Lundi 16 mars 1 16 /03 /Mars 22:20

Chapitre 2

 

— 11h30 —

« Salut, c’est Marc! Alors, tu voulais me raconter quoi? »

Alors que je pensais décrocher pour entendre l’inconnu, la voix de mon cousin me fait soudainement revenir à la terrible réalité: je me trouve dans une cabine téléphonique à un carrefour en train d’utiliser un vibro-masseur sous les ordres d’un malade qui me fait chanter au téléphone.

« Euh, Marc… Je suis occupée…

- Je croyais que tu avais quelque chose d’important à me dire, non?

- Pas vraiment…

- Et si tu venais dîner, ce soir? On aurait le temps de parler et le petit serait content de voir sa tante.

- Euh… Oui, c’est entendu… Je dois vraiment y aller… Au revoir, Marc!

- Bon… A ce soir! »

Soudain, le pire que je crains arrive: une personne s’approche dans la rue. Si je retire le gode, cela se verra pour sûr! Mais si je le garde, il continue de me faire de l'effet... Je reste au téléphone en faisant semblant d’écouter mais au même moment, mon portable sonne de nouveau. C’est le pervers à la voix robotique!

« Sylvie Duroux, bravo, vous êtes une bonne salope.

- J’en ai marre… Je ne peux plus rester dans cette position! C’est bien humiliant! Vous êtes un malade!

- Continuez de parler normalement. Rien ne vous arrivera. »

Je ne comprends pas… Comment peut-il voir ce qu’il se passe où je suis. Est-il caché quelque part?

« Je veux arrêter tout ça.

- Non. »

L’homme en manteau passe devant moi en me regardant indifféremment. Il tient son sac bizarrement. Je serre le gode entre mes cuisses. Ouh... Le passant disparait. Je souffle.

« Retirez le gode. »

Je retire doucement l’objet qui me déclenche quelques spasmes et laisse échapper un gémissement.

« Oh…!

- Quelle coquine...Nous sommes fiers de vous. »

Même avec cette voix informatisée, je reconnais le sourire de ce gros pervers à l’autre bout du fil. Il faut dire que ce gode fonctionnait plutôt bien. J’ai complètement oublié où j’étais pendant un moment.

« Sucez le gode, maintenant. »

J’observe le vibromasseur, luisant et recouvert de mon liquide vaginal qui dégage une forte odeur. Je ne peux m’empêcher d’être un peu dégoûtée… Lécher ma mouille? Je n’ai jamais fait ça. Il n’y a que les salopes dans les films pornos qui font ça…

« Vous me laisserez tranquille, après?

- Sucez-le. »

Me pliant à sa volonté sans trop y penser, je ferme les yeux et approche ma bouche du gland en plastique avant de l’enfoncer dans ma bouche. Dans cette position, j’ai l’impression d’être une pornstar au service de ses fans pervers. Je tourne ma langue et sens ma cyprine glisser entre mes dents. Cela a un petit goût salé mais ce n’est pas si écœurant. Je retire l’objet de ma bouche, fait une grimace et ferme mes dents pour l’absorber dans ma gorge. C’est fait: j’ai avalé mon propre liquide vaginal. Je me sens toute sale, toute cochonne.

« Ca vous plaît, n’est-ce pas? Vous ne décevez pas. Vous avez un grand potentiel de salope, Mlle Duroux.

- Maintenant, s’il vous plaît, j’ai fait tout ce que vous vouliez…

- Allez dans le bar ‘L’Exquis’ rue des Apôtres, 52.

- Arrêtez… Arrêtez...

- Vous avez 8 minutes.

- Arrêtez! »

Cette fois, c’en est trop! Je ne vais pas continuer cette folie et suivre sa perversité jusqu’à devenir sa putain personnelle. J’appelle la Police.

« Allô, Police, j’écoute.

- Oui, bonjour, je suis victime depuis ce matin de… »

Tuuuuuut! La ligne coupe. Comment est-ce possible? Mon téléphone sonne de nouveau.

« Vous avez triché. C’est grave. Regardez l’écran publicitaire en face de vous. »

Je lève la tête et aperçoit une pub pour dentifrice à l’écran quand soudain, celle-ci est coupée par une séquence d’une femme dans une cabine téléphonique… Oh mon dieu! Mais c’est moi! On reconnait parfaitement mon visage et on voit très bien que je me masturbe avec ce gode! Comment a-t-il le pouvoir de faire ça?! C’est un cauchemar!

 

« Ne recommencez pas où cette vidéo passera sur tous les écrans disponibles de cette ville. Il vous reste 7 min 14. »

Plus le choix! Totalement paniquée, je quitte la cabine téléphonique, laissant le matériel érotique par terre en vrac. Je sens que ma chatte est toujours bien dilatée. Du liquide coule doucement le long de ma jambe. J’espère que cela ne se voit pas… En quelques minutes, je me retrouve face au bar ‘L’Exquis’. Je rentre dedans et n’y trouve que des hommes barbus d’une cinquantaine d’années en train de se saouler à 11h30 du matin. Des losers. Je décroche mon téléphone.

