Lundi 26 janvier 1 26 /01 /Jan 21:23

Chapitre 4 : Monique apprends à obéir à Laura

Laura se précipita vers son dortoir le plus rapidement possible. Le ventilateur infernal avait séché les sécrétions de ses lèvres à l'extérieur de son sexe, mais dès qu'elle remit sa jupe et se souvint de sa chatte exhibée entre ses jambes devant le Dr. Adams, sa vulve est rapidement devenue encore plus humide qu'avant. Son jus coulait littéralement sur ses cuisses.

Les effets du ventilateur soufflant sur son sexe l'avaient laissée en fait sexuellement beaucoup plus sensible. Elle pouvait sentir chaque rebond de ses petits seins lorsqu’elle marchait vers le dortoir. Ses tétons gonflés étaient si durs qu'ils lui faisaient mal. Chaque fois qu’ils glissaient sur le tissu de sa chemise, ils lui envoyaient des ondes de plaisir et de douleur dans son clitoris. Son sexe humide la rendait folle aussi. Elle pouvait sentir ses lèvres trempées glissant l’une contre l'autre à chaque pas. Le jus collant séchait en coulant sur chacune de ses cuisses ce qui l’obligeait à marcher les jambes légèrement arquées. C’était comme si les courants mêmes de l'air caressaient son clitoris dressé. Elle s’effondra presque dans un orgasme lorsque le bout de chair toucha par accident le tissu de sa mini-jupe.

Mmmmmm ....

« Lorsque je vais arriver dans la chambre, Je vais me frotter le reste de la soirée ».

Mais quand elle ouvrit la porte de sa chambre, Laura la trouva occupée.

« Merde, la négresse est là ! », pensa Laura en ouvrant la porte.

En entrant, elle regarda bouche bée la vue qui s’offrait à elle.

Monique accrochait une affiche montée sur une chaise, bras tendus, sur la pointe des pieds.

Mais ce qui attirait l'œil de Laura était le cul de la jeune noire.

Ce cul était recouvert seulement par une fine culotte blanche extensible. La culotte pénétrait largement dans la raie dévoilant une grande partie des fesses musclées et comprimait la motte de la vulve en la faisant ainsi ressortir.

«Dieu merci, tu es de retour Laura, j’ai vraiment besoin d’aide. Viens ici et aide-moi à tenir le bas de l'affiche. »

Laura laissa tomber son sac de livre et les yeux ne quittant pas le cul de Monique, elle tint le côté gauche du bas de l'affiche. Elle essaya de rester aussi loin de la culotte de la noire que possible. Elle ne se faisait pas confiance pour contrôler les étranges pulsions qui la gouvernaient aujourd'hui.

Puis le coin inférieur de l'autre côté de l'affiche s’est détaché et enroulé.

«OHH .. Peux-tu tenir de l'autre côté aussi Laura. », demanda Monique.

Laura se posta derrière Monique et tint les deux côtés de l'affiche contre le mur. Cela mit son visage juste en dessous du cul de la noire. Elle essaya de ne pas lever les yeux, mais bientôt ne put plus résister. Elle regarda les muscles du cul en mouvement de Monique alors que celle-ci se déplaçait d'un côté à l'autre. De temps en temps, fugitivement, elle avait vu sur les poils noirs crépus de l'entrejambe qui sortaient de la culotte. Lorsque Monique avança un peu vers le mur, Laura eu vu sur la totalité de la motte moulée par la culotte.

Les fesses charnues de Monique bougeaient juste au-dessus du nez de Laura. A la grande surprise et la joie de Laura, le cul de Monique finit par buter sur son nez. La jeune fille sembla ne s’apercevoir de rien et a continuait à travailler sur l'affiche et en frottant le visage de Laura sur ses fesses de temps à autre.

« Quand elle recule et «entre en contact avec mon nez, techniquement, c’est de sa faute pas la mienne », rationalisa Laura

Laura inhalait le parfum de la culotte et du sexe odorant de la jeune noire, et bientôt commença mouiller comme une damnée.

Laura était envoutée par les effluves et oublia où elle était. Elle commença à frotter son visage sur le cul de Monique et même entre ses jambes écartées, tout en humant l'odeur musquée à travers la culotte blanche.

