Sarah et Mélanie, de KS

Samedi 3 octobre 6 03 /10 /Oct 16:44

Chapitre 2a : Bonjour docteur: premiers troubles

 

Le reste de la journée et de la semaine s'était déroulée sans autres anicroches après les événements de ce premier matin-là. Notamment pour les repas, auquel Mélanie ne s'était plus présentée, ce que Sarah avait choisi de ne pas relever pendant un temps, sachant qu'il était plus que nécessaire de calmer le jeu dans l'immédiat. Ce que le regard noir que posait Alysson sur elle en observant la place vacante de l'autre jeune fille venait appuyer, comme pour lui faire comprendre qu'elle en était directement responsable.

 

La jolie adolescente ne s'était pas montrée jusqu'à la semaine suivante où elle répondit finalement par l'affirmative à la demande d'Helen, qui fut envoyée pour la convier au repas du soir. Repas qui malgré la présence de la belle française, avait commencé dans un silence aussi lourd et pesant que ceux auxquels elle n'avait pas assisté.

 

La jeune et jolie brune n'avait toujours pas digéré ce qu'il s'était passé, et à force de ressasser la succession de scènes de la matinée dans sa tête, entre ses pleurs et ses éruptions de colère autant que de culpabilité contre elle-même, Mélanie en était arrivée au point de ne plus savoir comment les choses avaient pu en arriver là. Se retrouver totalement nue et au piquet à deux doigt de l'orgasme devant toute la maisonnée. Aussi, était-elle finalement descendue avec appréhension et pleine d'incertitudes sur le comportement à adopter, Mélanie choisi-t-elle donc d'opter pour un mutisme salvateur. La jeune fille espérait ainsi éviter de se laisser emporter par l'amertume qui la rongeait et surtout, avait l'espoir que sa belle-mère, comme elle l'avait plus au moins promis, n'aborde plus le sujet. Cependant, la belle femme-enfant se demandait si Sarah tiendrait sa parole alors qu'elle-même ne l'avait pas fait ce fameux jour, en cédant à l'emportement…

 

Sarah (buvant une gorgée de vin et reposant son verre sur la table): Je nous ai pris un rendez-vous au cabinet du Docteur Williams pour 8h30 demain matin. Je te prierais d'être prête au départ pour 7h30.

 

Cette phrase fut la première à briser le silence. Elle fut accueillie avec une légère pointe d'interrogation, Mélanie échangeant un regard incertain avec Alysson, ne sachant pas trop à laquelle d'elles deux s'adressait la jeune femme, Sarah n'ayant porté son regard ni sur l'une, ni sur l'autre en prononçant ces paroles.

 

Alysson (questionnant): Maman… à qui t'adresses-tu…?

 

Sarah: Il sera de bon ton de faire une toilette complète en prévision… Mélanie.

 

La jeune femme avait rajouté le prénom de l'intéressée en toute fin de phrase, comme s'il s'agissait d'une invitation cordiale. La jolie maitresse de maison s'avait qu'elle jouerait très gros le lendemain avec ce rendez-vous qu'elle ne pouvait plus repousser faute de temps, et qu'elle avançait donc sur des œufs, surtout après son petit dérapage et le recadrage auquel elle avait eu droit de la part de sa fille Alysson. Beaucoup de choses devaient découler de cette consultation au cabinet du Docteur Williams et Sarah avait beaucoup hésité durant les derniers jours sur la façon de présenter les choses à sa belle-fille. Devait-elle lui laisser du temps…? Ou aller la trouver directement…? Elle avait finalement décidé d'attendre et Sarah se dit qu'elle avait fait le bon choix en remarquant le calme de la jolie petite frenchie. Il ne lui restait qu'à lui en parler durant le repas, se disant qu'il valait mieux ne pas la prendre en traitre, enfin pas totalement du moins.

 

Mélanie (questionnant, un peu surprise): C’est-à-dire que… je ne suis pas malade Sarah.

 

Sarah: J'en conviens. Cependant, il s'agit de toute autre chose. Il s'avère que les événements d'il y a quelques jours m'ont un peu plus conforté dans l'idée que tu es désormais plus une femme qu'une enfant, avec tout ce que cela implique de changements, y compris dans ton éveil à la sexualité. Et comme il s'avère que je souhaiterais éviter que cette période charnière de ton apprentissage ne soit sources d'autres conflits à l'avenir, j'ai pensé qu'il serait bon de consulter un spécialiste afin que nous soyons toutes deux en mesure de comprendre par quoi tu passes. Pour le bien de notre cohabitation.

 

Mélanie (redoutant la réponse, les sourcils froncés): Un spécialiste… Tu veux dire un psy…?

 

Sarah (s'offusquant): Allons bon, bien sûr que non…! Tu n'es pas une désaxée tout de même…! Nous allons consulter une sexologue, la plus réputée du pays, et qui nous fait l'honneur d'accepter de te prendre comme nouvelle patiente, ce qui n'est pas donné à tout le monde je te prie de vouloir me croire.

 

La jolie Mélanie ne s'était pas attendue à ce que les événements d'il y a un peu plus d'une semaine remontent à la surface de cette façon. Sa belle-mère ne semblait pas en colère et affichait visiblement son envie de l'aider avec les moyens dont elle pouvait disposer. Une consultation avec une spécialiste en sexologie…? Pourquoi pas se dit la jeune fille, ce Docteur Williams serait peut-être en mesure de répondre à certaines de ses interrogations…? Après tout elle avait grandi sans mère et Mélanie avait peur de passer pour une idiote auprès de sa demi-sœur et de sa belle-mère en les interrogeant sur le sujet. Tout ce qui fait qu'à la grande joie intérieure de Sarah, Mélanie prit la nouvelle plutôt bien.

 

Mélanie (avec un petit sourire): Très bien Sarah, je te fais confiance. Je serais prête à l'heure demain matin.

 

La jeune blonde, Alysson, avait suivi l'échange avec intérêt, se demandant comment allait réagir sa jolie demi-sœur chérie. Cependant, elle était encore plus curieuse et impatiente d'être rendue au lendemain soir, car elle savait très bien de quoi il devait en retourner, mais savait aussi qu'elle ne serait pas là pour y assister, ce qui était somme toute plutôt logique. C'est ainsi avec des attentes différentes en tête que les trois femmes finirent le repas dans un semblant de normalité retrouvée, empressées d'être à demain.

 

Au matin de ce jour-là, Sarah avait dû passer de très longues minutes sous la douche. Sous l'eau bouillante qui cascadait sur son corps nu et tendu par le plaisir, la jeune femme s'acharnait presque à se vider l'esprit et la chair de toute notion de jouissance. Portant fièrement un 40 ans qui sans duperie aurait pu être les 30 ans d'une autre, la superbe britannique rendait hommage à ce corps sculptural qu'elle avait su entretenir avec une hygiène de vie qui n'autorisait aucun excès, si ce n'est celui du plaisir…! Et c'est justement ce que la jolie blonde se forçait presque à atteindre maintenant, une overdose de sexe qui pourrait la purger de tout égarement durant la consultation médicale qui allait suivre ce matin.

 

Aussi, un doigt pressant son clitoris était devenu deux s'activant dans son antre, qui étaient eux-mêmes devenus trois, avant qu'une main experte ne vienne s'emparer de l'un des seins d'une poitrine dont les deux admirables poires défiaient la gravité pour pointer leur tétons érigés en appel à l'attention. Sarah ne fit preuve d'aucune délicatesse, le moment n'était pas à la volupté mais à la nécessité, elle empoigna fermement le gable de chair pour le comprimer et le malmener comme elle l'aurait fait d'une pâte à pétrir, chaque lancée du sang qui pulsait dans ses mamelons venant accentuer la palpitation au sein de son sexe huileux dans lequel fourrageait frénétiquement l'une de ses mains. Il fallait qu'elle jouisse encore une fois…! Il le fallait. Trop de choses seraient abordées, trop de choses concernant les plaisirs du sexe et plus précisément la sexualité de la belle adolescente, dont l'image avait empli sa tête dès le levé. Elle devrait impérativement se montrer capable de se tenir, de rester totalement impassible. Et si la belle anglaise s'était toujours dit qu'elle réussirait à se maitriser en toutes occasions, son véritable premier passage à l'acte la semaine précédente lui avait prouvé une fois de plus qu'il n'était pas question de garder si facilement le contrôle lorsque la belle Mélanie, la sublime Mélanie, était de l'équation. Fermant les yeux pour redessiner les courbes affriolants de la jolie française dans son esprit, dont les sulfureux souvenirs en clichés avaient rythmés une semaine d'onanisme bien chargée pour Sarah, cette dernière sentit exploser en elle un ultime orgasme. Celui qui fit trembler tous ses membres de façon incontrôlable et la laissa s'échouer sans force sur le sol carrelé de sa douche.

 

La jeune femme était parvenue à ses fins, et c'est quasiment vidée de toute substance qu'elle entreprit de sortir, difficilement, de sa salle de bain privative pour rejoindre sa chambre attenante, ayant encore à se préparer pour sa sortie de la matinée avec la jeune fille.

 

La jeune fille en question était bien loin des préoccupations masturbatoires qu'elle avait elle-même expérimenté sous la douche la semaine d'avant. En réalité sa petite mésaventure lui avait coupé toute envie, et même l'heure de son cours de tennis de la semaine n'avait pas eu le même intérêt que les précédentes, chaque fois que son regard se posait sur son professeur et que son esprit entamait de s'échauffer, elle se revoyait soudain sous cette même douche où elle avait été surprise. Mélanie se revoyait alors nue comme au jour de sa naissance et au piquet, devant les yeux assassins de sa belle-mère, mais aussi ceux fuyant de leur employée de maison, et même ceux d'Alysson, les réconfortants malgré sa position d'alors, Alysson ayant été la seule à lui apporter un peu de tendresse, mais ça lui ressemblait bien. Ce qui ne l'empêchait donc pas de ressentir ce même sentiment de honte et de rage mêlée qui parasitait immédiatement tout plaisir dès que l'envie pointait le bout de son museau depuis lors.

 

Ainsi, la belle Mélanie avait dans les attentes de cette consultation avec cette spécialiste de la sexualité, celle d'être défaite de son blocage et de pouvoir retrouver le chemin du plaisir charnel et solitaire auquel elle avait pris un goût certain depuis la dernière année, où elle avait enfin accepté les délices de son corps pour tout ce qu'ils pouvaient lui apporter, et appris à en appréhender les besoins. Oui, la jeune et jolie Mélanie voulait que la culpabilité disparaisse pour que le plaisir revienne. Elle avait envie d'entendre qu'elle avait le droit, elle avait besoin qu'on lui dise que c'était normal. Dans son ignorance, la jeune française ne savait pas encore que ce rendez-vous allait répondre à ses vœux… d'une bien curieuse façon.

 

C'est dressée dans une élégante robe-drapée de couleur indigo que Sarah se présenta dans la chambre de sa belle-fille en remontant de la cuisine, où elle avait appris que cette dernière avait déjà avalé son petit-déjeuner comme disait la délicate française, dont même la voix était éclatante. Cette dernière se détourna de son bureau après l'entrée de sa belle-mère dans la pièce, révélant à cette dernière la tenue qu'elle avait choisi, soit un legging noir et un simple haut blanc, surmonté d'un pull côtelé manches-longes beige, le tout planté dans une petite paire de bottines en velours assortis à la couleur de son pull.

