Une semaine plus tard, Danielle arriva à son bureau à neuf heures. Elle s'assit derrière son bureau et fut accueillie par la langue de sa secrétaire lui broutant la chatte. Comme d'habitude,
Terri était sous le bureau, vêtu uniquement de ses escarpins noirs et de sa culotte fendue en dentelle assortie (Danielle l'autorisait maintenant à porter une culotte le vendredi), la rosette
"2ème place" épinglée sur son téton -- comme l'appréciait Danielle.
La langue de Terri dansa autour du clito de Danielle, avant de fondre pour « la mise à mort ». La secrétaire était une très bonne bouffeuse de chatte, même Danielle devait lui reconnaître ça.
« Les doigts, » murmura Danielle d'une voix rauque. Terri obéit en lui plongeant deux de ses doigts dans la fente, Danielle ouvrit un tiroir où elle gardait les jouets de Terri.
Un jour normal, Danielle aurait donné à Terri un des plus petits godes, et sa secrétaire l'aurait utilisée avec diligence dans son cul serré tout en broutant la chatte de sa patronne. Terri avait
commencé par le gode le plus petit du lot, à peine plus gros qu'un doigt de Danielle, il était entré plutôt facilement. Après deux jours, elle avait été « promue » à la taille suivante. Ça avait
été un peu inconfortable -- et avait procuré plus de plaisir que la jeune femme ne voulait l'admettre... Il suffit de dire que lorsque la langue de Terri amena un orgasme à Danielle, la femme
d'affaires ne fut pas la seule à jouir.
Un jour normal, quand Danielle avait joui autant de fois qu'elle pouvait se le permettre pour un matin, elle écarterait la chaise et laisserait Terri sortir. L'assistante s'asseyait alors de
l'autre côté du bureau et continuait à exercer son cul avec le gode, pendant que Danielle prenait une tasse de café et passait en revue ce qu'il y aurait à faire pour la journée.
N'ayant jamais rien eu dans le cul auparavant, Terri éprouvait de toutes nouvelles sensations. L'humiliation d'avoir à s'enfoncer des choses dans le fion avait laissé la place à la curiosité et
au plaisir. Dans certains cas, la belle jeune femme expérimentait un débordement des sens. Durant la session du jeudi, pendant qu'elle se pistonnait le cul avec le gode n° 2, elle surprit sa
patronne et elle-même en demandant à être autorisée à s'occuper de sa chatte de sa main libre.
Danielle avait rejeté la demande, mais avait fait une contre-proposition. « Si tu me supplies, je serais prête à me mettre sur les genoux pour m'occuper de toi moi-même, » offrit-elle.
Terri, qui avait toujours trouvé la seule pensée d'avoir une relation sexuelle avec une autre femme dégoûtante, avait fini par la supplier. Danielle demanda à Terri de lui décrire précisément et
de façon éloquente ce qu'elle voulait, et seulement alors elle avait pris position en face de sa secrétaire. La combinaison du gode dans son cul et de la langue experte de Danielle sur sa chatte
se révéla être plus que son corps ne pouvait supporter, elle se sentit avoir des orgasmes successifs qui dévastèrent son corps comme si elle allait se déchirer en deux. Danielle était contente
d'avoir installé une caméra vidéo pour enregistrer les évènements du jour.
Mais aujourd'hui n'était pas un jour habituel. Au lieu de tendre à sa brouteuse de chattes le gode #2, auquel le trou du cul de Terri était maintenant habitué, Danielle lui passa le plus gros
gode de tous, celui que Terri lui avait envoyé il y a fort longtemps, pour se moquer d'elle.
Terri s'arrêta à mi-léchage quand elle réalisa ce qui lui avait été remis. Le gode faisait plus du double de la taille du #2. Son cul se ferait déchirer! Elle exprima ses craintes à sa patronne.
Danielle gronda la jeune femme, « Je ne t'ai pas dit d'arrêter de lécher. Si tu as quelque chose à me dire, tu peux le faire entre deux coups de langue, ou la bouche fourrée sur ma chatte. »
Terri reprit sa broute « Oui, il est plus gros que ce à quoi ton petit cul est habitué. Et oui, je me fiche que ça te fasse mal. Il va dans ton cul.