« J’y suis!

- Allez dans les toilettes, troisième porte. »

Je passe entre les alcoolos, pénètre la salle de bain et m’enferme dans l’endroit prescris. Les toilettes ne sont pas trop sales. Je craignais bien pire dans un bar comme celui-ci. Toutefois, je remarque un trou bien rond dans le mur droit. Je regarde dedans et peine à percevoir deux jambes masculines qui semblent attendre.

« Retirez votre culotte et glissez-la sous la paroi de droite. »

Je respire fort pour rester zen. Je suis objectivement coincée avec le chantage que ce pervers me fait. Une fois de plus, je m’y résigne. Je retire délicatement ma culotte à pois rouges, encore bien mouillée, et découvre ainsi mes poils roux à l’air libre. Je sens l’odeur transpirante de mon entre-jambe et le goût de ma mouille me revient furtivement dans ma bouche. Je passe ma culotte sous le mur fin. Peu après, une main la ramasse. J’entends l’homme qui respire le parfum de mon sexe.

« Hummm…. »

Quel pervers… Mais ne serait-ce pas lui qui me fait ce chantage depuis le début?! Mon portable vibre.

« Je l’ai fait.

- Très bien. Maintenant, écoutez attentivement. »

J’entends l’homme dans les toilettes d’à côté qui bouche et qui met quelque chose dans le trou. Alors, je vois sa bite sortir lentement par le mur.

« Non… »

Je m’écarte avec horreur quand je réalise le supplice qu’il va m’imposer!

« Pas ça, je vous en supplie...

- Vous allez sucer la verge en vous appliquant jusqu’à sa jouissance et avaler tout jusqu’à la dernière goutte.

- Pourquoi… Pourquoi moi…

- Vous verrez. Vous allez apprécier bien plus que vous ne le pensez. Vous êtes une salope dans l'âme.

- Je ne le ferai pas…

- N’oubliez pas. Nous avons les vidéos. Obéissez et tout ira mieux. »

La ligne coupe. J’entends l’homme qui respire et qui attend de l’autre côté du mur. De toute évidence, il n’est pas le pervers au téléphone. Mais cela signifie aussi que mon agresseur n’agit pas seul.

Le pénis anonyme est fièrement dressé, exhibant ses quelques veines viriles et un gland bombé d’un beau teint rose. Essayant de me remémorer les quelques fellations que j’ai déjà effectuées dans ma vie, je conclus que cette bite n’est pas forcément des plus longues mais se montre en revanche singulièrement large. J’approche ma main du bas de l’engin et touche juste au-dessus de ses couilles.

« Hum… »

L’inconnu à l’air d’aimer ça de l’autre côté. La peau est toute chaude et sensible. Je caresse le pénis sur sa longueur et remarque ainsi sa douceur. Mes lèvres commencent à se tordre. Ca sent un peu la transpiration mais pas tellement. Ca ne va peut-être pas être si terrible… J’approche ma langue et titille le bout du gland pour y déposer de la bave.

« Oh, hum…. »

Ma langue tourne autour de la bite en descendant et sa chaleur me rappelle combien un tel traitement est agréable. Je m’applique à bien passer sur toute la surface de sa peau sensible. Quitte à le faire jouir, autant l’exciter pour qu’il vienne vite. Il grogne de plaisir.

« Humm… Grrr…. Humm… »

Je le masturbe un peu plus allègrement et m’enfonce plus dans sa bite. Je sens un peu de liquide sortir. Je continue de pomper et lui de gémir plus fort encore. Et si quelqu’un nous entendait? Ça m’exciterait presque…Il bouge son dard comme il peut. Je sens qu’il va venir… Il devient nerveux. Ca me plait de le voir prendre son pied grâce à mes talents de suceuse. J’accélère à fond les va-et-vient. Soudain, il ne bouge plus et me déverse son sperme dans ma bouche.

« Aaaaaah!!! Aah! »

C’est gluant… Je retire sa bite juteuse de ma bouche… Oups! Une dernière giclée s’accole sur mon visage de mes lèvres à mon œil gauche. Je me souviens que je dois ne pas en laisser une goutte… Je ferme ma bouche et avale son sperme malgré un certain écœurement. C’est la première fois.

Le pénis tout mou que je viens de vider se retire soudainement. J’entends le bruit de l’homme qui sort en se dépêchant. Comme une idiote, je ne bouge pas.

Consternée par l’évènement, je me laisse tomber en arrière. Je me retrouve assise sur les WC mouillée entre les jambes, sans culotte et avec du sperme en moi et sur moi. Je reçois un sms:

« Toujours plus salope. Nous sommes fiers de vous. Nous vous avons envoyé un cadeau. Vous êtes libre pour aujourd’hui et vous l’avez méritée. »

Un cadeau?