 

L'élégante britannique se demandait intérieurement comment se faisait-il qu'elle puisse trouver sa belle-fille aussi affolante dans une tenue aussi décontractée…? Etait-ce dû à sa grâce naturelle ou à ce charme à la française typique, que Sarah ne trouvait d'ailleurs pas si typique que ça, comme tant d'autres semblaient à ce point fades en comparaison de Mélanie… Elle dut chasser cette pensée afin que les deux jeunes femmes ne se mettent en route pour le cabinet du Docteur Williams.

 

Belle-mère et belle-fille s'y présentèrent un peu en avance après une bonne demi-heure de trajet. Elles furent accueilles par une secrétaire à l'air affable qui les pria de patienter dans la pièce prévue à cet effet, leur offrant un café pour la peine. L'attente ne fut pas longue et toutes deux furent bientôt invitées par la secrétaire d'un certain âge à pénétrer dans le bureau du docteur.

 

Lorsque la porte se referma derrière elles et qu'elles s'avancèrent vers le grand bureau en verre du Docteur Williams, celle-ci se leva d'un bond souple et naturel et fit rapidement le tour du meuble de travail pour accueillir les jeunes femmes.

 

Dr. Williams (étirant un large sourire sur son visage, enjouée): Bonjour…! Je suis le docteur Nina Williams.

 

Le visage de la jeune et jolie brune à la chevelure longue se figea alors presque totalement sous le coup de la surprise. C'était ça le Docteur Williams…? La jeune fille s'était attendue à tout, surtout à une femme d'âge mûre au chignon sévère avec un peu d'embonpoint et portant d'imposante monture sur le nez. Tout à fait la secrétaire à laquelle elle et sa belle-mère avaient eu affaire quelques instants auparavant. Mais certainement pas à… ça.

 

Elle la contempla de bas en haut; juchée sur d'élégants talons aiguilles d'une dizaine de centimètres, le galbe des jambes à la peau nue et naturellement bronzée était visible jusqu'à mi-cuisses, d'où commençait le bas d'une jupe montante bleu-marine ceinturée de deux gros boutons de couleur or, laquelle recouvrait un chemisier blanc dentelé, qui présentait un décolleté ouvert sur la naissance du soutien-gorge de la femme-médecin, aux cheveux aussi noirs que ses yeux.

 

Cette femme… Cette femme était une bombe…! Enfin, comme disaient bêtement les garçons de son âge qu'elle fréquentait… Une bombe à laquelle elle ne donnait même pas 30 ans, et face à laquelle Mélanie se sentit faire pâle figure dans sa tenue qui tout à coup lui parût bien négligée, elle qui avait joué sur la simplicité de son apparence pour rencontrer… un vrai top…! Qu'allait-elle penser d'elle…? Une jeune fille qui renvoyait l'image d'une adolescente bien sage venue poser des questions à une sexologue dont la sensualité et la féminité exotiques s'exprimaient par tous les ports de sa peau mate.

 

La timide Mélanie se rassura en se disant qu'au moins, avec un physique comme le sien, la jeune femme devait connaître son sujet.

 

Le médecin en question remarqua immédiatement les yeux de la jeune fille qui l'a scrutaient intensément, question d'habitude pour elle. La jeune femme choisit de ne pas relever et tendit une main chaleureuse à sa jeune et nouvelle patiente.

 

Dr. Williams: Enchantée. Tu es Mélanie n'est-ce pas…? Ta mère ne m'avait pas dit qu'elle belle femme tu es.

 

Elle dit ça en jetant un rapide coup d'œil qui se voulait un reproche – joueur pensa Mélanie – à sa belle-mère avant de reporter son attention sur elle avec un grand sourire.

 

Mélanie (détournant la tête, le rouge aux joues): Je…. Oui, merci.

 

La jeune et jolie brune avait balbutié ces quelques mots comme elle avait pu, fortement gênée par le compliment. Qu'une femme aussi sexy que le docteur Nina Williams puisse la complimenter de la sorte l'avait flatté comme peu de chose avaient pu le faire jusqu'ici, d'autant que la spécialiste avait utilisé le terme de femme pour la définir, et non pas un vulgaire fille ou pire, ado.

 

C'est en gardant le silence que Mélanie vit le Docteur Williams saluer sa belle-mère, et qu'elle s'installa ensuite sur l'un des deux sièges disposés devant le bureau de la sexologue, Sarah prenant place sur le second. La grande noiraude refit, elle, le tour de son bureau pour reprendre sa place. La jeune Mélanie remarqua se faisant que le verre dont était fait le meuble ne dissimulait rien de l'anatomie du joli docteur, et elle suivit des yeux le mouvement de celle-ci lorsqu'elle croisa les jambes derrière son bureau.

 

Dr. Williams (prenant la parole): Bien, ta mère ne m'as que succinctement parlé de votre situation. Si nous commencions par faire un point sur la raison de votre venue…? Ca te convient Mélanie…?

 

Reportant son visage sur celui de son interlocutrice, Mélanie se contenta d'hocher simplement la tête en guise de consentement, et la jeune femme reprit la parole.

 

Dr. Williams (invitant): Parfait, dans ce cas je vous écoute.

 

Sarah: Voilà docteur, comme je vous en ai entretenu par téléphone, nous sommes venus vous consulter en raison des actes de masturbation répétés de ma jeune fille ici présente, et auxquels elle s'adonne sans retenues et sans gêne dans la maison, alors même que moi-même où sa sœur aînée sommes présentes.

 

Le moins que l'on puisse dire était que sa belle-mère n'y allait pas par quatre chemins pensa Mélanie, qui commençait à se sentir un peu inconfortable d'aborder si frontalement la situation.

 

Dr. Williams (d'un ton posé): Très direct, c'est bien. Mélanie, tu confirmes…?

 

Mélanie (tendue): Heu… Je…

 

La sexologue remarqua le trouble évident de la jeune fille et comprenant ce qu'elle pouvait ressentir, l'appela à se détendre.

 

Dr. Williams (souriant chaleureusement): Détends-toi Mélanie. Nous sommes ici pour parler de sexe, et la première chose qu'il faut que tu comprennes, c'est que ça n'a rien de condamnable. Tout ce que j'aimerais, c'est que tu te sentes suffisamment en confiance pour parler ouvertement.

 

Mélanie (jetant un œil en direction de Sarah, gênée): C'est que…

 

La jolie spécialiste invita d'un regard concerné Mélanie à confier ce qu'elle avait à dire, gardant le silence pour lui laisser le temps de s'exprimer.

 

Mélanie: Je pensais qu'on parlerait surtout seule à seule en fait, et je…

 

Dr. Williams (hochant légèrement la tête): Je vois, et je comprends. Mais il faut que tu saches que la profession m'interdit de m'entretenir avec un mineur sans la présence d'un parent. Mais personne n'est ici pour te juger et nous sommes avant tout là pour toi, je suis là pour toi Mélanie, pour que nous parlions ensemble. Ta mère n'est là qu'en t'en qu'observatrice, et elle n'interviendra que lorsque je l'y inviterais, et elle le sait déjà, n'est-ce pas Madame de Frémont…?

 

Sarah: Tout à fait. Je ne suis pas ici pour prendre parti, tout ce que je veux c'est trouver un terrain d'entente.

 

Dr. Williams: Tu vois…? Ta mère est là mais c'est entre-nous que ça se passe. C'est ok pour toi…?

 

Mélanie (lui souriant pour la première fois): Je pense que oui.

 

Dr. Williams (émettant un grand sourire satisfait): Génial…!

 

C'est ce médecin qui était génial pensèrent intérieurement et en cœur les deux jeunes femmes assises côte à côte, pour des raisons différentes, mais toutes deux un peu plus détendues de voir que les choses se passaient si bien, rendues bien plus faciles par la charmante femme-médecin.

 

Dr. Williams: Bien, alors il s'agit de masturbation. Commençons par le commencement, tu te masturbes souvent…?

 

Malgré la mise en confiance de l'autre femme, la jeune et jolie brune piqua un far, encore peu habituée à parler des choses du sexe aussi crument, elle qui était encore vierge et qui n'abordait le sujet qu'avec des amies de son âge faussement libérées.

 

Dr. Williams: Rassure-toi et oublie toute honte. Ici on appelle un chat une chatte…!

 

Riant de sa propre plaisanterie, la spécialiste du sexe fut heureuse de constater que sa petite blague avait eu l'air d'avoir touché au but, puisque sa jeune patiente émit un rire chatoyant bien que subtil en retour. Il lui fallait continuer sur cette voie pour apprivoiser la jeune fille et l'ouvrir à elle.

 

Dr. Williams (poursuivant): Moi aussi il m'arrive de me masturber, c'est un plaisir qui n'a rien de coupable. Et je pense même que toutes les femmes devraient le faire de temps à autre.

 

Finalement, Mélanie ne regrettait pas d'être venue. Elle sentait qu'avec cette femme, elle pourrait parler. Le Docteur Williams avait l'air d'être avant tout une femme, avant d'être ce médecin austère à blouse blanche que l'image du corps médical renvoyait habituellement à Mélanie, et une femme vraiment libérée qui lui parlait de sa propre sexualité comme à une amie autour d'une tasse de thé. Une amie dont le décolleté de sa généreuse poitrine devait lui attirer les œillades d'une grande partie de la gente masculine pensa-t-elle. Quelque chose dont la jeune et belle brune cherchait de son côté à se protéger, n'osant pas mettre en valeur un corps dont elle n'avait pourtant aucune honte. Elle se fit la réflexion que si c'était ça une femme libérée et en accord avec sa sexualité, alors c'est qu'elle était en réalité une fille vachement coincée.

 

Se disant qu'elle devait faire quelques efforts pour paraitre plus comme elle, comme cette femme à laquelle elle se dit qu'elle aurait de la chance de ressembler si elle le pouvait – sans aucune conscience de son propre potentiel de sex-appeal –  Mélanie prit sur elle de répondre.

 

Mélanie (prenant du courage, retrouvant peu à peu son assurance): Je le fait. Je veux dire, je me masturbe c'est vrai.

 

Ca y était, on arrivait au délicat moment où la jeune fille commençait à se confier, la praticienne savait qu'elle devrait choisir ses mots avec soins pour maintenir le lien de confiance qu'elle avait réussi à tisser avec sa patiente, trouver l'équilibre entre la rudesse de la franchise et la délicatesse des encouragements.

 

Dr. Williams: Voilà un bon début. A quel rythme…? Une fois par mois…?

 

La jolie Mélanie ne put empêcher un petit rire de passer le barrage de ses lèves douces et roses, réalisant sans qu'elle n'ait à réfléchir que la fréquence de ses masturbations était bien plus élevée. Trop élevée…? Un petit doute s'insinua dans son esprit à ce propos.

 

Dr. Williams (souriant, amusée): Je vois… C'est plus d'une fois par mois alors…

 

Ce n'était pas vraiment une question, plutôt une constatation amusée faite à haute voix, à laquelle Mélanie prit quand même la peine de répondre d'un hochement de tête affirmatif.

 

Dr. Williams: Plus d'une fois par semaine…?

