Laura se réveilla avec la tête entourée par les cuisses de Monique, regardant droit dans la chatte de la noire.
Surprise, Laura s’affola, se releva brusquement et sauta du lit.
« Chut, calme-toi, salope . . . Tu es avec moi », dit Monique. « La nuit dernière, alors que tu étais endormie, je pense avoir trouvé un remède pour ton lesbianisme. »
Laura se calma et écouta avec espoir.
« Hier, tu as eu beaucoup d’ennuis parce que ta chatte était trop chaude et humide. Donc ce matin, je vais te donner un traitement électrique qui va anesthésier tes pulsions avant d'aller en classe. Cela devrait calmer ta chatte pour le reste de la journée »
Laura écoutait attentivement
« De cette façon, tu ne dois plus avoir envie de renifler les culottes. Sinon, salope comme tu es, une journée entière sans culotte te ferai encore mouiller et ce serait comme envoyer un message : baise-moi, je suis une chienne en chaleur ! . . . . Tu ne veux pas que ce soit ton nouveau surnom à l'école? »
« Non! », répondit Laura en secouant la tête de gauche à droite.
Monique saisit chacune des lèvres intimes de Laura, les ouvrit et les ferma rapidement. Laura était humiliée par les sons humides de son excitation.
« Est-ce que ça va faire mal? », demanda Laura humblement. Elle cessa de se débattre et écarta les jambes, de sorte que sa colocataire pourrait lui donner ce nouveau traitement facilement.
« Non. Peut-être piquer... Un petit peu... Mais pas beaucoup . . . Je vais mettre un gel qui limitera les effets »
« Merci ! », lança Laura, sincèrement reconnaissante
« Voilà, on va appliquer le gel d’abord »
Monique allongea Laura sur son lit, la chevaucha, plaçant son entrejambe au-dessus de son visage, et enduisit le sexe de le jeune blonde avec un gel épais.
« Hi, hi! Comme si ce n’était pas assez humide déjà. », commenta t-elle.
Monique étalait le gel froid dans tous les replis intimes de la chatte de sa compagne de chambre.
« Uh huh », grogna Laura, le souffle coupé, alors qu'elle tentait de réprimer un gémissement d’excitation. Elle était cependant soulagée d'avoir quelque chose pour cacher les sécrétions évidentes qui dégoulinaient déjà de sa chatte aux yeux de la jeune noire. Elle essaya de contrôler ses pulsions, mais elle pouvait sentir ses hanches commencer à la pousser de leur propre gré vers sa compagne de chambre.
« Bien, maintenant, on va faire pénétrer le gel à l'intérieur de toi », dit Monique, en pénétrant la chatte de la jeune blanche avec un petit gode vibrant.
« Mmmmm », gémit Laura, prise par les sensations de plaisir qu'elle éprouvait. Le sexe de la jeune noire était à quelques centimètres de son visage. Elle pouvait sentir son arôme musqué et elle mourait d'envie de coller son nez dans le pubis aux poils crépus.
«Cette partie des opérations peut piquer un peu. Evites de crier si tu veux éviter que nos voisines de chambre pensent que tu es salope lesbienne qui se fait baiser ! », averti Monique, alors qu’elle appliquait l’embout d’un appareil sur la chatte de Laura et appuyait sur un interrupteur.
« Oh, merde! Oh, putain! », s’écria Laura, en sentant un léger courant électrique passer dans sa chatte, excitant chaque muscle de son sexe et le faisant s’ouvrir et fermer involontairement. Entre le gode vibrant dans sa chatte et les chocs électriques sur sa moule, Laura ne savait plus où elle était !
“Aïe! Aïe! OH! Merde! OH! OW! NonI! », cria Laura à chaque impulsion électrique provenant de l'étrange appareil.
Ses hanches absorbaient chaque secousse électrique envoyée sur son sexe. Elle avait peur, mais en réalité les chocs étaient légers.
Mais l’excitation qui résultait de cette double stimulation était terrible, presque insupportable !
« Tu devrais te calmer salope ou tu vas réveiller tout le monde ! », murmura Monique. « Et nous devrons nous expliquer . . . et tu sais que je ne sais pas mentir ! »
Consciente qu’elle n’allait pas pouvoir retenir ses cris, Laura regarda autour d’elle pour trouver quelque chose à se mettre sur la bouche. Tout ce qu'elle vit et sentait était le sexe sombre et humide directement en face de son visage.
