Lundi 16 février 1 16 /02 /Fév 22:12

Chapitre 7b : Mme Adams punit sévèrement Laura 2

Le professeur ouvrit un tiroir de son bureau, et  sorti un dispositif en plastique curieux, qu'elle tint sous le nez de Laura.

«Cette chose est appelé un tire-lait, Laura. Les femmes l'utilisent pour pomper le lait de leurs seins pour nourrir leurs bébés».

Mme Adams sourit.

«Nous allons l'utiliser dans un but légèrement différent. J’ai modifié l’embout et nous allons l'utiliser pour aspirer tous ces jus qui engorgent ta chatte.»

Le professeur sourit de plus belle.

«Donc, c’est une bonne chose que tu aies rasé tes poils pubiens. De cette façon nous pourrons créer un vide sans être gênées. Maintenant tiens-toi bien alors que je... »

Mme Adams brancha l’appareil et plaça l’embout sur la chatte offerte de Laura.

«Oh! Oh! Ooooo merde! OH! Que c’est bon», pensa Laura, alors que la pompe commençait à sucer sa chatte en tirant la mouille qui partait dans une fiole en verre connectée à l’embout. L’appareil s’arrêta puis aspira à nouveau sa chatte.

«Oh !! Mon Dieu! Oh putain!». Laura en eut le souffle coupé. «Cette chose va me faire jouir !», pensa-t-elle.

«Est-ce que ça fait mal, Laura?», demanda le professeur amusée, en observant l’effet de son travail sur la petite blonde.

«Ahhhhh Non, non, ce ne est pas Ohhh -...... meeer. . . .», haletait Laura du plus profond d’elle même.

Mme Adams maintint la pompe contre le sexe de Laura, aspirant ses jus jusqu'à ce qu'elle vit que la pauvre fille était sur le point de jouir. Soudain, elle retira l'appareil à la dernière seconde.

Dès que Laura sentit la délicieuse vague chaude de plaisir commencer à imprégner son corps, la succion s’arrêta. Le corps de Laura rechercha le contact avec son amant mécanique en s’avançant vers l’embout mais la pompe était là juste hors de portée.

Laura ouvrit les yeux et regarda Mme Adams qui l'ignorait. Elle regardait les sécrétions de Laura dans la fiole de verre.

«S’il vous plaît?», demanda humblement Laura, en baissant ses mains vers sa chatte.

Mme Adams regarda enfin la fille frustrée.

«Arrête ça tout de suite petite salope! C’est censé soulager ton état de santé, pas satisfaire tes plaisirs pervers!», ricana la femme en giflant les mains de Laura, qui les remit sur les accoudoirs de la chaise.

La femme plus âgée regarda Laura qui rougissait. La jeune fille leva les yeux vers elle pleine d'espoir, les yeux bleus implorants. Lorsque Mme Adams fut satisfaite du comportement de son élève, elle appliqua de nouveau la pompe sur la chatte de la jeune fille, maintenant enthousiaste à cette idée. Elle conduisit à nouveau la jeune fille frustrée au bord de l'orgasme à plusieurs reprises.

Chaque fois que la jouissance pointait, les petits seins de l’adolescente s’élevaient et tombaient dans des halètements profonds. Elle étendait ses longues jambes minces et relevait son bassin en espérant que la vieille femme la récompense pour son obéissance.

Cependant, aussi obscène et obéissante qu’était Laura, Mme Adams retirait la pompe à chaque fois avant qu’elle jouisse, condamnant la jeune fille à gémir de déception et de frustration.

Laura avançait le bassin vers la pompe, hésitante, et devait se contraindre de continuer à tenir les barres de sa chaise des mains tant elle avait envie de les avancer vers sa chatte. Elle levait les yeux croisant le regard condescendant de son professeur, puis les baissait, regardant son sexe rose suintant et gonflé.

«S’il vous plaît . . . », gémissait-elle.

«S’il vous plaît, Laurie?», demanda Mme Adams, en tournant le menton de Laura de sorte que la jeune fille lui fasse face.

«S’il vous plaît, ne me faite pas dire . . . . Ne me forcez pas à exposer mes pensées sales pour vous moquez de moi», pensa Laura, en essayant de gagner la bataille contre son corps . . .  qu’elle était au fonds d’elle-même certaine de perdre.

«S’il vous plaît, laissez-moi  . . . jouir.»

«Laura, je sais que tu n’es pas responsable de la façon lamentable dont tu as été élevée. Je compatis, vraiment, mais penses-tu qu'il est juste pour toi d'avoir un orgasme? Qu'en est-il de moi? », demanda Mme Adams a la jeune fille frustrée comme si c’était la chose la plus naturelle du monde. «Même la fille la plus gâtée et égocentrique du monde aurait compris qu’avant que je fasse quelque chose de gentil pour elle, la moindre des choses et qu’elle fasse quelque chose de gentil pour moi . . . . d’abord!»

«Oh, mon Dieu ! S’il vous plait ! Je vais vous faire jouir Mme Adams... Je le jure!», s’écria Laura, serrant le bras gauche de son enseignante, son visage en sueur rouge sous ses cheveux mouillés.

«Eh bien Laura, je suis une femme compatissante mais d’un certain âge. C’est juste que ça prend plus de temps pour moi de prendre du plaisir que pour une salope comme toi ! Tu penses que si je te laisse essayer, tu pourras peut-être. . . . me faire jouir? Si tu y arrive, peut-être que de mon côté je pourrai utiliser la pompe jusqu’à ce que tu jouisses toi !»

«Oh s’il vous plaît, Mme Adams, je sais que je peux. Je vais faire un bon travail. Je le promets. S’il vous plaît ! », supplia Laura. «S’il vous plaît, laissez-moi essayer. S’il vous plaît. »

«Bon, d'accord, je vais te laisser essayer», déclara Mme Adams un sourire aux lèvres, en ramassant les vêtements de Laura et et en gardant en main la pompe. Elle les rangea soigneusement dans le bas d’un tiroir de son bureau, puis retira sa culotte noire. Elle allait aussi la ranger dans le tiroir, mais son regard croisa les yeux de la petite blonde, et elle décida de la placer sur la tête de la jeune fille.

«Goûte-moi, cochonne !», déclara Mme Adams en centrant l'entrejambe de sa culotte mouillée sur le visage de l’adolescente. Puis, avec un doigt, elle poussa le tissu de soie dans la bouche de la jeune fille l’obligeant à sucer. Laura gémit de plaisir.

«Laura, si quelqu'un passe par hasard dans le couloir et entend tes grognements et gémissements tandis que ma porte est verrouillée, elle pourrait s’imaginer des choses. Donc, je vais débloquer ma porte et tu vas te cacher sous mon bureau.»

«Attendez, je ne suis pas habillée!», pensa Laura. Mais la vieille femme était déjà lancée vers la porte. Laura bondit hors de la chaise, puis fila sous le bureau, alors que Mme Adams ouvrit la porte.

Mme Adams retourna à sa chaise, regarda la blonde agenouillée et sourit. Elle ramassa le chandail en cachemire de Laura et l'étendit sur le siège de sa chaise. «Inutile de mouiller ma chaise», pensa-t-elle, en soulevant l'arrière de sa robe et en s’asseyant sur son cul nu. Puis elle enleva sa culotte de la tête de Laura.

«Maintenant que tu as bien reniflé l’odeur de ma chatte dans ma culotte, tu vas pouvoir passer à la vraie ! », dit-elle. «Tu vois, maintenant, je peux mettre mes jambes sur tes épaules . . . . comme ça !», dit le professeur en plaçant ses cuisses sur les épaules de la blonde et en glissant vers l'avant, collant sa chatte humide et poilue sur le visage de la jeune fille complétement soumise.

«Maintenant, tout ce que j’ai à faire, c’est mettre ma jupe au-dessus de ta tête, tandis que tu vas essayez de me faire plaisir, bien à l’abri des regards indiscrets. De cette façon, si quelqu'un arrive, tout ce qu'il va voir, c’est moi, juste assise ici en train de classer des documents toute seule».

Laura, était très embarrassée d'être dans une pièce porte ouverte, cachée nue sous un bureau, préposée au plaisir d’une femme plus âgée, mais elle était au-delà de se soucier des risques encourus. Toute la concentration de Laura était centrée sur sa chaude et humide chatte frustrée.

