Chapitre 1
A bientôt vingt ans, Pauline Guéret redouble sa terminale et elle reste pourtant une élève assez médiocre dans la plupart des matières. En Maths, c’est même la cata la plus complète.
Deux fois par semaine, elle voit arriver les heures de maths avec d’autant d’appréhension que cette année, le prof a changé. M. Némard est un ancien officier reconverti. Ces coups de gueule en font un prof craint et respecté et personne ne s’aviserait d’oser lui tenir tête.
Pauline avait entendu parler de lui depuis plusieurs années et espérait ne jamais l’avoir, et surtout pas dans cette matière.
Dès les premiers cours, il s'est aperçu des difficultés de la jeune fille. Si c’est un prof sévère, c’est aussi un pédagogue consciencieux et refusant de laisser une élève à la traîne, il l’a prise sous son aile. D’autant que le charme naturel de la jeune fille ne le laisse pas indifférent. Pauline est en effet une très jolie blonde aux cheveux mi- longs, d’1m70, pour près de 70 kg. Sa poitrine généreuse, du 95 C, attire tous les regards.
Il l’aide donc très souvent, en la prenant à part après le cours pour lui réexpliquer la leçon. C’est aussi elle qu’il envoie le plus souvent faire des exercices au tableau.
Pauline se passerait bien de ces attentions. Quand elle se retrouve seule avec lui dans la classe, elle est tellement impressionnée et mal à l’aise qu’elle ne profite pas vraiment de ses cours particuliers. Il s’assied à côté d’elle et reprend patiemment ses explications sans se rendre compte à quel point il l’intimide. Tandis qu’il parle, elle est captivée par cet homme énergique et encore jeune, son attention s’évade vers cette grosse veine qui bat sous sa tempe, sa nuque de taureau, ses cheveux coupés courts, ses longs doigts qui s’agitent nerveusement.
Mais ce qui la trouble le plus, c’est d’être appelée au tableau près de lui devant toute la classe. D’un naturel timide, elle déteste être le centre de l’attention et dès qu’elle se retrouve sur l’estrade, elle a l’impression de perdre tous ses moyens, qui sont déjà très limités.
Les efforts de Monsieur Némard s’avèrent donc vains et au terme du trimestre, Pauline n'aboutit qu’à un lamentable échec.
Elle est convoquée avec ses parents par le directeur pour un entretien de bilan en présence du professeur. D’emblée, le directeur fait part de ses inquiétudes : l’année de Pauline est d’ores et déjà sérieusement menacée. Monsieur Némard expose les efforts qu’il a entrepris pour remédier aux faiblesses de son élève et regrette que tout ce temps investi semble l’avoir été en pure perte. Madame Guéret se contente de soupirer qu’il est malheureux que Pauline comme beaucoup d’adolescentes de sa génération n’ait que l’amour en tête. Elle reproche à sa fille de passer beaucoup trop de temps sur les réseaux sociaux au lieu d’étudier. Son mari, pour sa part à la présence d’esprit de remercier le professeur pour l’attention qu’il porte à sa fille mais à son avis, il n’y a aucune raison de lui consacrer tant de temps. Il ne voit pas pourquoi sa fille devrait bénéficier d’un régime de faveur, pourquoi devoir systématiquement lui réexpliquer ce que les autres comprennent du premier coup. Il se demande si plus de sévérité ne porterait pas davantage de fruits. Le directeur abonde dans son sens, la solution doit venir de Pauline elle-même et son comportement doit radicalement changer dès le début du deuxième trimestre. Il demande à son collaborateur de ne plus accorder de cours particuliers à cette élève mais de surveiller étroitement son travail. Quant au surcroît de sévérité suggéré par Monsieur Guéret, il précise qu’il n’y a pas lieu de l’envisager dès à présent, il veut encore croire que la jeune fille peut s’amender mais il l’avertit que si nécessaire il se concertera à ce sujet, avec son professeur et ses parents.
Pauline ne se défend pas, elle a écouté ces échanges, recroquevillée sur sa chaise et ne peut que bafouiller des promesses de travailler davantage à l’avenir.
Monsieur Némard ne s’attendait pas à ce genre de réflexions mais il constate à quel point Pauline a piqué un fard quand sa mère a parlé de sa vie privée.
Cet entretien l’a profondément interpellé et peu à peu, il se persuade que les problèmes de Pauline ne sont pas seulement de compréhension. Sans doute, cette fille a-t-elle la tête ailleurs qu’à ses études et ne travaille-t-elle pas assez.
