Mercredi 18 mars 3 18 /03 /Mars 21:19

Chapitre 6a Tammy fait du shopping centre commercial Partie 2 : nouvelles tenues

 

En sortant du magasin, Tammy portait les deux sacs pleins de nouvelles chaussures.

"Tantine, qu’est-ce qui va arriver à Kelli?", demanda-t-elle

"Elle va être mise à la place qui lui revient en devenant le jouet sexuel lesbien d'Amber.", répondit Gwynn d’un ton neutre.

Désemparée, Tammy arrêta de marcher et secoua lentement la tête.

Gwynn arrêté aussi, regarda l'adolescente désemparée et sourit.

"Tammy chérie, ne te sentent pas triste, au contraire, soit heureuse. Tu as aidé Kelli à connaitre son vrai moi de salope lesbienne. Maintenant elle va être beaucoup plus heureuse en lécheuse de chatte soumise d’Amber. ", expliqua Gwynn à sa nièce.

Gwynn saisit Tammy derrière le coude et la tira pour la faire avancer.

"Viens,  nous avons de quoi nous occuper cet après-midi !"

Tammy trébucha en marchant, mais se rattrapa avant de tomber. Maintenant qu’elle avait les mains pleines avec les sacs, elle était terrorisée à l’idée qu’une brise soulève sa jupe minuscule de majorette et expose ainsi son cul nu aux passants. C’était déjà assez pénible d’avoir ses mamelons durs comme de la pierre. Ils pointaient comme des billes sur les pointes de ses seins, pointus et fiers. S’imaginer montrant son cul nu à quelqu'un la faisait rougir juste à y penser.

Gwynn conduisit Tammy dans le bas du centre commercial. La jeune adolescente avait du mal à suivre, mais sa tante la tenait fermement par un bras et l'a traînait sans lui laisser le temps de se reprendre. Gwynn conduisit Tammy à un magasin de vêtements pour adolescentes très populaire afin de lui trouver quelques nouvelles tenues.

Tammy était horrifiée alors qu'elles s’approchaient de la porte de la boutique : ses cousines l'attendaient devant. Elles étaient habillées avec leurs tenues de cheerleaders et faisaient mauvaise figure. Les bras croisés, Kari mâchait un chewing gum et Becky avait l’air renfrogné. Elles étaient évidemment contrariées d'avoir à être là.

"Alors maman, tu as trouvé de nouvelles chaussures à la petite gouine?", demanda Becky alors que Kari claquait une bulle.

"Oui, maintenant nous allons lui acheter de beaux vêtements.", répondit Gwynn.

Tammy se souvint alors soudain qu'elle ne portait pas de sous-vêtements. Comment allait-elle faire ? Peut-être, le magasin avait-il des vestiaires privés afin qu’elle soit à l'abri des regards indiscrets.

Elles sont entrées dans le magasin et se baladèrent dans les rayons pour regarder les vêtements. très Bien que très à la mode, tout semblait vraiment trop trash à Tammy. Elle n’était pas comme cela. Elle voulait juste une paire de jeans confortables et un sweat-shirt, mais ce magasin ne vendait que des vêtements « nouvelles tendances » très sexy : Short, petites jupes et chemises à la mode.

Elle ne voulait vraiment pas à porter tout ça.

Après avoir fait le tour de la boutique, Gwynn emmena Tammy aux vestiaires et en trouva un disponible. Gwynn fit entrer Tammy à l’intérieur de la cabine, et entra avec elle.

"Déshabille-toi, nous allons essayer quelques nouvelles tenues."

Tammy s’était enfoncée dans un coin de la cabine.

"S’ il te plaît, tante Gwynn"

"Allons, obéit ! Nous serons de retour avec quelques tenues pour les essayer sur toi . . . Maintenant. Tes Vêtements!"

Tammy secoua la tête et se blottit plus profondément dans le coin.

"Petite garce!" dit Gwynn, les dents serrées. Elle fit un pas vers Tammy et avant que l’adolescente puisse réagir elle gifla la jeune fille du revers de la main. Tammy hurla de douleur et tomba sur le sol de la petite pièce aux pieds de sa tante, stupéfaite. La force de la claque était telle qu’elle vit des étoiles et s’évanoui presque. Elle posa une main sur son visage en se soulevant à moitié sur le coude de son autre bras. Elle était trop choquée pour pleurer, trop choquée pour faire autre chose que rester là.

"Sale petite lesbienne!", dit Gwynn, bouillonnant de colère alors qu’elle dominait l’adolescente de toute sa hauteur, "je te prends pour faire des courses et j’achète tous ces beaux vêtements neufs, et c’est l'attitude que tu adopte!".

Gwynn recula alors, prit une inspiration tremblante, desserra les poings et les dents, prit un second souffle et se détendit visiblement. Elle se força à sourire et à poursuivre d'une voix calme: «Regarde ce que tu m’as fait faire petite ingrate ! Tes actions stupides m’ont fait perdre mon sang-froid ! Quand on sera à la maison, tu feras connaissance avec la canne !".

Elle attrapa la jeune fille par les cheveux et l'a força à se tenir au milieu de la cabine alors qu’elle hurlait de douleur

"Maintenant, à poil !". Elle fit claquer ses doigts et lui tendit la main.

Tammy sanglotait, les larmes coulaient sur ses joues et elle avait du mal à respirer entre ses sanglots.

«Snuff-unnnngh, sniff-unnngh, sniff-unnngh.", bredouillait-elle.

Mais elle ôta ses vêtements à contrecœur. Ce n’était d’ailleurs pas un grand effort vu ce qu’elle portait. Le petit débardeur glissa rapidement sur sa tête libérant ses seins lourds parfaits et la petite jupe glissa sur ses jambes dévoilant sa chatte. Elle remit chaque vêtement à sa tante qui les prit en regardant la jeune fille.

"C’est mieux. Maintenant, j’espère que tu as appris ta leçon. Je n’aime pas perdre mon sang-froid. Tu dois essayer d'être une meilleure nièce dans l'avenir et faire ce que ta tante te dit. Si tu ne comprends pas, je vais me fâcher à nouveau, et ça ira mal pour toi. Je veux dire VRAIMENT mal! Tu peux être une vraie petite garce ingrate parfois. Il est nécessaire que je t’enseigne les bonnes manières, pour ton propre bien."

Gwynn mit fin à la discussion et sortit, laissant Tammy nue dans le vestiaire, toujours prise de sanglots incontrôlables.

"Unnnngh, sniff-unnngh.".

Il lui fallut un certain temps pour calmer ses reniflements.

"Sn-sn-sniff, sn-sn-sn-sniff.".

Tammy s’assis sur un petit banc de métal, avec ses jambes repliées, serrées contre elle et ses bras croisés sur ses seins opulents. Recroquevillée dans cette position quasi fœtale dans le coin de la cabine, elle écoutait la sirupeuse musique pop pour ado qui passait dans les haut-parleurs du magasin.

Peu à peu, elle se calma et commença à se demander où sa tante et ses cousines étaient parties aussi longtemps. À contrecœur, elle se leva avec seulement des tongs aux pieds et se dirigea lentement vers la porte de la cabine. Elle ouvrit la porte, mais ne vit aucun signe de sa tante ou de ses cousines. Elle referma la porte, ne sachant quoi penser.

Elle finit par ouvrir la porte à nouveau.

Elle ne vit personne. Deux autres portes de cabines étaient fermées mais trois autres étaient ouvertes et vides. Tammy se décida alors à sortir de la cabine pour essayer de mieux voir dans le magasin.

Elle glissa sur les tongs pour être plus silencieuse, franchit doucement la porte, se retourna vers les deux portes fermées avec appréhension et se dirigea vers le magasin lui-même en regardant autour d’elle, inquiète. Dans la boutique, elle vit sa tante parler à 2 femmes. Elle la vit pointer le dressing du doigt et ensuite les trois femmes éclater de rire. Ses cousines déambulaient dans le magasin regardant les vêtements, chacune d'elles tenant plusieurs vêtements dans leurs bras.

Tammy ne savait pas quoi faire. Elle se tenait bout, immobile, nue, au niveau de la porte du dressing, regardant dehors. Elle se mordit la lèvre inférieure de consternation. Elle décida de retourner dans sa cabine.

Soudain, une voix se fit entendre derrière elle.

"Que faites-vous là?"

"Eek", s’exclama Tammy en se retournant et se retrouvant confronté à une vendeuse avec un badge accrochée à la poitrine : "Gretchen". Elle essaya de couvrir ses seins et sa chatte nue pour les dérober à la vue de la vendeuse mais elle se tenait trop près.

"Que faites-vous totalement nue ici?", reprit celle-ci en regardant Tammy avec désapprobation.

Tammy ne comprenait pas d’où sortait la femme. Elle ne réalisa pas qu’elle était dans une des cabines en attendant qu’elle sorte de la sienne.

"Je ... euh ... Je", bredouilla Tammy en reculant vers les cabines, tout en essayant de couvrir sa poitrine et sa chatte. Elle heurta un mur et sentit la froideur de la peinture sur son cul nu.

"C’est une conduite vraiment amorale !", déclara Gretchen, "Je vais aller appeler la sécurité du centre commercial, je suis sûre qu'ils appelleront la police et que vous serez arrêtée."