Alors que Laura commença à lécher la chatte de la femme plus âgée, Mme Adams pensait : «Mmmmm. Je me suis toujours demandé comment ces phallocrates se sentaient quand une secrétaire bimbo se mettait à genoux et leur faisait une pipe ».

«Ahhh putain! C’est normal qu’une femme libérée comme moi, obtienne ce petit plaisir. Oh oui, j’ai attendu ce moment depuis dix-neuf ans . . . .! »

«Ahhh! », gémit Mme Adams. Puis, en regardant vers le bas, elle vit que son esclave personnelle se masturbait son clitoris. «Petite salope égoïste ! Concentre-toi sur la tâche à accomplir! ». La femme attrapa les mains de Laura, les plaça sur la chaise, sous son cul, puis s’assit sur elles.

N’étant plus en mesure de se faire plaisir jusqu'à ce que la vieille dame soit satisfaite, Laura était motivé à travailler encore plus dur. Elle tourna toute son attention sur la chatte de son enseignante, et travailla de sa langue et de ses lèvres avec enthousiasme alors qu'elle essayait de suivre les ordres exigeants de son professeur.

«C’est ça. C’est cela ma fille! », l’encouragea Mme Adams, "passe bien ta langue sur mon clito. Maintenant, en bas et pousse-la dans ma chatte. »

«Oh! Oui salope! Suce maintenant. Non, non, d'avant en arrière . . .  Puis de côté. »

La femme corrigeait son élève servile dès qu’elle lui déplaisait en lui tordant douloureusement une oreille ou un mamelon.

Pour la récompenser, elle lui massait ses petits seins ou caressait la chatte glabre de l’adolescente avec ses orteils recouverts de ses bas. En seulement 40 minutes, Laura léchait la chatte de son professeur comme une pute professionnelle.

«Oh, mon DIEU», pensa Laura, «quelqu'un est à la porte. Elle essaya de lever la tête, mais elle cogna le bureau, juste sous l'ordinateur. Mme Adams glissa encore plus sa chaise sous le bureau afin de bien caler la fille entre ses cuisses. Laura glissa en arrière aussi loin qu'elle le pu, mais ce n’était pas assez. Enfin, elle dû s’accroupir sur le plancher sale, tête entre les cuisses de son professeur.

«Oh, c’est toi Susan. Entre. Entre et prends un siège. Maintenant, qu’est-ce que je peux faire pour toi? », demanda doucement Mme Adams.

«Oh Non! C’est Susan Riggs. Elle est membre de la sororité». Laura était horrifiée. «Elle ne peut pas me trouver comme ça! Je vais mourir !».

Laura paniquait, mais tout ce qu'elle pouvait faire était de rester le regard fixe, parfaitement immobile, le visage plaqué sur les polis emmêlés et humides et les lèvres roses épanouies du sexe de sa tortionnaire. Elle essaya de relever la tête, mais Laura sentit alors la vieille femme lui tordre son oreille.

«Oh Non mon DIEU! Elle ne peut pas vouloir que je continue à la lécher maintenant! », pensa Laura.

Mme Adams persista et continua à tordre l'oreille de plus en plus cruellement. Enfin Laura se résigna et commença à lécher les lèvres entrouvertes en face de son visage.

Pendant tout ce temps, Mme Adams bavarda avec Susan comme si de rien n’était.

Concentrée à lécher la chatte de son professeur sans faire de bruit tout en se frottant le sexe sur un des pieds de la chaise telle une chienne en rut, Laura perdit conscience du temps et de la conversation au-dessus d'elle. Elle revint à la réalité quand elle sentit le pied de la chaise être brutalement arrachée de son sexe, alors que Mme Adams reculait sa chaise.

La femme plus âgée souleva sa robe et écarta ses jambes Elle tira Laura par ses oreilles pour lui plaquer de plus belle son nez sur sa chatte.

«Elle est partie maintenant! Fais-vite ! . . . .  Fait... Moi jouir ma salope! », exigea Mme Adams.

Laura s’appliqua de nouveau. Elle travailla de sa langue et de ses lèvres douloureuses sur les lèvres musquées du sexe de son professeur.

 

«Oh mon dieu! C’est ça petite salope! Fais jouir maman... Oh je vais jouir salope de lesbienne. Oh- oh-oh... Je vieeeeeeeeeeeeeennnnns.... lèche tout, petite fille.... »

Laura était horrifiée par les propos de son professeur. Surtout, par l’insulte de lesbienne, mais l’adolescente était trop excitée pour s’arrêter

Son professeur tira à nouveau sur les oreilles de Laura, écrasant le visage de la blonde sur son sexe, puis, alors qu’elle jouissait, elle étouffa l’adolescente dans son jus. La jeune fille but avidement en silence, puis commença à lécher et nettoyer le sexe de son professeur comme elle avait appris plus tôt avec Déesse Gothique.

«Mmmmm... C’est bien. Nettoie Maman Nettoie. Avale mon jus avec ta petite langue de salope, petite chienne.»

«Reste où tu es Laura, pendant que je vais fermer la porte.», déclara Mme Adams, alors qu’elle se leva sur ses jambes tremblantes et verrouilla la porte.

L’adolescente se rendit compte avec horreur que la porte était restée ouverte ! Son cœur rata un battement.

«D'accord, je vais te donner ton dessert maintenant mon bébé. Allez, sort de sous ce bureau et de...». Mme Adams fut interrompu lorsque pour tenter de sortir de sous le bureau, Laura coinça accidentellement sa tête sous la robe de son professeur. "Ohh ! Tu aimes vraiment ma chatte ma belle ! »

Laura se libéra rapidement de la jupe, puis se leva. Elle était humiliée d’être nue et couverte des sécrétions de son professeur, alors que l'enseignante était habillée.

Mme Adams attrapa Laura par un bras.

«Bon, maintenant je veux que tu t’allonges sur le dos, sur mon bureau.»

Mme Adams s’installa à l'arrière du bureau et caressa les cheveux et les épaules de Laura, poussant gentiment la jeune fille à bien plaquer son dos sur le bureau.

«Ecarte tes jambes pour maman, je veux ton sexe glabre face ma chaise, bien accessible», ordonna l’enseignante.

Laura obtempéra, exposant son sexe gonflé et rouge, ouvert et offert à l'examen de son professeur lubrique. Mme Adams retira la pompe de son tiroir et s’assit entre les jambes de Laura.

«Pas assez bien, écarte toi mieux si tu veux jouir ma salope !», ordonna Mme Adams, tout en rabattant les jambes de Laura sur son torse et ses seins minuscules. Puis, l’enseignante appliqua enfin la pompe modifiée sur les lèvres gonflées de la jeune fille.

Lorsque la machine commença à pomper, les chairs du sexe de la jeune fille furent aspirées vers l'extérieur, dans le vide, et le jus de sa chatte recueillit dans la bouteille.

«Est-ce que ma petite fille aime avoir sa chatte aspiré? », demanda Mme Adams, même si elle connaissait déjà la réponse.

«Oh oui, madame! »

«La chatte de mon joli petit bébé remplit la bouteille avec son jus de salope. Qu'est-ce qu'elle va faire avec? », demanda l’enseignante perverse.

«Je ne sais pas», dit Laura. «OH! », s’écria-t-elle alors quand elle réalisa ce à quoi devait penser son professeur.

«Ma petite lesbienne va boire tout son jus de salope?»

«Ugh - Pas de p-p-s’il vous plaît, ne me fais pas faire ça»

«Je vais devoir arrêter la pompe ?», menaça Mme Adams.

«Oh, non s’il vous plaît madame! Je vais b-boire.»

«Vas-tu être la gentille petite salope lesbienne de maman? »

«Uh-huh. Je vais être votre petite...», commença à dire Laura en jetant sa tête de droite à gauche, alors qu’elle commençait à ressentir les vagues chaudes de plaisir se répandre dans son sexe.

«Ahhh... la belle lesbienne salope !»

Mme Adams souriait à pleines dents.

«Je vais manger votre ch . . .atte sous votre bureau», bégayait Laura.

«Ahhh... Je suis une leeesbienne perverse . . .  je mérite la feeessée...»

« . . . sur ton cul de salope oui. Tu vas souvent l’être», ajouta l’enseignante.

«Oh putain! Je suis viens madame .... oh ... oh ... oh ..... Je jouiiiiiiiiiiiiiiii»

Les sécrétions de Laura furent aspirées dans la fiole du tire-lait alors qu’elle étreignait étroitement ses genoux contre sa poitrine.

