Dimanche 24 juin 7 24 /06 /Juin 20:48

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Bonjour à toutes et tous

 

Tout d'abord, un grand merci pour votre fidélité à mon petit blog!

 

En dépit de ma très longue absence, vous avez encore été nombreux à le consulter et même à vous abonner!

 

J'espère enfin pouvoir à nouveau dégager du temps pour pouvoir l'alimenter!

 

Bonne lecture!

 

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Vie du blog - Communauté : Soumissions féminines
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Dimanche 27 août 7 27 /08 /Août 22:24

Une semaine plus tard, Danielle arriva à son bureau à neuf heures. Elle s'assit derrière son bureau et fut accueillie par la langue de sa secrétaire lui broutant la chatte. Comme d'habitude, Terri était sous le bureau, vêtu uniquement de ses escarpins noirs et de sa culotte fendue en dentelle assortie (Danielle l'autorisait maintenant à porter une culotte le vendredi), la rosette "2ème place" épinglée sur son téton -- comme l'appréciait Danielle.

 

La langue de Terri dansa autour du clito de Danielle, avant de fondre pour « la mise à mort ». La secrétaire était une très bonne bouffeuse de chatte, même Danielle devait lui reconnaître ça.

 

« Les doigts, » murmura Danielle d'une voix rauque. Terri obéit en lui plongeant deux de ses doigts dans la fente, Danielle ouvrit un tiroir où elle gardait les jouets de Terri.

 

Un jour normal, Danielle aurait donné à Terri un des plus petits godes, et sa secrétaire l'aurait utilisée avec diligence dans son cul serré tout en broutant la chatte de sa patronne. Terri avait commencé par le gode le plus petit du lot, à peine plus gros qu'un doigt de Danielle, il était entré plutôt facilement. Après deux jours, elle avait été « promue » à la taille suivante. Ça avait été un peu inconfortable -- et avait procuré plus de plaisir que la jeune femme ne voulait l'admettre... Il suffit de dire que lorsque la langue de Terri amena un orgasme à Danielle, la femme d'affaires ne fut pas la seule à jouir.

 

Un jour normal, quand Danielle avait joui autant de fois qu'elle pouvait se le permettre pour un matin, elle écarterait la chaise et laisserait Terri sortir. L'assistante s'asseyait alors de l'autre côté du bureau et continuait à exercer son cul avec le gode, pendant que Danielle prenait une tasse de café et passait en revue ce qu'il y aurait à faire pour la journée.

 

N'ayant jamais rien eu dans le cul auparavant, Terri éprouvait de toutes nouvelles sensations. L'humiliation d'avoir à s'enfoncer des choses dans le fion avait laissé la place à la curiosité et au plaisir. Dans certains cas, la belle jeune femme expérimentait un débordement des sens. Durant la session du jeudi, pendant qu'elle se pistonnait le cul avec le gode n° 2, elle surprit sa patronne et elle-même en demandant à être autorisée à s'occuper de sa chatte de sa main libre.

 

Danielle avait rejeté la demande, mais avait fait une contre-proposition. « Si tu me supplies, je serais prête à me mettre sur les genoux pour m'occuper de toi moi-même, » offrit-elle.

 

Terri, qui avait toujours trouvé la seule pensée d'avoir une relation sexuelle avec une autre femme dégoûtante, avait fini par la supplier. Danielle demanda à Terri de lui décrire précisément et de façon éloquente ce qu'elle voulait, et seulement alors elle avait pris position en face de sa secrétaire. La combinaison du gode dans son cul et de la langue experte de Danielle sur sa chatte se révéla être plus que son corps ne pouvait supporter, elle se sentit avoir des orgasmes successifs qui dévastèrent son corps comme si elle allait se déchirer en deux. Danielle était contente d'avoir installé une caméra vidéo pour enregistrer les évènements du jour.

Mais aujourd'hui n'était pas un jour habituel. Au lieu de tendre à sa brouteuse de chattes le gode #2, auquel le trou du cul de Terri était maintenant habitué, Danielle lui passa le plus gros gode de tous, celui que Terri lui avait envoyé il y a fort longtemps, pour se moquer d'elle.

 

Terri s'arrêta à mi-léchage quand elle réalisa ce qui lui avait été remis. Le gode faisait plus du double de la taille du #2. Son cul se ferait déchirer! Elle exprima ses craintes à sa patronne.

 

Danielle gronda la jeune femme, « Je ne t'ai pas dit d'arrêter de lécher. Si tu as quelque chose à me dire, tu peux le faire entre deux coups de langue, ou la bouche fourrée sur ma chatte. » Terri reprit sa broute « Oui, il est plus gros que ce à quoi ton petit cul est habitué. Et oui, je me fiche que ça te fasse mal. Il va dans ton cul.

 

— S'il vous plaît... commença Terri.

 

— Tu te souviens de la règle des protéines? Tu es censée avaler deux jets de foutre par jour? » Terri se SOUVENAIT. Elle avait suivi la règle chaque jour avec application, choisissant les étalons bien montés du service courrier comme donneur de sperme... à l'exception d'hier. Elle n'avait pas eu l'opportunité de se rendre dans la salle d'expédition et n'avait pas voulu s'humilier devant les hommes du 33ème étage (qui pensaient déjà qu'elle était une traînée par ailleurs.) Elle avait espéré que sa patronne ne découvre pas son infraction... Mais il semblait qu'elle avait été percée à jouer.

 

« Tu n'as pas respecté la règle. Alors je vais te le faire payer avec ton cul. » Reculant sa chaise Danielle ordonna à Terri de se mettre à quatre pattes sur le bureau.

 

Comme Danielle récupérait le godemiché, Terri se mit à supplier. « S'il vous plaît Madame! Ça n'arrivera plus! Pitié! » Le gode géant était à l'entrée de son conduit anal. « Pitié... je ferais n'importe quoi! Je suis désolée! Je t'en supplie... » Le bout du gode était maintenant dans le cul de Terri, elle se sentait déjà élargie. « Oh mon Dieu... PITIÉ... »

 

La jeune femme désespérée essaya une approche différente. « Madame... S'il vous plaît... votre pute de secrétaire peut-elle vous faire une requête? S'il vous plaît? »

 

— Quelle est ta requête? demanda Danielle en s'arrêtant.

 

— S'il vous plaît... puis-je au moins lubrifier le gode? S'il vous plaît? » Danielle reprit ses essais pour enfoncer le gode plus loin dans le cul serré de sa secrétaire. « OH MON DIEU... S'IL VOUS PLAÎT... ÇA VA ME DÉCHIRER EN DEUX! PITIÉ! POUR L'AMOUR DE DIEU LAISSEZ-MOI LE LUBRIFIER... »

 

Danielle sortit le gode du cul de Terri. La jeune femme soupira de soulagement.

 

« Du lubrifiant, s'amusa Danielle. Oui, il SEMBLERAIT qu'il y en ait besoin. Va me trouver de la vaseline. » Terri mit sa robe, et attrapa son porte-monnaie. « Pas de porte-monnaie. » Ne comprenant pas, Terri protesta, « Mais si je dois acheter --

 

— Nous n'avons pas le temps de faire des courses, déclara Danielle exaspérée. Je suis sûre que quelqu'un dans cette entreprise à un tube de vaseline. Fais le tour des bureaux et demande à tout le monde. » Terri commença à protester, mais Danielle la fit taire. « C'est ça, ou on réessaye sans. »

 

Et donc, humiliée sans commune mesure, Terri, vêtue de sa robe au décolleté extravagant, alla de bureau en bureau demander si quelqu'un n'aurait pas de la vaseline. Elle fit face à un large choix de réactions, allant du pur dégoût venant surtout de femmes, au reluquage en règle pour certains hommes. Curieusement, une des femmes, une grande blonde qui s'appelait Angela, avait un tube de vaseline. Mais elle prévint Terri qu'elle aurait à le mériter.

 

« Comme tu veux, » soupira Terri.

 

« Viens avec moi, » lui demanda Angela, la menant jusqu'à la salle des fournitures. Génial, une autre goudou pensa la secrétaire.

 

Dans la réserve, Angela voulut que Terri se déshabille, puis elle quitta la pièce. Elle revint un moment plus tard avec Scott, son mari qui travaillait aussi dans l'entreprise.

 

« J'ai pensé d'offrir ton cadeau d'anniversaire en avance, » susurra Angela à l'oreille de Scott, tout en lui indiquant la salope de secrétaire. « Laisse-moi te mettre en train pour elle... » Angela dévêtit son mari, tout en l'embrassant sur tout le corps.

 

« Salope, viens là, et suce la bite de mon mari, » ordonna Angela. Terri regarda nerveusement vers la porte, ayant peur que quelqu'un les surprenne. « Ne t'inquiète pas, tout le monde est parti déjeuner. Et toi, viens ici prendre ta soupe. »

 

La queue de Scott était assez avenante, estima Terri. De nouveau, la secrétaire se trouva à essayer de rationaliser quelque chose sur laquelle elle n'avait aucune emprise. Elle se mit à genoux et engloutit le chibre de Scott. Angela pendant ce temps était occupée à rouler des pelles à son mari.

 

Les trois furent interrompus quand la porte s'ouvrit. Mais heureusement ce n'était que Danielle.

 

« Terri, je vois que tu as fait la connaissance d'Angela et de Scott! Oh, ne t'arrête de sucer cette belle queue juteuse rien que pour moi! Je travaille avec eux depuis longtemps... Tu te souviens du contrat Jackson-Morgan que tu m'as chipé? Scott avait bossé dessus avec moi pendant des semaines! Quel dommage... Ces deux-là comptaient VRAIMENT sur la grosse commission qu'ils auraient dû toucher. Bon, c'est pas tout ça, mais je suis sûre que vous trouverez plein de choses à vous dire! » Allant à l'endroit où les vêtements de Terri étaient empilés, Danielle ramassa la culotte noire fendue et l'accrocha à la poignée de porte. « Voilà... maintenant celui qui voudra entrer saura que la pute de l'entreprise est en pleine besogne là-dedans! » Sur ce mot, Danielle partit.