 

Cette fois-ci la jolie jeune fille dut réfléchir pour évaluer le nombre moyen de ses petits plaisirs solitaire. Quand elle réalisa le chiffre elle répondit plus vaguement qu'elle l'aurait voulu, ne sachant trop si la réponse exacte serait convenable aux oreilles de sa belle-mère plus que de la sexologue.

 

Mélanie (acquiesçant): Oui, plusieurs fois.

 

Dr. Williams (s'avançant en entrecroisant ses doigts, les coudes sur le bureau): Mais encore…? N'aies pas peur d'être précise, je préférerais pouvoir me baser sur des exactitudes.

 

Réagissant aux gestes de la belle sexologue, le regard de Mélanie fut capté une fois de plus par le décolleté de l'autre femme, qui était maintenant pointé droit sur elle, ses yeux s'agrandissant à cette vue. La jeune fille déglutit et se dit que décidément, le Docteur Williams n'avait pas froid aux yeux, ni ailleurs.

 

Dr. Williams (appelant): Mélanie…?

 

Mélanie (émettant un léger sursaut): Hein…!? Heu, oui…?

 

La jolie praticienne s'amusait intérieurement des réactions de la belle Mélanie à son égard, elle avait parfaitement conscience de l'effet que ses atouts pouvaient avoir sur les autres; du désir, souvent; de la jalousie, parfois; mais aussi de l'indignation, plus rarement. Mais en t'en que sexologue praticienne, elle savait que son corps était aussi sa vitrine, et elle savait le mettre en valeur pour se mettre en avant.

 

Dr. Williams: Tu étais sur le point de me dire combien de fois tu te masturbe par semaine…?

 

Mélanie (inspirant puis expirant): Deux-trois fois par semaine.

 

Dr. Williams: Plutôt deux ou plutôt trois…?

 

Mélanie (avouant): Plutôt trois.

 

Une pointe de gêne ressurgit en elle lorsque Mélanie vu subrepticement mais de façon visible le visage du médecin tiquer au chiffre qu'elle venait de donner. De toute évidence elle était un peu surprise. Mais qu'est-ce que ça pouvait bien vouloir dire…? Le doute et l'incertitude poussèrent Mélanie à poser la question sans attendre que le docteur ne s'exprime à son tour.

 

Mélanie (redoutant un peu): Est-ce que c'est mal…?

 

 

Dr. Williams: Mal…? Non, ce n'est pas mal. Dis-moi plutôt, tu as un petit ami ou une petite amie…?

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Samedi 3 octobre 6 03 /10 /Oct 16:40

Après un temps d'ettente un peu plus log que prévu, Le 2eme chapitre de "Sarah et Mélanie" nous arrive enfin!

Mais pour compenser, c'est un chapitre particulièrement long, publié en 6 parties!

Et soyons clair: ça devient de plus en plus "chaud" et pervers pour notre pauvre "Mélanie"!

Bonne lecture!

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Jeudi 30 juillet 4 30 /07 /Juil 21:24

Chap. 1c: Première punition : Mélanie se rebiffe

 

Clic.

 

Le bruit du déclencheur photographique du téléphone d'Alysson fût comme l'électrochoc qui ramena la belle-mère et la belle-fille à la réalité. Cette dernière, pas trop sûre de savoir ce qui venait de se passer, avait en revanche parfaitement compris ce que signifiait ce bruit si caractéristique, on venait de la prendre en photo…! Ce geste à priori banal dans n'importe quel autre contexte, força la jeune fille à observer toute l'horreur de sa situation d'un œil nouveau, et comme si elle venait de prendre subitement conscience de l'humiliation qui lui avait été infligé, son esprit revêche se réveilla instinctivement. Et se fut alors comme si ses belles résolutions d'affronter la situation avec maturité s'était envolées.

 

Mélanie (se relevant d'un bon, crachant): Qu'est-ce que tu fous putain…!?

 

Comment lui dire…? Comment lui dire que ça en avait été trop pour elle, que la charge érotique avait trop forte, et qu'elle avait voulu immortaliser cet événement dans l'idée de se faire du bien lorsqu'elle serait seule dans sa chambre, en revivant la scène à l'abri des regards et devant les images…? Alysson ne pouvait se résoudre à lui expliquer ça, ça reviendrait à lui avouer qu'elle s'était peut-être un peu entichée d'elle, en plus de la désirer carrément.

 

Alysson (prise au dépourvu, reculant): Je…. Je voulais juste….

 

Mélanie (se rapprochant, l'alpaguant): Quoi…? Tu voulais quoi…!? Pas toi aussi Alysson…!? Comme si c'était pas assez dégueulasse de se faire claquer le cul par sa belle-mère…! Il faut que t'en rajoute pour m'humilier, c'est ça…!?

 

En réalité, la jolie et forte Mélanie en apparence, venait d'être meurtrie dans son amour propre plus que dans sa chair, et c'était infiniment plus difficile à avaler que les coups eux même. Réagissant avec fougue comme pour masquer sa fragilité, la jeune fille lança son bras d'un geste brusque dans la direction de sa demi-sœur dans le but de lui prendre.

 

Alysson (esquivant, se défendant): Qu'est-ce que tu fais…? Arrêtes, c'est pas contre toi Ninie.

 

La jeune femme de son coté, était toujours assise sur la banquette, retombant doucement de l'euphorie orgasmique, en partie consciente de ce qui se passait mais pas encore capable d'intervenir. Ses jambes étaient molles et elle dut se lever avec précaution avant d'être sûre qu'elles la soutiendrait.

 

Mélanie (se jetant sur Alysson en agrippant ses mains, criant): Rend-moi ça…!

 

Alysson (se débattant): Mais ce n'est pas à toi…!

 

Les deux jeunes filles se débattaient comme des chiffonnières, leur mains à toutes les deux refermées autours de l'objet. Pendant un instant, Sarah apprécia la vue du joli petit cul de la jeune brune qui se trémoussait de dos. Mais il était temps qu'elle reprenne les choses en mains.

 

Sarah (hélant): Ca suffit comme ça les filles.

 

Il n'y eu aucune réaction et les choses n'avaient pas l'air de vouloir se calmer entre les deux effrontées.

 

Sarah (répétant d'un ton ferme, haussant la voix): Les filles, ça suffit…!

 

La jolie britannique aux cuisses moites dut finalement s'approcher pour mettre un terme à la bataille, saisissant la longue chevelure de la brune d'une main et agrippant à son tour le téléphone de la blonde de l'autre, lui arrachant ce dernier des mains tandis qu'elle les séparait.

 

Sarah (hurlant): En voilà assez…!!!

 

La jeune blonde s'immobilisa sur place, impressionnée, ce que n'était nullement la jeune brune, qui redoubla de férocité lorsqu'elle se senti écartée ainsi de sa cible.

 

Mélanie (agrippant le poignet de Sarah d'une main): Lâche-moi…!

 

Sarah (se retournant vers elle, maintenant sa prise): Tu te calme maintenant…!

 

Mélanie (s'insurgeant, enfonçant ses deux pouces dans le creux du coude de Sarah, pressant rageusement): J'ai dit lâche-moi putain…!!

 

La vive douleur ressenti fît instantanément lâcher prise à Sarah, qui de rage envoya de son autre main une magistrale gifle à la jeune fille après avoir lâché le smartphone. Les deux parties avaient obtenues ce qu'elle désirait, la première était libre, la seconde l'avait calmé. Choquée, Alysson tenta une légère incursion en voyant le déchainement de violence de sa mère contre la jeune fille, qui porta ses deux mains sur sa joue, des larmes dans les yeux.

 

Alysson (invitant prudemment): Maman, calme-toi.

 

Sarah (se massant le bras): La ferme, je ne veux plus rien entendre. Même pas une mouche voler, c'est clair…!?

 

Mélanie (la fixant d'un regard noir, crachant): Salope.

 

Sarah (haussant les sourcils, questionnant): Salope…?

 

Sans attendre, la beauté britannique se planta devant la jeune française, ses prunelles fixées dans les siennes, impérieuse de force et de tempérament. Calmement, elle s'adressa à la jeune fille, mais d'un ton qui ne laissait pas place au doute quant à la menace qui planait dans sa voix.

 

Sarah (faisant monter crescendo le volume de sa voix): Si tu penses que ce que tu viens de subir est la pire des choses que je pourrais t'infliger, comprends-bien qu'il n'en est rien. Et pour m'assurer que tu intègres bien cette réalité, je vais t'en donner un petit aperçu. Et je te jure par tous les dieux que si tu oses montrer le moindre signe de protestation il va t'en cuir cent fois plus….!

 

Pour la première fois la jeune Mélanie fût réellement intimidée par sa belle-mère, elle senti immédiatement au regard pénétrant de celle-ci et à la hargne de ces paroles qu'elle ne plaisantait pas, qu'une frontière avait été franchi. Comprenant qu'elle avait trouvé à qui parler et que pour son propre bien il valait mieux se ternir à carreaux le temps que passe l'orage, la jeune fille se tut et resta muette, sans pour autant baisser les yeux. Car il n'était pas question de paraître faible, ce n'était pas dans son tempérament, et elle n'allait certainement pas faire cette fleur à Sarah. Elle se contenta donc de ronger son frein, le regard accusateur.

 

Sarah (guidant la jeune fille, puis s'adressant à Alysson): Au centre de la pièce maintenant. Quant à toi, si tu fais un pas de plus pour récupérer ce téléphone par terre, tu vas entendre parler de moi…!

 

Les mots avaient claqué comme un coup de fouet, aussi la jeune anglaise stoppa son mouvement et se redressa en reculant d'un pas du téléphone tombé à terre un instant plus tôt. Elle esquissa ensuite un mouvement de demi-tour afin de quitter les lieux mais fut rappelé à l'ordre tout aussi sèchement.

 

Sarah: Pas si vite…! Tu restes ici, ça te serviras d'exemple à toi aussi. Voilà ce qu'il en coûte de me pousser à bout. Et toi petite rebelle, en position…!

 

Connaissant sa mère mieux que personne, Alysson savait que sa colère était aussi inflexible que sa clémence était juste. Elle ne se fit donc pas prier pour s'immobiliser dans la pièce, témoin bien malgré elle de la punition exemplaire à venir.

 

Sarah (se plaçant devant Mélanie, les poings sur les hanches): Toi jeune fille, on peut vraiment dire que tu joues avec ma patience.

 

Et le regard rougi de larmes contenu et de colère de la jolie brune lui répondit qu'elle avait raison. Mais plus aussi confiante après la violente rébellion de sa belle-fille, Sarah dû admettre qu'il s'en était fallu de très peu pour que la situation ne lui échappe totalement, elle réalisa alors combien elle allait devoir garder Mélanie à l'œil en permanence, tant elle le sentait, cette dernière chercherait à profiter de la moindre faille pour l'attaquer à nouveau. Diable que la partie allait être excitante…! C'est donc en gardant sa belle-fille bien en vue que la jeune femme s'enquit d'aller ramasser le smartphone de sa fille.

 

Sarah (se relevant le téléphone en main, hélant): Helen…! Venez ici je vous prie…!

 

Dans la cuisine, non-loin de là et à l'abri des regards, la jeune employée de maison s'était faite toute petite en entendant la forte agitation se déroulant dans la pièce voisine, se gardant bien de vouloir mettre le nez où n'était pas sa place. Aussi la jeune femme, 23 ans à peine fêtés, fût-elle surprise d'être ainsi appelée. Mais bien formée et professionnelle, elle n'hésita pas une seconde et se rendit là où la maitresse de maison la demandait, un léger noeud à l'estomac l'accompagnant.

