Lundi 16 février 1 16 /02 /Fév 22:12

Chapitre 7b : Mme Adams punit sévèrement Laura 2

Le professeur ouvrit un tiroir de son bureau, et  sorti un dispositif en plastique curieux, qu'elle tint sous le nez de Laura.

«Cette chose est appelé un tire-lait, Laura. Les femmes l'utilisent pour pomper le lait de leurs seins pour nourrir leurs bébés».

Mme Adams sourit.

«Nous allons l'utiliser dans un but légèrement différent. J’ai modifié l’embout et nous allons l'utiliser pour aspirer tous ces jus qui engorgent ta chatte.»

Le professeur sourit de plus belle.

«Donc, c’est une bonne chose que tu aies rasé tes poils pubiens. De cette façon nous pourrons créer un vide sans être gênées. Maintenant tiens-toi bien alors que je... »

Mme Adams brancha l’appareil et plaça l’embout sur la chatte offerte de Laura.

«Oh! Oh! Ooooo merde! OH! Que c’est bon», pensa Laura, alors que la pompe commençait à sucer sa chatte en tirant la mouille qui partait dans une fiole en verre connectée à l’embout. L’appareil s’arrêta puis aspira à nouveau sa chatte.

«Oh !! Mon Dieu! Oh putain!». Laura en eut le souffle coupé. «Cette chose va me faire jouir !», pensa-t-elle.

«Est-ce que ça fait mal, Laura?», demanda le professeur amusée, en observant l’effet de son travail sur la petite blonde.

«Ahhhhh Non, non, ce ne est pas Ohhh -...... meeer. . . .», haletait Laura du plus profond d’elle même.

Mme Adams maintint la pompe contre le sexe de Laura, aspirant ses jus jusqu'à ce qu'elle vit que la pauvre fille était sur le point de jouir. Soudain, elle retira l'appareil à la dernière seconde.

Dès que Laura sentit la délicieuse vague chaude de plaisir commencer à imprégner son corps, la succion s’arrêta. Le corps de Laura rechercha le contact avec son amant mécanique en s’avançant vers l’embout mais la pompe était là juste hors de portée.

Laura ouvrit les yeux et regarda Mme Adams qui l'ignorait. Elle regardait les sécrétions de Laura dans la fiole de verre.

«S’il vous plaît?», demanda humblement Laura, en baissant ses mains vers sa chatte.

Mme Adams regarda enfin la fille frustrée.

«Arrête ça tout de suite petite salope! C’est censé soulager ton état de santé, pas satisfaire tes plaisirs pervers!», ricana la femme en giflant les mains de Laura, qui les remit sur les accoudoirs de la chaise.

La femme plus âgée regarda Laura qui rougissait. La jeune fille leva les yeux vers elle pleine d'espoir, les yeux bleus implorants. Lorsque Mme Adams fut satisfaite du comportement de son élève, elle appliqua de nouveau la pompe sur la chatte de la jeune fille, maintenant enthousiaste à cette idée. Elle conduisit à nouveau la jeune fille frustrée au bord de l'orgasme à plusieurs reprises.

Chaque fois que la jouissance pointait, les petits seins de l’adolescente s’élevaient et tombaient dans des halètements profonds. Elle étendait ses longues jambes minces et relevait son bassin en espérant que la vieille femme la récompense pour son obéissance.

Cependant, aussi obscène et obéissante qu’était Laura, Mme Adams retirait la pompe à chaque fois avant qu’elle jouisse, condamnant la jeune fille à gémir de déception et de frustration.

Laura avançait le bassin vers la pompe, hésitante, et devait se contraindre de continuer à tenir les barres de sa chaise des mains tant elle avait envie de les avancer vers sa chatte. Elle levait les yeux croisant le regard condescendant de son professeur, puis les baissait, regardant son sexe rose suintant et gonflé.

«S’il vous plaît . . . », gémissait-elle.

«S’il vous plaît, Laurie?», demanda Mme Adams, en tournant le menton de Laura de sorte que la jeune fille lui fasse face.

«S’il vous plaît, ne me faite pas dire . . . . Ne me forcez pas à exposer mes pensées sales pour vous moquez de moi», pensa Laura, en essayant de gagner la bataille contre son corps . . .  qu’elle était au fonds d’elle-même certaine de perdre.

«S’il vous plaît, laissez-moi  . . . jouir.»

«Laura, je sais que tu n’es pas responsable de la façon lamentable dont tu as été élevée. Je compatis, vraiment, mais penses-tu qu'il est juste pour toi d'avoir un orgasme? Qu'en est-il de moi? », demanda Mme Adams a la jeune fille frustrée comme si c’était la chose la plus naturelle du monde. «Même la fille la plus gâtée et égocentrique du monde aurait compris qu’avant que je fasse quelque chose de gentil pour elle, la moindre des choses et qu’elle fasse quelque chose de gentil pour moi . . . . d’abord!»

