Avec la sonnerie, une nuée de jeunes filles en uniforme sortit des classes pour passer dans d’autres classes.
L’intercours ne durant que 5 minutes, les jeunes filles ne trainaient habituellement pas.
Mais cette fois, en sortant, elles étaient interpellées par la vue de Sarah dans sa tenue obscène, entourée de Lin-Yi et de l’infirmière et continuaient donc d’avancer en dévisageant leur pauvre camarade de classe en commentant à voix basse, soit pour la plaindre, soit pour se moquer.
« Ma pauvre Sarah », commenta Sonia, « décidément, tu n’as pas de chance ! . . . Toutes tes camarades de classe vont te voir en sous-vêtements ! »
Sarah était rouge de honte, en sanglots, tétanisée.
Sonia la prit pas le bras et la tira pour la faire avancer.
Sarah suivit, mécaniquement.
Au fur et à mesure qu’elles avançaient, je basculai sur une autre caméra.
« Mon Dieu, Sarah, que fais-tu dans cette tenue ? », lança une fille en approchant.
Je reconnu Claire Duval, une grande fille aux cheveux châtains, mince. Une préfète de discipline de terminale, mais surtout une amie d’enfance de Sarah.
Juste derrière elle arrivait Sonja, une noire athlétique, préfète de discipline de la classe de Sarah.
Les préfètes de disciplines étaient une autorité que j’ai créé à ma nomination en tant que Directrice. A chaque promotion, je repérai les jeunes filles à potentiel dominateur et sadique et je leur donnais autorité sur leur classe pour maintenir l’ordre. En cas d’infraction, elles avaient la possibilité de punir les récalcitrantes ou de m’en référer. Un excellent moyen de maintenir la pression !
En approchant les 2 préfètes remarquèrent le corps zébré de marques de Sarah
« Mais qu’as-tu fait comme bêtise pour être dans cet état ? », demanda la noire
Sarah, toujours tétanisée, morte de honte d’être ainsi humiliée devant son amie, n’arrivait pas à répondre.
Pendant ce temps, les autres jeunes filles étaient rentrées dans leurs classes.
« Mais tu vas répondre ! », s’exclama Claire.
« Allons mes demoiselles ! », dit Sonia. « Notre pauvre Sarah est impressionnée. Mme La Directrice l’a déjà sévèrement punie mais n’en a pas encore terminée. Nous nous rendions justement à son bureau pour qu’elle reprenne »
Claire dévisageait son amie. Elle se rendit compte que celle-ci était maintenant épilée de près.
Elle jeta un bref coup d’œil à la noire.
« Et bien Mademoiselle, nous allons nous occuper de ça maintenant. En tant que préfète, c’est notre rôle »
Sonia hésita puis sourit.
« Et bien je suis obligée de vous passer le relais . . . », dit-elle
Sarah eu un hoquet.
Ses espoirs de voir l’infirmière essayer de m’amadouer s’évanouissait.
« Lin-Yi, tu peux reprendre tes cours », ajouta l’infirmière.
Dépitée, l’asiatique prit cependant la direction de sa classe sans discuter
« Claire . . . », arriva à articuler Sarah.
Son amie se tourna vers elle.
« Allons Sarah ! Un peu de tenue et de respect ! En ce moment je ne suis pas ton amie, mais une préfète de discipline ! Je dois mériter la confiance de Madame la Directrice ! Je ne peux faire de passe-droit ! Tu dois nous appeler par notre titre !»
La belle rousse ravala un sanglot
«Oui Préfète . . . », répondit-elle d’une petite voix.
Sonia s’éclipsa sans rien dire.
« C’est bon pour cette fois », dit Claire
« Tu es trop bonne avec cette gourde ! », lança la noire en claquant le cul de Sarah
« Je vous en prie . . . préfètes . . . j’ai déjà été durement punie, je n’en peux plus . . . mais Madame la Directrice veut encore me punir . . . devant les garçons . . . nue », dit Sarah en éclatant en pleurs.
