Clic.
Le bruit du déclencheur photographique du téléphone d'Alysson fût comme l'électrochoc qui ramena la belle-mère et la belle-fille à la réalité. Cette dernière, pas trop sûre de savoir ce qui venait de se passer, avait en revanche parfaitement compris ce que signifiait ce bruit si caractéristique, on venait de la prendre en photo…! Ce geste à priori banal dans n'importe quel autre contexte, força la jeune fille à observer toute l'horreur de sa situation d'un œil nouveau, et comme si elle venait de prendre subitement conscience de l'humiliation qui lui avait été infligé, son esprit revêche se réveilla instinctivement. Et se fut alors comme si ses belles résolutions d'affronter la situation avec maturité s'était envolées.
Mélanie (se relevant d'un bon, crachant): Qu'est-ce que tu fous putain…!?
Comment lui dire…? Comment lui dire que ça en avait été trop pour elle, que la charge érotique avait trop forte, et qu'elle avait voulu immortaliser cet événement dans l'idée de se faire du bien lorsqu'elle serait seule dans sa chambre, en revivant la scène à l'abri des regards et devant les images…? Alysson ne pouvait se résoudre à lui expliquer ça, ça reviendrait à lui avouer qu'elle s'était peut-être un peu entichée d'elle, en plus de la désirer carrément.
Alysson (prise au dépourvu, reculant): Je…. Je voulais juste….
Mélanie (se rapprochant, l'alpaguant): Quoi…? Tu voulais quoi…!? Pas toi aussi Alysson…!? Comme si c'était pas assez dégueulasse de se faire claquer le cul par sa belle-mère…! Il faut que t'en rajoute pour m'humilier, c'est ça…!?
En réalité, la jolie et forte Mélanie en apparence, venait d'être meurtrie dans son amour propre plus que dans sa chair, et c'était infiniment plus difficile à avaler que les coups eux même. Réagissant avec fougue comme pour masquer sa fragilité, la jeune fille lança son bras d'un geste brusque dans la direction de sa demi-sœur dans le but de lui prendre.
Alysson (esquivant, se défendant): Qu'est-ce que tu fais…? Arrêtes, c'est pas contre toi Ninie.
La jeune femme de son coté, était toujours assise sur la banquette, retombant doucement de l'euphorie orgasmique, en partie consciente de ce qui se passait mais pas encore capable d'intervenir. Ses jambes étaient molles et elle dut se lever avec précaution avant d'être sûre qu'elles la soutiendrait.
Mélanie (se jetant sur Alysson en agrippant ses mains, criant): Rend-moi ça…!
Alysson (se débattant): Mais ce n'est pas à toi…!
Les deux jeunes filles se débattaient comme des chiffonnières, leur mains à toutes les deux refermées autours de l'objet. Pendant un instant, Sarah apprécia la vue du joli petit cul de la jeune brune qui se trémoussait de dos. Mais il était temps qu'elle reprenne les choses en mains.
Sarah (hélant): Ca suffit comme ça les filles.
Il n'y eu aucune réaction et les choses n'avaient pas l'air de vouloir se calmer entre les deux effrontées.
Sarah (répétant d'un ton ferme, haussant la voix): Les filles, ça suffit…!
La jolie britannique aux cuisses moites dut finalement s'approcher pour mettre un terme à la bataille, saisissant la longue chevelure de la brune d'une main et agrippant à son tour le téléphone de la blonde de l'autre, lui arrachant ce dernier des mains tandis qu'elle les séparait.
Sarah (hurlant): En voilà assez…!!!
La jeune blonde s'immobilisa sur place, impressionnée, ce que n'était nullement la jeune brune, qui redoubla de férocité lorsqu'elle se senti écartée ainsi de sa cible.
Mélanie (agrippant le poignet de Sarah d'une main): Lâche-moi…!
Sarah (se retournant vers elle, maintenant sa prise): Tu te calme maintenant…!
Mélanie (s'insurgeant, enfonçant ses deux pouces dans le creux du coude de Sarah, pressant rageusement): J'ai dit lâche-moi putain…!!
La vive douleur ressenti fît instantanément lâcher prise à Sarah, qui de rage envoya de son autre main une magistrale gifle à la jeune fille après avoir lâché le smartphone. Les deux parties avaient obtenues ce qu'elle désirait, la première était libre, la seconde l'avait calmé. Choquée, Alysson tenta une légère incursion en voyant le déchainement de violence de sa mère contre la jeune fille, qui porta ses deux mains sur sa joue, des larmes dans les yeux.
Alysson (invitant prudemment): Maman, calme-toi.