«Oh, mon Dieu ! S’il vous plait ! Je vais vous faire jouir Mme Adams... Je le jure!», s’écria Laura, serrant le bras gauche de son enseignante, son visage en sueur rouge sous ses cheveux mouillés.

«Eh bien Laura, je suis une femme compatissante mais d’un certain âge. C’est juste que ça prend plus de temps pour moi de prendre du plaisir que pour une salope comme toi ! Tu penses que si je te laisse essayer, tu pourras peut-être. . . . me faire jouir? Si tu y arrive, peut-être que de mon côté je pourrai utiliser la pompe jusqu’à ce que tu jouisses toi !»

«Oh s’il vous plaît, Mme Adams, je sais que je peux. Je vais faire un bon travail. Je le promets. S’il vous plaît ! », supplia Laura. «S’il vous plaît, laissez-moi essayer. S’il vous plaît. »

«Bon, d'accord, je vais te laisser essayer», déclara Mme Adams un sourire aux lèvres, en ramassant les vêtements de Laura et et en gardant en main la pompe. Elle les rangea soigneusement dans le bas d’un tiroir de son bureau, puis retira sa culotte noire. Elle allait aussi la ranger dans le tiroir, mais son regard croisa les yeux de la petite blonde, et elle décida de la placer sur la tête de la jeune fille.

«Goûte-moi, cochonne !», déclara Mme Adams en centrant l'entrejambe de sa culotte mouillée sur le visage de l’adolescente. Puis, avec un doigt, elle poussa le tissu de soie dans la bouche de la jeune fille l’obligeant à sucer. Laura gémit de plaisir.

«Laura, si quelqu'un passe par hasard dans le couloir et entend tes grognements et gémissements tandis que ma porte est verrouillée, elle pourrait s’imaginer des choses. Donc, je vais débloquer ma porte et tu vas te cacher sous mon bureau.»

«Attendez, je ne suis pas habillée!», pensa Laura. Mais la vieille femme était déjà lancée vers la porte. Laura bondit hors de la chaise, puis fila sous le bureau, alors que Mme Adams ouvrit la porte.

Mme Adams retourna à sa chaise, regarda la blonde agenouillée et sourit. Elle ramassa le chandail en cachemire de Laura et l'étendit sur le siège de sa chaise. «Inutile de mouiller ma chaise», pensa-t-elle, en soulevant l'arrière de sa robe et en s’asseyant sur son cul nu. Puis elle enleva sa culotte de la tête de Laura.

«Maintenant que tu as bien reniflé l’odeur de ma chatte dans ma culotte, tu vas pouvoir passer à la vraie ! », dit-elle. «Tu vois, maintenant, je peux mettre mes jambes sur tes épaules . . . . comme ça !», dit le professeur en plaçant ses cuisses sur les épaules de la blonde et en glissant vers l'avant, collant sa chatte humide et poilue sur le visage de la jeune fille complétement soumise.

«Maintenant, tout ce que j’ai à faire, c’est mettre ma jupe au-dessus de ta tête, tandis que tu vas essayez de me faire plaisir, bien à l’abri des regards indiscrets. De cette façon, si quelqu'un arrive, tout ce qu'il va voir, c’est moi, juste assise ici en train de classer des documents toute seule».

Laura, était très embarrassée d'être dans une pièce porte ouverte, cachée nue sous un bureau, préposée au plaisir d’une femme plus âgée, mais elle était au-delà de se soucier des risques encourus. Toute la concentration de Laura était centrée sur sa chaude et humide chatte frustrée.

Alors que Laura commença à lécher la chatte de la femme plus âgée, Mme Adams pensait : «Mmmmm. Je me suis toujours demandé comment ces phallocrates se sentaient quand une secrétaire bimbo se mettait à genoux et leur faisait une pipe ».

«Ahhh putain! C’est normal qu’une femme libérée comme moi, obtienne ce petit plaisir. Oh oui, j’ai attendu ce moment depuis dix-neuf ans . . . .! »

«Ahhh! », gémit Mme Adams. Puis, en regardant vers le bas, elle vit que son esclave personnelle se masturbait son clitoris. «Petite salope égoïste ! Concentre-toi sur la tâche à accomplir! ». La femme attrapa les mains de Laura, les plaça sur la chaise, sous son cul, puis s’assit sur elles.

N’étant plus en mesure de se faire plaisir jusqu'à ce que la vieille dame soit satisfaite, Laura était motivé à travailler encore plus dur. Elle tourna toute son attention sur la chatte de son enseignante, et travailla de sa langue et de ses lèvres avec enthousiasme alors qu'elle essayait de suivre les ordres exigeants de son professeur.