— S'il vous plaît... commença Terri.
— Tu te souviens de la règle des protéines? Tu es censée avaler deux jets de foutre par jour? » Terri se SOUVENAIT. Elle avait suivi la règle chaque jour avec application, choisissant les étalons
bien montés du service courrier comme donneur de sperme... à l'exception d'hier. Elle n'avait pas eu l'opportunité de se rendre dans la salle d'expédition et n'avait pas voulu s'humilier devant
les hommes du 33ème étage (qui pensaient déjà qu'elle était une traînée par ailleurs.) Elle avait espéré que sa patronne ne découvre pas son infraction... Mais il semblait qu'elle avait été
percée à jouer.
« Tu n'as pas respecté la règle. Alors je vais te le faire payer avec ton cul. » Reculant sa chaise Danielle ordonna à Terri de se mettre à quatre pattes sur le bureau.
Comme Danielle récupérait le godemiché, Terri se mit à supplier. « S'il vous plaît Madame! Ça n'arrivera plus! Pitié! » Le gode géant était à l'entrée de son conduit anal. « Pitié... je ferais
n'importe quoi! Je suis désolée! Je t'en supplie... » Le bout du gode était maintenant dans le cul de Terri, elle se sentait déjà élargie. « Oh mon Dieu... PITIÉ... »
La jeune femme désespérée essaya une approche différente. « Madame... S'il vous plaît... votre pute de secrétaire peut-elle vous faire une requête? S'il vous plaît? »
— Quelle est ta requête? demanda Danielle en s'arrêtant.
— S'il vous plaît... puis-je au moins lubrifier le gode? S'il vous plaît? » Danielle reprit ses essais pour enfoncer le gode plus loin dans le cul serré de sa secrétaire. « OH MON DIEU... S'IL
VOUS PLAÎT... ÇA VA ME DÉCHIRER EN DEUX! PITIÉ! POUR L'AMOUR DE DIEU LAISSEZ-MOI LE LUBRIFIER... »
Danielle sortit le gode du cul de Terri. La jeune femme soupira de soulagement.
« Du lubrifiant, s'amusa Danielle. Oui, il SEMBLERAIT qu'il y en ait besoin. Va me trouver de la vaseline. » Terri mit sa robe, et attrapa son porte-monnaie. « Pas de porte-monnaie. » Ne
comprenant pas, Terri protesta, « Mais si je dois acheter --
— Nous n'avons pas le temps de faire des courses, déclara Danielle exaspérée. Je suis sûre que quelqu'un dans cette entreprise à un tube de vaseline. Fais le tour des bureaux et demande à tout le
monde. » Terri commença à protester, mais Danielle la fit taire. « C'est ça, ou on réessaye sans. »
Et donc, humiliée sans commune mesure, Terri, vêtue de sa robe au décolleté extravagant, alla de bureau en bureau demander si quelqu'un n'aurait pas de la vaseline. Elle fit face à un large choix
de réactions, allant du pur dégoût venant surtout de femmes, au reluquage en règle pour certains hommes. Curieusement, une des femmes, une grande blonde qui s'appelait Angela, avait un tube de
vaseline. Mais elle prévint Terri qu'elle aurait à le mériter.
« Comme tu veux, » soupira Terri.
« Viens avec moi, » lui demanda Angela, la menant jusqu'à la salle des fournitures. Génial, une autre goudou pensa la secrétaire.
Dans la réserve, Angela voulut que Terri se déshabille, puis elle quitta la pièce. Elle revint un moment plus tard avec Scott, son mari qui travaillait aussi dans l'entreprise.
« J'ai pensé d'offrir ton cadeau d'anniversaire en avance, » susurra Angela à l'oreille de Scott, tout en lui indiquant la salope de secrétaire. « Laisse-moi te mettre en train pour elle... »
Angela dévêtit son mari, tout en l'embrassant sur tout le corps.
« Salope, viens là, et suce la bite de mon mari, » ordonna Angela. Terri regarda nerveusement vers la porte, ayant peur que quelqu'un les surprenne. « Ne t'inquiète pas, tout le monde est parti
déjeuner. Et toi, viens ici prendre ta soupe. »
La queue de Scott était assez avenante, estima Terri. De nouveau, la secrétaire se trouva à essayer de rationaliser quelque chose sur laquelle elle n'avait aucune emprise. Elle se mit à genoux et
engloutit le chibre de Scott. Angela pendant ce temps était occupée à rouler des pelles à son mari.