« Eh bien Laura, quelle vicieuse tu fais ! Que c’est bon pour une black, après des années d'esclavage et de discrimination, qu’une riche chienne blanche comme toi lui renifle le cul et la moule ! », lança Monique en éclatant de rire.

«Allez, retire ton nez de mon cul . . . ! Qu’est-ce que tu as fait de ma culotte ce matin ?" demanda Monique. "Je l’avais laissée ici et maintenant je ne la trouve plus. »

«Je suis désolée ... Je suis désolée ... ce était un (sniff) accident ... s’il te plaît (sniff) ne dit rien s’il te plaît .... pp-tt-ne dit pas .. ».

Laura ouvrit son sac et rendit la culotte froissée et humide à sa propriétaire. Ce faisant, la deuxième culotte noire tomba sur le sol. A cette vue, Laura craqua et se jeta à plat ventre sur son lit, et éclata en sanglot sur son oreiller.

Sentant la victoire arriver, Monique s’approcha, monta sur le lit et écartant les jambes, se plaça sur Laura, juste en dessous de sa tête.

 «Allons Laurie arrête de pleurer ! Je n’aurai jamais pensée qu’une fille de bonne famille blanche comme toi aurait envie de renifler mon cul noir comme une salope».

Monique caressa les cheveux mouillés de la blonde désemparée, puis retourna Laura et placa sa tête entre ses genoux.

«Mais remarque, je commençais à me poser des questions . . . la façon dont tu me regardais, comme tu me déshabillais des yeux  . . . oui, je me posai des questions . . . . Tu sais, je fais des études de psychologie, et je suis assez bonne dans mon domaine . . . . J’ai donc décidé de te tester. . . .D'abord, j’ai laissé trainé une culotte propre ce matin et fait en sorte de que mes sous-vêtements et vêtements sales soient visibles. J’ai fait du Jogging en veillant à suer comme une salope ... puis quand je suis revenue je me suis bien branlée avec ma culotte  . . . . et j’ai installé une caméra vidéo pour bien comprendre ce qui allait se passer »

Monique éclata de rire.

«C’est peu de dire que j’ai jamais vue une telle salope en action ! Même dans les pires pornos ! »

Monique rit de plus belle.

« C’est pour ça que j’étais en train de mettre cette affiche quand tu es arrivée. Quand tu t’es mise à frotter ton nez sur mon cul et à renifler ma chatte, j’ai eu la preuve que tu es une belle salope lesbienne qui flash que les blacks ! », dit Monique caressant les cheveux de Laura.

En pleurant entre les genoux de Monique, Laura devait résister à l’envie de coller son nez dans la culotte musquée à un doigt d’elle. Elle résista, regarda en  face Monique, ne pouvant faire autrement que de voir ses gros seins noirs suspendus juste au-dessus d’elle. Les gros mamelons étaient visibles à travers le mince coton du soutien-gorge.

«Je suis désolé Monique, je ne sais pas ce qui s’est passé. Après le rêve bizarre de cette nuit, j’ai trouvé ce matin l'odeur des culottes irrésistible. Je sais que j’ai fait aujourd'hui est immoral, mais je n’ai pas pu m’empêcher de me masturber lorsque j’ai senti ta culotte. Je ne pouvais pas me contrôler . . . . mais je ne suis pas une lesbienne, j’aime les garçons. J’étais en retard après et pressée et j’ai mis sur ta culotte par accident. Je ne l’ai pas volée. Elle était trop serrée et je suis allé à la salle de bain de l'école où une jeune fille a essayé de m’aider et j’ai senti sa culotte et puis je me suis masturbée à nouveau. J’ai salie la culotte et ensuite dû aller au cours cul nu et mon professeur m'a attrapée sans culotte. J’ai menti et dis que j’avais un problème de santé et elle s’attend à ce que je ne pas plus de culotte pendant plusieurs semaines. Je ne sais pas quel est le problème avec moi, mais je ne suis pas une lesbienne, je ne suis pas une lesbienne .... S’il te plaît, aide moi, je ne suis pas une lesbienne » . . . . suppliait Laura. «J’ai juste développé cette obsession pour les culottes aujourd'hui. »

« Laura, vu ma formation, je pense que tu es une coincée du cul qui fantasme de façon refoulée sur les femmes et donc sur moi ! . . . mais je suis prête à te donner le bénéfice du doute ».

