Dimanche 1 février 7 01 /02 /Fév 21:50

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Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Fansadox: Confiscated Twins - Communauté : Soumissions féminines
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Samedi 31 janvier 6 31 /01 /Jan 13:40

Chapitre 5 : Monique épile la chatte de Laura

 

Laura se réveilla avec la tête entourée par les cuisses de Monique, regardant droit dans la chatte de la noire.

Surprise, Laura s’affola, se releva brusquement et sauta du lit.

« Chut, calme-toi, salope . . . Tu es avec moi », dit Monique. « La nuit dernière, alors que tu étais endormie, je pense avoir trouvé un remède pour ton lesbianisme. »

Laura se calma et écouta avec espoir.

« Hier, tu as eu beaucoup d’ennuis parce que ta chatte était trop chaude et humide. Donc ce matin, je vais te donner un traitement électrique qui va anesthésier tes pulsions avant d'aller en classe. Cela devrait calmer ta chatte pour le reste de la journée »

Laura écoutait attentivement

« De cette façon, tu ne dois plus avoir envie de renifler les culottes. Sinon, salope comme tu es, une journée entière sans culotte te ferai encore mouiller et ce serait comme envoyer un message : baise-moi, je suis une chienne en chaleur ! . . . . Tu ne veux pas que ce soit ton nouveau surnom à l'école? »

« Non! », répondit Laura en secouant la tête de gauche à droite.

Monique saisit chacune des lèvres intimes de Laura, les ouvrit et les ferma rapidement. Laura était humiliée par les sons humides de son excitation.

« Est-ce que ça va faire mal? », demanda Laura humblement. Elle cessa de se débattre et écarta les jambes, de sorte que sa colocataire pourrait lui donner ce nouveau traitement facilement.

« Non. Peut-être piquer... Un petit peu... Mais pas beaucoup . . . Je vais mettre un gel qui limitera les effets »

« Merci ! », lança Laura, sincèrement reconnaissante

« Voilà, on va appliquer le gel d’abord »

Monique allongea Laura sur son lit, la chevaucha, plaçant son entrejambe au-dessus de son visage, et enduisit le sexe de le jeune blonde avec un gel épais.

« Hi, hi! Comme si ce n’était pas assez humide déjà. », commenta t-elle.

Monique étalait le gel froid dans tous les replis intimes de la chatte de sa compagne de chambre.

« Uh huh », grogna Laura, le souffle coupé, alors qu'elle tentait de réprimer un gémissement d’excitation. Elle était cependant soulagée d'avoir quelque chose pour cacher les sécrétions évidentes qui dégoulinaient déjà de sa chatte aux yeux de la jeune noire. Elle essaya de contrôler ses pulsions, mais elle pouvait sentir ses hanches commencer à la pousser de leur propre gré vers sa compagne de chambre.

« Bien, maintenant, on va faire pénétrer le gel à l'intérieur de toi », dit Monique, en pénétrant la chatte de la jeune blanche avec un petit gode vibrant.

« Mmmmm », gémit Laura, prise par les sensations de plaisir qu'elle éprouvait. Le sexe de la jeune noire était à quelques centimètres de son visage. Elle pouvait sentir son arôme musqué et elle mourait d'envie de coller son nez dans le pubis aux poils crépus.

«Cette partie des opérations peut piquer un peu. Evites de crier si tu veux éviter que nos voisines de chambre pensent que tu es salope lesbienne qui se fait baiser ! », averti Monique, alors qu’elle appliquait l’embout d’un appareil sur la chatte de Laura et appuyait sur un interrupteur.

« Oh, merde! Oh, putain! », s’écria Laura, en sentant un léger courant électrique passer dans sa chatte, excitant chaque muscle de son sexe et le faisant s’ouvrir et fermer involontairement. Entre le gode vibrant dans sa chatte et les chocs électriques sur sa moule, Laura ne savait plus où elle était !

“Aïe! Aïe! OH! Merde! OH! OW! NonI! », cria Laura à chaque impulsion électrique provenant de l'étrange appareil.

Ses hanches absorbaient chaque secousse électrique envoyée sur son sexe. Elle avait peur, mais en réalité les chocs étaient légers.

Mais l’excitation qui résultait de cette double stimulation était terrible, presque insupportable !

« Tu devrais te calmer salope ou tu vas réveiller tout le monde ! », murmura Monique. « Et nous devrons nous expliquer . . . et tu sais que je ne sais pas mentir ! »

Consciente qu’elle n’allait pas pouvoir retenir ses cris, Laura regarda autour d’elle pour trouver quelque chose à se mettre sur la bouche. Tout ce qu'elle vit et sentait était le sexe sombre et humide directement en face de son visage.

« Oh, Oh, Oh, putain mmmpphhff », marmonna Laura en poussant sa bouche et le visage serré contre la chatte offerte de Monique.

Heureuse de cette initiative, Monique décida de donner à Laura une récompense, et elle tourna le gode vibrant d'un cran.

« Mmmmmm », gémit Laura alors que son nez glissait entre les lèvres humides et s’enfonçait profondément dans le sexe de la jeune noire.

Veillant à garder sa chatte bien écrasée sur le visage de Laura, Monique continua à travailler la chatte blanche de la blonde avec son petit appareil.

Partout où l’embout de l’appareil touchait les poils pubiens blonds épars, ceux-ci commençaient à se faner puis à tomber. L’étrange appareil était en fait un épilateur électrique !

«Oui, petite pute lesbienne, tu es coincée ! Bientôt. . . bientôt. . . tu sera lisse comme une petite fille, tes petits poils blonds ne seront pas de retour avant très, très longtemps», pensa Monique en souriant méchamment.

«Tu ne sais plus quel prétexte trouver pour me bouffer ma chatte de noire bien poilue ! », railla Monique, en admirant son œuvre : une chatte blanche totalement chauve

Elle commença à se déhancher sur le visage de Laura, frottant sa chatte sur sa bouche et son nez, tout en appuyant sur ses lèvres intimes et son clitoris déjà dur.

«C’est ça salope, suce, lèche cette chatte, caresse avec ton nez... Oh ouais, . . . », s’écria Monique, au bord de l’orgasme.

Elle tourna le gode vibrant qu’elle avait planté dans la chatte de Laura au maximum, puis pinça les petits mamelons durs de la jeune fille, et se mit à baiser le visage de la blonde de toutes ses forces.

La pauvre Laura sentait un orgasme remonter des profondeurs de sa chatte. «Pourquoi suis-je tellement excitée par la chatte de ma colocataire? Je ne suis pas une lesbienne. . . Je ne suis pas une lesbienne. . . Je suis pas. . . », pensait-elle. Pauvre Laura, elle qui n’avait jamais donné volontairement à une autre fille de plaisir sexuel, savait tout à coup une chose: elle voulait jouir avec Monique.

Laura fit la seule chose qu'elle pouvait. Elle ouvrit la bouche et commença à sucer le clitoris dur de Monique. Elle passa sa langue dessus, se disant que c’était une petite bite. «Mmmmm, qu’il est bon. ». Laura essaya de sucer autant que possible les jus de Monique.

Monique commença à sautiller sur le visage de Laura. Ses seins moites se levaient et gonflaient à chaque fois, puis retombaient vers le bas. "Yippeee . . . . yeeaaa . . . tu es une sacrée bouffeuse de chatte salope !... je vais te juter dessus ! Oh putain, oh putain, ohhhh... », balbutia la jeune noire en se déhanchant.

Laura continua à renifler, à lécher, à sucer le sexe de la noire avec abandon, tandis que Monique jouissait, inondant le visage de Laura avec ses fluides intimes.

