Vendredi 21 août 5 21 /08 /Août 09:39

Si une soumise gagne beaucoup à s'entrainer en laisse, elle peut l'être aussi à la corde. Plus rustique, mais tout aussi stimulant pour ses maître et elle-même!

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Vendredi 21 août 5 21 /08 /Août 09:31

Fidèles lectrices et lecteurs, les vacances étant terminées, l'activité de votre blog préféré va reprendre!

 

Bonne lecture!

Gwendoline 6

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Vie du blog - Communauté : Soumissions féminines
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Mercredi 5 août 3 05 /08 /Août 09:21

Suite à un message d'une lectrice se plaignant d'une overdose de publicité sur le blog, je tiens à préciser que je ne gagne pas un sou sur ce blog! Ce blog est un passe-temps, pas un gagne pain! D'ou le rythme assez distendu des publications.
Justement parce qu'il a du succès Overblog se "sucre" abusivement sur les pages de pubs! Totalement à son bénéfice!
Dès le départ je suis parti du principe de ne pas  monétiser le blog.! Et heureusement, vu ce qu'il y a déjà!
J'ai déjà pensé changé d'hébergeur, mais cela demanderai un gros travail de recopiage en partie manuel, et vu le nombre d'articles atteint, que je n'ai pas le temps de faire.
J'espère donc que vous dépasserez tous et toutes cet inconvénient pour le plaisir de lire les récits de soumissions/dominations postés sous forme de rubriques/séries facilement accessibles.
Quelque soient vos gouts en matière de domination ou soumission, je vous rappelle que je preneur de nouveaux récits originaux pour publication et faire vivre ce blog, surtout de lectrices en vue d'enrichir ce blog d'un regard féminin!
Si vous n'avez pas le temps d'écrire, prenez quelques minutes pour me faire part de vos gouts, de ce que vous aimez sur le blog, de ce que vous n'aimez pas (possibilité d'envoyer un mail avec la boite de dialogue dédiée en bas de page du blog). Je suis toujours intéressé d'échanger avec les lecteurs et lectrices afin d'améliorer le contenu.
Bonne lecture!
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Jeudi 30 juillet 4 30 /07 /Juil 21:24

Chap. 1c: Première punition : Mélanie se rebiffe

 

Clic.

 

Le bruit du déclencheur photographique du téléphone d'Alysson fût comme l'électrochoc qui ramena la belle-mère et la belle-fille à la réalité. Cette dernière, pas trop sûre de savoir ce qui venait de se passer, avait en revanche parfaitement compris ce que signifiait ce bruit si caractéristique, on venait de la prendre en photo…! Ce geste à priori banal dans n'importe quel autre contexte, força la jeune fille à observer toute l'horreur de sa situation d'un œil nouveau, et comme si elle venait de prendre subitement conscience de l'humiliation qui lui avait été infligé, son esprit revêche se réveilla instinctivement. Et se fut alors comme si ses belles résolutions d'affronter la situation avec maturité s'était envolées.

 

Mélanie (se relevant d'un bon, crachant): Qu'est-ce que tu fous putain…!?

 

Comment lui dire…? Comment lui dire que ça en avait été trop pour elle, que la charge érotique avait trop forte, et qu'elle avait voulu immortaliser cet événement dans l'idée de se faire du bien lorsqu'elle serait seule dans sa chambre, en revivant la scène à l'abri des regards et devant les images…? Alysson ne pouvait se résoudre à lui expliquer ça, ça reviendrait à lui avouer qu'elle s'était peut-être un peu entichée d'elle, en plus de la désirer carrément.

 

Alysson (prise au dépourvu, reculant): Je…. Je voulais juste….

 

Mélanie (se rapprochant, l'alpaguant): Quoi…? Tu voulais quoi…!? Pas toi aussi Alysson…!? Comme si c'était pas assez dégueulasse de se faire claquer le cul par sa belle-mère…! Il faut que t'en rajoute pour m'humilier, c'est ça…!?

 

En réalité, la jolie et forte Mélanie en apparence, venait d'être meurtrie dans son amour propre plus que dans sa chair, et c'était infiniment plus difficile à avaler que les coups eux même. Réagissant avec fougue comme pour masquer sa fragilité, la jeune fille lança son bras d'un geste brusque dans la direction de sa demi-sœur dans le but de lui prendre.

 

Alysson (esquivant, se défendant): Qu'est-ce que tu fais…? Arrêtes, c'est pas contre toi Ninie.

 

La jeune femme de son coté, était toujours assise sur la banquette, retombant doucement de l'euphorie orgasmique, en partie consciente de ce qui se passait mais pas encore capable d'intervenir. Ses jambes étaient molles et elle dut se lever avec précaution avant d'être sûre qu'elles la soutiendrait.

 

Mélanie (se jetant sur Alysson en agrippant ses mains, criant): Rend-moi ça…!

 

Alysson (se débattant): Mais ce n'est pas à toi…!

 

Les deux jeunes filles se débattaient comme des chiffonnières, leur mains à toutes les deux refermées autours de l'objet. Pendant un instant, Sarah apprécia la vue du joli petit cul de la jeune brune qui se trémoussait de dos. Mais il était temps qu'elle reprenne les choses en mains.

 

Sarah (hélant): Ca suffit comme ça les filles.

 

Il n'y eu aucune réaction et les choses n'avaient pas l'air de vouloir se calmer entre les deux effrontées.

 

Sarah (répétant d'un ton ferme, haussant la voix): Les filles, ça suffit…!

 

La jolie britannique aux cuisses moites dut finalement s'approcher pour mettre un terme à la bataille, saisissant la longue chevelure de la brune d'une main et agrippant à son tour le téléphone de la blonde de l'autre, lui arrachant ce dernier des mains tandis qu'elle les séparait.