"Non ... je ... s’il vous plaît, je suis en attente ... pour ..."

"En attente? Nue ? En attente de quoi?"

Tammy était terrifiée et ne pouvait pas prononcer un mot. Elle balbutia : "ff-ou ... ff-pour ..". Elle arriva finalement à pointer le doigt vers Gwynn de l'autre côté du magasin.

"Avance!", ordonna dit la vendeuse en attrapant Tammy par l'oreille et en la traînant dans le magasin pour aller voir Gwynn.

"Owww, oowwweee, ssstoppp!", s’écria Tammy alors qu’elle était forcée de trotter nue derrière la vendeuse dans le magasin.

"Silence salope !", lança Gretchen en giflant le cul de Tammy.

SMACK !

"Silence ou je te sors du magasin et j’appelle la sécurité!"

La vendeuse tordait l’oreille de Tammy douloureusement. Tammy inspira entre ses dents, mais resta silencieuse, et Gretchen continua à traîner l'adolescente nue et impuissante dans le magasin jusqu'à se retrouver devant les trois femmes qui discutaient.

Gwynn roula des yeux en signe de gêne alors que les 2 femmes avec qui elle discutait et Gretchen regardaient la scène avec désapprobation. Tammy essaya de couvrir ses seins exposés avec son bras et sa chatte avec son autre main, mais devait laisser le reste de son corps nu exposé aux yeux de toutes. Les 3 femmes autour de Gwynn examinèrent Tammy de haut en bas avec des regards lubriques et voraces. Tammy eu peur en croisant le regard de ces femmes.

"Est-ce que c’est votre fille?", demanda Gretchen sur un ton autoritaire.

"Mon Dieu, NON!!", s’exclama Gwynn en faisant un geste de rejet vers Tammy. "Ma fille ? Non mon Dieu, c’est une chienne lesbienne, qui arrive malheureusement à être ma nièce!"

Gwynn posa une main sur sa hanche, leva un sourcil et regarda Tammy qui cherchait toujours désespérément à couvrir sa nudité vis-à-vis des quatre femmes rassemblées autour d'elle.

"Que fais-tu là? Je t’ai demandé d'attendre dans le dressing !".

Tammy ne pouvait pas répondre car la vendeuse tenait encore son oreille d'une main de fer et la douleur l'empêchait de parler. Gretchen tordit encore plus l’oreille.

"Réponds petite idiote!"

"Ahhhh, ow ow owee, je cherchais juste à te retrouver ma tante! S’il vous plait, arrêtez!", répondit Tammy suppliante.

"Je dois appeler la police madame.", déclara Gretchen.

"Oh vous ne pouvez pas faire cela", répliqua Gwynn. «Nous sommes ici pour acheter à Tammy toute une garde-robe de vêtements.".

Gwynn tendit la main et saisit le poignet de Tammy, prenant le contrôle de l'adolescente. Gretchen lâcha son oreille.

"Mais elle mérite certainement une punition pour ce comportement scandaleux !", ajouta Gwynn.

Gretchen dit : "hmmm, oui, je suppose que nous pouvons passer sur cette faute, tant qu'elle est puni comme elle le mérite."

Gwynn traîna la jeune fille derrière elle sur un banc dans le milieu de la boutique. Elle s’assit et amena l'adolescente nue sur ses genoux. Tammy tomba sur les genoux de sa tante, ses seins suspendus libres sur un côté des cuisses de sa tante.

SMACK! SMACK! SMACK!

"NOOOOONNNNNN! S’il vous plait! Ow owweee!", supplia Tammy alors que Gwynn commençait à lui claquer les fesses sans avertissement.

"Tais-toi petite gouine!"

SMACK! SMACK! SMACK!

Les seins rebondis de l’adolescente gigotaient contre le pantalon de soie de Gwynn avec chaque claque brutale sur les fesses.

Tammy savait maintenant qu’il ne servait à rien d’argumenter et commença à pleurer doucement, plus d'humiliation que de douleur.

"Mmmmm, mmmph, sniff, mmmmmmeeeee.".

"Tu n’es qu’une petite salope lesbienne en rut!"

SMACK! SMACK! SMACK! SMACK!

"M’embarrasser ainsi devant mes amies!"

SMACK! SMACK! SMACK! SMACK!

Gwynn arrêta de fesser la jeune fille et dit: "Salope comme tu es, je parie que tu es toute mouillée. Voyons ça !". Et elle glissa la main qui venait de fesser Tammy sur la chatte de la jeune fille.

"S’il te plaît, pas, pas ici tantine, s’il te plait", gémit Tammy en agitant son cul pour essayer d’échapper à la main de sa tante.

SMACK! SMACK!

"Tais-toi!", ordonna Gwynn alorsque qu’elle commençait à explorer les lèvres intimes de Tammy. Elle glissa ses doigts dans les plis du vagin et le trouva seulement légèrement humide. Mais Gwynn savait comment faire mouiller une femme, et ses doigts s’agitèrent de telle façon que la chatte commença à briller en s’humidifiant contre la volonté de Tammy. Assez en tout cas pour que Gwynn puisse retirer ses doigts poisseux triomphalement et les montrer aux femmes rassemblées autour des fesses maintenant rosées de l’adolescente.

"Regardez la petite perverse, elle mouille, alors même qu’elle se fait punir nue en public ! Mais nous n’avons pas le temps pour ces jeux maintenant!".

Smack!

"Maintenant . . . "

SMACK! SMACK!

" . . . je veux que tu t’excuse auprès de Madame de ton comportement obscène . . . ".

SMACK! SMACK! SMACK! SMACK!

". . . puis tu retourneras à la cabine d’essayage et tu m’attendra !"

SMACK! SMACK! SMACK! SMACK!

Et elle frappa de toutes ses forces pour pousser Tammy sur le sol d’une claque finale.

L’adolescente trébucha à ses pieds, essayant de se couvrir à nouveau ses parties intimes, mais elle se tourna vite vers la vendeuse et dit :"Je suis désolée."

«Je vais m’en contenter pour cette fois, mais je pense toujours que tu n’es qu’une petite salope dégoûtante pour parader nue de la sorte !", répondit Gretchen en fronçant les sourcils.

Tammy n’attendit pas son reste et trotta vers la cabine d’essayage.

Elle y revint sans autre incident et s’assis dans un coin dans une position presque fœtale à nouveau.

Quelques minutes après, la porte s’ouvrit et sa cousine Becky entra avec quelques chemises.

"Allez, la gouine, essaye ça !"

Dès lors Tammy se retrouva au centre d’un tourbillon. Les filles apportèrent des vêtements. Sa tante apporta des vêtements. Elle était déshabillée et habillée et dépouillée à nouveau. Gwynn demanda à Gretchen la vendeuse de lui venir en aide, et elles ramenèrent tenue après tenue pour que Tammy les essayent.

À un certain moment Tammy s’est retrouvée au milieu de la boutique en face d'un miroir à trois glaces, totalement nue. Ses mamelons étaient durs à cause de l'air frais dans le magasin, elle ne pouvait plus penser, sa tête lui tournait. Elle essaya de couvrir à la fois ses seins et son entrejambe, mais c’était sans espoir.

Les femmes choisissaient la tenue qu’elle allait porter pour la journée. Sa tante avait mis sur Tammy un chandail en cachemire blanc. Tammy enfila le chandail doux et le boutonna bouton après bouton.

"Eh bien mesdames, qu’en pensez-vous ? », demanda Gwynn à Gretchen, Becky et Kari. "marche et tourne sur toi-même Tammy afin que nous puissions obtenir une vue complète."

Tammy se mit à marcher lentement, exposant le chandail en cachemire qu’elle portait ainsi que son cul nu et chatte. Elle s’empressa d’obéir, elle ne voulait pas avoir une autre fessée. Elle vit ses deux cousines se moquer d'elle tranquillement. Les femmes rassemblées autour d’elle hochaient la tête et convenaient avec Gwynn que Tammy portait très bien le chandail.

Elles trouvèrent une belle jupe plissée bleu marine pour aller avec. Tammy remit ses socquettes blanches et ses baskets pour compléter sa tenue.

Gwynn passa en caisse et paya.

"Maintenant, Tammy, tu dois t’excuser auprès de Gretchen une fois de plus, et la remercier pour toute l'aide qu’elle a fourni pour t’aider à choisir tes nouveaux vêtements", dit Gwynn en saisissant le bras de Tammy d’une prise ferme et la tira pour faire face à la vendeuse.

"Je ... je suis désolée et je vous remercie."

"Hrrmm, soit, mais je pense toujours que tu es une salope de lesbienne!", répondit Gretchen.

Tammy a été toute penaude d'être ainsi insultée.

"Je sais Gretchen . . . ", répondit Gwynn. ". . . nous essayons de traiter sa déviance sexuelle. Tammy fait des efforts, mais c’est tellement difficile pour elle d’assumer d'être une nymphomane lesbienne. Elle ne peut vraiment pas s’empêcher de se comporter comme une salope."

Tammy baissa la tête et laissa pendre ses cheveux devant son visage, essayant de se cacher de l'humiliation et du mépris jetés sur elle par sa tante Gwynn.