Lorsque Mme Adams retira la pompe de la chatte gonflée et rouge, la fiole était à moitié pleine des sécrétions de Laura. Elle porta la fiole à la bouche de la blonde et Laura grimaça et tourna la tête sur le côté.

Laura, semblait-il, était moins intéressée à donner suite à l'accord qu'elle avait donné dans un moment d’excitation.

«Bois chérie, ou nous allons devoir reprendre ta fessée», sermonna la femme plus âgée.

N’ayant pas le choix, Laura ouvrit la bouche et laissa l’horrible femme verser le contenu de la fiole dans dedans. Elle avala tout en essayant de ne pas recracher.

Lorsque la bouteille fut vide, Mme Adams obligea Laura à lécher le reste de ses fluides sur la paroi du récipient.

 

«Rappelle-toi qu’une bonne fille doit toujours nettoyer ses cochonneries Laura !»

L’enseignante jubilait.

«Eh bien, j’espère que tu as appris les bonnes manières et le respect aujourd'hui, jeune fille ! J’espère que cela t-a enseigné l'importance de l’obéissance. Je te verrai demain, rapidement. . . . Bonne soirée Laurie chérie.

Lentement, Laura remis sa jupe sur son corps endolori et n’ayant pas d'autre choix, son très humide et musqué chandail qui colla à ses petits seins. Enfin, dans un état second, elle quitta la pièce pour revenir à son dortoir. C’était comme si tout son monde avait été bouleversé. En seulement deux courtes journées la pauvre petite blonde était passée de snob froide mais allumeuse, fierté de sa mère, à la plus grande salope lesbienne du campus.

 

«Je vais devoir parler à Monique! Elle doit intensifier mon traitement . . . », pensa Laura, en entrant dans son dortoir.

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Les odeurs du Vice, par Couture - Communauté : Soumissions féminines
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Vendredi 13 février 5 13 /02 /Fév 22:09

Chapitre 7a : Mme Adams punit sévèrement Laura 1

 

Laura se précipita vers la classe de Mme. Adams, ouvrit doucement la porte, et s’assit dans la rangée arrière en faisant tout pour ne pas être vue. Quand elle eut finalement le courage de regarder en face d’elle, elle vit l'air renfrogné et désapprobateur de son professeur.

«Merde! », pensa-t-elle, « ça va être ma fête, cette vieille salope ne rate rien ».

Après la classe, Laura attendit Mme Adams afin de pouvoir la voir, juste derrière les autres filles qui attendaient également pour lui parler.

«J’avais l'habitude d'être une de ces filles qui restaient après la classe pour poser quelques questions en vue de se faire bien voir et marquer quelques bons points vite fait auprès de l'enseignante », se dit Laura. La jeune fille baissa les yeux et regarda le contour des culottes des autres filles ; consciente qu’elle n’en portait pas, ce qui réveilla son désir. «Mais maintenant, je suis juste une salope qui a envie d’être humiliée de se faire sécher le sexe par son enseignante.»

Laura se tenait là, les yeux baissés, alors que la dernière des filles quitta la classe.

« Et bien Laura, c’est gentil à toi d’être passée nous dire bonjour en classe ! », dit Mme Adams en rangeant les papiers sur son bureau, sans même lever les yeux sur la jeune fille nerveuse.

« Nous allons discuter de ton retard et nous occuper de ton problème de santé dans mon bureau. Suis-moi jeune fille ! ». Sans un regard en arrière, Mme Adams se retourna et marcha vivement vers son bureau.

Laura suivi son professeur sans discuter. Son regard tomba naturellement sur le cul plein et charnu de la femme qui se balançait en marchant. Laura pouvait voir le contour de sa culotte de dentelle à travers le sa jupe.

Quand elles arrivèrent à l'intérieur du bureau, Mme Adams s’arrêta à l'entrée et verrouilla la porte derrière Laura.

« Laura, je suis très fâchée. Ça fait 2 jours de suite que tu arrives en retard à mes cours ! »

Mme Adams grimaça et tourna son nez après avoir senti les cheveux de Laura.

« Après avoir fait Dieu sait quoi ! », ajouta t-elle.

Les yeux de Laura s’agrandirent et elle commença à se tordre nerveusement une mèche de cheveux autour de son index.

«Je suis désolée madame, mais vous connaissez mon état. C’est  . . . très difficile pour moi,» répondit Laura, en essayant de jouer la pauvre perdue.

« Eh bien, laisse-moi en juger ! Tu sais comment te positionner:.. Enlève tes vêtements et assieds-toi sur la chaise pour que je puisse voir à quel point tu es mouillée . . . ., je suis sûre que ta chatte est un vrai robinet qui fuit . . . je peux le sentir de là ou je suis ! », dit son professeur désapprobateur.

« Um-ah, c’était juste que j’étais tellement empressée de venir au cours Madame que je n’ai pas eu le temps de me nettoyer », murmura la blonde horrifiée, quand elle a réalisé qu’elle ne s’était même pas rincée après ses perversions avec Beth.

Pour retarder l’échéance aussi longtemps qu'elle le pouvait, elle a commencé à ne se dévêtir que très lentement. Puis, elle plia soigneusement chaque vêtement et les plaça sur le coin du bureau en bois de son professeur. Comme elle se pencha pour enlever ses chaussettes hautes, elle entendit Mme Adams dire : « Laisse tes mignonnes petites chaussettes Laura. Il ne sera pas nécessaire de les enlever »

Rougissante et n’osant relever les yeux du sol, la jeune blonde secoua la tête et s’assit sur la chaise en bois plaquant une cuisse contre l’autre.

«Laura», la réprimanda Mme Adams, «Tu sais que tes jambes doivent être par-dessus les accoudoirs ! »

Laura redoutait d’exhiber sa chatte glabre, mais elle obéit à son enseignante et plaça ses jambes sur les accoudoirs.

Mme Adams commença à tourner autour de la jeune fille rougissante, évaluant les différentes parties de son corps avec une règle plate en bois.

«Qu’est-ce qui est inscrit sur ta poitrine Laura? », demanda-t-elle en giflant le sein sur lequel était inscrit le nom et le numéro de téléphone de Beth avec sa règle en bois.

« Aïe euh, c’est une de mes amie que je suis censé appeler et  . . . ah  . . . . revoir à mon dortoir ce soir pour Ahh étudier. J’ai des problèmes de mémoires et je me suis dit qu’en l’écrivant sur mon sein . . . . . euh... quand je me changerais, ce soir, je serai sûre de ne oublier pas de l'appeler. »

« Uh-huh. Bien sûr, Laura », a déclaré Mme Adams sceptique. Sa voix ne semblait pas du tout convaincue.

Laura fut sous le choc en voyant son professeur prendre le téléphone de son bureau et faire un appel. Puis, après une courte période d’attente, elle a dit : « Salut Beth, c’est Mme Adams. Laura voulait que je te dise de venir la rencontrer à la salle 314 du bâtiment Parker ce soir à 08h00 à l'étude ». En souriant, elle raccrocha le téléphone.

« Il n’aurait pas été beaucoup plus intelligent de juste laisser un message? Eh bien, nous ne pouvons pas attendre trop de certaines personnes, n’est-ce pas Laurie? »

Mme Adams souriait cruellement

« Mon Dieu! Elle doit penser que je suis la blonde la plus stupide de la planète », pensa Laura, en hochant la tête pour indiquer son accord.

Mme Adams se pencha et effleura le sexe nu de Laura avec sa règle. « Je vois que tu ressembles encore plus à une petite fille maintenant. J’aime! Ça te va très bien ! »

«Avec tes petits seins, ta chatte glabre et tes vêtements d'écolière, si je ne te connaissais pas, je te donnerai à peine douze ans ! En tout cas, tu t’es comportée comme une petite fille aujourd'hui, quand tu ne m’as pas montré le respect approprié et que tu es arrivée en retard. Je pense que nous devons prendre les mesures qui s’imposent pour que cela ne se reproduise plus ! »

L’enseignant marqua un instant de silence.