Après l'orgasme, Monique reprit ses esprits, se dégagea de Laura, retira le gode vibrant de la chatte maintenant totalement glabre de la jeune fille. Laura était immobile, les jambes encore écartées, et sa chatte lisse continuait à être prise de spasmes sur la fréquence de l'appareil électrique, même si celui-ci ne l’attaquait plus.

« Eh bien, il y a une bonne nouvelle et une mauvaise nouvelle, salope ! », dit Monique en admirant son œuvre.

« La bonne nouvelle, c’est que je pense que ce traitement devrait empêcher tes pulsions perverses pour toute la journée ».

Monique sourit

« La mauvaise nouvelle, c’est que l'électricité a rasé tes poils de jolie blonde. Ce n’est pas que tu en avais beaucoup de toute façon. Hé, hé! », compléta Monique en caressant la chatte blanche totalement offerte maintenant.

Laura s’assit en sursaut et, horrifié e, vit son sexe glabre. Ses mains s’avancèrent, caressèrent la chair tendre et nue, appréciant la douceur naturelle de sa peau.

« Oh, non! Oh, mon dieu! Comment va régir Mme Adams! Elle sait que j’avais des poils hier. Elle va penser que je suis... Je suis une sorte de petite salope perverse maintenant... », murmura Laura, alors qu’elle commençait à explorer manuellement la douceur soyeuse de son sexe avec sa propre main. C’était contre nature, et quand elle se toucha, c’était comme si la main d'un étranger la caressait. Le pire, c’est que c’était tout à fait délicieux.

« Ne t’inquiète pas salope, tu vas t’habituez à elle. Allez, on va aller nettoyer tout ça ! Tu as besoin d’une douche ! Tu pue la chatte en rut ! », ordonna Monique.

Elle saisit la main de Laura et la tira hors de son lit.

Les deux filles enveloppèrent leurs corps de serviettes. Monique passa à Laura une serviette qui ne couvrait qu’à grand peine ses seins et ses fesses. Elles prirent leurs articles de toilette et sortirent de leur chambre pour se prendre aux douches de l’étage.

Dans la douche commune, Laura a eu beaucoup de mal pour garder son sexe glabre caché des deux autres filles déjà là.

Regardant vers le bas, Laura commença à rougir, il n'y avait plus le moindre petit poil blond pour se cacher derrière. Quiconque aurait regardé ses lèvres gonflées et rouges distendues aurait deviné qu’elle venait de jouir. Elle crut entendre l'une des filles rire, et rougit en sachant qu’elle se moquait sans doute d’elle, de son corps pré-pubère, de ses minuscules petits seins, mais aussi peut-être de sa chatte lisse. Elle une petite fille entourée de femmes.

Le pire est que l'humiliation commençait à l’exciter !

Après leur douche, les deux filles retournèrent à leur chambre, et Monique commença rapidement à donner ses ordres à Laura

« Lorsque tu es dans cette salle Laura, tu dois être nue ! », déclara Monique, en dépouillant la jeune blonde de sa serviette et la poussant sur le plancher à genoux.

« Tiens, prends cette lotion et enduit  mon corps. Allez salope, je n’ai pas toute la journée ! »

Laura était tellement gênée d'avoir à toucher le corps d'une autre femme, notamment une noire comme Monique qu’elle hésitait.

Monique dit : « Allez ! Ca fait partie de ta cure pour te guérir de ton lesbianisme»,

Donc, elle commença à frotter la lotion sur la peau de la jeune noire à partir des pieds. Arrivé sur ses cuisses, près de son sexe, elle hésita à nouveau.

«Partout, Laura. Ça doit devenir naturel pour toi de toucher, de caresser les parties les plus intimes des femmes ! ».

Laura versa un peu plus de lotion dans sa main et l'étala sur tout le sexe poilu de Monique.

« C’est bien salope... Le dos aussi. », dit Monique en se retournant et en poussant ses fesses vers le visage de Laura.

Laura ravala un sursaut de dignité et appliqua la lotion sur les fesses charnues et musclées de la noire

Comme si cette humiliation ne suffisait pas, elle du également appliquer la lotion sur les seins opulents de Monique. A chaque fois que Laura touchait les gros seins aux gros mamelons de la noire, cela lui rappelait combien elle était inférieure à sa compagne de chambre sur ce plan. Définitivement inférieure.

«Bon travail salope ! Tu as encore besoin de renifler ma chatte ou mon cul, avant de finir de t’habiller? »

Laura rougit; elle savait que Monique pouvait voir son sexe humide gonflé.

« Non, non. Je vais bien. », dit Laura.

L'odeur intime de la jeune noire lui imprégnait en fait encore le nez.

« Ne me mens pas salope, tu ne peux rien me cacher ! », dit Monique en glissant un doigt dans la chatte de Laura. La jeune blonde se déhancha de suite et vacilla sur ses genoux.

« Eh bien, habille-toi salope ! Et rappelle-toi les consignes de Mme Adams ! »

Laura devait suivre les ordres de Mme Adam aujourd'hui au moins. Donc, elle allait porter une jupe à carreaux noir plissée et volante, et un chandail en cachemire blanc. Monique insista pour qu'elle porte ses chaussures  roses avec des chaussettes hautes, quasi aux genoux. Laura se sentit comme si elle avait régressée en une élève d’une petite école catholique.

«Eh bien, Mme Adams va penser que je suis une petite fille de toute façon . . . alors qu'importe? », pensa Laura, alors qu'elle quittait sa chambre pour la classe.

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Les odeurs du Vice, par Couture - Communauté : Soumissions féminines
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Lundi 26 janvier 1 26 /01 /Jan 21:23

Chapitre 4 : Monique apprends à obéir à Laura

Laura se précipita vers son dortoir le plus rapidement possible. Le ventilateur infernal avait séché les sécrétions de ses lèvres à l'extérieur de son sexe, mais dès qu'elle remit sa jupe et se souvint de sa chatte exhibée entre ses jambes devant le Dr. Adams, sa vulve est rapidement devenue encore plus humide qu'avant. Son jus coulait littéralement sur ses cuisses.

Les effets du ventilateur soufflant sur son sexe l'avaient laissée en fait sexuellement beaucoup plus sensible. Elle pouvait sentir chaque rebond de ses petits seins lorsqu’elle marchait vers le dortoir. Ses tétons gonflés étaient si durs qu'ils lui faisaient mal. Chaque fois qu’ils glissaient sur le tissu de sa chemise, ils lui envoyaient des ondes de plaisir et de douleur dans son clitoris. Son sexe humide la rendait folle aussi. Elle pouvait sentir ses lèvres trempées glissant l’une contre l'autre à chaque pas. Le jus collant séchait en coulant sur chacune de ses cuisses ce qui l’obligeait à marcher les jambes légèrement arquées. C’était comme si les courants mêmes de l'air caressaient son clitoris dressé. Elle s’effondra presque dans un orgasme lorsque le bout de chair toucha par accident le tissu de sa mini-jupe.

Mmmmmm ....

« Lorsque je vais arriver dans la chambre, Je vais me frotter le reste de la soirée ».

Mais quand elle ouvrit la porte de sa chambre, Laura la trouva occupée.

« Merde, la négresse est là ! », pensa Laura en ouvrant la porte.

En entrant, elle regarda bouche bée la vue qui s’offrait à elle.

Monique accrochait une affiche montée sur une chaise, bras tendus, sur la pointe des pieds.

Mais ce qui attirait l'œil de Laura était le cul de la jeune noire.

Ce cul était recouvert seulement par une fine culotte blanche extensible. La culotte pénétrait largement dans la raie dévoilant une grande partie des fesses musclées et comprimait la motte de la vulve en la faisant ainsi ressortir.

