Dimanche 23 février 7 23 /02 /Fév 22:51

Chapitre 11 : Livrée en pâture  à ses « amies »

 

(Auteur: StormX)

 

 

À sa sortie du lycée, Julie voulut éviter de croiser trop de monde sur le chemin de sa villa. Elle choisit donc d'emprunter un sentier forestier peu fréquenté le soir et quelques petites ruelles désertes pour rentrer chez elle.

Le visage couvert du sperme du son professeur des technologies, la jeune lycéenne espérait de tout cœur ne croiser personne qui puisse profiter de l'état de son visage pour lui demander un quelconque service sexuel.

Par chance pour elle, Julie arriva chez elle sans encombres une demi-heure plus tard, soit dix minutes de plus que si elle avait pris le bus depuis l'arrêt du lycée. Lorsqu'elle rentra, Julie constata l'absence de son père, probablement retenu à son travail par une quantité impressionnante de paperasse urgente.

La jeune lycéenne mit à profit l'absence de son père pour s'essuyer le visage dans la salle de bain. Après s'être assurée que toute trace de sperme avait disparu de son visage, Julie alluma le téléviseur et se mit à regarder un épisode de "Friends" en attendant le retour de son père.

Celui-ci arriva environ une heure plus tard. Julie éteignit le téléviseur et alla saluer son père.

« Bonsoir, papa.

- Bonsoir, Julie. Ça va? Tu m'as l'air bizarre. Il s'est passé quelque chose?

- Non, rien. Je suis juste un peu fatiguée. Je vais aller me coucher. Bonne nuit, papa.

- Bonne nuit, Julie»

La jeune fille embrassa son père et monta dans sa chambre. Elle s'allongea sur son lit et se mit à pleurer abondamment, la tête entre ses mains. Elle voulait dire la vérité à son père mais elle craignait les représailles de ses tortionnaires s'ils apprenaient qu'elle avait parlé. Julie décida donc d'essayer de dormir avec l'image d'un week-end tranquille avant de retourner au lycée et de subir une énième humiliation. Malheureusement pour elle, son week-end ne serait pas de tout repos. Et, au fond d'elle-même, elle le savait.

Un étage en-dessous, le père de Julie regardait tranquillement un match de football quand le téléphone sonna. Il se précipita sur le combiné pour décrocher le plus rapidement possible de peur de réveiller sa fille qu'il croyait endormie.

« Monsieur Jouannot?

- Oui?

- Bonsoir. C'est M. Delfosse, le proviseur du lycée. J'appelle pour les cours d'appui de Julie. Je pense que, finalement, votre fille sera mieux chez moi. Elle pourrait apprendre en tandem avec ma fille Camille. Croyez-moi, les adolescents apprennent beaucoup plus facilement lorsqu'ils travaillent avec un ami.

- Je vous fais confiance. Si c'est ce qu'il y a de mieux pour Julie, c'est d'accord.

- Parfait. Je passerai la chercher demain matin vers 10h.

- D'accord. Merci, monsieur.

- C'est normal. Passez une bonne soirée, M.Jouannot.

- Bonne soirée à vous aussi. Au revoir.»

Le lendemain, Julie se leva de bonne heure car elle avait passé une très mauvaise nuit. Ses rêves ou plutôt ses cauchemars avaient été ponctués par les humiliations qu'elle avait subies au cours de ces vingt derniers jours. Elle s'étaient revue en train de sucer le proviseur dans son bureau puis le prof de sport dans son vestiaire en passant par la séance de pénétration pendant le cours de biologie durant laquelle tous les garçons de sa classe l'avaient pénétrée et éjaculé sur son corps et, pour finir, le prof de biologie lui enfoncer le gode dans le vagin après lui avoir fait boire un verre rempli du sperme des garçons qu'il avait récupéré et vidé un autre sur son corps, la faisant crier de douleur sous les éclats de rire de ses camarades.