Sarah (se massant le bras): La ferme, je ne veux plus rien entendre. Même pas une mouche voler, c'est clair…!?
Mélanie (la fixant d'un regard noir, crachant): Salope.
Sarah (haussant les sourcils, questionnant): Salope…?
Sans attendre, la beauté britannique se planta devant la jeune française, ses prunelles fixées dans les siennes, impérieuse de force et de tempérament. Calmement, elle s'adressa à la jeune fille, mais d'un ton qui ne laissait pas place au doute quant à la menace qui planait dans sa voix.
Sarah (faisant monter crescendo le volume de sa voix): Si tu penses que ce que tu viens de subir est la pire des choses que je pourrais t'infliger, comprends-bien qu'il n'en est rien. Et pour m'assurer que tu intègres bien cette réalité, je vais t'en donner un petit aperçu. Et je te jure par tous les dieux que si tu oses montrer le moindre signe de protestation il va t'en cuir cent fois plus….!
Pour la première fois la jeune Mélanie fût réellement intimidée par sa belle-mère, elle senti immédiatement au regard pénétrant de celle-ci et à la hargne de ces paroles qu'elle ne plaisantait pas, qu'une frontière avait été franchi. Comprenant qu'elle avait trouvé à qui parler et que pour son propre bien il valait mieux se ternir à carreaux le temps que passe l'orage, la jeune fille se tut et resta muette, sans pour autant baisser les yeux. Car il n'était pas question de paraître faible, ce n'était pas dans son tempérament, et elle n'allait certainement pas faire cette fleur à Sarah. Elle se contenta donc de ronger son frein, le regard accusateur.
Sarah (guidant la jeune fille, puis s'adressant à Alysson): Au centre de la pièce maintenant. Quant à toi, si tu fais un pas de plus pour récupérer ce téléphone par terre, tu vas entendre parler de moi…!
Les mots avaient claqué comme un coup de fouet, aussi la jeune anglaise stoppa son mouvement et se redressa en reculant d'un pas du téléphone tombé à terre un instant plus tôt. Elle esquissa ensuite un mouvement de demi-tour afin de quitter les lieux mais fut rappelé à l'ordre tout aussi sèchement.
Sarah: Pas si vite…! Tu restes ici, ça te serviras d'exemple à toi aussi. Voilà ce qu'il en coûte de me pousser à bout. Et toi petite rebelle, en position…!
Connaissant sa mère mieux que personne, Alysson savait que sa colère était aussi inflexible que sa clémence était juste. Elle ne se fit donc pas prier pour s'immobiliser dans la pièce, témoin bien malgré elle de la punition exemplaire à venir.
Sarah (se plaçant devant Mélanie, les poings sur les hanches): Toi jeune fille, on peut vraiment dire que tu joues avec ma patience.
Et le regard rougi de larmes contenu et de colère de la jolie brune lui répondit qu'elle avait raison. Mais plus aussi confiante après la violente rébellion de sa belle-fille, Sarah dû admettre qu'il s'en était fallu de très peu pour que la situation ne lui échappe totalement, elle réalisa alors combien elle allait devoir garder Mélanie à l'œil en permanence, tant elle le sentait, cette dernière chercherait à profiter de la moindre faille pour l'attaquer à nouveau. Diable que la partie allait être excitante…! C'est donc en gardant sa belle-fille bien en vue que la jeune femme s'enquit d'aller ramasser le smartphone de sa fille.
Sarah (se relevant le téléphone en main, hélant): Helen…! Venez ici je vous prie…!
Dans la cuisine, non-loin de là et à l'abri des regards, la jeune employée de maison s'était faite toute petite en entendant la forte agitation se déroulant dans la pièce voisine, se gardant bien de vouloir mettre le nez où n'était pas sa place. Aussi la jeune femme, 23 ans à peine fêtés, fût-elle surprise d'être ainsi appelée. Mais bien formée et professionnelle, elle n'hésita pas une seconde et se rendit là où la maitresse de maison la demandait, un léger noeud à l'estomac l'accompagnant.
Bien que la brune élancée n'en était plus à ça prêt, elle détourna les yeux de la nouvelle venue avant de les reposer sur sa belle-mère, son regard redoublant de haine de lui faire subir cette humiliation supplémentaire ne la lâchant pas, comme pour lui signifier sa défiance bien en face. La jeune employée de maison, elle, bien que s'immobilisant dans l'attente de savoir ce que l'on attendait d'elle en pareille situation, ne put s'empêcher de regarder sa jeune maitresse, qu'elle fut surprise de découvrir nue, les mains jointes au-dessus de la tête, le visage rougi et buriné par la colère. Là, en la voyant ainsi, cambrée par la position et la poitrine se soulevant au rythme quasi effrénée de sa respiration rapide et profonde, et sans autre arrière-pensée, Helen l'a trouva impérieusement belle. Et comme un électrochoc, elle fut ramenée dans la seconde qui suivi à la réalité.