Son attitude à son égard change dès lors radicalement, il continue certes à l'aider mais se montre plus intransigeant. Pour vérifier son travail, il l’appelle souvent le lundi matin sur l’estrade en début de cours et lui fait réciter la théorie de la semaine précédente. Il enrage quand elle hésite sur ce qu’elle devrait connaître sur le bout des ongles. Un jour, il se met en colère de la voir hésiter une nouvelle fois en récitant des formules qu’elle devrait avoir appris par cœur. Il trouve proprement intolérable qu’une élève en difficulté ne fasse même pas l’effort de mémoriser ce qui ne réclame aucune compréhension.
Il laisse Pauline bredouiller en faisant les cent pas derrière elle et la grande règle en bois qu’il balance au bout de son bras trahit son agacement.
Par la suite, cela devient un rituel, une fois par semaine au moins, Pauline doit se rendre au tableau dès le début du cours. Elle est tellement stressée avant même d'entrer, qu’en se dirigeant vers l'estrade, elle en oublie souvent la moitié de la leçon.
Plus le prof lui fait des reproches, plus elle perd ses moyens.
Un vendredi, au lieu de la gronder une fois de plus, il se sert de sa règle pour lui claquer les fesses d'un coup sec.
Pendant quelques secondes, les élèves sont tellement surpris qu'un silence de plomb s'installe. Pauline rougit jusqu'aux oreilles et passe inconsciemment sa main sur ses fesses, ce qui provoque quelques rires nerveux dans la classe, vite calmés par un regard furibard du prof. Pauline reprend du mieux qu'elle peut son explication en gardant comiquement une main derrière elle pour se protéger.
Renvoyée à sa place, elle vit la suite du cours, comme un véritable cauchemar. Tête obstinément baissée, elle attend impatiemment la sonnerie marquant la fin de la journée pour se hâter de rentrer chez elle en fuyant les interpellations goguenardes, compatissantes ou indignées de ses camarades.
Chacun se dit que Monsieur Némard a dû, un bref instant, perdre son self contrôle et que son geste impulsif restera sans lendemain. Aussi est-on stupéfait, lorsque dès le lundi, la règle s’abat à nouveau sur le popotin d’une Pauline plus hésitante que jamais.
Les semaines suivantes, la malheureuse reçoit de la même façon, quelques coups de règles, ce qui désormais fait pouffer discrètement les autres. Avant chaque cours, l’un ou l’autre la plaisante : a-t-elle mis un slip blindé sous son jean ? Et après le cours, on commente tous azimuts la performance du jour, on lui offre de la crème apaisante ou on lui propose des massages « approfondis » afin de la soulager.
Pauline est à présent persuadée que Monsieur Némard n’a pas décidé seul de la traiter ainsi. Elle se rappelle des menaces à peine voilées du directeur et qu’il s’était engagé à se concerter avec ses parents avant d’adopter des mesures disciplinaires à son encontre. Elle est tentée d’interroger sa mère pour en savoir plus mais elle renonce devant l’embarras de parler en famille des humiliations qu’elle subit en classe.
Un jour qu'elle est une nouvelle fois au tableau pour réaliser un exercice, elle éprouve de grosses difficultés. Monsieur Némard passe et repasse dans les rangs en balançant toujours sa règle. Quand, il s'approche de l'estrade, Pauline se cambre et contracte ses fesses de peur de recevoir la règle ce qui suscite quelques rires étouffés. Mais cette fois, les claques attendues ne viennent pas et le prof la laisse terminer l'exercice malgré ses nombreuses erreurs.
- Et vous êtes fière de vous ? Un exercice si facile quand on connaît ses quelques formules !
Pauline fixe le tableau sans se retourner.
- Tout est faux, vous n'avez rien appris ! Autant de fainéantise de votre part démontre que les coups de règles sur vos fesses n'ont aucun effet !
Elle ne bouge pas, elle est gênée que le prof parle ouvertement de ses fesses.
Monsieur Némard continue de marcher dans les rangs.
- Il faudra peut-être que nous passions à la vitesse supérieure . . . Qu’en pensez-vous ? La prochaine fois, nous pourrions essayer de vous administrer le traitement d’une autre façon : pourquoi pas pantalon et culotte baissés ? Peut-être comprendriez-vous mieux les maths, les fesses à l’air !
