Chapitre 1
Physiquement, Brigitte est un magnifique mélange de bimbo blonde aux cheveux longs et de sportive de haut niveau. Depuis son plus jeune âge, elle participe régulièrement aux championnats de Judo et aujourd'hui, du haut de ses 25 ans et grâce à son expérience et à sa ceinture noire gagnée à la sueur de son jeune et splendide corps, elle donne des cours de Judo dans un petit gymnase de la banlieue parisienne.
Oh, pas la banlieue chic, non, elle n'en a pas les moyens, mais dans le 9-3 ; et en particulier dans un quartier à majorité noire. En fait, elle donne des cours deux après-midi par semaine, le vendredi pour les filles et le samedi pour les garçons. Elle a maintenant une vingtaine d'élèves de chaque sexe, de 10 à 16 ans, tous noirs et très turbulents.
Aussi bien pour les filles que pour les garçons, elle a fait 3 groupes: 6 enfants de 10 à 12 ans, puis 6 autres de 13 à 14 ans et enfin un groupe de 8 ados de 14 à 16 ans. Pour les garçons, ce dernier groupe est composé de jeunes complètement délurés et incontrôlables menés par Salif, un gaillard impressionnant de muscles pour son âge (16 ans) et qui adore se battre, mais sans aucune règle.
Un vrai rebelle, lanceur de défis stupides.
Brigitte reçoit ses élèves dans cet ordre pendant une heure pour chaque groupe, de 15 heures à 18 heures.
Les garçons lui tapent sur les nerfs car elle passe la moitié de son temps à faire de la discipline. Résultat: leur niveau stagne et elle en perd sa motivation.
Et puis leurs continuelles réflexions graveleuses à la limite de l'obscénité la choquent tellement qu'elle ne sait plus quoi répondre. Elle sait que son physique de bimbo les fait fantasmer, même les plus petits (!) qui ne sont pas les derniers à commenter ouvertement sa plastique de rêve! C'est pourquoi elle s'est attaché les cheveux en queue de cheval avec un élastique et qu'elle porte un soutien-gorge de sport qui écrase ses seins (110 D naturel) au maximum, recouverts par un épais T-shirt, puis son kimono qu'elle ferme en recouvrant bien les deux pans et en serrant sa ceinture avec un double tour et un double nœud !
Et pareil pour tenir son pantalon sous lequel elle porte une large culotte épaisse et serrée afin d'aplatir ses fesses naturellement bien formées et rebondies.
Résultat, elle ne les aime pas et leur fait bien sentir au risque de passer pour une pimbêche, ce qu'elle est d'ailleurs devenue à leurs yeux.
En plus, Brigitte est vaccinée des hommes, alors et ce n'est pas cette racaille de petits machos qui va lui faire changer d'avis ! Autant elle déteste enseigner aux garçons, autant elle adore les filles....les plus grandes surtout avec lesquelles elle n'hésite pas à s'investir physiquement. Les filles de couleur l'ont toujours fascinée et il semble que l'une d'elle éprouve la même fascination à son égard. Mais, elle n'a que 16 ans et il n'est pas question pour Brigitte de prendre le moindre risque avec une de ses élèves et de laisser savoir à tout le monde qu'elle est lesbienne! Ce serait une catastrophe.
Brigitte a donc rencontré une fille, Mélanie, une belle judokate de 21 ans, brune aux cheveux courts au corps svelte et musclé. Bien que Mélanie soit bi, elle retrouve régulièrement sa copine tous les vendredi soirs dans un club de lesbiennes, et Brigitte termine invariablement la nuit chez Mélanie pour regagner le lendemain, à contrecœur son gymnase en début d'après-midi.
Voilà ce qu'est la vie de notre belle judokate blonde aux yeux bleus....jusqu'à ce jour.
Le leader du groupe le plus âgé, Salif, n'arrêtait pas de la défier en combat singulier. Brigitte avait toujours refusé et le prenait de haut, arguant qu'il n'était pas préparé, même s'il avait enfin obtenu sa ceinture marron. Mais sa technique était si dangereuse, plus proche du combat de rue qu'il devait sans doute pratiquer pour des raisons inavouables, que Brigitte continuait de refuser; jusqu'à ce jour. Encouragé par ses racailles de copains qui la tannaient sans relâche à chaque cours, elle avait fini par céder et avait proposé un petit match en fin de cours pour samedi prochain.
Elle savait que même s'il était ceinture marron et d'une impressionnante carrure, elle pouvait le maîtriser en deux mouvements. Mais, soutenu par tous ses voyous de potes et avec sa technique imprévisible, elle se méfiait.