 

« Mais regarde quelle petite suceuse de sang on a là, » chuchota Angela à son mari alors que Terri lui prodiguait une gorge profonde frénétique. « Je sais que tu veux lui jouir dans la bouche de toute urgence. Mais je veux te voir la baiser à la place... »

 

Tout de suite après, Angela trouva une table couverte de fournitures qu'elle balaya d'un geste. « Salope, tu nettoieras ce bordel quand on en aura fini avec toi, » ordonna-t-elle à Terri, qui marmonna en réponse un bruit étouffé « mmmm hmmm. »

 

Angela mena son mari à table, et le fit s'y étendre dessus sur le dos. Elle donna l'instruction à Terri de le monter. La secrétaire obéit, amenant sa chatte sur la queue rigide de Scott.

 

« Regarde comme elle mouille pour toi, bébé! » Dommage que ce ne soit pas une vraie blonde, affirma Angela à son conjoint. Puis se penchant tout près de Terri, elle murmura : « T'as intérêt à donner la meilleure baise de sa vie à mon mari, ou tu le regretteras. »

 

Et c'est ce que Terri fit, chevauchant Scott comme s'il était un dieu, faisant parvenir sa bite loin dans sa chatte à chaque coup de reins. La jeune salope apprenait vite que la meilleure façon de combattre ceux qui cherchaient à l'humilier ou à ruiner sa vie, était de profiter de ce qu'elle faisait. Dans le cas de Scott et de sa bite bien taillée, ce n'était pas difficile. Terri se figurait même qu'elle allait faire la démonstration d'une chose ou deux quand il était question de baiser.

 

« T'aimes ça baiser mon mari? demanda Angela en les regardant.

 

— J'adore, haleta Terri en toute bonne foi.

 

— Ouais, je parie que t'aimes ça. J'ai entendu les histoires sur ta perversion. Comme quoi tu trompes ton mari pour baiser avec des groupes d'hommes... Je parie que tu adorerais que mon mari décharge son foutre dans ta chatte de salope.

 

— Oui... S'il vous plaît... gémit Terri

 

— Je parie que si mon mari te le demandait, tu le baiserais tous les jours.

 

— Oui... » confirma la belle jeune femme. Ce qu'elle ne précisa pas était le fait qu'elle AURAIT à le faire, selon les "règles" que sa patronne avait établies pour elle.

 

— SALE PUTAIN DE SALOPE!!! Tu baises mon mari derrière mon dos! Putain de briseuse de ménage... » Angela semblait folle de rage. Se baissant, elle défit une sangle en cuir de son sac à main alors que Terri continuait sa chevauchée fantastique sur la queue dure de Scott.

 

Angela se redressa, brandissant le fouet en cuir fait maison. Elle le leva de façon menaçante.

 

« Alors, tu baises mon mari chaque jour, sans que je le sache.

 

— Non... se défendit Terri

 

— NON? Tu viens juste de dire que tu le ferais! Angela abattit le fouet sur le dos de Terri. Ou tu dis que tu n'obéirais pas à mon mari s'il t'ordonnait de le baiser?

 

— Non... pitié... » Mais Angela abattit le fouet encore -- et encore -- sur le dos de la jeune femme. Pas assez fort pour laisser des marques, mais avec suffisamment de puissance pour faire hurler Terri de douleur, alors que Scott étendu sous elle gémissait de plaisir.

 

« Je vais te poser une question une fois. Donne-moi une mauvaise réponse et je fouetterais tes beaux nichons. FORT. » Angela se déplaça en face de Terri pour renforcer sa menace. « Si mon mari te demande de le baiser, sans que je le sache, EST-CE QUE TU LE FAIS? »

 

Terri, qui n'avait jamais ralenti son allure sur la queue de Scott, chercha désespérément pour une réponse. N'importe quelle réponse, tant qu'elle protégerait ses seins sensibles (et ses tétons durs) du fouet.

 

« Pitié... Je devrais... je suis juste... une salope en manque de queue... J'ai besoin de bite pour me satisfaire tout le temps... PITIÉ NON!!!! » Angela avait levé le fouet, mais le laissa retomber, apparemment satisfaite de la réponse. Terri, soulagée, se recentra sur sa baise avec Scott. Elle avait besoin de jouir, ça devenait urgent.

 

Angela lui refusa ce plaisir, poussant la jeune femme hors de la table.

 

« Bébé, ton fantasme va devenir réalité, » annonça-t-elle à son mari. Elle remit Terri sur ses pieds pour la faire se pencher sur la table. Puis farfouillant dans une armoire à fourniture, elle trouva une règle en bois qu'elle plaça dans la main de son mari.

 

Angela expliqua à Terri : « Le fantasme de mon mari est d'être un maître d'école bourru devant corriger une vilaine petite écolière. » Là-dessus, Angela se mit à genoux et prit la queue de Scott dans sa bouche.

 

Terri eut un mouvement de recul, puis cria de surprise et de douleur quand la règle frappa ses fesses en faisant un retentissant WHACK. Ça piquait! Mais ça fit aussi picoter sa chatte d'excitation. Et puis, c'était toujours mieux que la perspective d'avoir sa poitrine fouettée. Il ne fallut pas longtemps pour que le cul de la jeune femme soit couvert de zébrures rouges. Et à quelques centimètres de là, sa chatte dégoulinait de mouille. Elle était en chaleur.

 

Heureusement pour les fesses de Terri, la bouche d'Angela fit vite un sort à la queue de son mari. Alors qu'il jouissait, Scott sortit sa bite de la bouche de sa femme pour tirer la majeure partie de sa semence sur le dos et les fesses rougies de l'ex-femme d'affaires.

 

Terri resta étendue sans bouger, pliée sur la table alors que Scott se rhabillait. Le couple marié supposait que la salope de secrétaire devait pleurer de douleur et d'humiliation ; en fait elle cherchait à reprendre sa respiration, ayant joui deux fois pendant qu'elle faisait l'expérience de se faire fesser.

 

Avant de suivre son mari hors de la salle de stockage, Angela sortit un petit tube de vaseline de sa poche, et le plaça sur la table à côté de Terri. « Voilà pour toi, salope. Amuse-toi bien avec, » se moqua Angela. « Il faudra que tu nous rapportes un tube complet... Chez nous, la nuit prochaine, à huit heures. » Ramassant la règle, Angela cingla la jeune secrétaire plusieurs fois sur le cul, causant des éclaboussures de sperme dans toute la pièce. « Nettoie bien tout ça, » dit-elle avant de se retourner et de partir, laissant Terri seule.

 

Et Terri nettoya la réserve. Mais pas avant de s'être doigté la chatte pour deux orgasmes supplémentaires...

 

*****************************

 

Ayant retardé l'inévitable aussi longtemps qu'elle l'avait pu, Terri retourna au bureau de Danielle. La femme d'affaires était au milieu d'un appel téléphonique. Sans un mot Terri retira ses vêtements et attendit.

 

« Tu as trouvé ce que je t'ai envoyé chercher? » l'interrogea Danielle en raccrochant le téléphone. Terri hocha la tête et présenta le tube de lubrifiant. Tendant le gode à sa secrétaire, Danielle la chargea de le préparer.

 

Terri recouvra le godemiché sous la vaseline, prenant le temps de bien faire. Elle n'était pas pressée d'avoir son cul violé par le gode monstrueux. Danielle finit par prendre le jouet sexuel des mains de sa secrétaire et lui ordonna de monter sur le bureau, de s'y mettre à quatre pattes.

 

« Ça fait longtemps que j'attends ce moment. Tu te souviens quand tu m'as envoyé ce petit jouet? »

 

— Oui, murmura Terri glacée de peur. Ses genoux tremblaient. Je suis si désolée de...

 

— Bien sûr que tu es désolé, chérie! » compatit Danielle avec la jeune femme frémissante, cajolant son trou du cul avec le gode. « Tu es désolée de te retrouver dans cette situation, et tu es désolée que ton cul se fasse défoncer d'un instant à l'autre. Mais je doute que tu sois désolée pour toutes ces fois où tu m'as marché dessus pour atteindre ton but, avant revenir me piétiner pour célébrer ta victoire.

 

« Si, je le suis! PITIÉ!!!!

 

— Tu as un très beau cul, affirma Danielle d'un ton apaisant, caressant gentiment les zébrures faites avec la règle. On dirait qu'Angela et Scott ont dû te fesser. Pourquoi t'ont-ils fessée? »

 

Le couple marié n'avait eu aucune bonne raison pour la rosser, mais Terri doutait que ce soit la réponse que sa patronne/maîtresse/rentière veuille entendre.

 

« P-pour ê-être une sale... pute...

 

— Brave fille. Tu sais quoi? On va changer légèrement nos plans. » Terri sentit son moral remonter. Avait-elle droit à sa clémence? « Étends-toi sur le dos. » Pleine d'espoirs, Terri obéit.

 

« Tu as de beaux nichons. J'ai toujours été jalouse d'eux! » Danielle déplaça le gode couvert de vaseline jusqu'aux nichons 95D de Terri, et commença à frotter le jouet contre les généreux seins et les tétons durs de la jeune femme. « Mais j'ai dépassé cette jalousie maintenant, » lui confia sa persécutrice. « Parce que je peux les avoir chaque fois que j'en ai envie! »

 

Terri aimait qu'on joue et qu'on lui échauffe les seins. Elle gémit doucement alors que le gode effleurait chaque centimètre carré de ses nibards.

 

« Je parie que Bobby aimait ça, quand tu serrais tes gros lolos l'un contre l'autre et qu'il enfonçait sa bite entre cette belle paire de loches, dit Danielle haletante. Je suis sûre que ce "Bobby" -elle indiquait le jouet- aimerait ça aussi! Serre-moi tes gigantesques et, SUPÉRIEURES mamelles ensemble! »

 

Terri se conforma aux ordres, et sa patronne glissa le gode entre ses seins. « T'aimes te faire baiser les nibards, hein? »

 

La vérité était que Terri adorait ça. Mais le véritable but de Danielle n'était pas juste de jouer avec l'énorme poitrine, et la jeune femme venait de comprendre. Danielle étalait la plus grande partie de la précieuse vaseline hors de la surface du gode, pour qu'au moment de le fourrer dans le cul vierge de sa secrétaire, ce ne soit que plus douloureux.

 

Lisant dans l'esprit anxieux de la bimbo, Danielle confirma : « Je n'ai pas le choix. Tu as mis BEAUCOUP trop de vaseline dessus. On ne voudrait pas que ce monstre glisse dans ton cul trop facilement... Ça gâcherait tout le plaisir! » Ayant dit ça, Terri fut contrainte de se remettre à quatre pattes.

