Chapitre 13 : Mademoiselle Orane contraint sa chienne à sucer et à se faire enculer
Pendant plusieurs secondes, Laure resta immobile, bouche bée, incapable de détacher ses yeux de l’énorme bite de Richard.
C’est une claque sonore qu’Orane lui envoya sur les fesses qui la fit sursauter et revenir à la réalité.
— Co... Comme je vous le disais dans le film, je…j’adore sucer des bites.
Laure se pencha et approcha son visage de ce sexe qui semblait encore prendre de l’ampleur. A nouveau l’odeur forte et désagréable qui se dégageait du corps de
Richard, lui emplit les narines et la fit frémir. De dégout bien sûr, mais elle savait au fond d’elle même que ce frémissement était aussi annonciateur d’un plaisir auquel elle se savait
incapable de résister. Elle pencha encore, ouvrit lentement ses lèvres, sortit sa langue, et commença doucement à lécher le gland de Richard. Vautré dans le canapé, celui-ci ne tarda pas à
commencer à gémir.
Doucement mais surement, Laure perdait toute retenue. Le gland turgescent disparut entièrement dans la bouche de la suceuse.
— Alors Richard ? lui dit Orane Tu vois, elle fait ça bien non ?
Béat et incapable du moindre propos cohérant celui-ci se contenta de répondre par un une sorte de grognement qui fit beaucoup rire la jeune asiatique et accrut
encore le sentiment de honte de Laure.
— Comme notre salope à la bouche pleine, je vais prendre le relais pour les commentaires annonça Orane, et toi tu continues de le sucer comme tu sais si bien le
faire, d’accord ma salope ?
La tête de Laure faisait maintenant un va et vient vertical de plus en plus ample sur la tige de Richard. Orane se saisit d’un pot qu’elle avait préalablement
préparé sur la table basse du salon.
— Comme cette chienne en chaleur vous l’a dit, il est important de bien se graisser la raie ! Et vu la taille de la bite de notre invité d’honneur je vais mettre la
dose !!! Orane éclata de rire en commençant à étaler le lubrifiant sur l’anus de sa soumise. Elle s’y appliqua avec soin et plus que de raison, ne résistant pas à la tentation de forcer ce
passage secret d’un doigt inquisiteur. Bientôt un deuxième, puis un troisième doigt s’agitaient dans le cul de Laure !
— Je vais faire preuve de mansuétude à l’égard de notre salope ! Je vais l’assouplir un peu avant qu’elle ne se fasse enculer ! Regarde ma chérie !
Sans laisser échapper la grosse bite de Richard qu’elle avait tant de mal à garder en bouche, Laure tourna légèrement la tête et vit sa maitresse, hilare, agiter le
gode devant elle. Elle avait pourtant déjà cru avoir atteint les limites de la honte qu’elle avait d’elle-même, mais une fois encore elle ressentit cette sensation de chaleur qui lui fit penser
qu’elle se trompait. Sa maitresse allait lui enfoncer ce gode dans le cul pour l’humilier un peu plus et elle allait aimer ça…
Orane se tenait juste derrière, et sans même que celle-ci ne lui ordonne quoi que ce soit Laure écartait déjà les genoux pour se cambrer un peu plus, pour
s’offrir…
— Humm, que tu vas être belle comme ça ma chienne un gode dans le cul et une bite dans la bouche !!!!
Et en disant cela Orane, tapota les jolies fesses offertes, posa le gode sur le petit trou de sa soumise et commença à pousser lentement mais sans s’arrêter jusqu’à
ce que le gode soit enfoncé jusqu’à sa base ! Même la grosse bite de Richard ne put étouffer le râle que poussa Laure en sentant le gode glisser en elle !!!