 

Bien que la brune élancée n'en était plus à ça prêt, elle détourna les yeux de la nouvelle venue avant de les reposer sur sa belle-mère, son regard redoublant de haine de lui faire subir cette humiliation supplémentaire ne la lâchant pas, comme pour lui signifier sa défiance bien en face. La jeune employée de maison, elle, bien que s'immobilisant dans l'attente de savoir ce que l'on attendait d'elle en pareille situation, ne put s'empêcher de regarder sa jeune maitresse, qu'elle fut surprise de découvrir nue, les mains jointes au-dessus de la tête, le visage rougi et buriné par la colère. Là, en la voyant ainsi, cambrée par la position et la poitrine se soulevant au rythme quasi effrénée de sa respiration rapide et profonde, et sans autre arrière-pensée, Helen l'a trouva impérieusement belle. Et comme un électrochoc, elle fut ramenée dans la seconde qui suivi à la réalité.

 

Sarah (s'adressant à Helen, son regard soutenant celui de Mélanie): Bien, vous voilà. Comme vous pouvez le voir j'ai à faire face à une situation difficile suite au comportement agressif de cette jeune fille, mauvais comportement contre lequel je me dois de sévir. Vous comprenez donc bien la punition que subit Mélanie, n'est-ce pas…?

 

Helen (n'ayant pas entendu ce qu'il se jouait, confuse): Eh bien Madame, en fait….

 

Sarah: Ah oui, suis-je sotte. Vous ignorez ce qui vaut à Mélanie d'être punie de la sorte. Eh bien jeune impudente, qu'attends-tu…? Montre dont à Helen ce qui te vaut tout cela…!

 

Partagée entre la colère et la crainte, la jeune et jolie Mélanie ne sut pourtant pas comment accéder à la demande de la femme qui ne l'avait toujours pas quitté des yeux, si tant est qu'elle souhaitait y accéder. Ou peut-être comme une alarme retentit dans sa tête, elle ne le comprenait que trop bien sans vouloir admettre que Sarah puisse lui demander, lui ordonner plutôt, de faire une chose pareille. Elle détendit donc légèrement son regard pour y faire passer une lueur d'interrogation à destination de la jeune femme. Une lueur que Sarah perçue et à laquelle elle répondit d'un sourire narquois en relevant le smartphone d'Alysson dans sa direction, sous les yeux maintenant presque ahuris de la jeune fille.

 

Sarah (prenant un nouveau cliché de la jeune fille): Il faut que je te fasse un dessin en plus de ça…? Tu semblais pourtant très bien savoir ce que tu faisais sous la douche. Alors montre-lui, exécution…!

 

Ce faisant, la jeune femme secoua le smartphone au nez et à la barbe de la belle Mélanie, comme brandissant la menace. Le tout était maintenant de savoir si cette dernière tenterait une ultime bravade. Pourtant le message avait été clair et la jeune et jolie brune l'avait parfaitement reçu, si elle ne pliait pas, sa belle-mère ferait de ces photos compromettantes un usage auquel la jeune fille préféra ne pas songer. Elle était donc au pied du mur, à la fois mortifiée et haineuse de ce qu'elle s'apprêtait à faire, sous l'œil goguenard et triomphant de l'inflexible blonde, dont elle n'aurait finalement peut-être pas dû chercher à provoquer le courroux pensa-t-elle intérieurement.

 

Alors, sous les yeux interdits des deux autres spectatrices mal à l'aise de la situation, et versant des larmes d'amertume jusqu'ici retenues, la jeune fille descendit prudemment sa main le long de son corps pour finalement l'immobiliser à hauteur de son sexe.

 

Sarah (agacée): Il suffit, procède…!

 

Sursautant toutes les trois, la main de la jeune fille entreprit bientôt une lente et maladroite masturbation, simulacre du plaisir qu'elle s'était donné un temps indéfini plus tôt sous la douche. Diable qu'on ne l'y reprendrait plus, se dit intérieurement la douce Mélanie, à qui le goût pour son prof de tennis s'était comme volatilisé.

 

La jeune blonde, témoin contre son gré des affres subit par sa demi-sœur adorée aurait voulu l'aider, la secourir de ce traitement injuste, mais elle savait mieux que personne que c'était peine perdue. Elle voulue donc au moins s'esquiver pour lui éviter le poids de son regards, mais ce fût comme si sa mère lisait dans ses pensées, car elle choisit ce moment pour la recadrer d'un regard menaçant. Tentant de faire preuve de courage pour Mélanie, elle redirigea ses yeux désolés sur cette dernière, pour lui offrir un point d'encrage, telle une invitation à s'évader de cet endroit.

 

Sarah (questionnant pour la forme): Voyez-vous maintenant Helen…? Alors, que dites-vous de ce comportement…?

 

La jeune bonne n'était pas certaine de savoir en quoi consisterait une bonne réponse, pas plus que de savoir pourquoi elle se trouvait ici. Tout ce qui aurait pu écourter la mauvaise posture de sa jeune maitresse lui aurait paru faire l'affaire, mais elle n'était pas certaine que ce soit une bonne chose en définitive.

 

Helen (cherchant ses mots): C'est tout à fait…. déplacé, Madame.

 

Sarah (jubilant de l'humiliation totale de sa belle-fille): Ha...! Tu vois jeune sotte…? La première venue semble avoir plus d'éducation que la bien-née que tu es, quelle honte ma parole…! Mais foi de Frémont, je vais ne vais pas restée les bras croisés. Tu es ma fille désormais, et je n'accepterais pas que l'une de vous deux s'égare sans réagir.

 

Malgré cette interpellation, la belle brune n'accorda aucune attention à sa mère par alliance, elle avait capté le regard compatissant de sa demi-sœur Alysson et s'y était encrée comme à une planche de salue bienveillante. C'est le regard plongé dans celui de l'autre adolescente que Mélanie poursuivait contrainte sa besogne, travaillant son sexe de ses doigts. Malheureusement pour elle et sa fierté, les effets de sa masturbation forcée commencèrent à se faire ressentir, et tandis que sa respiration se faisait de plus en plus lourde et rapide, la jeune française se maudit d'avoir été interrompue plus tôt si prêt de la jouissance. A présent son bouton de plaisir était rendu ultra-sensible par le désir refoulé et la frustration, et le plaisir montait en elle contre son gré. Tout cela ne rendait que plus dure son humiliation publique et par opposition, elle s'obligea à tarir la chute de ses larmes, maintenant le minimum de dignité qu'il lui restait.

 

Observant la scène avec attention, la jolie Sarah s'en montra d'abord ravie, constater que la jeune fille était en train de prendre son pied bien malgré elle était la cerise sur le gâteau de la perversion de ce moment. Le feu au creux de ses reins se raviva à cette vue et tandis qu'elle passait intérieurement en revue tous les plaisirs qui l'attendaient avec cette déesse de femme-enfant qu'elle destinait à assouvir tous les aspects de sa vie sexuelle, quelque chose d'incongru lui sauta soudain aux yeux. Elle fronça alors les sourcils lorsqu'elle suivit le regard de la jolie Mélanie pour s'apercevoir qu'elle fixait Alysson intensément, et que celle-ci ne l'a lâchait pas du regard en retour. Pire, elle ne savait pas ce que c'était, mais Sarah descella quelque chose qui transpirait dans le regard qu'elles échangeaient, quelque chose qui dans les yeux de la charmante petite frenchie avait remplacé la colère et la rancoeur. Comme soudain piquée par un inattendu sentiment de jalousie qu'on lui vole son moment, la jeune femme ne put s'empêcher d'interrompre la punition.

 

Sarah (perplexe, balayant l'air d'une main): Bien, ça suffit comme ça. Helen, retournez à vos tâches en cuisine, je n'aimerais pas déjeuner trop tard. Quant à toi….

 

La main de la jolie Mélanie s'était tétanisée instantanément sur son sexe. Son regard se détacha de celui de la jeune blonde, brisant la complicité qui s'était installée à travers ce moment intime partagé malgré elles. Fixant ses yeux sur sa belle-mère d'un air dur mêlé d'hésitation, elle resta immobile l'espace d'un instant, avant de baisser la tête et de se ruer à l'étage en empruntant l'escalier pour s'enfermer dans sa chambre. La mère et la fille se retrouvèrent alors seules dans le petit salon.

 

Sarah (soufflant, relâchant la tension qui tenaillant encore son corps): Eh bien, ce fût…. intense.

 

Alysson (questionnant, mécontente): Qu'est-ce qui t'a pris…?

 

Sarah (surprise): Je te demande pardon…?

 

La jeune anglaise désigna de son bras tendu l'endroit où se tenait jusqu'à lors sa demi-sœur.

 

Alysson (accusatrice): Ca. C'était quoi…?

 

Sarah: Pas ici veux-tu.

 

La jeune femme fit volte-face pour se diriger dans son bureau, sa fille lui emboîtant le pas. Se doutant que cette dernière ne lâcherait pas l'affaire, la mère referma la porte de la pièce et s'assit derrière son meuble de travail.

 

Alysson (se plantant devant le bureau, tapant du pied): Alors…?

 

Sarah (évitant son regard, dédaigneuse): Alors quoi…?

 

Alysson: Pas de ce ton condescendant avec moi. Tu sais très bien ce que je veux dire. Qu'est-ce qui t'as pris de déraper comme ça…?

 

Sarah (minimisant): Une simple brimade….

 

Alysson (véhémente): Non, c'était une agression, purement et simplement…!

 

Sarah: Si tu le sais, pourquoi demander…? Et pourquoi n'as-tu rien fais…?

 

La jolie et jeune blonde resta silencieuse, toutes les deux connaissant la réponse à cette question. La jeune anglaise n'avait pas voulu prendre le risque de s'opposer à sa mère, au risque de détériorer une relation déjà suffisamment tendue entre elles depuis que Sarah l'avait arraché à sa Grande-Bretagne natale et à sa vie là-bas. Cela avait fini par se tasser un peu au fil des semaines, et des mois, depuis qu'elle vivait ici avec la jeune française, qui était devenue son amie proche, plus qu'avec son beau-père qui était le plus souvent absent. Mais aujourd'hui, elle aurait risqué la scission, et au fond, même si ce n'est pas ce qu'elle recherchait, elle n'était plus si sûre de ne pas le vouloir, tout en en ignorant elle-même la raison.

 

Sarah (affichant un sourire confiant): Tu vois, tu as su ce qui était le mieux pour toi. Tu l'as toujours su, continue comme ça.

 

Alysson (amère): Tout de même, tu as été trop loin.

 

Sarah (laissant trainer sa phrase): Tu étais pourtant d'accord….

 

Alysson: Pour que tu l'inities aux plaisirs lesbiens. Pas pour ça…! J'ai beaucoup pris sur moi pour supporter ta petite lubie. Mais je te jure que si tu recommences un truc du genre, je ne resterais pas sans rien faire.