 

« Bon, je ne vais pas te mentir. Quand je vais insérer ce godemiché dans ton petit cul serré, ça va faire un mal de chien. Et je vais aimer ça. Mais, je vais te donner quelque chose à faire pendant que je te défonce le cul. Quelque chose qui va détourner un peu la douleur. » Ouvrant un tiroir elle en sortit une lettre jaunie. La lettre que Terri avait envoyée avec le gode, où elle se moquait de l'amour perdu de Danielle.

 

Danielle mit la lettre sur le bureau, juste sous la tête de Terri. Puis elle reprit sa position, positionnant le haut du godemiché à l'entrée du trou du cul de sa secrétaire. « Lis-la-moi, » ordonna-t-elle.

 

C'en était trop pour Terri. « S'il te plaît Danielle! JE SUIS DÉSOLÉE S'IL TE PLAÎT IL FAUT ME CROIRE! OH MON DIEU, COMMENT JE PEUX TE MONTRER COMBIEN JE M'EN VEUX?

 

— Tu peux commencer par lire, répondit Danielle calmement, poussant le bout du gode dans le cul de Terri.

 

— Mon Dieu....Je.... me suis tapée... B-Bobby, e... et... c'est un peu p-près de... la même taille.... j'espère.... que tu a-a-apprécieras.... c-c-cocotte... »

 

— Encore, ordonna Danielle, poussant le gode un peu plus loin dans le cul de Terri.

 

— Je me suis tapée... Bobby... et c'est un peu prés... de la même taille.... AAAAAAAGGGGHHHHH! J'espère que... tu apprécieras.... cocotte... OH MON DIEU ÇA FAIT MAL!!!

 

— Encore. Continue à lire.

 

— Je me suis tapée... Bobby.....AAAAAHHHHHGGGHHHH PITIÉ MADAME....! Je me s-suis tapée....B-Bobby....OHHHHHHH....

 

— Hmmmm, je me demande ce que devient Bobby ces jours-ci? Continue à lire, ajouta Danielle alors que le jouet sexuel continuait son inexorablement glissement dans les profondeurs du cul de Terri.

 

—...E-et... c'est....AGGGGGHHHHHH... un peu près.... AAAAAGGGG!! de la même....... taille....

 

— Ça l'était? Je parie que Bobby n'a jamais fait ça avec SA bite! »

 

Trempée par les larmes, la lettre devenait illisible. Mais Terri n'avait plus besoin de la lire. La douzaine de mots étaient gravés dans sa mémoire à jamais.

 

« Je... me suis tapée....Bobby!!! Et.... c'est.... un peu près..... la même taille!!! » éructa-t-elle les dents serrées, faisant de son mieux pour ne pas crier tandis que l'envahisseur en plastique était à mi-chemin.

 

— Est-ce que tu avais imaginé, quand tu l'avais l'envoyé, où il finirait? bavarda légèrement Danielle pendant que l'autre femme se tordait de douleur.

 

— AAAAAAAAAAAGHHHHHHHHHHHHHHHHHHH!!! JEMESUISTAPÉEBOBBY!!!!!ETC'ESTUNPEUPRÈSLAMÊMETAILLE!!! OH ESPÈCE DE SALE GARCE CRUELLE!!! OH DIEU PITIÉ!!!!! AAAAAHHHHHHH ÇA FAIT MAL!!!!!!

 

— Tu as oublié les derniers mots, rappela Danielle à sa secrétaire.

 

— OHHHHHHHH....J'ESPÈRE....QUE TU APPRÉCIERAS....COCOTTE....PITIÉ....

 

— J'apprécie. Immensément, lui assura Danielle. Et j'adorais qu'on m'appelle cocotte. Bobby avait l'habitude de me donner ce petit nom... avant que tu ne me le voles. Mais je suis sûre que tu le savais déjà. C'est pour ça que tu as conclu la lettre avec, non? » Le gode était maintenant entré jusqu'au bout.

 

Danielle recula pour admirer le travail, le gode "bobby" étirait obscènement le trou du cul serré de la jeune femme. Terri soupira de soulagement.

 

Pour démoraliser encore plus sa secrétaire et lui enlever tout espoir, Danielle se pencha près d'elle et lui chuchota : « Peut-être devrais-je plutôt te fourrer mon poing dans ton cul... » Ce qui entraîna tout une série de cris et de suppliques.

 

Saisissant la base du gode, Danielle le retira d'un coup sec, avant de le replonger dans le cul de son assistante. Terri hurla. La douleur lui sillonnait son sphincter déchiré.

 

« Supplie-moi, salope, lui ordonna sa maîtresse.

 

— Danielle... Madame... OOOHHHHHHHHH....S'il vous plaît.... baisez-moi...

 

— Non. Appelle-moi "Bobby". Après tout d'une certaine façon, c'est Bobby qui te baise le cul.

 

— Bobby... baise... moi... baise mon cul... AAGGGGHHHHHHH!!!! » Danielle était enchantée de lui rendre ce service, pistonnant le cul meurtri de Terri avec un rythme stable.

 

« Bobby... baise mon cul!!! » Ça faisait toujours un mal de chien, mais Terri commençait à ressentir d'autres sensations. Comme un picotement bien net dans sa chatte. Peut-être que si elle parvenait à jouir, elle réussirait à soustraire son esprit de la douleur atroce qui lui parvenait de son croupion, sa main droite se dirigea vers son clito.

 

« Qu'est-ce que tu fais? Tu es excitée salope? » Danielle ne s'attendait pas à ça. « Bouge ta main de là. Je ne t'ai pas donné la permission de te donner du plaisir.

 

— S'il vous plaît....OHHHHHHH JE T'EN PRIS.... » supplia Terri. Son berlingot la démangeant salement.

Danielle n'arrivait pas à le croire. La salope était excitée par ce viol anal!

 

« Je te propose un marché, » offrit Danielle tout en défonçant le cul de sa secrétaire avec l'énorme gode. « Tu peux te toucher, mais tu dois promettre de nettoyer 'Bobby' de ta bouche quand il en aura fini avec toi... »

 

Terri étonnée d'être tombée aussi bas n'hésita pas « OUI... je promets... Je le lécherais, je le sucerais jusqu'à ce qu'il soit propre... S'IL VOUS PLAÎT puis-je me toucher la chatte? » Danielle remarqua que son esclave poussait maintenant son cul contre l'envahisseur anal.

 

« Tu peux te toucher, » autorisa Danielle.

 

Terri ne se le fit pas dire deux fois. Il ne lui fallut pas longtemps pour parvenir au premier de ses cinq intenses orgasmes. Au bout du compte, une partie de Terri fut navrée quand sa patronne lui sortit le gode du cul et lui tendit pour nettoyage.

 

Le jouet sexuel était couvert d'une couche visqueuse, et d'un peu de sang. Enfin, un marché est un marché, concéda la jeune salope engageant consciencieusement le gode dans sa bouche.

 

Danielle supervisa sa secrétaire, elle voulait s'assurer que le sex-toy soit impeccablement propre. Après tout, sa prochaine destination serait sa propre chatte. Mais, elle ne put endurer bien longtemps de voir la langue et la bouche de Terri sucer la fausse queue. Elle donna sa journée à sa secrétaire.

 

« Ah, il y a une dernière chose à faire avant de partir, » l'informa Danielle, le gode déjà enfoncé profondément dans sa fente. Terri, qui s'habillait, s'arrêta. « Je sais que les deux hommes à qui je t'avais loué voulaient de baiser le cul, mais tu as été capable de les retenir. Bien jouée. Mais maintenant, je voudrais que tu leur annonces la bonne nouvelle!

 

— Quelle bonne...? commença Terri.

 

— Eh bien... la bonne nouvelle, c'est que ton mignon petit cul est complètement accessible à leur queue bien dure!

 

— Mais... il me fait encore mal... geignit Terri horrifiée.

 

— Ça finira bien par passer. Et puis, j'ai entendu que tu passais la nuit prochaine chez Scott et Angela. Je sais qu'ils seront impatients d'essayer ton nouveau trou du cul élargi. Tout comme je SAIS que tu les supplierais de te le défoncer, n'est-ce pas? »

 

Terri, vaincue, hocha la tête silencieusement.

 

« Angela n'en pince pas trop pour les femmes. Je sais ; j'ai essayé. Mais je SAIS que tu la supplieras de lui brouter le gazon. »

 

Les larmes de Terri coulaient à nouveau librement. Elle hocha encore la tête.

 

« Je t'appellerais ce week-end. Je te donnerais le nom d'un hôtel, et un numéro de chambre. Tu y iras, il y aura des hommes qui t'attendront là-bas. Tu leur demanderas à ce qu'ils te fourrent leur bite dans CHACUN de tes orifices. Ce sera tout. » Terri chialait ouvertement alors qu'elle était chassée du bureau de sa patronne.

 

« Oh, et Terri? » la rappela Danielle alors qu'elle franchissait le seuil de la porte. La jeune femme se retourna. Danielle lui fit son sourire le plus doux. « Passe un bon week-end. » Terri sortit et referma la porte.

 

 

Alors que les sanglots d'humiliation et de désespoirs de la secrétaire faiblissaient dans le couloir, Danielle se mit à faire travailler sérieusement son gode, tout en planifiant ce qu'elle réservait pour la pauvre Terri la semaine prochaine.

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Dimanche 27 août 7 27 /08 /Août 22:23

Vendredi, trois heures de l'après-midi. Terri vêtu d'une robe noire au décolleté provocant, attendait Danielle dans son bureau.

 

Quand Terri était arrivée ce matin, Danielle n'était pas là. Par contre, elle avait laissé une liste de choses à faire pour sa nouvelle employée.

 

Terri avait donc fait plusieurs achats avec sa MasterCard et elle cherchait encore LA raison qu'elle donnerait à son mari pour ces dépenses.

 

FREDERICK'S OF HOLLYWOOD. Danielle avait chargé Terri de changer d'habits. Il n'était plus question pour elle de porter des costumes de femme d'affaires ; après une heure passée chez Frederick's, la jeune femme était passée de femme d'affaires professionnelle à pute au rabais. « Achète des tenues bien vulgaires, » indiquaient les instructions de Danielle, « si ça ne fait pas assez salope, j'y retournerais avec toi pour faire un échange... on prendra une laisse. » Il n'y aurait pas besoin ; les tenues qu'avait choisies Terri auraient foutu la honte à une pute d'Hollywood.

