Vendredi, trois heures de l'après-midi. Terri vêtu d'une robe noire au décolleté provocant, attendait Danielle dans son bureau.
Quand Terri était arrivée ce matin, Danielle n'était pas là. Par contre, elle avait laissé une liste de choses à faire pour sa nouvelle employée.
Terri avait donc fait plusieurs achats avec sa MasterCard et elle cherchait encore LA raison qu'elle donnerait à son mari pour ces dépenses.
FREDERICK'S OF HOLLYWOOD. Danielle avait chargé Terri de changer d'habits. Il n'était plus question pour elle de porter des costumes de femme d'affaires ; après une heure passée chez Frederick's, la jeune femme était passée de femme d'affaires professionnelle à pute au rabais. « Achète des tenues bien vulgaires, » indiquaient les instructions de Danielle, « si ça ne fait pas assez salope, j'y retournerais avec toi pour faire un échange... on prendra une laisse. » Il n'y aurait pas besoin ; les tenues qu'avait choisies Terri auraient foutu la honte à une pute d'Hollywood.
THE GREEN DOOR NOVELTY SHOP. Un magasin de livres et de jouets pour adultes. Danielle avait fait toute une liste de choses que sa nouvelle secrétaire devait acheter. Parmi eux il y avait une pile de magazines lesbiens (pour donner à Terri quelques "tuyaux" sur la façon de servir sa nouvelle maîtresse), un assortiment de godes, variant grandement en dimension. Le plus petit faisait la taille d'un index, le plus gros était un peu près aussi long que celui qu'elle avait utilisé pour se pistonner la chatte, tout en offrant un spectacle à l'équipe de laveurs de carreaux.
JOSE'S CANTINA BAR AND GRILL. Un restaurant mexicain où Terri devait rencontrer... et brouter... Danielle pour déjeuner. Ce qui avait conduit à d'autres humiliations sous la table et au-dessus. Pendant qu'elles attendaient leur commande, Terri avait dû déballer tous ses achats sur la table et en faire l'article pour chacun. Elle avait aussi fait des avances à la serveuse, qui se révéla ne pas être bisexuelle et ne pas être intéressée. Et ce malgré les demandes et suppliques de la jeune femme « S'IL VOUS PLAÎT laissez-moi vous bouffer la chatte! » Alors qu'elle mangeait l'abricot de Danielle pour le dessert, Terri se fit atrocement tordre les tétons : une punition pour ne pas avoir su séduire la mignonne petite hispanique.
TARGET. Danielle avait chargé Terri d'aller chercher une teinture "noire de jais" pour cheveux. Elle ne comprenait pas bien cet achat, car tout ce que lui demandait Danielle indiquait qu'elle voulait la transformer en un stéréotype de bimbo blonde idiote.
PALOMAR'S EXOTIC JEWELRY. Là, Terri se fit percer un téton. Si Danielle avait espéré que cela l'humilierait, elle allait en être pour ses frais. Terri avait toujours pensé qu'un cerceau au téton était érotique. D'ailleurs, bien que Danielle n'ait demandé qu'un seul piercing, elle en avait ajouté un autre à la facture.
Tous les objets que Terri avait dû acheter étaient soit portés sur elle, soit dans les sacs de courses à ses pieds. Elle se demandait ce que serait la prochaine étape.
Elle n'eut pas longtemps à se le demander. Danielle déboula, demandant : « Comment ça s'est passé? Tu as pu tout avoir?
— Oui Madame, assura Terri, ramassant les sacs de course.
— Lève-toi, ordonna sa patronne. Jolie robe. Très jolie. Mais retire-la. »
Terri laissa tomber la très courte robe noire sur le sol. Elle n'était pas autorisée à porter de sous-vêtement et resta plantée complètement nue devant sa patronne.
Danielle observa sa secrétaire de haut en bas, en gourmande. Son regard se porta finalement sur l'anneau au téton. « Jolie. Mais ce n'est vraiment pas ce que j'avais en tête. » Allant vers le mur où étaient accrochés ses diplômes elle retira la rosette "2ème Place" dont s'était servie Terri pour se moquer d'elle il y a fort longtemps. Elle retira l'anneau du téton, et le remplaça par l'attache de la rosette pour décorer le nichon 95D de la jeune femme. « Parfait, » se complimenta-t-elle en admirant son travail.
Terri dut ensuite s'asseoir et écarter les jambes. « Je vais t'expliquer quel genre de travail j'attends de toi. Pendant que je fais ça, tu vas te caresser le con. » Terri obéit.