«D'accord, si tu veux être une petite fille, nous allons te traiter tel quel! Lève-toi, va devant mon bureau et penche toi pour saisir le bord le plus éloigné avec tes deux mains »

L’enseignante, claqua une cuisse de la jeune blonde avec sa règle pour qu’elle ne traine pas

« Bonne fille !», dit Mme Adams en voyant que la blonde prenait la position. « Maintenant, garde tes jambes rapprochées si tu sais ce qui est bon pour toi. Reste complètement immobile et silencieuse, jusqu'à ce que j’ai terminé », commanda Mme Adams. « C’est ça ma fille. L’obéissance et le respect sont très importants pour les petites filles. »

Laura était très mal à l'aise avec cette nouvelle position. Elle ne pouvait pas voir Mme Adams ou ce qu'elle faisait, elle pouvait sentir ses muscles étirés et tendus, de ses chevilles à son cul nu. Ses seins étaient écrasés contre le bureau en bois.

«Pourquoi m’a-t-elle dit de me mettre dans cette position ? Elle ne peut pas me sécher comme ça », se demanda Laura. Puis, elle comprit : elle était sur le point d'être fessée  . . . pour la 1ere fois de toute sa vie  . . .  comme certaines petites filles.

« Eh bien Laura, ce soir, quand tu regardera tes petits seins, tu te souviendras de ton amie  - euh, Beth, mais, pour les prochains jours, lorsque tu essayeras de t’assoir, tu penseras à. . . . moi, et tu n’oublieras pas d’arriver à mon cours  . . .

Mme Adams posa sa longue règle plate sur les fesses blanches et tendres de Laura.

«  . . . . À L'HEURE ! »

« Oooo, s »il vous plaît... Non... OHH! », plaida Laura.

« Oooo, s »il vous plaît... »

Le coup de règle tomba en plein sur ses fesses sans défenses

SMACK!

« OW OW OW !!! ».  Laura fit un bond en avant sur le bureau faisant tomber les papiers de son enseignante alors qu'elle était allongée sur la surface du bureau et ramena ses deux mains sur ses fesses pour les protéger comme elle le pouvait.

«Mon Dieu! S’il vous plaît... Ça fait mal... S’il vous plaît! », supplia Laura, en se frottant ses fesses brûlantes et en remuant sa croupe.

« Laura! Une petite fille bien élevée sait se tenir ! Même lorsqu’elle est punie ! Tu as bougé et parlé sans y être autorisée, donc j’ai peur ce 1er coup ne compte pas ! », la réprimanda son professeur.

« Nous allons donc reprendre au début ! Nous pouvons continuer jusqu'à ce que tu reçoives les vingt-cinq coups de règle que tu mérites. J’espère que tu vas te comporter comme une femme adulte au lieu de l’enfant gâtée que tu parais être. Maintenant reprends ta position ! »

Laura rougit en entendant Mme Adams la considérer non comme une femme adulte mais comme une fillette désobéissante et gâtée.

«Eh bien, je vais lui prouver que je ne suis pas un enfant », se promit-elle, en revenant à sa position humiliante. Elle était déterminée à subir sa punition comme une adulte!

« C’est beaucoup mieux. Maintenant, tu comptes les coups, petite fille ! », ricana Mme Adams.

SMACK!

« Gasp... Euh... Une. »

« Bien, mon petit bébé ! »

SMACK!

« Owww... DEUX! »

« Bien ! Pour bien me montrer que tu comprends ta punition, remercie moi à chaque coup et dis-moi qu’à l'avenir, tu feras ce que je t’aurais dit de faire ma fille ! »

SMACK!

"TROIS!"

« Merci Mme Adams, je ferai ce que vous avez dit à partir de maintenant. »

« C’est bien ma fille, continue comme ça ! »

Les fesses de Laura tournaient à une teinte rouge foncé mais elle luttait pour garder ses mains sur le bureau et son cul en position pour sa punition méritée.

SMACK!

"QUATRE! Merci Mme Adams, je ferai ce que vous avez dit à partir de maintenant. »

SMACK!

« Awwwww. Pauvre bébé qui pleure ! », railla l’enseignante.

Humiliée par ses larmes qu’elle ne pouvait pas retenir et sa nudité, la volonté de Laura céda. Elle pleura ouvertement comme un bébé en face de la vieille femme.

SMACK!

"CINQ Merci Mme Adams, oui... Je pleure... Parce que ça fait mal! »

« Garde tes petites chaussures de fillette bien à plat sur le sol et ton cul bien haut Laurie! »

Les coups pleuvaient, encore et encore.

Le cul de Laura semblait maintenant être en feu.

"Noooooooooonnnnnnnnnnn! S’il vous plaît Mme Adams . . . . Je n’en peux plus . . . Je ferai tout... S’il vous plaît  . . . . arrêtez juste la fessée... », supplia la jeune fille en pleurant ouvertement. Elle avait abandonné sa position depuis longtemps

Mme Adams était bouleversée, à la fois par Laura et elle-même. Elle avait été tellement prise par la fessée de cette petite chienne gâtée qu'elle l’avait laissé abandonner sa position de soumission sans la reprendre. Même si la petite blonde avait l'air assez bonne à manger, vautrée sur le dessus de son bureau, pleurant comme une enfant, ce n’était pas une excuse pour devenir laxiste. Le but qu'elle espérait atteindre était beaucoup plus grand que sa propre excitation ou l'inconfort de cette sale mioche.

«J’ai attendu ce moment depuis dix-neuf ans, je dois garder le contrôle de moi-même», pensa le professeur.

« Laura, Laura, Laura », dit Mme Adams, «J’ai peur que ce coup ne va pas compter non plus. Si ta mère t’avait éduquée correctement, au lieu de te passer tout tes caprices d’enfant gâtée, rien de tout cela ne se serait produit ! »

« Règle numéro un : ne jamais abandonner une position de punition sans autorisation, jamais! », dit femme plus âgée devant le cul rouge maintenant lumineux de son élève, en se frottant les mains en sueur sur les fesses à vif de Laura.

Laura ne résista pas. Elle aurait fait n’importe quoi pour éviter de nouveaux coups de règles. En outre, les mains fraîches de l’enseignante sur son cul douloureux la soulageaient. Laura regretta que sa mère n’ait pas été plus sévère avec elle pour lui éviter une telle punition !

« Allez ma fille, lève-toi et nettoie le désordre que tu as fait sur mon bureau, et plus vite que ça ! », exigea Mme Adams, qui se tenait à côté de Laura, la menaçant de sa règle.

«Mon Dieu !», pensa Laura en baissant les yeux. Elle avait couvert le bureau de sa sueur, de ses larmes, de sa morve et de sa mouille. Laura regarda autour d’elle pour trouver une serviette, un tissus, ou quoi que ce soit, mais ne trouva rien. À contrecœur, elle ramassa son chandail en cachemire et se mit à essuyer, à nouveaux au bord des larmes à l’idée de perdre son cher chandail.

Consciencieusement, elle a essuya ses sécrétions sur le bureau.

Mme Adams inspecta son travail.

«Très bien Laura, au moins tu es bonne pour le ménage. Mais il se fait tard et j’ai un autre rendez-vous, nous devons donc finir ici. Allez ! Vas sur la chaise ! . . . D'abord, pose ton chandail sur le siège de la chaise. Cela va évitera à tes jus de salir ma jolie chaise propre, petite fille».

Laura plaça son chandail sur la chaise et s’assit dessus. Puis elle écarta les jambes sur chaque accoudoir face à son exigeant professeur. Elle était encore totalement gênée de montrer son sexe ouvert à toute personne, même une autre femme. Cependant, la crainte de son sévère professeur poussait la fille timide à exposer son corps presque qu’avec enthousiasme.

«Voyons l’état de cette minette aujourd’hui ! Ouvre ces lèvres pour moi! », dit le professeur, alors qu'elle regardait la jeune fille descendre ses mains à contrecœur et écarter ses lèvres.

«Ugh! Une vraie fontaine ! Pire qu’hier ! Pourquoi, ta chatte fuit-elle comme un robinet ? Ha Ha. Je pense que je vais t’appeler * Laurie la fontaine*!», lança Mme Adams, en titillant le clito durci et sorti entre les lèvres écartées de Laura, faisant haleter la jeune fille.

Enfin, elle essuya sa règle trempée sur le visage de Laura.

«Eh bien, nous allons essayer de faire sécher ta chatte avant que ton état ne s’aggrave», déclara Mme Adams, en tournant son ventilateur de bureau vers le bas à lèvres, vers le sexe offert de Laura.