 

Sarah (hurlant): En voilà assez…!!!

 

La jeune blonde s'immobilisa sur place, impressionnée, ce que n'était nullement la jeune brune, qui redoubla de férocité lorsqu'elle se senti écartée ainsi de sa cible.

 

Mélanie (agrippant le poignet de Sarah d'une main): Lâche-moi…!

 

Sarah (se retournant vers elle, maintenant sa prise): Tu te calme maintenant…!

 

Mélanie (s'insurgeant, enfonçant ses deux pouces dans le creux du coude de Sarah, pressant rageusement): J'ai dit lâche-moi putain…!!

 

La vive douleur ressenti fît instantanément lâcher prise à Sarah, qui de rage envoya de son autre main une magistrale gifle à la jeune fille après avoir lâché le smartphone. Les deux parties avaient obtenues ce qu'elle désirait, la première était libre, la seconde l'avait calmé. Choquée, Alysson tenta une légère incursion en voyant le déchainement de violence de sa mère contre la jeune fille, qui porta ses deux mains sur sa joue, des larmes dans les yeux.

 

Alysson (invitant prudemment): Maman, calme-toi.

 

Sarah (se massant le bras): La ferme, je ne veux plus rien entendre. Même pas une mouche voler, c'est clair…!?

 

Mélanie (la fixant d'un regard noir, crachant): Salope.

 

Sarah (haussant les sourcils, questionnant): Salope…?

 

Sans attendre, la beauté britannique se planta devant la jeune française, ses prunelles fixées dans les siennes, impérieuse de force et de tempérament. Calmement, elle s'adressa à la jeune fille, mais d'un ton qui ne laissait pas place au doute quant à la menace qui planait dans sa voix.

 

Sarah (faisant monter crescendo le volume de sa voix): Si tu penses que ce que tu viens de subir est la pire des choses que je pourrais t'infliger, comprends-bien qu'il n'en est rien. Et pour m'assurer que tu intègres bien cette réalité, je vais t'en donner un petit aperçu. Et je te jure par tous les dieux que si tu oses montrer le moindre signe de protestation il va t'en cuir cent fois plus….!

 

Pour la première fois la jeune Mélanie fût réellement intimidée par sa belle-mère, elle senti immédiatement au regard pénétrant de celle-ci et à la hargne de ces paroles qu'elle ne plaisantait pas, qu'une frontière avait été franchi. Comprenant qu'elle avait trouvé à qui parler et que pour son propre bien il valait mieux se ternir à carreaux le temps que passe l'orage, la jeune fille se tut et resta muette, sans pour autant baisser les yeux. Car il n'était pas question de paraître faible, ce n'était pas dans son tempérament, et elle n'allait certainement pas faire cette fleur à Sarah. Elle se contenta donc de ronger son frein, le regard accusateur.

 

Sarah (guidant la jeune fille, puis s'adressant à Alysson): Au centre de la pièce maintenant. Quant à toi, si tu fais un pas de plus pour récupérer ce téléphone par terre, tu vas entendre parler de moi…!

 

Les mots avaient claqué comme un coup de fouet, aussi la jeune anglaise stoppa son mouvement et se redressa en reculant d'un pas du téléphone tombé à terre un instant plus tôt. Elle esquissa ensuite un mouvement de demi-tour afin de quitter les lieux mais fut rappelé à l'ordre tout aussi sèchement.

 

Sarah: Pas si vite…! Tu restes ici, ça te serviras d'exemple à toi aussi. Voilà ce qu'il en coûte de me pousser à bout. Et toi petite rebelle, en position…!

 

Connaissant sa mère mieux que personne, Alysson savait que sa colère était aussi inflexible que sa clémence était juste. Elle ne se fit donc pas prier pour s'immobiliser dans la pièce, témoin bien malgré elle de la punition exemplaire à venir.

 

Sarah (se plaçant devant Mélanie, les poings sur les hanches): Toi jeune fille, on peut vraiment dire que tu joues avec ma patience.

 

Et le regard rougi de larmes contenu et de colère de la jolie brune lui répondit qu'elle avait raison. Mais plus aussi confiante après la violente rébellion de sa belle-fille, Sarah dû admettre qu'il s'en était fallu de très peu pour que la situation ne lui échappe totalement, elle réalisa alors combien elle allait devoir garder Mélanie à l'œil en permanence, tant elle le sentait, cette dernière chercherait à profiter de la moindre faille pour l'attaquer à nouveau. Diable que la partie allait être excitante…! C'est donc en gardant sa belle-fille bien en vue que la jeune femme s'enquit d'aller ramasser le smartphone de sa fille.

 

Sarah (se relevant le téléphone en main, hélant): Helen…! Venez ici je vous prie…!

 

Dans la cuisine, non-loin de là et à l'abri des regards, la jeune employée de maison s'était faite toute petite en entendant la forte agitation se déroulant dans la pièce voisine, se gardant bien de vouloir mettre le nez où n'était pas sa place. Aussi la jeune femme, 23 ans à peine fêtés, fût-elle surprise d'être ainsi appelée. Mais bien formée et professionnelle, elle n'hésita pas une seconde et se rendit là où la maitresse de maison la demandait, un léger noeud à l'estomac l'accompagnant.