La jeune femme se prépara une tasse de café et une tartine avec du Nutella. Son père entra dans la pièce, le sourire aux lèvres. Lui, au moins, avait bien dormi.

« J'ai une nouvelle à t'annoncer, Julie. Ton proviseur a appelé hier soir. Il propose que tu ailles étudier chez lui avec sa fille Camille. Je lui ai dit que tu irais. J'ai fait ça pour toi car je veux que tu réussisses ton année. Et le proviseur aussi. Il passera te prendre à 10h.»

Julie hocha la tête. Son intuition ne l'avait, hélas, pas trompée. Dans deux heures, elle partirait chez son proviseur pour une nouvelle humiliation qui ne ferait que la rabaisser davantage bien que, pour elle, cela fusse difficilement possible au vu du parcours qu'elle avait enduré.

Anticipant le souhait du directeur, la jeune lycéenne s'habilla de façon sexy avec un débardeur blanc et une mini jupe assortie sans mettre de sous-vêtements en-dessous. Julie eut ensuite tout juste le temps de faire sa toilette avant d'entendre la voiture du proviseur stationner devant la villa.

La jeune lycéenne sortit accompagnée de son père. Les deux hommes se serrèrent virilement la main et Julie monta dans la voiture du proviseur. Le père de Julie adressa encore quelques remerciements polis au proviseur avant que celui-ci ne prenne congé et ne parte en compagnie de Julie.

Dès qu'ils se furent suffisamment éloignés, le proviseur commença à caresser l'entrejambe de Julie. Mal à l'aise, la jeune femme prit sur elle, se préparant ainsi psychologiquement à l'enfer qu'elle allait subir une fois arrivée chez son tortionnaire.

« Alors, Julie? J'espère que tu n'as rien mis sous tes vêtements car je déteste perdre mon temps avec la lingerie.

- Non, monsieur... Je... n'ai rien mis.» répondit Julie d'une voix tremblante.

- Très bien...»

La voiture du proviseur finit par stationner une heure plus tard devant une superbe villa blanche entourée par une vigne sur trois de ses côtés. Le directeur sortit de la voiture et ouvrit la portière arrière du côté de Julie pour l'en sortir sans ménagement.

« Avance.» lui ordonna-t-il.

Apeurée, la jeune lycéenne marcha d'un pas craintif devant le proviseur qui fermait la marche.
Après lui avoir fait monter un escalier menant au perron de la villa, le proviseur ouvrit une porte fenêtre donnant dans la salle de séjour de la maison et annonça son arrivée et celle de Julie.

« Coucou, les filles! Votre surprise est arrivée.»

Aussitôt, des bruits de pas se firent entendre et Camille arriva complètement nue dans la pièce accompagnée de deux autres filles également nues. Toutes deux anciennes copines de Julie.

Les trois filles éclatèrent de rire en voyant Julie.

« Je m'attendais à la voir déjà à poil, pute comme elle est.» railla Camille.

Les deux autres éclatèrent de rire et l'une d'elles donna réplique à Camille.

« Moi, je trouve ça normal. Elle ne veut que des hommes. Or, nous n'avons pas de bite entre les jambes qu'elle puisse se mettre dans la chatte.»

Les trois filles pouffèrent de rire et le proviseur intervint.

« À ce que je vois, votre surprise vous plaît. Bon, qu'attendez-vous pour la mettre nue?»

Sans se faire prier, Camille et ses copines s'emparèrent de Julie et se mirent à la déshabiller. En moins de dix secondes, les trois filles avaient mis leur soumise à nu. En voyant "Julie, pute de l'école" inscrit sur la poitrine de Julie, le proviseur et les trois filles ne purent réprimer un immense éclat de rire.

« Ah... Décidément, je commence à adorer ce professeur des technologies! Pas vous, les filles?» demanda le proviseur.

