Chapitre 16 : Sonia teste l’élasticité du vagin de Sarah :
« Oh non, Madame, je vous en supplie ! », supplia Sarah en se remettant à pleurnicher.
La petite dinde avait retrouvé sa voix !
« Il le faut bien ma jolie ! . . . Mme La Directrice a été très claire : je dois te faire un examen médical complet pour vérifier que tu es apte à subir une punition qui s’annonce très douloureuse et humiliante . . . à la hauteur de tes écarts de conduites ! . . . C’est d’ailleurs une chance pour toi de peut-être y échapper partiellement si je constate une contre-indication ! », sermonna la sculpturale Sonia.
Sarah, peut-être peu convaincue par la dernière affirmation, se mit à pleurer franchement.
« Bon, j’espère que tu va arrêter tes enfantillages et de prêter à l’examen de bonne grâce ou je vais devoir en référer à Mme La Directrice . . . qui avisera ! », conclu Sonia.
Sarah se contraignit à arrêter de pleurer.
« Oui, madame . . . Je suis à votre disposition ».
« Bien ! », s’exclama Sonia, en la saisissant par le bras et en la traînant jusqu’à un appareillage étrange.
Sur un gros pied métallique était fixé une sorte de siège également métallique en forme de corps humain. On reconnaissait distinctement la forme du tronc, des bras et des jambes.
Sonia indiqua à Sarah de s’allonger sur le « siège ».
La peur visiblement au ventre, la jeune fille s’exécuta.
Une fois allongés, Sonia boucla des attaches aux chevilles et aux poignets.
Sarah était livide de terreur.
Sonia tourna alors une manivelle et les « jambes » du siège se mirent à s’écarter, écartant par la même les jambes de Sarah.
Ces dernières remontèrent de plus en plus haut jusqu’à se retrouver à la perpendiculaire du torse de la jeune fille !
Sarah grimaça et hurla de douleur.
Sonia tourna une seconde manivelle et c’est les bras de Sarah qui se mirent à remonter jusqu’à se retrouver dans l’alignement du torse, ce qui eu pour effet, voulu, de soulever les seins plantureux de la jeune fille.
Sonia tourna une troisième manivelle et le siège se mit à basculer à 45°, mettant Sarah dans une position idéale pour son examen.
Sonia enfila une nouvelle paire de gants en latex blancs et se plaça entre les cuisses de l’adolescente.
Elle écarta ses grandes lèvres et dégagea complètement son clitoris.
« Et bien, tu as des lèvres sacrément grosses ! . . . Et un clitoris à l’avenant ! Cela ne m’étonne pas que tu sois aussi sensible ! »
Sarah couina de honte.
Lin-Yi s’approcha.
« Mon Dieu ! », s’exclama-t-elle. « Pardonnez-moi, Madame, mais dans mon pays, on considère que les jeunes filles qui ont des chattes avec de tels attributs sont des jouisseuses et des salopes par nature ! »
« Oh non, ce n’est pas vrai ! », s’exclama Sarah.
Sonia prit le clitoris de l’adolescente entre 2 doigts. Il était aussi gros que la phalange d’un pouce !
« Ah bon ! », s’exclama l’infirmière. « Et comment traite-t-on leur cas dans ton pays ? »
« Avant la révolution, elles devenaient des concubines princières ou on les envoyait dans des bordels à soldats. Depuis la révolution, on les éduque avec la plus extrême rigueur afin de les maintenir dans le droit chemin ! »
Sonia fit pénétrer 2 doigts dans le vagin de Sarah.
« Oh non . . . Madame, je vous en prie . . . », supplia-t-elle.
Sonia releva la tête, visiblement surprise.
« Et bien Lin-Yi, je crois que tu ne te trompais pas tout à l’heure . . . les parents de cette demoiselle auraient mieux fait de la placer dans un bordel plutôt qu’à notre école ! . . . elle n’est plus vierge ! »
« Oh la salope ! », s’exclama la jeune asiatique.
« Alors, tu t’es fait gamahucher à quel âge petite garce ? », questionna Sonia.
Sarah éclata en sanglots.
« Jamais Madame ! . . . C’est un accident !. . . . Je jouais avec une bougie . . . «
« Tu te mettais une bougie dans la chatte ! . . . de mieux en mieux ! . . . Et tu fais de telles manières lorsque tu te fais punir . . . Madame La Directrice va apprécier ! »
Tout en parlant, l’infirmière tournait ses doigts dans le conduit de la jeune fille, qui commençait à lubrifier sérieusement.
Elle les retira et saisit un spéculum d’environ 20 centimètre de long, pour un de large.
Elle l’enfonça dans la chatte de Sarah.
L’engin pénétra comme dans une motte de beurre fraiche !
Plus d’une bougie avait déjà du passer dans cette chatte !
Une fois enfoncé, Sonia se mit à tourner la molette du spéculum pour l’écarter.
Peu à peu, Sarah se mit à gigoter, puis à grimacer et enfin à hurler.
Sonia regarda son appareil.
«5 centimètres ! . . . Pas mal pour une péronnelle de 17 ans ! »
Elle revissa la molette du spéculum et le retira, puis remit les jambes et les bras du siège en place et libéra l’adolescente.
Toute courbaturée, celle-ci descendit à grand peine.
« Et bien tu es en parfait état pour subir ta punition ! . . . Et comme tu n’es plus vierge, Madame La Directrice ne sera pas gênée ! », conclu Sonia.
Sarah tomba au sol et s’agenouilla devant elle en éclatant en sanglots.
« Oh pitié Madame ! . . . Je ne le supporterai pas . . . d’être à nouveau punie . . . »
« Allons, un peu de tenue ! Mme Marx a promis de laisser tes fesses tranquilles . . . . C’est un mauvais moment à passer. Soit courageuse ! Et obéissante ! Et elle te renverra vite à tes chères études ! »
«Mais, elle a promis de me punir par ou j’ai péché . . . et devant les garçons de l’école des garçons ! », hurla Sarah
Lin-Yi éclata de rire.
« Voilà qui est assez mortifiant ! », releva la jeune fille. « Je connais quelques amis qui vont bien s’amuser ! »
« Conseillez-moi, Madame, je vous en prie . . . je suis prête à tout pour éviter cette punition ! »
Novembre 2024 | ||||||||||
L | M | M | J | V | S | D | ||||
1 | 2 | 3 | ||||||||
4 | 5 | 6 | 7 | 8 | 9 | 10 | ||||
11 | 12 | 13 | 14 | 15 | 16 | 17 | ||||
18 | 19 | 20 | 21 | 22 | 23 | 24 | ||||
25 | 26 | 27 | 28 | 29 | 30 | |||||
|