Mardi 6 octobre 2 06 /10 /Oct 20:52

Chapitre 2d : Bonjour docteur: inquiétudes mutuelles

 

Les doigts magiques cessèrent leur récital à l'orée du centre de son plaisir. Instantanément, la frustration succéda à l'excitation, lui arrachant un hoquet de surprise peu discret.

 

Surtout, Mélanie réalisa ce que ça voulait dire, elle était parvenue au bout du test sans avoir eu à demander d'arrêter. Elle avait réussi à cacher son plaisir, elle en était sûre. Elle avait gagné. Même si c'était par défaut, parce qu'elle avait eu du plaisir, au moins elle n'avait pas eu d'orgasme. Elle pourrait continuer de clamer son hétérosexualité, et c'est tout ce qui comptait.

 

Aussi, alors qu'elle sentit l'extrémité des deux doigts s'immobiliser totalement en elle, les mots vinrent s'abattre comme une terrible sentence venue balayer ses certitudes futiles.

 

Dr. Williams: Eh bien ma belle demoiselle, je t'annonce que tu viens de jouir.

 

Mélanie (réfutant grossièrement, haletant): Noooon…!

 

Elle avait éprouvé des difficultés pour parler, réalisant son état. Elle était en sueur, le souffle court et se sentait fiévreuse. Même elle, savait que sa crédibilité devait en prendre un coup. Comment pourrait-elle être encore prise au sérieux après ça…? Elle devait se montrer plus convaincante, se reprendre, c'était de la vérité qu'il s'agissait après tout, ça ne devrait pas être un problème.

 

Mélanie (redressant la tête, s'appuyant sur les coudes): Je n'ai pas joui. Je vous assure…!

 

Dr. Williams (repoussant ses doigts, appuyant sur les chairs intimes): Tu sens ici…? C'est sous ces parois internes que se trouvent les muscles intra-vaginaux qui se contractent autour du sexe de l'homme au moment de l'éjaculation, pour assurer une bonne insémination. Leur particularité tiens au fait que, contrairement aux autres muscles de ton vagin, leur contraction n'est déclenchée que par l'influx nerveux libérée au moment de la jouissance. Et tes muscles à toi se sont très clairement contractés sur mes doigts.

 

Très délicatement et avec douceur, le Docteur Williams retira sa main de l'entrejambe de Mélanie et se redressa complétement. Sarah dut se faire violence à ce moment-là pour ne pas lui sauter dessus et sucer avidement ses doigts, car devant tel spectacle, les affres de la fournaise de son appétit sexuel s'étaient réveillées à elle avec le feu entre ses jambes.

 

Dr. Williams (poursuivant): Mais tu n'as pas eu un plaisir aussi important que lorsque tu te masturbes toute seule. Je me risquerais même à dire que c'était loin d'être l'orgasme vu ce que tu me dis, pas vrai…?

 

La jolie jeune fille au corps gracile n'avait pas besoin de mentir, la sexologue savait qu'elle n'avait pas ressenti l'ultime délivrance. Un bon point pour sa cause, se dit-elle. Continuant de croire que ce verdict jouait un peu plus en sa faveur, elle acquiesça en questionnant.

 

Mélanie: Oui, mais pourquoi j'ai pas senti…?

 

Dr. Williams (se dirigeant vers le lavabo): Eh bien c'est normal, et tu viens de faire la douloureuse expérience de ce dont je t'ai avertie à propos de la masturbation solitaire trop fréquente, que l'absence de partenaire ne fait qu'aggraver. Mais je ne pensais pas que tu en étais à un tel stade, chez toi la jouissance n'est même plus synonyme d'orgasme du tout. J'en déduis que tu te touches plus souvent que ce que as bien voulu me dire.

 

La belle Mélanie détourna la tête, honteuse. Il n'y avait pas à dire, cette femme connaissait sacrément bien son affaire.