Camille et les deux autres hochèrent la tête et, sans autres, s'attaquèrent à Julie. Après l'avoir fait tomber au sol, les trois filles prirent leur soumise par les bras et les jambes et la mirent à quatre pattes sur la table basse du salon sous les yeux satisfaits du dirlo qui s'était déshabillé et avait commencé à se masturber.

« Papa, va chercher les ficelles. Elodie, Manon, tenez-lui les bras et les jambes.» ordonna Camille.

Élodie et Manon maintinrent fermement Julie sur la table tandis que Camille s'était assise de tout son poids sur le dos de la soumise en attendant l'arrivée de son père avec les ficelles.

Le directeur revint quelques secondes plus tard avec quatre longues ficelles. Il attacha ensuite Julie par les poings et les pieds à la table. Camille se releva et les trois filles sortirent des cravaches et des godes de l'un des tiroirs.

Camille et les ex-amies de Julie se placèrent de part et d'autre de celle-ci et la ruèrent chacune à leur tour de coups de cravache en rigolant de ses cris de douleur devant le proviseur tranquillement assis dans son fauteuil en train de se caresser.

Manon abandonna sa cravache sur le sol et vint se placer face à Julie, son sexe arrivant à la hauteur du visage de la pute du lycée. Instinctivement, Julie approcha sa langue de la chatte de Manon et se mit à la lécher de bas en haut en donnant à chaque va et vient un puissant coup de langue sur le clitoris de sa maîtresse pendant que Camille et Élodie lui fouettaient le cul, la faisant gémir de douleur.

Manon finit par jouir rapidement sous les coups de langue de Julie. Elle céda ensuite sa place à Élodie. La jeune femme se positionna à quelques centimètres du visage de la soumise tandis que Manon avait récupéré sa cravache et s'était remise à fouetter le fessier et le dos de Julie.

Savourant les cris de souffrance de Julie, Camille ouvrit un tiroir de la table et en sortit un vibromasseur. La fille du proviseur actionna le sextoy et le fit jouer le long du sexe d'Élodie.

Impuissante, Julie regardait, les larmes aux yeux, celle qui avait été son amie se faire branler par Camille en endurant les coups de cravache de Manon.

Au bout de quelques allers-retours de Camille sur sa chatte, Élodie finit par jouir dans un râle de plaisir, giclant toute sa cyprine sur le visage de Julie sous les rires du proviseur et des deux autres filles.

Élodie adressa un sourire méprisant à Julie et reprit sa place derrière la soumise tandis que Camille s'était cambrée devant la pute du lycée, lui donnant son cul à lécher.

Sous les coups de cravache de ses deux ex-copines, Julie léchait le cul de Camille, les larmes aux yeux, retenant difficilement celles-ci de couler le long de son visage.

Tout à coup, la voix du proviseur se fit entendre.

« Allez, les filles! Je ne veux pas jouir en en me branlant comme un gamin. Préparez-moi cette salope.»

Dans un soupir triste, Camille, Élodie et Manon reposèrent leurs cravaches et attachèrent leur godes autour de leur taille. Les trois filles et le proviseur se positionnèrent en file indienne derrière Julie. La première à passer fut Manon. Elle saisit son gode d'une main et écarta les fesses de Julie de l'autre. La jeune femme enfonça ensuite lentement son gode dans l'orifice de la soumise, la faisant hurler de douleur.

Sans se laisser attendrir par les hurlements de Julie, Manon poursuivit ses puissants va et vient dans l'anus de la pute du lycée. La jeune femme sortit ensuite de l'orifice anal de Julie et pénétra violemment cette dernière.

Au bout de dix minutes, lassée de ce petit jeu, Manon céda sa place à Élodie. À l'instar de sa prédécesseure, celle-ci sodomisa Julie avant de la pénétrer mais, dilatée par le premier gode, la soumise souffrit moins sous les coups de butoir d'Élodie.