Monique fit la moue ;

« C’est soit tu es une lesbienne refoulée, soit tu as développé un fétiche aigu . . . . Comme les travelos en fait qui vivent leur vie comme des gens normaux et puis tout d'un coup, ils ont l’obsession de porter des vêtements de femme et se transforment en pervers  . . . le seul traitement pour guérir ces pervers est de les aider à affronter leur obsession ..."

Monique avait adopté un ton professoral.

«Ils subissent des séances ou ils  portent des vêtements de femmes extrêmement sexy toute la journée, des talons de 10 cm, des corsets bien serrés faisant bien ressortir leurs culs, et 24/24 H, et 7 jours sur 7. Ils découvrent que la réalité est très différente de ce sur quoi ils fantasment . . . qu’en fait, dans cette tenue ils ne sont pas autre chose que de grosses salopes ! »

« Laurie, je suis prête te donner le bénéfice du doute et à d’administrer ce type traitement pour t’aider ! Mais il faudra m’obéir en tout ! Garder à l'esprit que je pourrais dire des choses choquantes, blessantes, assez horribles ou te faire faire des choses que n’apprécie pas, mais pour ton propre bien. Tu comprends? »

Monique laissa passer un ange.

« Alors ? Tu vas faire ce que je dis? »

Laura ne pouvait pas croire à la chance qu'elle avait. Elle n’avait jamais de sa vie imaginée que les gens pourraient être aimables, sans en retirer un bénéfice lorsqu’ils sont confrontés à une déviante sexuelle ... comme elle. « Monique est honnête. Je ne suis pas une lesbienne, je connais mon mal ! J’ai un fétiche aigu ! . . . et quelqu’un pour m’aider ! ». Les ennuis de Laura semblaient pour la première fois aujourd'hui avoir une chance de se résoudre. Elle a commencé à pleurer, submergée par l'émotion de la bonté de sa compagne de chambre.

« Merci. Merci Monique, je vais essayer de faire tout ce que tu dis ... »

Laura sanglotait, mais en même temps l'odeur musquée du sexe et des cuisses sombres l’accablaient

« Tout d'abord, tu dois te mettre dans une tenue qui sera à même de t’exciter . . . c'est-à-dire nue ! ». Monique déshabilla Laura sans attendre. La jeune blonde se retrouva nue debout au pied du lit, avec ses seules chaussures roses aux pieds.

Laura essaya de se couvrir avec ses mains comme elle le pouvait, en regardant les pieds de Monique et parfois de sournois coups d’œil à sa culotte.

«Pour te forcer à surmonter ton obsession des culottes, pour le reste de la journée, je vais rester en sous-vêtements. Tu vas nettoyer la chambre nue . . . ce qui me permettra de voir quand la vue de mon corps te fera mouiller. Il faudra aussi consigner sur vidéos et un journal de traitement toutes les pensées sales et cochonnes que tu auras.".

C’était très humiliant pour Laura de faire le ménage nue sous le regard de la jeune noire. Il y a peu la jeune blonde regardait la noire de haut, mais maintenant, elle aurait pu jurer que c’était la noire qui la méprisait.

« Bien ! Tu as bien rangé mes vêtements, maintenant va chercher une éponge et mets de l'eau chaude savonneuse dans l'évier et va tout récurer ma salope ! », ordonna Monique, qui était assise à regarder la télévision distraitement en frottant sur sa culotte de coton avec 2 doigts.

Regarder la jeune fille noire légèrement vêtue et suivre ses ordres nue conduisait Laura à être dans un état constant d'excitation. Elle était humiliée à la  pensée de ce à quoi ressemblait une perverse comme elle en train de laver le sol sur les mains et les genoux, avec sa vulve gonflée et le jus de son sexe coulant sur ses cuisses.

« Allez ! On bouge son cul ma salope ! On s’active ! », tonna Monique.

«Je dois me rappeler qu'elle me traite mal pour mon propre bien », se dit-Laura en ravalant  sa colère. La pauvre blonde était nue, une éponge dans les mains couvertes d’une paire de gants en latex ».

« Parfait ma cochonne ! Tu as fait du bon boulot !, détends-toi sur ton lit pendant que je fais mes exercices."

Monique commença ses exercices, laissant sa colocataire blonde essayer de regarder la télévision.