 

Bien que la brune élancée n'en était plus à ça prêt, elle détourna les yeux de la nouvelle venue avant de les reposer sur sa belle-mère, son regard redoublant de haine de lui faire subir cette humiliation supplémentaire ne la lâchant pas, comme pour lui signifier sa défiance bien en face. La jeune employée de maison, elle, bien que s'immobilisant dans l'attente de savoir ce que l'on attendait d'elle en pareille situation, ne put s'empêcher de regarder sa jeune maitresse, qu'elle fut surprise de découvrir nue, les mains jointes au-dessus de la tête, le visage rougi et buriné par la colère. Là, en la voyant ainsi, cambrée par la position et la poitrine se soulevant au rythme quasi effrénée de sa respiration rapide et profonde, et sans autre arrière-pensée, Helen l'a trouva impérieusement belle. Et comme un électrochoc, elle fut ramenée dans la seconde qui suivi à la réalité.

 

Sarah (s'adressant à Helen, son regard soutenant celui de Mélanie): Bien, vous voilà. Comme vous pouvez le voir j'ai à faire face à une situation difficile suite au comportement agressif de cette jeune fille, mauvais comportement contre lequel je me dois de sévir. Vous comprenez donc bien la punition que subit Mélanie, n'est-ce pas…?

 

Helen (n'ayant pas entendu ce qu'il se jouait, confuse): Eh bien Madame, en fait….

 

Sarah: Ah oui, suis-je sotte. Vous ignorez ce qui vaut à Mélanie d'être punie de la sorte. Eh bien jeune impudente, qu'attends-tu…? Montre dont à Helen ce qui te vaut tout cela…!

 

Partagée entre la colère et la crainte, la jeune et jolie Mélanie ne sut pourtant pas comment accéder à la demande de la femme qui ne l'avait toujours pas quitté des yeux, si tant est qu'elle souhaitait y accéder. Ou peut-être comme une alarme retentit dans sa tête, elle ne le comprenait que trop bien sans vouloir admettre que Sarah puisse lui demander, lui ordonner plutôt, de faire une chose pareille. Elle détendit donc légèrement son regard pour y faire passer une lueur d'interrogation à destination de la jeune femme. Une lueur que Sarah perçue et à laquelle elle répondit d'un sourire narquois en relevant le smartphone d'Alysson dans sa direction, sous les yeux maintenant presque ahuris de la jeune fille.

 

Sarah (prenant un nouveau cliché de la jeune fille): Il faut que je te fasse un dessin en plus de ça…? Tu semblais pourtant très bien savoir ce que tu faisais sous la douche. Alors montre-lui, exécution…!

 

Ce faisant, la jeune femme secoua le smartphone au nez et à la barbe de la belle Mélanie, comme brandissant la menace. Le tout était maintenant de savoir si cette dernière tenterait une ultime bravade. Pourtant le message avait été clair et la jeune et jolie brune l'avait parfaitement reçu, si elle ne pliait pas, sa belle-mère ferait de ces photos compromettantes un usage auquel la jeune fille préféra ne pas songer. Elle était donc au pied du mur, à la fois mortifiée et haineuse de ce qu'elle s'apprêtait à faire, sous l'œil goguenard et triomphant de l'inflexible blonde, dont elle n'aurait finalement peut-être pas dû chercher à provoquer le courroux pensa-t-elle intérieurement.

 

Alors, sous les yeux interdits des deux autres spectatrices mal à l'aise de la situation, et versant des larmes d'amertume jusqu'ici retenues, la jeune fille descendit prudemment sa main le long de son corps pour finalement l'immobiliser à hauteur de son sexe.

 

Sarah (agacée): Il suffit, procède…!

 

Sursautant toutes les trois, la main de la jeune fille entreprit bientôt une lente et maladroite masturbation, simulacre du plaisir qu'elle s'était donné un temps indéfini plus tôt sous la douche. Diable qu'on ne l'y reprendrait plus, se dit intérieurement la douce Mélanie, à qui le goût pour son prof de tennis s'était comme volatilisé.

 

La jeune blonde, témoin contre son gré des affres subit par sa demi-sœur adorée aurait voulu l'aider, la secourir de ce traitement injuste, mais elle savait mieux que personne que c'était peine perdue. Elle voulue donc au moins s'esquiver pour lui éviter le poids de son regards, mais ce fût comme si sa mère lisait dans ses pensées, car elle choisit ce moment pour la recadrer d'un regard menaçant. Tentant de faire preuve de courage pour Mélanie, elle redirigea ses yeux désolés sur cette dernière, pour lui offrir un point d'encrage, telle une invitation à s'évader de cet endroit.

 

Sarah (questionnant pour la forme): Voyez-vous maintenant Helen…? Alors, que dites-vous de ce comportement…?

 

La jeune bonne n'était pas certaine de savoir en quoi consisterait une bonne réponse, pas plus que de savoir pourquoi elle se trouvait ici. Tout ce qui aurait pu écourter la mauvaise posture de sa jeune maitresse lui aurait paru faire l'affaire, mais elle n'était pas certaine que ce soit une bonne chose en définitive.

 

Helen (cherchant ses mots): C'est tout à fait…. déplacé, Madame.

 

Sarah (jubilant de l'humiliation totale de sa belle-fille): Ha...! Tu vois jeune sotte…? La première venue semble avoir plus d'éducation que la bien-née que tu es, quelle honte ma parole…! Mais foi de Frémont, je vais ne vais pas restée les bras croisés. Tu es ma fille désormais, et je n'accepterais pas que l'une de vous deux s'égare sans réagir.

 

Malgré cette interpellation, la belle brune n'accorda aucune attention à sa mère par alliance, elle avait capté le regard compatissant de sa demi-sœur Alysson et s'y était encrée comme à une planche de salue bienveillante. C'est le regard plongé dans celui de l'autre adolescente que Mélanie poursuivait contrainte sa besogne, travaillant son sexe de ses doigts. Malheureusement pour elle et sa fierté, les effets de sa masturbation forcée commencèrent à se faire ressentir, et tandis que sa respiration se faisait de plus en plus lourde et rapide, la jeune française se maudit d'avoir été interrompue plus tôt si prêt de la jouissance. A présent son bouton de plaisir était rendu ultra-sensible par le désir refoulé et la frustration, et le plaisir montait en elle contre son gré. Tout cela ne rendait que plus dure son humiliation publique et par opposition, elle s'obligea à tarir la chute de ses larmes, maintenant le minimum de dignité qu'il lui restait.