«Dieu merci, tu es de retour Laura, j’ai vraiment besoin d’aide. Viens ici et aide-moi à tenir le bas de l'affiche. »

Laura laissa tomber son sac de livre et les yeux ne quittant pas le cul de Monique, elle tint le côté gauche du bas de l'affiche. Elle essaya de rester aussi loin de la culotte de la noire que possible. Elle ne se faisait pas confiance pour contrôler les étranges pulsions qui la gouvernaient aujourd'hui.

Puis le coin inférieur de l'autre côté de l'affiche s’est détaché et enroulé.

«OHH .. Peux-tu tenir de l'autre côté aussi Laura. », demanda Monique.

Laura se posta derrière Monique et tint les deux côtés de l'affiche contre le mur. Cela mit son visage juste en dessous du cul de la noire. Elle essaya de ne pas lever les yeux, mais bientôt ne put plus résister. Elle regarda les muscles du cul en mouvement de Monique alors que celle-ci se déplaçait d'un côté à l'autre. De temps en temps, fugitivement, elle avait vu sur les poils noirs crépus de l'entrejambe qui sortaient de la culotte. Lorsque Monique avança un peu vers le mur, Laura eu vu sur la totalité de la motte moulée par la culotte.

Les fesses charnues de Monique bougeaient juste au-dessus du nez de Laura. A la grande surprise et la joie de Laura, le cul de Monique finit par buter sur son nez. La jeune fille sembla ne s’apercevoir de rien et a continuait à travailler sur l'affiche et en frottant le visage de Laura sur ses fesses de temps à autre.

« Quand elle recule et «entre en contact avec mon nez, techniquement, c’est de sa faute pas la mienne », rationalisa Laura

Laura inhalait le parfum de la culotte et du sexe odorant de la jeune noire, et bientôt commença mouiller comme une damnée.

Laura était envoutée par les effluves et oublia où elle était. Elle commença à frotter son visage sur le cul de Monique et même entre ses jambes écartées, tout en humant l'odeur musquée à travers la culotte blanche.

« Eh bien Laura, quelle vicieuse tu fais ! Que c’est bon pour une black, après des années d'esclavage et de discrimination, qu’une riche chienne blanche comme toi lui renifle le cul et la moule ! », lança Monique en éclatant de rire.

«Allez, retire ton nez de mon cul . . . ! Qu’est-ce que tu as fait de ma culotte ce matin ?" demanda Monique. "Je l’avais laissée ici et maintenant je ne la trouve plus. »

«Je suis désolée ... Je suis désolée ... ce était un (sniff) accident ... s’il te plaît (sniff) ne dit rien s’il te plaît .... pp-tt-ne dit pas .. ».

Laura ouvrit son sac et rendit la culotte froissée et humide à sa propriétaire. Ce faisant, la deuxième culotte noire tomba sur le sol. A cette vue, Laura craqua et se jeta à plat ventre sur son lit, et éclata en sanglot sur son oreiller.

Sentant la victoire arriver, Monique s’approcha, monta sur le lit et écartant les jambes, se plaça sur Laura, juste en dessous de sa tête.

 «Allons Laurie arrête de pleurer ! Je n’aurai jamais pensée qu’une fille de bonne famille blanche comme toi aurait envie de renifler mon cul noir comme une salope».

Monique caressa les cheveux mouillés de la blonde désemparée, puis retourna Laura et placa sa tête entre ses genoux.

«Mais remarque, je commençais à me poser des questions . . . la façon dont tu me regardais, comme tu me déshabillais des yeux  . . . oui, je me posai des questions . . . . Tu sais, je fais des études de psychologie, et je suis assez bonne dans mon domaine . . . . J’ai donc décidé de te tester. . . .D'abord, j’ai laissé trainé une culotte propre ce matin et fait en sorte de que mes sous-vêtements et vêtements sales soient visibles. J’ai fait du Jogging en veillant à suer comme une salope ... puis quand je suis revenue je me suis bien branlée avec ma culotte  . . . . et j’ai installé une caméra vidéo pour bien comprendre ce qui allait se passer »

Monique éclata de rire.

«C’est peu de dire que j’ai jamais vue une telle salope en action ! Même dans les pires pornos ! »

Monique rit de plus belle.

« C’est pour ça que j’étais en train de mettre cette affiche quand tu es arrivée. Quand tu t’es mise à frotter ton nez sur mon cul et à renifler ma chatte, j’ai eu la preuve que tu es une belle salope lesbienne qui flash que les blacks ! », dit Monique caressant les cheveux de Laura.

En pleurant entre les genoux de Monique, Laura devait résister à l’envie de coller son nez dans la culotte musquée à un doigt d’elle. Elle résista, regarda en  face Monique, ne pouvant faire autrement que de voir ses gros seins noirs suspendus juste au-dessus d’elle. Les gros mamelons étaient visibles à travers le mince coton du soutien-gorge.

«Je suis désolé Monique, je ne sais pas ce qui s’est passé. Après le rêve bizarre de cette nuit, j’ai trouvé ce matin l'odeur des culottes irrésistible. Je sais que j’ai fait aujourd'hui est immoral, mais je n’ai pas pu m’empêcher de me masturber lorsque j’ai senti ta culotte. Je ne pouvais pas me contrôler . . . . mais je ne suis pas une lesbienne, j’aime les garçons. J’étais en retard après et pressée et j’ai mis sur ta culotte par accident. Je ne l’ai pas volée. Elle était trop serrée et je suis allé à la salle de bain de l'école où une jeune fille a essayé de m’aider et j’ai senti sa culotte et puis je me suis masturbée à nouveau. J’ai salie la culotte et ensuite dû aller au cours cul nu et mon professeur m'a attrapée sans culotte. J’ai menti et dis que j’avais un problème de santé et elle s’attend à ce que je ne pas plus de culotte pendant plusieurs semaines. Je ne sais pas quel est le problème avec moi, mais je ne suis pas une lesbienne, je ne suis pas une lesbienne .... S’il te plaît, aide moi, je ne suis pas une lesbienne » . . . . suppliait Laura. «J’ai juste développé cette obsession pour les culottes aujourd'hui. »

« Laura, vu ma formation, je pense que tu es une coincée du cul qui fantasme de façon refoulée sur les femmes et donc sur moi ! . . . mais je suis prête à te donner le bénéfice du doute ».

Monique fit la moue ;

« C’est soit tu es une lesbienne refoulée, soit tu as développé un fétiche aigu . . . . Comme les travelos en fait qui vivent leur vie comme des gens normaux et puis tout d'un coup, ils ont l’obsession de porter des vêtements de femme et se transforment en pervers  . . . le seul traitement pour guérir ces pervers est de les aider à affronter leur obsession ..."

Monique avait adopté un ton professoral.

«Ils subissent des séances ou ils  portent des vêtements de femmes extrêmement sexy toute la journée, des talons de 10 cm, des corsets bien serrés faisant bien ressortir leurs culs, et 24/24 H, et 7 jours sur 7. Ils découvrent que la réalité est très différente de ce sur quoi ils fantasment . . . qu’en fait, dans cette tenue ils ne sont pas autre chose que de grosses salopes ! »

« Laurie, je suis prête te donner le bénéfice du doute et à d’administrer ce type traitement pour t’aider ! Mais il faudra m’obéir en tout ! Garder à l'esprit que je pourrais dire des choses choquantes, blessantes, assez horribles ou te faire faire des choses que n’apprécie pas, mais pour ton propre bien. Tu comprends? »

Monique laissa passer un ange.