Les trois furent interrompus quand la porte s'ouvrit. Mais heureusement ce n'était que Danielle.
« Terri, je vois que tu as fait la connaissance d'Angela et de Scott! Oh, ne t'arrête de sucer cette belle queue juteuse rien que pour moi! Je travaille avec eux depuis longtemps... Tu te
souviens du contrat Jackson-Morgan que tu m'as chipé? Scott avait bossé dessus avec moi pendant des semaines! Quel dommage... Ces deux-là comptaient VRAIMENT sur la grosse commission qu'ils
auraient dû toucher. Bon, c'est pas tout ça, mais je suis sûre que vous trouverez plein de choses à vous dire! » Allant à l'endroit où les vêtements de Terri étaient empilés, Danielle ramassa la
culotte noire fendue et l'accrocha à la poignée de porte. « Voilà... maintenant celui qui voudra entrer saura que la pute de l'entreprise est en pleine besogne là-dedans! » Sur ce mot, Danielle
partit.
« Mais regarde quelle petite suceuse de sang on a là, » chuchota Angela à son mari alors que Terri lui prodiguait une gorge profonde frénétique. « Je sais que tu veux lui jouir dans la bouche de
toute urgence. Mais je veux te voir la baiser à la place... »
Tout de suite après, Angela trouva une table couverte de fournitures qu'elle balaya d'un geste. « Salope, tu nettoieras ce bordel quand on en aura fini avec toi, » ordonna-t-elle à Terri, qui
marmonna en réponse un bruit étouffé « mmmm hmmm. »
Angela mena son mari à table, et le fit s'y étendre dessus sur le dos. Elle donna l'instruction à Terri de le monter. La secrétaire obéit, amenant sa chatte sur la queue rigide de Scott.
« Regarde comme elle mouille pour toi, bébé! » Dommage que ce ne soit pas une vraie blonde, affirma Angela à son conjoint. Puis se penchant tout près de Terri, elle murmura : « T'as intérêt à
donner la meilleure baise de sa vie à mon mari, ou tu le regretteras. »
Et c'est ce que Terri fit, chevauchant Scott comme s'il était un dieu, faisant parvenir sa bite loin dans sa chatte à chaque coup de reins. La jeune salope apprenait vite que la meilleure façon
de combattre ceux qui cherchaient à l'humilier ou à ruiner sa vie, était de profiter de ce qu'elle faisait. Dans le cas de Scott et de sa bite bien taillée, ce n'était pas difficile. Terri se
figurait même qu'elle allait faire la démonstration d'une chose ou deux quand il était question de baiser.
« T'aimes ça baiser mon mari? demanda Angela en les regardant.
— J'adore, haleta Terri en toute bonne foi.
— Ouais, je parie que t'aimes ça. J'ai entendu les histoires sur ta perversion. Comme quoi tu trompes ton mari pour baiser avec des groupes d'hommes... Je parie que tu adorerais que mon mari
décharge son foutre dans ta chatte de salope.
— Oui... S'il vous plaît... gémit Terri
— Je parie que si mon mari te le demandait, tu le baiserais tous les jours.
— Oui... » confirma la belle jeune femme. Ce qu'elle ne précisa pas était le fait qu'elle AURAIT à le faire, selon les "règles" que sa patronne avait établies pour elle.
— SALE PUTAIN DE SALOPE!!! Tu baises mon mari derrière mon dos! Putain de briseuse de ménage... » Angela semblait folle de rage. Se baissant, elle défit une sangle en cuir de son sac à main alors
que Terri continuait sa chevauchée fantastique sur la queue dure de Scott.
Angela se redressa, brandissant le fouet en cuir fait maison. Elle le leva de façon menaçante.
« Alors, tu baises mon mari chaque jour, sans que je le sache.
— Non... se défendit Terri
— NON? Tu viens juste de dire que tu le ferais! Angela abattit le fouet sur le dos de Terri. Ou tu dis que tu n'obéirais pas à mon mari s'il t'ordonnait de le baiser?