 

Observant la scène avec attention, la jolie Sarah s'en montra d'abord ravie, constater que la jeune fille était en train de prendre son pied bien malgré elle était la cerise sur le gâteau de la perversion de ce moment. Le feu au creux de ses reins se raviva à cette vue et tandis qu'elle passait intérieurement en revue tous les plaisirs qui l'attendaient avec cette déesse de femme-enfant qu'elle destinait à assouvir tous les aspects de sa vie sexuelle, quelque chose d'incongru lui sauta soudain aux yeux. Elle fronça alors les sourcils lorsqu'elle suivit le regard de la jolie Mélanie pour s'apercevoir qu'elle fixait Alysson intensément, et que celle-ci ne l'a lâchait pas du regard en retour. Pire, elle ne savait pas ce que c'était, mais Sarah descella quelque chose qui transpirait dans le regard qu'elles échangeaient, quelque chose qui dans les yeux de la charmante petite frenchie avait remplacé la colère et la rancoeur. Comme soudain piquée par un inattendu sentiment de jalousie qu'on lui vole son moment, la jeune femme ne put s'empêcher d'interrompre la punition.

 

Sarah (perplexe, balayant l'air d'une main): Bien, ça suffit comme ça. Helen, retournez à vos tâches en cuisine, je n'aimerais pas déjeuner trop tard. Quant à toi….

 

La main de la jolie Mélanie s'était tétanisée instantanément sur son sexe. Son regard se détacha de celui de la jeune blonde, brisant la complicité qui s'était installée à travers ce moment intime partagé malgré elles. Fixant ses yeux sur sa belle-mère d'un air dur mêlé d'hésitation, elle resta immobile l'espace d'un instant, avant de baisser la tête et de se ruer à l'étage en empruntant l'escalier pour s'enfermer dans sa chambre. La mère et la fille se retrouvèrent alors seules dans le petit salon.

 

Sarah (soufflant, relâchant la tension qui tenaillant encore son corps): Eh bien, ce fût…. intense.

 

Alysson (questionnant, mécontente): Qu'est-ce qui t'a pris…?

 

Sarah (surprise): Je te demande pardon…?

 

La jeune anglaise désigna de son bras tendu l'endroit où se tenait jusqu'à lors sa demi-sœur.

 

Alysson (accusatrice): Ca. C'était quoi…?

 

Sarah: Pas ici veux-tu.

 

La jeune femme fit volte-face pour se diriger dans son bureau, sa fille lui emboîtant le pas. Se doutant que cette dernière ne lâcherait pas l'affaire, la mère referma la porte de la pièce et s'assit derrière son meuble de travail.

 

Alysson (se plantant devant le bureau, tapant du pied): Alors…?

 

Sarah (évitant son regard, dédaigneuse): Alors quoi…?

 

Alysson: Pas de ce ton condescendant avec moi. Tu sais très bien ce que je veux dire. Qu'est-ce qui t'as pris de déraper comme ça…?

 

Sarah (minimisant): Une simple brimade….

 

Alysson (véhémente): Non, c'était une agression, purement et simplement…!

 

Sarah: Si tu le sais, pourquoi demander…? Et pourquoi n'as-tu rien fais…?

 

La jolie et jeune blonde resta silencieuse, toutes les deux connaissant la réponse à cette question. La jeune anglaise n'avait pas voulu prendre le risque de s'opposer à sa mère, au risque de détériorer une relation déjà suffisamment tendue entre elles depuis que Sarah l'avait arraché à sa Grande-Bretagne natale et à sa vie là-bas. Cela avait fini par se tasser un peu au fil des semaines, et des mois, depuis qu'elle vivait ici avec la jeune française, qui était devenue son amie proche, plus qu'avec son beau-père qui était le plus souvent absent. Mais aujourd'hui, elle aurait risqué la scission, et au fond, même si ce n'est pas ce qu'elle recherchait, elle n'était plus si sûre de ne pas le vouloir, tout en en ignorant elle-même la raison.

 

Sarah (affichant un sourire confiant): Tu vois, tu as su ce qui était le mieux pour toi. Tu l'as toujours su, continue comme ça.

 

Alysson (amère): Tout de même, tu as été trop loin.

 

Sarah (laissant trainer sa phrase): Tu étais pourtant d'accord….

 

Alysson: Pour que tu l'inities aux plaisirs lesbiens. Pas pour ça…! J'ai beaucoup pris sur moi pour supporter ta petite lubie. Mais je te jure que si tu recommences un truc du genre, je ne resterais pas sans rien faire.

 

Sa fille avait serré les dents en disant ces derniers mots, Sarah sut donc qu'elle était sérieuse quant au fait qu'elle n'appréciait pas la façon dont elle avait réagi, un peu sous le coup de la colère s'accorda-t-elle à se dire intérieurement. Mais sa fille chérie avait déjà été témoin de pire que cela venant d'elle, et Alysson savait que sa mère était une dominante patentée en plus d'une dominatrice sexuelle. Pourtant jamais jusqu'ici la jeune fille n'avait émis d'opposition à ses agissements, pas même quand elle lui avait finalement avoué la raison véritable de son remariage avec ce riche entrepreneur français, à savoir faire de sa fille son jouet sexuel dévoué corps et bien. A moins que…. Elle avait bien senti que sa fille s'était un peu trop vite radoucie d'avoir été ainsi déraciné. Et il y avait aussi cette chose qu'elle avait vu dans son regard pour Mélanie un instant plus tôt.

