérité sur son comportement.

 

Sonia se dirigea vers une table ou était placés divers instrument et revint avec un bâillon gode  en main. Le gode était couleur d’ébène, fin et long d’au moins 20 cm. Il était fixé sur une sangle en cuir.

 

Les yeux de la jeune fille fixaient l’engin sans ciller. C’était indubitablement la 1ere fois qu’elle voyait un bâillon gode.

 

« Nous allons donc entraîner ta gorge au cas où . . . allez, ouvre la bouche », demanda Sonia.

 

Sarah pleurait maintenant franchement. Son corps était secoué de tremblements. Ses seins en gigotaient en tous sens.

 

Prenant sur elle-même, elle se contraignit à ouvrir la bouche.

 

Sonia se plaça derrière elle, positionna le gode devant la bouche de sa « patiente » et l’enfourna brutalement dans sa gorge. Avec dextérité, elle saisit les 2 lanières de cuir et les fixa derrière la tête de Sarah.

 

Le corps de celle-ci fut pris d’un spasme violent et donna l’impression de vouloir vomir à nouveau.

 

La jeune fille tomba au sol à 4 pattes, râlant comme un animal à l’agonie, ses seins blancs et lourds pendant vers le sol.

 

Le gode étant creux, un filet de salive s’écoula par l’orifice circulaire de la sangle. Sarah bavait sur le sol un filet de bave quasi continu !

 

Je me pétrissais alors la moule comme une furie depuis plusieurs minute et j’eu mon 1er orgasme !

 

« Très bonne idée Sarah ! Reste à 4 pattes ! Cela va me permettre de tester l’élasticité de ton anus ! Car je serais très étonnée, vu la gravité de tes écarts de conduite, que Mme La Directrice ne pense pas à s’occuper de lui ! »

 

Là où j’utilisai « le choc » des punitions corporelles pour « attendrir » puis briser et donc ensuite remodeler pour leur plus grand bien les péronnelles dont l’éducation m’était confiée, Sonia recourait franchement à l’humiliation à caractère sexuel ! Je devais constater que c’était diablement efficace !

 

Sonia se dirigea à nouveau vers sa table couverte d’instruments et revint vers Sarah, qui vu sa position ne pouvait la voir, avec en main une poire et une matraque un peu particulière : longue de 20 cm, elle n’était pas uniforme mais en fait constituée de 3 boules reliées les une aux autres par un une barre de caoutchouc rigide. La matraque était prolongée par un manche qui permettait de l’avoir bien en main.

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Jeudi 8 mars 4 08 /03 /Mars 21:50

A partir du chapitre suivant, vous allez lire une suite originale de la punition de Sarah, écrite de ma blanche main.

 

J'espère que vous allez aimer cette suite comme vous avez aimé les 1ers chapitres de Max Smart!

 

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Mercredi 29 février 3 29 /02 /Fév 22:33

Chapitre 12 : Livrée à l’infirmière

"Ohhhhhhh! Ohhhh . . .". Elle s'est arrêtée, pleurant et gémissant de douleurs. Je ne crois pas avoir jamais donné à une fille une telle bastonnade! Sarah allait très clairement mettre des jours à pouvoir s'asseoir ou marcher normalement. Il y avait même quelques rares endroits où un peu de sang était visible.


Je pense que de la voir se dandiner en couinant, cloches tintant à tout va, excita mon enthousiasme et peut-être obscurci mon sens des proportions. Mais je crois fermement qu’une jeune fille n’est jamais trop punie ! Elle me remercierait un jour, même si je doutais que ce soit pour bientôt.

J'ai donc procédé au retrait de ses « bijoux ». Elle grimaça à la suppression de chaque pince et glapit lorsque je l'ai massée sur les parties libérées pour faciliter l'écoulement du sang. J'ai ensuite libéré son bras droit. Sa main s'est immédiatement mise à frotter ses fesses pour atténuer ses douleurs intolérables.

 

Je lui dis d’enlever le reste de ses entraves elle-même.

Toujours en pleurant et gémissante, Sarah tentait d’enlever maladroitement les autres entraves. Apparemment, elle avait un peu perdu de sa dextérité. J’admirai ses seins qui se balançaient, les mamelons irrités et gonflés.

Sur ce, mon téléphone sonna. Je décrochai. C’était l’infirmière de l’école.

 

« Oui Sonia ?. . . Vous devez me voir pour une urgence ?. . . Cela ne peut pas attendre ?. . . Soit. Je suis à la salle de punition. Oui . . . Avec Sarah Mc Cluskey. . . . Je vous ouvre la porte . . . », dis-je en appuyant sur un bouton.

 

Effarée, Sarah se démenait de plus belle pour se libérer et dans sa panique agitait ses appâts encore plus impudiquement. C’est juste au moment ou Sonia entra que l’adolescente réussit à retirer ses entraves.

 

Sarah couvrit ses seins et sa chatte par pudeur.

 

Sonia, superbe grande blonde de 25 ans aux jambes interminable, portait sa blouse d’infirmière minimaliste. La blouse, de couleur blanche, portait une croix rouge sur l’épaule gauche, dévoilait largement ses seins généreux par un grand décolleté en V et ne lui tombait qu’au quart de cuisses. La tenue mettait superbement en valeur sa peau blanche et ses cuisses charnues. Connaissant mon infirmière de choc, je savais qu’elle ne portait rien dessous !