« Alors ? Tu vas faire ce que je dis? »

Laura ne pouvait pas croire à la chance qu'elle avait. Elle n’avait jamais de sa vie imaginée que les gens pourraient être aimables, sans en retirer un bénéfice lorsqu’ils sont confrontés à une déviante sexuelle ... comme elle. « Monique est honnête. Je ne suis pas une lesbienne, je connais mon mal ! J’ai un fétiche aigu ! . . . et quelqu’un pour m’aider ! ». Les ennuis de Laura semblaient pour la première fois aujourd'hui avoir une chance de se résoudre. Elle a commencé à pleurer, submergée par l'émotion de la bonté de sa compagne de chambre.

« Merci. Merci Monique, je vais essayer de faire tout ce que tu dis ... »

Laura sanglotait, mais en même temps l'odeur musquée du sexe et des cuisses sombres l’accablaient

« Tout d'abord, tu dois te mettre dans une tenue qui sera à même de t’exciter . . . c'est-à-dire nue ! ». Monique déshabilla Laura sans attendre. La jeune blonde se retrouva nue debout au pied du lit, avec ses seules chaussures roses aux pieds.

Laura essaya de se couvrir avec ses mains comme elle le pouvait, en regardant les pieds de Monique et parfois de sournois coups d’œil à sa culotte.

«Pour te forcer à surmonter ton obsession des culottes, pour le reste de la journée, je vais rester en sous-vêtements. Tu vas nettoyer la chambre nue . . . ce qui me permettra de voir quand la vue de mon corps te fera mouiller. Il faudra aussi consigner sur vidéos et un journal de traitement toutes les pensées sales et cochonnes que tu auras.".

C’était très humiliant pour Laura de faire le ménage nue sous le regard de la jeune noire. Il y a peu la jeune blonde regardait la noire de haut, mais maintenant, elle aurait pu jurer que c’était la noire qui la méprisait.

« Bien ! Tu as bien rangé mes vêtements, maintenant va chercher une éponge et mets de l'eau chaude savonneuse dans l'évier et va tout récurer ma salope ! », ordonna Monique, qui était assise à regarder la télévision distraitement en frottant sur sa culotte de coton avec 2 doigts.

Regarder la jeune fille noire légèrement vêtue et suivre ses ordres nue conduisait Laura à être dans un état constant d'excitation. Elle était humiliée à la  pensée de ce à quoi ressemblait une perverse comme elle en train de laver le sol sur les mains et les genoux, avec sa vulve gonflée et le jus de son sexe coulant sur ses cuisses.

« Allez ! On bouge son cul ma salope ! On s’active ! », tonna Monique.

«Je dois me rappeler qu'elle me traite mal pour mon propre bien », se dit-Laura en ravalant  sa colère. La pauvre blonde était nue, une éponge dans les mains couvertes d’une paire de gants en latex ».

« Parfait ma cochonne ! Tu as fait du bon boulot !, détends-toi sur ton lit pendant que je fais mes exercices."

Monique commença ses exercices, laissant sa colocataire blonde essayer de regarder la télévision.

Cependant, les mouvements de la belle noire rendaient l’idée de regarder la télé tout à fait impossible pour Laura.

L’adolescente regardait du coin de l'œil sa compagne de dortoir sauter et sa culotte mouler sa vulve de façon obscène. Les sauts secouaient les beaux seins et les fesses de la noire. La transpiration de la jeune fille rendit le coton blanc transparent, exposant sa moule et ses mamelons sombres clairement. La jeune blonde était folle de désir.

«Je te vois me reluquer petite pute ! Viens ici et assieds-toi sur le sol avec moi ».

Laura se leva et s’agenouilla sur le sol en face de Monique, qui s’exerçait encore. Sa culotte se glissait dans son sexe à chaque mouvement brusque.

"18-19-20 ... ouf ... Tu ressens le besoin de te masturber?", demanda Monique innocemment.

Laura rougit et hocha la tête, puis regarda la moule trempée de sueur la noire.

« Alors, dis-le moi ma salope. Dis-le à haute voix ! »

Laura rougit, regardant directement l'entrejambe de sa camarade de dortoir.

« Maintenant ! », commanda Monique.

«Je ... euh ... J’ai besoin de me masturber », murmura Laura.

«Allons, une salope comme toi ne parle plus de façon aussi châtiée ! Sois bien vulgaire ! Soit bien putassière !"

« S’il te plaît ... ne me fais pas dire cela. », supplia Laura.

« Bien, tu ne dois pas avoir besoin de baiser ce soir de toute façon. », dit Monique en saisissant chaque côté de sa culotte et en la tirant vers le haut afin de la presser sur son sexe. La manœuvre permit à Laura de voir tous les replis du sexe encore couvert de la jeune fille.

Laura essaya d'être forte, mais les taquineries constantes de Monique et de son professeur avaient détruit sa fierté.

« S’il te plaît Monique, je dois à b . . . baiser- (sniff) ma chatte de pute blanche avec mes doigts ».

Laura ravala un sanglot.

«C’est pour mon propre bien, après tout », se rassura-t-elle.

« C’est mieux.. mais tu peux mieux faire ! »

« S’il te plaît .. Monique.. Je euh .. j’ai besoin de baiser (sniff) ma chatte de pute (sniff) comme une chienne en chaleur (sniff) »

« C’est bien ma salope !", dit Monique en caressant la tête de Laura. "Eh bien, vas-y, branle toi ! »

Laura porta sa main à son sexe, puis hésita. Comme elle leva les yeux vers Monique, elle plaida : « S’il te plait . . . je ne peux pas faire quand tu regardes ».

Laura pleurait de frustrations.

« Maintenant ... maintenant .. Tu ne vas pas revenir sur notre marché ? Allez, branle-toi comme la petite cochonne que tu es ! »

« .. Pour moi ..Petite lesbienne ! »

« Ok, je vais t’aider, parce que tu as fait du bon travail.".  Monique se dirigea vers son bureau et apport sa chaise de bureau, la posant devant Laura. Elle s’assit, en gardant son sexe devant le visage de Laura et en écartant ses longues jambes noires. Ensuite, elle posa ses pieds sur le dessus des épaules de Laura et tira la jeune fille à quatre pattes directement en face de sa chatte. »

Monique tira sa culotte d’un doigt et d’un autre caressa ses grosses lèvres pendantes.

« Maintenant, regarde-ça ma cochonne . . . regarde . . . Bien grasse, bonne à être bouffée. Allez, ma petite salope . . . C’est à ton tour. J’ai fini mon show . . . Tu me montres le tiens. »

Laura regardait la bouche ouverte les doigts de Monique travailler sa chatte. Submergée par la luxure, Laura commença à jouer avec son clitoris douloureux. Avec la sensation écrasante de l'orgasme venir, elle porta sa main gauche à sa chatte et fit entrer et sortir deux doigts dans et hors de son sexe dégoulinant de mouille en regardant la superbe noire se masturber devant son visage.

Monique commença alors à frotter ses pieds sur le visage et le corps de Laura, avant de finalement saisir la tête de sa victime entre ses cuisses chaudes, puis tira son visage sur le coton transparent recouvrant à nouveau sa chatte.

« C’est ça. C’est ce que tu as besoin .... renifle ma culotte stupides bimbo. Oh yeah ... frotte ton visage dans mon jus. Joue avec tes petits seins de fillette. Tu aimerais avoir des vrais seins de femme comme moi non? », cria Monique en tirant sur ses propres mamelons sous son soutien-gorge.

Laura était morte de honte. Elle hocha la tête dans entre les cuisses noires de sa colocataire.

«Pourquoi cette culotte me tourne la tête ? Pourquoi les insulte m’excitent et me font de plus en plus mouiller ? », se demandait-elle.

Elle commença à tirer sur ses mamelons comme la noire le lui avait ordonné.