 

Sarah (dubitative): Pourquoi ça te tiens tant à cœur tout à coup…?

 

La jeune fille l'interrogea du regard, piquée au vif.

 

Sarah: C'est bien toi qui m'a rencardé sur les petites habitudes cochonnes de Mélanie, sur lesquelles tu avais vu juste d'ailleurs. Et maintenant tu es prête à te braquer parce que je me suis montrée un peu trop rudement entreprenante…?

 

Alysson (éludant): Ecoute, je te demande simplement d'y aller plus doucement avec elle à l'avenir. Ou alors ne compte plus sur moi pour marcher dans ta combine.

 

Sarah (concluant, conciliante): Soit, j'essaierais dorénavant de me montrer un peu plus…. flexible. Satisfaite…?

 

Pour toute réponse la jolie et jeune anglaise tendit la main en direction de sa mère, paume ouverte vers le haut.

 

Sarah: Quoi encore…?

 

Alysson (réclamant d'un geste de la main): Mon portable.

 

Sarah: Ah, ça. Confisqué jusqu'à nouvel ordre.

 

La jeune fille se contenta de souffler et sortit du bureau sans demander son reste. La mère avait vu juste semblait-il, comme elle le pensait, sa fille s'était amourachée de cette perle nacrée qu'elle avait pour demi-sœur, et comment le lui reprocher…? Elle-même avait succombé à l'attraction inextricable et au charme inné qu'exhalait la jeune française en fleur, et cela à la seconde même où elle avait posé les yeux sur elle. Elle se questionna tout de même, se demandant ce qu'il se passerait quand sa chère Alysson se rendrait compte des réels sentiments qu'elle éprouvait pour sa tendre demi-sœur bien-aimée. La suite de leur aventure en sol français ne manquerait pas de leur réserver assurément encore bien des péripéties. De douces et excitantes péripéties, qui rimeraient avec orgasmes multiples et sexualité exacerbée.

 

 

Sans plus se poser de questions, la belle anglaise s'enfonça dans son fauteuil, et devant les clichés de son affriolante belle-fille, passa sa main sous sa robe, glissant ses doigts sous l'élastique de son dessous. Il était plus que temps qu'elle puisse rassasier ce feu qui brûlait dans son bas-ventre. Ce qu'elle fit en fourrageant sans autres procès son sexe liquéfié par son jus intime, atteignant ainsi un orgasme libérateur plus vite que jamais.

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Sarah et Mélanie, de KS - Communauté : Soumissions féminines
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Mercredi 29 juillet 3 29 /07 /Juil 21:40

Chapitre 1b : Première punition : Alysson entre en scène

 

Les yeux de la belle française s'agrandirent de surprise en entendant sa belle-mère appeler de la sorte Alysson, qui ne manquerait assurément pas de la voir en passant devant le bureau. Et malgré le regard implorant qu'elle adressait à sa belle-mère, celle-ci ne flanchât pas et ne répondit pas à sa demande silencieuse. Consciente de risquer de s'attirer les foudre de Sarah par son geste, mais dans l'urgence de la situation, la jeune fille en tenue d'Eve quitta sa position et entreprit de rapidement contourner le petit salon pour monter l'escalier opposé à l'entrée, tout en espérant qu'il ne soit pas trop tard pour échapper à la honte d'être vu ainsi par sa demi-sœur. Malheureusement pour elle, la jolie anglaise en robe bleu senti le coup venir et se précipita à la suite de la fuyarde, faisant tonner sa voix comme un coup de canon menaçant.

 

Sarah: Mélanie…!

 

Le sursaut ne l'immobilisa qu'une seconde, mais ce fut suffisant pour que l'autre femme ne l'agrippe au bras et ne la retourne face à elle, visiblement furieuse.

 

Sarah: Qui t'a permis…?! C'est ainsi que tu remercies la clémence dont je fais preuve à ton égard…? En t'enfuyant comme une sale lâche perverse…?

 

Mélanie (justifiant): Mais Alysson allait me voir…!

 

Sarah (la saisissant): Et tu l'auras bien mérité, par ici…!

 

La jeune femme tenta d'entraîner sa jeune belle-fille à rebrousser chemin mais celle-ci, pour qui s'en était trop, ne l'entendit pas de cette oreille et se débâti avec fougue. Ce que la jeune fille ignorait cependant, c'est que plus elle combattait, plus la détermination de sa belle-mère augmentait, ainsi que cette excitation si particulière, du chasseur affrontant sa proie.

 

Sarah: Allons bon, il suffit…!

 

Mélanie (cherchant à se soustraire): Pas question…!!

 

Tout de même surprise par la force de la jeune fille, qui lui tenait tête à taille égale, Sarah sentie que l'adolescente prenait le dessus, ce qui l'a résolue à se montrer plus directe, pour son plus grand plaisir. La jolie prédatrice saisi donc vivement l'un des tétons saillants de la jeune bagarreuse et le pinça violement entre son pouce et son index. La décharge de douleur fit perdre aussitôt toute combativité à la jeune fille, qui fût trainée de force jusqu'au petit salon où toutes deux se retrouvèrent nez-à-nez avec la nouvelle arrivante.

 

Mélanie: Aïe, aïe, aïe, aïe, aïe, aïe…! Mais lâche-moi à la fin…!!

 

Alysson (surprise): Maman…?

 

Sarah (relâchant légèrement la pression de ses doigts): Si je te lâche, tu vas te tenir tranquille ou tu vas chercher à filer à nouveau…?