 

Peut-être était-ce aussi pour ça qu'elle n'arrivait plus à jouir ces derniers jours, ou pire, peut-être qu'elle jouissait mais qu'elle ne l'avait déjà plus senti…? Cette idée commença à la paniquer intérieurement.

 

Dr. Williams (rinçant ses mains et coupant l'eau): Au-delà de toute considération d'orientation, ça n'en demeure pas moins un sacré handicap physique dans une vie sexuelle. Désolée, mon but n'est pas de t'inquiéter, mais les faits sont là. Et ce n'est pas en t'épargnant que je t'aiderais.

 

Le visage de Mélanie se décomposa totalement. Son problème n'était plus les doutes sur son hétérosexualité – et qu'elle croyait avoir levé – mais bien d'être possiblement condamnée à ne jamais connaître le plaisir dans les bras d'un garçon, voire plus du tout. La perspective d'une vie de couple sans plaisir sexuel lui paraissait inenvisageable après les orgasmes qu'elle avait déjà connus en solitaire. A ce point qu'elle était déjà en manque au bout d'une semaine de sevrage…! Que se passerait-il quand ça ferait des semaines entières, des mois, des années…!? Et qu'un petit-ami, un fiancé, un mari, ne pourrait pas la satisfaire…!

 

Mélanie (le stress se lisant dans sa voix): Aucun garçon n'arrivera jamais à me faire jouir alors…?

 

Dr. Williams (éludant… s'essuyant les mains): Je ne peux pas le certifier à 100%, mais la possibilité que tu ne puisses jamais avoir d'orgasme existe, oui. Je dirais une probabilité de l'ordre de 99% de chances. Sans compter que la masturbation seule perd de son effet avec le temps, sans autre stimuli il viendra tôt ou tard un moment où ce ne sera plus suffisant pour ressentir la jouissance physique. En t'en que médecin, je recommanderais dans ton cas un traitement direct pour atténuer les effets néfastes de cette désensibilisation au plus vite.

 

Le visage de Mélanie ne fut pas le seul à s'être lentement déconfit à l'écoute des propos de la sexologue. Sarah, qui n'avait connu que la masturbation depuis son remariage et le départ express de son mari se sentit soudain douloureusement concernée. Elle s'inquiéta d'autant plus qu'elle avait été dopée dans sa besogne par la proximité de sa belle-fille. Ce fut donc plus fort qu'elle, et faisant fi de la présence de Mélanie et de sa propre crédibilité, elle commença à questionner pour son propre compte.

 

Sarah (anxieuse): L'abus de la masturbation peut vraiment aller jusqu'à ne plus ressentir l'orgasme…?

 

Dr. Williams: Si vous parlez de Mélanie, en ce qui la concerne le constat est là, malheureusement.

 

Sarah (hésitante): Je… Je ne posais pas la question pour elle, justement.

 

Dr. Williams (comprenant): Oh…

 

La ravissante Mélanie dont la nudité ne cessa pas vraiment de faire effet sur les deux autres occupantes de la pièce ne pipa mot, mais sa surprise était sans doute plus grande que celle du médecin. "Voyez-vous ça…", pensa-t-elle. Ca voudrait dire que Sarah, sa belle-mère si droite et intransigeante s'adonnerait en secret à ce qui lui avait value ses propres mésaventures…? Et encore, pour que Sarah s'inquiète des effets néfastes de la pratique, ce n'était certainement pas qu'un peu.

 

Dr. Williams: Eh bien c'est surtout vrai quand la masturbation constitue l'entièreté de notre vie sexuelle, quand on n'a pas de partenaire régulier ou occasionnel. Donc à moins d'être délaissée par son conjoint, les femmes mariées ne sont pas concernées. Et si vraiment il y a délaissement, le plus souvent il faut simplement trouver le moyen de faire renaître le désir chez monsieur.