« Oh mon Dieu-oh oui bébé branle ta chatte de chienne pour maman .... »

Laura a commencé à pousser ses doigts dans son sexe dégoulinant. Son nez s’enfonçait dans la chatte de Monique et elle inhalait l’arôme musqué des sécrétions moites de la jeune noire.

Monique jubilait de voire la reine de glace le nez collé dans sa chatte grasse alors qu'elle enfonçait ses doigts dans son sexe.

«Hmmmm ... bien la reine de glace a fondu et elle est maintenant dégoulinante partout !».

Monique éclata de rire à sa réplique et en regardant la mouille dégouliner sur les cuisses de Laura.

"Ugh ... ohh.. chienne salope pute lesbienne..."

« ugh ... ahh ... renifleuse de cul de black .... »

Monique haletait.

« Oh ouuuiiii..fourre ton nez au fonds ... eeeoowww».

Elle jouit sur le visage de Laura.

Après avoir surmonté son orgasme, Monique fronça les sourcils vers la blonde toujours en train de se masturber.

« Assez de branlette pour maintenant ! Assez j’ai dit! ».

La fille noire tira les mains de Laura loin de son sexe.

« Si avais envie de faire, tu aurai déjà fait. »

« S’il te plaît ... si proche ... », gémit Laura, ses hanches poussant toujours à la recherche d'un point culminant désormais perdu.

« Peut-être que tu pourras essayer à nouveau plus tard, mais pour l'instant j’ai faim et je suis sûre que toi aussi. »

Monique enfila un jeans et t-shirt.

« Laura, je vais à acheter une pizza. Je ne serai pas partie longtemps, mais tu vas rester nue, et tu ne te masturberas pas jusqu'à mon retour. Cela inclut de ne pas serrer les cuisses comme tu le fais maintenant salope en rut ! »

Laura rougit sous le regard sévère de sa compagne de chambre. Laura ne comprenait pas pourquoi son corps semblait avoir sa vie propre. Elle n’avait même pas réalisée qu'elle serrait ses cuisses si fort.

«Tu m’attends en gardant au moins 5 cm d'espace entre les genoux !, Et n’essaye pas de tricher vicieuse ! »

Monique regardait sa compagne de chambre rougir de honte. Elle avait l'air de vouloir être n’importe où sauf ici !

« Allez ! », exigea Monique.

Laura écarta lentement ses jambes, sa peau s’accrochaient délicieusement où son jus avait collé ses cuisses ensemble. Elle regarda son sexe gonflé et humide, ses lèvres entrouvertes indécentes.

«Ma chatte est gorgée de jus, une chatte de pute en chaleur», pensa-t-elle.

« Laura, je pars et je branche la caméra vidéo pour être sûr que tu suivras mes instructions. Allez, enregistre ton journal de traitement devant la caméra, pendant que je suis sortie », ordonna Monique en fermant la porte derrière elle.

Alors que Monique avait disparu, Laura réussit à faire l'enregistrement sans se masturber . . . mais pas sans pleurer ni être incroyablement excitée. Laura essaya de se trouver des excuses pour marcher autour de la salle, afin qu'elle puisse frotter ses cuisses. La pauvre fille pensait avoir été discrète, mais son déhanchement exagéré et la manière dont elle plaçait un pied bien à l'extérieur de l'autre quand elle marchait la trahirent.

Monique finit par revenir, se déshabilla à nouveau et commença à manger de la pizza. Laura était distraite alors qu'elle regardait la jeune fille noire manger le fromage et la sauce.

Monique enleva la culotte qu'elle portait et son soutien-gorge, et tandis que Laura regardait attentivement, glissa un déshabillé sur son dos. Le tissu transparent en dentelle ne cachait rien de sa voluptueuse anatomie.

« Ok Laura, il est temps pour d’aller au lit !-bye .. », dit-elle en retirant du lit de Laura son couvre-lit.

« C’est pour que tu ne te masturbe pas sournoisement sans que je ne le vois ! », répondit Monique à la question tacite de Laura.

Laura monta dans le lit, puis Monique l’embrassa légèrement sur la tête en s’assurant qu'elle ait bien vue sur ses gros seins noirs.

« Bonne nuit ma belle. Tu as été une bonne fille aujourd'hui en essayant de na pas te comporter en lesbienne en chaleur, maman est fière de toi pour te dire la vérité », dit-elle.

Puis elle ramassa sa culotte et la mit sur la tête de Laura, en veillant à ce que le coté de devant soit sur sa face.

"Ce sera ta nuisette à partir de maintenant . . . ", railla la noire.

Laura essaya de dormir, mais nue, sans couverture, la tête dans une petite culotte baignée de jus, elle ne le pouvait pas.

«Qu'est-ce que Monique voulait dire quand elle a dit, « Maman est tellement fière de toi »? Je ne pense pas que ma maman serait très fière si elle me voyait dormir nue sur le lit avec la tête dans une culotte sale d'une fille noire. Je pense qu'elle serait dégoûtée si elle savait comment je suis chaude et humide, que je mouille juste à l'odeur de son sexe. Oh Dieu, même l'ail et l'origan de la sauce à pizza qui allaient dans sa bouche m’excitaient. »

Sa nouvelle nuisette lui servit de rappel humiliant de sa déviance sexuelle actuelle par rapport à sa vie normale.

« Monique ??? »

« Monique? »

« Oui, Laura. », répondit Monique ravie.

« Je ne trouve pas le sommeil. J’ai besoin de m-ahh .. masturber à nouveau. »

« Maintenant ?, ok, mais .. Mais demande le mieux ! »

Il y eu une longue pause.

« S’il te plait Monique !, je meurs d'envie ....... de baiser ma chatte humide et malodorante avec mes doigts comme une salope. »

« Ce n’est pas mieux? OK, descends du lit et agenouille-toi.", dit Monique en tapotant le sol à côté de son lit.

«C’est ça ma fille, je veux que tu sois face à mon cul. »

"Voilà, c’est comme ça que tu vas jouir pour moi à partir de maintenant .. OK ??"

« Allez bébé .. », la rassura Monique en frottant les cheveux de Laura alors qu’elle collait son nez dans la raie de la noire, entre les globes voluptueux de son cul.

« Vas-y Laura. Et n’oublie pas de renifler ma culotte pendant que tu joue avec tes petits seins. »

La jeune blanche frémit dans l'obscurité.

« Et jouie rapidement salope ! », réprimanda Monique.

« Oh putain! Je dois me dépêcher! », pensa Laura, en doigtant sa chatte et se tirant les tétines. Laura sentait l’odeur musquée du cul de Monique à plein nez.

"Oh ouais ... oh putain .... ma chatte ... mmmmm ... culotte ... oh..oh..oh..ahhhhh", cria Laura en se laissant submerger par l’orgasme.

Arrêtant les mouvements de Laura, Monique ordonna : « Bon travail, ma petite salope ! Tu m’as bien reniflé le trou du cul .. Maintenant, retourne à ton lit».

L’étudiante blanche était épuisée et grimpa dans son lit. Monique poussa le bouton de son appareil, et la lumière rouge commença à briller sous le lit de Laura.

«Mon plan se déroule encore mieux que je ne l'imaginais. J’ai eu deux des meilleurs orgasmes de ma vie à regarder Laura se comporter comme une chienne en rut, conformément aux pulsions j’ai implanté dans son subconscient. Putain, je n’ai même pas eu à faire chanter cette salope ! Elle s’est livrée d’elle-même entre mes mains ! », se dit Monique.

Elle avait été tenté de modifier la bande que Laura écoutait pour pousser plus loin, mais la blonde était bien réceptive. Assister, participer à la déchéance de la bimbo blanche allait être un vrai plaisir !

«Ouais, superbe journée! », pensa Monique en s’endormant.