Les 2 filles écarquillèrent les yeux. Pour ce que j’en voyais, l’opulente rouquine ne les avait pas émues, mais au contraire alléchées !. Claire, notamment, ne regardait plus Sarah comme son amie, mais comme quelque chose d’autre . . .
« Et bien ! Tu as du faire de sacrées bêtises ! », dit Sonja en caressant les cheveux de Sarah comme si elles caressai un animal de compagnie.
Claire s’approcha, se colla aussi à son amie, et en lui caressant les fesses, ajouta : « oui, tu as été sacrément punie ! . . . Et ce serait bien humiliant de t’exhiber nue devant les garçons en étant punie »
« Oui, mais Madame la Directrice décide des punitions, nous n’y pouvons rien », reprit la noire en caressant le dos de l’adolescente.
« Il faudrait que tu y mettes du tiens pour l’amadouer ! », enchaîna Claire en caressant les seins de son amie de l’autre main.
« Oui . . . oui », répondit Sarah. « L’infirmière m’a expliqué la position de soumission réglementaire pour la punition »
Visiblement interloquées, les 2 filles se reprirent vite.
« C’est bien », commenta Claire, « mais je pense qu’il faudrait peut-être rassurer Madame la Directrice pour l’avenir . . . pour qu’elle ne craigne pas que tu reprennes tes bêtises quelles qu’elles soient ! »
Tout en parlant, Claire avait sorti un sein du soutien-gorge et le palpait. Le 2eme suivi.
« Oui », renchérit la noire. « Visiblement tu ne sais pas te tenir ! . . . Il faudrait que tu sois cadrée, suivie . . . »
« Oui . . . il te faudrait des tutrices », conclu Claire.
Sarah ouvrait de grands yeux vides.
« Des . . . des tutrices ? », bafouilla-t-elle.
Claire sourit.
« Oui . . Quand une élève ne sait pas se régler, il faut la confier à une élève plus maitresse d’elle même à qui elle doit obéir en tout, qui peut la punir librement, afin de la cadrer et l’éduquer », expliqua t-elle.
La garce avait de l’imagination ! Elle était en train de prendre en main son amie d’enfance
« Oui », ajouta la noire, « je pourrai être ta tutrice en classe et dans l’école et Claire en dehors de la classe dans le reste de l’école et en dehors de l’école. . . . Ce serait un gage de sérieux ! »
« . . . qui devrait permettre de mettre madame la Directrice en confiance et permettre de lever la punition publique . . . », tenta Claire.
Les salopes étaient douées !
Je recommençai à me branler la moule
« . . . ou au moins de réduire le nombre de garçons », modula la noire, perfide
« Mais ce serait sans doute trop humiliant pour toi que je sois tutrice, moi ta meilleure amie », corrigea Claire
Sarah sursauta
« Oui . . . oui, mais je suis prête . . . j’obéirai . . . tout plutôt que de me faire punir devant des garçons ».
L’adolescente était maintenant plautée en règle par les 2 préfètes. Leurs mains palpaient cuisses, fesses, seins, chatte, passant dans le string.
Sarah, totalement concentrée sur le fait d’échapper à sa punition devant les garçons ne bronchait pas
« C’est une très bonne résolution . . . qu’il faudra tenir, car en cas de défaillance nous devrons être intraitables avec toi ! », constata Sonja
« Oui . . .oui », promis, Sarah, haletante sous les caresses.
« Bien . . . bien . . . mais je pense que pour que madame la Directrice se laisse convaincre il faudra que ce soit toi qui la persuade de ton besoin de discipline, et donc d’être placée sous tutelle ! . . On amènera la discussion, mais après ce sera à toi d’être convaincante ! », dit Claire
Et sur ce, elle lui décocha une grande claque sur le cul
« Allez, on y va », lança la noire en poussant la rouquine
Je jouis à nouveau, épuisée !
Sarah avança en remettant ses nichons dans ses balconnets de ficelles. Ses tétons pintaient outrageusement.
Reprenant mon souffle, je me rhabillai mais en enfilant une minijupe de cuir, des hauts talons et un bustier noir me laissant les épaules et les bras nus et faisant pigeonner mes seins.
J’étai en tenue pour la suite !
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