Camille succéda ensuite à Élodie. Elle portait entre les cuisses le plus gros des trois godes. Savourant le plaisir de baiser sa rivale avec un engin comme son gode, la fille du proviseur caressa l'anus de Julie du gland de son gode avant de la pénétrer violemment. Peu habituée à prendre aussi gros, Julie hurla une nouvelle fois de douleur pour le plus grand plaisir de ses quatre tortionnaires.

Camille sortit du cul de Julie et la pénétra sans ménagement, la faisant encore une fois crier de souffrance. La fille du proviseur poursuivit ses va et vient dans la chatte de la pute du lycée durant cinq minutes avant de laisser son père s'amuser avec Julie.

Le proviseur amena sa queue à l'entrée du cul déjà bien dilaté de Julie et poussa. Son sexe pénétra l'anus de la soumise avec une facilité déconcertante. Le proviseur saisit Julie par les hanches et continua à la pilonner en lui donnant de temps à autre une claque sur les fesses sous les rires de Camille et ceux de ses amies.

Le dirlo se retira de l'anus de Julie pour pénétrer sa chatte dégoulinante de mouille. Ce qu'il ne manqua pas de faire remarquer.

« Regardez. Notre salope mouille! Elle adore être humiliée!»

Les trois filles éclatèrent de rire tandis que Julie tentait tant bien que mal d'empêcher des larmes de honte couler sur ses joues. La jeune femme se sentait honteuse de la réaction de son organisme. Elle aurait voulu être plus forte pour pouvoir se sortir de sa situation de soumise mais elle était trop faible et trop malheureuse pour se battre. Tout ce qu'elle pouvait faire, c'était subir et profiter des seuls moments de répit qu'on lui laisserait.

Le proviseur enfonça son sexe dans celui de Julie et y fit de puissants va et vient jusqu'à la jouissance sous les encouragements de sa fille et des deux autres.

« Allez, papa! Baise-la fort!!!» criait Camille pendant que Camille et Manon scandaient le nom du proviseur.

Les mots de sa fille et l'ovation que lui faisaient les deux autres ne tardèrent pas à faire monter le sperme dans son sexe. Le proviseur se retira de la chatte de Julie et, dans un râle de plaisir, éjacula sur les fesses et l'anus de Julie sous les applaudissements et les rires des trois filles.

Apaisé par sa jouissance, le proviseur proposa à Camille et à ses amies de demander au père de Julie si celui-ci était d'accord de laisser sa fille dormir chez eux. Les trois filles acceptèrent de suite et le proviseur décrocha le téléphone de la maison pendant que Camille, Élodie et Manon mettaient un bâillon sur la bouche de Julie.

« Bonsoir, M. Jouannot. Ma fille Camille aimerait beaucoup inviter Julie à dormir chez nous. Comme votre fille ne savait pas si vous aviez des projets pour demain, je voulais savoir si pour vous, il n'y avait pas de problème. Moi, je suis d'accord.

- ...

- Ah, oui, d'accord. Vous avez avancé votre rendez-vous chez le médecin à demain matin avec Julie? Je comprends. La vie est faite d'imprévus. Bon, je vous la ramène vers quelle heure?

- ...

- Dans une heure? Bon, très bien. Ma fille sera déçue mais je comprends pourquoi vous faites tout cela. Après tout, je suis père moi aussi. Bonne soirée, M.Jouannot.

- ...»

Intérieurement, le proviseur fulminait. Ce M.Jouannot, père inquiet pour sa fille, contrecarrait ses plans. Il souhaitait garder Julie une journée de plus pour pouvoir s'amuser davantage avec elle. À regret, il annonça à Camille et à ses amies que Julie ne pouvait malheureusement pas rester. Les filles poussèrent un soupir triste et détachèrent Julie après lui avoir retiré son bâillon.

« Tu peux dire un grand merci à ton père. Grâce à son inquiétude, il te veut à la maison dans l'heure qui suit et nous empêche ainsi de finir ton calvaire ici. Profite bien de ce dimanche pour te reposer car, à l'école, nous n'allons pas te rater. Et maintenant, rhabille-toi. Les filles, essuyez-lui le visage pour que son emmerdeur de père ne se doute de rien.» ordonna-t-il.