— Non... pitié... » Mais Angela abattit le fouet encore -- et encore -- sur le dos de la jeune femme. Pas assez fort pour laisser des marques, mais avec suffisamment de puissance pour faire
hurler Terri de douleur, alors que Scott étendu sous elle gémissait de plaisir.
« Je vais te poser une question une fois. Donne-moi une mauvaise réponse et je fouetterais tes beaux nichons. FORT. » Angela se déplaça en face de Terri pour renforcer sa menace. « Si mon mari te
demande de le baiser, sans que je le sache, EST-CE QUE TU LE FAIS? »
Terri, qui n'avait jamais ralenti son allure sur la queue de Scott, chercha désespérément pour une réponse. N'importe quelle réponse, tant qu'elle protégerait ses seins sensibles (et ses tétons
durs) du fouet.
« Pitié... Je devrais... je suis juste... une salope en manque de queue... J'ai besoin de bite pour me satisfaire tout le temps... PITIÉ NON!!!! » Angela avait levé le fouet, mais le laissa
retomber, apparemment satisfaite de la réponse. Terri, soulagée, se recentra sur sa baise avec Scott. Elle avait besoin de jouir, ça devenait urgent.
Angela lui refusa ce plaisir, poussant la jeune femme hors de la table.
« Bébé, ton fantasme va devenir réalité, » annonça-t-elle à son mari. Elle remit Terri sur ses pieds pour la faire se pencher sur la table. Puis farfouillant dans une armoire à fourniture, elle
trouva une règle en bois qu'elle plaça dans la main de son mari.
Angela expliqua à Terri : « Le fantasme de mon mari est d'être un maître d'école bourru devant corriger une vilaine petite écolière. » Là-dessus, Angela se mit à genoux et prit la queue de Scott
dans sa bouche.
Terri eut un mouvement de recul, puis cria de surprise et de douleur quand la règle frappa ses fesses en faisant un retentissant WHACK. Ça piquait! Mais ça fit aussi picoter sa chatte
d'excitation. Et puis, c'était toujours mieux que la perspective d'avoir sa poitrine fouettée. Il ne fallut pas longtemps pour que le cul de la jeune femme soit couvert de zébrures rouges. Et à
quelques centimètres de là, sa chatte dégoulinait de mouille. Elle était en chaleur.
Heureusement pour les fesses de Terri, la bouche d'Angela fit vite un sort à la queue de son mari. Alors qu'il jouissait, Scott sortit sa bite de la bouche de sa femme pour tirer la majeure
partie de sa semence sur le dos et les fesses rougies de l'ex-femme d'affaires.
Terri resta étendue sans bouger, pliée sur la table alors que Scott se rhabillait. Le couple marié supposait que la salope de secrétaire devait pleurer de douleur et d'humiliation ; en fait elle
cherchait à reprendre sa respiration, ayant joui deux fois pendant qu'elle faisait l'expérience de se faire fesser.
Avant de suivre son mari hors de la salle de stockage, Angela sortit un petit tube de vaseline de sa poche, et le plaça sur la table à côté de Terri. « Voilà pour toi, salope. Amuse-toi bien
avec, » se moqua Angela. « Il faudra que tu nous rapportes un tube complet... Chez nous, la nuit prochaine, à huit heures. » Ramassant la règle, Angela cingla la jeune secrétaire plusieurs fois
sur le cul, causant des éclaboussures de sperme dans toute la pièce. « Nettoie bien tout ça, » dit-elle avant de se retourner et de partir, laissant Terri seule.
Et Terri nettoya la réserve. Mais pas avant de s'être doigté la chatte pour deux orgasmes supplémentaires...
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Ayant retardé l'inévitable aussi longtemps qu'elle l'avait pu, Terri retourna au bureau de Danielle. La femme d'affaires était au milieu d'un appel téléphonique. Sans un mot Terri retira ses
vêtements et attendit.
« Tu as trouvé ce que je t'ai envoyé chercher? » l'interrogea Danielle en raccrochant le téléphone. Terri hocha la tête et présenta le tube de lubrifiant. Tendant le gode à sa secrétaire,
Danielle la chargea de le préparer.
