Dimanche 4 mai 7 04 /05 /Mai 18:36

Chapitre 4

 

Vendredi matin, au sortir de sa douche, Pauline hésite. Mettre la jupe qu’elle a préparée ou son jean habituel ? Une jupe va attirer tous les regards dès son arrivée au lycée, ce sera trop dur. Elle passe son jean, puis le retire en s’imaginant devoir se tortiller devant les autres pour l’enlever. Au moins une jupe peut n’être que relevée et elle a choisi un modèle particulièrement évasé à dessein. Le choix de ses sous-vêtements est aussi problématique. Elle y a songé toute la nuit. Avec un string, elle peut espérer qu’il le laissera en place. Mais, elle n’en a qu’un seul et elle ne l’a jamais mis sous une jupe. S’il y a un coup de vent ou qu’un de ces cons s’amusent à lui relever la jupe dans la cour...non, décidemment, elle préfère passer une de ses culottes Petit Bateau, bien plus couvrante. Elle l’abaisse sous ses fesses, le coton glisse facilement, rien ne l’obligera à le descendre plus bas, ce sera déjà assez humiliant comme ça. Des collants ou pas ? Là aussi elle a tourné et retourné le dilemme dans sa tête pendant son insomnie. En tout cas pas de bas, ce serait trop sexy ! Mettre des collants, cela veut dire lui permettre de baisser encore un truc mais d’un autre côté, les nylons vont s’accumuler avec sa culotte sous ses fesses ce qui protègera un peu son intimité.

Son cours de Maths est en deuxième heure. En entrant au lycée, sa tenue fait sensation, c’est tellement rare de voir une fille en jupe. Les plus futés se disent que cela pourrait annoncer quelque chose de réjouissant et derrière son dos, les spéculations vont bon train. L’on se raconte la scène du grand hall, on se rappelle qu’il y a cours de math aujourd’hui, on tient des paris et la fièvre s’accroit en passant de groupe en groupe.

La première heure défile à toute vitesse et un terrible nœud se forme dans l’estomac de Pauline quand retentit la sonnerie. Alors que ses camarades se dirigent avec un zèle inaccoutumé vers la salle de Maths, elle ne peut se résoudre à s'y rendre de suite et va s'enfermer dans les toilettes.

Monsieur Némard demande agacé où est Pauline. Personne ne peut le lui indiquer, mais on assure qu'elle était bien présente au premier cours.

Au bout de dix minutes à se raisonner, Pauline se décide à rejoindre sa classe. Elle se doute que ce sera encore pire si elle n'y va pas. Avant d'entrer elle hésite encore quelques secondes, puis frappe à la porte.

Le cours est déjà commencé, et elle se dirige vers sa place le cœur battant à tout rompre.

-Attendez Mademoiselle ! Vous êtes en retard, vous me devez sûrement des explications. »

Elle commence à bredouiller des excuses, mais Monsieur Némard la coupe.

-Déposez votre sac et votre veste et venez plutôt vous expliquer sur l'estrade devant tout le monde. D'ailleurs c’est là que vous allez rester tout le cours, ainsi que les deux heures suivantes car je vous annonce que vous êtes punie dans ma classe toute la matinée. »

Elle monte sur l'estrade, mal à l'aise, elle baisse la tête et tire sur sa jupe lorsqu'elle se retourne vers la classe.

-Allez-y, on vous écoute !

-Je suis en retard parce que je ne me sentais pas bien... »

Monsieur Némard la rejoint sur l'estrade.

-Je peux comprendre que vous ne vous sentiez pas bien avant de recevoir une fessée, cela prouve que la punition sera  très efficace. Mais ce n'est pas une raison pour être en retard. »

Pauline a un sursaut quand il prononce le mot fessée, elle rougit qu'il parle aussi crûment de sa punition devant tout le monde.

L’annonce provoque par contre un joyeux remue-ménage dans la classe. On s’interpelle sans retenue, on se pousse du coude, les parieurs se claquent les mains, cette fois, c’est sûr le moment tant fantasmé est arrivé.