 

—— 12h00 -----

 

Je me relève. Courage. Je marche en m’empêchant de penser à tout ce qui vient de se passer.

Cela faisait longtemps que je m’étais pas sentie ainsi, un peu comme libérée d’une sorte de frustration étrange.

Cette sensation perdure jusqu’à ce qu’une envie urgente de faire pipi s’installe en moi. Dans le métro, je me mords les lèvres, le besoin devenant de plus en plus pressant. Deux jeunes à casquette ne tardent pas à le remarquer en face de moi en me faisant des clins d’œil. Je marche à grands pas jusqu’à chez moi et fonce aux toilettes afin de me soulager.

« Oh oui…. »

La pisse sort de ma chatte comme une libération. C’est tellement bon! Je ne tenais plus… Je reste ainsi sur les WC sans bouger. Puis, ma main gauche glisse entre mes jambes et commence à caresser mes poils pubiens. Je souris… Quelle zone agréablement sensible. Je continue à caresser. Je m’imagine de nouveau dans la cabine téléphonique, seule à la vue de n’importe qui. J’enfonce un doigt. C’est tout mouillé. Je suce mon autre doigt. Je repense à cet homme inconnu… Peut-être était-il beau? Sa bite était douce et chaude… Et si ça avait été mon patron? STOP!

Que m’arrive-t-il? Je deviens folle avec cette histoire… Je fais n'importe quoi!

Je m’essuie rapidement et me connecte à mon ordinateur. Sur le site de ma banque, je vois le versement d’un chèque de 1000 euros. Je rêve?

Je m’allonge sur mon lit pour y méditer. Devrais-je prévenir la police? C’est du harcèlement doublé de chantage… voir de viol. Mais tout cela deviendrait public. En une journée, il m’ont fait avalé un sperme d’un inconnu… Ils sont doués et n’ont pas peur… Et oui, ils sont bien plusieurs… D’où vient cet argent? Qui sont-ils? Ils doivent me connaitre d’avant...Qui pourrait m’aider… Mon patron? Je fantasme sur lui mais peut-être n’en aurait-il que faire… Ou pire, il me prendrait pour une folle! Et avec la menace de ces photos de moi en train de me goder, comment faire…

Perdu dans ce casse-tête, je finis par m’endormir.

 

—- 19h30 ——

 

Malgré tout, je n’avais pas oublié mon cousin Marc. Habillée correctement, je sonne à sa porte.

« Sylvie! Ça fait plaisir de te voir. Comment vas-tu?

- Très bien et toi?

- Écoute, le petit a encore volé des billes à ses copains mais sinon tout va bien. Tu as une petite mine, quand même. Entre!

- Il est là?

- Le petit? Non, il est chez un copain.

- Je suis désolé. Je devais ramener le vin ce soir et j’ai complètement oublié. Je sors donc avant que ça ferme mais je suis là d’ici 30 minutes. Je te laisse avec Sofia, d’accord?

- Très bien. A tout de suite, Marc. »

Je souris. Il prend son manteau et sort. Marc est un homme bien, le genre d’homme avec qui j’aurais passé ma vie. Attentif, attentionné, sincère.

« Bonsoir Sylvie! »

Sofia apparaît alors. Mariée depuis huit ans, ils représentent le couple admirable. Pétillante de ses yeux bleus et ses longs cheveux noirs et lisses, elle porte un chemisier timide et un jean moulant. C’est une belle femme … qui a toujours eu un bel atout au niveau de la poitrine, bien plus que moi.

« Bonsoir Sofia! Tu vas bien?

- Oui, très bien. Assieds-toi. Tu prendras un verre? On commence sans lui… »

Clin d’œil. Ça tombe bien, j’ai envie d’oublier un peu, ce soir.

« - Oui, je veux bien un martini, s'il te plait.

- Tu as passé une bonne journée, rien de particulier? »

Je m’étonne désagréablement de sa question mais reste impassible.

« Non non, rien. Pas mal au téléphone, comme d’habitude.

- Vraiment, comme d’habitude? »

Je la regarde l’air inquiétée mais elle semble encore plus grave que moi.

« Sylvie, je dois t'avouer... Ils m’ont contactée aussi... Je suis aussi... une de leurs soumises...

- Quoi? Enfin, de quoi parles-tu, Sofia?

- Tu sais très bien de qui je parle… De ces pervers au téléphone… »

Mon souffle s’arrête net. Mes yeux s’écarquillent. Je perds ma voix.

« Toi … aussi?

- Depuis bien plus longtemps que toi… Ecoute-moi bien… Ils m’ont appelé tout à l’heure… Ils m’ont prévenue… Nous sommes obligées… Nous devons faire ce qu’ils disent…. J’ai eu un mail avec les instructions...

- Quoi? Qu’ont-ils dit, Sofia?

 

- Ils veulent qu’on se filme toutes les deux à la webcam... dans 5 min... »

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Ne répondez jamais aux numéros inconnus - Communauté : Soumissions féminines
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