«C’est ça. C’est cela ma fille! », l’encouragea Mme Adams, "passe bien ta langue sur mon clito. Maintenant, en bas et pousse-la dans ma chatte. »

«Oh! Oui salope! Suce maintenant. Non, non, d'avant en arrière . . .  Puis de côté. »

La femme corrigeait son élève servile dès qu’elle lui déplaisait en lui tordant douloureusement une oreille ou un mamelon.

Pour la récompenser, elle lui massait ses petits seins ou caressait la chatte glabre de l’adolescente avec ses orteils recouverts de ses bas. En seulement 40 minutes, Laura léchait la chatte de son professeur comme une pute professionnelle.

«Oh, mon DIEU», pensa Laura, «quelqu'un est à la porte. Elle essaya de lever la tête, mais elle cogna le bureau, juste sous l'ordinateur. Mme Adams glissa encore plus sa chaise sous le bureau afin de bien caler la fille entre ses cuisses. Laura glissa en arrière aussi loin qu'elle le pu, mais ce n’était pas assez. Enfin, elle dû s’accroupir sur le plancher sale, tête entre les cuisses de son professeur.

«Oh, c’est toi Susan. Entre. Entre et prends un siège. Maintenant, qu’est-ce que je peux faire pour toi? », demanda doucement Mme Adams.

«Oh Non! C’est Susan Riggs. Elle est membre de la sororité». Laura était horrifiée. «Elle ne peut pas me trouver comme ça! Je vais mourir !».

Laura paniquait, mais tout ce qu'elle pouvait faire était de rester le regard fixe, parfaitement immobile, le visage plaqué sur les polis emmêlés et humides et les lèvres roses épanouies du sexe de sa tortionnaire. Elle essaya de relever la tête, mais Laura sentit alors la vieille femme lui tordre son oreille.

«Oh Non mon DIEU! Elle ne peut pas vouloir que je continue à la lécher maintenant! », pensa Laura.

Mme Adams persista et continua à tordre l'oreille de plus en plus cruellement. Enfin Laura se résigna et commença à lécher les lèvres entrouvertes en face de son visage.

Pendant tout ce temps, Mme Adams bavarda avec Susan comme si de rien n’était.

Concentrée à lécher la chatte de son professeur sans faire de bruit tout en se frottant le sexe sur un des pieds de la chaise telle une chienne en rut, Laura perdit conscience du temps et de la conversation au-dessus d'elle. Elle revint à la réalité quand elle sentit le pied de la chaise être brutalement arrachée de son sexe, alors que Mme Adams reculait sa chaise.

La femme plus âgée souleva sa robe et écarta ses jambes Elle tira Laura par ses oreilles pour lui plaquer de plus belle son nez sur sa chatte.

«Elle est partie maintenant! Fais-vite ! . . . .  Fait... Moi jouir ma salope! », exigea Mme Adams.

Laura s’appliqua de nouveau. Elle travailla de sa langue et de ses lèvres douloureuses sur les lèvres musquées du sexe de son professeur.

 

«Oh mon dieu! C’est ça petite salope! Fais jouir maman... Oh je vais jouir salope de lesbienne. Oh- oh-oh... Je vieeeeeeeeeeeeeennnnns.... lèche tout, petite fille.... »

Laura était horrifiée par les propos de son professeur. Surtout, par l’insulte de lesbienne, mais l’adolescente était trop excitée pour s’arrêter

Son professeur tira à nouveau sur les oreilles de Laura, écrasant le visage de la blonde sur son sexe, puis, alors qu’elle jouissait, elle étouffa l’adolescente dans son jus. La jeune fille but avidement en silence, puis commença à lécher et nettoyer le sexe de son professeur comme elle avait appris plus tôt avec Déesse Gothique.

«Mmmmm... C’est bien. Nettoie Maman Nettoie. Avale mon jus avec ta petite langue de salope, petite chienne.»

«Reste où tu es Laura, pendant que je vais fermer la porte.», déclara Mme Adams, alors qu’elle se leva sur ses jambes tremblantes et verrouilla la porte.

L’adolescente se rendit compte avec horreur que la porte était restée ouverte ! Son cœur rata un battement.

«D'accord, je vais te donner ton dessert maintenant mon bébé. Allez, sort de sous ce bureau et de...». Mme Adams fut interrompu lorsque pour tenter de sortir de sous le bureau, Laura coinça accidentellement sa tête sous la robe de son professeur. "Ohh ! Tu aimes vraiment ma chatte ma belle ! »

Laura se libéra rapidement de la jupe, puis se leva. Elle était humiliée d’être nue et couverte des sécrétions de son professeur, alors que l'enseignante était habillée.

