Chapitre 9 : La salle de punition
«Mon Dieu, ce n’est pas de chance, Sarah ! Si près du but . . . Tu as toute ma compassion ma chérie . . . Mais il
ne faut pas te laisser aller ! On se relève !"
J'ai aidé la pauvre fille à se remettre sur ses pieds. Elle était courbée en deux, mais a réussi à rester debout.
Toutefois, ses mains restaient entre ses jambes à masser doucement la chatte cuisante.
«Allons Sarah, pas besoin de faire tant d'histoires à propos de quelques petites gifles"
Sarah se redressa, ses bras sur ses côtés, ses merveilleux seins pointant vers moi.
Je remarquais que les jambes de la jeune fille étaient arquées.
"Sarah, un peu de tenue : mets tes jambes droites, s'il te plaît. Essayes-tu de me provoquer à
nouveau?"
La jeune fille commençait véritablement à bien être conditionnée à l'obéissance. Elle referma les jambes de suite en
couinant de douleur.
Avec une voix perdue de petite fille, elle dit: « Oh, Mme. Marks . . ."
«Oui, Sarah. »
"Cela signifie vraiment que je vais être punie en public . . . en face des garçons?"
"En présence des garçons, des filles et de nos instructeurs . . . je le crains oui"
« Ohhhh, non! »
Sarah allait tomber à genoux pour me supplier, mais je l'ai arrêté d’un geste clair de la main.
«Maintenant, nous avons vraiment besoin de vous consacrer à ta punition. Nous en sommes presqu’au point mort !"
"M-Mais, Madame la Directrice, vous avez fait tellement! J’ai subi tant de choses, je suis assez puni, n’est-ce
pas? "
"Vous avez reçu un petit échauffement en guise de fessée, c'est tout . . . ».
"Ca . . . ça fait mal . . . ça fait trop mal . . . »
«Je suis désolée si ça fait mal, ma chérie, mais la punition est inévitable, je te l’ai déjà expliquée "
Un regard désespéré ce fixa sur ce joli visage.
« A la salle de punition maintenant".
Et j'ai attrapé Sarah par l’oreille droite et l’ai tirée vers une porte à la droite de mon bureau. Elle gémissait un peu mais a fait son mieux pour être coopérative et marchait avec moi, bien que sa démarche était arquée. J'ai ouvert la porte et fit signe à Sarah pour montrer la voie. J’ai allumé la lumière, comme elle passait par la porte, et j'ai été heureuse de capter son souffle coupé. Je suis assez fière de ma salle de punition, et elle fait toujours son petit effet sur mes futures victimes lors de leur 1ere visite.
Lors de sa 1ere visite, l’élève punie devine de suite qu’il s’agit d’un endroit spécial. Il est vrai qu’il y a de
nombreux indices : le cheval de voltige avec ses bretelles stratégiquement placée, les différentes poulies au plafond et sur les murs, les deux «chevaux de bois » que j'avais acquis
récemment et qui ont été si utiles à punir les jeunes filles qui se sont rendus coupables de délits sexuels, la chaise à gode rectal, les sacs à lavements accrochés aux murs, etc.
La salle elle-même était assez grande pour contenir confortablement toutes ces choses, et en plus pour conserver encore
beaucoup d'espace pour bouger. L'éclairage était tamisé et agréable, mais la salle était aussi équipée de spots puissants.
Sarah regarda autour d'elle les yeux exorbités, horrifiée.
J’ai alors enlevé ma veste et ma chemise, puis laissé tombé ma jupe, dévoilant un soutien-gorge de dentelle noire et une petite culotte échancrée assortie. Je fis sauter les attaches du soutien-gorge, dévoilant mes 2 petits seins entièrement bronzés et encore fermes pour leur âge, mais Sarah était trop occupée à examiner la salle pour s’apercevoir de quoi que ce soit. J’ai rangé mes vêtements dans un placard et j’ai enfilé un petit short de coton gris et un t-shirt de la même matière et de la même couleur beaucoup plus confortable. J'ai ensuite pris place dans mon fauteuil préféré, un fauteuil confortable placé dans un coin de sorte qu'il avait vue sur toute la salle de punition.