Terri recouvra le godemiché sous la vaseline, prenant le temps de bien faire. Elle n'était pas pressée d'avoir son cul violé par le gode monstrueux. Danielle finit par prendre le jouet sexuel des
mains de sa secrétaire et lui ordonna de monter sur le bureau, de s'y mettre à quatre pattes.
« Ça fait longtemps que j'attends ce moment. Tu te souviens quand tu m'as envoyé ce petit jouet? »
— Oui, murmura Terri glacée de peur. Ses genoux tremblaient. Je suis si désolée de...
— Bien sûr que tu es désolé, chérie! » compatit Danielle avec la jeune femme frémissante, cajolant son trou du cul avec le gode. « Tu es désolée de te retrouver dans cette situation, et tu es
désolée que ton cul se fasse défoncer d'un instant à l'autre. Mais je doute que tu sois désolée pour toutes ces fois où tu m'as marché dessus pour atteindre ton but, avant revenir me piétiner
pour célébrer ta victoire.
« Si, je le suis! PITIÉ!!!!
— Tu as un très beau cul, affirma Danielle d'un ton apaisant, caressant gentiment les zébrures faites avec la règle. On dirait qu'Angela et Scott ont dû te fesser. Pourquoi t'ont-ils fessée? »
Le couple marié n'avait eu aucune bonne raison pour la rosser, mais Terri doutait que ce soit la réponse que sa patronne/maîtresse/rentière veuille entendre.
« P-pour ê-être une sale... pute...
— Brave fille. Tu sais quoi? On va changer légèrement nos plans. » Terri sentit son moral remonter. Avait-elle droit à sa clémence? « Étends-toi sur le dos. » Pleine d'espoirs, Terri obéit.
« Tu as de beaux nichons. J'ai toujours été jalouse d'eux! » Danielle déplaça le gode couvert de vaseline jusqu'aux nichons 95D de Terri, et commença à frotter le jouet contre les généreux seins
et les tétons durs de la jeune femme. « Mais j'ai dépassé cette jalousie maintenant, » lui confia sa persécutrice. « Parce que je peux les avoir chaque fois que j'en ai envie! »
Terri aimait qu'on joue et qu'on lui échauffe les seins. Elle gémit doucement alors que le gode effleurait chaque centimètre carré de ses nibards.
« Je parie que Bobby aimait ça, quand tu serrais tes gros lolos l'un contre l'autre et qu'il enfonçait sa bite entre cette belle paire de loches, dit Danielle haletante. Je suis sûre que ce
"Bobby" -elle indiquait le jouet- aimerait ça aussi! Serre-moi tes gigantesques et, SUPÉRIEURES mamelles ensemble! »
Terri se conforma aux ordres, et sa patronne glissa le gode entre ses seins. « T'aimes te faire baiser les nibards, hein? »
La vérité était que Terri adorait ça. Mais le véritable but de Danielle n'était pas juste de jouer avec l'énorme poitrine, et la jeune femme venait de comprendre. Danielle étalait la plus grande
partie de la précieuse vaseline hors de la surface du gode, pour qu'au moment de le fourrer dans le cul vierge de sa secrétaire, ce ne soit que plus douloureux.
Lisant dans l'esprit anxieux de la bimbo, Danielle confirma : « Je n'ai pas le choix. Tu as mis BEAUCOUP trop de vaseline dessus. On ne voudrait pas que ce monstre glisse dans ton cul trop
facilement... Ça gâcherait tout le plaisir! » Ayant dit ça, Terri fut contrainte de se remettre à quatre pattes.
« Bon, je ne vais pas te mentir. Quand je vais insérer ce godemiché dans ton petit cul serré, ça va faire un mal de chien. Et je vais aimer ça. Mais, je vais te donner quelque chose à faire
pendant que je te défonce le cul. Quelque chose qui va détourner un peu la douleur. » Ouvrant un tiroir elle en sortit une lettre jaunie. La lettre que Terri avait envoyée avec le gode, où elle
se moquait de l'amour perdu de Danielle.
Danielle mit la lettre sur le bureau, juste sous la tête de Terri. Puis elle reprit sa position, positionnant le haut du godemiché à l'entrée du trou du cul de sa secrétaire. « Lis-la-moi, »
ordonna-t-elle.