Camille et ses amies s'exécutèrent et, à peine Julie fut-elle rhabillée que le proviseur la prit par le bras et l'amena de force dans sa voiture. Durant tout le trajet, le proviseur roula sans adresser la parole à Julie, trop occupé à ruminer sa colère et sa déception.

Au bout d'une heure de route, la voiture du proviseur arriva devant la maison de Julie. Le proviseur sortit de la voiture, ouvrit la portière et la tira sans ménagement de l'habitacle.

« À lundi, salope.» lui dit-il avant de repartir en trombe.

À la fois soulagée d'être rentrée et terrifiée par ce qu'elle allait subir après ce week-end, Julie monta les escaliers qui menaient à sa résidence. Lorsqu'elle ouvrit la porte, son père vint la saluer et lui demanda comment s'était déroulé le tandem avec Camille. La jeune lycéenne répondit que tout s'était très bien passé et prétexta la fatigue afin d'esquiver la conversation.

Seule dans sa chambre, Julie pleurait sans honte. Qu'avait-elle fait pour être traitée ainsi par ses professeurs et ses camarades? Elle avait la chance d'être jolie et attirante mais était-ce une raison pour qu'on la traite ainsi? Non, Julie ne comprenait pas. Tout ce qu'elle savait, c'était qu'elle n'en pouvait plus et qu'elle donnerait n'importe quoi pour que son cauchemar s'arrête.

Julie pleurait toujours en silence en repensant à tout ce qu'elle avait subi durant ce dernier mois. En l'espace d'un mois, elle était passée de la jeune femme respectable promise à un bel avenir à la salope condamnée à satisfaire les besoins sexuels de tout son lycée. Elle se sentait à présent souillée et sans valeur.

Ne pouvant supporter ce sentiment plus longtemps, Julie courut à la salle de bain et se déshabilla en vitesse. La jeune lycéenne entra dans la cabine de douche et se nettoya du sperme du proviseur dont elle ne pouvait plus supporter l'odeur et l'aspect.

Après avoir enlevé toute trace du sperme du proviseur, Julie remit des vêtements propres. Ce simple geste lui donnait une explicable sensation de dignité comme si elle quittait sa condition de pute du lycée pour redevenir l'ancienne Julie. Mais, malheureusement pour elle, les lettres écrites sur sa poitrine par son professeur des technologies avaient survécu à sa douche et lui rappelaient douloureusement sa situation.

Soudain, alors qu'elle allait mettre un T-shirt, la porte de la salle de bain s'ouvrit. Surprise, Julie se retourna et vit son père, lui dévoilant par mégarde sa poitrine souillée par le feutre du professeur des technologies. À la vue de ces mots, le père de Julie devint rouge tomate et ordonna à sa fille de se rhabiller et de tout lui raconter. Julie s'exécuta et rejoignit son père dans le salon.

La jeune lycéenne lui raconta ensuite tout en détail de la façon dont elle était devenue la soumise du proviseur et du lycée tout entier en passant par le contrôle durant lequel les garçons l'avaient baisée sous les yeux des filles qui prenaient des notes. Elle lui raconta l'épisode des verres de sperme et du gode et la séance de gadgets avec son professeur des technologies.

D'abord abasourdi par ce qu'il entendait, le père ne réagit pas. Puis, reprenant ses esprits, il prit sa fille dans ses bras pour la réconforter.

« C'est fini, ma chérie. Cette ordure va payer pour avoir abusé de toi et de ma confiance.» lui dit-il.

À présent, Julie reprenait espoir.

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Dimanche 23 février 7 23 /02 /Fév 22:50

Chapitre 10 : Les gadgets du professeur de techno

 

(Auteur: StormX)

 

 

Le professeur des technologies s'avança vers Julie et la libéra de l'installation sur laquelle elle lui avait si honteusement servi de vide-couilles. Il lui laissa quelques minutes pour reprendre son souffle après quoi, il la prit par le bras et l'assit de force sur une chaise.