Le professeur laisse s’exprimer ce trop plein d’émotions avec une indulgence inhabituelle. Pauline croise un instant les yeux de Brieuc, il a le regard méchant et triomphant et elle se dit qu’il aurait mieux valu lui céder quand il a voulu la fesser.

-Le quart d'heure que vous avez loupé ce matin, vous le rattraperez seule avec moi, à la fin de la matinée, j’y ajoute un quart d'heure supplémentaire pour votre peine. Concernant votre fessée, afin de ne pas déconcentrer davantage vos camarades, nous attendrons la dernière partie de l'heure. »

La classe s'agite, des regards s'échangent, mais cette fois Monsieur Némard calme tout son monde d'un regard circulaire.

-En attendant votre fessée, vous allez rester à genoux sur l'estrade face au tableau et à la punition que vous avez vous-même écrite, cela vous rappellera ce qui vous attend. Et pour faire bonne mesure, vous allez déposer vos mains sur votre tête, comme une sale gamine en pénitence. »

Bien que la situation soit plus qu'humiliante à son âge, elle se prépare à faire ce que le prof lui impose, mais celui-ci l'arrête à nouveau.

-Vous savez, Mademoiselle, que si votre fessée est donnée devant tout le monde, c'est pour que vous ayez une part de honte supplémentaire et je vous ai dit et répété que votre tenue vestimentaire y participera grandement. »

Pauline le regarde dans les yeux, tandis qu’une nouvelle rumeur court la salle. Elle sait où il veut en venir et s’attend à une nouvelle allusion qui l’humiliera devant les autres. Mais ce qu’elle entend est bien pire.

-Nous allons donc commencer de suite... »

Il marque un temps d’arrêt et un silence religieux se rétablit aussitôt.

-Pour bien marquer votre nouveau statut de punie et pour rappeler que la culotte que vous portez va bientôt être baissée, vous allez dès à présent enlever votre jupe. »

Pauline a l’impression que le sol se dérobe sous ses pieds : enlever carrément sa jupe, elle ne s’y attendait pas. Les yeux baissés, elle dénoue sa ceinture et défait deux boutons, l’un sur sa hanche, l’autre sur son ventre. Elle retient un instant le vêtement qui se laisse aller, prêt à tomber puis se décide à le faire glisser le long de ses jambes. Morte de honte, elle presse sa jupe devant elle. Il l'attrape alors par les hanches et l’amène sans ménagement au milieu de l'estrade. Puis il enroule son chemisier en lui dégageant au maximum le dos et le ventre. Pauline frissonne quand il soulève son soutien pour y glisser l'avant de son chemisier. Il la retourne et fait de même entre ses omoplates.

-Voilà, vous êtes prête ! Vous pouvez vous mettre à genoux. »

Elle s'agenouille et il lui arrache la jupe qu’elle tient toujours contre son ventre. En la jetant dans son tiroir, il ajoute :

-Confisquée ! Une fille fessée n’a pas besoin de jupe et pour les deux classes qui vont suivre, elle ne vous sera pas plus nécessaire. »

Pauline lâche quelques larmes silencieuses qu'elle a su contenir jusque-là. Elle s'était pourtant promis de ne pas pleurer pour ne pas augmenter encore la satisfaction de ceux qui se plaisent à la voir ainsi traitée et singulièrement de Brieuc.

De temps en temps, elle  essuie ses joues, puis repose docilement sa main au-dessus de sa tête.

