Laura se précipita vers la classe de Mme. Adams, ouvrit doucement la porte, et s’assit dans la rangée arrière en faisant tout pour ne pas être vue. Quand elle eut finalement le courage de regarder en face d’elle, elle vit l'air renfrogné et désapprobateur de son professeur.
«Merde! », pensa-t-elle, « ça va être ma fête, cette vieille salope ne rate rien ».
Après la classe, Laura attendit Mme Adams afin de pouvoir la voir, juste derrière les autres filles qui attendaient également pour lui parler.
«J’avais l'habitude d'être une de ces filles qui restaient après la classe pour poser quelques questions en vue de se faire bien voir et marquer quelques bons points vite fait auprès de l'enseignante », se dit Laura. La jeune fille baissa les yeux et regarda le contour des culottes des autres filles ; consciente qu’elle n’en portait pas, ce qui réveilla son désir. «Mais maintenant, je suis juste une salope qui a envie d’être humiliée de se faire sécher le sexe par son enseignante.»
Laura se tenait là, les yeux baissés, alors que la dernière des filles quitta la classe.
« Et bien Laura, c’est gentil à toi d’être passée nous dire bonjour en classe ! », dit Mme Adams en rangeant les papiers sur son bureau, sans même lever les yeux sur la jeune fille nerveuse.
« Nous allons discuter de ton retard et nous occuper de ton problème de santé dans mon bureau. Suis-moi jeune fille ! ». Sans un regard en arrière, Mme Adams se retourna et marcha vivement vers son bureau.
Laura suivi son professeur sans discuter. Son regard tomba naturellement sur le cul plein et charnu de la femme qui se balançait en marchant. Laura pouvait voir le contour de sa culotte de dentelle à travers le sa jupe.
Quand elles arrivèrent à l'intérieur du bureau, Mme Adams s’arrêta à l'entrée et verrouilla la porte derrière Laura.
« Laura, je suis très fâchée. Ça fait 2 jours de suite que tu arrives en retard à mes cours ! »
Mme Adams grimaça et tourna son nez après avoir senti les cheveux de Laura.
« Après avoir fait Dieu sait quoi ! », ajouta t-elle.
Les yeux de Laura s’agrandirent et elle commença à se tordre nerveusement une mèche de cheveux autour de son index.
«Je suis désolée madame, mais vous connaissez mon état. C’est . . . très difficile pour moi,» répondit Laura, en essayant de jouer la pauvre perdue.
« Eh bien, laisse-moi en juger ! Tu sais comment te positionner:.. Enlève tes vêtements et assieds-toi sur la chaise pour que je puisse voir à quel point tu es mouillée . . . ., je suis sûre que ta chatte est un vrai robinet qui fuit . . . je peux le sentir de là ou je suis ! », dit son professeur désapprobateur.
« Um-ah, c’était juste que j’étais tellement empressée de venir au cours Madame que je n’ai pas eu le temps de me nettoyer », murmura la blonde horrifiée, quand elle a réalisé qu’elle ne s’était même pas rincée après ses perversions avec Beth.
Pour retarder l’échéance aussi longtemps qu'elle le pouvait, elle a commencé à ne se dévêtir que très lentement. Puis, elle plia soigneusement chaque vêtement et les plaça sur le coin du bureau en bois de son professeur. Comme elle se pencha pour enlever ses chaussettes hautes, elle entendit Mme Adams dire : « Laisse tes mignonnes petites chaussettes Laura. Il ne sera pas nécessaire de les enlever »
Rougissante et n’osant relever les yeux du sol, la jeune blonde secoua la tête et s’assit sur la chaise en bois plaquant une cuisse contre l’autre.
«Laura», la réprimanda Mme Adams, «Tu sais que tes jambes doivent être par-dessus les accoudoirs ! »
Laura redoutait d’exhiber sa chatte glabre, mais elle obéit à son enseignante et plaça ses jambes sur les accoudoirs.
Mme Adams commença à tourner autour de la jeune fille rougissante, évaluant les différentes parties de son corps avec une règle plate en bois.
«Qu’est-ce qui est inscrit sur ta poitrine Laura? », demanda-t-elle en giflant le sein sur lequel était inscrit le nom et le numéro de téléphone de Beth avec sa règle en bois.
« Aïe euh, c’est une de mes amie que je suis censé appeler et . . . ah . . . . revoir à mon dortoir ce soir pour Ahh étudier. J’ai des problèmes de mémoires et je me suis dit qu’en l’écrivant sur mon sein . . . . . euh... quand je me changerais, ce soir, je serai sûre de ne oublier pas de l'appeler. »
« Uh-huh. Bien sûr, Laura », a déclaré Mme Adams sceptique. Sa voix ne semblait pas du tout convaincue.
Laura fut sous le choc en voyant son professeur prendre le téléphone de son bureau et faire un appel. Puis, après une courte période d’attente, elle a dit : « Salut Beth, c’est Mme Adams. Laura voulait que je te dise de venir la rencontrer à la salle 314 du bâtiment Parker ce soir à 08h00 à l'étude ». En souriant, elle raccrocha le téléphone.