Donc, la veille, comme à son habitude, après avoir terminé ses cours avec les filles, elle part rejoindre les vestiaires pour se changer. Elle attend toujours que les quelques filles qui utilisent également les vestiaires communs, finissent de se changer et de se doucher pour certaines; la plupart préférant le faire à leur domicile.
Une fois seule, elle se douche également. Mais alors que l'eau chaude savonneuse ruisselle sur son corps en sueur, un bruit lui fait sortir la tête de la douche.
"Y a quelqu'un?"
Pas de réponse. Elle termine de se doucher rapidement puis se sèche et, tout en furetant les alentours du regard, se prépare pour sa soirée lesbienne hebdomadaire. Au fur et à mesure qu'elle participe à ces soirées, elle met des tenues de plus en plus sexy. Ce soir, elle ne porte qu'un superbe string de dentelle en V très échancré qui remonte jusqu'en haut des hanches qu'il englobe dans toutes ses courbes. Puis elle passe une mini robe blanche en satin, ouverte en V jusqu'au nombril et qui couvre à peine ses magnifiques globes laiteux libérés de tout soutien. Il suffit qu'elle se penche en avant pour qu'on les aperçoive entièrement !
Derrière, la robe révèle son dos nu jusqu'à la limite du string. Elle enfile ensuite des bas blancs tenus par un large élastique de dentelle et enfin ses escarpins vernis. Elle se regarde dans la glace. Sourit et passe un imperméable par-dessus pour pouvoir sortir de l'arrière du gymnase en toute discrétion. Elle ramasse vite son vieux sac de sport et part rejoindre sa voiture sur le parking en faisant attention que personne la voit car plusieurs fois il lui a semblé apercevoir au loin un véhicule aux vitres teintées, ce qui l'avait inquiétée. D'autant qu'elle était persuadée de l'avoir revu aux alentours de son Club et qu'elle en avait même parlé à Mélanie qui lui avait fait rapidement oublier ses inquiétudes par une étreinte sensuelle et un baiser torride sur la piste de danse dont elle était sortie toute ébouriffée. Alors que Brigitte se plaignait régulièrement de ses élèves indisciplinés, Mélanie, qui était bi, ne cachait pas au contraire son excitation envers les jeunes noirs, connus pour avoir de longues et grosses queues. Ce à quoi Brigitte lui répondait invariablement: " Tu ne connais pas les miens! Ce sont de vrais dégénérés!"
La soirée au Club avec Mélanie se déroule comme d'habitude avec beaucoup de danses langoureuses au milieu des autres lesbiennes. La température monte doucement et la danse se transforme en étreinte, en frottements appuyés, en mains insidieuses qui glissent sous leurs légers et amples vêtements et qui se transforment en caresses insoutenables. Brigitte sent son string de dentelle poisseux se coller à sa moule moite toute chaude. Sa respiration est profonde et s'accélère. Elle s'abandonne dans les bras de Mélanie qui la pelote ouvertement devant tout le monde.
Elles n'ont jamais osé aller plus loin mais le fait d'être regardées par d'autres augmentent leur excitation. Lorsqu'elles approchent du point de non-retour, elles s'éclipsent rapidement du Club pour rejoindre l'appartement de Mélanie qui se trouve judicieusement à quelques centaines de mètres du Club.
Mélanie peut alors embrasser fougueusement Brigitte, la peloter, la déshabiller. Elle enlève elle-même sa petite culotte et place le visage de la jeune blonde entre ses cuisses. Brigitte lui mange la moule en lui pétrissant les fesses pendant que Mélanie lui doigte sexe et anus. Déchaînées, elles passent ensuite le reste de la nuit à faire l'amour comme des folles et à s'endormir épuisées dans les bras l'une de l'autre.
Lorsqu'elle se réveille, Brigitte constate que l'heure est déjà tardive. Un brin de toilette, un café, un gros câlin et en route pour le Club de Judo où elle arrive discrètement par derrière.
Elle entre prestement, le col de son imper remonté et se dirige vers les vestiaires.
Les enfants de son groupe de 10 à 12 ans sont en train de se préparer dans le vestiaire d'à côté.
Elle a déjà enlevé ses escarpins pour ne pas faire de bruit et pour que personne ne la voit porter de chaussures aussi...sexy.
Elle entre dans une cabine pour se changer et sort sa tenue de son vieux sac de sport mais, surprise, elle constate que celui-ci est déchiré. Inquiète, elle sort ses affaires. Elle trouve bien son Kimono mais il manque l'une des deux ceintures et sa culotte et son soutien-gorge ont disparus !