 

Sa fille avait serré les dents en disant ces derniers mots, Sarah sut donc qu'elle était sérieuse quant au fait qu'elle n'appréciait pas la façon dont elle avait réagi, un peu sous le coup de la colère s'accorda-t-elle à se dire intérieurement. Mais sa fille chérie avait déjà été témoin de pire que cela venant d'elle, et Alysson savait que sa mère était une dominante patentée en plus d'une dominatrice sexuelle. Pourtant jamais jusqu'ici la jeune fille n'avait émis d'opposition à ses agissements, pas même quand elle lui avait finalement avoué la raison véritable de son remariage avec ce riche entrepreneur français, à savoir faire de sa fille son jouet sexuel dévoué corps et bien. A moins que…. Elle avait bien senti que sa fille s'était un peu trop vite radoucie d'avoir été ainsi déraciné. Et il y avait aussi cette chose qu'elle avait vu dans son regard pour Mélanie un instant plus tôt.

 

Sarah (dubitative): Pourquoi ça te tiens tant à cœur tout à coup…?

 

La jeune fille l'interrogea du regard, piquée au vif.

 

Sarah: C'est bien toi qui m'a rencardé sur les petites habitudes cochonnes de Mélanie, sur lesquelles tu avais vu juste d'ailleurs. Et maintenant tu es prête à te braquer parce que je me suis montrée un peu trop rudement entreprenante…?

 

Alysson (éludant): Ecoute, je te demande simplement d'y aller plus doucement avec elle à l'avenir. Ou alors ne compte plus sur moi pour marcher dans ta combine.

 

Sarah (concluant, conciliante): Soit, j'essaierais dorénavant de me montrer un peu plus…. flexible. Satisfaite…?

 

Pour toute réponse la jolie et jeune anglaise tendit la main en direction de sa mère, paume ouverte vers le haut.

 

Sarah: Quoi encore…?

 

Alysson (réclamant d'un geste de la main): Mon portable.

 

Sarah: Ah, ça. Confisqué jusqu'à nouvel ordre.

 

La jeune fille se contenta de souffler et sortit du bureau sans demander son reste. La mère avait vu juste semblait-il, comme elle le pensait, sa fille s'était amourachée de cette perle nacrée qu'elle avait pour demi-sœur, et comment le lui reprocher…? Elle-même avait succombé à l'attraction inextricable et au charme inné qu'exhalait la jeune française en fleur, et cela à la seconde même où elle avait posé les yeux sur elle. Elle se questionna tout de même, se demandant ce qu'il se passerait quand sa chère Alysson se rendrait compte des réels sentiments qu'elle éprouvait pour sa tendre demi-sœur bien-aimée. La suite de leur aventure en sol français ne manquerait pas de leur réserver assurément encore bien des péripéties. De douces et excitantes péripéties, qui rimeraient avec orgasmes multiples et sexualité exacerbée.

 

 

Sans plus se poser de questions, la belle anglaise s'enfonça dans son fauteuil, et devant les clichés de son affriolante belle-fille, passa sa main sous sa robe, glissant ses doigts sous l'élastique de son dessous. Il était plus que temps qu'elle puisse rassasier ce feu qui brûlait dans son bas-ventre. Ce qu'elle fit en fourrageant sans autres procès son sexe liquéfié par son jus intime, atteignant ainsi un orgasme libérateur plus vite que jamais.

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Sarah et Mélanie, de KS - Communauté : Soumissions féminines
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Mercredi 29 juillet 3 29 /07 /Juil 21:40

Chapitre 1b : Première punition : Alysson entre en scène

 

Les yeux de la belle française s'agrandirent de surprise en entendant sa belle-mère appeler de la sorte Alysson, qui ne manquerait assurément pas de la voir en passant devant le bureau. Et malgré le regard implorant qu'elle adressait à sa belle-mère, celle-ci ne flanchât pas et ne répondit pas à sa demande silencieuse. Consciente de risquer de s'attirer les foudre de Sarah par son geste, mais dans l'urgence de la situation, la jeune fille en tenue d'Eve quitta sa position et entreprit de rapidement contourner le petit salon pour monter l'escalier opposé à l'entrée, tout en espérant qu'il ne soit pas trop tard pour échapper à la honte d'être vu ainsi par sa demi-sœur. Malheureusement pour elle, la jolie anglaise en robe bleu senti le coup venir et se précipita à la suite de la fuyarde, faisant tonner sa voix comme un coup de canon menaçant.

 

Sarah: Mélanie…!

 

Le sursaut ne l'immobilisa qu'une seconde, mais ce fut suffisant pour que l'autre femme ne l'agrippe au bras et ne la retourne face à elle, visiblement furieuse.

 

Sarah: Qui t'a permis…?! C'est ainsi que tu remercies la clémence dont je fais preuve à ton égard…? En t'enfuyant comme une sale lâche perverse…?

 

Mélanie (justifiant): Mais Alysson allait me voir…!

 

Sarah (la saisissant): Et tu l'auras bien mérité, par ici…!

 

La jeune femme tenta d'entraîner sa jeune belle-fille à rebrousser chemin mais celle-ci, pour qui s'en était trop, ne l'entendit pas de cette oreille et se débâti avec fougue. Ce que la jeune fille ignorait cependant, c'est que plus elle combattait, plus la détermination de sa belle-mère augmentait, ainsi que cette excitation si particulière, du chasseur affrontant sa proie.

 

Sarah: Allons bon, il suffit…!

 

Mélanie (cherchant à se soustraire): Pas question…!!

 

Tout de même surprise par la force de la jeune fille, qui lui tenait tête à taille égale, Sarah sentie que l'adolescente prenait le dessus, ce qui l'a résolue à se montrer plus directe, pour son plus grand plaisir. La jolie prédatrice saisi donc vivement l'un des tétons saillants de la jeune bagarreuse et le pinça violement entre son pouce et son index. La décharge de douleur fit perdre aussitôt toute combativité à la jeune fille, qui fût trainée de force jusqu'au petit salon où toutes deux se retrouvèrent nez-à-nez avec la nouvelle arrivante.

 

Mélanie: Aïe, aïe, aïe, aïe, aïe, aïe…! Mais lâche-moi à la fin…!!

 

Alysson (surprise): Maman…?

 

Sarah (relâchant légèrement la pression de ses doigts): Si je te lâche, tu vas te tenir tranquille ou tu vas chercher à filer à nouveau…?

 

Bien que moins intense, la douleur parasitant la poitrine de la belle frenchie était toujours présente, et commandait à son esprit de tout faire pour qu'elle cesse.

 

Mélanie (se trémoussant sur place): Je serais sage, je serais sage…! C'est promis, mais lâche-moi s'il te plaît…!

 

Sarah: Tu as certifié être assez mature pour assumer une sanction méritée, pourtant tu as pris la poudre d'escampette à la première occasion…! Que vaut ta parole dans ce cas…? Je commence à croire que tu n'es rien de plus qu'une petite délurée obsédée par sa petite personne…!

 

La jeune Alysson n'en revenait pas de ce qu'elle voyait, sa mère mettant au pas sa nouvelle demi-sœur, dans le petit salon et surtout, entièrement nue. Elle aurait voulue demander à sa mère ce qu'il s'était passé mais celle-ci interrompit son questionnement en s'adressant à elle.

 

Sarah (parlant à sa fille, puis détournant la tête vers Mélanie): Bonjour ma chérie. Excuse mon impolitesse, comme tu le vois j'ai fort à faire avec cette petite insolente. Et toi, ne t'avise pas de fiche le camp…!

 

La jeune femme relâcha alors son emprise sur le bourgeon de chair malmené. Immédiatement soulagée, l'envoutante Mélanie porta une main sur son sein meurtri et le massa doucement de la paume pour atténuer les relents de douleur. Ce faisant, elle plaça son autre main devant son intimité dans un ultime geste de pudeur envers sa demi-sœur ainée, un geste qui n'échappa pas à la plus âgée des trois femmes.

 

Alysson (passant de sa mère à Mélanie, puis revenant à sa mère): Bonjour. Mélanie. Que se passe-t-il…?

 

Sarah (s'adressant à Mélanie): Veux-tu lui répondre ou préfères-tu que je le fasse…?

 

Si ce n'est un regard mi-renfrogné, mi-irrité, seul le silence répondit à la jeune femme.

 

Sarah (reprenant): Vois-tu Alysson, j'ai cru entendre une jeune fille entrer en trombe à la maison et filer à l'étage sans même venir me saluer, moi sa propre mère. Et lorsque soucieuse, je me suis rendue au premier pour m'assurer de son état, que tout allait bien, je l'ai trouvé dans la salle de bain occupée à se tripoter la minette comme une obsédée. Sans honte, sans pudeur, là, sous mes yeux. N'est-ce pas la vérité Mélanie…?

 

Mélanie (la voix base): Oui.

 

Alysson (s'exclamant, portant une main à sa bouche): Ohhhhh….

 

Avec un sourire, Sarah poursuivi l'explication.

 

Sarah: Après une altercation où elle a cru bon de me tenir responsable, elle a reconnu être en tort et nous avons finalement convenu qu'elle devait donc se repentir de son manque de considération, en demeurant au piquet avant de venir présenter ses excuses. Et au lieu d'excuses, j'ai eu droit à la vision d'une jolie paire de fesses s'enfuyant à toutes jambes. Toujours d'accord avec moi…?

 

Mélanie (troublée): Heu…. Oui.

 

Entendre sa belle-mère relater les faits calmement remis les choses en perspectives d'une nouvelle façon dans l'esprit de la jeune et belle brune, qui se cachait maintenant aussi la poitrine à l'aide de son bras. Avait-elle vraiment été aussi impolie et méchante que sa belle-mère le laissait entendre…? Elle commença à se sentir coupable de s'être montrée aussi malhonnête avec sa belle-mère, cette femme qui s'était toujours montré si gentille jusqu'ici avec elle et qui n'avait fait que…. qu'essayer de la ramener à la raison, et quoi…? Lui inculquer une leçon…? Mélanie se dit que oui, elle n'était définitivement pas du genre à ne pas se laisser marcher dessus, mais son côté impétueux semblait l'avoir poussé à se montrer méchante avec ce qu'elle devait bien admettre être un membre de sa famille. La jeune Mélanie se souvint alors qu'elle avait même craché au visage de la jeune femme qu'elle aurait préféré qu'elle et sa fille ne débarquent pas dans sa vie. Honteuse de son comportement, elle se dit qu'il n'était peut-être pas trop tard pour tenter de se faire pardonner, se disant qu'au fond, elle aurait finalement bien mérité une paire de gifles ou une bonne fessée, ce qu'elle se serait donné à elle-même dans pareil cas.

 

Mélanie (désolée): Je m'excuse Sarah.

 

Sarah (étonnée): Pardon…?

 

Mélanie (répétant, avec plus de conviction): Je me suis mal conduite avec toi sans aucun raison alors que tu te souciais de moi. Je m'en excuse.

 

Sarah (dubitative, questionnant): J'avais bien compris la première fois, mais crois-tu qu'il t'appartienne de t'excuser…? Et d'ailleurs, sur quoi nous étions mis d'accord à ce propos…?

 

La jolie brune comprit alors de quoi il était question et, pudiquement, détacha ses mains de ses parties intimes et les redressa au-dessus de sa tête pour reprendre sa position, évitant au possible de croiser le regard de cette demi-sœur, à laquelle elle offrait désormais une vue imprenable sur son anatomie toute entière. C'est cette dernière qui intervint alors….