 

THE GREEN DOOR NOVELTY SHOP. Un magasin de livres et de jouets pour adultes. Danielle avait fait toute une liste de choses que sa nouvelle secrétaire devait acheter. Parmi eux il y avait une pile de magazines lesbiens (pour donner à Terri quelques "tuyaux" sur la façon de servir sa nouvelle maîtresse), un assortiment de godes, variant grandement en dimension. Le plus petit faisait la taille d'un index, le plus gros était un peu près aussi long que celui qu'elle avait utilisé pour se pistonner la chatte, tout en offrant un spectacle à l'équipe de laveurs de carreaux.

 

JOSE'S CANTINA BAR AND GRILL. Un restaurant mexicain où Terri devait rencontrer... et brouter... Danielle pour déjeuner. Ce qui avait conduit à d'autres humiliations sous la table et au-dessus. Pendant qu'elles attendaient leur commande, Terri avait dû déballer tous ses achats sur la table et en faire l'article pour chacun. Elle avait aussi fait des avances à la serveuse, qui se révéla ne pas être bisexuelle et ne pas être intéressée. Et ce malgré les demandes et suppliques de la jeune femme « S'IL VOUS PLAÎT laissez-moi vous bouffer la chatte! » Alors qu'elle mangeait l'abricot de Danielle pour le dessert, Terri se fit atrocement tordre les tétons : une punition pour ne pas avoir su séduire la mignonne petite hispanique.

 

TARGET. Danielle avait chargé Terri d'aller chercher une teinture "noire de jais" pour cheveux. Elle ne comprenait pas bien cet achat, car tout ce que lui demandait Danielle indiquait qu'elle voulait la transformer en un stéréotype de bimbo blonde idiote.

 

PALOMAR'S EXOTIC JEWELRY. Là, Terri se fit percer un téton. Si Danielle avait espéré que cela l'humilierait, elle allait en être pour ses frais. Terri avait toujours pensé qu'un cerceau au téton était érotique. D'ailleurs, bien que Danielle n'ait demandé qu'un seul piercing, elle en avait ajouté un autre à la facture.

 

Tous les objets que Terri avait dû acheter étaient soit portés sur elle, soit dans les sacs de courses à ses pieds. Elle se demandait ce que serait la prochaine étape.

 

Elle n'eut pas longtemps à se le demander. Danielle déboula, demandant : « Comment ça s'est passé? Tu as pu tout avoir?

 

— Oui Madame, assura Terri, ramassant les sacs de course.

 

— Lève-toi, ordonna sa patronne. Jolie robe. Très jolie. Mais retire-la. »

 

Terri laissa tomber la très courte robe noire sur le sol. Elle n'était pas autorisée à porter de sous-vêtement et resta plantée complètement nue devant sa patronne.

 

Danielle observa sa secrétaire de haut en bas, en gourmande. Son regard se porta finalement sur l'anneau au téton. « Jolie. Mais ce n'est vraiment pas ce que j'avais en tête. » Allant vers le mur où étaient accrochés ses diplômes elle retira la rosette "2ème Place" dont s'était servie Terri pour se moquer d'elle il y a fort longtemps. Elle retira l'anneau du téton, et le remplaça par l'attache de la rosette pour décorer le nichon 95D de la jeune femme. « Parfait, » se complimenta-t-elle en admirant son travail.

 

Terri dut ensuite s'asseoir et écarter les jambes. « Je vais t'expliquer quel genre de travail j'attends de toi. Pendant que je fais ça, tu vas te caresser le con. » Terri obéit.

 

« Règle 1. Tu feras tout ce que je te dirai de faire, sans exception. Supplier et implorer ma clémence sera toutefois autorisée. En fait, ça m'exciterait que tu m'en fasses, » lui confia Danielle. « Même si ça ne te servira à rien. »

 

« Règle 2. Tu es une salope. Tu es MA salope. Tu vas baiser, sucer, lécher qui je te dirais de baiser, sucer et lécher, quand je te dirais de baiser, sucer et lécher. En tant que vraie salope, tu aimes le sexe, tu ne refuseras JAMAIS de fournir tes services à TOUS CEUX qui en font la demande. Je te mettrais à l'épreuve de temps en temps. »

 

« Une exception à la règle 2, ton joli petit cul vierge. Tu feras en sorte qu'il le reste. Comment tu te débrouilleras, c'est à toi de voir. J'ai des choses de prévues pour ton cul. » Terri se figea avec effroi. « Je ne t'ai pas dit d'arrêter. » La jeune femme recommença à se doigter.

 

« J'ai quelque chose de précis pour ton cul, » répéta Danielle sortant le gode que Terri lui avait envoyé. Remarquant la pâleur de Terri, elle ajouta. « Tu vas être autorisé à te préparer. C'est le but des jouets que tu as achetés aujourd'hui. Tu démarreras par les plus petits, tu seras autorisé à te roder graduellement le cul jusqu'à celui-ci. Tant que tu te comportes bien... »

 

« Tu peux faire tout ce que tu penses être nécessaire pour garder ton cul de pucelle, et le préserver pour moi. Cependant, » s'interrogea-t-elle à haute voix, « si quelqu'un se mettait à fracturer ton cul de force, que pourrais-tu y faire? Eh bien, dans ce cas, tu serais sévèrement punie. » Elle développa : « pour la punition... Je n'ai jamais trop aimé les fouets, la torture ou ce genre de chose. Personnellement je préfère t'obliger à te comporter comme une traînée en public. Je pense que l'humiliation est un excellent professeur. Mais bien que je n'apprécie pas les fouets et la torture, je ne peux pas vraiment parler pour tous les hommes et les femmes qui seront autorisés à t'utiliser. » Danielle laissa l'implication de cette phrase pénétrer l'esprit horrifié de Terri.

 

« Règle 3. Celle que l'on va appeler la "règle des protéines". Tu dois donner deux pipes par jour. Je me moque de savoir à qui, tant que c'est quelqu'un qui travaille dans la société. »

 

« Règle 4. Nous sommes au 33ème étage de cet immeuble, et beaucoup de bonnes gens comptent sur les ascenseurs pour se rendre à leur bureau. Nous ne voulons pas que tu te mettes en travers de leur chemin, donc tu n'utiliseras pas d'ascenseur. De toute façon, nous savons toutes deux que les putes comme toi n'aiment pas les ascenseurs, non? Il y a un escalier au bout de chaque couloir, il t'amènera jusqu'au hall d'entrée et à la salle d'expédition du courrier. »

 

« Si l'on te prend à utiliser un ascenseur, je m'assurerais que tu y sois jetée pour que tu t'y fasses violer en tournante. Mais bien sûr, cogita-t-elle, étant donnée la règle 2, on ne pourra pas vraiment appeler ça un viol, n'est-ce pas? »

 

« Je suis sûr que tu te poses des questions sur la teinture. Non, ne t'inquiète pas tu vas rester blonde. Mais tu vas teindre tes poils plus bas -- Danielle montra le pubis blond de Terri -- comme ça... tous ceux qui te baiseront vont penser que tu es une fausse blonde! » La nouvelle patronne semblait fort amusée d'avoir conçu ce moyen de la rendre ridicule.

 

Elles furent interrompues par Jeanie, la même dame qui était déjà entrée la veille lorsque Terri léchait son jus du bureau de Danielle. De nouveau, la femme sembla indifférente à la nudité de Terri ou à l'activité qu'elle pratiquait.

 

« Du courrier à envoyer? demanda Jeanie.

 

— Juste ça, répondit Danielle, lui tendant un petit paquet. T'ai-je présentée à ma nouvelle secrétaire? Jeanie, voici Terri. Je suis sûre qu'elle aimerait te serrer la main, mais... » sa voix s'égara. La main de Terri était couverte de sa sauce, et trois de ses doigts étaient fourrés dans son con. Jeanie hocha dédaigneusement la tête et quitta la pièce.

 

« Tu peux arrêter. Et remets ta robe, ordonna-t-elle à Terry. On va un peu s'amuser... Le paquet que Jeanie va envoyer est une cassette vidéo adressée à ton mari.

 

— Pourquoi...? s'étrangla Terri, incrédule.

 

— Comme je t'ai dit. Pour s'amuser. Et pour voir si tu arrives à l'arrêter. Danielle regarda sa montre. Elle est en ce moment en route pour le conduit postal. Quand elle y fera tomber le paquet, il arrivera directement à la salle d'expédition... » Elle regarda Terri dans les yeux : « À moins que tu n'arrives à la convaincre de n'en rien faire... »

 

Retenant ses larmes, Terri courut après Jeanie. Elle la rattrapa juste au moment où la femme allait laisser tomber le paquet dans le glissoir d'entrée.

 

« Jeanie... s'il vous plaît... ne l'y mettez pas! J'en ai besoin... s'exclama Terri en essayant de se saisir du paquet.

 

— Nan! Danielle m'a dit de l'envoyer. » Jeanie tenait le paquet hors de portée de la jeune femme désespérée.

 

— Vous ne comprenez pas... ce paquet... il causerait ma ruine... S'il vous plaît...

 

— Ah oui. J'ai entendu parler de toi. Tu as joué dans un film porno sans que ton mari soit au courant, ou quelque chose comme ça?

 

— Non, sanglota Terri, ce n'est pas comme ça que... vous voyez...

 

— Tout ce que je vois c'est que tu es dépourvu de sens moral. Coucher avec d'autres que son mari, s'habiller comme ça... elle désigna la tenue vulgaire de Terri. De toute façon, la patronne m'a dit de poster ça, et c'est ce que je vais faire. Jeanie se tourna vers le glissoir du courrier.

 

— S'il vous plaît! supplia Terri. Je ferais tout ce que vous voulez...

 

Jeanie s'arrêta. « Tout? Comme quoi? Qu'est-ce que tu ferais?

 

— Je vous... je vous lécherais... je vous brouterais... »

 

Jeanie leva les yeux au ciel, dégoûtée. « Merci, mais je ne suis pas une gouine comme toi. » Regardant le paquet entre ses mains, elle ajouta. « Il y a bien une chose...