Face à ce spectacle, Richard commençait à montrer de sérieux signes d’agitation. Il caressait les cheveux de Laure, en grognant, en gémissant et en râlant de plus
belle. Sa bite qui avait désormais atteint sa taille optimale luisait de la salive que sa suceuse déposait dessus à chaque passage. De son côté, Orane, non plus, ne restait pas indifférente à ce
qui se passait devant. Assise maintenant à l’autre bout du canapé, elle contemplait sa victime et son invité en agitant frénétiquement une main entre ses cuisses ! Laure continuait sa fellation,
honteuse de prendre du plaisir à se laisser humilier ainsi, honteuse de sentir son sexe se tremper encore plus ! Richard se cambrait en criant, s’agrippait à la chevelure de Laure pendant qu’elle
continuait son œuvre. Il aurait bien sur voulu faire durer ce plaisir insensé bien plus longtemps, mais cela devenait de plus en plus difficile pour lui et dans un cri plus puissant que les
autres, il explosa et éjacula dans la bouche de Laure !
Surprise, celle-ci reçut les deux premiers jets chauds et puissants au fond de sa gorge, et voulant échapper à une telle horreur se recula, ce qui fit que les jets
suivants lui maculèrent le visage et la poitrine !
Orane fut bien sur la première à réagir. Ne surtout pas laisse la situation lui échapper, et affermir encore et toujours son emprise !
— OOUuiiii !!!! Oh que tu es belle comme ça ma salope !!! Avale voyons !! Tu ne vas pas cracher le cadeau de Richard ! Avale et lèche bien tout ce que tu peux avec
ta langue !! Dépêches toi d’obéir !!!
Orane avait haussé le ton, et l’effet fut immédiat. A genoux entre les cuisses de Richard Laure avala en ayant du mal à masquer son dégout puis se lécha les
lèvres.
— Oh regarde ma chérie il en reste une goutte sur la bite de Richard ! Nettoie bien Salope je suis sure que tu aimes ça ! Bien sûr, Laure obéit, se pencha à nouveau
et de sa langue nettoya le gland de Richard. L’humiliation était à son comble et pourtant elle savait que ce n’était pas fini et qu’Orane ne se priverait pour rien au monde de la suite de la
séance.
— Voilà qui est mieux ! Regardes Laure ! Malgré tout ce qu’il vient de t’envoyer sur la figure, il est encore tout raide notre ami Richard !!!! Elle est vraiment
énorme tu ne trouves pas ? Qu’est-ce que tu vas être bien avec ça dans le cul ma chériiiiie !!! Allez ne le fais pas attendre ! En position !!! Et demandes lui toi-même de profiter de la suite de
sa surprise !
Décidément Orane ne lui épargnerait rien. Bien sûr, elle l’implora du regard mais elle savait que c’était vain. Elle se remit lentement à 4 pattes, se retourna pour
présenter son cul à Richard.
— Richard si… tu peux me prendre par-là maintenant si tu en as envie….
— Quoi ? Non mais tu te moques de nous là Laure !!! Veux-tu te dépêcher de demander ça à Richard beaucoup mieux que ça !!! Fais ça comme la chienne en chaleur que
tu es ma chérie !!!
Le souffle court, rouge de honte et de plaisir mélangés Laure sembla hésiter, puis rassemblant le peu de courage qui lui restait tourna la tête vers leur
invité.
— Richard encules moi stp !!
— C’est déjà un peu moins ridicule, ma chérie, mais je suis sure que tu peux faire encore mieux ! Beaucoup mieux même ma salope !! Allez ! Fais encore un effort
!
Laure savait déjà qu’Orane pousserait son avilissement toujours plus loin, perdant les derniers lambeaux d’amour propre qui lui restait, la pauvre se lâcha:
— Viens m’enfiler ta grosse bite dans le cul Richard !!! Bourres moi comme une grosse saloooope !!!
— Ouiiiii tu vois que tu y arrives très bien !!!, se réjouit sa maitresse
— Je veux sentir ta pine dans mon cul Richard ! Bien au fond ! Dépêches toi !!! Qu’est-ce que tu attends ? Viens me prendre dans le cul comme une chienne
!!!!!