« Oh, Oh, Oh, putain mmmpphhff », marmonna Laura en poussant sa bouche et le visage serré contre la chatte offerte de Monique.
Heureuse de cette initiative, Monique décida de donner à Laura une récompense, et elle tourna le gode vibrant d'un cran.
« Mmmmmm », gémit Laura alors que son nez glissait entre les lèvres humides et s’enfonçait profondément dans le sexe de la jeune noire.
Veillant à garder sa chatte bien écrasée sur le visage de Laura, Monique continua à travailler la chatte blanche de la blonde avec son petit appareil.
Partout où l’embout de l’appareil touchait les poils pubiens blonds épars, ceux-ci commençaient à se faner puis à tomber. L’étrange appareil était en fait un épilateur électrique !
«Oui, petite pute lesbienne, tu es coincée ! Bientôt. . . bientôt. . . tu sera lisse comme une petite fille, tes petits poils blonds ne seront pas de retour avant très, très longtemps», pensa Monique en souriant méchamment.
«Tu ne sais plus quel prétexte trouver pour me bouffer ma chatte de noire bien poilue ! », railla Monique, en admirant son œuvre : une chatte blanche totalement chauve
Elle commença à se déhancher sur le visage de Laura, frottant sa chatte sur sa bouche et son nez, tout en appuyant sur ses lèvres intimes et son clitoris déjà dur.
«C’est ça salope, suce, lèche cette chatte, caresse avec ton nez... Oh ouais, . . . », s’écria Monique, au bord de l’orgasme.
Elle tourna le gode vibrant qu’elle avait planté dans la chatte de Laura au maximum, puis pinça les petits mamelons durs de la jeune fille, et se mit à baiser le visage de la blonde de toutes ses forces.
La pauvre Laura sentait un orgasme remonter des profondeurs de sa chatte. «Pourquoi suis-je tellement excitée par la chatte de ma colocataire? Je ne suis pas une lesbienne. . . Je ne suis pas une lesbienne. . . Je suis pas. . . », pensait-elle. Pauvre Laura, elle qui n’avait jamais donné volontairement à une autre fille de plaisir sexuel, savait tout à coup une chose: elle voulait jouir avec Monique.
Laura fit la seule chose qu'elle pouvait. Elle ouvrit la bouche et commença à sucer le clitoris dur de Monique. Elle passa sa langue dessus, se disant que c’était une petite bite. «Mmmmm, qu’il est bon. ». Laura essaya de sucer autant que possible les jus de Monique.
Monique commença à sautiller sur le visage de Laura. Ses seins moites se levaient et gonflaient à chaque fois, puis retombaient vers le bas. "Yippeee . . . . yeeaaa . . . tu es une sacrée bouffeuse de chatte salope !... je vais te juter dessus ! Oh putain, oh putain, ohhhh... », balbutia la jeune noire en se déhanchant.
Laura continua à renifler, à lécher, à sucer le sexe de la noire avec abandon, tandis que Monique jouissait, inondant le visage de Laura avec ses fluides intimes.
Après l'orgasme, Monique reprit ses esprits, se dégagea de Laura, retira le gode vibrant de la chatte maintenant totalement glabre de la jeune fille. Laura était immobile, les jambes encore écartées, et sa chatte lisse continuait à être prise de spasmes sur la fréquence de l'appareil électrique, même si celui-ci ne l’attaquait plus.
« Eh bien, il y a une bonne nouvelle et une mauvaise nouvelle, salope ! », dit Monique en admirant son œuvre.
« La bonne nouvelle, c’est que je pense que ce traitement devrait empêcher tes pulsions perverses pour toute la journée ».
Monique sourit
« La mauvaise nouvelle, c’est que l'électricité a rasé tes poils de jolie blonde. Ce n’est pas que tu en avais beaucoup de toute façon. Hé, hé! », compléta Monique en caressant la chatte blanche totalement offerte maintenant.
Laura s’assit en sursaut et, horrifié e, vit son sexe glabre. Ses mains s’avancèrent, caressèrent la chair tendre et nue, appréciant la douceur naturelle de sa peau.