Sarah m'a regardé avec crainte. Elle avait inconsciemment repris son habitude d'essayer de protéger sa pudeur, avec un
bras couvrant ses seins et l'autre main posé sur sa chatte. Elle s’était aussi d’elle-même adossée à un mur, peut-être pour protéger ses fesses.
Je souris: «Eh bien, Sarah, qu’en pense-tu? C'est une pièce bien-nommée, je dirais. Je peux te dire une chose - les
jeunes filles comme toi ne quitte pas cette chambre sans avoir à appris une leçon forte sur la valeur du bon comportement."
Je me servis un petit verre de cognac à partir d'une carafe sur la table d'appoint à côté de mon fauteuil, allumais un
cigare et me donnais le plaisir de profiter de la superbe beauté nue en face de moi. Elle pleurait et semblait à nouveau avoir perdu la parole. Ses yeux lançaient des regards aux objets de la
pièce, de toute évidence pour essayer de comprendre leurs utilisations potentielles, leurs menaces. Avec quelques-uns, sans doute, elle n'avait aucun mal à discerner le but, alors que d'autres
devaient la laisser perplexe.
J’ai d’ailleurs oublié de préciser que la pièce était très confortable. Le plancher était recouvert d'un lino couleur
amande, les murs pastels étaient rembourrés, et l'éclairage était efficace et agréable. Comme toujours, quand j'entrais dans cette pièce avec un sujet, je pris quelques secondes pour tout boire
un verre afin de me détendre et me préparer pour la suite des événements.
J’utilisais cette salle de punition pour les cas «spéciaux», ceux qui avaient besoin de beaucoup plus d'attention. Ceux
qui allaient crier beaucoup plus que la normale ! Ou je préférai que les perturbations pour les classes ayant lieu juste en dessous de la salle soient minimisés.
La fermeture de la porte de cette chambre envoyait un froid glacial dans le cœur de la plus brave des filles. La porte
fermée, il ne restait plus au monde que la fille et moi. Sarah semblait très impressionnée. Son reniflement s'était arrêté, pour être remplacé par une sorte de halètement. «Maintenant,
Sarah, viens en face de moi. "
Sarah poussa un gémissement, mais obtempéra à mon ordre, en protégeant ses zones sensibles du mieux qu’elle
pouvait.
«Maintenant, les mains sur ta tête et au garde à vous !"
Là encore, elle poussa un gémissement de désespoir et obéit, mettant ses mains sur la tête et rejetant ses épaules en
arrière, ce qui eu pour effet de projeter ses seins en avant. J’avais ainsi vue sur ses gros seins laiteux, ses larges mamelons roses, son ventre mou et plat, sa chatte grasse et encore rouge
couverte d’un léger gazon roux. Elle se tenait devant moi, tremblante, le regard implorant la miséricorde même si sa voix se tut.
Elle avait les jambes légèrement écartées, probablement en raison de la douleur continue de sa chatte.
« Jambes bien droites, Sarah ».
Elle obéit, mais j'ai noté une grimace de douleur qui stria son front.
"C’est ton clitoris, ce gros bout de chair rouge sortit de ta chatte ma chérie ? », ai-je demandé, en me
penchant un peu pour obtenir une meilleure vue, provoquant chez Sarah un élan de détresse supplémentaire.
"O-Oui, Madame La Directrice . . ."
«Eh bien, quel morceau ! Tu vas avoir un franc succès auprès de tes camarades de classes masculins lors de ta
punition publique ! Dommage que tu n’as pas pu pas durer un coup de plus ! »
Un cri de désespoir a répondu à cette pique.
J’en ai rajouté.
"Oui, je comprends ton inquiétude ! Les châtiments publics seront probablement particulièrement pénibles, physiquement et moralement ! "
"Ohhh, Madame La Directrice! Ne me faites pas passer . . ."
"Silence! Maintenant, retourne-toi et montre-moi tes fesses».
Sarah se retourna et exposa son superbe postérieur sous mes yeux.
"Tu as un superbe fessier Sarah, et je pense que son apparence s’est améliorée après le début de fessée que tu as
reçue : le rouge lui va très bien. Mais, je ne crains cependant que tes fesses affichent toutes les couleurs de l'arc-en lorsque j’en aurai finit avec elle. Maintenant, s'il te plaît va à ce
mur sur ta droite et amène-moi l'objet suspendu là-bas. "
Sarah s’exécuta.
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