Après y avoir attaché Julie, le professeur alla chercher une sorte de tube ouvert sur le haut et équipé d'un bouton sur le bas. L'enseignant se plaça ensuite à quelques mètres de Julie et pointa l'ouverture du tube vers la jeune fille.

«Voici le premier gadget que je vais vous faire essayer, ma chère. Connaissant votre parcours, je suis sûr que vous allez l'apprécier...» lui dit-il d'un ton railleur.

Le professeur appuya sur le bouton et un long fil sortit du tube, frappant la poitrine de Julie de plein fouet. La jeune lycéenne poussa un cri de douleur.
L'enseignant lui donna encore quelques coups de fouet qui lui donnèrent une sensation de froid au niveau de la poitrine.

«Magnifique!» s'exclama le professeur.

Il alla ensuite chercher un miroir dans une armoire de la salle afin de montrer à Julie le résultat de sa séance de coups de fouet. Ce que la jeune femme y vit la figea d'effroi et de honte. En effet, le professeur des technologies avait frappé sa poitrine de façon à pouvoir y écrire "Julie, pute de l'école".

C'est à ce moment-là que Julie comprit que le fouet avait une extrémité métallique équipée d'une pointe de feutre indélébile rouge. Ce qui expliquait la sensation de froid au niveau des seins.

«Excellent! Dorénavant, tout le lycée saura qui vous êtes, mademoiselle Jouannot. Interdiction de laver ces lettres sinon les conséquences seront terribles pour vous.» la menaça le professeur.

Il détacha ensuite Julie de la chaise et décida finalement d'en profiter encore un peu avant de la laisser rentrer chez elle.

«Ces deux tests m'ont beaucoup excité, mademoiselle Jouannot. Par conséquent, il faut que je me calme un petit peu.» lui dit-il d'un ton lourd de sous-entendus.

Sans lui laisser le temps de réagir, le professeur força Julie à s'agenouiller face à lui pendant qu'il sortait son sexe.
La verge du professeur pointa fièrement vers Julie qui n'eut d'autre choix que de la prendre en bouche et de la sucer le mieux possible afin de ne pas subir d'autres horreurs de la part de l'enseignant.

Après quelques va et vient sur le sexe imposant de son tortionnaire, Julie le recracha afin de reprendre son souffle.

Exaspéré de voir sa fellation interrompue sans son accord, le professeur des technologies saisit Julie par les cheveux et la força à reprendre son sexe dans sa bouche avant de la lui baiser violemment.

En face, Julie faisait tout pour se retenir de vomir. Le rythme et la puissance des va et vient de la bite de son maître du moment dans sa bouche lui firent avoir plusieurs haut-le-cœur qu'elle parvint à réprimer tant bien que mal.

Après quelques minutes de ce régime, le professeur se retira de la bouche de Julie, la faisant cracher un flot de salive sur son sexe. La jeune fille pensait que l'enseignant allait s'arrêter là et jouir quelque part sur son corps mais il n'en fut rien.

Après s'être retiré de la bouche de Julie, le professeur s'assit sur la chaise et ordonna à Julie de venir le rejoindre. La jeune lycéenne obéit et l'enseignant la saisit par les hanches afin de la faire s'empaler sur son sexe raide. Le professeur soulevait et abaissait Julie sur sa queue à un rythme effréné tant et si bien que Julie ne pouvait plus suivre la cadence et était obligée de se laisser guider par son tortionnaire au violent appétit.

Après quelques puissants va et vient dans la chatte de Julie, l'enseignant se retira du sexe de sa soumise et força cette dernière à s'asseoir sur sa queue toute raide. Julie n'eut pas d'autre alternative que d'obéir à l'ordre de son maître.