 

— Tout... Vous n'avez qu'à le dire... N'importe quoi... pleurait Terri

 

— Danielle m'a dit que ton mari était un sacré bon coup. Je veux le baiser aussi. »

 

Combien de personnes connaissaient les épreuves que Danielle lui faisait subir? Terri secoua la tête avec horreur. « Non... Je ne peux pas...

 

— Oui, je m'en doutais. Enfin, c'était juste une idée. » Jeanie se tourna vers la boîte aux lettres. « Eh bien, le divorce ne devrait prendre que six mois. Je l'appellerais alors...

 

— D'accord... D'accord... je vais... vous pourrez le baiser... Terri s'étouffa sur ces mots.

 

— Super! Je serais là ce soir, pour minuit! » Jeanie tendit le paquet à la malheureuse secrétaire.

 

L'esprit de Terri fonctionna à plein régime. Elle rapporterait des bières à la maison pour son mari, et à minuit il serait trop saoul pour remarquer que...

 

Elle fut interrompue par Danielle. « Je vois que vous vous entendez bien toutes les deux... c'est sensas! » la patronne prit le colis des mains de Jeanie.

 

« Jeanie, je vous avais dit de poster ça, » la gronda-t-elle pour de faux. « Eh bien, il faut croire que quand l'on veut que quelque chose soit bien fait, il faut le faire soi-même. » Danielle laissa tomber le paquet dans le conduit. Terri en eut le souffle coupé et se mit à nouveau à sangloter.

 

« À ce soir minuit, Terri! » pépia Jeanie se sauvant jusqu'à son bureau.

 

— Pourquoi... implora Terri

 

— Juste pour te voir courir 33 étages jusqu'au service du courrier et essayer de le récupérer... » se moqua Danielle.

 

Terri n'avait pas d'autre choix. Elle descendit en courant les escaliers, trois marches à la fois, et déboula dans la salle d'expédition hors d'haleine... pour trouver la pièce vide. Elle se mit vite à fouiller la corbeille qui recevait le courrier du conduit postal. Pas de paquet. Elle entendit du bruit venir d'un des bureaux contigus, Terri alla y jeter un œil. Elle fut estomaquée par ce qu'elle y vit.

 

Trois des employés au service courrier étaient dans le bureau, regardant attentivement une télé placée sur un chariot. Sur l'écran il y avait Terri, en train de fournir des faveurs à cinq hommes! Avec un peu de déduction, il était évident qu'un des employés avait eu sa curiosité éveillée par ce paquet et l'avait ouvert. Sans aucun doute furent-ils stupéfiés de découvrir qu'il s'agissait d'une jeune et belle femme baisant et suçant cinq hommes! Les trois chargés du courrier avaient sorti leur queue et se branlaient devant le spectacle.

 

La jeune femme réalisa qu'il n'y avait qu'une seule façon de récupérer la cassette. Elle entra dans la pièce, pleine d'audace, et éteignit la télé. Les hommes s'arrêtèrent à mi-course dans leur branlette, essayant de se cacher le zgeg. Ils pensaient qu'un responsable venait de les attraper en train de s'astiquer sur du porno.

 

C'est alors que l'un d'eux reconnut Terri. « Hey... C'est la gonzesse du film!

 

— C'est exact, roucoula Terri. Écouter, pourquoi des tombeurs comme vous se branlent-ils devant un bête film, alors que vous pourriez vous taper la vraie gonzesse? » Ses mains tremblaient alors qu'elle faisait glisser sa robe.

 

Les hommes sifflèrent à la vue de son corps canon.

 

« Mais C'EST la fille du film! confirma un autre gars avec émerveillement. Terri se mit à rougir.

 

— Faisons un marché, dit doucement la jeune femme. J'ai besoin de récupérer cette cassette. Et vous avez besoin qu'on s'occupe de vos super queues. Ça vous tente?

 

— Je sais pas... dit Ramon, le premier gars. Ça doit être important si tu y tiens tant que ça...

 

— Je vais rajouter quelque chose dans la balance, lui souffla Terri à l'oreille, tout en récupérant l'emballage qui avait enveloppé la cassette. Je promets de ne dire à personne que vous ouvrez illégalement le courrier... » Terri lui fit un clin d'œil, puis se mit à genoux en face de sa chaise. Ramon retint son souffle alors que Terri le prenait en bouche.

 

Levant momentanément la tête, la jeune femme se tourna vers les deux autres hommes. « Mettez-vous à poil. Je vous veux tout de suite après, » ronronna-t-elle, avant de se remettre à sucer Ramon.

 

Alors que Vincent, l'un des autres hommes, lui tringlait sa chatte trempée de mouille par-derrière, Terri se dit que ce n'était pas si mal. Ça valait infiniment mieux que de brouter le gazon de la gouine du dessus. Et peut-être qu'en se gargarisant d'un jet de foutre ou deux, ou peut-être même trois... elle pourrait finalement ôter de sa bouche l'arrière-goût du con de Danielle.

 

Terri avait la chatte encore douloureuse par les baises de ces deux derniers jours, mais elle commençait à se faire à son rôle de salope. Elle tenta de se convaincre que ce n'était que de la comédie, pour récupérer la cassette. Mais les sensations qu'éprouvait son corps la trahissaient. Sa chatte était presque en feu, et elle s'enfilait la bite de Vincent avec beaucoup d'ardeur.

 

Les hommes s'occupèrent de la bouche et de la chatte de Terry à tour de rôle. Elle serra aussi ses deux gros seins l'un contre l'autre pour que les employés puissent la fourrer entre ses nichons, à l'exception de Vincent qui n'aimait pas ça.

 

Après que Terri ait joui pour la cinquième fois, elle décida qu'elle en avait eu assez. S'étendant sur le sol, elle demanda aux hommes, « Je veux que vous vous branliez sur moi. Vous savez, comme dans le film? »

 

Ils se mirent à genoux autour d'elle, la jeune femme se demanda comment elle avait pu tomber si bas. Elle avait vraiment apprécié la dernière demi-heure passée avec ces trois hommes qu'elle ne connaissait pas! Sans doute parce qu'elle parvenait à avoir quelques degrés de contrôle sur ce qui lui arrivait, comparée à tout le libre arbitre que Danielle lui avait enlevé ces deux derniers jours.

 

Elle ne réfléchit pas plus longtemps aux mystères de l'univers, car Ramon commença à gicler son foutre sur tout son visage. Attrapant sa queue, elle s'assura qu'au moins un peu finisse dans sa bouche. Les deux autres suivirent rapidement l'exemple, arrosant ses seins fermes de leur semence. La jeune femme se mit à récolter le sperme crémeux de son visage et s'en suça les doigts. « Mmmmmm, j'adore le foutre.... » gémit-elle. Terri embrassa alors chacun des chibres, se releva et remit sa robe. Elle récupéra la cassette et se dépêcha de sortir avant que les hommes ne se remettent à bander.

 

Elle faillit percuter Danielle, qui souriait à l'entrée de la pièce, une caméra vidéo à la main.

 

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Le reste de la « journée de travail » fut relativement calme. De retour dans son bureau, Danielle finit d'instruire Terri sur ce qu'elle attendait d'elle, puis, après avoir laissé la jeune femme aller sous le bureau pour lui lécher la chatte une dernière fois, elle donna son congé à sa nouvelle employée pour le week-end.

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Deuxieme place - Communauté : Soumissions féminines
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Dimanche 27 août 7 27 /08 /Août 22:21

Terri finit par revenir chez elle à minuit et demi, heureuse que cette journée horrible soit finie. Elle venait de quitter l'hôtel une demi-heure plus tôt.

 

Elle y était arrivée à huit heures comme Danielle lui avait ordonné. Là, elle ne rencontra pas seulement les trois laveurs de carreaux, mais aussi les deux hommes qui l'avaient "violée" elle et Danielle ce matin-là. Ces vêtements lui furent enlevés en cinq seconds chronos, puis elle fut pelotée, enfournée, éperonnée par ces queutards. Ils la prirent en tournante essayant chaque combinaison possible, à l'exception (heureusement, soupira-t-elle) de son trou du cul encore vierge. Par chance, chaque fois qu'un des hommes avait exprimé de l'intérêt pour les plaisirs de la porte arrière elle avait été capable de faire commerce de sa bouche, ses mains, ses nichons ou sa chatte pour le combler. Après tout, elle était une cadre commerciale, et une sacrément bonne!

 

Sans surprise, les deux "racailles" de ce matin avaient débarqué avec leur caméra vidéo, et il en était résulté encore davantage d'enregistrements de Terri : Terri suçant une queue tout en se faisant prendre en levrette. Terri sur le dos, une bite dans la bouche, une dans chaque main, une entre ses nichons - bonnet 95D- et une lui martelant la chatte. Terri au centre d'un cercle de cinq hommes à la queue bien dure. La jeune femme -vêtue simplement d'espadrilles- allant sur ses genoux d'une bite à l'autre. Terri étendu sur un lit grande taille, les cinq hommes en train de s'astiquer à genoux autour d'elle et finir par la couvrir de leur foutre de la tête au pied. Terri sous la douche, et les hommes passant l'un après l'autre pour se laver et tirer un dernier coup. Finalement après avoir passé une demi-heure sous la douche à essayer de se laver de l'humiliation de s'être fait prendre en tournante, Terri sortit de la douche portant sur elle une des robes de chambre de l'hôtel. Ce fut pour s'apercevoir qu'en l'attendant, les mecs avaient tous déchargé dans une coupe de champagne, un dernier verre pour la route... Terri prenant le verre offert avala les cinq doses de sperme en une gorgée, laissant un petit filet de foutre s'écouler du coin de sa lèvre jusque sur sa joue.

 

Après que les hommes furent partis, Terri récupéra ses vêtements, pour découvrir que tous les boutons de son chemisier avaient été découpés. Ça voulait dire qu'elle allait devoir tenir serrés les pans de son chemisier à la main si elle ne voulait pas exposer ses seins nus. Heureusement, le hall de l'hôtel était presque vide. De retour dans sa voiture Terri avait trouvé les vitres ouvertes. Regardant au-dedans elle vit l'intérieur parsemé de capotes usagées. Avec une note aussi :

 

" Chère Terri, j'espère que tu te souviens du nombre de fois qu'ils t'ont baisé, car c'est le nombre de capotes que tu trouveras. Tu ne voudrais pas en manquer une, et risquer que Steven la trouve!