Orane exultait et sans doute Laure eut elle continué à proférer de telles insanités si elle n’avait pas senti en même temps les mains de Richard se poser sur ses
fesses et l’extrémité si dure de sa bite venir se poser sur son œillet. N’importe qui d’autre à sa place aurait profité de l’instant, aurait regardé, admiré les magnifiques fesses offertes devant
lui. N’importe qui aurait pris soin de caresser cette peau soyeuse et si douce. Richard, lui, s’arque-bouta et sans se préoccuper le moins du monde de Laure commença à pousser. Laure resta un
instant muette, la bouche bée, les yeux exorbités, puis aux insanités succéda un cri qui ne devait rien au plaisir. Malgré le lubrifiant, malgré le passage préalable du gode qui l’avait un peu
assouplie, l’énorme bite de Richard martyrisait la jeune soumise. Chaque centimètre gagné par son bourreau la faisait hurler de douleur ! La pièce raisonnait tellement de ses cris de douleur, que
l’espace d’un instant, mais d’un instant seulement, Orane eut la tentation d’intervenir et de faire cesser ce supplice. Bien sûr elle n’en fit rien ! Le spectacle de la déchéance de sa camarade
de classe allait bien au-delà de ses espérances ! Jamais Laure n’aurait pu imaginer ressentir pareille douleur ni pareille sensation de brulure !
Plus pour reprendre son souffle que par compassion pour la fille qu’il était en train de sodomiser, Richard cessa quelques instants de pousser. Orane profita de ce
petit temps de répit pour intervenir.
— Ma pauvre chérie, tu souffres hein ? Attends je vais t’aider un peu ! Et en riant elle s’appliqua à enduire la partie encore visible de la bite de Richard avec le
reste de lubrifiant.
— Tu vas voir ma cochonne ça va aller beaucoup mieux maintenant ! Puis elle éclata de rire autant parce que la situation lui plaisait que pour masquer l’émoi
ressenti en enduisant de lubrifiant la hampe raide et chaude qui sortait du cul de sa soumise…
Richard considéra ça comme un signe lui indiquant qu’il pouvait recommencer. Il s’arque-bouta et d’un violent coup de reins s’enfonça dans le cul Laure jusqu’à la
garde ! Celle-ci fut projetée en avant si violement qu’une des pinces accrochées à ses tétons se détacha ! Ses bras n’étaient plus capables de la soutenir, elle tomba les épaules en avant, la
joue sur le parquet en laissant échapper un râle venu du plus profond de ses entrailles. Cette résignation soudaine ne calma en rien les ardeurs de Richard. Il redoubla au contraire d’efforts, et
laboura sans aucune pitié les riens de Laure. Les bras en croix, les épaules au sol, Laure subissait les assauts du soudard en laissant échapper un râle rauque à chaque coup de reins. Orane avait
repris sa position dans le canapé, et à nouveau ses mains s’agitaient frénétiquement entre ses cuisses pendant que ses yeux ne quittaient pas ceux de sa camarade de classe. Les grognements de
Richard couvraient presque les cris de Laure. Il se déchainait. Cet accouplement ignoble dura encore de nombreuses minutes mais déjà le rythme s’accélérait et Orane sut que ce spectacle délicieux
qu’elle avait initié allait bientôt prendre fin. Elle en fut, bien sûr un peu déçu tant elle aurait aimé continuer à regarder son ancienne rivale se faire sodomiser ! Les grognements du gros
Richard s’amplifiaient, ses allées et venues se firent plus désordonnées et dans un dernier mouvement il se déversa une nouvelle fois en de longs jets chauds et puissants. Il resta figé quelques
secondes puis finit par sortir du cul de sa victime en la repoussant sans aucun égard. Celle-ci s’affala sur le sol, brisée, épuisée, l’anus encore béant. Même Orane resta quelque peu assommée
après cette apothéose. Ce fut pourtant elle qui réagit la première. Elle se leva, tapota la tête de Laure comme elle l’aurait fait à un animal que l’on veut féliciter.