 

Bien que moins intense, la douleur parasitant la poitrine de la belle frenchie était toujours présente, et commandait à son esprit de tout faire pour qu'elle cesse.

 

Mélanie (se trémoussant sur place): Je serais sage, je serais sage…! C'est promis, mais lâche-moi s'il te plaît…!

 

Sarah: Tu as certifié être assez mature pour assumer une sanction méritée, pourtant tu as pris la poudre d'escampette à la première occasion…! Que vaut ta parole dans ce cas…? Je commence à croire que tu n'es rien de plus qu'une petite délurée obsédée par sa petite personne…!

 

La jeune Alysson n'en revenait pas de ce qu'elle voyait, sa mère mettant au pas sa nouvelle demi-sœur, dans le petit salon et surtout, entièrement nue. Elle aurait voulue demander à sa mère ce qu'il s'était passé mais celle-ci interrompit son questionnement en s'adressant à elle.

 

Sarah (parlant à sa fille, puis détournant la tête vers Mélanie): Bonjour ma chérie. Excuse mon impolitesse, comme tu le vois j'ai fort à faire avec cette petite insolente. Et toi, ne t'avise pas de fiche le camp…!

 

La jeune femme relâcha alors son emprise sur le bourgeon de chair malmené. Immédiatement soulagée, l'envoutante Mélanie porta une main sur son sein meurtri et le massa doucement de la paume pour atténuer les relents de douleur. Ce faisant, elle plaça son autre main devant son intimité dans un ultime geste de pudeur envers sa demi-sœur ainée, un geste qui n'échappa pas à la plus âgée des trois femmes.

 

Alysson (passant de sa mère à Mélanie, puis revenant à sa mère): Bonjour. Mélanie. Que se passe-t-il…?

 

Sarah (s'adressant à Mélanie): Veux-tu lui répondre ou préfères-tu que je le fasse…?

 

Si ce n'est un regard mi-renfrogné, mi-irrité, seul le silence répondit à la jeune femme.

 

Sarah (reprenant): Vois-tu Alysson, j'ai cru entendre une jeune fille entrer en trombe à la maison et filer à l'étage sans même venir me saluer, moi sa propre mère. Et lorsque soucieuse, je me suis rendue au premier pour m'assurer de son état, que tout allait bien, je l'ai trouvé dans la salle de bain occupée à se tripoter la minette comme une obsédée. Sans honte, sans pudeur, là, sous mes yeux. N'est-ce pas la vérité Mélanie…?

 

Mélanie (la voix base): Oui.

 

Alysson (s'exclamant, portant une main à sa bouche): Ohhhhh….

 

Avec un sourire, Sarah poursuivi l'explication.

 

Sarah: Après une altercation où elle a cru bon de me tenir responsable, elle a reconnu être en tort et nous avons finalement convenu qu'elle devait donc se repentir de son manque de considération, en demeurant au piquet avant de venir présenter ses excuses. Et au lieu d'excuses, j'ai eu droit à la vision d'une jolie paire de fesses s'enfuyant à toutes jambes. Toujours d'accord avec moi…?

 

Mélanie (troublée): Heu…. Oui.

 

Entendre sa belle-mère relater les faits calmement remis les choses en perspectives d'une nouvelle façon dans l'esprit de la jeune et belle brune, qui se cachait maintenant aussi la poitrine à l'aide de son bras. Avait-elle vraiment été aussi impolie et méchante que sa belle-mère le laissait entendre…? Elle commença à se sentir coupable de s'être montrée aussi malhonnête avec sa belle-mère, cette femme qui s'était toujours montré si gentille jusqu'ici avec elle et qui n'avait fait que…. qu'essayer de la ramener à la raison, et quoi…? Lui inculquer une leçon…? Mélanie se dit que oui, elle n'était définitivement pas du genre à ne pas se laisser marcher dessus, mais son côté impétueux semblait l'avoir poussé à se montrer méchante avec ce qu'elle devait bien admettre être un membre de sa famille. La jeune Mélanie se souvint alors qu'elle avait même craché au visage de la jeune femme qu'elle aurait préféré qu'elle et sa fille ne débarquent pas dans sa vie. Honteuse de son comportement, elle se dit qu'il n'était peut-être pas trop tard pour tenter de se faire pardonner, se disant qu'au fond, elle aurait finalement bien mérité une paire de gifles ou une bonne fessée, ce qu'elle se serait donné à elle-même dans pareil cas.

 

Mélanie (désolée): Je m'excuse Sarah.

 

Sarah (étonnée): Pardon…?

 

Mélanie (répétant, avec plus de conviction): Je me suis mal conduite avec toi sans aucun raison alors que tu te souciais de moi. Je m'en excuse.

 

Sarah (dubitative, questionnant): J'avais bien compris la première fois, mais crois-tu qu'il t'appartienne de t'excuser…? Et d'ailleurs, sur quoi nous étions mis d'accord à ce propos…?

 

La jolie brune comprit alors de quoi il était question et, pudiquement, détacha ses mains de ses parties intimes et les redressa au-dessus de sa tête pour reprendre sa position, évitant au possible de croiser le regard de cette demi-sœur, à laquelle elle offrait désormais une vue imprenable sur son anatomie toute entière. C'est cette dernière qui intervint alors….

 

Alysson (le teint rosissant): Eh bien, je ne peux pas dire que je n'ai pas été surprise. Mais bon, je t'adore Ninie. Même si à ta place j'aurais un peu honte d'être pardonnée par maman sans l'avoir mérité, pas toi…?

 

La jeune brune au corps dénudé et maintenant sec, regarda la jeune blonde à la crinière tressée en une longue natte, mais ne pipa mot.