« Oh, non! Oh, mon dieu! Comment va régir Mme Adams! Elle sait que j’avais des poils hier. Elle va penser que je suis... Je suis une sorte de petite salope perverse maintenant... », murmura Laura, alors qu’elle commençait à explorer manuellement la douceur soyeuse de son sexe avec sa propre main. C’était contre nature, et quand elle se toucha, c’était comme si la main d'un étranger la caressait. Le pire, c’est que c’était tout à fait délicieux.
« Ne t’inquiète pas salope, tu vas t’habituez à elle. Allez, on va aller nettoyer tout ça ! Tu as besoin d’une douche ! Tu pue la chatte en rut ! », ordonna Monique.
Elle saisit la main de Laura et la tira hors de son lit.
Les deux filles enveloppèrent leurs corps de serviettes. Monique passa à Laura une serviette qui ne couvrait qu’à grand peine ses seins et ses fesses. Elles prirent leurs articles de toilette et sortirent de leur chambre pour se prendre aux douches de l’étage.
Dans la douche commune, Laura a eu beaucoup de mal pour garder son sexe glabre caché des deux autres filles déjà là.
Regardant vers le bas, Laura commença à rougir, il n'y avait plus le moindre petit poil blond pour se cacher derrière. Quiconque aurait regardé ses lèvres gonflées et rouges distendues aurait deviné qu’elle venait de jouir. Elle crut entendre l'une des filles rire, et rougit en sachant qu’elle se moquait sans doute d’elle, de son corps pré-pubère, de ses minuscules petits seins, mais aussi peut-être de sa chatte lisse. Elle une petite fille entourée de femmes.
Le pire est que l'humiliation commençait à l’exciter !
Après leur douche, les deux filles retournèrent à leur chambre, et Monique commença rapidement à donner ses ordres à Laura
« Lorsque tu es dans cette salle Laura, tu dois être nue ! », déclara Monique, en dépouillant la jeune blonde de sa serviette et la poussant sur le plancher à genoux.
« Tiens, prends cette lotion et enduit mon corps. Allez salope, je n’ai pas toute la journée ! »
Laura était tellement gênée d'avoir à toucher le corps d'une autre femme, notamment une noire comme Monique qu’elle hésitait.
Monique dit : « Allez ! Ca fait partie de ta cure pour te guérir de ton lesbianisme»,
Donc, elle commença à frotter la lotion sur la peau de la jeune noire à partir des pieds. Arrivé sur ses cuisses, près de son sexe, elle hésita à nouveau.
«Partout, Laura. Ça doit devenir naturel pour toi de toucher, de caresser les parties les plus intimes des femmes ! ».
Laura versa un peu plus de lotion dans sa main et l'étala sur tout le sexe poilu de Monique.
« C’est bien salope... Le dos aussi. », dit Monique en se retournant et en poussant ses fesses vers le visage de Laura.
Laura ravala un sursaut de dignité et appliqua la lotion sur les fesses charnues et musclées de la noire
Comme si cette humiliation ne suffisait pas, elle du également appliquer la lotion sur les seins opulents de Monique. A chaque fois que Laura touchait les gros seins aux gros mamelons de la noire, cela lui rappelait combien elle était inférieure à sa compagne de chambre sur ce plan. Définitivement inférieure.
«Bon travail salope ! Tu as encore besoin de renifler ma chatte ou mon cul, avant de finir de t’habiller? »
Laura rougit; elle savait que Monique pouvait voir son sexe humide gonflé.
« Non, non. Je vais bien. », dit Laura.
L'odeur intime de la jeune noire lui imprégnait en fait encore le nez.
« Ne me mens pas salope, tu ne peux rien me cacher ! », dit Monique en glissant un doigt dans la chatte de Laura. La jeune blonde se déhancha de suite et vacilla sur ses genoux.
« Eh bien, habille-toi salope ! Et rappelle-toi les consignes de Mme Adams ! »
Laura devait suivre les ordres de Mme Adam aujourd'hui au moins. Donc, elle allait porter une jupe à carreaux noir plissée et volante, et un chandail en cachemire blanc. Monique insista pour qu'elle porte ses chaussures roses avec des chaussettes hautes, quasi aux genoux. Laura se sentit comme si elle avait régressée en une élève d’une petite école catholique.
«Eh bien, Mme Adams va penser que je suis une petite fille de toute façon . . . alors qu'importe? », pensa Laura, alors qu'elle quittait sa chambre pour la classe.
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