 

Amitié, ta nouvelle patronne, Danielle. " En pleurs, la jeune femme passa une heure à fouiller la voiture pour chercher les préservatifs remplis de sperme. Cela offrait aux passants une superbe vue sur son cul sans culotte, surtout quand elle se penchait pour regarder sous les sièges (là où la plupart des capotes avaient caché justement.) La voiture sentait le foutre et Terri dut faire un arrêt à la station de lavage pour vaporiser l'intérieur d'air de désodorisant au citron.

 

De retour en sécurité à la maison, Terri éprouva le besoin de se doucher à nouveau, bien qu'elle pressentit qu'aucune quantité de savon ne la ferait se sentir à nouveau propre. Elle sanglota pendant toute la douche, se demandant comment elle s'était fourrée dans ce pétrin. Après s'être séchée, la femme épuisée alla coucher.

Steven à moitié réveillé murmura « Dure journée?

 

— Affreuse, soupira Terri. »

 

Steven aurait été ravi de la lui rendre meilleure, et il commença à lui caresser la taille. Terri enleva gentiment la main.

 

« Je suis trop fatiguée, mon cœur... » chuchota-t-elle. Un mensonge. Terri savait qu'elle n'allait pas trouver le sommeil. La vérité était qu'elle souffrait de partout après avoir servi de garage à bites. Steven ne fit pas de commentaire et retourna dormir.

 

Le téléphone sur la table de nuit sonna peu après, le réveil indiquait 01 h 17. C'était Danielle.

 

« Salut, je voulais savoir comment allait ma toute nouvelle employée.

 

— Bien, soupira Terri.

 

— Le mari est endormi?

 

— Oui, dit Terri, les dents serrées.

 

— Je suis juste devant ta porte d'entrée. Laisse-moi entrer » murmura la voix de l'autre côté de la ligne.

 

Sachant qu'elle n'avait pas le choix, Terri enfila une robe de chambre et descendit. Elle fit une pause alors que sa main était sur le verrou de la porte. Et si sa rivale -- correction, sa PATRONNE se rappela-t-elle -- l'avait piégée, et s'était arrangée pour que d'autres hommes soient de l'autre côté de la porte, prêt à la violer encore davantage?

 

Mais réalisant que même s'il y avait tout un gang d'hommes attendant de la baiser, elle n'avait pas son mot à dire, elle ouvrit doucement la porte.

 

Danielle était debout devant elle, seule. Elle aussi avait passé une robe de chambre. Elle ne devait pas avoir réussi à dormir et avait résolu le problème en venant faire souffrir Terri un peu plus. « Tu t'attendais à quoi - un gang qui viendrait te violer? elle se mit à rire. Ça peut se faire, tu sais.

 

— Qu'est-ce que vous voulez? demanda Terri.

 

— Je veux que tu sortes dehors, ordonna Danielle. Puis, je veux que tu retires ta robe de chambre.

 

— Danielle... Madame... et si les voisins...

 

—...s'aperçoivent qu'ils vivent à côté d'une pute? Je m'en fiche. Je ne vis pas dans le coin.

 

— Madame... s'il vous plaît! Ne me faites pas faire ça!

 

— D'accord. Je dois juste déposer quelque chose pour Steven... Une cassette vidéo. Et ensuite je repars.

 

Danielle fit demi-tour et se dirigea vers sa voiture.

 

— Attendez... Madame... » Danielle se retourna, nota avec satisfaction que la plantureuse Terri avait retiré sa robe de chambre, la laissant tomber par terre.

 

— Bonne fille » murmura, la nouvelle patronne de Terri tout en appréciant la vue. Détachant la ceinture de sa robe de chambre pour laisser voir sa chatte, elle ajouta : « Tu connais le turbin. »

 

Terri connaissait. Tremblante à la pensée de pouvoir être vu par ses voisins, elle se mit à genoux sous le clair de lune et se mit à lécher Danielle. Espérant qui si elle parvenait à faire rapidement jouir la garce, elle repartirait sans faire de scandale.

 

Danielle ferma les yeux, elle profitait pleinement des sensations engendrées par la langue récalcitrante de Terri. La jeune femme devenait une meilleure brouteuse de chatte à chaque fois qu'elle avait la tête entre les jambes de sa patronne.

 

« Oh... OUI!!!!! hoqueta Danielle. Fourre-moi avec tes doigts! » Terri obéit, et mit deux de ses doigts dans la fente de la femme la surplombant. « Je ne t'ai pas dit d'arrêter de lécher... » Obéissante, la langue de Terri repartit à l'assaut du clitoris de Danielle.

 

« Dis-moi... gémit Danielle. Steven t'a baisée ce soir?

 

— Non... marmonna Terri entre deux lèchements. Trop douloureux. »

 

— QUOI? avec une horreur feinte, Danielle repoussa le visage de Terri loin de son con. Tu n'as pas eu la DÉCENCE de SATISFAIRE TON PROPRE MARI? demanda-t-elle en haussant le ton. Après avoir sucé et baisé COMBIEN D'INCONNUS aujourd'hui? Six, c'est ça? Où était-ce vingt-six? »

 

Terri regardait nerveusement autour d'elles. Des lumières s'allumaient dans quelques maisons du voisinage.

 

« S'il vous plaît, Danielle... mes voisins vont entendre...

 

— Eh bien, d'accord, répondit-elle avec bon sens, continuons dans ta maison. »

 

Danielle entra dans le pavillon, Terri n'avait pas d'autre choix que de suivre.

 

Heureusement, Danielle baissa la voix jusqu'à n'être plus qu'un chuchotement une fois à l'intérieur.

 

« Puisque tu ne prends pas soin des besoins de ton mari... je vais devoir le faire à ta place.

 

— Il ne voudra... commença Terri, la voix pleine de défi.

 

— Il ne saura pas que c'est moi, car ma tête sera sous les draps. À moins que tu ne préfères que je le réveille pour l'inviter à regarder un film? J'en ai un très sympa dans la voiture, un porno torride. Ça s'appelle "Terri la traînée."

 

— Tu n'oserais pas.

 

— Mets-moi au défi, salope, suggéra calmement Danielle. Non? Alors je vais m'amuser un peu avec ton petit mari. Il va probablement rester à moitié endormi et penser que c'est toi. Tu resteras au pas de la porte à regarder. »

 

— JE T'EN SUPPLIE, brailla Terri, avant de chuchoter avec insistance. S'il vous plaît, ne faites pas ça... Je t'en supplie... Je ferais tous ce que... Je coucherais avec qui tu veux... Danielle... Madame... S'IL VOUS PLAÎT... Mon mariage représente tellement pour moi... PITIÉE ne faites pas...

 

Danielle se contenta de rire « À onze heures, ce matin, ton mariage ne représentait rien pour toi, si ça te permettait de me rabaisser et de m'humilier. C'est ton tour d'être humiliée, Terri. »

 

Laissant tomber sa robe de chambre, elle monta l'escalier sur la pointe des pieds. Terri était impuissante, elle ne pouvait rien faire d'autre que de regarder, et c'est ce qu'elle fit. Elle vit avec horreur la tête brune de Danielle disparaître sous les couvertures, et bien vite son contour sous les draps se mit à s'activer dans un mouvement régulier de haut en bas. Comme si un fantôme pervers hantait son lit. Des bruits de succion obscènes se firent entendre de sous les draps, combinés aux gémissements de plaisir croissant de Steven. Terri sentit son cœur se fendre en deux.

 

Alors que les larmes coulaient abondamment des yeux de Terri, d'autres fluides ruisselaient de Danielle. Sa bouche était bien remplie par la bite considérable de Steven, mais une autre partie d'elle réclamait son attention. Se servant de la main qui ne massait pas les bourses de Steven, elle commença à se caresser doucement le berlingot.

 

Steven ne se doutait de rien. « Mmmmmmmmm, tu as changé d'avis hein? » Il gémissait rêveusement, pensant que c'était sa femme sous les draps en train de le pomper.

 

Danielle murmura un "mmmm hmmmm..." bien naturellement étouffé. Quelque part derrière elle, elle parvint à entendre Terri sanglotant discrètement. En réponse, elle augmenta la quantité de bruits de succion. Ce n'était pas un problème pour Danielle, elle avait toujours été une "soupeuse bruyante", que sa bouche soit occupée par une bite ou par une chatte.

 

C'était le moment du coup de grâce, pensa méchamment Danielle. Se saisissant des draps, elle les bascula pour recouvrir la partie supérieure de Steven. Éjectant la queue de sa bouche dans un bruit mouillé, Danielle enfourcha l'époux de Terri tout en lui tournant le dos (et fit face à Terri, qui la suppliait silencieusement de s'arrêter.) Et en dépit de la supplique de la légitime compagne, Danielle s'empala lentement sur la queue de Steven.

 

C'était merveilleux. Voir l'expression de misère sur le visage de Terri, ce genre de chose ne s'achetait pas. Et pour ajouter un autre coup de poignard dans son cœur brisé, Danielle lui imposa silencieusement de se doigter la chatte.

 

Honteuse, Terri fit comme on lui demandait. Par moment elle ouvrait la bouche pour articuler le mot « Pitié » vers la femme qui prenait son pied avec son mari.

 

Mais Danielle n'avait aucune intention de s'arrêter ; au contraire. Elle envoya un baiser à Terri et doubla la cadence. Elle fut capable de jouir trois fois avant que Steven ne se contracte et lui remplisse son con de foutre chaud. Terri, le cœur broyé baissait la tête de honte.

 

Sans rien ajouter, la briseuse de ménage mit pied à terre et quitta la chambre à coucher. Tirant Terri derrière elle, elle descendit les escaliers.

 

Terri était hystérique, elle semblait partie à la dérive. Danielle ne put s'empêcher d'avoir un peu pitié. Gentiment, elle l'attira vers elle et l'enlaça, lui caressant ses cheveux blonds pour la calmer. Elle l'embrassa doucement sur les lèvres, suivit d'un baiser plus pressant et plus passionné. Terri rendit le baiser, sa langue glissant dans la bouche qui juste quelques minutes plus tôt avait sucé la queue de son époux.

 

Terri sentit une vague de soulagement la parcourir. Peut-être que Danielle allait décider d'en finir, pensa-t-elle avec espoir. Peut-être que c'était sa vengeance pour toutes les fois où elle avait été méchante avec Danielle, et maintenant c'était terminé.