 

Sarah. Eh bien, jeune fille…? Aurais-tu perdu ta langue…?

 

Alysson (plaidant): Laisse maman, ce n'est rien.

 

Sarah: Non, ce n'est pas rien justement. Tu te montres gentille et compatissante à son sort et elle n'a même pas la politesse de te répondre.

 

La jeune Mélanie fronça les sourcils, se demandant si elle faisait vraiment tout de travers aujourd'hui. Que lui arrivait-il…? Etait-ce la frustration de ne pas avoir pu atteindre l'orgasme en revenant de son cours, et qu'elle avait l'habitude de se donner en pensant à son beau professeur…?

 

Mélanie (soufflant): T'as raison Alysson, c'est un peu la honte c'est vrai. Et j'ai pas vraiment cherché à me faire pardonner je l'admets.

 

Sarah (saisissant la balle au bond): Heureusement il n'est jamais trop tard pour bien faire.

 

Les yeux de Mélanie s'ouvrirent en grand en direction de sa belle-mère, attendant la suite. Mais la gentille Alysson intervint encore.

 

Alysson: C'est ok maman, je ne veux pas lui attirer des problèmes.

 

Mélanie (intervenant): Non, laisse, Alysson…. Tu n'as rien fait de mal, c'est moi. C'est à moi de me faire pardonner pour avoir mal agis. Qu'est-ce que je peux faire pour que tu m'excuses Sarah..? J'accepterais n'importe quelle punition que tu me dicteras, promis.

 

Sarah: Et si nous laissions Alysson en décider pour le coup, qu'en dis-tu…? Elle a reçu mon éducation, à l'anglaise, elle. Alors chérie, quelle punition mériterait le pardon…?

 

Alysson (rébarbative): Mais maman, je veux pas….

 

La jolie blonde de deux ans plus âgée que la jolie brune comprit en regardant sa mère qu'il valait sans doute mieux pour elles qu'elle choisisse la punition sans discuter. Elle ne voulait pas s'attirer des ennuis, aussi et connaissant sa mère, elle choisit ce qu'elle savait que cette dernière devait attendre comme type de réponse, et adressa avant de se prononcer un regard désolé à l'intention de sa demi-sœur.

 

Alysson: Je pense qu'une bonne fessée ferait l'affaire.

 

Sarah: Une fessée alors…? Classique mais juste. Mélanie…?

 

La jeune fille sentit une boule se former dans son estomac face à l'appréhension de subir une telle punition. Mais n'avait-elle pas reconnue elle-même qu'elle était justifiée…? Et quand bien même c'était une sanction enfantine, ne paraitrait-elle pas plus infantile à rechigner à l'idée de la recevoir…? Il était temps pour Mélanie de prouver à sa belle-mère qu'elle était bien cette jeune fille mature qu'elle lui soutenait être, et non pas cette gamine au comportement insultant qui s'était illustrée jusqu'ici semblait-il. Oui, elle allait accepter son sort comme une adulte. La jeune et jolie française, déterminée, se décida donc à hocher la tête avec un air résolu en guise de réponse et d'acceptation.

 

Sarah (frémissant intérieurement, enthousiaste): A la bonne heure…! Installons-nous.

 

La jeune femme désigna d'un geste la jolie banquette rouge de style Louis XV située derrière elles dans le petit salon. Sans attendre davantage de réponse, elle y guida la jeune fille avant de s'y assoir et de l'inviter à s'installer à son tour, après avoir retroussé sa robe pour éviter de trop la froisser.

 

Sarah (avec entrain, tapotant ses cuisses): En place jeune fille…!

 

La jeune fille en question n'était pas sûre de comprendre…. Sa belle-mère voulait-elle réellement qu'elle se mette en travers de ses genoux…? Ne devait-elle pas plutôt comme Mélanie le pensait, se contenter de claquer ses fesses une paire de fois, et debout, pour marquer la sanction et passer à autre chose. La jeune fille osa à se risquer de poser la question pour la forme.

 

Mélanie: Mais heu…. sur tes genoux…? Tu es sûre que….

 

La jolie française n'eut pas le temps de terminer sa phrase, interrompue par sa belle-mère dont l'excitation allant croissante dicta un certain empressement.

 

Sarah (attrapant l'un des poignets de Mélanie pour la tirer sur ses genoux): Aller, cesse dont de faire l'enfant maintenant.

 

C'est pourtant ce qu'elle se donnait l'impression d'être, désormais allongée de la sorte en travers des genoux de sa belle-mère, ses jambes repliées vers le haut et son buste reposants des deux côtés de la large banquette. La docile Mélanie se dit que ça devait être le but de la punition, et effectivement, elle prit la résolution de faire en sorte que plus jamais elle ne se retrouve dans cette position infantilisante. La jolie blonde de son côté, peinait à dissimuler son excitation. Elle bouillonnait littéralement de l'intérieur alors que sa superbe belle-fille se trouvait allongée sur elle, totalement nue et son divin postérieur à sa seule merci. Un cul rebondi divin et juvénile, qu'elle pouvait enfin dévorer du regard sans aucun obstacle à sa vue. Elle remercia intérieurement toutes les divinités de l'univers d'avoir répondu à ses prières avec tant de générosité. La petite décharge électrique qu'elle perçue lorsque, n'y tenant plus, elle déposa sa main sur le délicat séant de la jeune fille ne l'électrisa que davantage.

 

Sarah (questionnant, sur un ton posé): Alors jeune insolente, combien de coups pour effacer tes écarts de conduite crois-tu être justes…?