Monsieur Némard a repris son cours presque normalement. Mais les élèves ne sont évidemment pas concentrés, les regards s'échappent souvent vers la pénitente, on se focalise surtout sur le coton blanc tendu sur les fesses charnues que l’on distingue au travers du nylon clair. On rêve de voir descendre ces tissus sous son petit cul rebondi. Malgré l’inconfort, Pauline tâche de rester  immobile, dressée sur ses genoux. Ses talons sont à l’extrême bord de l’estrade, elle sait que si elle se repose sur ses chevilles ses fesses pointeront à moins de deux mètres du premier rang. Les courbes de ses hanches et de sa croupe provoquent bien des érections. On aurait certes préféré qu’avant de s’agenouiller, elle ait dû se mettre le cul complètement nu, mais on se console en se disant que bientôt...

La moitié de l’heure à peine est passée que Monsieur Némard renonce à retenir l’attention de ses élèves. Il doit constater qu’il n’arrive plus à capter aucun regard et que personne ne l’écoute. Lui-même est d’ailleurs impatient de passer à la suite du programme.

-Voilà, nous en resterons là pour aujourd’hui. Vous pouvez ranger vos affaires.

Les premiers élèves se lèvent mais la classe hésite, on se regarde, on craint d’avoir mal compris, va-t-on en fin de compte être libéré avant la fessée ? L’annonce suivante rassure :

-Nous allons tous nous regrouper au fond de la salle, nous aurons plus de place et tout le monde pourra ainsi bien voir. Poussez quelques tables pour former un demi-cercle et empilez les chaises les unes sur les autres pour dégager l’espace. »

Chacun s’empresse, quelques-uns bavardent et plaisantent mais la plupart des visages sont tendus et concentrés.

Pauline soulage ses genoux en se reposant sur ses talons. Elle jette un coup d’œil éperdu par-dessus son épaule.

Lorsque tous sont installés, qui assis contre une table, qui debout, le prof aide Pauline à se relever en la prenant par le coude. Il va rejoindre ses élèves tandis qu’elle se frotte les genoux endoloris. Elle prend alors conscience qu’elle est seule sur l’estrade et que tout le monde la regarde avec intérêt depuis le fonds de la pièce. Elle ne sait ce qu’elle doit faire et le prof laisse la confrontation perdurer quelques instants avant d’ordonner :

-Otez donc ces collants ridicules et placez-les dans mon tiroir avec votre jupe. »

Pauline sent son cœur s’accélérer. Seule comme une stripteaseuse en scène, elle roule ses collants en prenant bien garde que son slip ne soit entrainé dans le mouvement. Ses chevilles atteintes, elle se rend compte qu’il lui faut dénouer l’attache de ses chaussures et elle se penche en avant sans élégance pour arriver à se défaire de ses nylons.

-Venez jusqu’ici, nous vous attendons. »

Abandonnant chaussures et collants à terre, Pauline traverse la pièce comme un zombie. Elle a atteint l’arc de cercle formé par ses camarades quand Monsieur Némard la saisit par les épaules et lui fait faire demi-tour.

-Je vous ai dit de placer vos collants dans mon tiroir. Je doute que vous ayez envie de les remettre sur vos fesses une fois que je les aurai mises à bonne température. »

Quelques ricanements serviles accueillent cette saillie.

-Allez ouste, allez me ranger cela et remettez vos chaussures. Avec vos jambes nues, vous serez plus élégante sur vos talons hauts. »

Pauline obéit et s’éloigne. Qu’elle est jolie ! pense-t-on les yeux rivés sur cette croupe fascinante. Revenue sur scène, elle s’agenouille pour remettre ses chaussures, range ses collants dans le bureau et revient hésitante vers le groupe. Le silence est complet, on n’entend que le claquement lent de ses talons sur le carrelage.

Monsieur Némard l’accueille au centre de l’arc de cercle formé par ses camarades, en pinçant son menton pour lui faire relever la tête.

-J'espère que cette punition aura pour effet de vous faire changer radicalement d'attitude ! Et pour commencer, je voudrais que vous nous convainquiez que cette punition ne sera pas aussi inutile que la précédente. Montrez-nous que vous êtes pleinement consciente de l’avoir méritée en sollicitant vous-même votre fessée. »

Pauline le regarde éberluée, elle ne sait que dire. Le prof est obligé d’insister :

-Alors ! On vous écoute, Mademoiselle.