 

Sarah: Mais voyez-vous docteur, mon mari est en voyage à l'année en raison de son travail, et pour tout dire, il n'a pas eu l'occasion d'accomplir son… devoir conjugal, depuis la noce. Il va faire quatre mois de ça. Et pour moi il n'est pas question de me montrer infidèle en allant coucher ailleurs. Malgré cela j'ai des envies que je suis réduite à combler… moi-même. Mais avec ce que vous m'apprenez, je crains pour la suite.

 

La jeune et jolie Mélanie s'en voulue immédiatement d'avoir si vite jugé sa belle-mère. Tout à son égoïsme pensa-t-elle intérieurement, elle n'avait pas compris la situation que vivait Sarah en réalité au quotidien. L'absence quais continuelle de son père ne signifiait plus grand-chose pour elle-même, mais pour Sarah cela signifiait l'absence de son amant. Et par soucis de ne pas coucher en dehors du lit conjugal, elle en était elle aussi réduite à se faire du bien toute seule. Comment lui en vouloir se demanda la femme-enfant au beau regard émeraude…? Une semaine sans jouissance du corps et elle était déjà sur sa faim, alors presque quatre mois entiers… Mélanie releva les yeux sur cette jolie épouse esseulée, et porta sur elle un regard compatissant.

 

Dr. Williams: Oui, je vois. Votre situation est effectivement délicate.

 

Et c'était vrai. Depuis son mariage avec Robert, le père de Mélanie, tout son temps avait été occupé par son installation en France et par les prochaines étapes de son petit projet concernant la fille de ce dernier. Elle n'avait guère eu de temps ou d'énergie à consacrer à autre chose, comme nouer de nouvelles relations d'ordre sexuel, et elle ignorait encore combien de temps elle aurait à se satisfaire seule avant de pouvoir mettre Mélanie dans son lit.

 

Sarah: Du coup, je voudrais vous demander, si peut-être, utiliser des accessoires permettait de contourner le problème…?

 

Dr. Williams: Vous parlez de sex-toys…? Malheureusement non. Il n'existe aucun palliatif au toucher d'une autre personne que soi. C'est comme tenter se chatouiller soi-même avec une plume, votre corps sait.

 

Sarah: Mais vous avez parlez d'un traitement médical à l'instant…

 

Dr. Williams (tirant un tabouret pour s'y assoir): Oui mais c'est une chose qu'on réserve au cas les plus avancé, en dernier recourt. Ce n'est pas fait pour poursuivre une vie mono-sexuelle mais pour en contrer les effets indésirables, pour se réadapter à une sexualité partagée. De plus son effet a une durée limité qui offre une fenêtre de temps qu'il est nécessaire de mettre à profit pour multiplier les expériences, afin que ce soit efficace sur le long terme. Multiplier les expériences augmentant les chances de connaître l'orgasme, je dirais même que plus on a de partenaires durant cette période, mieux c'est.

 

La jeune fille senti le nœud qui s'était formé dans son estomac se détendre un poil. Il y a avait donc bien concrètement quelque chose à faire, au moins pour elle. Mais ce serait déjà une solution de dernier recourt. Elle se serait presque maudit de ne pas avoir accepté de coucher avec au moins l'un ou l'autre de tous ces garçons qui lui avaient fait des avances, elle n'en serait peut-être pas là aujourd'hui; une jeune vierge avec une vie sexuelle au futur bien sombre…

 

Dr. Williams (sollicitant): N'allez pas répéter que je vous ai dit ça, cette dernière partie, parce que même pour une sexologue il n'est pas très admit d'avoir ce genre de propos, vous savez. C'est un discours pas très en phase avec la société moralisatrice, et on se retrouve vite avec un collectif féministe sur le dos de nos jours.

 

Sarah (assurant): N'ayez crainte.