C'en était trop pour Terri. « S'il te plaît Danielle! JE SUIS DÉSOLÉE S'IL TE PLAÎT IL FAUT ME CROIRE! OH MON DIEU, COMMENT JE PEUX TE MONTRER COMBIEN JE M'EN VEUX?
— Tu peux commencer par lire, répondit Danielle calmement, poussant le bout du gode dans le cul de Terri.
— Mon Dieu....Je.... me suis tapée... B-Bobby, e... et... c'est un peu p-près de... la même taille.... j'espère.... que tu a-a-apprécieras.... c-c-cocotte... »
— Encore, ordonna Danielle, poussant le gode un peu plus loin dans le cul de Terri.
— Je me suis tapée... Bobby... et c'est un peu prés... de la même taille.... AAAAAAAGGGGHHHHH! J'espère que... tu apprécieras.... cocotte... OH MON DIEU ÇA FAIT MAL!!!
— Encore. Continue à lire.
— Je me suis tapée... Bobby.....AAAAAHHHHHGGGHHHH PITIÉ MADAME....! Je me s-suis tapée....B-Bobby....OHHHHHHH....
— Hmmmm, je me demande ce que devient Bobby ces jours-ci? Continue à lire, ajouta Danielle alors que le jouet sexuel continuait son inexorablement glissement dans les profondeurs du cul de Terri.
—...E-et... c'est....AGGGGGHHHHHH... un peu près.... AAAAAGGGG!! de la même....... taille....
— Ça l'était? Je parie que Bobby n'a jamais fait ça avec SA bite! »
Trempée par les larmes, la lettre devenait illisible. Mais Terri n'avait plus besoin de la lire. La douzaine de mots étaient gravés dans sa mémoire à jamais.
« Je... me suis tapée....Bobby!!! Et.... c'est.... un peu près..... la même taille!!! » éructa-t-elle les dents serrées, faisant de son mieux pour ne pas crier tandis que l'envahisseur en
plastique était à mi-chemin.
— Est-ce que tu avais imaginé, quand tu l'avais l'envoyé, où il finirait? bavarda légèrement Danielle pendant que l'autre femme se tordait de douleur.
— AAAAAAAAAAAGHHHHHHHHHHHHHHHHHHH!!! JEMESUISTAPÉEBOBBY!!!!!ETC'ESTUNPEUPRÈSLAMÊMETAILLE!!! OH ESPÈCE DE SALE GARCE CRUELLE!!! OH DIEU PITIÉ!!!!! AAAAAHHHHHHH ÇA FAIT MAL!!!!!!
— Tu as oublié les derniers mots, rappela Danielle à sa secrétaire.
— OHHHHHHHH....J'ESPÈRE....QUE TU APPRÉCIERAS....COCOTTE....PITIÉ....
— J'apprécie. Immensément, lui assura Danielle. Et j'adorais qu'on m'appelle cocotte. Bobby avait l'habitude de me donner ce petit nom... avant que tu ne me le voles. Mais je suis sûre que tu le
savais déjà. C'est pour ça que tu as conclu la lettre avec, non? » Le gode était maintenant entré jusqu'au bout.
Danielle recula pour admirer le travail, le gode "bobby" étirait obscènement le trou du cul serré de la jeune femme. Terri soupira de soulagement.
Pour démoraliser encore plus sa secrétaire et lui enlever tout espoir, Danielle se pencha près d'elle et lui chuchota : « Peut-être devrais-je plutôt te fourrer mon poing dans ton cul... » Ce qui
entraîna tout une série de cris et de suppliques.
Saisissant la base du gode, Danielle le retira d'un coup sec, avant de le replonger dans le cul de son assistante. Terri hurla. La douleur lui sillonnait son sphincter déchiré.
« Supplie-moi, salope, lui ordonna sa maîtresse.
— Danielle... Madame... OOOHHHHHHHHH....S'il vous plaît.... baisez-moi...
— Non. Appelle-moi "Bobby". Après tout d'une certaine façon, c'est Bobby qui te baise le cul.
— Bobby... baise... moi... baise mon cul... AAGGGGHHHHHHH!!!! » Danielle était enchantée de lui rendre ce service, pistonnant le cul meurtri de Terri avec un rythme stable.