— Tu as été parfaite ma chérie, allez maintenant tu le nettoies, et puis tu pourras le raccompagner à la porte…
Il fallut plusieurs secondes à la pauvre Laure pour réaliser ce qui lui imposait à nouveau sa maitresse. Elle se redressa à grand peine, à 4 pattes et se retourna
vers sa maitresse pour se convaincre qu’elle avait mal compris. Mais le regard d’Orane suffit à la persuader qu’il n’y avait aucune échappatoire possible… Elle finit donc son demi-tour pour se
retrouver face à cette grosse bite maintenant molle, encore luisante de foutre mais qui, surtout, venait de sortir de son cul.
— Dépêches toi voyons !! Tu ne vas pas le laisser comme ça voyons !! Et puis il risquerait de tacher le cuir du canapé !!
Incapable du moindre mouvement de révolte Laura avança son visage, ouvrit grand sa bouche et gobât cette bite, par miracle exemptes de traces suspectes, mais à
l’odeur forte et fétide et au goût répugnant. Elle eut un haut-le-cœur, mais ne céda pas au dégout et la lécha jusqu’à la rendre propre. Elle était encore avec la bite de Richard en bouche quand
Orane déclara :
— Je pense que tu peux arrêter Laure, Richard va pouvoir rentré chez lui heureux et soulagé, tu as été très bien ma salope.
Tout doucement Richard commençait à émerger. Le sourire béat, il semblait émerger d’un rêve.
— Il va s’en dire Richard que si tu t’amuses à parler de ça à qui que ce soit, d’abord nous nieront, Laure et moi, et ensuite je te promets que je trouverai un
moyen pour te pourrir la vie même dans ton nouveau lycée… Tu m’as bien comprise Richard ?
— Non non je te l’ai promis Orane. De toute façon, mon père a été muté. On déménage à l’autre bout du pays à la fin du mois.
— Très bien !! S’exclama Orane. Comme cela tout le monde est content !!
Elle se saisit de la poignée de la laisse et la lui tendit.
— Tiens ! Si tu veux-tu la tenir en laisse jusqu’au portail.
La réponse tomba presque plus humiliante que le reste de la séance. Avec une moue de dédain Richard regarda Laure.
— Non. C’était bon de l’enculer cette salope après ce qu’elle m’a fait. Maintenant je m’en fous ! Merci Orane, si un jour tu as besoin de quelque chose je ne
l’oublierai pas.
Sur ce, et sans un regard pour Laure toujours à genoux entre eux deux, il tourna les talons et quitta les lieux. Quand le bruit de portail qui se referme retentit,
Orane tira sur la laisse.
— Viens, suis-moi ! dit-elle en entrainant Laure derrière elle dans l’entrée, devant le grand miroir. Regardes toi ! Si tu savais comme j’aime ce que je vois ma
chérie ! Comme ça tu te vois vraiment comme tu es !
En découvrant son reflet, Laure eut un sursaut. Elle était en nage, ébouriffée, les larmes avaient, bien sûr, fait couler son maquillage, de longues trainées de
foutre séché lui balafraient les joues, le front et les seins. Orane laissa tomber la laisse, s’approcha de sa soumise et lui déposa un bisou dans le cou.
— Je vais te laisser ma chérie, tu as du travail pour tout ranger avant le retour de tes parents !
Elle retourna au salon prendre son sac et sa veste et en passant à nouveau à coté de Laure, prit la laisse et l’entraina derrière elle dans l’allée du parc. C’est à
ce moment-là que Laure réalisa à quel point son cul la brulait, et qu’elle avait du mal à marcher. Le pire fût quand elle sentit son anus commencer à se vider lentement le long de ses
cuisses…
— Tu vois ma chérie je t’avais dit que ce serait une journée inoubliable pour toi. Tu as été parfaite, une vraie bonne petite pute bien soumise. Va te laver
maintenant ma chérie, tu pues le foutre ! A demain au lycée.
Elle sortit, referma le portail en laissant Laure seule.