"Maintenant", a déclaré Gwynn, "nous allons nous occuper des petites culottes ! Je sais que tu as pris l’habitude de ne pas en porter, mais on ne peut pas continuer comme ça ! ». Gwynn éclata de rire à nouveau devant l'inconfort supplémentaire de sa nièce.

"C’est parti ! Venez les filles !", lança Gwynn en sortant du magasin. Tammy, dans son nouveau chandail blanc et sa jupe plissée bleu portait plusieurs sacs remplis de vêtements neufs. Il y avait tant de nouvelles tenues que ses cousines devaient porter aussi des sacs. Elles étaient donc grincheuses, mais Gwynn avait insisté pour qu’elles aident "leur pauvre cousine".

Gwynn se dirigea vers « Fredericks », car ce magasin avait le plus grand choix de sous-vêtements coquins pour Tammy.

"Tu vas voir Tammy, ici, il n’y a pas de limite au choix !"

Gwynn circula dans le magasin comme s’il lui appartenait.

Une vendeuse assez âgée approcha et demanda: "Puis-je vous aider?"

"Oui, vous pouvez . . . cette jeune fille souhaite porter de la lingerie pour adulte. J’ai besoin de culottes, soutien-gorge, nuisette et de la lingerie."

Les fessées, la peine et l'humiliation avaient usées Tammy qui se laissa traiter comme une poupée, déshabiller et vêtir comme un jouet. Elle se tenait dans le dressing, nue. Sa tante s’assit sur une chaise et la vendeuse apporta différentes culottes, soutien-gorge et autres lingeries sexy pour qu’elle les essaye.

Une seconde elle se retrouva en string.

"Non", dit sa tante.

Puis elle se retrouva vêtue d’une culotte en dentelle.

"Oui, c’est délicieux.", commenta Gwynn.

Puis, d’un shorty court et soutien-gorge assorti.

"Oui."

Cela dura un certain temps, sa tante évaluant chaque pièce de vêtement que Tammy essayait.

A la fin, Tammy enfila un shorty moulant blanc en dentelle qui ne cachait rien de son intimité. Gwynn lui dit de s’habiller. Elles marchèrent jusqu'à la caisse enregistreuse et Gwynn paya tous les vêtements.

"Viens ici Tammy.", dit Gwynn.

Elle saisit une paire de ciseaux de la vendeuse, leva la petite jupe de Tammy et coupa l'étiquette de la culotte qu'elle avait sur elle.

"Ça fera 273 dollars.", dit la vendeuse

"Jeune fille, j’ai dépensé une petite fortune aujourd'hui pour t’équiper en belle jeune femme sexy. Je m’attends à ce que tu me montre ton plaisir pour toutes les belles choses que je t’ai acheté."

Tammy ne savait pas quoi dire. Abusée, molestée, endolorie, elle était brisée.  Elle se tenait juste en face de sa tante incapable de dire quoi que ce soit.

 

Gwynn grimaça, " je vois que nous allons avoir à travailler sur toi pour t’enseigner les bonnes manières !"

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Tammy et Gwynn, par Annie The Slick - Communauté : Soumissions féminines
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Lundi 16 mars 1 16 /03 /Mars 22:23

Chapitre 4

 

20h00.

« Je suis le docteur » annonce fièrement Marc en entrant dans la chambre. Il se montre nu en montrant fièrement son engin tendu qui me rappelle d’ailleurs étrangement quelque chose.

« Qu’est-ce que ça signifie ?! je crie, outrée.

- Cela signifie que tu es libre. Tu vas enfin pouvoir assumer pleinement la salope que tu es depuis des années.

- Quoi ?! »

Je recule et percute la fenêtre derrière moi.

« Ah, cousine, rien que de te voir comme ça, ça me met dans des états… Depuis qu’on est ados, je me branlais en t’observant dans la salle de bain, en reniflant tes culottes…

- Mon dieu, Marc ! Tais-toi !

- Tout va bien se passer, Sylvie, tente de me rassurer Sofia.

- Ne me touche pas, toi ! lui lance en m’écartant encore sur le côté.

- Sofia, au pied » ordonne Marc.

Automatiquement, Sofia se jette par terre, avance à quatre pattes et se place à genoux, langue en avant, face à son maître.

« C’est bien ma chienne, sourit sadiquement mon cousin.

- Mon dieu, Sofia… murmure-je en silence.

- Sofia est devenue une soumise docile et comblée. Cela a pris du temps et du travail mais elle sait désormais que c’est ce qui la rend heureuse. Certaines personnes sont faites pour être salopes et soumises. »

Sofia colle sa tête contre le pénis de son mari, commençant à lécher timidement ses testicules.

« Doucement, ma chienne… Je veux que vous le fassiez à deux… Sylvie n’est pas encore prête…

- Va te faire foutre, Marc !

- Pourquoi ne voudrais-tu pas me sucer la bite, chère cousine ? Après tout, tu l’as déjà fait et je crois que ça ne t’a pas déplu.

- Hein ?!

- Tu ne te souviens pas ? Voyons, c’était dans un bar nommé… « L’Exquis » si je me souviens bien, dit-il d’un ton écœurement pervers.

- Non ! Non ! Non ! Non ! »

Je sens une boule monter en moi. Je crois que je vais vomir.

«  Mais si, ma jolie et je t’assure que tu as un talent inouï pour les fellations. Quel dommage de ne pas…

- Tais-toi ! Tais-toi ! Tais-toi ! »

Il s’apprête à parler mais alors que j’aperçois la lampe, je l’attrape et lui lance dessus. Il tombe par terre. Je saute, bouscule Sofia et m’enfuis par la porte dans le couloir.

« Tu ne peux pas t’enfuir, salope! » l’entends-je à peine hurler.

Les escaliers. Mon cœur bat horriblement vite. J’arrive en bas et attrape mon sac. Je passe la porte d’entrée. Ma voiture. Je rentre. Mes clés. Vite ! Vite ! Oh non, où sont-elles… Non ! Il a dû me les prendre. Mon dieu, il arrive ! Je regarde autour et aperçoit un large buisson. Dans un saut surhumain, je me jette au-dessus et tombe à plat ventre de l’autre côté. Je l’entends sortir à ce moment-là.

« Tu ne me pas t’enfuir, Sylvie ! Tu ne peux pas ! Sofia ?

- Oui, d0cteur.

- Mets-toi un putain de manteau et prends la bagnole. Il faut la retrouver impérativement ! Elle ne va pas aller bien loin à pied. Je pars à gauche, tu pars à droite. Bouge-toi ! »

Je l’entends qui rentre dans sa voiture, démarre et disparaît. Quelques secondes plus tard, Sofia fait de même.

Puis le silence.

 

20h14

 

Mon dieu… Je dois partir. Mon cousin est un psychopathe, un dérangé sexuel. Je prie pour que tout ceci ne soit qu’un terrible cauchemar. J’aimerais tellement me réveiller dans mon lit… Mais je me suis bien fait mal en sautant dans ce buisson. La douleur me renvoi bien à la réalité et le froid commence à envahir mon corps fragile.

Je décide de couper à travers la forêt. Je dois être à trente minutes en voiture de Paris. Je suis toute nue. Mon dieu, je suis terrifiée…

 

20h37.

 

Je parviens au bout du bois et me retrouve devant une longue route traversant un pré. Un camion arrive au loin.

« Hey ! Hey ! Arrêtez-vous, s’il vous plait ! A l’aide ! »

Le camion ralentit et s’arrête devant moi. Je cache mes parties intimes comme je peux. Un homme d’une cinquantaine d’année sort du véhicule. Son tee-shirt trop petit laisse dépasser son bide poilu. Je me retrouve devant la caricature du routier vulgaire.

« Monsieur, aidez-moi… Des gens me cherchent et me veulent du mal...

- Hum, vous êtes toute jolie, ma p’tite dame… Ça vous plait de vous balader nue comme ça... »

Il est con ou quoi, lui ?

« S’il vous plait, amenez-moi à la police… Je vous en supplie…

- Ma p’tite dame, je veux bien vous amener quelque part mais… Vous êtes toute mignonne… Et moi, je me sens seul, quoi…

- Quoi ? Amenez-moi vers Paris, c’est tout ce que je demande ! Quelqu’un de taré me cherche, vous comprenez ? J’ai besoin de m’enfuir de ce trou de merde !

- Doucement, ma p’tite dame… Je comprends bien vot’ problème, ma p’tite dame… J’aimerais vous aider mais… Faudrait une petite récompense pour ça… »

Je le vois qui se gratte le bidon comme un dégueulasse. Sylvie, réfléchis… Marc ou Sofia vont surement bientôt passer ou repasser par là… Il faut vraiment que je parte…

« Que voulez-vous exactement ?

- Juste un petit bisou sur mon z’geg… Comprenez, ça fait longtemps qu’il a pas…

- Oui oui, j’ai compris. Ca va ! Très bien, c’est vendu. Je vous fait ça quand on arrive à Paris.

- Non, maintenant, un petit bisou sur mon z’geg…

- Je dois partir maintenant, vous comprenez ?!

- Montez, on fait le petit bisou tout de suite et on part… »

Je n’ai pas le choix. Il grimpe dans son gros camion et je le suis. Le siège n’est pas très propre. Je contiens mon dégoût de savoir ma peau en contact avec des restes de chocolat. Le routier me regarde avec un sourire jusqu’aux lèvres et me mate comme un gamin qui voit une femme nue pour la première fois.