 

Leur langue ferraillant toujours, Danielle la conduisit vers le sofa, et tira Terri sur elle. Sans qu'on lui dise, Terri déplaça ses mains sur la petite, mais ferme, poitrine de Danielle, lui pressant délicatement les seins.

 

Danielle rompit le baiser : « Tu aimes mes nichons?

 

— Oui, chuchota Terri

 

— Dommage que tu es passée tant de temps à t'en moquer, répliqua-t-elle, la sévérité revenant peu à peu dans sa voix.

 

— Je sais, Danielle... je suis...

 

— Madame... la corrigea Danielle

 

— Madame... Je sais... je suis désolée, je... »

 

— Broute-moi la chatte jusqu'à ce qu'elle soit propre, l'interrompit Danielle. Lèche le foutre de ton mari hors de mon con. »

 

Les yeux de Terri suppliaient. Sa bouche s'ouvrit pour faire de même, mais l'autre femme la coupa.

 

« Fais-le maintenant, ou je vais au-dessus lui demander de le faire pour moi... » Terri n'avait pas besoin de plus d'incitation. Pour ce qui lui sembla la centième fois, elle baissa la langue jusqu'à la chatte de Danielle.

 

Danielle resta encore une heure avant partir. Durant tout ce temps, Terri ne se contenta pas de vider la chatte de Danielle, elle alla aussi à l'étage et suça les sécrétions qu'une autre femme avait laissées la queue de son mari endormi. Cette fois, ce fut Danielle qui regarda de la porte, et excitée, se caressa l'abricot. Steven banda à nouveau, et Terri dut traire le sperme contenu dans ses couilles, n'avalant pas, mais gardant le foutre dans sa bouche. Elle alla alors vers Danielle, l'embrassant tout en livrant la semence de son mari dans la bouche de sa rivale comblée.

 

Danielle finit par partir, Terri dut l'accompagner jusqu'à sa voiture. Elle espérait que la garce n'irait pas plus loin, en avait fini avec ses jeux cruels. Ses espoirs furent rapidement réduits à néant quand Danielle lui dit : « Je te vois demain à neuf heures. Tu as une journée chargée qui t'attend. »

 

En pleurs, Terri retourna vers la maison, toujours nue. Pour découvrir que Danielle avait fermé la porte. Elle paniqua avant de se rappeler qu'elle cachait un double des clefs sous une statue à côté de la véranda. Terri déverrouilla la porte et remit les clefs à leur place avant d'entrer.

 

 

Un demi-pâté de maisons plus loin, Danielle regardait, notant mentalement la cachette de la clef. « Bonne nuit, Terri, » murmura-t-elle. Puis, « Bonne nuit, Steven... »

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Dimanche 27 août 7 27 /08 /Août 22:20

Terri attendait nerveusement dans le bureau de Danielle avec impatience. Il était 3 h 10.

 

Comme lui avait ordonné Danielle, elle était retournée travailler après l'humiliant déjeuner où elle avait souffert aux mains de sa Némésis. Elle était allée aux archives de son entreprise et avait signé le retrait des documents exigés par Danielle. Elle les avait photocopiés, puis les avait remis à leur place. Elle avait ensuite quitté son travail de bonne heure pour se rendre à son rendez-vous avec sa rivale.

 

En marchant, elle fit le point sur sa situation. Elle s'était mise dans un sacré pétrin... Sa pire ennemie avait une cassette vidéo d'elle, une femme heureuse en ménage, qui volontairement et comme une vraie traînée se faisait baiser par deux inconnus. Pour couronner le tout, elle venait de se rendre coupable d'espionnage industriel et allait fournir des informations confidentielles sur leurs clients à une entreprise concurrente. Et bien sûr, il y avait la rivalité personnelle que Terri entretenait avec Danielle.

 

Terri avait tenté d'imaginer jusqu'où Danielle était capable d'aller pour la faire payer. Elle semblait avoir planifié un plan très élaboré avec une minutie exemplaire. Terri n'avait pas aidé son cas en plongeant tête la première dans le piège.

 

La jeune femme espérait que Danielle voulait juste la faire mijoter quelque temps, après quoi elle s'arrêterait.

 

Pour le moment, Terri attendait, espérant que toute cette histoire n'avait eu pour seul but que d'obtenir les documents qu'elle avait rassemblés dans la chemise posée sur ses genoux. Même si elle était certaine que sa rivale allait en profiter pour lui en faire baver quelque temps. En jetant un œil sur les murs du bureau, elle remarqua qu'accroché discrètement parmi les diplômes et honneurs, il y avait aussi la grosse rosette "2e place" que Terri lui avait envoyée pour se moquer d'elle. Elle commençait à regretter pas mal des vacheries qu'elle avait faites tout au long de ces années.

 

Ses pensées furent interrompues par l'entrée de Danielle.

 

« Salut, Terri! je suis contente que tu aies pu venir. Tu as ce que je t'ai demandé? » Terri souleva la chemise kraft pour toute réponse. « Formidable! Je vais la prendre. Tu n'as pas eu de problème pour avoir les documents?

 

— Non, murmura Terri en offrant la chemise.

 

— Parfait. Je savais pouvoir compter sur toi.

 

— Danielle... heu... Madame? Je voulais vous dire que, eh bien, je sais que je n'ai pas toujours été sympa avec vous, et que, j'ai pu faire des trucs qui étaient un peu vaches et pas tout à fait professionnelles, et je voulais dire que j'étais désolée, bafouilla Terri.

 

— C'est fantastique, chérie! répondit dédaigneusement Danielle pendant qu'elle jetait un œil sur les papiers qu'elle venait d'obtenir.

 

Éclatant en sanglot, Terri se mit à l'implorer : « S'il te plaît, Danielle... Madame... Je suis vraiment désolée pour ce que j'ai fait. Mais j'aime vraiment mon mari et cette cassette vidéo pourrait ruiner mon mariage, tu ne voudrais pas détruire mon mariage, hein, s'il te plaît? Je suis désolée pour les choses que je t'ai faites. Je ferais tout pour me faire pardonner. Je le jure. » La jeune femme d'affaires était en pleurs.

 

Sa rivale, cependant, semblait à peine l'entendre. Elle était bien plus intéressée par la paperasserie devant elle. « C'est de super informations qu'il y a là, Terri, j'apprécie vraiment ça! Surtout quand on sait toutes les lois que tu as violées juste pour me donner ces renseignements... » Elle ralentit, s'assurant que Terri saisisse bien la situation.

 

« Que... qu'est-ce qui va m'arriver? » se mit geindre Terri, sanglotant sans retenu.

 

Là-dessus, Danielle reposa la chemise et accorda son attention complète à Terri. « Ah. Que va-t-il arriver à la douce Terri... Oh, c'est tout simple. Je vais te dire de faire des choses. Et tu vas les faire. Et moi, je ferais ma part, en ne laissant personne connaître tes... hum... imprudences.

 

— P... Pour combien de temps? murmura Terri horrifiée.

 

— Aussi longtemps que je voudrais continuer. Je n'ai aucune idée du temps que ça durera. Combien de temps m'as-tu persécutée, MOI? Vingt ans au moins? » Danielle se réjouissait de la peur de Terri, elle s'en repaissait. « Aujourd'hui au déjeuner tu m'as bien servi. Mais je réalise que tu n'as rien eu en retour. Alors maintenant je vais te donner l'opportunité d'avoir une compensation. Enlève tes vêtements. »

 

— Non merci, Madame... Je n'ai pas besoin de...

 

— Ce n'était pas une requête. Retire tes vêtements, TOUT DE SUITE. » Pour mettre les points sur les i, Danielle posa la main sur son téléphone. « Est-ce que je dois appeler le service juridique de ta société, ou ton mari? Ou directement la police? Un choix difficile. » Elle sourit alors que Terri se débarrassait de son blazer, de son chemisier et de sa jupe. Alors qu'elle allait enlever ses escarpins, Danielle lui dit qu'elle pouvait les garder.

 

Danielle lui offrit un siège. « Ne te couvre pas, chérie, » fut-elle grondée alors que Terri mettait son bras devant ses seins, et cachait sa chatte de sa main. « Je suis sûre que TOUT LE MONDE veut voir ton corps "supérieur"! Moi, la première, je suis TRÈS jalouse! Ne croise pas les jambes. Écarte-les. »

 

Amenant une boîte rectangulaire sur le bureau, Danielle l'ouvrit et en montra le contenu à la jeune femme nue. « Tu le reconnais? » demanda-t-elle gentiment.

 

C'était le cas. Quand elle avait gagné l'affection d'un certain Bobby Marshall à la fac - dont Danielle était aussi amoureuse - Terri lui avait envoyé ce paquet avec une note : « Je me suis tapé Bobby, et c'est un peu près la même taille. J'espère que tu apprécieras, cocotte!!! »

 

« Je l'ai apprécié - plusieurs fois, se rappela Danielle. Je le sortais pendant mes nuits de déprime... Tu sais, après que tu m'aies piqué un petit ami, ou un contrat. Je faisais travailler ce petit gars, je lui faisais faire des va-et-vient dans mon con, et je fantasmais sur le jour où je le prendrais et te l'enfoncerais dans ton cul, finit-elle calmement.

 

— Danielle... S'IL TE PLAÎT!! Je suis désolé pour tout ça! Mais c'était il y a longtemps! JE T'EN SUPPLIE, je ne suis plus comme ça... »

 

Danielle se mit à rire. « Ma chérie, qu'est-ce que tu racontes? Tu étais comme ça ce matin! Tu ne te souviens pas? La façon dont tu as dit "Barre-toi de là, deuxième place, et regarde comme une pro travaille?" Alors tu aurais eu une "révélation" ce matin??? » Pensivement elle faisait tourner le gode dans ses mains. « Je vais peut-être bien te le fourrer dans le cul. Mais pour le moment, je veux juste que tu t'amuses sainement. Monte sur le bureau. »

 

Terri y grimpa sagement.

 

« Étends-toi sur le dos. En face de la fenêtre. Maintenant, écarte les jambes. » la jeune femme obéie. C'était un régal pour les yeux, et Danielle, une bisexuelle active savait l'apprécier. Elle donna le gode à Terri et lui commanda : « Baise-toi avec. Glisse-le dans ta fente. Je peux voir que tu es déjà mouillée. » C'était vrai. Malgré l'épouvantable humiliation que ressentait la femme d'affaires, elle était aussi excitée par cette situation, le gode coulissa facilement.