« Il n’aurait pas été beaucoup plus intelligent de juste laisser un message? Eh bien, nous ne pouvons pas attendre trop de certaines personnes, n’est-ce pas Laurie? »
Mme Adams souriait cruellement
« Mon Dieu! Elle doit penser que je suis la blonde la plus stupide de la planète », pensa Laura, en hochant la tête pour indiquer son accord.
Mme Adams se pencha et effleura le sexe nu de Laura avec sa règle. « Je vois que tu ressembles encore plus à une petite fille maintenant. J’aime! Ça te va très bien ! »
«Avec tes petits seins, ta chatte glabre et tes vêtements d'écolière, si je ne te connaissais pas, je te donnerai à peine douze ans ! En tout cas, tu t’es comportée comme une petite fille aujourd'hui, quand tu ne m’as pas montré le respect approprié et que tu es arrivée en retard. Je pense que nous devons prendre les mesures qui s’imposent pour que cela ne se reproduise plus ! »
L’enseignant marqua un instant de silence.
«D'accord, si tu veux être une petite fille, nous allons te traiter tel quel! Lève-toi, va devant mon bureau et penche toi pour saisir le bord le plus éloigné avec tes deux mains »
L’enseignante, claqua une cuisse de la jeune blonde avec sa règle pour qu’elle ne traine pas
« Bonne fille !», dit Mme Adams en voyant que la blonde prenait la position. « Maintenant, garde tes jambes rapprochées si tu sais ce qui est bon pour toi. Reste complètement immobile et silencieuse, jusqu'à ce que j’ai terminé », commanda Mme Adams. « C’est ça ma fille. L’obéissance et le respect sont très importants pour les petites filles. »
Laura était très mal à l'aise avec cette nouvelle position. Elle ne pouvait pas voir Mme Adams ou ce qu'elle faisait, elle pouvait sentir ses muscles étirés et tendus, de ses chevilles à son cul nu. Ses seins étaient écrasés contre le bureau en bois.
«Pourquoi m’a-t-elle dit de me mettre dans cette position ? Elle ne peut pas me sécher comme ça », se demanda Laura. Puis, elle comprit : elle était sur le point d'être fessée . . . pour la 1ere fois de toute sa vie . . . comme certaines petites filles.
« Eh bien Laura, ce soir, quand tu regardera tes petits seins, tu te souviendras de ton amie - euh, Beth, mais, pour les prochains jours, lorsque tu essayeras de t’assoir, tu penseras à. . . . moi, et tu n’oublieras pas d’arriver à mon cours . . .
Mme Adams posa sa longue règle plate sur les fesses blanches et tendres de Laura.
« . . . . À L'HEURE ! »
« Oooo, s »il vous plaît... Non... OHH! », plaida Laura.
« Oooo, s »il vous plaît... »
Le coup de règle tomba en plein sur ses fesses sans défenses
SMACK!
« OW OW OW !!! ». Laura fit un bond en avant sur le bureau faisant tomber les papiers de son enseignante alors qu'elle était allongée sur la surface du bureau et ramena ses deux mains sur ses fesses pour les protéger comme elle le pouvait.
«Mon Dieu! S’il vous plaît... Ça fait mal... S’il vous plaît! », supplia Laura, en se frottant ses fesses brûlantes et en remuant sa croupe.
« Laura! Une petite fille bien élevée sait se tenir ! Même lorsqu’elle est punie ! Tu as bougé et parlé sans y être autorisée, donc j’ai peur ce 1er coup ne compte pas ! », la réprimanda son professeur.
« Nous allons donc reprendre au début ! Nous pouvons continuer jusqu'à ce que tu reçoives les vingt-cinq coups de règle que tu mérites. J’espère que tu vas te comporter comme une femme adulte au lieu de l’enfant gâtée que tu parais être. Maintenant reprends ta position ! »
Laura rougit en entendant Mme Adams la considérer non comme une femme adulte mais comme une fillette désobéissante et gâtée.
«Eh bien, je vais lui prouver que je ne suis pas un enfant », se promit-elle, en revenant à sa position humiliante. Elle était déterminée à subir sa punition comme une adulte!
« C’est beaucoup mieux. Maintenant, tu comptes les coups, petite fille ! », ricana Mme Adams.
SMACK!
« Gasp... Euh... Une. »
« Bien, mon petit bébé ! »
SMACK!
« Owww... DEUX! »
« Bien ! Pour bien me montrer que tu comprends ta punition, remercie moi à chaque coup et dis-moi qu’à l'avenir, tu feras ce que je t’aurais dit de faire ma fille ! »
SMACK!
"TROIS!"
« Merci Mme Adams, je ferai ce que vous avez dit à partir de maintenant. »
« C’est bien ma fille, continue comme ça ! »
Les fesses de Laura tournaient à une teinte rouge foncé mais elle luttait pour garder ses mains sur le bureau et son cul en position pour sa punition méritée.