« Je vous laisse faire votre métier, ma p’tite dame…

- Hé ! Je suis pas une pute, bordel.

- J’attends… »

Je pose ma main sur sa braguette et il ferme les yeux en râlant. Je descends la fermeture, enlève le bouton et sors son petit pénis. Une odeur de transpiration envahit mes narines. Je recule.

« Mais… Ça fait combien de temps que vous ne vous êtes pas lavé ? Je ne ferai pas ça ! Hors de question ! »

Il prend un air mort et son regard change brutalement. Son visage devient plus noir que la mort.

« Sors. »

Je l’implore du regard.

« S’il vous plait, ne me laissez pas… Mon cousin est un malade, il me cherche… Je suis toute nue, s’il vous plait !

- Suce ou sors. »

Il y a soudainement une fatalité dans ses yeux. Je prends peur...

J’inspire profondément et m’approche de l’objet dur. Sa bite est petite, poilue, presque ratatinée. Je commence à le branler.

« Vas-y, suce… »

Je ferme les yeux et englobe le petit gland. Je fais tourner ma langue autour et aspire avec mes lèvres. Le gout est exécrable. Comment en suis-je arriver là ? Son gland est tout chaud. Je l’entends soupirer.

« Mmmmmh… »

Sa main gauche me caresse mes cheveux. Je m’applique. Le plus vite il jouit le plus vite ce sera fini. Sa main droite, elle, se dirige dans le bas de mon dos et caresse mes fesses. Un de ses doigts s’approche de mon petit trou.

« Dis donc, ma p’tite dame, vous êtes toute ouverte du cul, vous ! J’ai toujours rêvé d’explorer une jolie fille par là… »

Il enfonce un doigt plutôt facilement. Je m’apprête à protester mais je le sens qu’il s’apprète à jouir.

« Oh… Oh… Oh, c’est bon, ça… »

Je suce de plus en plus vite. Je tâte ses couilles poilues qui me semblent particulièrement pendantes. Il continue à me doigter entre les fesses. Je le sens, il va venir.

D’un coup, il attrape ma tête.

« Oooooh ! Ouiiiii ! »

Un jet de foutre gluant envahit ma bouche. Je grimace. J’aimerais me retirer mais il me tient toujours la tête. Un second puis un troisième tire. J’avale difficilement. Mais je me surprends à aimer le goût de son sperme, plutôt sucré.

Il me libère la tête en soupirant. Je me relève pour l’apercevoir se lécher son doigt qui me pénétrait l’anus peu avant.

« Mmmmh, c’était trop bon, ma p’tite dame. Vous sucez comme une déesse ! J’me sens tout heureux. »

Je me nettoie la bouche comme je peux mais je reste encore surprise du gout savoureux de son liquide. Il est con comme un pied, mais au moins, il est précoce et gicle du bon jus.

« J’ai froid, vous n’auriez pas une couverture ?

- Bien sûr, ma p’tite dame. Prenez ça.

- Merci, ça ira. On peut y aller maintenant ? Franchement, je crois avoir fait ma partie correctement.

- Ca, c’est sûr ! J’vous promets, ma p’tite dame, jamais on ne m’a sucé aussi bien. Vous devriez vraiment devenir une vraie pute et vous vous feriez des millions. »

Connard.

« Oui, démarrez, s’il vous plaît, au lieu de dire des bêtises. Je vous rappelle qu’on est toujours à mes trousses.

- Vous inquiétez pas, Charlie est là pour vous sauver. Je vous amène où vous voulez et personne, j’dis bien, personne, ma p’tite dame, touchera votre corps de princesse. »

Je souris. Il est tout moche mais plutôt imposant. Ca me rassure un petit peu.

Maintenant, où devrais-je aller ? Mon cousin va sûrement m’attendre chez moi avec un sac à me mettre sur la tête et un couteau de l’autre. Réfléchis, Sylvie, réfléchis… J’ai trouvé !

Même si je n’aurais jamais osé en d’autres circonstances, il n’y a qu’une personne à qui je puisse vraiment faire confiance.

 

« En route ! »

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Lundi 16 mars 1 16 /03 /Mars 22:21

Chapitre 3

 

19h12.

« Répète-moi ça, Sofia?

- J’ai reçu leurs instructions par SMS… Ils veulent qu’on se filme à la webcam… toutes les deux… maintenant… »

Je répète ses mots soigneusement dans ma tête comme une énigme à résoudre. Premièrement, je découvrais que j’avais de nouveau une épreuve perverse à affronter et qui s’annonçait des pires. Deuxièmement, je n’étais pas la seule sur cette Terre à être victime de ces dégueulasses au téléphone. Enfin, cette autre victime était la femme de mon cousin!

« Qu’as-tu reçu exactement comme message? »

Sofia sort son téléphone, tape sur quelques touches et me tend l’appareil. Je lis:

‘Petite salope, à 19:20, allume ta cam avec Sylvie et montre-nous vos beaux petits culs, toutes les deux en sous-vêtements. Prépare le gode. Ne sois pas en retard, bonne soumise, sinon…’

« Sinon quoi? »

Sofia tourne au rouge, honteuse. Je suis bête. Il l’avait sûrement piégée comme moi avec des vidéos humiliantes.

Ce qui m’étonnait dans ce message, c’était la violence des mots: ‘petite salope’, ‘beaux petits culs’, ‘bonne soumise’… Très différent de l’intonation neutre qu’ils utilisent avec moi.

‘Bonne soumise’. Les rares fois où j’ai tenté de me rebeller ont mené à bien pire… Je prends une respiration profonde comme à chaque fois avant de me résoudre à me soumettre au pire.

« Allons-y. Ne soyons pas en retard.

- Tu es d’accord…? »

Sofia tremblait.

« Nous n’avons pas le choix, Sofia. Il faut faire ce qu’ils disent. Mais au moins, cette fois, nous serons deux.

- Oui… »

La belle brune sourit vainement. Nous montons les escaliers et elle me laisse entrer dans sa chambre où l’ordinateur est déjà préparé en face du lit.

Je la regarde dans les yeux. Puis, sans dire mot, j’enlève mon haut et retire mes chaussures. Elle fait de même, me laissant la vue à ses superbes seins. Je crois bien qu’elle porte du C. Face à ces deux merveilles, je souris. J’avoue qu’ils sont très beaux. Nous nous retrouvons toutes les deux en culottes et soutien-gorge.

« Tu es prête, Sofia?

- Oui… Tu leurs as déjà fait des webcam?

- Non… et toi?

- Oui…

- Je suis désolée.

- Ce n’était pas si terrible… J’avais surtout peur que tu sois réticente et que tu refuses de coopérer. »

‘Coopérer’? Voilà une formule bien étrange…

« Je le fais parce qu’ils nous tiennent au cou. C’est la seule raison.

- Tu verras… On finit par s’habituer à tout ça et on découvre de nouvelles choses… C’est une autre vie. »

Qu’essaye-t-elle de me dire…? On dirait presque qu’elle en sourit.

« Je vais mettre la webcam sur un logiciel de chat et on écoutera leurs ordres… Ils nous verront tout de suite... Mais on ne les verra pas. En général, ils parlent peu à la webcam et se content de…

- De mater. J’avais compris, Sofia. Fais-le. C’est l’heure. »

 

19h20.

« Bonsoir mes jolies. Ravies que vous ayez fait connaissance de vos vies de soumises. Sofia, comme tu es une sacrée petite pute, il me semble que tu as acheté quelque chose récemment?

- Oui, d0cteur…

- Montre-le. »

‘D0cteur’, c’est ainsi qu’elle le ou les nomme. Drôle de nom pour un maître chanteur.

Sofia se penche sous le lit et en ressort une boite. En l’ouvrant, elle dévoile un gode rose d’une quarantaine de centimètres doté d’un gland à chaque extrémité. Mes yeux s’écarquillent. Sofia rougit.

« Parfait! Cela va vous allez à merveille. Vous allez performer un ‘ass-to-ass’, c’est-à-dire mettre le gode dans vos deux petites roses et l’enfoncer jusqu’à ce que vos deux bons culs se touchent. Allez-y, faites ce qu’il faut pour qu’on se régale! »

L’air normal, elle prend un tube de lubrifiant et monte sur le lit en tendant ses jolies fesses. Je ne bouge pas. Elle me demande:

« Tu n’as jamais fait du anal? »

C’est ce que le ‘docteur’ exprimait par ‘petites roses’… Pour moi, ça avait toujours été un truc… sale.

« Non…

- Ne t’inquiète pas. Je vais m’occuper de toi. Ça ne fait pas mal si on le fait bien… au contraire! Allonge-toi sur le ventre. »

Je m’exécute en essayant de lui faire confiance. Elle retire ma culotte. Dans ma tête, je me répète pourquoi, ô pourquoi, je suis obligée de faire ça… Elle embrasse mon derrière.

« Tu as de belles fesses, Sylvie.

- Merci… »

Elle prend de la crème lubrifiante et me l’étale sur les fesses.

« Ouh, c’est froid…

- Oui, relaxe-toi… »

Sofia me masse les fesses et les dos.