 

Alysson (le teint rosissant): Eh bien, je ne peux pas dire que je n'ai pas été surprise. Mais bon, je t'adore Ninie. Même si à ta place j'aurais un peu honte d'être pardonnée par maman sans l'avoir mérité, pas toi…?

 

La jeune brune au corps dénudé et maintenant sec, regarda la jeune blonde à la crinière tressée en une longue natte, mais ne pipa mot.

 

Sarah. Eh bien, jeune fille…? Aurais-tu perdu ta langue…?

 

Alysson (plaidant): Laisse maman, ce n'est rien.

 

Sarah: Non, ce n'est pas rien justement. Tu te montres gentille et compatissante à son sort et elle n'a même pas la politesse de te répondre.

 

La jeune Mélanie fronça les sourcils, se demandant si elle faisait vraiment tout de travers aujourd'hui. Que lui arrivait-il…? Etait-ce la frustration de ne pas avoir pu atteindre l'orgasme en revenant de son cours, et qu'elle avait l'habitude de se donner en pensant à son beau professeur…?

 

Mélanie (soufflant): T'as raison Alysson, c'est un peu la honte c'est vrai. Et j'ai pas vraiment cherché à me faire pardonner je l'admets.

 

Sarah (saisissant la balle au bond): Heureusement il n'est jamais trop tard pour bien faire.

 

Les yeux de Mélanie s'ouvrirent en grand en direction de sa belle-mère, attendant la suite. Mais la gentille Alysson intervint encore.

 

Alysson: C'est ok maman, je ne veux pas lui attirer des problèmes.

 

Mélanie (intervenant): Non, laisse, Alysson…. Tu n'as rien fait de mal, c'est moi. C'est à moi de me faire pardonner pour avoir mal agis. Qu'est-ce que je peux faire pour que tu m'excuses Sarah..? J'accepterais n'importe quelle punition que tu me dicteras, promis.

 

Sarah: Et si nous laissions Alysson en décider pour le coup, qu'en dis-tu…? Elle a reçu mon éducation, à l'anglaise, elle. Alors chérie, quelle punition mériterait le pardon…?

 

Alysson (rébarbative): Mais maman, je veux pas….

 

La jolie blonde de deux ans plus âgée que la jolie brune comprit en regardant sa mère qu'il valait sans doute mieux pour elles qu'elle choisisse la punition sans discuter. Elle ne voulait pas s'attirer des ennuis, aussi et connaissant sa mère, elle choisit ce qu'elle savait que cette dernière devait attendre comme type de réponse, et adressa avant de se prononcer un regard désolé à l'intention de sa demi-sœur.

 

Alysson: Je pense qu'une bonne fessée ferait l'affaire.

 

Sarah: Une fessée alors…? Classique mais juste. Mélanie…?

 

La jeune fille sentit une boule se former dans son estomac face à l'appréhension de subir une telle punition. Mais n'avait-elle pas reconnue elle-même qu'elle était justifiée…? Et quand bien même c'était une sanction enfantine, ne paraitrait-elle pas plus infantile à rechigner à l'idée de la recevoir…? Il était temps pour Mélanie de prouver à sa belle-mère qu'elle était bien cette jeune fille mature qu'elle lui soutenait être, et non pas cette gamine au comportement insultant qui s'était illustrée jusqu'ici semblait-il. Oui, elle allait accepter son sort comme une adulte. La jeune et jolie française, déterminée, se décida donc à hocher la tête avec un air résolu en guise de réponse et d'acceptation.

 

Sarah (frémissant intérieurement, enthousiaste): A la bonne heure…! Installons-nous.

 

La jeune femme désigna d'un geste la jolie banquette rouge de style Louis XV située derrière elles dans le petit salon. Sans attendre davantage de réponse, elle y guida la jeune fille avant de s'y assoir et de l'inviter à s'installer à son tour, après avoir retroussé sa robe pour éviter de trop la froisser.

 

Sarah (avec entrain, tapotant ses cuisses): En place jeune fille…!

 

La jeune fille en question n'était pas sûre de comprendre…. Sa belle-mère voulait-elle réellement qu'elle se mette en travers de ses genoux…? Ne devait-elle pas plutôt comme Mélanie le pensait, se contenter de claquer ses fesses une paire de fois, et debout, pour marquer la sanction et passer à autre chose. La jeune fille osa à se risquer de poser la question pour la forme.

 

Mélanie: Mais heu…. sur tes genoux…? Tu es sûre que….

 

La jolie française n'eut pas le temps de terminer sa phrase, interrompue par sa belle-mère dont l'excitation allant croissante dicta un certain empressement.

 

Sarah (attrapant l'un des poignets de Mélanie pour la tirer sur ses genoux): Aller, cesse dont de faire l'enfant maintenant.

 

C'est pourtant ce qu'elle se donnait l'impression d'être, désormais allongée de la sorte en travers des genoux de sa belle-mère, ses jambes repliées vers le haut et son buste reposants des deux côtés de la large banquette. La docile Mélanie se dit que ça devait être le but de la punition, et effectivement, elle prit la résolution de faire en sorte que plus jamais elle ne se retrouve dans cette position infantilisante. La jolie blonde de son côté, peinait à dissimuler son excitation. Elle bouillonnait littéralement de l'intérieur alors que sa superbe belle-fille se trouvait allongée sur elle, totalement nue et son divin postérieur à sa seule merci. Un cul rebondi divin et juvénile, qu'elle pouvait enfin dévorer du regard sans aucun obstacle à sa vue. Elle remercia intérieurement toutes les divinités de l'univers d'avoir répondu à ses prières avec tant de générosité. La petite décharge électrique qu'elle perçue lorsque, n'y tenant plus, elle déposa sa main sur le délicat séant de la jeune fille ne l'électrisa que davantage.

 

Sarah (questionnant, sur un ton posé): Alors jeune insolente, combien de coups pour effacer tes écarts de conduite crois-tu être justes…?

 

L'esprit de la pénitente fut ramené à la réalité par la question qui lui avait été posé. En effet, plus que la surprise, c'est par la petite décharge d'électricité qui lui fit contracter instinctivement ses deux jolies globe fessier que Mélanie réalisa que la main de sa belle-mère se trouvait désormais sur son derrière, son esprit occupé à constater que celle-ci était plus douce que ce à quoi elle s'était attendue. La belle et jeune brune dut tout de même peser la question, et surtout ses conséquences. Se doutant maintenant qu'il y en aurait plus d'une, elle ne voulait pas énoncer un nombre qui paraitrait ridicule aux yeux de sa belle-mère. Mais elle ne voulait pas non-plus souffrir de trop.

 

Mélanie (arrêtant son choix, anxieuse): Dix…?

 

Très lentement et comme animée de sa volonté propre, la main de la belle anglaise, au buste cambré par la position, s'était mise en mouvement sur le derrière rebondi de la jeune fille. Appréciant la sensation du velouté de la peau soyeuse sous la pulpe de ses doigts, la jeune femme considéra la réponse avant de se prononcer.

 

Sarah: Dix dis-tu…? Te voilà devenue raisonnable. Cependant….

 

La jeune femme laissa sa phrase en suspend l'espace d'un instant, uniquement pour torturer sa si appétissante belle-fille. Ce qui fonctionna à merveille, comme put le constater Sarah alors qu'elle sentit sous sa main les deux jolies rondeurs de chair se contracter à nouveau d'anticipation.

 

Sarah: ….cinq me semble suffisantes.

 

La jolie française sentit un vent de soulagement la parcourir. Oui, vraiment, sa belle-mère se montrait clémente envers elle. C'est donc avec une reconnaissance non-feinte qu'elle accueillie ce chiffre.

 

Sarah (élevant sa main dans les airs, au comble de l'excitation): Prête…? Et de une.

 

La main fendit l'air d'un mouvement assuré pour venir rencontrer de plein fouet une jolie fesse dans un geste tonique. Mais loin de vouloir bâcler sa si plaisante besogne, la main de Sarah resta fixée sur la fesse de la jeune fille, en appréciant le galbe d'une légère pression de la main alors qu'elle l'empoignait de toute sa paume une fois le coup donné. Mon dieu comme ce petit cul pouvait être délicieux frémit la jeune femme intérieurement, sentant le brasier de son sexe en feu brûler comme jamais.

 

Sarah (la voix un peu moins assurée): Et de deux.

 

Sa main claqua une nouvelle fois sur le petit cul docile de sa belle-fille, et à nouveau Sarah en palpa la chair avec un contentement déjà plus difficile à contenir. Comme elle aurait voulu lui malaxer son magnifique petit cul de Marianne avec force. Son sexe en palpitait d'envie sous la maigre barrière que représentait l'étoffe de sa robe et de son dessous trempé. Ravalant un râle de plaisir qui lui noua la gorge, l'anglaise en perdition se fit force de refreiner sa fougue, séparant avec difficulté sa main de son support de soie.

 

La jeune fille de son côté, tentait de ne pas penser à ce qu'il se passait, à ce qu'elle était en train de vivre. Ce qui paradoxalement lui fut difficile puisque loin d'être aussi douloureuse que ce à quoi elle aurait pu s'attendre, Mélanie n'eut pas à faire d'effort pour s'évader d'une douleur que sa belle-mère semblait vouloir lui épargner. Ce devait certainement être pour cette raison qu'à chaque nouvelle frappe, Sarah lui massait les fesses un peu plus longuement. "C'est pour s'assurer que je ne souffre pas", pensa naïvement l'adolescente lorsque pour la troisième fois la main s'abattit sur ses fesses.

 

De son côté Sarah était au comble de l'excitation, quelques gouttes de sueurs étaient même apparut à son front, témoin extérieur de son émoi sexuel. Ou de son tourment. Car elle le sentait, aussi incroyable que ça puisse lui paraître, elle allait très probablement jouir au prochain coup.

 

Sarah (la voix sourde, le souffle erratique): Et de cinq.

 

Et inévitablement, en prononçant ces mots et en abattant sa main, ce fût comme si la belle anglaise au bord de la rupture avait libéré son orgasme, qui explosa en elle alors que sa main rencontrait une dernière fois le cul de sa belle-fille. La jeune femme en plein extase s'y accrocha cette fois sans plus de retenu pour masser et pétrir la chair joliment rougie par ses soins, pressant le corps tout entier de la jolie française contre le sien, prise de légers spasmes incontrôlables. Se mordant fortement les lèvres pour réprimer un gémissement profond et guttural, Sarah acheva d'être emportée par une pure vague de plaisir incontrôlée.

 

La jeune blonde, Alysson, qui de son côté demeurait en observatrice silencieuse n'en revenait tout simplement pas du spectacle qu'elle avait sous les yeux. Sa demi-sœur, à laquelle elle s'était si facilement attachée, nue comme un ver sur les genoux de sa mère, à recevoir la fessée. Mais comme si l'image n'était pas suffisamment incongrue comme ça – et bouleversante d'érotisme, dû bien admettre intérieurement la jeune fille – est-ce que sa mère ne venait pas à l'instant de prendre son pied, comme le suggérait l'expression extatique qu'arborait son visage…?

 

 

C'était tout bonnement impensable pour la jolie blonde de voir sa mère prendre un pied si évident simplement en fessant Mélanie, et jouir sous ses yeux comme la vraie salope qu'elle l'a savait être en réalité. Et comment Alysson ne l'aurait-elle pas su…? Elle qui avait elle-même poussé sa mère à explorer les plaisirs saphiques lorsque Sarah avait découvert que sa propre fille était lesbienne, et qu'elle avait échoué à lui faire découvrir l'amour des hommes.