 

Danielle aurait adoré rester en face de Terri et admirer le spectacle. Elle aurait même sacrément eu envie d'y participer. Mais elle avait du pain sur la planche. Laissant Terri se débrouiller toute seule, elle saisit la chemise kraft et prit un siège de l'autre côté du bureau, elle s'absorba dans la lecture des documents.

 

Terri faisait aller et venir le gode dans sa chatte, faisant exprès d'occasionner une quantité de bruits obscènes et juteux. Si elle était contrainte de s'humilier comme ça, autant en profiter pour empêcher l'autre garce de se concentrer sur son travail. Par moment, Danielle levait le nez des papiers et lui ordonnait : « Plus vite. » Terri avait changé de mains plusieurs fois, et les deux commençaient à rapidement se fatiguer.

 

« Combien de temps... » se risqua à demander Terri.

 

Danielle lui rétorqua vertement : « Jusqu'à ce que je te dise d'arrêter, salope! Ou tu PRÉFÉRERAIS te le mettre dans le cul?

 

— Non, Madame, » marmonna la jeune femme redoublant d'efforts avec le godemiché. Elle était TRÈS excitée. Ses tétons étaient durs comme du roc, et elle commença à utiliser sa main libre pour les caresser. L'autre femme ne fit pas un geste pour l'arrêter.

 

Jetant un œil à la fenêtre Terri vit -- des PIEDS??? Elle réalisa qu'elle voyait la plateforme des laveurs de vitres, et qu'ils étaient en train de s'occuper de la fenêtre de l'étage au-dessus.

 

Le sang de Terri ne fit qu'un tour quand elle prit conscience que la plateforme descendrait à CET étage juste après, et que les laveurs de vitres auraient une vue nette et directe sur elle en train de se masturber.

 

« Danielle... Je veux dire, Madame... implora Terri. À son crédit sa cadence avec le gode n'avait pas faibli.

 

— Oui? répondit Danielle toujours submergée par la paperasse.

 

— Dehors, à la fenêtre... les laveurs de carreaux...

 

— Eh bien? Ils sont là chaque semaine. On ne lave pas les vitres dans ton entreprise?

 

— Mais... ce sont des INCONNUS... ils vont voir... protesta Terri.

 

— Tu m'excuses, mais je suis en train de lire là, » s'agaça Danielle.

 

C'est alors que la plateforme descendit à leur étage. Comme le craignait Terri, les trois hommes la virent tout de suite. La jeune femme n'avait pas d'autre choix que de continuer à se faire farcir avec la bite en plastique. Inutile de dire qu'aucune autre fenêtre n'allait être nettoyée aujourd'hui.

 

Levant les yeux de son travail, Danielle donna des instructions à Terri « Mets-toi à quatre pattes. Tringle-toi en levrette avec la bite en plastique. Non! Place-toi face à eux. Je veux qu'ils voient ton expression quand tu te fais sauter la chatte. » Terri fit comme on lui commandait. « Plus vite, plus fort. Je veux qu'ils te voient jouir. » Il y avait des bosses bien nettes dans le pantalon des travailleurs. « Jouis pour eux, Terri. »

 

Alors qu'elle baisait le gode dans un obscène spectacle d'autoviol, elle sentit que son corps allait la trahir. Elle était, de fait, très proche de jouir. La levrette était sa position favorite pour se faire fourrer, même si elle ne l'aurait jamais admis à personne, et encore moins à sa rivale jurée.

 

« OOOOOOOOOOOOOOOOHHHHHHHHHHHHHHHHHH!! » s'écria Terri. Des vagues de plaisir lui ravageaient le corps, sa chatte était prise de multiples spasmes alors qu'elle se pistonnait frénétiquement la chatte avec le godemiché. Les sensations étaient si intenses qu'elle finit par lâcher le gode. Elle se fourra alors les doigts dans sa chatte chaude et humide pour avoir quelque chose, n'importe quoi, qui la remplisse. Elle parvint à se donner un deuxième orgasme grâce à ses doigts, puis un troisième.

 

« Tu peux arrêter maintenant », annonça Danielle. Terri dut se le faire dire deux fois. Quand elle retomba du septième ciel, la situation dans laquelle elle se trouvait lui fut rappelée lorsque, redressant la tête, elle vit trois laveurs de carreaux la regarder avec lubricité. Une humiliation absolue déferla sur elle pour l'engloutir.

 

« Remercie-les, ordonna Danielle sans même la regarder.

 

— Quoi?

 

— Remercie ces hommes d'avoir été un si bon public. »

 

Regardant les hommes derrière la fenêtre, Terri murmura : « Merci. »

 

Exaspérée, Danielle leva la tête. « Bon Dieu, qui m'a fichu une bimbo aussi stupide, REMERCIE-LES. Va les voir. Embrasse la vitre. »

 

Vêtu seulement de ses talons hauts, Terri marcha, hésitante, jusqu'à la fenêtre. Elle posa un léger baiser dessus. « Utilise ta langue... lèche la vitre, » ordonna Danielle. Terri le fit. Les hommes chacun leur tour l'embrassaient à travers le carreau.

 

« Presse ces nichons dont tu es si fière contre la vitre, » lui commanda-t-elle ensuite. Elle y écrasa sa poitrine 95 D. Les carreaux étaient froids, ses mamelons se remirent à durcir presque immédiatement.

 

« Reviens au bureau. Assieds-toi sur le bord, et laisse-les te regarder pendant que tu te lèches tes tétons durs, » la dirigea Danielle. « Écarte les jambes. Qu'ils voient ton joli petit con. » Rougissant de honte, Terri suivit les consignes. Même si une partie d'elle-même trouvait cet exhibitionnisme assez excitant, elle fut quand même honteuse en réalisant que sa fente mouillait, tout en souhaitant qu'on lui redemande de jouer avec sa minette.

 

Mais ç'aurait été trop beau : « Viens ici, Terri, » requit doucement Danielle, tout en écrivant quelque chose sur un bloc-notes. Puis, tendant le calepin à Terri : « Montre ça à ces gentils messieurs. »

 

Lisant le griffonnage pour elle-même, elle lut : "Seconde représentation ce soir? 8 h, Hôtel Regent, Chambre 1283!" Terri recula choquée.

 

« Madame... Je ne peux pas!!! Steven m'attend à la maison... Il aura des doutes...

 

— C'est pas mon problème. Tu vas aller à cet hôtel même si je dois t'y traîner. Et soit tu t'amuseras avec ces hommes... soit j'inviterais quelques-unes de mes amies "particulières" et, crois-moi, elles seront ravies de se relayer pour te fourrer ce gode dans le cul. Alors qu'est-ce que tu choisis? »

 

Rouge comme une tomate, Terri marcha jusqu'à la fenêtre et montra la note aux hommes. Tous les trois firent expressément et avec enthousiaste signe que, oui, ils seraient là pour se faire servir par belle jeune femme. Finalement, Danielle se leva pour baisser les stores et mettre fin à cette séance d'humiliation.

 

« Retournons à nos affaires. Assieds-toi, » Danielle lui désigna une chaise en face du bureau, tandis qu'elle-même prit place derrière le bureau. « Oh, chérie, tu as laissé couler de ton jus sur le bureau, là. Tu veux bien me faire le plaisir de le lécher, s'il te plaît? » Terri s'y mit immédiatement, espérant n'avoir rien d'autre à lécher aujourd'hui.

 

C'est alors que l'on frappa à la porte. « Entrer, » autorisa Danielle. Une femme, un peu près du même âge que Terri ou Danielle ouvrit la porte.

 

« Je dois partir un peu plus tôt ce soir, pour aller chercher les enfants, expliqua la nouvelle venue.

 

— Ça ira, Jeanie. Passe une bonne soirée, » répondit Danielle. La femme partit, ne semblant avoir rien trouvé de bizarre à ce qu'une belle jeune femme, entièrement nue, lèche le bureau de sa patronne.

 

« C'est assez propre comme ça, assura Danielle à l'autre femme d'affaires. Je voudrais que tu me signes ça, dit-elle en passant un papier à Terri.

 

— Qu'est-ce que c'est? »

 

— Ta démission de ton entreprise, avec effet immédiat, s'égaya Danielle. J'ai décidé de t'offrir un poste ici!

 

— Quel genre de poste? demanda Terri méfiante.

 

— Quelle importance? Tu vas signer ce papier, et tu vas travailler pour moi. Et puis, j'ai besoin d'une nouvelle secrétaire.

 

— Mais... J'ai des années d'expérience... la fac... bafouilla Terri.

 

— C'est chouette. Mais tu n'auras besoin de rien de tout ça ici, expliqua Danielle. Maintenant, SIGNE! » ajoute-t-elle d'un ton n'autorisant aucune réplique.

 

Quel choix avait Terri? Elle signa la démission.

 

« Super! s'exclama Danielle galvanisée. Je vais m'assurer que notre service du courrier l'envoie tout de suite! Bienvenue à bord! » Danielle était toujours enthousiaste avec ses nouvelles employées. « Tu sais... lui confia-t-elle. Je crois que tu vas être mieux ici que là-bas. Je sais de source sûre que ton ex-société va bientôt filer un mauvais coton... » La nouvelle patronne de Terri tapota la chemise kraft posée sur le bureau et sourit de toutes ses dents.

 

Terri restait sans voix.

 

— Eh bien! tu ne dis rien pour remercier ta nouvelle patronne?

 

— Merci, murmura mollement Terri.

 

— Allons, un peu de sérieux. Est-ce une façon de remercier quelqu'un qui t'engage malgré ton passé d'adultère et d'espionnage industriel? »

 

Roulant sa jupe vers sa taille et écartant les cuisses, Danielle donna à sa nouvelle secrétaire sa première tâche officielle : « Ramène-toi ici, à quatre pattes! Sous le bureau, chéri. Tu vas passer beaucoup de temps là-dessous! »

 

 

Danielle fit d'honnêtes efforts pour finir certains dossiers. Mais elle n'arrivait à rien. Elle ne s'inquiétait pas pour autant... avec la langue de Terri qui serpentait dans son con, elle allait enfin pouvoir jouir de son travail...

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