 

Elle ne sut si c'était de la contrariété ou de la résignation, mais le Docteur Williams vit clairement que Sarah n'était pas sereine avec son discours. Elle en fut désolée pour elle, comprenant sa situation, elle avait pourtant bien une solution alternative à lui soumettre, mais elle ne savait pas trop si le moment était le bienvenu. Car elle était là avant tout pour traiter le cas de sa jeune patiente, et allait devoir reporter son attention sur elle. Même si à bien y penser…

 

Dr. Williams (gênée): J'aimerais vous apporter une autre réponse…

 

La belle anglaise était partagée, visiblement elle allait devoir mettre un frein à ses masturbations solitaires, mais d'un autre côté, la frustration engendrée la forcerait à redoubler de volonté pour faire passer la douce et innocente Mélanie à l'acte. Mais à quoi bon si la petite devenait frigide de son côté…? Non, il fallait intervenir dans son cas, et le plus tôt serait le mieux. Après tout ce qu'elle avait consentit, il n'était pas question de laisser la libido de sa fille d'adoption s'évanouir comme une fleur avant d'avoir été cueilli.

 

Sarah: Ne vous culpabilisez pas, j'en ferais mon affaire. Mais et pour Mélanie…? Il est encore temps de faire quelque chose, ce… traitement, peut-il l'aider…? C’est-à-dire que je n'aimerais pas qu'elle soit condamnée à ne pas pouvoir s'épanouir totalement.

 

Encore une fois la jeune fille fut réellement surprise. L'inquiétude de sa belle-mère pour elle allait jusqu'à se soucier du bien-être de sa vie sexuelle à ce point…? Les anglaises n'étaient peut-être pas aussi puritaines qu'elle le pensait finalement. Ou alors elle avait une belle-mère particulièrement attentive et aimante.

 

Mélanie: C'est quoi ce traitement dont vous parlez Dr. Williams…?

 

Dr. Williams (pivotant sur son tabouret): J'allais justement l'expliquer. Donc pour en revenir au sujet qui te concerne, de traitement il s'agit en fait d'une petite injection faite sous anesthésie locale, au niveau du bulbe interne du vagin. On y injecte une petite quantité d’acide hyaluronique, une molécule produite naturellement par le corps. Injectée à cet endroit elle permet de rehausser la sensibilité des rapports intimes.

 

Mélanie: Et après ça on peut avoir du plaisir de nouveau…?

 

La jolie sexologue s'amusa intérieurement de la naïveté craquante de la jeune fille. Elle n'était pas encore une femme finalement, malgré ce que son corps en disait.

 

Dr. Williams (retenant un petit rire, souriant): Oui, on peut, mais ce n'est pas aussi simple. L'effet n'est pas permanant, il commence à s'atténuer entre le quatrième et le sixième mois, et finit par disparaitre totalement entre neuf à douze mois maximum après l'injection. C'est pour ça qu'il faut profiter au mieux de ce laps de temps pour instruire son corps et son esprit au plaisir d'être touché par autrui.

 

Voilà qui faisait parfaitement les affaites de Sarah. Elle ne demandait précisément pas mieux que de faire son éducation sexuelle à sa belle-fille, ce serait donc elle qui se chargerait de ça.

 

Sarah: Et c'est justement ce que vous proposez pour elle, n'est-ce pas…?

 

Dr. Williams: Oui enfin, ce n'est qu'une recommandation de spécialiste, la décision vous appartient à vous seule, si votre fille en exprime le souhait.

 

La jolie britannique allait plaider pour sa paroisse quand Mélanie la prit de vitesse.

 

Mélanie: Faisons ça…!

 

Les deux femmes la regardèrent, ne s'attendant pas à une telle prise de position.

 

Mélanie (s'inquiétant): Ca ne fait pas mal…?

 

Dr. Williams (se levant): Non, l'anesthésie se fait sans piqûre et il n'y a aucune douleurs consécutives à l'injection elle-même.

 

Mélanie: Alors faisons-le…! Il y a déjà plus d'une semaine que je n'arrive plus à… jouir, et je n'aimerais pas que ça dur toute la vie.

 

"Depuis une semaine, hein…? Alors l'envie ne t'étais pas passé, petite sotte de gourmande", se félicita intérieurement Sarah. La sexologue aux yeux foncés reporta son regard sur elle, et Sarah acheva d'entériner la requête explicite de sa chère et tendre belle-fille.