Pauline tourne un instant la tête vers lui, elle a la bouche ouverte et l’air abasourdi devant l’énormité de ce qu’elle vient d’entendre mais se rendant compte que tout le monde la regarde, vite elle revient vers le tableau. Dans la classe, personne n'ose réagir, mais les différents regards suffisent à exprimer l'état des élèves qui va de l’incrédulité au plus cruel amusement.
Sur l’ordre du prof, elle regagne sa place, les yeux fixés sur ses chaussures.
- Après le cours, vous resterez en colle et vous me copierez cinquante fois : "Je dois apprendre mon cours si je ne veux pas recevoir une fessée culotte baissée".
Pauline, restée seule avec lui dans la classe, est bien contrainte d’obéir. Sous son regard moqueur, la voilà qui s’applique à faire des lignes comme une petite fille.
Quand elle lui soumet son travail, il indique en lettres capitales son nom au-dessus de la feuille. Il l’entoure au fluo rouge pour le mettre encore mieux en évidence et lui dit :
- Nous allons afficher votre punition sur le mur à côté du tableau. Cette feuille y restera, bien visible pour tous, jusqu’à ce que vous ayez atteint la moyenne. A chaque fois que vous entrerez dans cette salle, ça vous rappellera ce que vous risquez. J’espère qu’ainsi vous vous déciderez enfin à faire un effort !
Et il placarde le feuillet juste à côté du tableau.
– Dommage que je n’ai pas de photo de vous, je l’aurais punaisée aussi pour que ceux des autres classes puissent vous reconnaître. Enfin cela viendra peut-être un jour, en attendant votre nom suffira, je crois qu’il va vite faire le tour de l’établissement, vous allez devenir l’élève la plus connue du lycée.
Sur ce, il la congédie.
De retour chez elle, Pauline n’y tient plus. Il faut qu’elle parle à sa mère de ce qui s’est passé, il lui semble impossible que ses parents aient marqué leur accord pour ce genre d’humiliation.
Mobilisant tout son courage, elle interroge sa mère mais celle-ci la rabroue aussitôt :
- Tu ferais mieux de te mettre à étudier sérieusement au lieu de te plaindre. En tout cas ne compte pas sur nous pour intervenir, tes professeurs savent très bien ce qu’ils font.
Pauline insiste en disant que si ce papier reste en place, elle ne pourra plus jamais regarder personne dans les yeux à l’école.
– J’espère bien que tu as honte que ton nom soit ainsi connu de tous ceux qui fréquenteront cette classe. Et pas seulement d’eux d’ailleurs, je suis sûre comme ton prof que cette histoire va vite faire le tour du lycée. Et ce n’est encore rien, tu sais ce qui te reste à faire si tu ne veux pas être réellement fessée comme une gamine.
Pauline en conclut que ce n’est pas de ce côté qu’elle trouvera un quelconque soutien. En parler à son père serait encore pire, elle risquerait de provoquer une réaction inverse à ce qu’elle souhaite.
Après cet épisode, Pauline redouble d'efforts mais hélas sans résultats tangibles.
Malgré la terrible menace affichée au mur, Monsieur Némard ne lui parle plus de lui baisser sa culotte et il retrouve son habitude de distribuer chaque semaine quelques coups de règles sur son jean.
Le jour de l’oral blanc destiné à préparer le bac des matières littéraires, le cours de math a été déplacé en début d’après-midi. Pauline espère bien que Monsieur Némard ne l’appellera pas au tableau, cette fois car comme il est de tradition pour se présenter à un oral, elle a délaissé ses éternels jeans pour s’habiller plus chic : une jupe légèrement évasée, un chemisier blanc et une veste de tailleur.
Elle ne se voit pas aller au tableau dans cette tenue. Et puis une pensée la tourmente : sa jupe, si facile à relever, pourrait donner des idées au prof de math, ce serait vraiment trop affreux de recevoir un coup de règle sur sa culotte devant tout le monde.
L'angoisse monte encore quand, sur le seuil de la classe, un de ses amis lui demande si elle a bien revu le dernier théorème. Elle s’est tellement concentrée sur la préparation de ses oraux qu'elle a complètement zappé ce fichu théorème.
Elle tente de se rassurer en se rappelant qu'elle est déjà passée au tableau cette semaine et qu’il est rare qu’il l’interroge deux cours de suite…
Monsieur Némard entre en classe et laisse les élèves s'installer, notant que la jeune fille est venue en classe en jupe.