 

L'esprit de la pénitente fut ramené à la réalité par la question qui lui avait été posé. En effet, plus que la surprise, c'est par la petite décharge d'électricité qui lui fit contracter instinctivement ses deux jolies globe fessier que Mélanie réalisa que la main de sa belle-mère se trouvait désormais sur son derrière, son esprit occupé à constater que celle-ci était plus douce que ce à quoi elle s'était attendue. La belle et jeune brune dut tout de même peser la question, et surtout ses conséquences. Se doutant maintenant qu'il y en aurait plus d'une, elle ne voulait pas énoncer un nombre qui paraitrait ridicule aux yeux de sa belle-mère. Mais elle ne voulait pas non-plus souffrir de trop.

 

Mélanie (arrêtant son choix, anxieuse): Dix…?

 

Très lentement et comme animée de sa volonté propre, la main de la belle anglaise, au buste cambré par la position, s'était mise en mouvement sur le derrière rebondi de la jeune fille. Appréciant la sensation du velouté de la peau soyeuse sous la pulpe de ses doigts, la jeune femme considéra la réponse avant de se prononcer.

 

Sarah: Dix dis-tu…? Te voilà devenue raisonnable. Cependant….

 

La jeune femme laissa sa phrase en suspend l'espace d'un instant, uniquement pour torturer sa si appétissante belle-fille. Ce qui fonctionna à merveille, comme put le constater Sarah alors qu'elle sentit sous sa main les deux jolies rondeurs de chair se contracter à nouveau d'anticipation.

 

Sarah: ….cinq me semble suffisantes.

 

La jolie française sentit un vent de soulagement la parcourir. Oui, vraiment, sa belle-mère se montrait clémente envers elle. C'est donc avec une reconnaissance non-feinte qu'elle accueillie ce chiffre.

 

Sarah (élevant sa main dans les airs, au comble de l'excitation): Prête…? Et de une.

 

La main fendit l'air d'un mouvement assuré pour venir rencontrer de plein fouet une jolie fesse dans un geste tonique. Mais loin de vouloir bâcler sa si plaisante besogne, la main de Sarah resta fixée sur la fesse de la jeune fille, en appréciant le galbe d'une légère pression de la main alors qu'elle l'empoignait de toute sa paume une fois le coup donné. Mon dieu comme ce petit cul pouvait être délicieux frémit la jeune femme intérieurement, sentant le brasier de son sexe en feu brûler comme jamais.

 

Sarah (la voix un peu moins assurée): Et de deux.

 

Sa main claqua une nouvelle fois sur le petit cul docile de sa belle-fille, et à nouveau Sarah en palpa la chair avec un contentement déjà plus difficile à contenir. Comme elle aurait voulu lui malaxer son magnifique petit cul de Marianne avec force. Son sexe en palpitait d'envie sous la maigre barrière que représentait l'étoffe de sa robe et de son dessous trempé. Ravalant un râle de plaisir qui lui noua la gorge, l'anglaise en perdition se fit force de refreiner sa fougue, séparant avec difficulté sa main de son support de soie.

 

La jeune fille de son côté, tentait de ne pas penser à ce qu'il se passait, à ce qu'elle était en train de vivre. Ce qui paradoxalement lui fut difficile puisque loin d'être aussi douloureuse que ce à quoi elle aurait pu s'attendre, Mélanie n'eut pas à faire d'effort pour s'évader d'une douleur que sa belle-mère semblait vouloir lui épargner. Ce devait certainement être pour cette raison qu'à chaque nouvelle frappe, Sarah lui massait les fesses un peu plus longuement. "C'est pour s'assurer que je ne souffre pas", pensa naïvement l'adolescente lorsque pour la troisième fois la main s'abattit sur ses fesses.

 

De son côté Sarah était au comble de l'excitation, quelques gouttes de sueurs étaient même apparut à son front, témoin extérieur de son émoi sexuel. Ou de son tourment. Car elle le sentait, aussi incroyable que ça puisse lui paraître, elle allait très probablement jouir au prochain coup.

 

Sarah (la voix sourde, le souffle erratique): Et de cinq.

 

Et inévitablement, en prononçant ces mots et en abattant sa main, ce fût comme si la belle anglaise au bord de la rupture avait libéré son orgasme, qui explosa en elle alors que sa main rencontrait une dernière fois le cul de sa belle-fille. La jeune femme en plein extase s'y accrocha cette fois sans plus de retenu pour masser et pétrir la chair joliment rougie par ses soins, pressant le corps tout entier de la jolie française contre le sien, prise de légers spasmes incontrôlables. Se mordant fortement les lèvres pour réprimer un gémissement profond et guttural, Sarah acheva d'être emportée par une pure vague de plaisir incontrôlée.

 

La jeune blonde, Alysson, qui de son côté demeurait en observatrice silencieuse n'en revenait tout simplement pas du spectacle qu'elle avait sous les yeux. Sa demi-sœur, à laquelle elle s'était si facilement attachée, nue comme un ver sur les genoux de sa mère, à recevoir la fessée. Mais comme si l'image n'était pas suffisamment incongrue comme ça – et bouleversante d'érotisme, dû bien admettre intérieurement la jeune fille – est-ce que sa mère ne venait pas à l'instant de prendre son pied, comme le suggérait l'expression extatique qu'arborait son visage…?

 

 

C'était tout bonnement impensable pour la jolie blonde de voir sa mère prendre un pied si évident simplement en fessant Mélanie, et jouir sous ses yeux comme la vraie salope qu'elle l'a savait être en réalité. Et comment Alysson ne l'aurait-elle pas su…? Elle qui avait elle-même poussé sa mère à explorer les plaisirs saphiques lorsque Sarah avait découvert que sa propre fille était lesbienne, et qu'elle avait échoué à lui faire découvrir l'amour des hommes.

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Sarah et Mélanie, de KS - Communauté : Soumissions féminines
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