 

Sarah: Vous l'avez entendu comme moi Docteur Williams. Nous allons prendre rendez-vous pour se faire.

 

Dr. Williams (sortant une paire de gants médical d'un tiroir): Pourquoi ne pas faire ça tout de suite…? Vous êtes mon seul rendez-vous de la matinée, et ça ne prendra qu'une vingtaine de minutes.

 

Mélanie: C'est d'accord. Tu es d'accord Sarah, pas vrai…? S'il te plaît…!

 

Dr. Williams: L'accord d'un parent est indispensable.

 

Sarah (saisissant l'occasion de se faire bien voir par Mélanie): Ca va, c'est d'accord.

 

Mélanie (exultant presque): Génial…! T'es la meilleure…!

 

"Attend de me dire ça dans un lit", pensa malicieusement Sarah, dont le sexe frémit dans son dessous à cette pensée.

 

Le joli docteur enfila ses gants bleutés et entreprit les préparatifs rapides pour procéder à l'intervention mineure, entreposant le matériel nécessaire sur le plateau d'acier du chariot avant d'ajuster la position de Mélanie en plaçant ses jambes sur les étriers. Elle prit place ensuite devant l'intimité de sa jeune patiente en tirant son tabouret, et put sentir au passage que le sexe de la jeune fille était encore légèrement odorant. Inhalant presque malgré elle la douce fragrance intime de la si jolie Mélanie, la femme céda la place au médecin pour commencer la première étape.

 

Dr. Williams (expliquant): Tout d'abord je vais anesthésier la zone où je vais injecter la molécule, pour ça je vais placer ce petit œuf dans la zone d'entrée de ton vagin. Il va diffuser un dérivé spécialement adapté de Proxymétacaïne, un anesthésiant sans contre-indication d'après ton dossier médical, l'effet sera donc rapide mais court.

 

Montrant l'outil anesthésiant de taille modeste à la jeune fille, le Docteur Williams poursuivi.

 

Dr. Williams: Tu n'as pas d'inquiétude à avoir, il ne peut pas franchir ton hymen, mais le mieux est tout de même que tu restes parfaitement immobile pendant qu'il délivre sa dose d'anesthésique.

 

La jolie jeune fille sentit une sensation de froid au niveau de ses chairs intimes, puis l'objet vint se placer dans son sexe, guidé par la sexologue confirmée.

 

Dr. Williams (se relevant, allant jeter ses gants): Voilà, il est en place. Ca va prendre une dizaine de minutes pour que l'anesthésiant se diffuse. Nous allons te laisser tranquillement en passant à côté en attendant. A tout de suite. Madame de Frémont, si vous voulez bien…?

 

Suivant la praticienne, Sarah sortit à sa suite en laissant Mélanie allongée seule dans l'autre pièce, et les deux femmes reprirent place dans les sièges qu'elles occupaient précédemment.

 

Sarah (confiant): Maintenant que nous sommes seules, je peux vous le dire: vous êtes incroyable…! J'avais un peu peur du fait que vous refusiez de me parler de vos méthodes, mais la façon dont vous l'avez mise dans votre poche… Vos honoraires sont largement mérités.

 

Dr. Williams (crachant, mécontente): Et vous, vous êtes une sacrée garce…!

 

Le ton était dur, et clairement réprobateur. En tout cas largement de quoi surprendre l'anglaise qui ne s'attendait pas à pareille récriminations en réponse à son éloge.

 

Dr. Williams: Déjà, je vous avais explicitement formulé pour seule et unique requête de n'intervenir à aucun moment. Cela m'a obligé à composer avec vos prises de paroles, mais j'y suis habituée et heureusement pour vous, cela a pu jouer en votre faveur. Alors je passe sur ce point. En revanche…

 

 

Les yeux de la jolie noiraude incendiaire se rétrécirent un peu plus.

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Sarah et Mélanie, de KS - Communauté : Soumissions féminines
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