Quand tout le monde est prêt, il invite Pauline à monter sur l'estrade pour refaire la démonstration du théorème. Une énorme boule se forme dans son ventre et il lui faut tout son courage pour se lever, parmi les sourires des autres. Le bruit de ses talons hauts résonne sur le carrelage quand elle traverse la pièce, elle sent les regards lourds glisser le long de ses jambes fuselées. Quand elle se retourne, voir chacun suspendu à ses lèvres la stresse tant qu'aucun son n'arrive à sortir de sa bouche. Tout le monde attend en silence et elle est pétrifiée, tout se confond dans sa tête et elle ne sait par où commencer. Elle voit avec angoisse le prof se lever et saisir sa règle :
- Retournez-vous !
Pauline hésite, jamais auparavant, il ne lui avait demandé ça. Elle fait un demi-tour et ferme les yeux, elle en est sûre maintenant, dans quelques instants sa jupe va être relevée. Elle pense à ce qu'elle porte en dessous et se concentre pour ne pas craquer.
- Courbez-vous en avant pour présenter vos fesses à la règle !
Au bord des larmes, elle obéit…
- Courbez-vous plus encore !
Elle se penche davantage, ce qui a pour effet de remonter l'arrière de sa jupe sur ses cuisses. Sa culotte n'est pas visible, mais l’on discerne la démarcation de ses dim-up en haut de ses cuisses.
On pourrait entendre une mouche voler dans la salle. Une larme vient de tomber sur le sol. Même si elle ne veut pas le faire voir, Pauline est prise de panique. Elle vient de penser qu’il pourrait aller jusqu’à lui baisser la culotte, comme il l’en a menacée.
Elle serait horriblement indécente dans cette position.
Au lieu de ça, deux coups secs arrivent sur ses cuisses, juste sous l'ourlet de sa jupe. Deux belles marques rouges se forment aussitôt.
- Vous pouvez retourner à votre place !
Pauline se redresse et essuie ses yeux, elle semble un instant ne pas y croire, puis elle retourne à sa place toute à sa honte, mais infiniment soulagée.
- Je m'entretiendrai avec vous à la fin du cours…
Quand la sonnerie retentit, les élèves rangent leurs affaires dans un joyeux désordre où les rires narquois se mêlent aux commentaires grivois. Pauline rassemble aussi ses affaires, mais reste assise sur sa chaise sans lever la tête tandis que les autres quittent la salle.
Déjà, les premiers élèves du cours suivant entrent mais Monsieur Némard les renvoie dans le couloir en précisant qu’il doit s’occuper de Pauline Guéret avant leur cours. Il les invitera à entrer quand il en aura fini avec elle.
- Mademoiselle, venez me lire la phrase que je vous ai fait copier cinquante fois !
Elle se lève et va jusqu'au mur, elle jette un regard aux élèves qui patientent dans l’encadrement de la porte. Son professeur s’est assis sur son bureau.
- Allez-y je vous écoute…
Rouge de honte, elle lit le texte à haute voix :
- Je dois apprendre mon cours . . . si je ne veux pas . . . recevoir une fessée culotte baissée.
Des rires éclatent dans le couloir, on se bouscule pour mieux voir ce qui se passe.
- Vous m'avez convaincu aujourd'hui que je dois mettre cette menace à exécution !
Pauline lui jette un regard implorant mais il se contente de lui conseiller d'aller fermer la porte.
Elle est obligée de croiser quelques regards brillants en allant fermer cette porte.
Celle-ci la met relativement à l'abri, mais elle sait pour l'avoir déjà fait, que l'on peut voir dans la salle non seulement par le trou de la serrure mais surtout à travers les grandes vitres peintes, là où la couleur s’est détachée. Elle est consciente que déjà, certains la voit se retourner vers le prof.
- Même si vous le méritiez, aujourd'hui, je ne vous ai pas baissé votre culotte, ni même relevé votre jupe devant vos camarades. Je voulais vous donner une ultime chance. Mais je vous préviens solennellement que, la prochaine fois, il n'y aura pas de demi-mesure : votre jupe sera relevée sur l’estrade devant toute la classe et votre culotte sera impitoyablement baissée aux chevilles. Si vous êtes en jeans, je commencerai par vous demander de vous en débarrasser.