Elle se lance, hésitante et rougissante :

-Je...je mérite d'être punie.

Il lui relève une nouvelle fois la tête.

-Vous regardez votre auditoire, s’il vous plaît, quand vous parlez ! Et faites preuve de meilleure volonté, je suis certain que vous pouvez être beaucoup plus explicite. Alors ne me décevez pas sinon je vous promets que votre chemisier ira illico rejoindre votre jupe et vos collants. Je crois que cela ferait plaisir à plus d’un.

Prenant la menace très au sérieux, elle tressaille et essaye de se ressaisir.

-J'ai pris conscience que je mérite une punition et je vous demande de me l’infliger maintenant. Je vous promets de tout faire pour changer d'attitude.

-Voilà qui est mieux ! Et dites-nous, en quoi consiste la punition que vous réclamez.

-Une fessée...

Il lui fait comprendre du regard qu’il faut qu’elle poursuive.

-Une fessée sur mes fesses nues, sans ma culotte...enfin je veux dire avec ma culotte baissée.

On voit qu’il lui en coûte beaucoup de parler ainsi devant les autres.

-Voilà qui est mieux et dites-nous à présent ce que vous avez fait pour mériter une punition aussi exceptionnelle.

–Je...j’ai triché à tous les tests depuis le début du trimestre, pour avoir de bonnes cotes.

-Et comment avez-vous triché, puisque décidemment il faut vous arracher tous les mots de la bouche ?

–J’ai copié sur Brieuc. »

Elle a à nouveau baissé la tête en disant cela pour éviter de croiser le regard du garçon.

Monsieur Némard sait parfaitement que Brieuc fut le complice consentant de Pauline, mais puisque le directeur lui a promis l’impunité en échange de ses aveux complets, autant le présenter comme une victime et utiliser leur antagonisme pour heurter davantage l’amour-propre de Pauline.

-Et bien dans ce cas, il me semble qu’il serait naturel que vous présentiez vos excuses à ce garçon. »

Pauline se mord les lèvres. Cette fois, il est manifeste qu’elle cherche à contenir sa rage. Brieuc s’est avancé vers elle un sourire de triomphe aux lèvres.

-Pardon, Brieuc. »

Elle a lâché cela très vite dans un murmure, en détournant le regard.

-Allons, allons, Mademoiselle, ce ne sont pas là des excuses d’une personne qui regrette sincèrement le tort qu’elle a causé. Vous rendez-vous compte que vous avez mis en péril la scolarité de votre compagnon ? Il risquait rien de moins que l’exclusion. Heureusement pour lui, Monsieur Pasquet a eu la sagesse de tout nous avouer, y compris sachez-le, la façon dont vous vous êtes prise pour l’amener à devenir votre complice. »

Cette allusion fait blêmir Pauline. Elle a déjà eu avec sa mère un avant-goût de ce que Brieuc a pu inventer pour se donner le beau rôle. Le prof va-t-il répéter devant ses camarades ces insanités ?

Ravalant sa fierté, elle s’empresse de couper court:

-J’ai mal agi envers toi, Brieuc et je te prie de me pardonner.

-Voilà qui est bien. Je suis certain qu’il ne vous en voudra pas, n’est-ce pas Monsieur Pasquet ? »

Brieuc acquiesce bêtement de la tête.

-Et pour vous prouver sa bonne volonté, il va vous aider à subir dignement votre punition. »

L’une et l’autre regardent le prof avec la plus profonde incompréhension.

-Monsieur Pasquet, la fessée que je vais maintenant infliger à Mademoiselle Guéret sera incontestablement douloureuse. Vous allez lui rendre le service de la maintenir fermement, je ne voudrais pas qu’en se débattant dans une position et une tenue aussi délicate, elle n’aggrave son humiliation. Mais dans un premier temps, vous devriez l’aider à se mettre en tenue. »

Brieuc s’approche encore de Pauline. On le sent hésitant et mal à l’aise.