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Mardi 28 juillet 2 28 /07 /Juil 21:34

Chapitre. 1a : Première punition : surprise sous la douche

 

"Ma très chère amie,

 

J'ai bien reçu ta dernière missive, et ma foi, je compatis sincèrement aux malheurs qui te frappent. Il est vrai que se voir constamment déconsidérée par ses propres parents sous prétexte que sa sœur aînée est un modèle de réussite, a de quoi consterner. Quand bien même sa réussite récente à redresser l'entreprise familiale, en lui ouvrant de nouveaux débouchées, lui aura permis d'assoir la réputation de votre famille, cela ne retire rien aux mérites qui sont les tiens.

 

Ouvrir une agence de rencontre en ligne à partir de zéro pour la voir devenir l'un des leaders de son secteur d'activité devrait bien au contraire te valoir les louanges de ton entourage. Ces louanges dont Samantha t'a jusqu'ici toujours privée sans le moindre égard pour toi. Peut-être serait-il temps d'envisager une autre option la concernant, puisque tenter de rivaliser avec elle semble décidément infructueux… Pourquoi ne pas faire ce pourquoi je t'ai toujours senti si douée… et la remettre à sa juste place, là ne serait pas la solution ?

 

La Gwynn que j'ai rencontré voilà deux ans déjà, celle-là même avec qui j'ai expérimenté les plaisirs du sexe entre femmes sous toutes ses formes. A celle-là je croyais avoir appris la valeur du respect dû à ceux qui nous le doive. Ce même respect que j'exigeais de toi. C'est le respect que ta jeune sotte de sœur devrait naturellement t'offrir. Alors puisqu'il n'en est toujours rien, prends sur toi de forcer un peu sa nature, te connaissant, je n'ai aucun doute que tu devrais y trouver du plaisir. A cette fin, je t'enjoints à contacter une dénommée Nicole Johnson, dont je te note les coordonnées en annexe. Elle est de mes connaissances, j'ai beaucoup échangé avec elle par courrier électronique, elle saura t'aiguiller comme il se doit si tu te décides à emprunter cette voie.

 

De mon côté, les choses avancent à grands pas. Depuis maintenant trois mois et mon retour de noce, ma chère Alysson se montre bien plus accommodante quant à notre installation en France. Je me doute que mon petit projet, celui dont je t'ai précédemment entretenu, n'y est pas étranger. Il faut dire que ma belle-fille, la petite Mélanie, est un met de choix, d'autant plus comme je constate jour après jour qu'elle forte tête elle est, avoir grandi sans mère et avoir été élevée par un père laxiste n'y aura sûrement rien arrangé. Comme j'ai hâte de la faire tomber de son petit nuage, je n'attends désormais plus que le petit déclic, et à la première occasion je passerais à l'acte.

 

Ce sera tout pour cette fois très chère, et je me hâte déjà de te lire à nouveau. Au plaisir d'avoir de tes nouvelles.

 

Très affectueusement,

Mrs. Sarah de Frémont"

 

Reposant son stylo-plume sur son bureau, la belle quadragénaire, Sarah de Frémont, étendit un sourire au coin de ses lèvres au moment où du bruit retenti à l'entrée de la demeure. L'occasion qu'elle venait d'aborder dans sa lettre se présenterait aujourd'hui, elle en avait le pressentiment, et peu importe si elle avait un peu forcé le destin. Il allait être 11 heures, et le bruit qu'elle avait entendu ne pouvait être que sa belle-fille rentrant de son court de tennis matinal, ce qui signifiait que dans les prochaines minutes, la jeune Mélanie serait sous la douche. Ce qui, si les dires de sa propre fille Alysson, née de son premier mariage, s'avéraient exactes, elle pourrait prendre la petite frenchie sur le fait, une occasion à ne pas manquer…!

 

C'est pourquoi Sarah se leva toutes affaires cessantes, et tendit l'oreille pour suivre les déplacements de la jeune fille afin de déterminer le moment où elle serait enfin dans la salle de bain. Du bas de l'escalier, Sarah l'entendit en refermer la porte, et l'eau se mettre à couler, elle ne perdit donc pas plus de temps et monta à pas léger pour se poster derrière la porte de la salle d'eau.

 

Au bruit que faisait l'eau derrière la paroi de verre, Sarah put dire que la petite Mélanie était déjà sous la douche. Encore que petite, pour ses 16 ans, Mélanie ne l'était pas particulièrement. Surtout de ce que sa silhouette laissait deviner de ses formes déjà bien développées, notamment sa poitrine. Sarah, originaire de Grande-Bretagne, avait la chance d'être mieux pourvue que la plupart de ses compatriotes, généralement peu gâtées de ce côté de leur anatomie. Pourtant, sur ce point, la jeune Mélanie, 16 ans, faisant bien mieux que rivaliser avec sa nouvelle et première belle-mère, Sarah, tout juste 40 ans… elle la reléguait sur le banc de touche, elle et sa fille.

 

De cela, Sarah en eu la confirmation quand, entendant de légers gémissements lui parvenir à travers la porte, elle se décida enfin à pénétrer dans la salle de bain, et que s'offrit à son regard la vision la plus érotiquement attirante qu'elle n'ait vu jusqu'à lors. Là, devant ses yeux, si près que Sarah aurait pu la toucher en tendant le bras s'il n'y avait cette porte-vitrée entre-elles, la jeune et impétueuse Mélanie, les yeux fermés, se donnait tranquillement du plaisir les mains entre les cuisses.

 

A cet instant précis, Sarah su que tous les sacrifices qu'elle avait concédé pour en arriver là en valaient cent fois la peine. Et même alors qu'elle avait observé tant de corps féminins depuis qu'elle s'était ouverte à ce genre d'expériences quelques années auparavant, Sarah fut décontenancée.… Sa peau était claire comme la pierre de marbre, sa taille délicieusement fine soulignait une cambrure tout simplement affolante, laissant deviner des fesses somptueuses. Ses jambes n'étaient pas en reste, ses cuisses fermes, ses mollets tendus, un galbe sur lequel l'eau semblait couler comme s'il lui était interdit de toucher une peau si délicate. Mais le plus beau fut sans conteste sa poitrine, nue. Cette poitrine dont Sarah avait tant rêvé, animant des rêves érotiques qui tout à coup, se révélaient à mille lieux de l'incomparable splendeur de ses rondeurs parfaites, plus que volumineuses, naturellement maintenues et sur lesquels s'étendaient de pales et larges aréoles bien lises surmontées chacune d'un petit bourgeon de chair, ici tendu par le désir que la jeune fille prenait soin de faire monter en elle avec la plus experte délicatesse, en attestaient ses gémissements constants, qui sonnaient aux oreilles de Sarah comme le plus envoutant des chants de sirène.

 

Elle remonta alors son regard sur le visage de la jeune française, et elle vit que sa longue et volumineuse chevelure brune n'était pas mouillée, tout juste rendue légèrement humide par les vapeurs d'eau qui se dégageait dans l'espace de la cabine de douche. Quelques mèches étaient néanmoins venues se coller au visage de Mélanie. Un visage de muse aux traits fins, parsemé de quelques légères taches de rousseurs, et, dissimulés sous des paupières closes, Sarah observait deux yeux qu'elle savait de couleur émeraude aller et venir, accompagnant la danse du plaisir que tout le corps de Mélanie suivait doucement.

 

Une telle magnificence, une telle force de séduction, ce pur joyau féminin de corps et d'esprit, Sarah en fut bouleversée jusqu'au plus profond de sa chair, qui vibra toute entière à l'aura d'un érotisme sans pareille et dont Mélanie était inconsciemment la source. Tout ce qui faisait que cette jeune beauté devait être sienne…! Sarah ressentait le besoin de la posséder, de la faire sienne entièrement et d'être entièrement comblée par ses soins. Un besoin obsédant qu'elle avait ressenti dès qu'elle avait posé ses yeux sur la jeune française pour la toute première fois, à ce gala de charité donné dans la ville lumière il y avait quelques mois à peine, et qui en cette seconde explosa en elle tout comme son sexe se mit à taper du tambours dans son bas ventre, se contractant et s'éveillant lui-même pour faire naître une autre forme d'humidité entre les cuisses fuselées de la blonde et britannique jeune femme.

 

A son corps défendant, ce besoin lui était devenu si vital qu'elle en avait tout abandonné derrière elle, amies, demeure et patrie. Tout ce qu'il fallait pour se rapprocher d'elle. Et voilà qu'aujourd'hui, Sarah allait enfin être récompensée. Elle osa un dernier regard appuyé sur l'intimité cachée de Mélanie, dissimulée par un pommeau de douche fureteur et bien décidé à concourir à la délivrance de la jeune ingénue, et qui ne laissait apparaitre qu'en partie la toison laissée au naturel de la jeune fille. Bien qu'aucun mot ne puisse décrire la force d'attraction d'un tel spectacle, Sarah savait devoir se garder de laisser la jeune fille arriver à ses fins, sous peine de laisser passer sa chance. Aussi, elle se garda bien de s'attarder davantage à son voyeurisme, et encore plus de répondre aux appels de son propre fruit juteux et désormais gorgé de plaisir, elle reprit donc contenance d'une grande inspiration décidée.

 

Sarah (s'écriant): Mélanie…!

 

L'eau était chaude, le bien être total, et le plaisir plus que grandissant, mais son prénom hurlé de la sorte sonna comme la plus glacée des douches aux oreilles de Mélanie.

 

Mélanie (sous le choc de la surprise): Sarah…!? Que…! Je….

 

Figée d'être ainsi découverte en pleine masturbation, la jeune Mélanie ne sut ni quoi dire, ni comment s'exprimer. Car comme si la honte de sa situation ne suffisait pas, il fallait que ce soit sa belle-mère qui la prenne la main dans le sac de soie virginale. Saisissant la balle au bond, Sarah profita de l'incrédulité de la jeune fille pour ouvrir la cabine de douche et la saisir au bras pour l'en faire sortir.

 

Sarah (coupant l'eau et invectivant sa belle-fille): Comment oses-tu te toucher de la sorte comme la première des souillons sous le toit familial, alors même que les membres de ta famille occupent la maison…?!

 

Sorti de l'eau et retombée brutalement sur terre en étant extirpée de sa séance de douche masturbatoire dissipa rapidement le contrecoup de la surprise, et la belle Mélanie ne tarda pas à reprendre ses esprits pour se mettre sur la défensive.

 

Mélanie (clamant): Et toi alors, qui t'as autorisé à entrer…? C'est ma vie privée et ça ne te regarde pas…! Alors maintenant sors d'ici…!

 

L'adolescente ajouta du crédit à ses mots en repoussant d'un geste vif la main qui emprisonnait encore son bras. Sarah ne put retenir le frisson de plaisir qui lui parcourra l'échine de haut en bas en réaction au comportement rebelle de la jeune beauté française. La jeune femme émit un sourire carnassier sur son visage qui fit froncer les sourcils d'angoisse à Mélanie, avant qu'elle ne sente la poigne d'une main ferme se refermer sur sa longue chevelure. Sarah rapprocha alors dangereusement son visage de celui de la jeune fille, dont l'appréhension avait maintenant remplacé la surprise.