Tête basse, elle écoute son prof, son cœur bat à tout rompre, elle lutte pour ne pas pleurer. Elle ne parvient plus à ordonner ses pensées. Pour l’instant elle voudrait seulement qu’il parle moins haut tant elle est gênée de ce que l’on doit entendre dans le couloir. Il lui fait ôter sa veste, elle doit retourner la poser sur sa chaise. A nouveau, ses maudits talons claquent dans le silence tandis qu’elle va et vient à travers la pièce. De retour sur l’estrade, il s'approche d'elle et son bras la guide doucement pour qu’elle se penche en avant. Elle se retrouve dans la même position que précédemment, mais cette fois, il lui relève sa jupe sur son dos, dégageant son postérieur encore couvert par une culotte de coton blanc.
Elle veut se redresser mais il appuie sur la nuque pour qu'elle ne bouge pas.
- Cette petite démonstration vous fera prendre conscience de ce que vous risquez, car c'est ainsi que vous serez fessée et je baisserai votre culotte de cette façon !
Il s’accroupit derrière elle et sans hésitation, ses pouces se glissent sous les élastiques de sa culotte qu’il baisse en même temps. Pauline a le souffle court, elle se retrouve les fesses à l'air avec sa culotte aux genoux.
Un tohu-bohu se fait entendre venant de l’extérieur.
Monsieur Némard sourit, elle se présente de flan aux voyeurs ; à dessein, il contourne Pauline pour se placer du côté opposé au couloir de façon à dégager la vue pour les voyeurs et l’emprisonne en lui passant un bras au creux des hanches.
Ce contact sur sa peau nue embarrasse Pauline au plus haut point. C'est la première fois qu'il la touche, puisqu’il a toujours utilisé la règle. C’est pire encore quand sa main libre s’abat sur le bas d’une de ses fesses. Pauline, de gêne resserre les jambes. La fessée à main nue se poursuit, les claques voltigent d’une fesse à l’autre, à pleine main. On dirait que le prof s’applique pour qu’elles résonnent le plus fort possible. Malgré ses fesses qui commencent à lui chauffer, Pauline ne peut enlever de son esprit ce que les élèves du couloir sont en train d’entendre et de voir. Elle ne se fait aucune illusion à ce sujet, d’ailleurs des bruits de bousculade lui parviennent de temps à autre, on doit se presser autour des meilleures places. Le prof aussi doit s’en douter et pourtant il ne fait rien pour la mettre à l’abri des regards, au contraire il prend tout son temps, il claque les deux fesses sans forcer, il veut que Pauline se souvienne bien de sa fessée et des conditions dans laquelle elle l'aura reçue, mais sans que la douleur ne vienne masquer le sentiment de honte d’être exposée. Il commente même à voix haute :
- Vous voilà fesses nues, vos sous-vêtements bien hors du chemin.
Il s’interrompt un instant pour joindre le geste à la parole en abattant le slip jusqu’aux chevilles.
- Si je dois vous punir une nouvelle fois, ce sera comme ça. Devant toute la classe. Je peux vous assurer que vous offrirez un sacré spectacle à vos camarades ! Et comme je vous claquerai les fesses beaucoup plus fort, je doute que vous résistiez longtemps à garder vos cuisses si bien serrées! Imaginez ce que vous allez leur faire découvrir alors que j'en vois déjà beaucoup plus qu'une jeune femme devrait montrer…
Et en effet M Némard avait une vue imprenable sur le sexe de la jeune fille à peine voilé d’un fin duvet blond.
Pauline rougit jusqu'aux oreilles et resserre encore les fesses.
Monsieur Némard lui donne une dernière claque plus appuyée et termine en lui poignant solidement la fesse, puis il la libère.
Pauline se redresse doucement, complètement perdue, incapable de réaliser qu'elle vient de recevoir une fessée, tandis que déjà, il se dirige vers la porte qu’il ouvre toute grande. La jupe a juste le temps de retomber sur ses fesses au moment où les premiers élèves entrent dans la pièce en affichant de grands sourires.
Sans se préoccuper de ces témoins, il assène encore :
- Alors ! Dépêchez-vous de remettre votre culotte ! Et souvenez-vous que la prochaine fois, ce sera devant toute votre classe.
Pauline refait surface et maladroitement, elle remonte sa culotte et sous sa jupe. Elle rajuste son chemisier à la hâte et sort de la classe en oubliant ses affaires et sa veste.
Son professeur est obligé de la rappeler, rouge de honte, elle revient pour les chercher...
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