 

«Tu sais Laura, ou devrais-je dire, * Laurie la fontaine*, je pense que j’ai eu une idée pour extraire les jus qui se cachent à l'intérieur de ta chatte».

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Les odeurs du Vice, par Couture - Communauté : Soumissions féminines
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Mercredi 11 février 3 11 /02 /Fév 21:29

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Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Fansadox: Confiscated Twins - Communauté : Soumissions féminines
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Dimanche 8 février 7 08 /02 /Fév 21:42

Interlude 5 – L’asile

Samantha était une fois de plus entravée dans une camisole de force, mais cette fois la sangle sous son entrejambe était dénouée et les godes étaient retirés. A leur place, la verge d’un gode ceinture porté par le Docteur Zanier lui pistonnait l'anus brutalement.

A chaque coup de boutoir, le médecin claquait le cul de sa patiente avec violence.

Les médicaments qu'elle avait dû prendre rendaient l'expérience encore pire. On lui avait donné  du LSD ou un hallucinogène parce qu'elle sentait et voyait les choses. Elle était terrifiée à l’idée de s’étouffer car sa tête était maintenue dans un carcan en bois fermé par un cadenas.

"J’aime tellement cette partie de mon travail.", se dit le docteur Zanier alors qu’elle pistonnait le cul offert et sans défense de Samantha.

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Tammy et Gwynn, par Annie The Slick - Communauté : Soumissions féminines
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Samedi 7 février 6 07 /02 /Fév 21:21

Chapitre 5b Tammy fait du shopping au centre commercial : shopping à la boutique de chaussures.

A l'entrée de la boutique de chaussures, elles virent l’amie de Gwynn, Ambre,  la propriétaire de la boutique.

"Ambre, c’est si bon de te revoir.", lança Gwynn en lui faisant la bise.

"Toi aussi Gwynn. Je dois partir, mais ma jeune vendeuse Kelli est là et va s’occuper de toi.", répondit l’amie de Gwynn en se tournant vers Tammy, debout, docilement à côté de sa tante.

"Donc, c’est là ta petite nièce lesbienne. Tu es certaine qu’elle est bien lesbienne?", demanda la vendeuse.

Tammy se demanda comment est-ce que cette femme savait qu'elle était lesbienne. Elle ne l’était pas ! Elle voulait le dire, mais sa tante prit la parole de suite.

"Oui, une lesbienne comme sa mère. Elle est prête pour ses essayages. Et pour ce que nous avons prévues, il suffit d'attendre pour mon texto."

"Merveilleuses nouvelles ! J’attends avec impatience les résultats et la nouvelle relation que cela va créer." Les deux femmes éclatèrent de rire, s’embrassèrent à nouveau et se séparèrent. Tammy avait écouté mais ne comprit pas ce dont elles avaient parlé. Tout ce qu'elle savait, c’était que si sa tante était impliquée dans quelque chose, ça ne pouvait pas être une bonne chose.

C’est alors qu’une jeune fille sortit de la remise et entra dans la boutique en portant une pile de boîtes à chaussures qu’elle fit tomber en trébuchant.

"Merde!", s’exclama la jeune fille, avant de porter sa main à sa bouche.

"Désolée."

Gwynn jeta un regard désapprobateur vers la fautive. L’adolescente était habillée d’un uniforme de vendeuse, pantalon et chemiser, de couleur crème. Elle avait des cheveux bruns raides et était assez mignonne. Gwynn releva tout cela et aussi que la jeune fille était un peu trop plate pour ses goûts, mais son amie Amber aimait les filles minces et plates qui faisaient petites filles. Gwynn pour sa part appréciait les femmes avec une belle paire de seins et des formes sensuelles. Sa petite Tammy était bien dotée pour une ado de 16 ans.

Gwynn tourna son regard vers Tammy.

"Tammy chérie, vas aider cette pauvre fille à ramasser ses chaussures."

Tammy alla jusqu'à la jeune fille et se mit à genoux avec précaution afin que sa jupe ne remonte pas trop et ne dévoile ses fesses nues. Elle prit une boîte et la posa sur la pile que la jeune vendeuse avait reconstituée.

Kelli et Tammy se regardèrent.

"Merci", dit la jeune vendeuse d'une voix calme.

"De rien.", répondit Tammy d'une voix calme, presque identique.

La jeune fille se releva et déposa les boîtes à chaussures sur le comptoir.

Puis, elle se tourna vers Gwynn et Tammy.

"Puis-je vous aider?", dit-elle.

"Oui, vous pouvez. Ma nièce Tammy a besoin de nouvelles paires de chaussures. Nous venons de jeter toutes ses chaussures de petites fille donc elle a besoin de plusieurs paires. J’aimerais une paire de sandales, de belles chaussures de sport, des chaussures d’appartement, et des souliers hauts talons et j’aimerais ne pas perdre beaucoup de temps.", dit Gwynn d'un ton dédaigneux.

"Oui Madame", répondit Kelli.

"Oh mon Dieu", pensa Gwynn, "elle va être parfaite pour Amber".

Kelli indiqua à Tammy ou s’asseoir et apporta quelques paires de chaussures pour les essayer. Tammy s’assit et essaya en vain de garder ses jambes bien fermées et sa jupe tiré aussi bas que possible, mais c’était sans espoir. Malgré tous ses efforts, la jupe minuscule remonta de quelques centimètres le long de ses cuisses et elle sentit les lèvres de sa chatte toucher le coussin en sky du siège. Elle paniqua, ses mains tendues sur l'ourlet de la jupe, tirant tellement vers le bas que la jupe descendit en dessous de ses hanches, mais au moins c’était mieux que de laisser la vendeuse voir quoi que ce soit. Tammy était mortifiée!

Alors que la jeune vendeuse voulait lui mettre une chaussure au pied pour l’essayer, Tammy essaya en vain de garder ses jambes étroitement serrées. Mais quand Kelli s’agenouilla devant elle et glissa une chaussure à un pied, cela s’avéra impossible. Ses jambes durent s’écarter légèrement pour permettre à la jeune fille de passer la chaussure. Elle garda ses jambes serrées autant qu'elle le pouvait, mais quand Kelli ramena la paire de chaussures de sport l’inévitable se produit.

Kelli insista pour lier les lacets de la paire de tennis et tira le pied de Tammy sur son genou. Le mouvement força les jambes de Tammy à s’écarter très légèrement, juste assez pour un aperçu entre ses cuisses. Les yeux de Kelli tombèrent sur les lèvres humides du vagin de Tammy ... Elle ne put dans un 1er temps croire à ce qu’elle voyait : la jeune fille ne portait pas de culotte ! Soudain son cœur se mit à battre plus rapidement et sa bouche devint sèche.

Elle avait du mal à se concentrer pour regarder vers la paire de tennis et nouer les lacets. Pendant ce temps Tammy se mordait la lèvre et priait pour que la vendeuse ne s’aperçoive pas qu’elle avait la chatte à l’air.

"S’il vous plaît, s’il vous plaît, oh s’il vous plaît mon Dieu, ne laissez pas son regard aller sur ma chatte, s’il vous plaît ... ", ne cessait-elle de répéter dans sa tête.

Mais il était déjà trop tard : Kelli avait découvert le pot aux roses. Elle lâcha la jambe gauche de Tammy et a pris sa jambe droite, cette fois en se déplaçant vers la droite afin d’écarter un peu la jambe de l’adolescente et lui donner ainsi une meilleure vue du sexe de la jeune fille. Elle ne put maitriser son expression et ses yeux qui s’écarquillèrent à la vue de la jeune chatte exhibée et elle sentit un picotement dans sa propre chatte, signe que la scène l’excitait.

C’est alors que Gwynn intervint.

"Êtes-vous en train de regarder la chatte de ma nièce ?!"

Kelli réalisa soudain qu’elle avait été prise sur le fait.

"Oh ... mon, non, non je suis euh ...", bredouilla-t-elle en lâchant la cheville de Tammy.

Tammy referma ses cuisses et fixa des yeux de biche apeurée sur sa tante.

"Et bien, la vue ne vous plait pas ? C’est une chatte trop laide?"

"Non, madame, je veux dire oui madame, je ne veux pas ..."

"Est-elle laide?"

"Non Non Non elle est belle.", dit Kelli en rougissant.

"Oh la chatte est laide alors ?",  ajouta Gwynn en faisant un pas vers la Kelli.