-Heu, qu’est-ce que je dois faire ?

-Mademoiselle, expliquez donc à ce garçon ce que vous attendez de lui. »

Pauline se recule montrant ainsi qu’elle a parfaitement compris. Elle se heurte vite à ceux qui l’entourent et ne peut aller plus loin.

Monsieur Némard la foudroie du regard.

-Allons, Mademoiselle, j’attends. Comment Brieuc peut-il vous préparer pour la fessée ?

-Ma...ma culotte.

-Oui votre culotte ? Que voulez-vous dire ?

-Me baisser ma culotte pour que...que je... sois fessée.

-C’est à peu près cela...à un détail près, Pauline. Votre culotte doit être ôtée et non pas seulement baissée. Vous serez bien plus à l’aise, le bas du corps entièrement nu, pour la suite de votre punition. »

Cette fois, Brieuc affiche une mine réjouie et il avance les mains vers la taille de Pauline mais le prof l’écarte du bras.

-Pas d’impatience je vous prie, attendez que Mademoiselle sollicite votre aide. Je suis certain qu’intelligente comme elle l’est, elle a compris qu’elle a tout intérêt à vous le demander bien poliment. »

L’effort semble impensable à Pauline et pourtant elle s’entend déclarer d’une voix blanche :

-Brieuc, je voudrais que...que tu me...me retires ma culotte...s’il te plaît ? »

Monsieur Némard, satisfait, abaisse son bras pour laisser passer Brieuc. Les yeux brillants, affichant un sourire béat, il s’accroupit devant elle et passe aussitôt ses doigts sous l’élastique de sa taille. Il relève son visage vers elle et attend. On devine qu’il jouit de l’instant, du visage bouleversé de sa victime, de la respiration haletante qu’il sent sous ses doigts, de la tension extrême qui les entoure. Il écarte largement le tissu sur le ventre et goujatement il reluque l’intérieur ; les poings crispés, elle rougit encore davantage mais le laisse faire. Les mains se déplacent le long de la ceinture prenant position à la taille, les pouces torsadent le tissu. Encore quelques secondes de patience. Un coup sec, le slip est baissé à mi-cuisses. Par réflexe, elle a croisé ses mains en protection mais ceux qui ont la chance d’être à ses côtés, ont eu le temps d’apercevoir quelques poils pubiens aussi clairs que sa chevelure.

Le triangle de coton, resté coincé dans l’entrejambes, affiche une ombre humide.

Vicieusement Brieuc y passe l’index, avant de dégager le tissu d’une caresse sur la face tendre d’une cuisse. Il n’a même pas dissimulé son attouchement et elle n’a pu réprimer un fort tressaillement. Très à l’aise à présent dans son rôle, il poursuit le déshabillage le long des jambes, avec une infinie lenteur. Deux petites frappes sur les mollets font lever l’une puis l’autre cheville. Il n’a pas pris la peine de lui ôter ses bottines à talon et il en dégage si maladroitement le petit linge blanc qu’elle manque de perdre l’équilibre et doit se rattraper à son épaule, en se dévoilant un bref instant.

Elle a le souffle court. Elle ne se serait jamais imaginée aussi nue et entourée de si près qu’elle sent que des vêtements la frôlent.

Brieuc se redresse et agite en l’air le bout de tissu avant de le porter à ses narines en minant l’extase. Pourtant, dans cette atmosphère lourde et tendue, personne n’a envie de rire de ses simagrées.  

-Remerciez donc ce gentleman, Pauline.

-Merci, Brieuc. »

Ces dernières paroles à peine audibles semblent lui avoir coûté un effort surhumain, tant elle ressent l’immense embarras de sa nudité.