 

Sarah (d'un ton calme et sec): C'est toi la petite obsédée sexuelle prise en flagrant délit de tripotage et c'est moi que tu oses apostropher, et en me repoussant physiquement de la sorte qui puis-est…? Ne devrais-tu pas plutôt avoir honte et chercher à t'excuser…?

 

Les propos rationnels de sa belle-mère firent quelque peu flancher la croyance de Mélanie d'être dans son bon droit. Mais pour autant qu'elle soit bien fautive de s'être masturbée sans retenue dans une des pièces communes, elle n'avait pas l'intention de se laisser intimider comme ça. Enfin, pas aussi facilement en tout cas, car la revêche Mélanie devait admettre intérieurement qu'elle était tout de même impressionnée à cet instant par cette femme à l'allure aussi gracieuse que féroce, lui donnant l'impression d'une panthère prête à bondir.

 

Mélanie (exhortant): Ce n'est pas une raison…! Et d'abord, lâche-moi…! Aaaïe…!

 

Sarah (accroissant sa prise sur le cuir chevelu de Mélanie): Silence…! Je ne veux plus entendre un seul mot.

 

La douleur ressentie et le sérieux du ton de sa belle-mère eurent finalement raison de toute tentative de se rebiffer de la part de la jeune fille, qui conclue que la meilleure stratégie était de jouer la carte de la coopération, dans un premier temps. Il serait bien plus facile lorsque sa situation serait devenue moins précaire de rappeler à cette nouvelle venue en sa demeure qu'elle n'était pas du genre à se laisser marcher sur les pieds.

 

La jeune femme profita du silence obtenu pour toiser la jeune beauté fatale et promener son regard sur elle de haut en bas, et de bas en haut. A nouveau cette expression prédatrice qui inquiétait Mélanie sans savoir pourquoi s'afficha sur le visage de la belle anglaise. Elle appréciait vraiment plus que tout ce qu'elle voyait…. La peau encore humide de la jeune fille, recouverte d'un mélange de gouttelettes d'eau et de sueur qui perlaient pour s'écouler le long de son corps gracile de femme-enfant. Plus femme qu'enfant d'ailleurs, à voir cette opulente poitrine naturelle qui défiait la gravité de son maintien parfait et de ses tétons dardés. Cette même peau blanche tendue sur ce ventre plat au nombril arrogant et ses hanches de mannequin surplombant un chaleureux buisson, derrière lequel on devinait un pubis saillant et un minou plein et bombé. Sarah se fit tout de même la réflexion qu'il lui faudrait s'occuper de défricher convenablement ce divin palais des plaisirs le moment venu.

 

Mais ce que Sarah apprécia le plus, en dominante éclairée, ce fût, entouré de ses petites taches de rousseurs, ce regard au fond duquel se cachait cette lueur de défiance. Cet éclat si particulier qu'elle avait si longtemps cherché que la jolie blonde en était venue à croire qu'il n'existait pas, avant qu'elle ne le trouve finalement en la personne de Mélanie. Ce regard était la certitude que le challenge serait grand pour faire plier la jeune fille. Et c'est ce même regard qui ramena la jeune femme sur terre lorsque la jeune fille commença à froncer les sourcils d'interrogation. Sa poitrine se soulevait au rythme plus rapide de sa respiration devenue lourde et presque haletante par la contemplation de ce corps sexy en diable. La jeune femme aurait pu se jeter sur la beauté brune pour la dévorer sans plus attendre. Mais elle se reprit. Elle devait se reprendre. Le plaisir n'en serait que meilleur, surtout avec ce qu'elle avait planifié.

 

Sarah (se reculant d'un pas sans la lâcher): Je crois que tu n'as pas bien compris ta situation, ni qui tu as en face de toi. Mais puisque les bonnes manières semblent cruellement te faire défaut aujourd'hui, nous allons y remédier avec un rapide rappel à l'ordre, et pas plus tard que tout de suite. Viens par ici.

 

Agrippant toujours fermement sa belle-fille par les cheveux, Sarah la tira à sa suite et sous les protestations de cette dernière jusque dans le petit salon en bas, situé en face de son bureau, où arrêtant la dénudée Mélanie sur le tapis au centre de la pièce, elle relâcha enfin sa prise.

 

Sarah (exaspérée): Vas-tu enfin cesser de geindre…?

 

Mélanie: Mais tu es folle…?! Et si on m'avait vu…!?

 

Sarah: Ohhh, tu t'en inquiète finalement…? C'est bien, mais c'est un peu tard pour que je ne m'assure pas qu'à l'avenir tu te souviennes que tu ne vis plus seule sous ce toit.

 

Mélanie (hargneuse): Je me serais bien passé de votre compagnie moi…!

 

Sarah (exultant): Et moi je me serais bien passé de surprendre ma nouvelle fille dans une position obscène alors que je déambule dans la maison…! Et à ce qu'il m'est déjà arrivé d'entendre, c'est loin d'être la première fois, je me trompe…?

 

Mélanie (rougissant de gêne, se justifiant): Mais c'est ma vie privée…!

 

Sarah: Et ça aurait dû le rester, mais apparemment tu ne te soucis guère de nous faire partager ta vie sexuelle. Donc un rappel à l'ordre me semble s'imposer.

 

Mélanie (râlant): Bin c'est bon, j'ai compris-là, je le ferais plus quand vous êtes là…!

 

Sarah: Il n'est plus question de ça jeune fille. Il est question du manquement de savoir-vivre dont tu as fait preuve et de la punition qu'implique ce mauvais comportement.

 

Mélanie (dédaigneuse): Une punition…? Eh puis quoi encore...? Réveille-toi Sarah, on est plus au 18ème siècle, et même en Angleterre ils en sont plus là.

 

Sarah (caressant délicatement la joue de Mélanie du dos de ses doigts): Ma belle, si tu savais seulement combien tu te trompes…. L'éducation qui est encore inculquée dans les pensionnats respectables n'est que morale et discipline, les règles y sont strictes et les punitions exemplaires. On en ressort en femme digne et respectable. Un enseignement que tu n'as pas reçu malgré ton statut parce que ton cher père mon mari, n'avait aucune idée de la meilleure façon de parfaire ton éducation.

 

La belle blonde n'avait pas pu résister davantage à goûter ne serait-ce qu'un peu au velouté de cette peau, de ce corps qui lui créait des bouffées de chaleurs. D'autant plus que la jeune et jolie Mélanie n'esquissait aucun geste pour se cacher ou dissimuler ses atouts. Considérait-elle qu'il n'y avait plus grand-chose à cacher aux yeux de sa belle-mère maintenant qu'elle l'avait découverte, ou n'était-elle tout simplement pas consciente de son monstrueux sex-appeal…?

 

Mélanie (détournant la tête, se renfrognant): Bin on est pas dans un de ces pensionnats ici, alors tu vas devoir te contenter de mes excuses. Eh puis j'ai froid.

 

La jolie française osa esquisser un pas dans l'idée de remonter à l'étage mais c'était sans compter sur l'athlétique anglaise qui, l'encadrant de ses deux mains sur les épaules, la ramena à sa position de départ.

 

Sarah: Tu y penseras la prochaine fois avant de te donner chaud en te tripotant sous la douche.

 

En disant cela la jeune femme s'empara des mains de la belle adolescente et les plaça au-dessus de sa tête.

 

Sarah (dictant): Paumes jointes sans toucher la tête. Et tu tiens la position. J'ai à faire à mon bureau, d'où je pourrais parfaitement te voir. Tu restes là jusqu'à mon signal et tu pourras venir me présenter tes excuses. Ensuite seulement tu pourras aller t'habiller.

 

Mélanie (plaignante): Mais si on me voit…?

 

Sarah: Le but est de condamner ton impudeur gratuite. Mais si ça peut te rassurer, Alysson n'est pas encore rentrée et Helen est afférée en cuisine. Maintenant prouve-moi que ton repentir est sincère en observant cette réprimande comme une fille mature et nous n'en parlerons plus. En es-tu capable…?

 

La jeune fille réfléchit rapidement à la question autant qu'à sa situation présente. Après tout, ce n'était pas si terrible, et ça irait sûrement plus vite pour se débarrasser de Sarah que d'obtempérer. Elle qui s'attendait presque à un châtiment corporel…. Qui sait, elle aurait peut-être même le temps de finir ce qu'elle n'avait pas pu achever sous la douche avant de passer à table, pendant qu'elle avait encore l'image de son adonis de professeur de tennis en tête. Aussi la jeune fille dénudée se décida à obtempérer.

 

Mélanie: Oui.

 

Sarah: Pardon…?

 

Mélanie (répétant avec les formes): Oui Sarah, je suis capable d'accepter cette sanction comme une adulte.

 

Sarah (satisfaite): Bien.

 

La jeune femme s'éloigna alors avec une pointe de regret de sa jolie belle-fille, sublime dans son plus simple appareil, et s'installa derrière son bureau en ayant pris soin de laisser la porte de la pièce ouverte. Ainsi assise, la jeune Mélanie apparaissait pile en face de son champ de vision. Il se passa quelques paires de minutes durant lesquelles Sarah dû faire semblant de s'afférer à la tâche avant que la tentation ne devienne trop forte, et que cachée derrière son bureau, elle ose enfin glisser une main sous sa robe. La vue de ce corps nu élancé et sexy comme nul autre lui faisait un effet du tonnerre, la culotte de dentelles qu'elle portait, et trempée de son jus intime pouvait en attester. A peine la femme en chaleur avait atteint sa pièce de lingerie qu'il lui suffit de presser légèrement ses grandes lèvres de ses doigts pour que ceux-ci en deviennent instantanément poisseux. Elle franchi ensuite les frontière du tissu et insinua les premières phalanges de ses doigts dans les replis de son sexe pour débuter une lente masturbation. La simple idée qu'elle était ici en train de se donner du plaisir en matant la jeune fille sans que celle-ci ne se doute de rien redoubla ses ardeurs, rendant difficile sa respiration. Elle savait pourtant qu'elle ne devrait pas, qu'il ne fallait pas se laisser emporter, mais c'était plus fort qu'elle, cette fille-là lui faisait perdre tout contrôle d'elle-même. Relevant ponctuellement le regard à hauteur du visage de la jolie brune pour lui signifier qu'elle l'avait à l'œil, Sarah senti petit à petit sa volonté faiblir tandis que son plaisir augmentait dangereusement.

 

Heureusement pour Sarah, c'est ce moment que choisi sa fille Alysson pour rentrer à la maison, comme elle l'entendit de l'entrée, la ramenant ainsi sur terre alors qu'elle était au bord du gouffre orgasmique. La jeune pénitente l'entendit aussi, et un sursaut de panique la traversa sans pour autant qu'elle ne quitte la pose. Mais Sarah pouvait lire le stress dans le regard de la délicieuse Mélanie, ainsi que son combat intérieur pour savoir si elle devait fuir à l'étage ou non. La jeune femme dut prendre sur elle pour fournir l'effort intense de parler, tant elle revenait de loin.

 

Sarah (se reconcentrant, avertissant): N'y pense même pas.

 

Alysson (ôtant ses chaussures, depuis l'entrée): C'est moi les filles, je suis rentrée…!

 

Sarah (gardant ses yeux fixés dans ceux de Mélanie): C'est toi ma chérie…? Viens donc me saluer, je suis dans mon bureau.

 

 

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