Cependant, les mouvements de la belle noire rendaient l’idée de regarder la télé tout à fait impossible pour Laura.

L’adolescente regardait du coin de l'œil sa compagne de dortoir sauter et sa culotte mouler sa vulve de façon obscène. Les sauts secouaient les beaux seins et les fesses de la noire. La transpiration de la jeune fille rendit le coton blanc transparent, exposant sa moule et ses mamelons sombres clairement. La jeune blonde était folle de désir.

«Je te vois me reluquer petite pute ! Viens ici et assieds-toi sur le sol avec moi ».

Laura se leva et s’agenouilla sur le sol en face de Monique, qui s’exerçait encore. Sa culotte se glissait dans son sexe à chaque mouvement brusque.

"18-19-20 ... ouf ... Tu ressens le besoin de te masturber?", demanda Monique innocemment.

Laura rougit et hocha la tête, puis regarda la moule trempée de sueur la noire.

« Alors, dis-le moi ma salope. Dis-le à haute voix ! »

Laura rougit, regardant directement l'entrejambe de sa camarade de dortoir.

« Maintenant ! », commanda Monique.

«Je ... euh ... J’ai besoin de me masturber », murmura Laura.

«Allons, une salope comme toi ne parle plus de façon aussi châtiée ! Sois bien vulgaire ! Soit bien putassière !"

« S’il te plaît ... ne me fais pas dire cela. », supplia Laura.

« Bien, tu ne dois pas avoir besoin de baiser ce soir de toute façon. », dit Monique en saisissant chaque côté de sa culotte et en la tirant vers le haut afin de la presser sur son sexe. La manœuvre permit à Laura de voir tous les replis du sexe encore couvert de la jeune fille.

Laura essaya d'être forte, mais les taquineries constantes de Monique et de son professeur avaient détruit sa fierté.

« S’il te plaît Monique, je dois à b . . . baiser- (sniff) ma chatte de pute blanche avec mes doigts ».

Laura ravala un sanglot.

«C’est pour mon propre bien, après tout », se rassura-t-elle.

« C’est mieux.. mais tu peux mieux faire ! »

« S’il te plaît .. Monique.. Je euh .. j’ai besoin de baiser (sniff) ma chatte de pute (sniff) comme une chienne en chaleur (sniff) »

« C’est bien ma salope !", dit Monique en caressant la tête de Laura. "Eh bien, vas-y, branle toi ! »

Laura porta sa main à son sexe, puis hésita. Comme elle leva les yeux vers Monique, elle plaida : « S’il te plait . . . je ne peux pas faire quand tu regardes ».

Laura pleurait de frustrations.

« Maintenant ... maintenant .. Tu ne vas pas revenir sur notre marché ? Allez, branle-toi comme la petite cochonne que tu es ! »

« .. Pour moi ..Petite lesbienne ! »

« Ok, je vais t’aider, parce que tu as fait du bon travail.".  Monique se dirigea vers son bureau et apport sa chaise de bureau, la posant devant Laura. Elle s’assit, en gardant son sexe devant le visage de Laura et en écartant ses longues jambes noires. Ensuite, elle posa ses pieds sur le dessus des épaules de Laura et tira la jeune fille à quatre pattes directement en face de sa chatte. »

Monique tira sa culotte d’un doigt et d’un autre caressa ses grosses lèvres pendantes.

« Maintenant, regarde-ça ma cochonne . . . regarde . . . Bien grasse, bonne à être bouffée. Allez, ma petite salope . . . C’est à ton tour. J’ai fini mon show . . . Tu me montres le tiens. »

Laura regardait la bouche ouverte les doigts de Monique travailler sa chatte. Submergée par la luxure, Laura commença à jouer avec son clitoris douloureux. Avec la sensation écrasante de l'orgasme venir, elle porta sa main gauche à sa chatte et fit entrer et sortir deux doigts dans et hors de son sexe dégoulinant de mouille en regardant la superbe noire se masturber devant son visage.

Monique commença alors à frotter ses pieds sur le visage et le corps de Laura, avant de finalement saisir la tête de sa victime entre ses cuisses chaudes, puis tira son visage sur le coton transparent recouvrant à nouveau sa chatte.