"Oh non je ne veux pas dire que, je ... non ..."

"Elle n’est pas laide? Alors dites-le !"

"Dire quoi madame ?"

"Dites-lui ce que vous pensez de sa chatte !"

"Je euh ... quoi?"

"Vous étiez en train de reluquer la chatte de ma nièce, je pense que vous devriez la remercier et lui dire ce que vous en pensez.", expliqua Gwynn en faisant un nouveau pas vers la vendeuse.

Gwynn était maintenant juste à côté de Kelli. Elle mit sa main sur la tête de la jeune fille et se tourna pour faire face à Tammy.

"Son nom est Tammy."

"... Tammy . . . Tammy vous, euh, vous avez une jolie chatte."

"Bien ! Maintenant Tammy que dis-tu quand quelqu'un te complimente aussi gentiment ? "

"Merci", déclara Tammy docilement. C’était horrible ! Ou sa tante voulait-elle en venir? Elle baissa la tête, résignée.

"Vous avez sans aucun doute remarquée quelque chose dans l’attitude de ma nièce. Sa tenue de salope, le fait qu’elle ne porte pas de culotte . . . . Je suis gênée de l'avouer, mais c’est un fait bien connu . . . elle est lesbienne.", dit Gwynn.

Tammy réagit presque comme si elle venait de recevoir un coup à l'estomac : elle venait de comprendre que c’était le début d'une nouvelle humiliation pour elle aux mains de sa tante. Elle commença presqu’à pleurer, mais se retint, certaine que les larmes ne ferait qu'empirer les choses.

"Elle est gay?", s’exclama Kelli en regardant Gwynn.

"Eh bien, son gynécologue et du son psychologue ont diagnostiqué des tendances homosexuelles graves. Elle a probablement déjà fantasmé de vous faire l'amour !"

"Vraiment ?!". Kelli regarda Tammy avec de grands yeux et se redressa.

«J’en ai bien peur, il n'y a rien que nous pouvons faire, j’essaie juste de garder sa libido au sein de certaines limites de bienséance, mais c’est difficile car c’est une fille très sensuelle. Elle a de gros besoins sexuels !».

"Donc, vous pensez qu'elle est excitée en ce moment?"

"Oh oui ! Elle l’est quasi en permanence !"

"Pensez-vous, comme peut-être qu'elle avait ... je ne sais pas ... veux ... vous savez."

"Oh ! Vous êtes une coquine Kelli !", sourit Gwynn. «Je suis certaine de deviner ce que vous avez à l'esprit ! "

Puis se tournant vers Tammy

"Tu trouves Kelli à ton goût Tammy ? "

Tammy ne pouvait pas croire à la conversation qu’elle entendait. Elle leva les yeux vers sa tante pour répondre. La fessée brutale qu'elle avait reçu était encore dans son esprit, en fait, ses fesses lui faisaient encore mal. Elle regarda la vendeuse et répondit : "Oui ma tante."

"Tu l’embrasserais si elle était d’accord?"

"Oui ma tante."

Kelly éclata de rire et mit sa main à sa bouche.

Gwynn se plaça derrière Kelli et se pencha au-dessus de l'épaule de la vendeuse.

"Tu veux lui sucer ses mamelons?"

"Oui ma tante.". Que pouvait faire Tammy sinon obéir ? Désobéir à sa tante lui apporterait douleur et une humiliation encore pire à coup sûr. Elle se résigna à son sort . . .  s’humilier.

La bouche de Kelli était ouverte de surprise et elle eut un petit vertige. Elle se figea sur place en écoutant Gwynn parler.

"Ma petite gouine, tu veux lui manger sa chatte si elle te le demande gentiment?"

"Oui ma tante.". Tammy baissa la tête légèrement. Elle allait être utilisée de nouveau. Cette fois, par une étrangère.

Kelli respirait fort, elle ne pouvait pas croire que cette fille, plus jeune qu’elle, ferait ce genre de chose.

"Et si Kelli te le demande gentiment et dit s’il te plaît, tu pourrai lui lécher son trou du cul aussi?"

"Oui ma tante.". Tammy se cachait derrière ses cheveux qui pendaient. "Non, non, pas ça, elle n’allait pas le demander ! Le ferait-elle vraiment si elle le demandait? Avait-elle le choix?

Gwynn parla doucement à l'oreille de Kelli : «Est-ce que cela répond à vos question Kelli?"

"-o-o oui."

"Alors Kelli . . . ", demanda Gwynn en mettant son bras autour de la taille de la vendeuse.

". . .   si vous aviez un bureau privé ou une salle de magasin, un endroit privé . . .  ce serait l’occasion de laisser un vilaine fille comme vous obtenir quelques minutes de  récréation. Qu’en dites-vous? "

"I..I ... euh, je veux dire, je ne sais pas."

"Regardez-la Kelli". Gwynn tourna le regard de Kelli en saisissant son menton. "Regardez, là, vous avez devant vous une lesbienne qui est déjà en train de rêver de vous lécher la chatte, ici, en ce moment. . . .  Carpe Diem! "

«Je ... mais ..."

"Vous allez le regretter si vous ne le faites pas. Laissez-vous aller !"

«Je ... Je ne sais pas". Kelli léchait ses lèvres d'indécision, mais sa chatte avait des picotements d'excitation et la femme à côté d'elle semblait formuler ses propres pensées à haute voix, exprimer ses pensées et ses désirs.

"... mais je suppose que je pourrais verrouiller la porte d'entrée.", dit-elle alors.

"Super, allez-y maintenant, avant que du monde entre dans le magasin."

Kelli se dirigea vers la porte d'entrée dans un état second.

Alors que Kelli marchait jusqu'à la porte d'entrée, Gwynn se pencha et pinça violemment un des mamelons de Tammy à travers le tissu fin de son débardeur et le tira en l’air.

"EEEEEEK", cria Tammy.

Kelli regarda en arrière, mais tout ce qu'elle a vit était le dos de Tammy et Gwynn qui lui souriait. Elle se retourna et a continua à marcher vers l'avant du magasin.

Gwynn tordit le mamelon dur et se pencha à l'oreille de sa nièce.

"Tu vas faire  tout ce qu'on te dit de faire salope!", et elle tordit le petit mamelon encore plus fort.

"Ou je vais être obligée de fouetter ton petit cul de lesbienne à la canne ce soir jusqu'au sang !", ajouta t-elle un sourire de crocodile aux lèvres.

Elle lâcha le mamelon de Tammy alors que Kelli arriva à la porte d'entrée et la verrouilla en retournant la pancarte "ouvert / fermé". Elle se retourna et se dirigea vers les deux femmes, inconsciente de l'intimidation et de la douleur qui venait d'être infligées à Tammy. Gwynn lui sourit à pleines dents.

"Excellent !", déclara Gwynn en attrapant la main de Tammy. "Suivons Kelli."

Kelli hocha la tête distraitement, puis les amena dans la remise du magasin.

Un bureau et deux chaises étaient placés dans cette remise pour servir de bureau de travail. Une fois toutes les trois à l'intérieur du local, Gwynn ferma la porte.

Kelli ne savait pas quoi faire, elle se tenait au milieu de la pièce les bras le long du corps, nerveuse.

"Je ... euh ... ", begaya t-elle en rougissant.

"Calme-toi . . . tu vas voir comme ça va être amusant . . . ce sera un beau souvenir.", dit Gwynn.

"Nous avons ici une fille qui est curieuse, qui est intriguée et je dois dire TRÈS excitée sexuellement", ajouta Gwynn en mettant une main sur l'épaule de Kelli.

"Et nous avons une autre fille qui est une lesbienne forcenée, qui ne pense qu’à baiser avec  filles et femmes", compléta t-elle en mettant son autre main sur l'épaule de Tammy.

"Il y a donc de quoi vous satisfaire mutuellement !", conclu t-elle en souriant

Kelli hocha la tête pour montrer son accord. Elle ne pouvait pas croire ce qui se passait. Elle ne pensait pas qu'elle était lesbienne. Certes, elle avait fantasmé pendant son travail sur les jolies femmes et admiré leurs charmes. Mais elle avait aussi eu un petit ami et baisée avec lui  . . . . . . . mais aussi une petite amie, pour un peu de temps ... à l'école secondaire. Une simple expérience !