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Dimanche 25 janvier 7 25 /01 /Jan 23:06

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Vendredi 23 janvier 5 23 /01 /Jan 22:10

Chapitre 3 : Laura est « inspectée » par Mme Adams, son professeur

Laura quitta les toilettes dans une telle hâte qu’elle entra en collision avec quelqu'un dans le hall. Elle baissa les yeux sur la dame d'âge mûr sur le plancher, couchée sur le ventre dans un tas de papiers épars.

Laura s’aperçue que la robe de la femme était remontée, dévoilant ses bas, son porte jarretelle et sa culotte.

«Oh non! C’est Mme Adams», pensa Laura en reconnaissant les traits anguleux de la femme de près de 60 ans lorsqu’elle se retourna. Laura venait de percuter une des plus strictes enseignante sur le campus, et pour encore empirer les choses, Laura avait sauté un cours de Mme Adams alors qu'elle était dans les WC avec a jeune fille gothique.

« Mes papiers! Laura, ne reste pas plantée là à ne rien faire, ramasse les! », ordonna Mme Adams en se relevant, et montrant du doigt les papiers dispersés sur le plancher.

Rapidement, Laura se retourna, se pencha et commença à ramasser le tas de papiers. Sans s’en rendre compte, elle donna ainsi à Mme Adams une vue magnifique sur son sexe béant et humide. Chaque fois que Laura se penchait pour ramasser un autre document, ses petits seins se trémoussaient délicieusement sous sa chemise.

Mme Adams regarda la scène avec étonnement. C’était Laura, l'étudiante la plus sérieuse de tous ses cours qui se trouvait devant elle sans sous-vêtements, exposant librement son sexe apparemment dégorgeant de mouille à tout le monde.

Voyant cela, Mme Adams a ordonné « Laura ! Nous avons besoin de parler. S’il te plaît allons dans mon bureau. Tout de suite! »

Laura savait que c’était mauvais signe, mais elle n’avait pas le choix et suivit donc son enseignante et une fois dans le bureau s’assit, résignée à se faire enguirlander par son professeur.

« Laura, tu as toujours été une très bonne élève. Franchement, cependant, comme enseignante et femme, je suis un très surprise par plusieurs choses que j’ai remarqué aujourd'hui. Si j’avais attrapé une de mes autres étudiante dans une situation similaire, je l’aurais fait expulsée immédiatement. Mais vu tes antécédents, je vais laisser te laisser une chance de me donner une explication raisonnable de ton comportement »

Mme Adams fit une pause.

« Maintenant, pourquoi ne porte tu pas de sous-vêtements? Pourquoi ton sexe est-il trempé? Et pourquoi as-tu été absente à mon dernier cours ? »

«C’est pire que je pensais », pensa Laura  en paniquant. «Elle a tout repéré. Je ne peux pas lui parler de ce qui est arrivé dans les WC ou je serai expulsée. »

"Eh bien euh ... Mme Adams, euh ... J’ai eu quelques problèmes féminins. Euh ... mon médecin a ordonné de ne plus porter de sous-vêtements pour les deux prochaines semaines. Mes muqueuses sont enflammées et produisent des ... ss-sécrétions supplémentaires », balbutia. Laura.

A ce mensonge crée au débotté, Laura rougit du front à la poitrine.

« Donc, mon vagin doit, euh, rester à l'air libre pour soulager ma, euh, condition. J’ai essayée de porter une culotte à votre classe, mais j’ai eu ces irritations, et je devais passer une longue période supplémentaire dans les toilettes. J’étais dans une telle détresse que j’ai dû les enlever et retourner au dortoir. C’est pourquoi j’étais si pressée quand je suis tombée sur vous dans le hall. Voir ... »

Laura ouvrit son sac pour montrer sa culotte à Mme Adams, en fait la culotte de Monique qu'elle avait portée et retirée.

Toutefois, Mme Adams avait l’œil vif, et vit non pas une culotte mais 2 !

«Je pensais que j’allais devoir la faire expulser pour avoir baisée avec un de nos étudiants. Mais cela! C’est une situation très intéressante. . . . », se dit Mme Adams. Elle se demandait dans quelle mesure elle pourrait profiter de cette situation.

« Laura, je ne peux pas croire de telles choses sans preuves ! », déclara Mme Adams.

« Assieds-toi sur mon bureau. », ajouta t-elle en tapotant son bureau

«Oh, non! Que veut faire cette vieille salope? », se demanda Laura en posant ses deux mains sur le bureau pour se soulever et s’assoir dessus comme ordonné.

La vieille femme saisit l'ourlet de la mini-jupe rose de la jeune fille et la tira jusqu'à sa taille, dégageant ainsi son sexe.

Laura, choquée, lutta pour tirer sa jupe vers le bas, mais n’y réussit pas, la jupe s’étant enroulé autour de sa taille.

Son professeur entreprit de recueillir la mouille sur sa chatte et de s’essuyer les doigts de Laura sur ses petits seins.

« Attendez. Stop! Que faites-vous? », s’écria Laura.

« Du calme ma fille ! Il n'y a pas à avoir peur. Je suis une femme aussi, et je n’en suis pas à ma 1ere chatte ! En fait, j’en vue d'autres, beaucoup plus grandes et plus développées que la tienne ! », déclara Mme Adams

« Hum. Ta chatte est effectivement trempée ! ca dégouline ! C’est dégoutant ! Mais ça peut être dû à beaucoup de choses ! Je ne peux pas croire à ton histoire sans preuves. Donc, sauf si tu as la prescription du médecin avec toi, je crains que je vais devoir me faire une idée moi-même ».

Laura savait qu'elle n’avait pas de prescription d'un médecin, ni ne pourrait en obtenir. Elle allait devoir subir l’examen de cette femme âgée, du moins pour l'instant.

Puis Mme Adams l’abandonna, se dirigea vers la porte du bureau et la verrouilla. Laura pu voir le contour de sa culotte à travers sa jupe. Cette vue et son imagination provoquèrent immédiatement de nouvelles coulées dans sa chatte.

«Oh non! Pas encore », pensa Laura. Elle était horrifiée de sentir son humidité s’écoulant sur le bureau.

Mme Adams lutta pour garder une expression neutre alors qu’elle revenait vers la belle adolescente, à moitié nue, rougissante et perchée docilement sur son bureau.

« Jeune fille, maintenant je vais t’examiner de plus près pour être sûre que tu m’as dit la vérité. Alors tu suis mes instructions à la lettre, d'accord?"

« Oui Madame. », répondit Laura.

« Très bien. Maintenant, je veux que tu te penches en arrière et prenne l'autre bord de la table avec tes deux mains. »

Laura se pencha en arrière saisissant le bureau comme indiqué. Elle baissa les yeux et vit l'effet que cette position avait sur ses seins exposés.

Les 2 orbes de chairs se soulevèrent, mais leur volume la faisait apparaitre comme plutôt plate, comme une écolière élémentaire. Après l’avoir vue comme ça, elle savait que Mme Adams ne pourrait jamais la voir comme une femme adulte. Elle allait toujours être pour elle une petite fille à la poitrine plate à partir de maintenant.

« Bonne fille. Maintenant, ne rougit pas. Bien sûr, ta poitrine n’est pas aussi bien développée que les autres filles de ton âge, mais tes petits nénés sont tout de même très attrayants ... ... d’une certaine manière. Ha, ha! J’ai entendu dire que certaines personnes sont attirées par les planches à pains ! »

Laura avait tellement honte qu’elle voulait ramper sous un rocher. Elle avait toujours eu honte de la taille de ses seins, mais était en mesure donner le change avec des soutiens-gorge rembourrés. Pourtant, aujourd'hui, ses seins de petite fille avaient été exposés à la critique de non pas une, mais deux femmes. Sa rougeur contamina son cou puis le haut de ses seins. Elle était humiliée au possible mais eu pourtant l’impression de recevoir un coup de poignardé dans son sexe.