« C’est ça. C’est ce que tu as besoin .... renifle ma culotte stupides bimbo. Oh yeah ... frotte ton visage dans mon jus. Joue avec tes petits seins de fillette. Tu aimerais avoir des vrais seins de femme comme moi non? », cria Monique en tirant sur ses propres mamelons sous son soutien-gorge.

Laura était morte de honte. Elle hocha la tête dans entre les cuisses noires de sa colocataire.

«Pourquoi cette culotte me tourne la tête ? Pourquoi les insulte m’excitent et me font de plus en plus mouiller ? », se demandait-elle.

Elle commença à tirer sur ses mamelons comme la noire le lui avait ordonné.

« Oh mon Dieu-oh oui bébé branle ta chatte de chienne pour maman .... »

Laura a commencé à pousser ses doigts dans son sexe dégoulinant. Son nez s’enfonçait dans la chatte de Monique et elle inhalait l’arôme musqué des sécrétions moites de la jeune noire.

Monique jubilait de voire la reine de glace le nez collé dans sa chatte grasse alors qu'elle enfonçait ses doigts dans son sexe.

«Hmmmm ... bien la reine de glace a fondu et elle est maintenant dégoulinante partout !».

Monique éclata de rire à sa réplique et en regardant la mouille dégouliner sur les cuisses de Laura.

"Ugh ... ohh.. chienne salope pute lesbienne..."

« ugh ... ahh ... renifleuse de cul de black .... »

Monique haletait.

« Oh ouuuiiii..fourre ton nez au fonds ... eeeoowww».

Elle jouit sur le visage de Laura.

Après avoir surmonté son orgasme, Monique fronça les sourcils vers la blonde toujours en train de se masturber.

« Assez de branlette pour maintenant ! Assez j’ai dit! ».

La fille noire tira les mains de Laura loin de son sexe.

« Si avais envie de faire, tu aurai déjà fait. »

« S’il te plaît ... si proche ... », gémit Laura, ses hanches poussant toujours à la recherche d'un point culminant désormais perdu.

« Peut-être que tu pourras essayer à nouveau plus tard, mais pour l'instant j’ai faim et je suis sûre que toi aussi. »

Monique enfila un jeans et t-shirt.

« Laura, je vais à acheter une pizza. Je ne serai pas partie longtemps, mais tu vas rester nue, et tu ne te masturberas pas jusqu'à mon retour. Cela inclut de ne pas serrer les cuisses comme tu le fais maintenant salope en rut ! »

Laura rougit sous le regard sévère de sa compagne de chambre. Laura ne comprenait pas pourquoi son corps semblait avoir sa vie propre. Elle n’avait même pas réalisée qu'elle serrait ses cuisses si fort.

«Tu m’attends en gardant au moins 5 cm d'espace entre les genoux !, Et n’essaye pas de tricher vicieuse ! »

Monique regardait sa compagne de chambre rougir de honte. Elle avait l'air de vouloir être n’importe où sauf ici !

« Allez ! », exigea Monique.

Laura écarta lentement ses jambes, sa peau s’accrochaient délicieusement où son jus avait collé ses cuisses ensemble. Elle regarda son sexe gonflé et humide, ses lèvres entrouvertes indécentes.

«Ma chatte est gorgée de jus, une chatte de pute en chaleur», pensa-t-elle.

« Laura, je pars et je branche la caméra vidéo pour être sûr que tu suivras mes instructions. Allez, enregistre ton journal de traitement devant la caméra, pendant que je suis sortie », ordonna Monique en fermant la porte derrière elle.

Alors que Monique avait disparu, Laura réussit à faire l'enregistrement sans se masturber . . . mais pas sans pleurer ni être incroyablement excitée. Laura essaya de se trouver des excuses pour marcher autour de la salle, afin qu'elle puisse frotter ses cuisses. La pauvre fille pensait avoir été discrète, mais son déhanchement exagéré et la manière dont elle plaçait un pied bien à l'extérieur de l'autre quand elle marchait la trahirent.

Monique finit par revenir, se déshabilla à nouveau et commença à manger de la pizza. Laura était distraite alors qu'elle regardait la jeune fille noire manger le fromage et la sauce.

Monique enleva la culotte qu'elle portait et son soutien-gorge, et tandis que Laura regardait attentivement, glissa un déshabillé sur son dos. Le tissu transparent en dentelle ne cachait rien de sa voluptueuse anatomie.