« Bobby... baise mon cul!!! » Ça faisait toujours un mal de chien, mais Terri commençait à ressentir d'autres sensations. Comme un picotement bien net dans sa chatte. Peut-être que si elle
parvenait à jouir, elle réussirait à soustraire son esprit de la douleur atroce qui lui parvenait de son croupion, sa main droite se dirigea vers son clito.
« Qu'est-ce que tu fais? Tu es excitée salope? » Danielle ne s'attendait pas à ça. « Bouge ta main de là. Je ne t'ai pas donné la permission de te donner du plaisir.
— S'il vous plaît....OHHHHHHH JE T'EN PRIS.... » supplia Terri. Son berlingot la démangeant salement.
Danielle n'arrivait pas à le croire. La salope était excitée par ce viol anal!
« Je te propose un marché, » offrit Danielle tout en défonçant le cul de sa secrétaire avec l'énorme gode. « Tu peux te toucher, mais tu dois promettre de nettoyer 'Bobby' de ta bouche quand il
en aura fini avec toi... »
Terri étonnée d'être tombée aussi bas n'hésita pas « OUI... je promets... Je le lécherais, je le sucerais jusqu'à ce qu'il soit propre... S'IL VOUS PLAÎT puis-je me toucher la chatte? » Danielle
remarqua que son esclave poussait maintenant son cul contre l'envahisseur anal.
« Tu peux te toucher, » autorisa Danielle.
Terri ne se le fit pas dire deux fois. Il ne lui fallut pas longtemps pour parvenir au premier de ses cinq intenses orgasmes. Au bout du compte, une partie de Terri fut navrée quand sa patronne
lui sortit le gode du cul et lui tendit pour nettoyage.
Le jouet sexuel était couvert d'une couche visqueuse, et d'un peu de sang. Enfin, un marché est un marché, concéda la jeune salope engageant consciencieusement le gode dans sa bouche.
Danielle supervisa sa secrétaire, elle voulait s'assurer que le sex-toy soit impeccablement propre. Après tout, sa prochaine destination serait sa propre chatte. Mais, elle ne put endurer bien
longtemps de voir la langue et la bouche de Terri sucer la fausse queue. Elle donna sa journée à sa secrétaire.
« Ah, il y a une dernière chose à faire avant de partir, » l'informa Danielle, le gode déjà enfoncé profondément dans sa fente. Terri, qui s'habillait, s'arrêta. « Je sais que les deux hommes à
qui je t'avais loué voulaient de baiser le cul, mais tu as été capable de les retenir. Bien jouée. Mais maintenant, je voudrais que tu leur annonces la bonne nouvelle!
— Quelle bonne...? commença Terri.
— Eh bien... la bonne nouvelle, c'est que ton mignon petit cul est complètement accessible à leur queue bien dure!
— Mais... il me fait encore mal... geignit Terri horrifiée.
— Ça finira bien par passer. Et puis, j'ai entendu que tu passais la nuit prochaine chez Scott et Angela. Je sais qu'ils seront impatients d'essayer ton nouveau trou du cul élargi. Tout comme je
SAIS que tu les supplierais de te le défoncer, n'est-ce pas? »
Terri, vaincue, hocha la tête silencieusement.
« Angela n'en pince pas trop pour les femmes. Je sais ; j'ai essayé. Mais je SAIS que tu la supplieras de lui brouter le gazon. »
Les larmes de Terri coulaient à nouveau librement. Elle hocha encore la tête.
« Je t'appellerais ce week-end. Je te donnerais le nom d'un hôtel, et un numéro de chambre. Tu y iras, il y aura des hommes qui t'attendront là-bas. Tu leur demanderas à ce qu'ils te fourrent
leur bite dans CHACUN de tes orifices. Ce sera tout. » Terri chialait ouvertement alors qu'elle était chassée du bureau de sa patronne.
« Oh, et Terri? » la rappela Danielle alors qu'elle franchissait le seuil de la porte. La jeune femme se retourna. Danielle lui fit son sourire le plus doux. « Passe un bon week-end. » Terri
sortit et referma la porte.
Alors que les sanglots d'humiliation et de désespoirs de la secrétaire faiblissaient dans le couloir, Danielle se mit à faire travailler sérieusement son gode, tout en planifiant ce qu'elle
réservait pour la pauvre Terri la semaine prochaine.