Sarah (s'adressant à Helen, son regard soutenant celui de Mélanie): Bien, vous voilà. Comme vous pouvez le voir j'ai à faire face à une situation difficile suite au comportement agressif de cette jeune fille, mauvais comportement contre lequel je me dois de sévir. Vous comprenez donc bien la punition que subit Mélanie, n'est-ce pas…?
Helen (n'ayant pas entendu ce qu'il se jouait, confuse): Eh bien Madame, en fait….
Sarah: Ah oui, suis-je sotte. Vous ignorez ce qui vaut à Mélanie d'être punie de la sorte. Eh bien jeune impudente, qu'attends-tu…? Montre dont à Helen ce qui te vaut tout cela…!
Partagée entre la colère et la crainte, la jeune et jolie Mélanie ne sut pourtant pas comment accéder à la demande de la femme qui ne l'avait toujours pas quitté des yeux, si tant est qu'elle souhaitait y accéder. Ou peut-être comme une alarme retentit dans sa tête, elle ne le comprenait que trop bien sans vouloir admettre que Sarah puisse lui demander, lui ordonner plutôt, de faire une chose pareille. Elle détendit donc légèrement son regard pour y faire passer une lueur d'interrogation à destination de la jeune femme. Une lueur que Sarah perçue et à laquelle elle répondit d'un sourire narquois en relevant le smartphone d'Alysson dans sa direction, sous les yeux maintenant presque ahuris de la jeune fille.
Sarah (prenant un nouveau cliché de la jeune fille): Il faut que je te fasse un dessin en plus de ça…? Tu semblais pourtant très bien savoir ce que tu faisais sous la douche. Alors montre-lui, exécution…!
Ce faisant, la jeune femme secoua le smartphone au nez et à la barbe de la belle Mélanie, comme brandissant la menace. Le tout était maintenant de savoir si cette dernière tenterait une ultime bravade. Pourtant le message avait été clair et la jeune et jolie brune l'avait parfaitement reçu, si elle ne pliait pas, sa belle-mère ferait de ces photos compromettantes un usage auquel la jeune fille préféra ne pas songer. Elle était donc au pied du mur, à la fois mortifiée et haineuse de ce qu'elle s'apprêtait à faire, sous l'œil goguenard et triomphant de l'inflexible blonde, dont elle n'aurait finalement peut-être pas dû chercher à provoquer le courroux pensa-t-elle intérieurement.
Alors, sous les yeux interdits des deux autres spectatrices mal à l'aise de la situation, et versant des larmes d'amertume jusqu'ici retenues, la jeune fille descendit prudemment sa main le long de son corps pour finalement l'immobiliser à hauteur de son sexe.
Sarah (agacée): Il suffit, procède…!
Sursautant toutes les trois, la main de la jeune fille entreprit bientôt une lente et maladroite masturbation, simulacre du plaisir qu'elle s'était donné un temps indéfini plus tôt sous la douche. Diable qu'on ne l'y reprendrait plus, se dit intérieurement la douce Mélanie, à qui le goût pour son prof de tennis s'était comme volatilisé.
La jeune blonde, témoin contre son gré des affres subit par sa demi-sœur adorée aurait voulu l'aider, la secourir de ce traitement injuste, mais elle savait mieux que personne que c'était peine perdue. Elle voulue donc au moins s'esquiver pour lui éviter le poids de son regards, mais ce fût comme si sa mère lisait dans ses pensées, car elle choisit ce moment pour la recadrer d'un regard menaçant. Tentant de faire preuve de courage pour Mélanie, elle redirigea ses yeux désolés sur cette dernière, pour lui offrir un point d'encrage, telle une invitation à s'évader de cet endroit.
Sarah (questionnant pour la forme): Voyez-vous maintenant Helen…? Alors, que dites-vous de ce comportement…?
La jeune bonne n'était pas certaine de savoir en quoi consisterait une bonne réponse, pas plus que de savoir pourquoi elle se trouvait ici. Tout ce qui aurait pu écourter la mauvaise posture de sa jeune maitresse lui aurait paru faire l'affaire, mais elle n'était pas certaine que ce soit une bonne chose en définitive.