Le professeur des technologies repartit ensuite dans la même cadence effrénée qu'auparavant. Il tint encore quelques minutes avant de sortir de l'anus de Julie et de la poser au sol sans ménagement, le visage face à son sexe prêt à l'arroser de sa semence.

L'enseignant se caressa durant quelques secondes devant les yeux de sa soumise avant d'éjaculer par puissants jets sur son visage dans un immense râle de plaisir.

«Maintenant, rhabillez-vous et rentrez chez vous. Vous devez être en forme pour votre week-end avec le proviseur. Bien évidemment, vous rentrerez le visage couvert de mon sperme. Vous ne pourrez essuyer votre visage qu'une fois arrivée chez vous. Si j'apprends que vous avez désobéi à mes directives, je vous ferai subir des traitements bien pires que celui que vous venez de subir. Et n'oubliez pas: je vous surveille. Alors, n'essayez pas de me berner car vous n'y arriverez pas. Et maintenant, filez.»

Julie s'empressa de se rhabiller et prit le chemin de sa maison en espérant qu'il n'y ait personne sur sa route pour voir dans quel état était son visage...

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Dimanche 23 février 7 23 /02 /Fév 22:49

Chapitre 9 : La fille du proviseur

 

(Auteur: Edd)

 

Julie errait dans les couloirs du lycée, fuyant les regards des autres élèves. Elle sortait à l’instant du bureau du proviseur, à moitié dénudée et les cuisses maculées du sperme de son maître. Elle devait subir ce rituel trois fois par jour. Le matin. Le midi. Et enfin, à la dernière pause avant la fin des cours. Mais elle devait aussi satisfaire les autres professeurs. Ces derniers avaient toujours à cœur de partager leurs savoirs… et ils débordaient d’imagination. Le proviseur avait requis sa présence pour le week-end. Cela faisait deux jours. Que pouvait-il bien lui vouloir ?

Julie tourna à un croisement pour échapper aux moqueries des autres filles. Elle avait l’habitude de prendre ce chemin rarement emprunté par les élèves. Il menait vers la chaufferie puis le secrétariat. Elle avait parcouru la moitié du trajet quand une main puissante la saisit par la taille… et la poussa vers le mur le plus proche. Julie distingua son agresseur malgré la pénombre. Le black de la dernière fois. Elle ouvrit la bouche pour crier mais aucun son ne sortit. Il avait posé son autre main sur la bouche de sa victime. Puis il lui administra une gifle lorsqu’elle tenta de se débattre.


– Je vais être très méchant si tu continues… et je m’en voudrais de t’esquinter.


Julie continuait de fixer le black, paralysée par la peur. Il n’avait pas l’air de plaisanter.


– Cette salope n’a pas tenu sa parole… continua le black, furibond. Tu vas prendre pour elle. Et ensuite, je m’occuperai de son petit cul.


Il devait probablement parler de Camille, songea-t-elle. Mais pourquoi la coincer dans ce couloir sombre ?


– Elle sera folle de rage en apprenant que je t’ai préféré à elle, expliqua le lycéen, qui semblait lire dans les pensées de Julie.


Elle essaya à nouveau de fuir l’emprise de son agresseur mais en vain. Il était beaucoup plus fort.

 

Elle le sentit diriger sa main vers son entre-jambes puis remonter lentement vers le haut, toujours immobilisée et dans l’incapacité de parler. Il fit jaillir ses seins à l’air libre, après avoir soulevé son top. Julie balbutia quelques mots à l’attention du black, le suppliant de ne pas continuer.


– Ça ne sert à rien de pleurer, dit-il au bout d’un moment, séchant les larmes de Julie. Tu n’as pas envie de te venger de cette garce ?


Julie n’avait plus la volonté de résister. Elle laissa le black lui caresser les seins, puis les lécher. Elle pouvait sentir ses tétons devenir durs et saillants. Elle ferma les yeux pour ne pas voir son bourreau à l’œuvre. Ce dernier ne fit rien pour l’en empêcher. Il essaya d’atteindre sa chatte mais le mini short (très serré) le ralentissait énormément. Il défit alors la boucle du vêtement, le descendit jusqu’aux chevilles et souleva une jambe pour le dégager.