SMACK!
"QUATRE! Merci Mme Adams, je ferai ce que vous avez dit à partir de maintenant. »
SMACK!
« Awwwww. Pauvre bébé qui pleure ! », railla l’enseignante.
Humiliée par ses larmes qu’elle ne pouvait pas retenir et sa nudité, la volonté de Laura céda. Elle pleura ouvertement comme un bébé en face de la vieille femme.
SMACK!
"CINQ Merci Mme Adams, oui... Je pleure... Parce que ça fait mal! »
« Garde tes petites chaussures de fillette bien à plat sur le sol et ton cul bien haut Laurie! »
Les coups pleuvaient, encore et encore.
Le cul de Laura semblait maintenant être en feu.
"Noooooooooonnnnnnnnnnn! S’il vous plaît Mme Adams . . . . Je n’en peux plus . . . Je ferai tout... S’il vous plaît . . . . arrêtez juste la fessée... », supplia la jeune fille en pleurant ouvertement. Elle avait abandonné sa position depuis longtemps
Mme Adams était bouleversée, à la fois par Laura et elle-même. Elle avait été tellement prise par la fessée de cette petite chienne gâtée qu'elle l’avait laissé abandonner sa position de soumission sans la reprendre. Même si la petite blonde avait l'air assez bonne à manger, vautrée sur le dessus de son bureau, pleurant comme une enfant, ce n’était pas une excuse pour devenir laxiste. Le but qu'elle espérait atteindre était beaucoup plus grand que sa propre excitation ou l'inconfort de cette sale mioche.
«J’ai attendu ce moment depuis dix-neuf ans, je dois garder le contrôle de moi-même», pensa le professeur.
« Laura, Laura, Laura », dit Mme Adams, «J’ai peur que ce coup ne va pas compter non plus. Si ta mère t’avait éduquée correctement, au lieu de te passer tout tes caprices d’enfant gâtée, rien de tout cela ne se serait produit ! »
« Règle numéro un : ne jamais abandonner une position de punition sans autorisation, jamais! », dit femme plus âgée devant le cul rouge maintenant lumineux de son élève, en se frottant les mains en sueur sur les fesses à vif de Laura.
Laura ne résista pas. Elle aurait fait n’importe quoi pour éviter de nouveaux coups de règles. En outre, les mains fraîches de l’enseignante sur son cul douloureux la soulageaient. Laura regretta que sa mère n’ait pas été plus sévère avec elle pour lui éviter une telle punition !
« Allez ma fille, lève-toi et nettoie le désordre que tu as fait sur mon bureau, et plus vite que ça ! », exigea Mme Adams, qui se tenait à côté de Laura, la menaçant de sa règle.
«Mon Dieu !», pensa Laura en baissant les yeux. Elle avait couvert le bureau de sa sueur, de ses larmes, de sa morve et de sa mouille. Laura regarda autour d’elle pour trouver une serviette, un tissus, ou quoi que ce soit, mais ne trouva rien. À contrecœur, elle ramassa son chandail en cachemire et se mit à essuyer, à nouveaux au bord des larmes à l’idée de perdre son cher chandail.
Consciencieusement, elle a essuya ses sécrétions sur le bureau.
Mme Adams inspecta son travail.
«Très bien Laura, au moins tu es bonne pour le ménage. Mais il se fait tard et j’ai un autre rendez-vous, nous devons donc finir ici. Allez ! Vas sur la chaise ! . . . D'abord, pose ton chandail sur le siège de la chaise. Cela va évitera à tes jus de salir ma jolie chaise propre, petite fille».
Laura plaça son chandail sur la chaise et s’assit dessus. Puis elle écarta les jambes sur chaque accoudoir face à son exigeant professeur. Elle était encore totalement gênée de montrer son sexe ouvert à toute personne, même une autre femme. Cependant, la crainte de son sévère professeur poussait la fille timide à exposer son corps presque qu’avec enthousiasme.
«Voyons l’état de cette minette aujourd’hui ! Ouvre ces lèvres pour moi! », dit le professeur, alors qu'elle regardait la jeune fille descendre ses mains à contrecœur et écarter ses lèvres.
«Ugh! Une vraie fontaine ! Pire qu’hier ! Pourquoi, ta chatte fuit-elle comme un robinet ? Ha Ha. Je pense que je vais t’appeler * Laurie la fontaine*!», lança Mme Adams, en titillant le clito durci et sorti entre les lèvres écartées de Laura, faisant haleter la jeune fille.
Enfin, elle essuya sa règle trempée sur le visage de Laura.
«Eh bien, nous allons essayer de faire sécher ta chatte avant que ton état ne s’aggrave», déclara Mme Adams, en tournant son ventilateur de bureau vers le bas à lèvres, vers le sexe offert de Laura.
«Tu sais Laura, ou devrais-je dire, * Laurie la fontaine*, je pense que j’ai eu une idée pour extraire les jus qui se cachent à l'intérieur de ta chatte».
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