« Tu masses bien…

- Il faut que tu sois toujours détendue. C’est important. Tu aimes quand je te touche là? »

Je sens sa main passer en haut de ma raie.

« Ça me gêne…

- Chut… »

Elle recommence. C’est vrai que cela déclenche des petits frissons pas désagréables. Elle remet de nouveau de la crème et recommence le traitement en descendant plus bas jusqu’à titiller mon petit trou.

« Sofia…

- Chuuut. »

Son doigt tourne autour puis appuie un peu dessus. Je respire fort.

« Sofia, je ne peux pas. Je suis désolée…

- Fais-moi confiance. Il faut juste que tu détendes, d’accord? »

Se détendre, se détendre… Facile à dire! Je n’ai pas de bouton on/off pour commander mon stress! Elle s’approche de mon visage et, contre toute attente, m’embrasse langoureusement. Je sens sa poitrine s’appuyer contre la mienne. C’est la première fois que j’embrasse un femme et … j’avoue que ça m’excite un peu. Puis, presque déçue, je sens sa langue qui se retire.

« Tu me fais confiance, Sylvie?

- Oui… »

Elle reprend le massage de mes fesses mais s’aventure aussi vers mon sexe et j’admets être cette fois bien plus relaxée. Puis, elle s’arrête et change de position. Je me demande ce qu’elle fait. Soudain, je sens une langue humide titiller le bout de mon anus.

La sensation est indescriptible. Je cambre mon dos mais elle s’enfonce plus.

« Sofia… »

Sa langue continue de tourner sur mon petit trou, s’introduisant à petits coups et humidifiant pour de bon l’intérieur.

« C’est si... sensible… »

Cette fois, sa langue pénètre plus en profondeur écartant légèrement mes parois muqueuses. Je surprends ma main se faufiler entre mes jambes afin de caresser mon sexe. Ca me fait du bien…

« Sylvie, tu vois que aimes, chuchote Sofia.

- Non, ne t’arrête pas… »

Je suis complètement perdue et je veux profiter de sa langue… Pourtant, je sens quelque chose de plus dur.

« Je vais mettre un doigt, d’accord? »

Ma respiration s’accélère. Je panique!

« Détends-toi, je vais le faire tout doucement avec beaucoup de lubrifiant… »

Je la laisse me tripoter l’anus. Bon… Je reconnais qu’elle se débrouille vraiment bien. Elle parvient à rentrer un doigt et moi, je ferme les yeux. J’en profite pour me m’exciter les seins qui durcissent. Sofia continue ainsi un petit moment puis très lentement enfonce un second doigt.

« Sofia, comment fais-tu… Ah...

- C’est parce que j’aime tes petites fesses de rousse, Sylvie! »

La brune me dépose des petits baisers sur mes deux collines de chair tandis que je sens un troisième doigt ma pénétrer.

« Tu mouilles beaucoup pour une fille qui n’aime pas ça… »

Je rougis. J’ai honte!

« Ne te moque pas… Hein… C’est différent de ce que je croyais… »

Je ne comprends pas… Comment a-t-elle réussi à me décoincer aussi facilement?

« Sofia, viens… Je veux t’embrasser… Je veux te sentir contre moi...»

Je lui dépose un baiser des plus attentionnés. Nous nous enlaçons. Je lui lèche le cou. Elle me prend les cheveux. Ce soir, j’ai envie de tout oublier et de me libérer.

« Sofia, je veux te faire pareil...

- Chut, mon cœur, je peux le faire seule. »

La belle aux cheveux lisses me caresse les cheveux. J’embrasse ses seins. Je veux plus d’elle.

« Non, je veux me sentir en toi… »

Je me retourne de sorte à avoir la tête face a ses belles fesses. J’entreprends de les lécher allègrement. Puis, partant du haut de sa raie, je donne comme elle m’avait fait des petits coups de langue en descendant de plus en plus bas. Je parviens à son petit trou et je continue ainsi, toutefois en léchant de plus en plus allègrement.

« Sylvie, ouh… Tu t’y prends bien… »

Je parviens à rentrer un peu ma langue. Le goût est très différent de ce que j’imaginais et pas si désagréable. Sofia m’encourage à continuer. Alors je plonge un doigt en découvrant le plaisir de la sensation intérieure, puis après un bon moment, un second, et finalement un troisième. Pendant ce temps-là, elle se touche les seins, se les pince, mord l’oreiller, se caresse la chatte…

« Mets-le moi, Sylvie, mets-le moi…!

- Tu es sûre?

- Oui, fais-le! Je le veux! »

Je prends le gode et le recouvre de lubrifiant. Lentement, je l’enfonce dans le cul de la femme de mon cousin.

« Aaaaaaaaaaah, oui! »

En faisant de lent va-et-vient, l’envie me prend d’essayer aussi.

« Sylvie, viens, mets-toi à quatre pattes derrière moi. Tu vas adorer, ma belle rousse… »

Alors je suis ses conseils et je sens même que je mouille. Je positionne l’autre bout du gode dans l’axe de mon anus et j’appuie lentement. Plus gros que les doigts de Sylvie, l’objet pénètre en moi comme une libération… Une sensation indescriptible… Comme si je découvrais une partie de plaisir en moi que je n’avais jamais insoupçonnée avant…

« Ooooh!

- Tu aimes ?

- Oui, c’est si étrange…

- Bouge tes fesses comme moi… Faisons-le ensemble… »

Tout d’abord, nous bougeons nos petits culs afin que le gode travaille une belle entrée. Puis, on s’enfonce et recule sur le gode. La sensation est intense !

« Sofia…

- Oui, Sylvie! Continue! »

Je suis dans un autre monde. Les spasmes traversent et transcendent mon corps. Le gode s’enfonce dans mon ventre et en ressort. Je ne peux m’empêcher d’imaginer que c’est le dard de mon patron, qu’il est avec nous deux, nu et montrant sa virilité. Les fantasmes dépassent la réalité. La réalité succombe au plaisir.

« Ass-to-ass! Magnifique! », s’écrit le ‘docteur’.

J’ai complètement oublié les pervers de l’autre côté de l’écran. Quelque part, savoir qu’on me regarde faire ça… Dans une position indécente avec une femme… Je ne sais pas mais ça me donne une envie …

« Bouge plus vite, Sylvie…

- Oui… »

Nos fesses se claquent l’une contre l’autre. Ma mouille dégouline le long de mes jambes et se mélangent à celle de Sofia à l’encontre de nos deux entrées dilatés. Je me remets à me masturber allègrement. Je sens quelque chose monter en moi…

« Sofia, je crois que je vais … ! Sofia … !

- Oui ! Laisse-toi aller, Sylvie! Oui! »

Quelque chose va exploser en moi… Je le sens! Je ne reconnais rien, tout est trouble!

« Sofia… Aide-moi! Je…

- Oui, Sylvie, lâche-toi!

- Aaaaaaaaaaaaaah ! »

Je m’écroule. Je crois que je ferme les yeux. Je ne sens rien et tout à la fois. J’ai l’impression d’être dans un bain d’eau chaude, à une parfaite température. J’ai envie de me sentir ainsi pour l’éternité.

Puis, une main que je connais bien passe doucement sur mon dos.

« Sylvie, comment vas-tu?

- Oh, Sofia, tellement bien… Tu m’as offert mon plus orgasme. »

Toutes transpirantes, nous nous embrassons allègrement.

« Tu es tellement belle, Sylvie. Ta chevelure rousse est magnifique. Et je parle aussi de cette rousseur ici… »

La brune me caresse mon sexe, mouillé comme jamais. Je suppose que, même silencieux, le d0Cteur doit bien profité de ce moment.

« Coquine! Je n’aurais jamais qu’une femme me ferait plus plaisir qu’un homme… Tu m’as tellement surprise.

- Tu sais, c’est parfois difficile de connaître nos véritables désirs et nos plaisirs. On a parfois besoin d’être… un peu poussée...»

Je tourne la tête, morte de honte. Est-ce vraiment moi?

« Hé, je ne voulais pas que tu me fasses ma tête. »

Sofia, la sublime Sofia, saisit mon menton de sorte à ce que je la regarde yeux verts dans les yeux noirs. Ses longs cheveux lisses, plus noirs que la nuit, tombent le long de ses épaules, cachant légèrement son abondante poitrine aux bouts foncés.

« Je ne te ferai jamais la tête… Ce soir, je t’ai découverte, Sofia… Je t’ai trouvée comme jamais je ne l’aurais crue… Tu m’as toujours fait rire lorsque nous étions ensemble. Tu m’as toujours appelé de temps à autre pour prendre de mes nouvelles. Tu étais presque ma meilleure amie. Nous avons franchi un grand pas. »

La belle brune du coin de ses lèvres rouges.

« Mais… Tu es la femme de mon cousin… Et il y a eux…, lui fais-remarquer en montrant discrètement l’écran par lequel le docteur et les pervers continuent sûrement de nous épier, en silence, profitant au sommet de leur plaisir voyeur.

- Ni moi, ni eux ne seront un problème! »

Mes yeux m’écarquillent! Cette voix… Ça ne peut pas… J’entends des mains applaudir en s’approchant de la pièce.

« Quel magnifique spectacle: ma cousine se sodomisant avec ma femme! Je ne suis pas déçu de la mise en scène.