« Règle 1. Tu feras tout ce que je te dirai de faire, sans exception. Supplier et implorer ma clémence sera toutefois autorisée. En fait, ça m'exciterait que tu m'en fasses, » lui confia Danielle. « Même si ça ne te servira à rien. »
« Règle 2. Tu es une salope. Tu es MA salope. Tu vas baiser, sucer, lécher qui je te dirais de baiser, sucer et lécher, quand je te dirais de baiser, sucer et lécher. En tant que vraie salope, tu aimes le sexe, tu ne refuseras JAMAIS de fournir tes services à TOUS CEUX qui en font la demande. Je te mettrais à l'épreuve de temps en temps. »
« Une exception à la règle 2, ton joli petit cul vierge. Tu feras en sorte qu'il le reste. Comment tu te débrouilleras, c'est à toi de voir. J'ai des choses de prévues pour ton cul. » Terri se figea avec effroi. « Je ne t'ai pas dit d'arrêter. » La jeune femme recommença à se doigter.
« J'ai quelque chose de précis pour ton cul, » répéta Danielle sortant le gode que Terri lui avait envoyé. Remarquant la pâleur de Terri, elle ajouta. « Tu vas être autorisé à te préparer. C'est le but des jouets que tu as achetés aujourd'hui. Tu démarreras par les plus petits, tu seras autorisé à te roder graduellement le cul jusqu'à celui-ci. Tant que tu te comportes bien... »
« Tu peux faire tout ce que tu penses être nécessaire pour garder ton cul de pucelle, et le préserver pour moi. Cependant, » s'interrogea-t-elle à haute voix, « si quelqu'un se mettait à fracturer ton cul de force, que pourrais-tu y faire? Eh bien, dans ce cas, tu serais sévèrement punie. » Elle développa : « pour la punition... Je n'ai jamais trop aimé les fouets, la torture ou ce genre de chose. Personnellement je préfère t'obliger à te comporter comme une traînée en public. Je pense que l'humiliation est un excellent professeur. Mais bien que je n'apprécie pas les fouets et la torture, je ne peux pas vraiment parler pour tous les hommes et les femmes qui seront autorisés à t'utiliser. » Danielle laissa l'implication de cette phrase pénétrer l'esprit horrifié de Terri.
« Règle 3. Celle que l'on va appeler la "règle des protéines". Tu dois donner deux pipes par jour. Je me moque de savoir à qui, tant que c'est quelqu'un qui travaille dans la société. »
« Règle 4. Nous sommes au 33ème étage de cet immeuble, et beaucoup de bonnes gens comptent sur les ascenseurs pour se rendre à leur bureau. Nous ne voulons pas que tu te mettes en travers de leur chemin, donc tu n'utiliseras pas d'ascenseur. De toute façon, nous savons toutes deux que les putes comme toi n'aiment pas les ascenseurs, non? Il y a un escalier au bout de chaque couloir, il t'amènera jusqu'au hall d'entrée et à la salle d'expédition du courrier. »
« Si l'on te prend à utiliser un ascenseur, je m'assurerais que tu y sois jetée pour que tu t'y fasses violer en tournante. Mais bien sûr, cogita-t-elle, étant donnée la règle 2, on ne pourra pas vraiment appeler ça un viol, n'est-ce pas? »
« Je suis sûr que tu te poses des questions sur la teinture. Non, ne t'inquiète pas tu vas rester blonde. Mais tu vas teindre tes poils plus bas -- Danielle montra le pubis blond de Terri -- comme ça... tous ceux qui te baiseront vont penser que tu es une fausse blonde! » La nouvelle patronne semblait fort amusée d'avoir conçu ce moyen de la rendre ridicule.
Elles furent interrompues par Jeanie, la même dame qui était déjà entrée la veille lorsque Terri léchait son jus du bureau de Danielle. De nouveau, la femme sembla indifférente à la nudité de Terri ou à l'activité qu'elle pratiquait.
« Du courrier à envoyer? demanda Jeanie.
— Juste ça, répondit Danielle, lui tendant un petit paquet. T'ai-je présentée à ma nouvelle secrétaire? Jeanie, voici Terri. Je suis sûre qu'elle aimerait te serrer la main, mais... » sa voix s'égara. La main de Terri était couverte de sa sauce, et trois de ses doigts étaient fourrés dans son con. Jeanie hocha dédaigneusement la tête et quitta la pièce.
« Tu peux arrêter. Et remets ta robe, ordonna-t-elle à Terry. On va un peu s'amuser... Le paquet que Jeanie va envoyer est une cassette vidéo adressée à ton mari.
— Pourquoi...? s'étrangla Terri, incrédule.