Certes, elle avait déjà fantasmé sur des femmes marchant dans la rue, mais cela ne faisait pas d’elle une lesbienne !

Certes, elle avait déjà fantasmée sur sa patronne . . . elle était curieuse, un peu bi ... mais pas gay. Elle avait des fantasmes de garçons aussi ... pas récemment ... elle ne se souvenait pas la dernière fois ... depuis ... eh bien, elle doit avoir eu des fantasmes de garçons.

"Kelli semble prête Tammy . . . qu’en dis-tu ? Tu es prête à satisfaire ses besoins?"

Tammy voulait de tout son être dire non, crier et courir, se cacher sous le bureau. Elle ne voulait pas le faire, elle voulait rentrer à la maison, mais le regard de sa tante, son sourire carnassier et la douleur dans son mamelon qui commençait seulement à s’estomper, cassèrent ses rêves d'évasion. Elle ne voulait pas être soumise à une bastonnade. La fessée lui avait fait tellement mal qu’elle imaginait à peine la douleur que provoquait la canne. Encore une fois, elle voulait que sa mère soit avec elle. Elle n’était cependant pas sûre que même sa mère puisse la protéger contre sa tante.

Ainsi, elle dit «oui» d'une toute petite voix.

Gwynn lui rendit son sourire et se tourna vers la jeune vendeuse.

"Voilà  Kelli, Tammy est à ta disposition . . . demande lui un baiser."

Nerveuse, Kelli leva les yeux vers Gwynn qui souriait et hocha la tête. Kelli déglutit encore de nervosité et dit : "Tammy, t..t ... veux ... m’ embrasser ? ", levant les yeux vers l’adolescente, embarrassée.

Tammy jeta un coup d'œil rapide à nouveau à sa tante et le reflet dans l'œil de Gwynn était tout ce qu'elle avait besoin de voir: c’était un avertissement clair de ce qui allait suivre si elle n’obéissait pas. Tammy acquiesça. Kelli fit un pas hésitant vers Tammy. De près, la nièce de Gwynn réalisa soudain qu’elle était plus grande que la vendeuse. Kelli devait avoir au moins cinq ans de plus qu'elle, mais faisait vraiment petite fille par rapport à elle. Elle était plus mince, plus petite et Tammy réalisa que Kelli avait beaucoup des seins beaucoup plus petits. Tammy se colla finalement contre Kelli. Elle sentait la jeune fille frissonner légèrement.

"Wow, je la fais trembler d’excitation ! ", se dit-elle

Elle mit ses bras autour de la taille de Kelli. La vendeuse se sentait comme une observatrice. Elle ne pouvait pas croire qu’une fille était plaquée contre elle, mais elle sentait pourtant  son corps mou contre le sien, la chaleur de ses seins contre sa poitrine plate, les bras légèrement lâches autour de sa taille, ses cuisses la touchant légèrement et l'odeur ... mon dieu l'odeur de la fille ... Kelli pouvait sentir son sexe, la fille dégageait une odeur de chatte en chaleur ! Les yeux de Kelli roulèrent dans leurs orbites d'extase.

Elle prit une inspiration tremblante . . .

Tammy se pencha lentement, et plaqua ses lèvres contre celles de la vendeuse. Kelli sentit une petite étincelle, elle pensa que c’était un peu d'électricité statique. Et puis les lèvres féminines et douces de Tammy rencontrèrent les siennes. La douceur des lèvres de Tammy était délicieuse, comme une brise d'été enveloppée de fraises. Kelli mit ses bras autour de Tammy et commença à l’embrasser profondément.

"Bien . . . bien !", dit Gwynn en voyant les 2 filles s’embrasser.

Gwynn marchait tranquillement autour des filles pendant qu’elles s’embrassaient. Elle se plaça derrière la jeune vendeuse et commença à déboutonner le chemisier de la jeune fille. Rapidement, elle la déboutonna complétement, puis a commencé à le tirer de son pantalon. Kelli pensait résister et  commença à se dégager des baisers passionnés de Tammy, mais Gwynn dit :"Chut, laisse toi aller et profite de l'instant."

Gwynn libéra une manche à la fois et rapidement Kelli se retrouva torse nu, seulement en soutien-gorge. C’était un beau soutien-gorge beige. Gwynn relâcha rapidement le fermoir et Kelli se retrouva torse nu dans les bras de Tammy, seins à l’air.

Tammy se libéra des lèvres de Kelli.

"Kelli?", dit Gwynn, "N’oublie pas ce que tu avais envie de demander à Tammy !"

Kelli hocha la tête.

"Demande lui maintenant."

"T..t ... s’il te plaît ... tu peux me sucer mes m ....", balbutia Kelli.

"Oh, mon Dieu !", s’exclama Gwynn exaspérée : "Suce lui ses seins Tammy!"

Tammy se pencha et mis ses lèvres en contact avec le mamelon droit de Kelli et commença à le sucer. Kelli pencha sa tête en arrière

"Mon ooohhhh. Ohhhh Ouuuiiiii!". Elle tenait doucement l'arrière de la tête de Tammy qui commença à sucer son mamelon et puis l'autre. Kelli avait la poitrine de Tammy lorsqu’elle avait 12 ans.

Tammy sentit une inversion des rôles, comme si elle était la femme plus âgée séduisant une jeune fille. Il était facile d'imaginer qu’elle était plus âgée que Kelli. Elle avait des seins plus féminins que Kelli, elle avait des hanches plus pleines et un cul plus rond. Kelli était beaucoup plus mince, plate et avait des fesses également plates. C’était comme si elle était l'amante expérimentée ... jusqu'à ce qu'elle réalise avec un choc qu'elle était la plus expérimentée. Tout d'un coup, elle se rendit compte qu’elle était excitée, contre sa volonté, de prendre la chatte de la vendeuse et commença à sucer les seins de Kelli avec brio. Elle ne voulait pas se sentir comme cela, elle se battit contre ce sentiment, mais elle ne put résister.

Gwynn se rapprocha à nouveau de Kelli, défit sa ceinture puis la boucle et la fermeture éclair du pantalon de la vendeuse, et le laissa tomber au sol. Gwynn fit un pas en arrière et admira le cul de la jeune fille. Kelli avait un sous-vêtement blanc style shorty qui moulait son petit cul plat de fillette. Une fois de plus Gwynn n’approuvait pas les goûts de son amie Amber en matière de femme. A côté de Tammy, Kelli ressemblait à une enfant, mais elle devait admettre que le côté petite fille de la jeune femme était assez excitant.

"Très jolie culotte Kelli ! Jette un coup d’œil Tammy.".

Tammy savait qu'elle devait obéir à sa tante et s’arrêta donc de sucer le mamelon de Kelli. Elle fit un pas en arrière. Gwynn attrapa sa main et l’éloigna un peu plus et avant que Kelli ne réagisse, cliqua sur son Iphone.

"Superbe !"

"M..m..mais . . .  Je suis presque nue !, s’exclama Kelli

Gwynn sourit.

"Ne t’inquiète pas, c’est juste pour le plaisir de Tammy, elle aime reluquer des photos de filles nues quand elle se masturbe."

Kelli se tenait au milieu de la petite chambre, choquée d'être presque nue devant deux autres femmes. Elle jouissait des suçons de Tammy sur ses mamelons et les baisers étaient super. Elle était totalement confuse.

Clic, clic

Deux autres photos.

"Maintenant, pourquoi ne pas t’asseoir sur la chaise pour que Tammy s’occupe de toi comme une vraie lesbienne ?"

Gwynn n’attendit pas que Kelli obéisse, mais avec douceur et fermeté elle l'attrapa par le bras et la posa sur la chaise.

"Tammy, retire la culotte de Kelli. Nous n’avons pas toute la journée."

Tammy se rapprocha de Kelli mais était indécise. Allait-elle le faire? Elle savait au fonds d’elle même qu’en obéissant maintenant elle était condamnée à lécher les chattes d’une infinité de femmes et filles.

Gwynn souleva la jupe de Tammy et la fessa deux fois de façon violente et rapide.

SMACK SMACK!

Kelli fut surprise par l'action de Gwynn, mais elle était encore dans le brouillard et resta docilement assise sur la chaise.

"Prends sa culotte!", ordonna Gwynn.

Tammy sursauta sous les claques. Elle n’avait plus le choix.