- Toi! Non! Non!

- Oh si! Cela a pris du temps à mettre en place mais ô combien ce travail valait la peine. Ma cousine est une vraie salope, bien au-delà de toutes mes espérances.

- Non, pas toi…

- Et pourtant, si! Je suis le docteur. »

 

20h00.

 

Marc pénètre la chambre.

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Lundi 16 mars 1 16 /03 /Mars 22:20

Chapitre 2

 

— 11h30 —

« Salut, c’est Marc! Alors, tu voulais me raconter quoi? »

Alors que je pensais décrocher pour entendre l’inconnu, la voix de mon cousin me fait soudainement revenir à la terrible réalité: je me trouve dans une cabine téléphonique à un carrefour en train d’utiliser un vibro-masseur sous les ordres d’un malade qui me fait chanter au téléphone.

« Euh, Marc… Je suis occupée…

- Je croyais que tu avais quelque chose d’important à me dire, non?

- Pas vraiment…

- Et si tu venais dîner, ce soir? On aurait le temps de parler et le petit serait content de voir sa tante.

- Euh… Oui, c’est entendu… Je dois vraiment y aller… Au revoir, Marc!

- Bon… A ce soir! »

Soudain, le pire que je crains arrive: une personne s’approche dans la rue. Si je retire le gode, cela se verra pour sûr! Mais si je le garde, il continue de me faire de l'effet... Je reste au téléphone en faisant semblant d’écouter mais au même moment, mon portable sonne de nouveau. C’est le pervers à la voix robotique!

« Sylvie Duroux, bravo, vous êtes une bonne salope.

- J’en ai marre… Je ne peux plus rester dans cette position! C’est bien humiliant! Vous êtes un malade!

- Continuez de parler normalement. Rien ne vous arrivera. »

Je ne comprends pas… Comment peut-il voir ce qu’il se passe où je suis. Est-il caché quelque part?

« Je veux arrêter tout ça.

- Non. »

L’homme en manteau passe devant moi en me regardant indifféremment. Il tient son sac bizarrement. Je serre le gode entre mes cuisses. Ouh... Le passant disparait. Je souffle.

« Retirez le gode. »

Je retire doucement l’objet qui me déclenche quelques spasmes et laisse échapper un gémissement.

« Oh…!

- Quelle coquine...Nous sommes fiers de vous. »

Même avec cette voix informatisée, je reconnais le sourire de ce gros pervers à l’autre bout du fil. Il faut dire que ce gode fonctionnait plutôt bien. J’ai complètement oublié où j’étais pendant un moment.

« Sucez le gode, maintenant. »

J’observe le vibromasseur, luisant et recouvert de mon liquide vaginal qui dégage une forte odeur. Je ne peux m’empêcher d’être un peu dégoûtée… Lécher ma mouille? Je n’ai jamais fait ça. Il n’y a que les salopes dans les films pornos qui font ça…

« Vous me laisserez tranquille, après?

- Sucez-le. »

Me pliant à sa volonté sans trop y penser, je ferme les yeux et approche ma bouche du gland en plastique avant de l’enfoncer dans ma bouche. Dans cette position, j’ai l’impression d’être une pornstar au service de ses fans pervers. Je tourne ma langue et sens ma cyprine glisser entre mes dents. Cela a un petit goût salé mais ce n’est pas si écœurant. Je retire l’objet de ma bouche, fait une grimace et ferme mes dents pour l’absorber dans ma gorge. C’est fait: j’ai avalé mon propre liquide vaginal. Je me sens toute sale, toute cochonne.

« Ca vous plaît, n’est-ce pas? Vous ne décevez pas. Vous avez un grand potentiel de salope, Mlle Duroux.

- Maintenant, s’il vous plaît, j’ai fait tout ce que vous vouliez…

- Allez dans le bar ‘L’Exquis’ rue des Apôtres, 52.

- Arrêtez… Arrêtez...

- Vous avez 8 minutes.

- Arrêtez! »

Cette fois, c’en est trop! Je ne vais pas continuer cette folie et suivre sa perversité jusqu’à devenir sa putain personnelle. J’appelle la Police.

« Allô, Police, j’écoute.

- Oui, bonjour, je suis victime depuis ce matin de… »

Tuuuuuut! La ligne coupe. Comment est-ce possible? Mon téléphone sonne de nouveau.

« Vous avez triché. C’est grave. Regardez l’écran publicitaire en face de vous. »

Je lève la tête et aperçoit une pub pour dentifrice à l’écran quand soudain, celle-ci est coupée par une séquence d’une femme dans une cabine téléphonique… Oh mon dieu! Mais c’est moi! On reconnait parfaitement mon visage et on voit très bien que je me masturbe avec ce gode! Comment a-t-il le pouvoir de faire ça?! C’est un cauchemar!

 

« Ne recommencez pas où cette vidéo passera sur tous les écrans disponibles de cette ville. Il vous reste 7 min 14. »

Plus le choix! Totalement paniquée, je quitte la cabine téléphonique, laissant le matériel érotique par terre en vrac. Je sens que ma chatte est toujours bien dilatée. Du liquide coule doucement le long de ma jambe. J’espère que cela ne se voit pas… En quelques minutes, je me retrouve face au bar ‘L’Exquis’. Je rentre dedans et n’y trouve que des hommes barbus d’une cinquantaine d’années en train de se saouler à 11h30 du matin. Des losers. Je décroche mon téléphone.

« J’y suis!

- Allez dans les toilettes, troisième porte. »

Je passe entre les alcoolos, pénètre la salle de bain et m’enferme dans l’endroit prescris. Les toilettes ne sont pas trop sales. Je craignais bien pire dans un bar comme celui-ci. Toutefois, je remarque un trou bien rond dans le mur droit. Je regarde dedans et peine à percevoir deux jambes masculines qui semblent attendre.

« Retirez votre culotte et glissez-la sous la paroi de droite. »

Je respire fort pour rester zen. Je suis objectivement coincée avec le chantage que ce pervers me fait. Une fois de plus, je m’y résigne. Je retire délicatement ma culotte à pois rouges, encore bien mouillée, et découvre ainsi mes poils roux à l’air libre. Je sens l’odeur transpirante de mon entre-jambe et le goût de ma mouille me revient furtivement dans ma bouche. Je passe ma culotte sous le mur fin. Peu après, une main la ramasse. J’entends l’homme qui respire le parfum de mon sexe.

« Hummm…. »

Quel pervers… Mais ne serait-ce pas lui qui me fait ce chantage depuis le début?! Mon portable vibre.

« Je l’ai fait.

- Très bien. Maintenant, écoutez attentivement. »

J’entends l’homme dans les toilettes d’à côté qui bouche et qui met quelque chose dans le trou. Alors, je vois sa bite sortir lentement par le mur.

« Non… »

Je m’écarte avec horreur quand je réalise le supplice qu’il va m’imposer!

« Pas ça, je vous en supplie...

- Vous allez sucer la verge en vous appliquant jusqu’à sa jouissance et avaler tout jusqu’à la dernière goutte.

- Pourquoi… Pourquoi moi…

- Vous verrez. Vous allez apprécier bien plus que vous ne le pensez. Vous êtes une salope dans l'âme.

- Je ne le ferai pas…

- N’oubliez pas. Nous avons les vidéos. Obéissez et tout ira mieux. »

La ligne coupe. J’entends l’homme qui respire et qui attend de l’autre côté du mur. De toute évidence, il n’est pas le pervers au téléphone. Mais cela signifie aussi que mon agresseur n’agit pas seul.

Le pénis anonyme est fièrement dressé, exhibant ses quelques veines viriles et un gland bombé d’un beau teint rose. Essayant de me remémorer les quelques fellations que j’ai déjà effectuées dans ma vie, je conclus que cette bite n’est pas forcément des plus longues mais se montre en revanche singulièrement large. J’approche ma main du bas de l’engin et touche juste au-dessus de ses couilles.

« Hum… »

L’inconnu à l’air d’aimer ça de l’autre côté. La peau est toute chaude et sensible. Je caresse le pénis sur sa longueur et remarque ainsi sa douceur. Mes lèvres commencent à se tordre. Ca sent un peu la transpiration mais pas tellement. Ca ne va peut-être pas être si terrible… J’approche ma langue et titille le bout du gland pour y déposer de la bave.

« Oh, hum…. »

Ma langue tourne autour de la bite en descendant et sa chaleur me rappelle combien un tel traitement est agréable. Je m’applique à bien passer sur toute la surface de sa peau sensible. Quitte à le faire jouir, autant l’exciter pour qu’il vienne vite. Il grogne de plaisir.

« Humm… Grrr…. Humm… »

Je le masturbe un peu plus allègrement et m’enfonce plus dans sa bite. Je sens un peu de liquide sortir. Je continue de pomper et lui de gémir plus fort encore. Et si quelqu’un nous entendait? Ça m’exciterait presque…Il bouge son dard comme il peut. Je sens qu’il va venir… Il devient nerveux. Ca me plait de le voir prendre son pied grâce à mes talents de suceuse. J’accélère à fond les va-et-vient. Soudain, il ne bouge plus et me déverse son sperme dans ma bouche.