« Maintenant, tu écartes tes jambes et pose tes talons sur le bord du bureau »

Amusée de la gêne de la jeune blonde, Mme Adams regardait Laura lutter pour assumer la position requise. Pendant tout ce temps la femme plus âgée sentit son propre sexe s’épanouir, monter en température, accentuant ses désirs pervers.

Comme Laura se penchait en arrière sur ses bras, Mme Adams se rapprocha.

« Tu es une bonne fille. », commanda l’enseignante en s’avançant entre les jambes de l’étudiante.

Laura garda ses yeux fermés alors les larmes menaçaient de tomber.

«Tss, tss.  . . . laisse-moi t’aider » déclara Mme Adams en attrapant les genoux hésitants et en les forçant à s’écarter plus largement vers chaque côté de la table, afin d’exhiber la chatte excitée de Laura sous son regard lubrique.

« Maintenant, si tu ne gardes pas la position, je vais devoir sévir jeune fille ! C’est compris ?"

Laura hocha la tête, essayant de garder ses jambes bien écartées dans cette position atrocement inconfortable. Elle était très souple, mais les tendons étaient étirés au maximum.

« Maintenant, laisse-moi voir si tu disais la vérité», dit Mme Adams en se mettant à malaxer doucement les seins aplatis de Laura.

Laura sentit son sexe s’épanouir au contact des mains de son enseignante. Laura savait que l’intraitable Mme Adams allait penser qu'elle était une belle salope !

« Oh mon Dieu. Tu es en effet trempée comme serpière qu’on vient de tremper dans un sceau ! Peut-être que tu disais la vérité. Ça doit être terrible d’être dans un tel état ! », déclara Mme Adams, en prélevant les sécrétions de la chatte de son élève avec ses doigts puis en essayant ceux-ci sur les petits seins de Laura. « Mais je crains que la prescription de ton médecin ne suffise pas ! Ne pas mettre de culotte ne te soulage visiblement pas ! Tu ruisselle ! »

Tout en parlant, l’enseignante n’arrêtait pas d’introduire la chatte de Laura avec ses doigts puis de les essuyer sur ses seins, ce qui accentuait encore la production de mouille de l’adolescente

«Tous les jours après la classe, tu viendras à mon bureau, jusqu'à ce que ce problème soit résolu. Ne t’inquiète pas, nous allons trouver un moyen de te sécher avant que cela ne devienne une maladie chronique !"

«Merde, je vais devoir me soumettre à cette vieille salope pendant au moins une semaine. Pourquoi ai-je soudainement perdu le contrôle de moi-même et ma vie ?», s’est demandé Laura, totalement abattue. Elle était à peine soulagée que son professeur l'ait crue, et s’en voulait de ne pas avoir pensé à un meilleur mensonge.

« Ne t’inquiète pas ma petite fille, je vais m’occuper de toi ! »,

Mme Adams se leva et fit le tour du bureau, admirant la beauté enivrante de la jeune fille et savourant l’obscénité de sa position.

La pauvre Laura voulait ramper dans un trou et mourir d’être ainsi exposée devant les yeux de son professeur. Elle essaya de tourner la tête vers la gauche et de détourner le regard, mais ses yeux rencontrèrent une photo de Gloria Steinem, célèbre journaliste et féministe américaine. Il y était inscrit : « A Patricia Adams, soyez fière – Gloria »

«Soyez fière ... facile à dire pour toi. Tu n’as jamais été nue sur un bureau cuisses écartées, moule à l’air en train de mouiller devant ton professeur ! », pensa Laura en écartant le regard de la photo.

Pendant ce temps, l’enseignante avait pris en main un ventilateur

Elle tourna le bouton pour le faire démarrer et le dirigea vers la chatte de Laura.

« Tu vois, on va sécher cette belle chatte, comme si on séchait des cheveux », dit-elle.

Laura était soulagée de sentir la brise fraîche du ventilateur sécher l'humidité le long de ses cuisses Ses mamelons durcirent à en devenir douloureux, en raison de la fraîcheur dans la salle. Son répit fut de courte durée, car elle remarqua que la sensation du ventilateur et les oscillations avait pour effet d’accentuer le plaisir dans de chatte !

Mme Adams scrutait à travers ses lunettes fines les réactions de la moule de son élève. Elle constata, avec joie, que les plis humides de Laura ne séchaient pas, mais coulait de plus en plus fortement.

Elle contourna le bureau jusqu'à ce qu'elle vienne à côté de la tête de Laura, puis elle a dit à son élève humiliée : « Laura, je crains tes lèvres contrarient les effets du ventilateur ! Je ne voulais pas te toucher ton intimité, mais j’ai peur de ne pouvoir faire autrement. . . Je veux que tu gardes tes jambes dans cette position . . . . », ajouta Mme Adams en repliant les jambes de Laura sur sa poitrine.

L’enseignante repassa face à la chatte de la jeune fille et plaça le ventilateur juste devant.

« Très bien Laura, maintenant, je vais bien te sécher à l’intérieur, alors ne fait pas de faux mouvements avec tes chaussures. »

La chatte de Laura baillait aux corneilles, ses lèvres étaient gonflées et vibraient sous le souffle du ventilateur, son petit clitoris gonflait et durcissait sous ce même souffle.

« Laura, ce n’est pas facile de dégager tes lèvres, donc je vais vous saisir tes petits poils pour avoir un meilleur appui. », annonça Mme Adams en saisissant les poils de chatte de la jeune fille et en les tirant vers l'extérieur, ouvrant ainsi le sexe largement.

« Aïe! ».

Laura cria quand elle sentit ses poils pubiens cruellement tiré.

« Ugh ... Oh », gémit-elle alors que le ventilateur soufflait maintenant directement dans sa chatte.

«Putain que c’est bon! Oh mon dieu . . . . s’il vous plaît  . . . faites que je ne jouisse pas ! », pensa t-elle.

« Oh, les sacrifices que je fais pour mes élèves ! », s’exclama Mme Adams en riant presque devant Laura.

«Est-ce que je te fais mal Laura? », demanda t-elle à la jeune fille qui gémissait pendant qu’elle lui tirait les poils et les lèvres dans un sens puis dans l'autre.

« OooooooooooH !!! », haletait la jeune blonde

« Je commence à avoir mal au dos Laura», dit Mme Adams. « Je vais changer de position ».

L’enseignante repassa derrière la tête de Laura et repris son séchage et lui passant dessus

« Là, ce est beaucoup mieux», soupirait-elle.

Au grand dam de Laura, la nouvelle position de son professeur avait pris au piège sa tête dans sa jupe, la plaçant face à sa culotte en dentelle de satin. Laura pouvait sentir l'odeur musquée de l'excitation de son professeur.

«Oh mon Dieu, elle est humide! », pensa-t-elle en remarquant des traces sur sa culotte.

Mme Adams était au 7eme le ciel. Elle avait sa meilleure élève nue sur son bureau, pratiquement le nez sur sa chatte ! Elle ouvrit et ferma à plusieurs reprises les lèvres intimes de la jeune blonde en tirant sur ses poils courts et en regardant les chaussures roses danser dans l'air. La pauvre fille gémit sous ses manœuvres, alors qu'elle poussait son nez sur la culotte et le sexe de son professeur.

Laura failli jouir à plusieurs reprises, mais réussit à se maitriser.

Cependant, rien ne dure éternellement et quand Laura leva les yeux, elle remarqua que son professeur n’était plus sur elle, mais la regardait avec dédain.