Angoissée, elle réfléchit. Est-ce qu'elle les aurait perdus ou quelqu'un lui aurait volé ses affaires? Peut-être hier soir, pendant qu'elle se douchait et qu'elle a entendu un bruit. Mais pourquoi n'avoir pas volé le sac directement alors? Bizarre. Non, les sous-vêtements et la ceinture ont dû tomber par la déchirure du sac. Elle commence à fouiller les vestiaires mais sans succès. Et puis l'heure tourne et les enfants attendent déjà sur le tatami. Mais... comment va-t-elle faire sans sous-vêtement?! Elle décide de garder son string de dentelle en espérant qu'il ne dépasse pas du pantalon du Kimono. Peut-être vaut-il mieux ne rien mettre du tout dans ce cas. Non, trop risqué et puis ça évitera tout de même le frottement rêche de la toile du pantalon sur sa douce intimité. Mais pour le haut? Elle réalise soudain que son T-shirt n'est plus là non plus ! Elle n'a que la veste du Kimono et en plus il lui manque une ceinture. Son cerveau bouillonne et dans l'urgence, elle décide de couper sa ceinture en deux pour pourvoir attacher son pantalon d'une part et pour pouvoir tenir sa veste fermée d'autre part, mais les deux bouts sont très courts et peinent à faire le tour de sa taille pourtant "mannequin". Mais doit-elle garder la robe ultra sexy en dessous? Ca ne remplacera pas un T-shirt serré, mais ça cachera quand même un peu pour le cas où sa veste s'ouvrirait inopinément. Oui, mais elle n'imagine même pas la réaction et l'avalanche de quolibets si ses crapules l'aperçoivent ! Elle préfère ne rien mettre et serrer au maximum sa veste.
Et où est passé son élastique pour tenir sa couette ?? Elle se les attache avec un bout de fil qu'elle déchire de sa ceinture mais le fil est trop mince et casse plusieurs fois. Elle arrive néanmoins à se les attacher mais le fil est trop court et le nœud risque de lâcher au moindre mouvement.
Et c'est ainsi habillée et en essayant de rien laisser paraître, qu'elle entre dans le gymnase rejoindre les jeunes enfants.
Mal à l'aise elle commence à les faire s'échauffer. Le cours se déroule normalement à part quelques réflexions inhabituelles et regards bizarres.
L'heure s'écoule finalement sans qu'elle est eu à s'investir physiquement et les gamins s'en vont, suivis des 12-14 ans qui semblent encore plus goguenards que d'habitude.
Très vite, certains lui demandent avec insistance de leur montrer plusieurs prises, ce qu'elle refuse obstinément car elle sent bien que les deux ceintures qui tiennent sa veste et son pantalon ne résisteraient pas longtemps. Elle se limite donc à quelques mouvements de base en surveillant ses amplitudes. Les jeunes ados sont déçus et le font savoir et lui rappellent alors ce qu'elle avait complètement oublié....son match "amical" avec Salif ! Ils lui rappellent qu'elle serait bien obligée d'effectuer des vraies prises à ce moment-là! Bon sang! Comment avait-elle pu oublier ce stupide match? Elle est prise d'une bouffée de chaleur et ses joues rougissent.
Il lui fallait trouver une excuse. Une blessure imaginaire peut-être.
En tout cas, pas question de faire le moindre mouvement au risque de se retrouver à moitié nue devant cette racaille dégénérée.
Perdue dans ses pensées et mal à l'aise, elle bâcle son cours sous les protestations des gamins qui au lieu de partir chez eux à la fin du cours, restent pour voir "Le Match"!
Brigitte leur intime de s'en aller mais ils refusent et disent qu'ils s'assiéront sur les côtés pour ne pas déranger. De plus, ils n'ont encore pas vu un vrai match. Brigitte ne sait plus quoi faire lorsqu'arrive le dernier groupe des 14-16 ans mené par ce voyou de Salif.
Ils rigolent bizarrement et roulent des épaules. Brigitte annonce d'emblée qu'elle reporte le match pour un problème de blessure. Immédiatement, c'est le tollé général et la rébellion. Les insultes pleuvent et les gamins du groupe précédant affirment qu'elle a tout inventé car elle n'avait rien dit avant et se déplaçait normalement. Puis, les sous-entendus sur sa supposée lâcheté fusent, ponctuées par des "blondasses" et autre "bimbos de pacotille" bien appuyés. Ils la poussent à bout.
Elle est tellement énervée qu'elle se dit qu'elle va le maîtriser en une ou deux prises maximum et l'humilier à un point qu'il va sans doute abandonner le Judo à vie !
"Tu l'auras voulu Salif..."
Immédiatement, une clameur indescriptible s'élève dans le gymnase et la douzaine de petits voyous encouragent déjà leur champion.
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