Tammy se pencha légèrement, accrocha ses doigts dans l'ourlet de la culotte de la vendeuse et tira vers le bas. La chatte de Kelli était exposée dans toute sa gloire aux deux autres femmes. Kelli était tout d'un coup très consciente de sa nudité et porta ses mains sur son sexe pour le cacher aux regards de Tammy et Gwynn.

"Non, non, non, Kelli, ne soit pas gênée, tu as une très jolie chatte. Et tu as devant toi une fille capable de vraiment l'apprécier !"

Kelli, hésitante, retira ses mains et écarta lentement ses jambes, exhibant son sexe à Tammy et Gwynn. La chatte de Kelli était surplombée par un petit triangle de poils pubiens. Ses lèvres étaient roses et humides et légèrement décollées ce qui invitait la langue ou le doigt à enquêter plus profondément.

"Tu vois Tammy?", dit Gwynn. "Regarde comme la chatte de Kelli est impatiente, comme elle te supplie de la lécher."

Mais Tammy se tenait encore debout, hésitante, tenant la culotte de la vendeuse en mains, ne sachant pas quoi faire ensuite. Elle ne pouvait pas croire ce qui se passait. Elle se tenait debout entre les jambes d'une fille nue en étant presque nue elle-même. Sans en être consciente, elle baissa les yeux vers le sexe nu de Kelli. Mais elle ne pouvait se résoudre à lécher la chatte d'une inconnue, une étrangère, quelqu'un qu'elle venait de rencontrer il y a à peine 20 minutes. Elle ne voulait pas être une lesbienne, elle voulait juste être une fille normale.

Elle regarda sa tante, redoutant ce qu'elle serait forcée de faire ensuite, mais même dans son effroi, elle sentait l'excitation monter.

"A genoux! Honnêtement Tammy! Tu es lesbienne, tu dois savoir ce que tu dois faire pour lécher la chatte d'une autre femme. Je suis surprise que tu ne sois pas déjà en train de la broutter !".

Et tout en parlant, Gwynn fessa Tammy à nouveau.

SMACK

"A genoux !"

Les yeux de Kelli s’écarquillèrent alors que Tammy s’agenouillait entre ses jambes. Tammy posa ses mains sur les cuisses de la vendeuse, les écarta et se pencha afin de prendre le sexe offert en bouche. Elle commença à lécher. Kelli ne sut plus où donner de la tête lorsque l'adolescente fit voyager sa langue de haut en bas sur ses lèvres, puis grignota son clitoris, pénétra son vagin avec sa langue.

Elle était inconsciente que Gwynn la filmait avec son iPhone. Elle était perdue dans ses sensations.

Gwynn arrêta de filmer et envoya un texto à son amie Ambre.

"Gwynn: Kelli est dans la situation compromettante convenue

Ambre: ooooh. Délicieux. Que fait-elle ?

Gwynn: elle est nue aussi

Ambre: ah ouais?

Gwynn: elle a les jambes écartées

Ambre: yeah !!?

Gwynn: ma petite nièce est entre ses cuisses

Ambre: Oooooh ma!

Gwynn: et elle mange sa chatte

Ambre: super ! Je suis là dans cinq mn

Gwynn: ok."

Gwynn sourit en voyant sa nièce effectuer un cunnilingus sur Kelli. La vendeuse penchait la tête en arrière, son pantalon et sa culotte oubliés sur le sol. Ses jambes largement écartées, reposant maintenant sur les bras de la chaise et entre ses jambes, la bouche de Tammy pressée fermement contre sa chatte. La jeune fille travaillait furieusement sur la chatte de la vendeuse.

La jupe de Tammy était tellement remontée qu’elle laissait son sexe découvert et sa tante pouvait voir les lèvres roses et humides de sa nièce pointer entre ses cuisses. Gwynn dans son élégant pantalon de soie fit un pas de plus vers Tammy, se pencha et introduit délicatement son doigt du milieu dans les plis humides de la chatte de sa nièce. Tammy sursauta au toucher, mais garda la pause.

"Tu es trempée Tammy !", constata Gwynn alors que son doigt glissait dans la chatte de sa nièce, comme aspiré.

"Ooooh ! Il est entré en entier !", s’exclama  Gwynn avec désinvolture en commençant à faire glisser son doigt lentement dans et hors de la chatte de Tammy. Elle ajouta rapidement un deuxième doigt et commença à baiser l’adolescente qui continuait à sucer et lécher la chatte de Kelli.

Pendant ce temps, la porte de la remise s’ouvrit doucement. Ambre entra en silence et regarda Tammy manger le sexe de sa vendeuse en restant en retrait.

Kelli commença à se débattre, attrapa la tête de Tammy par derrière et tira son visage contre son sexe, écrasant fermement le visage de l'adolescent contre ses chairs. Kelli commença à gémir et finit par jouir.

"oooh oooh aahh ahh OHHH OHH OH!! OH MON DIEU !! OH DIEU JE VIENS !!!! AAAEEEeeeeeeeee!"

Gwynn accéléré son doigtage de la chatte de Tammy et la jeune fille trouva aussi son plaisir.

"mmmmmmm ... MMMMMMMeeeaahhhh!"

Elle gémit dans la chatte de Kelli, buvant son jus.

Amber se manifesta alors. Elle se tint les bras croisés, bien en vue. Une odeur de chatte humide flottait dans l'air. Gwynn aperçue Ambre, retira ses doigts du vagin de Tammy et fit un clin d'œil à son amie.

"Bien bien ! Qu'est-ce que nous avons ici ? Un couple de lesbiennes en chaleur? Comme c’est intéressant."

Kelli hurla, repoussa Tammy loin d’elle et essaya désespérément de se retrouver ses vêtements. Elle trouva sa culotte et son chemisier et commença à se rhabiller, mais Ambre attrapa son poignet et l'arrêta. Elle releva de force la jeune fille nue et la tira vers elle.

"Non, non, non, petite salope, pas la peine de te soucier de tes vêtements, nous avons beaucoup à discuter."

"S’il vous plaît ... s’il vous plaît, qu'allez-vous faire?", gémit Kelli.

"Je pense que nous allons discuter de changements importants ici."

Ambre se pencha et sans ménagement posa une main sur la chatte de Kelli. La jeune vendeuse se débattit brièvement, mais Ambre serra plus fermement son poignet et la secoua.

"Ne te débat pas ! Ca ne peut que faire empirer ta situation !"

Elle glissa son majeur dans les replis humides de la chatte de Kelli.

"Tu es tellement excitée et humide de te servir d’une jeune fille, une adolescente mineure !", s’exclama Ambre en glissant son majeur dans le vagin de la vendeuse.

"Et que devrait je faire avec toi? Te renvoyer? Te dénoncer à la police? C’est du viol ce que tu as fait salope! ", cria Ambre en commençant à bouger son doigt dans et hors de Kelli.

"Eh bien? Que dois-je faire ?!", demanda Ambre à nouveau avec plus d'insistance.

"Je ... ahh ... je ... s’il vous plaît arrêtez ... aaah ... s’il vous plaît ... ooooh ... aaaeeee ... oh mon dieu! Ooohhh!", cria Kelli en jouissant à nouveau sous le doigté expert de sa patronne.

Ambre s’assit sur la chaise et mit Kelli sur ses genoux.

"Que dirais tu  d'une bonne fessée pour commencer sale petite pute lesbienne !".

SMACK!

"OWEEEE!", hurla Kelli.

"Calme-toi ou je te fesse bien plus fort!"

SMACK!

Kelli se mordit la lèvre, mais ne hurla plus.

"Merci Gwynn.", dit Ambre

SMACK!

"Les chaussures que tu as essayé te plaisent?"

SMACK!

"Allez, prends les toutes ! Cadeau de la maison!"

SMACK! SMACK! SMACK! SMACK!

"N’oublie pas de fermer la porte derrière toi."

SMACK! SMACK!

"Nous allons rester fermé le reste de la journée."

SMACK! SMACK!

"Maintenant Kelli, laissez-moi t’expliquer comment tu vas devoir te comporter maintenant.. . . "

SMACK! SMACK! SMACK! SMACK! SMACK! SMACK!

Et avant que la porte ne se ferme, la dernière vue de Tammy fut Kelli encore penché sur les genoux de sa patronne Ambre, tête basse, qui pleurait alors qu’Ambre lui battait les fesses à la volée.

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Tammy et Gwynn, par Annie The Slick - Communauté : Soumissions féminines
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