«S’il vous plaît laissez-moi . . . s’il vous plaît . . .  oh jouir! », pensa Laura alors qu’elle roulait sur le côté, toujours genoux étroitement serrés. Elle se retrouva face à face avec la photo de Gloria Steinem « Soyez fière ».

«Comment puis-je être fière quand je peux encore sentir l'excitation de mon professeur et que je ne pense qu’à jouir comme une salope? », pensait-elle, alors que les larmes menaçaient de tomber.

L’enseignante fit le tour de l'étudiante recroquevillée, jusqu'à ce qu'elle revienne au niveau de ses pieds. Elle observa le sexe, essuya son bureau, sous la chatte de la blonde, avec deux doigts et grimaça alors que ses doigts se retrouvèrent couverts des sécrétions de Laura.

« Oh mon dieu! Ça ne va pas du tout ! Si on continue comme ça, tu vas tremper et salir tout mon bureau !».

"Allez, relève-toi ! Descends de mon bureau . . .  tu laisses des traces comme un escargot. »

Laura descendit, rougissante de gêne en constatant les traces qu'elle avait laissés, tout en essayant de tenir debout sur ses jambes tremblantes.

« Bonne fille. Maintenant, enlève ta jupe et ta chemise, et puis assoie toi sur cette chaise en bois. », ordonna Mme Adams en montrant la petite chaise en bois en face de son bureau.

Laura tourna le dos à l'enseignant et pudiquement ôta ses vêtements et les plaça sur le dessus du bureau. Puis, avec son bras droit sur ses seins et sa main gauche sur son sexe, elle s’assit sur la chaise.

«  Maintenant, place chacun de tes genoux derrière les bras de la chaise. »

Laura essaya de penser à un moyen de suivre les instructions de son professeur sans exposer sa chatte, mais c’était impossible. Elle rougit en pensant comment elle allait se retrouver devant son enseignante.

« Trop tard maintenant, elle m’a déjà vue sous toutes les coutures. . . . Soyez fière ... », pensait-elle.

«Je suis désolée, ma chérie, je sais que c’est terriblement embarrassant pour toi, mais je suis une femme aussi. Et après tout, c’est pour ton bien», dit Mme Adams pour apaiser la jeune fille.

Laura étouffa ses larmes alors qu'elle plaçait chacune de ses jambes sur les bras du fauteuil.

«A quelle salope je dois ressembler ! », se dit la pauvre blonde en tentant de couvrir sa chatte humide béante.

« Allons, allons Laura, ne sois pas stupide ! Retire ta main et saisit les pieds arrière de la chaise afin que je puisse faire quelque chose au sujet de ton problème. »

Laura mourrait de honte mais respecta les ordres du professeur. Il n'y avait pas moyen de cacher quoi que ce soit à cette femme sévère dans cette position obscène.

Mme Adams dirigea à nouveau le ventilateur vers la fente grande ouverte, le sexe dégoulinant de Laura.

« Eh bien, au moins cela va t’empêcher de ruiner mon bureau», déclara la femme, avec une mine de dégout en regardant à nouveau les dégâts de Laura.

Mme Adams essuya ses doigts en les étalant sur orbes minuscules de Laura. Puis elle s’assit sur le devant du bureau, directement en face des jambes écartées de la jeune fille.

Pendant un moment, elle regarda les effets de la brise du ventilateur sur le sexe de son élève à bout de souffle. Sa jupe avait été tirée vers le haut alors qu’elle s’était assise sur le bord du bureau, donnant un aperçu aguichant à Laura de ses bas et de sa culotte en dentelle.

« Bientôt, très bientôt, je ferai ce que je veux de cet enfant gâtée, mais je dois y aller lentement et ne pas effrayer ce petit lot !», pensa t-elle.

Le vent froid du ventilateur gardait Laura dans un état d'excitation constante. Oh, comment elle avait envie de toucher, ou demander qu’on touche son clitoris. Elle leva les yeux et vit sous la robe de son professeur la culotte et les bas de celle-ci.

« CULOTTE ... mmmmmm ... S’IL VOUS PLAÎT ... s’il vous plaît juste une à renifler », pensait-elle.

« Eh bien, maintenant il est temps d'essayer de sécher l’humidité en profondeur. Ecarte tes lèvres pour moi, j’ai une petite fille idée. »

Laura ne pouvait pas croire ce qu'elle faisait, mais elle pinça ses lèvres intimes entre ses doigts et les écarta, s’exposant d’elle-même comme une putain de bas étage.

Puis, Mme Adams posa son pied droit sur le côté gauche du pubis de Laura et son pied gauche sur le côté droit.

Bien calée, elle se mit à presser la chatte pour en sortir le jus

Laura haleta et enfonça ses doigts étroitement dans ses lèvres pour s’empêcher de se masturber ouvertement devant son professeur.

Mme Adams regardait Laura comme si elle était une sorte de perverse, et répéta ses mouvements plusieurs fois jusqu'à ce que Laura se mette à pousser son sexe en avant pour aller à la rencontre des semelles des chaussures de la femme. Mme Adams fit alors exprès de rater son mouvement par "accident" et de frotter la pointe de sa chaussure sur la chatte de la jeune blonde.

« Ahhhh ... », gémit Laura bruyamment, en poussant ses hanches pour répondre à l’intrusion de la chaussure, alors qu’elle sentit son corps s’approcher de l’orgasme.

Mme Adams regardait la blonde aller à la rencontre de sa chaussure telle une chienne en chaleur, et juste avant que la jeune étudiante atteigne l'orgasme, elle retira ses pieds de la chatte de la fille et dit: «Eh bien, je pense que c’est le plus sec que nous pourrons obtenir aujourd'hui. Rhabille-toi et reviens demain soir jeune fille. ».

La femme se leva.

« Allez jeune fille ... on se rhabille ! », ordonna Mme Adams.

Laura était extrêmement gênée. Il n'y a pas de bonne façon pour tenir ouvertes vos lèvres et de gémir comme une chienne pendant que votre enseignante oblige les sécrétions de votre sexe à sortir avec ses chaussures, et de redevenir une étudiante sérieuse ensuite.

Elle enfila sa jupe et sa chemise.

« Et n’oublie pas : aucun sous-vêtement demain et met une jupe flottante pour la ventilation, au moins jusqu'à ce que ton état s’améliore », déclara Mme Adams, en souriant.

Laura essaya de se redresser du mieux qu'elle pouvait. Ses jambes pouvaient à peine soutenir son poids après avoir été dans ces positions horribles tout en étant excitée impitoyablement. Elle essaya de ne pas regarder la robe de son professeur, mais elle était sûre qu'elle avait été surprise à regarder à plusieurs reprises.

Elle n’arrêtait pas de s’imaginer sur ses genoux, le visage enfoncé dans la robe de la vieille salope, sentant sa culotte en dentelle.

Laura sortit sans demander son reste.

Mme Adams verrouilla la porte derrière Laura et s’assit. Sa main droite se mit à travailler sa chatte, tandis que sa gauche massait ses gros seins. Elle baissa la tête, tira la langue et lécha le nectar laissé sur son bureau par sa jeune étudiante.

«Ahhh .... J’ai envie de te goûter depuis si longtemps ... ma douce petite fille. », pensa Mme Adams, en savourant la saveur de Laura. Il lui fallut un certain temps pour jouir, mais après une heure, elle fut submergée sous les effets de son orgasme.

«Oh, ça été long à venir. Je n’ai jamais eu une si jolie petite fille que cela. Je suis sûr que j’aurais pu la baiser aujourd'hui, mais je vais taquiner cette salope progressivement. Elle finira par me supplier de pouvoir venir sous mon bureau pour me bouffer ma chatte pendant des heures », se dit-elle

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