— Comme je t'ai dit. Pour s'amuser. Et pour voir si tu arrives à l'arrêter. Danielle regarda sa montre. Elle est en ce moment en route pour le conduit postal. Quand elle y fera tomber le paquet, il arrivera directement à la salle d'expédition... » Elle regarda Terri dans les yeux : « À moins que tu n'arrives à la convaincre de n'en rien faire... »
Retenant ses larmes, Terri courut après Jeanie. Elle la rattrapa juste au moment où la femme allait laisser tomber le paquet dans le glissoir d'entrée.
« Jeanie... s'il vous plaît... ne l'y mettez pas! J'en ai besoin... s'exclama Terri en essayant de se saisir du paquet.
— Nan! Danielle m'a dit de l'envoyer. » Jeanie tenait le paquet hors de portée de la jeune femme désespérée.
— Vous ne comprenez pas... ce paquet... il causerait ma ruine... S'il vous plaît...
— Ah oui. J'ai entendu parler de toi. Tu as joué dans un film porno sans que ton mari soit au courant, ou quelque chose comme ça?
— Non, sanglota Terri, ce n'est pas comme ça que... vous voyez...
— Tout ce que je vois c'est que tu es dépourvu de sens moral. Coucher avec d'autres que son mari, s'habiller comme ça... elle désigna la tenue vulgaire de Terri. De toute façon, la patronne m'a dit de poster ça, et c'est ce que je vais faire. Jeanie se tourna vers le glissoir du courrier.
— S'il vous plaît! supplia Terri. Je ferais tout ce que vous voulez...
Jeanie s'arrêta. « Tout? Comme quoi? Qu'est-ce que tu ferais?
— Je vous... je vous lécherais... je vous brouterais... »
Jeanie leva les yeux au ciel, dégoûtée. « Merci, mais je ne suis pas une gouine comme toi. » Regardant le paquet entre ses mains, elle ajouta. « Il y a bien une chose...
— Tout... Vous n'avez qu'à le dire... N'importe quoi... pleurait Terri
— Danielle m'a dit que ton mari était un sacré bon coup. Je veux le baiser aussi. »
Combien de personnes connaissaient les épreuves que Danielle lui faisait subir? Terri secoua la tête avec horreur. « Non... Je ne peux pas...
— Oui, je m'en doutais. Enfin, c'était juste une idée. » Jeanie se tourna vers la boîte aux lettres. « Eh bien, le divorce ne devrait prendre que six mois. Je l'appellerais alors...
— D'accord... D'accord... je vais... vous pourrez le baiser... Terri s'étouffa sur ces mots.
— Super! Je serais là ce soir, pour minuit! » Jeanie tendit le paquet à la malheureuse secrétaire.
L'esprit de Terri fonctionna à plein régime. Elle rapporterait des bières à la maison pour son mari, et à minuit il serait trop saoul pour remarquer que...
Elle fut interrompue par Danielle. « Je vois que vous vous entendez bien toutes les deux... c'est sensas! » la patronne prit le colis des mains de Jeanie.
« Jeanie, je vous avais dit de poster ça, » la gronda-t-elle pour de faux. « Eh bien, il faut croire que quand l'on veut que quelque chose soit bien fait, il faut le faire soi-même. » Danielle laissa tomber le paquet dans le conduit. Terri en eut le souffle coupé et se mit à nouveau à sangloter.
« À ce soir minuit, Terri! » pépia Jeanie se sauvant jusqu'à son bureau.
— Pourquoi... implora Terri
— Juste pour te voir courir 33 étages jusqu'au service du courrier et essayer de le récupérer... » se moqua Danielle.
Terri n'avait pas d'autre choix. Elle descendit en courant les escaliers, trois marches à la fois, et déboula dans la salle d'expédition hors d'haleine... pour trouver la pièce vide. Elle se mit vite à fouiller la corbeille qui recevait le courrier du conduit postal. Pas de paquet. Elle entendit du bruit venir d'un des bureaux contigus, Terri alla y jeter un œil. Elle fut estomaquée par ce qu'elle y vit.
Trois des employés au service courrier étaient dans le bureau, regardant attentivement une télé placée sur un chariot. Sur l'écran il y avait Terri, en train de fournir des faveurs à cinq hommes! Avec un peu de déduction, il était évident qu'un des employés avait eu sa curiosité éveillée par ce paquet et l'avait ouvert. Sans aucun doute furent-ils stupéfiés de découvrir qu'il s'agissait d'une jeune et belle femme baisant et suçant cinq hommes! Les trois chargés du courrier avaient sorti leur queue et se branlaient devant le spectacle.