Monsieur Némard la prend par l’épaule et la contraint en douceur à se pencher sur une table, jusqu’à ce que son buste repose sur le bois. Ce qu’elle montre l’obsède et elle serre désespérément les cuisses l’une contre l’autre, même si elle sait qu’elles sont si graciles que l’on doit en voir déjà beaucoup. Et effectivement, l’assemblée a une vue imprenable sur son cul offert et sa chatte.

Sur les indications du prof, Brieuc se tient à son côté et plaque ses paumes sur le haut de son dos, juste sous l’armature de son soutien. Le contact lui fait ressentir à quel point elle est nue.

-Je tiens à vous préciser que si votre attitude ne change pas, ce ne sera pas la dernière fois que vous montrerez vos fesses...ou même plus à vos camarades. »

Pauline se jure qu'il n'aura plus l'occasion de toucher à sa culotte, au moment même où une première claque lui déchire les fesses. Elle parvient à se retenir de crier à la deuxième, mais la troisième arrive à bout de sa résistance et elle gémit bruyamment.

Une longue salve de claques moins fortes mais drues vient couvrir tout le terrain exposé. Elle hurle, pleure et se débat pour échapper à Brieuc qui au contraire raffermit sa prise en la coinçant par la taille.

Elle est dans la plus profonde détresse quand elle se sent soudainement libérée. Elle se relève en sanglots en agrippant ses fesses à deux mains. On la regarde un moment sautiller d’un pied sur l’autre, en tournant en tous sens, avant qu’elle ne se rende compte d’un coup que tous ces yeux écarquillés se concentrent sur sa fente et la frise légère qui la surmonte. Mortifiée, elle se recroqueville et se couvre du mieux qu’elle peut malgré son envie de continuer à apaiser sa douleur.

-Vous pouvez bien vous cacher maintenant, il n’empêche que vous venez de tout montrer à votre classe. Je vous avais bien dit que je serais assez sévère pour que vous ne puissiez pas garder une position décente, ricane le prof.

Un éclat de rire général permet à chacun de se soulager de l’extrême tension vécue.

-Nous n’en avons pas fini, Mademoiselle, j’ai bien l’intention de vous colorer les fesses de telle sorte qu’elles brillent encore pendant les deux prochaines heures où vous allez les exposer à mes autres classes. »

Il s’empare d’une chaise, s’y assied et lui fait signe d’avoir à se coucher en travers de ses genoux.

Pauline est au désespoir, elle pensait au moins ne plus devoir souffrir. Pour la première fois de sa vie, elle s’étend sur les cuisses d’un homme. La position lui semble un comble d’avilissement et c’est encore pire quand une main commence à lui tâter sans complexe tout l’arrière train comme pour en expertiser l’état. La fessée reprend avec vigueur et très vite la douleur ne permet plus à Pauline de contrôler ni ses cris, ni ses soubresauts.

Plus question non plus de penser à resserrer ses jambes.

Au contraire, après qu’elle se soit vigoureusement débattue en essayant de se relever, la voilà un genou à terre et l’autre jambe relevée, offrant à ceux qui sont dans le bon axe une vue imprenable sur des lèvres luisantes et une fente légèrement entrouverte.

Quand il la libère enfin, elle bondit sur ses pieds. Inconsciente de ce qu’elle vient de montrer, elle s’empresse de croiser ses mains devant elle et essaye de calmer les sanglots qui la secouent encore.

C’est à ce moment que la sonnerie de changement de cours se fait entendre. Jamais sans doute, les élèves n’ont-ils eu tant de regrets qu’une classe s’achève.

Néanmoins, il leur faut bien quitter la salle, tandis que le prof reconduit Pauline sur l’estrade. Il la mène en la tenant  par-dessous l’aisselle, ce qui ne lui laisse qu’une main pour se couvrir.

Pauline se retrouve le nez contre le coin du tableau. Avant de laisser entrer la classe suivante, le professeur lui place les mains sur la tête et lui ajuste posément sous les seins un pan de son chemisier qui s’est échappé du soutien.

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Les malheurs d'une cancre, par Pascfz - Communauté : Soumissions féminines
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