« Aaaaaah!!! Aah! »

C’est gluant… Je retire sa bite juteuse de ma bouche… Oups! Une dernière giclée s’accole sur mon visage de mes lèvres à mon œil gauche. Je me souviens que je dois ne pas en laisser une goutte… Je ferme ma bouche et avale son sperme malgré un certain écœurement. C’est la première fois.

Le pénis tout mou que je viens de vider se retire soudainement. J’entends le bruit de l’homme qui sort en se dépêchant. Comme une idiote, je ne bouge pas.

Consternée par l’évènement, je me laisse tomber en arrière. Je me retrouve assise sur les WC mouillée entre les jambes, sans culotte et avec du sperme en moi et sur moi. Je reçois un sms:

« Toujours plus salope. Nous sommes fiers de vous. Nous vous avons envoyé un cadeau. Vous êtes libre pour aujourd’hui et vous l’avez méritée. »

Un cadeau?

 

—— 12h00 -----

 

Je me relève. Courage. Je marche en m’empêchant de penser à tout ce qui vient de se passer.

Cela faisait longtemps que je m’étais pas sentie ainsi, un peu comme libérée d’une sorte de frustration étrange.

Cette sensation perdure jusqu’à ce qu’une envie urgente de faire pipi s’installe en moi. Dans le métro, je me mords les lèvres, le besoin devenant de plus en plus pressant. Deux jeunes à casquette ne tardent pas à le remarquer en face de moi en me faisant des clins d’œil. Je marche à grands pas jusqu’à chez moi et fonce aux toilettes afin de me soulager.

« Oh oui…. »

La pisse sort de ma chatte comme une libération. C’est tellement bon! Je ne tenais plus… Je reste ainsi sur les WC sans bouger. Puis, ma main gauche glisse entre mes jambes et commence à caresser mes poils pubiens. Je souris… Quelle zone agréablement sensible. Je continue à caresser. Je m’imagine de nouveau dans la cabine téléphonique, seule à la vue de n’importe qui. J’enfonce un doigt. C’est tout mouillé. Je suce mon autre doigt. Je repense à cet homme inconnu… Peut-être était-il beau? Sa bite était douce et chaude… Et si ça avait été mon patron? STOP!

Que m’arrive-t-il? Je deviens folle avec cette histoire… Je fais n'importe quoi!

Je m’essuie rapidement et me connecte à mon ordinateur. Sur le site de ma banque, je vois le versement d’un chèque de 1000 euros. Je rêve?

Je m’allonge sur mon lit pour y méditer. Devrais-je prévenir la police? C’est du harcèlement doublé de chantage… voir de viol. Mais tout cela deviendrait public. En une journée, il m’ont fait avalé un sperme d’un inconnu… Ils sont doués et n’ont pas peur… Et oui, ils sont bien plusieurs… D’où vient cet argent? Qui sont-ils? Ils doivent me connaitre d’avant...Qui pourrait m’aider… Mon patron? Je fantasme sur lui mais peut-être n’en aurait-il que faire… Ou pire, il me prendrait pour une folle! Et avec la menace de ces photos de moi en train de me goder, comment faire…

Perdu dans ce casse-tête, je finis par m’endormir.

 

—- 19h30 ——

 

Malgré tout, je n’avais pas oublié mon cousin Marc. Habillée correctement, je sonne à sa porte.

« Sylvie! Ça fait plaisir de te voir. Comment vas-tu?

- Très bien et toi?

- Écoute, le petit a encore volé des billes à ses copains mais sinon tout va bien. Tu as une petite mine, quand même. Entre!

- Il est là?

- Le petit? Non, il est chez un copain.

- Je suis désolé. Je devais ramener le vin ce soir et j’ai complètement oublié. Je sors donc avant que ça ferme mais je suis là d’ici 30 minutes. Je te laisse avec Sofia, d’accord?

- Très bien. A tout de suite, Marc. »

Je souris. Il prend son manteau et sort. Marc est un homme bien, le genre d’homme avec qui j’aurais passé ma vie. Attentif, attentionné, sincère.

« Bonsoir Sylvie! »

Sofia apparaît alors. Mariée depuis huit ans, ils représentent le couple admirable. Pétillante de ses yeux bleus et ses longs cheveux noirs et lisses, elle porte un chemisier timide et un jean moulant. C’est une belle femme … qui a toujours eu un bel atout au niveau de la poitrine, bien plus que moi.

« Bonsoir Sofia! Tu vas bien?

- Oui, très bien. Assieds-toi. Tu prendras un verre? On commence sans lui… »

Clin d’œil. Ça tombe bien, j’ai envie d’oublier un peu, ce soir.

« - Oui, je veux bien un martini, s'il te plait.

- Tu as passé une bonne journée, rien de particulier? »

Je m’étonne désagréablement de sa question mais reste impassible.

« Non non, rien. Pas mal au téléphone, comme d’habitude.

- Vraiment, comme d’habitude? »

Je la regarde l’air inquiétée mais elle semble encore plus grave que moi.

« Sylvie, je dois t'avouer... Ils m’ont contactée aussi... Je suis aussi... une de leurs soumises...

- Quoi? Enfin, de quoi parles-tu, Sofia?

- Tu sais très bien de qui je parle… De ces pervers au téléphone… »

Mon souffle s’arrête net. Mes yeux s’écarquillent. Je perds ma voix.

« Toi … aussi?

- Depuis bien plus longtemps que toi… Ecoute-moi bien… Ils m’ont appelé tout à l’heure… Ils m’ont prévenue… Nous sommes obligées… Nous devons faire ce qu’ils disent…. J’ai eu un mail avec les instructions...

- Quoi? Qu’ont-ils dit, Sofia?

 

- Ils veulent qu’on se filme toutes les deux à la webcam... dans 5 min... »

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Lundi 16 mars 1 16 /03 /Mars 22:19

Chapitre 1

 

Je me lève de bonne heure et prépare mes affaires. Une culotte bleue ciel, une jupe et un chemisier blanc me conviennent immédiatement. Le maquillage est effectué de manière furtive. Le petit déjeuner ne vaut pas beaucoup mieux. Après avoir traversé ma rue, je pénètre dans le bus. J'ai toujours haï le bus: ça pue, ça "shlingue" et parfois, ça sent même mauvais. En sortant, j'achète un magazine féminin, ce genre de journal débile écrit par des débiles pour des débiles. En couverture, on y admire une nana qui montre son nombril. Ce dernier ressemble presque à un fossé dans ce corps anorexique. Il faut vraiment être une femme pour croire qu'une peau tirée par des os fait bander un mec.

Je pénètre mon bâtiment en saluant vaguement le concierge à lunettes rondes. Quel dégueulasse, celui-là, à tripoter sa moustache et ne ratant pour rien au monde de suivre le frottement de mes fesses. Je suis certaine qu’il se demande à chaque fois si mes poils pubiens sont aussi roux que mes cheveux bouclés et j’ai toujours envie de lui crier: « c’est en effet une question à laquelle tu n’auras jamais la réponse, loser!"

Vous vous demandez quelle est ma profession? En fait, vous connaissez déjà sûrement ma voix. Je suis la femme qui vous appelle toujours au mauvais moment pour vous proposer un pack premium dont vous vous contrefichez d'une option téléphonique à deux balles à un prix exorbitant. Je passe ainsi les trois quarts de mes journées au téléphone à boire du café et me faire raccrocher au nez, parfois accompagné d'un commentaire plus ou moins gratifiant. Grâce ma carrière, j'ai découvert un nombre d'insultes impressionnant ce qui m'a témoigné l'inépuisable capacité de créativité de l'homme en matière d'inélégance.

Vers 10h30, je m'apprêtais à descendre fumer ma clope de décompression lorsque mon téléphone sonna d'un numéro inconnu.

"Allô, j'écoute?

- Sylvie Duroux. Vous avez été activée."

M'attendant à mon banquier à la voix de puceau qui m'annonçait que j'étais de nouveau dans le rouge, je suis plutôt surprise d'entendre cette voix qui sonne presque électronique.

« Qui est à l'appareil?

- Retirez votre culotte et mettez-la dans votre tiroir. Vous avez 5 secondes.

- C'est une blague?

- Votre directeur général arrive devant votre bureau dans 10 secondes. Dans 5 secondes, une page pornographique va s’afficher sur votre ordinateur si vous ne retirez pas votre culotte et la mettez dans votre tiroir. »

Je cherche dans ma tête qui dans mon entourage aurait le culot de me faire, à moi, ce genre de farce inutile, idiote et vulgaire.

« 4 secondes.

- Bien, monsieur le-débile-qui-n’a-rien-à-faire-de-ses-journées, ça suffit et ce n’est pas du tout drôle.

- 3 secondes. »

J’aperçois mon patron qui sort de son bureau.

- La blague est terminée! Qui êtes-vous?

- 2 secondes. »

Mon directeur emprunte le couloir général exactement dans ma direction.

« 1 seconde.

- Répondez! »

Merde, il a raccroché! Une grande image d’une jeune japonaise en train de se faire prendre par un homme obèse apparaît comme par magie en grand écran sur mon moniteur. Oh, merde, merde et merde! Mon patron progresse toujours et se dirige définitivement vers moi.