Mme Adams attrapa Laura par un bras.

«Bon, maintenant je veux que tu t’allonges sur le dos, sur mon bureau.»

Mme Adams s’installa à l'arrière du bureau et caressa les cheveux et les épaules de Laura, poussant gentiment la jeune fille à bien plaquer son dos sur le bureau.

«Ecarte tes jambes pour maman, je veux ton sexe glabre face ma chaise, bien accessible», ordonna l’enseignante.

Laura obtempéra, exposant son sexe gonflé et rouge, ouvert et offert à l'examen de son professeur lubrique. Mme Adams retira la pompe de son tiroir et s’assit entre les jambes de Laura.

«Pas assez bien, écarte toi mieux si tu veux jouir ma salope !», ordonna Mme Adams, tout en rabattant les jambes de Laura sur son torse et ses seins minuscules. Puis, l’enseignante appliqua enfin la pompe modifiée sur les lèvres gonflées de la jeune fille.

Lorsque la machine commença à pomper, les chairs du sexe de la jeune fille furent aspirées vers l'extérieur, dans le vide, et le jus de sa chatte recueillit dans la bouteille.

«Est-ce que ma petite fille aime avoir sa chatte aspiré? », demanda Mme Adams, même si elle connaissait déjà la réponse.

«Oh oui, madame! »

«La chatte de mon joli petit bébé remplit la bouteille avec son jus de salope. Qu'est-ce qu'elle va faire avec? », demanda l’enseignante perverse.

«Je ne sais pas», dit Laura. «OH! », s’écria-t-elle alors quand elle réalisa ce à quoi devait penser son professeur.

«Ma petite lesbienne va boire tout son jus de salope?»

«Ugh - Pas de p-p-s’il vous plaît, ne me fais pas faire ça»

«Je vais devoir arrêter la pompe ?», menaça Mme Adams.

«Oh, non s’il vous plaît madame! Je vais b-boire.»

«Vas-tu être la gentille petite salope lesbienne de maman? »

«Uh-huh. Je vais être votre petite...», commença à dire Laura en jetant sa tête de droite à gauche, alors qu’elle commençait à ressentir les vagues chaudes de plaisir se répandre dans son sexe.

«Ahhh... la belle lesbienne salope !»

Mme Adams souriait à pleines dents.

«Je vais manger votre ch . . .atte sous votre bureau», bégayait Laura.

«Ahhh... Je suis une leeesbienne perverse . . .  je mérite la feeessée...»

« . . . sur ton cul de salope oui. Tu vas souvent l’être», ajouta l’enseignante.

«Oh putain! Je suis viens madame .... oh ... oh ... oh ..... Je jouiiiiiiiiiiiiiiii»

Les sécrétions de Laura furent aspirées dans la fiole du tire-lait alors qu’elle étreignait étroitement ses genoux contre sa poitrine.

Lorsque Mme Adams retira la pompe de la chatte gonflée et rouge, la fiole était à moitié pleine des sécrétions de Laura. Elle porta la fiole à la bouche de la blonde et Laura grimaça et tourna la tête sur le côté.

Laura, semblait-il, était moins intéressée à donner suite à l'accord qu'elle avait donné dans un moment d’excitation.

«Bois chérie, ou nous allons devoir reprendre ta fessée», sermonna la femme plus âgée.

N’ayant pas le choix, Laura ouvrit la bouche et laissa l’horrible femme verser le contenu de la fiole dans dedans. Elle avala tout en essayant de ne pas recracher.

Lorsque la bouteille fut vide, Mme Adams obligea Laura à lécher le reste de ses fluides sur la paroi du récipient.

 

«Rappelle-toi qu’une bonne fille doit toujours nettoyer ses cochonneries Laura !»

L’enseignante jubilait.

«Eh bien, j’espère que tu as appris les bonnes manières et le respect aujourd'hui, jeune fille ! J’espère que cela t-a enseigné l'importance de l’obéissance. Je te verrai demain, rapidement. . . . Bonne soirée Laurie chérie.

Lentement, Laura remis sa jupe sur son corps endolori et n’ayant pas d'autre choix, son très humide et musqué chandail qui colla à ses petits seins. Enfin, dans un état second, elle quitta la pièce pour revenir à son dortoir. C’était comme si tout son monde avait été bouleversé. En seulement deux courtes journées la pauvre petite blonde était passée de snob froide mais allumeuse, fierté de sa mère, à la plus grande salope lesbienne du campus.

 

«Je vais devoir parler à Monique! Elle doit intensifier mon traitement . . . », pensa Laura, en entrant dans son dortoir.

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Les odeurs du Vice, par Couture - Communauté : Soumissions féminines
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