Helen (cherchant ses mots): C'est tout à fait…. déplacé, Madame.
Sarah (jubilant de l'humiliation totale de sa belle-fille): Ha...! Tu vois jeune sotte…? La première venue semble avoir plus d'éducation que la bien-née que tu es, quelle honte ma parole…! Mais foi de Frémont, je vais ne vais pas restée les bras croisés. Tu es ma fille désormais, et je n'accepterais pas que l'une de vous deux s'égare sans réagir.
Malgré cette interpellation, la belle brune n'accorda aucune attention à sa mère par alliance, elle avait capté le regard compatissant de sa demi-sœur Alysson et s'y était encrée comme à une planche de salue bienveillante. C'est le regard plongé dans celui de l'autre adolescente que Mélanie poursuivait contrainte sa besogne, travaillant son sexe de ses doigts. Malheureusement pour elle et sa fierté, les effets de sa masturbation forcée commencèrent à se faire ressentir, et tandis que sa respiration se faisait de plus en plus lourde et rapide, la jeune française se maudit d'avoir été interrompue plus tôt si prêt de la jouissance. A présent son bouton de plaisir était rendu ultra-sensible par le désir refoulé et la frustration, et le plaisir montait en elle contre son gré. Tout cela ne rendait que plus dure son humiliation publique et par opposition, elle s'obligea à tarir la chute de ses larmes, maintenant le minimum de dignité qu'il lui restait.
Observant la scène avec attention, la jolie Sarah s'en montra d'abord ravie, constater que la jeune fille était en train de prendre son pied bien malgré elle était la cerise sur le gâteau de la perversion de ce moment. Le feu au creux de ses reins se raviva à cette vue et tandis qu'elle passait intérieurement en revue tous les plaisirs qui l'attendaient avec cette déesse de femme-enfant qu'elle destinait à assouvir tous les aspects de sa vie sexuelle, quelque chose d'incongru lui sauta soudain aux yeux. Elle fronça alors les sourcils lorsqu'elle suivit le regard de la jolie Mélanie pour s'apercevoir qu'elle fixait Alysson intensément, et que celle-ci ne l'a lâchait pas du regard en retour. Pire, elle ne savait pas ce que c'était, mais Sarah descella quelque chose qui transpirait dans le regard qu'elles échangeaient, quelque chose qui dans les yeux de la charmante petite frenchie avait remplacé la colère et la rancoeur. Comme soudain piquée par un inattendu sentiment de jalousie qu'on lui vole son moment, la jeune femme ne put s'empêcher d'interrompre la punition.
Sarah (perplexe, balayant l'air d'une main): Bien, ça suffit comme ça. Helen, retournez à vos tâches en cuisine, je n'aimerais pas déjeuner trop tard. Quant à toi….
La main de la jolie Mélanie s'était tétanisée instantanément sur son sexe. Son regard se détacha de celui de la jeune blonde, brisant la complicité qui s'était installée à travers ce moment intime partagé malgré elles. Fixant ses yeux sur sa belle-mère d'un air dur mêlé d'hésitation, elle resta immobile l'espace d'un instant, avant de baisser la tête et de se ruer à l'étage en empruntant l'escalier pour s'enfermer dans sa chambre. La mère et la fille se retrouvèrent alors seules dans le petit salon.
Sarah (soufflant, relâchant la tension qui tenaillant encore son corps): Eh bien, ce fût…. intense.
Alysson (questionnant, mécontente): Qu'est-ce qui t'a pris…?
Sarah (surprise): Je te demande pardon…?
La jeune anglaise désigna de son bras tendu l'endroit où se tenait jusqu'à lors sa demi-sœur.
Alysson (accusatrice): Ca. C'était quoi…?
Sarah: Pas ici veux-tu.
La jeune femme fit volte-face pour se diriger dans son bureau, sa fille lui emboîtant le pas. Se doutant que cette dernière ne lâcherait pas l'affaire, la mère referma la porte de la pièce et s'assit derrière son meuble de travail.
Alysson (se plantant devant le bureau, tapant du pied): Alors…?
Sarah (évitant son regard, dédaigneuse): Alors quoi…?
Alysson: Pas de ce ton condescendant avec moi. Tu sais très bien ce que je veux dire. Qu'est-ce qui t'as pris de déraper comme ça…?
Sarah (minimisant): Une simple brimade….
Alysson (véhémente): Non, c'était une agression, purement et simplement…!
Sarah: Si tu le sais, pourquoi demander…? Et pourquoi n'as-tu rien fais…?