« Ok Laura, il est temps pour d’aller au lit !-bye .. », dit-elle en retirant du lit de Laura son couvre-lit.

« C’est pour que tu ne te masturbe pas sournoisement sans que je ne le vois ! », répondit Monique à la question tacite de Laura.

Laura monta dans le lit, puis Monique l’embrassa légèrement sur la tête en s’assurant qu'elle ait bien vue sur ses gros seins noirs.

« Bonne nuit ma belle. Tu as été une bonne fille aujourd'hui en essayant de na pas te comporter en lesbienne en chaleur, maman est fière de toi pour te dire la vérité », dit-elle.

Puis elle ramassa sa culotte et la mit sur la tête de Laura, en veillant à ce que le coté de devant soit sur sa face.

"Ce sera ta nuisette à partir de maintenant . . . ", railla la noire.

Laura essaya de dormir, mais nue, sans couverture, la tête dans une petite culotte baignée de jus, elle ne le pouvait pas.

«Qu'est-ce que Monique voulait dire quand elle a dit, « Maman est tellement fière de toi »? Je ne pense pas que ma maman serait très fière si elle me voyait dormir nue sur le lit avec la tête dans une culotte sale d'une fille noire. Je pense qu'elle serait dégoûtée si elle savait comment je suis chaude et humide, que je mouille juste à l'odeur de son sexe. Oh Dieu, même l'ail et l'origan de la sauce à pizza qui allaient dans sa bouche m’excitaient. »

Sa nouvelle nuisette lui servit de rappel humiliant de sa déviance sexuelle actuelle par rapport à sa vie normale.

« Monique ??? »

« Monique? »

« Oui, Laura. », répondit Monique ravie.

« Je ne trouve pas le sommeil. J’ai besoin de m-ahh .. masturber à nouveau. »

« Maintenant ?, ok, mais .. Mais demande le mieux ! »

Il y eu une longue pause.

« S’il te plait Monique !, je meurs d'envie ....... de baiser ma chatte humide et malodorante avec mes doigts comme une salope. »

« Ce n’est pas mieux? OK, descends du lit et agenouille-toi.", dit Monique en tapotant le sol à côté de son lit.

«C’est ça ma fille, je veux que tu sois face à mon cul. »

"Voilà, c’est comme ça que tu vas jouir pour moi à partir de maintenant .. OK ??"

« Allez bébé .. », la rassura Monique en frottant les cheveux de Laura alors qu’elle collait son nez dans la raie de la noire, entre les globes voluptueux de son cul.

« Vas-y Laura. Et n’oublie pas de renifler ma culotte pendant que tu joue avec tes petits seins. »

La jeune blanche frémit dans l'obscurité.

« Et jouie rapidement salope ! », réprimanda Monique.

« Oh putain! Je dois me dépêcher! », pensa Laura, en doigtant sa chatte et se tirant les tétines. Laura sentait l’odeur musquée du cul de Monique à plein nez.

"Oh ouais ... oh putain .... ma chatte ... mmmmm ... culotte ... oh..oh..oh..ahhhhh", cria Laura en se laissant submerger par l’orgasme.

Arrêtant les mouvements de Laura, Monique ordonna : « Bon travail, ma petite salope ! Tu m’as bien reniflé le trou du cul .. Maintenant, retourne à ton lit».

L’étudiante blanche était épuisée et grimpa dans son lit. Monique poussa le bouton de son appareil, et la lumière rouge commença à briller sous le lit de Laura.

«Mon plan se déroule encore mieux que je ne l'imaginais. J’ai eu deux des meilleurs orgasmes de ma vie à regarder Laura se comporter comme une chienne en rut, conformément aux pulsions j’ai implanté dans son subconscient. Putain, je n’ai même pas eu à faire chanter cette salope ! Elle s’est livrée d’elle-même entre mes mains ! », se dit Monique.

Elle avait été tenté de modifier la bande que Laura écoutait pour pousser plus loin, mais la blonde était bien réceptive. Assister, participer à la déchéance de la bimbo blanche allait être un vrai plaisir !

«Ouais, superbe journée! », pensa Monique en s’endormant.

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Les odeurs du Vice, par Couture - Communauté : Soumissions féminines
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Commentaires

Très très bon chapitre.
commentaire n° :1 posté par : Rudy le: 27/01/2015 à 06h10

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