J’essaye de cliquer, d’appuyer sur « échap » mais rien n’y change! Mon directeur n’est qu'à quelques mètres. Rien à faire! Le virus bloque tout. Mon directeur est devant moi! Je me jette à terre et débranche l’ordinateur.

« Je… Mlle Duroux, que… Que faisiez-vous, bon dieu? Qu’était-ce cette chose à l’écran? »

Mon dieu. Celui qui m’a fait ça le payera très cher. Je le promets.

« Mr. le directeur, je suis désolée. C’est un virus. Je ne comprends pas comment… Ça vient de se déclencher à l’instant!

- Je ne pense pas que ce soit l’endroit pour parler de ça. Ne rallumez pas l’ordinateur, je demanderai à ce qu’il soit mis en examination. »

Je me relève en essayant de remettre ma tenue convenablement.

« Venez à 11 heures avec le dossier des communications sur le pack 9919. Nous en reparlerons calmement. Maintenant, prenez une courte pause, recoiffez-vous convenablement et remettez-vous au boulot. Un peu de tenue!»

Mon patron est un homme sévère mais juste. Sa taille lui permet de dépasser les petits murs qui séparent les assistants. Il a une belle femme, des enfants heureux et il est plutôt doué au golf. Tous les employés le respectent.

Je sors fumer une cigarette en essayant de reprendre mes esprits. Je ne comprends vraiment pas comment cela avait pu arriver. J’inspire, j’expire. Ah, ça fait du bien!

En remontant, le concierge aux lunettes ne manque à pas son rituel. Une partie de moi s’intrigue… et si c’était lui?

A 11 heures, je toque à la porte de mon patron, comme dû.

« Entrez, Mlle Duroux. Avez-vous bien le dossier? Parfait. Nous en parlerons plus tard. C’est de moindre importance comparé à l’évènement de ce matin. »

Je deviens toute rouge.

« Mlle Duroux, dois-je sérieusement m’inquiéter de cette histoire de virus ou… ai-je seulement vu quelque chose que je n’aurais pas dû? »

Cette humiliation me coupe le souffle.

« Monsieur le directeur, je vous promets que ce n’est pas ce que vous pensez! Je faisais mon travail lorsqu’un numéro inconnu m’a téléphoné en me disant de… »

Je ne sais pas si je devrais le dire… Est-ce vraiment un détail important? Cela ne ferait qu’approfondir ma honte.

« En vous disant de?

- En me disant… de lui donner le code du pack 9919 sous menace de passer ce film dégueulasse sur mon ordinateur! Au début, je ne le croyais pas et il l’a finalement fait!

- Calmez vos mots, s’il vous plaît, Mlle Duroux.

- Pardon… »

Le directeur me regarde d’un air des plus intrigués et plus que tout, sceptique.

« De lui donner le code du pack 9919?

- Euh… oui.

- Sous menace de passer un film à caractère pornographique sur votre ordinateur?

- Oui.

- Mlle Duroux, comprenez bien que vous représentez l’un de nos meilleurs éléments et vous avez toujours fourni un travail propre et efficace mais… êtes-vous bien sûr de ce que vous affirmez? »

Il ne me croit pas. Comment le pourrait-il? C’est totalement burlesque comme histoire. J’ai envie de me mettre à pleurer!

« Oui, je dis la vérité…

- Bien, Mlle Duroux. Je vois que l’évènement vous a secoué. Je vous propose de prendre votre congé pour aujourd’hui.

- Merci, monsieur le directeur.

- Je vous en prie. Je vais voir ce que l’analyse donne sur l’ordinateur. Toutefois, c’est une véritable histoire de chantage et nous devrons donc faire un rapport détaillé.

- Bien sûr. Je comprends parfaitement.

- Maintenant, reposez-vous bien et prenez soin de vous.

- Merci, monsieur le directeur. Au revoir. »

Je sors du bureau, tel un zombie, anéantie. Je marche robotiquement vers ma table, prend sans regarder mes affaires et sors de ce bâtiment. Quelques rues plus loin, je m’assois sur un trottoir, les yeux dans le néant. Jamais je n’avais passé une journée si bizarre.

Soudain, mon téléphone sonne. Numéro inconnu. Mon cœur bat à 100 à l’heure. J’hésite et dans un élan de folie appuie sur le téléphone vert.

« Allô?

- Salut Sylvie, c’est Marc!

- Oh, c’est toi, j’ai eu peur…

- Peur?

- Oui, tu me croiras pas, j’ai…

- Oh merde, le petit est déjà là! Attends, Sylvie, je te rappelle! A tout à l’heure. »

Typique de Marc, mon cousin. Depuis qu’il a son gosse, tout est permis. Ah, mon téléphone sonne!

« Allô, Marc?

- Sylvie Duroux. Vous avez été activée. »

Mon cœur se glace d’effroi. J’ai la bouche ouverte et aucun mot ne parvient à y sortir.

« Vous ne pouvez plus faire retour. Vous avez 30 secondes pour diriger dans la cabine téléphonique au carrefour sur votre droite. »

Comment sait-il où je me trouve? Il me voit, ce connard!

« Que voulez-vous de moi? Répondez! Que voulez-vous de moi, nom de Dieu?

- Vous avez 25 secondes pour vous diriger dans la cabine téléphonique au carrefour sur votre droite ou une sanction sera prise.

- Ecoutez-moi, petite bite imberbe, votre plan à la noix, vous pouvez vous le mettre la où je pense! »

Je raccroche et je jette le téléphone par terre. L’écran s’allume avec un sms: « Plus que 20 secondes avant la sanction. » Je suis dans la rue. Que peut-il me faire? Rien, il ne peut rien me faire.

En même temps, je n’y ai pas cru l’autre fois et finalement… S’il a osé s’attaquer à moi dans mon bureau, peut-être osera-t-il aussi bien dans la rue à utiliser le même genre d’humiliation dans la rue… Ce sera encore pire!

Nouveau sms: « Plus que 15 secondes avant la sanction. »

Et merde! Je ramasse le portable et cours en direction de la cabine. Je l’aperçois et elle se trouve au moins à 500 mètres. J’actionne mes jambes aussi vite que je peux. J’entends le bruit d’un nouveau sms. Plus que 5 secondes! Je suis à deux mètres… J’entre. Le téléphone sonne et par réflexe, je décroche.

« A l’heure.

- Oh, seigneur…

- Par terre se trouve un paquet rose. Ouvrez-le et suivez les instructions. La prochaine sanction tombe dans 5 minutes. »

La voix électronique raccroche. Nerveusement, je pousse un carton et ouvre le paquet rose en le déchirant. J’enlève le polystyrène et découvre un godemichet dans un boite adaptée et une petite enveloppe.

« Mais c’est quoi, ces conneries à la fin! »

Je l’ouvre et discerne une lettre écrite à l’ordinateur.

‘SORTEZ LE VIBROMASSEUR.

APPUYEZ SUR LE BOUTON ROUGE.

INSEREZ-LE JUSQU’A LIGNE ROUGE DANS VOTRE VAGIN.’

Mais qui est assez taré pour inventer des trucs pareils? J’ouvre la boite et aperçois un godemichet d’une certaine taille avec la ligne rouge qui se situe environ au trois quarts. De toute manière, c’est beaucoup trop gros… même seule chez moi, je ne rentrerai pas ça.

Mon portable bipe. Le sms ne me déçoit pas: « Plus que 4 minutes avant la sanction. »

C’est un cauchemar mais je veux m’en sortir! Sûrement qu’après un truc pareil, ils me laisseront tranquille. Je n’ai plus le choix. Je scrute autour de moi et prend conscience qu’heureusement, je suis un peu isolée dans le coin et il n’y a pour l’instant personne. Je passe ma main sous ma culotte et frotte mon clitoris de manière stressée pour m’exciter. Je me rends vite compte que ça ne marche pas du tout car je ne m’applique pas et ne me trouve pas du tout dans l’ambiance. Il faut que je pense à quelque chose d’agréable.

Je m’imagine nue sur un canapé… J’ai les cheveux détachés et je suis belle… Un bel homme arrive et me caresse les fesses puis les embrasse… Il entreprend de me masser le dos… Oui… Cet homme est beau et grand… C’est… mon directeur… Oh oui, ça me plaît… Mon directeur me masse les fesses…. puis il me montre son engin… Il est gros et dur…. Je le prends dans mes mains et je suis émerveillée… Je le mets dans ma bouche et lui accorde une superbe fellation… Il me dit que personne ne lui a jamais fait aussi bien… Il penche sa tête et caresse mes poils roux entre mes jambes… Oui… Je veux sa bite, oui… Le vibromasseur… Je l’enfonce, un peu… Juste le gland… Il n’y toujours personne… Puis, je progresse plus mais je suis encore loin du trait… Je transpire… Il faut avouer que l’objet fonctionne plutôt bien. Il vibre et ses petits crampons sur le côté procurent des effets bien meilleurs qu’on ne l’imagine… J’arrive finalement au trait rouge…

Le portable sonne. Avec tout ça, j’avais presque oublié que j’attendais leur satisfaction. Je décroche tout de suite, serrant le gode enfoncé en moi avec mes jambes.

 

« Salut, c’est Marc! Alors, tu voulais me raconter quoi? »

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Ne répondez jamais aux numéros inconnus - Communauté : Soumissions féminines
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