La jolie et jeune blonde resta silencieuse, toutes les deux connaissant la réponse à cette question. La jeune anglaise n'avait pas voulu prendre le risque de s'opposer à sa mère, au risque de détériorer une relation déjà suffisamment tendue entre elles depuis que Sarah l'avait arraché à sa Grande-Bretagne natale et à sa vie là-bas. Cela avait fini par se tasser un peu au fil des semaines, et des mois, depuis qu'elle vivait ici avec la jeune française, qui était devenue son amie proche, plus qu'avec son beau-père qui était le plus souvent absent. Mais aujourd'hui, elle aurait risqué la scission, et au fond, même si ce n'est pas ce qu'elle recherchait, elle n'était plus si sûre de ne pas le vouloir, tout en en ignorant elle-même la raison.
Sarah (affichant un sourire confiant): Tu vois, tu as su ce qui était le mieux pour toi. Tu l'as toujours su, continue comme ça.
Alysson (amère): Tout de même, tu as été trop loin.
Sarah (laissant trainer sa phrase): Tu étais pourtant d'accord….
Alysson: Pour que tu l'inities aux plaisirs lesbiens. Pas pour ça…! J'ai beaucoup pris sur moi pour supporter ta petite lubie. Mais je te jure que si tu recommences un truc du genre, je ne resterais pas sans rien faire.
Sa fille avait serré les dents en disant ces derniers mots, Sarah sut donc qu'elle était sérieuse quant au fait qu'elle n'appréciait pas la façon dont elle avait réagi, un peu sous le coup de la colère s'accorda-t-elle à se dire intérieurement. Mais sa fille chérie avait déjà été témoin de pire que cela venant d'elle, et Alysson savait que sa mère était une dominante patentée en plus d'une dominatrice sexuelle. Pourtant jamais jusqu'ici la jeune fille n'avait émis d'opposition à ses agissements, pas même quand elle lui avait finalement avoué la raison véritable de son remariage avec ce riche entrepreneur français, à savoir faire de sa fille son jouet sexuel dévoué corps et bien. A moins que…. Elle avait bien senti que sa fille s'était un peu trop vite radoucie d'avoir été ainsi déraciné. Et il y avait aussi cette chose qu'elle avait vu dans son regard pour Mélanie un instant plus tôt.
Sarah (dubitative): Pourquoi ça te tiens tant à cœur tout à coup…?
La jeune fille l'interrogea du regard, piquée au vif.
Sarah: C'est bien toi qui m'a rencardé sur les petites habitudes cochonnes de Mélanie, sur lesquelles tu avais vu juste d'ailleurs. Et maintenant tu es prête à te braquer parce que je me suis montrée un peu trop rudement entreprenante…?
Alysson (éludant): Ecoute, je te demande simplement d'y aller plus doucement avec elle à l'avenir. Ou alors ne compte plus sur moi pour marcher dans ta combine.
Sarah (concluant, conciliante): Soit, j'essaierais dorénavant de me montrer un peu plus…. flexible. Satisfaite…?
Pour toute réponse la jolie et jeune anglaise tendit la main en direction de sa mère, paume ouverte vers le haut.
Sarah: Quoi encore…?
Alysson (réclamant d'un geste de la main): Mon portable.
Sarah: Ah, ça. Confisqué jusqu'à nouvel ordre.
La jeune fille se contenta de souffler et sortit du bureau sans demander son reste. La mère avait vu juste semblait-il, comme elle le pensait, sa fille s'était amourachée de cette perle nacrée qu'elle avait pour demi-sœur, et comment le lui reprocher…? Elle-même avait succombé à l'attraction inextricable et au charme inné qu'exhalait la jeune française en fleur, et cela à la seconde même où elle avait posé les yeux sur elle. Elle se questionna tout de même, se demandant ce qu'il se passerait quand sa chère Alysson se rendrait compte des réels sentiments qu'elle éprouvait pour sa tendre demi-sœur bien-aimée. La suite de leur aventure en sol français ne manquerait pas de leur réserver assurément encore bien des péripéties. De douces et excitantes péripéties, qui rimeraient avec orgasmes multiples et sexualité exacerbée.
Sans plus se poser de questions, la belle anglaise s'enfonça dans son fauteuil, et devant les clichés de son affriolante belle-fille, passa sa main sous sa robe, glissant ses doigts sous l'élastique de son dessous. Il était plus que temps qu'elle puisse rassasier ce feu qui brûlait dans son bas-ventre. Ce qu'elle fit en fourrageant sans autres procès son sexe liquéfié par son jus intime, atteignant ainsi un orgasme libérateur plus vite que jamais.
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