La jeune femme réalisa qu'il n'y avait qu'une seule façon de récupérer la cassette. Elle entra dans la pièce, pleine d'audace, et éteignit la télé. Les hommes s'arrêtèrent à mi-course dans leur branlette, essayant de se cacher le zgeg. Ils pensaient qu'un responsable venait de les attraper en train de s'astiquer sur du porno.
C'est alors que l'un d'eux reconnut Terri. « Hey... C'est la gonzesse du film!
— C'est exact, roucoula Terri. Écouter, pourquoi des tombeurs comme vous se branlent-ils devant un bête film, alors que vous pourriez vous taper la vraie gonzesse? » Ses mains tremblaient alors qu'elle faisait glisser sa robe.
Les hommes sifflèrent à la vue de son corps canon.
« Mais C'EST la fille du film! confirma un autre gars avec émerveillement. Terri se mit à rougir.
— Faisons un marché, dit doucement la jeune femme. J'ai besoin de récupérer cette cassette. Et vous avez besoin qu'on s'occupe de vos super queues. Ça vous tente?
— Je sais pas... dit Ramon, le premier gars. Ça doit être important si tu y tiens tant que ça...
— Je vais rajouter quelque chose dans la balance, lui souffla Terri à l'oreille, tout en récupérant l'emballage qui avait enveloppé la cassette. Je promets de ne dire à personne que vous ouvrez illégalement le courrier... » Terri lui fit un clin d'œil, puis se mit à genoux en face de sa chaise. Ramon retint son souffle alors que Terri le prenait en bouche.
Levant momentanément la tête, la jeune femme se tourna vers les deux autres hommes. « Mettez-vous à poil. Je vous veux tout de suite après, » ronronna-t-elle, avant de se remettre à sucer Ramon.
Alors que Vincent, l'un des autres hommes, lui tringlait sa chatte trempée de mouille par-derrière, Terri se dit que ce n'était pas si mal. Ça valait infiniment mieux que de brouter le gazon de la gouine du dessus. Et peut-être qu'en se gargarisant d'un jet de foutre ou deux, ou peut-être même trois... elle pourrait finalement ôter de sa bouche l'arrière-goût du con de Danielle.
Terri avait la chatte encore douloureuse par les baises de ces deux derniers jours, mais elle commençait à se faire à son rôle de salope. Elle tenta de se convaincre que ce n'était que de la comédie, pour récupérer la cassette. Mais les sensations qu'éprouvait son corps la trahissaient. Sa chatte était presque en feu, et elle s'enfilait la bite de Vincent avec beaucoup d'ardeur.
Les hommes s'occupèrent de la bouche et de la chatte de Terry à tour de rôle. Elle serra aussi ses deux gros seins l'un contre l'autre pour que les employés puissent la fourrer entre ses nichons, à l'exception de Vincent qui n'aimait pas ça.
Après que Terri ait joui pour la cinquième fois, elle décida qu'elle en avait eu assez. S'étendant sur le sol, elle demanda aux hommes, « Je veux que vous vous branliez sur moi. Vous savez, comme dans le film? »
Ils se mirent à genoux autour d'elle, la jeune femme se demanda comment elle avait pu tomber si bas. Elle avait vraiment apprécié la dernière demi-heure passée avec ces trois hommes qu'elle ne connaissait pas! Sans doute parce qu'elle parvenait à avoir quelques degrés de contrôle sur ce qui lui arrivait, comparée à tout le libre arbitre que Danielle lui avait enlevé ces deux derniers jours.
Elle ne réfléchit pas plus longtemps aux mystères de l'univers, car Ramon commença à gicler son foutre sur tout son visage. Attrapant sa queue, elle s'assura qu'au moins un peu finisse dans sa bouche. Les deux autres suivirent rapidement l'exemple, arrosant ses seins fermes de leur semence. La jeune femme se mit à récolter le sperme crémeux de son visage et s'en suça les doigts. « Mmmmmm, j'adore le foutre.... » gémit-elle. Terri embrassa alors chacun des chibres, se releva et remit sa robe. Elle récupéra la cassette et se dépêcha de sortir avant que les hommes ne se remettent à bander.
Elle faillit percuter Danielle, qui souriait à l'entrée de la pièce, une caméra vidéo à la main.
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Le reste de la « journée de travail » fut relativement calme. De retour dans son bureau, Danielle finit d'instruire Terri sur ce qu'elle attendait d'elle, puis, après avoir laissé la jeune femme aller sous le bureau pour lui lécher la chatte une dernière fois, elle donna son congé à sa nouvelle employée pour le week-end.
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