 

A la vue de Sarah, Sonia sourit franchement.

 

« Eh bien ma petite, tu as du en faire de belle pour recevoir une telle correction ! », s’exclama t-elle.

 

« Et elle n’est pas terminée ! », commentai-je.

 

Sarah étouffa un sanglot.

 

« Oh pitié, Madame La Directrice . . . »

 

« Vraiment, Madame La Directrice ? », demanda Sonia.

 

« Oui, je l’ai corrigée pour ses manquements au règlement, mais il me reste à la punir pour avoir jouit sous la punition ! »

 

« Mon Dieu, voilà qui est en effet particulièrement indécent ! », commenta l’infirmière d’un ton faussement outré.

 

« Oui, mais je sais me montrer clémente. . . Je vais vous laisser Sarah le temps que vous jugerez nécessaire pour un examen médical complet afin de m’assurer que je puisse continuer la punition sans dommages pour elle! »

« Oh! S'il vous plaît, s'il vous plaît, je peux pas ... mes fesses ne pourrons tout simplement plus! », supplia la jeune fille.

"Ne t-inquiète pas, ma chérie, tes fesses ne seront plus au centre de mes préoccupations. Je vais devoir punir les parties de ton corps responsables de tes abandons répétés à tes bas instincts !».

L’adolescente blêmit. Sa mâchoire tremblait.

 

« Maintenant Sarah, à ta place, je me rhabillerai, à moins que tu ne veuille rejoindre l’infirmerie nue ! »


Sarah, étourdie, enfila ses vêtements avec force grimaces.

 

« De plus Sonia, j’aimerai que vous épiliez complètement notre jeune amie de façon qu’elle puisse enfin se conformer au règlement et ne pas exposer ses poils disgracieux à tout va lors de ses séances de punitions ».

 

« Ce sera fait, Madame la Directrice. En plus, les poils sont encore plus disgracieux sur la peau des rousses : je lui ferai une épilation intégrale ! »

 

Je souri à mon infirmière, satisfaite de la voir reprendre la balle au bond.

 

« Et bien Sonia, pourquoi souhaitiez-vous me voir ? »

 

« Rien de bien urgent dans le fonds Madame La Directrice !. . . Le plus important est que j’aille examiner Sarah afin de vous la rendre le plus vite possible et qu’elle en ait terminé avec sa punition ! »

 

« Oui, en effet ! Mais prenez votre temps ! Je veux un examen vraiment complet car le reste de punition à administrer est particulièrement douloureux et humiliant et je veux être certaine qu’il n’y a pas de contre indication! »

 

L’adolescente était sur des chardons ardents.

 

« Et toi Sarah, j’espère que tu as compris que je ne suis plus d’humeur à supporter tes accès de pudeur mal placés ! Sonia est une infirmière ! Son travail est d’examiner des personnes nues ! Alors si tu ne souhaite pas encore aggraver ta punition, je te conseille de ne pas lui compliquer la tâche lors de ses examens et de lui obéir au doigt et à l’œil ! »

 

La jeune fille déglutit.

 

« Oui, Madame La Directrice, . . . je serais très obéissante ».

 

Sonia sortit de la pièce suivit, en claudiquant, de Sarah.

 

J'eu alors le merveilleux sentiment du travail bien fait.

 

Sonia et Sarah sorties, je refermai et verrouillai la porte pour être tranquille et fit sauter tee-shirt, short et petite culotte pour enfin m’assoir confortablement dans mon fauteuil.

 

De ma place, je mis en marche le micro-ordinateur portable placé sur la petite table à côté du fauteuil, puis lançai le programme me permettant de me connecter aux caméras de l’école. Je choisi de me connecter à la caméra de l’infirmerie. Stratégiquement placée, celle-ci m’offrait une superbe vue couleur, avec son, sur la pièce ou Sonia était censée examiner ses chères patientes dans l’intimité. C’est grâce à cette caméra que je pouvais dire que les examens de Sonia étaient très poussés et particulièrement . . . approfondis! Et d’autant plus poussés et approfondis que l’élève était belle et « appétissante ». Sonia aimait visiblement les jeunes filles aux formes très féminines. Avec Sarah, elle allait être comblée.

 

A peine connectée, je vis entrer une Sarah rouge jusqu’aux oreilles, une Sonia rayonnante . . . et la jeune Lin-Yi, souriant à pleines dents ! Cette garce de Sonia s’était débrouillée pour prendre en chemin cette petite perverse de Lin-yi, une petite asaitique de 16 ans à peine, mince comme un fil de fer, d’une merveilleuse servilité envers le corps enseignant et le personnel de l’établissement, mais au fonds bien sadique avec ses camarades de classe, surtout celles à fortes poitrine ! Par pure jalousie sans doute ! Décidément cela allait être la fête de Sarah !

 

Lâchant un soupir d’aise, je me calai dans le fauteuil, cuisses bien écartées et pris ma moule glabre aux grosses lèvres brunes à pleine main en commençant à la malaxer sans pudeur.

 

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