Le black continuait de lui masser les seins, profitant de cet intervalle pour enlever son pantalon et libérer son attirail de compétition. Il saisit Julie par la taille, la souleva du sol, puis la pénétra d’un seul coup. Elle ouvrit soudainement les yeux, poussa un cri de surprise puis s’agrippa au corps musclé de son tortionnaire. Il augmenta très vite la cadence, ne faisant rien pour retenir ses coups.


– Tu es vraiment trop bonne, déclara le black entre deux va-et-vient. Ces salauds ne te méritent pas.
Julie avait plongé son visage dans le cou du garçon, laissant échapper des gémissements toujours plus forts. Elle enroula les jambes au niveau de la ceinture, tandis qu’il forçait de plus en plus, lui faisant balloter les seins au rythme des secousses. Finalement, elle sentit un liquide chaud tapisser l’intérieur de son vagin. Le black poussa un dernier grognement avant de quitter les entrailles de Julie, la plaçant à nouveau contre le mur. La malheureuse manqua de s’effondrer, encore toute pantelante. Elle tâtonna la cloison pour trouver une prise, puis en profiter pour reprendre son souffle.

De son côté, le black venait de remettre son pantalon lorsqu’il fut interrompu par la venue d’une autre personne. Il évita de justesse la gifle de Camille, la saisit par les bras et la renvoya en arrière avec une facilité déconcertante. Julie se dépêcha de remettre ses vêtements, plutôt maladroite.


– Enfoiré ! explosa Camille, rouge de colère. Comment peux-tu me faire ça ? et avec elle en plus…


Le black esquiva une nouvelle attaque, amusé de voir la fille du proviseur s’exciter sans fournir le moindre résultat.


– Je ne suis pas ton jouet, déclara le black d’une voix menaçante.


Camille se figea alors sur place, réalisant que le garçon était devenu sérieux. Elle déglutit lentement en le voyant serrer les poings.


– Tu t’es foutu de ma gueule… donc, je me satisfais avec une autre. Elle est vraiment douée cette pute…


Julie était toujours collée au mur, tâchant de ne pas se faire remarquer.


– Mais il n’y a vraiment pas de quoi s’énerver… reprit le black, les yeux animés d’une étrange lueur. Je te réserve quelque chose de pire encore.


Camille recula brusquement en le voyant venir dans sa direction. Elle était prête à prendre ses jambes à son cou quand le professeur de technologies fit son apparition.


– J’ai entendu des bruits suspects, dit-il après un long silence.


Il dirigea son regard vers Julie. Puis un angle du mur à quelques mètres de leur position. Soudain, le cœur de la jeune fille se contracta. Il y avait une caméra de surveillance. Minuscule. Indétectable à moins de savoir où chercher. Le professeur les avait-il vus ?


– Monsieur… commença Camille, aussitôt interrompu par l’enseignant.


– Aucune excuse, mademoiselle Bertrand. Ce couloir est interdit aux élèves.


Julie posa la main sur son collier, terrifiée. Il savait. C’est le professeur lui-même qui avait conçu cet appareil. Il pouvait surveiller le moindre de ses gestes. Entendre les conversations. Elle avait omis ce détail.


– Vous, continua le professeur à l’attention du garçon. Dans mon bureau. Immédiatement.


Le black ne montra aucune résistance. Il dévisagea une dernière fois Camille puis s’en alla vers la sortie.


– Ah, ces jeunes… déclara le professeur après un long soupir.


Camille était sur le point de quitter les lieux quand l’enseignant la retint par le bras.


– Lâchez-moi ! Si vous ne le faîte pas je dirais tout à mon père. Vous serez renvoyé.
– Les gamines d’aujourd’hui sont incorrigibles, ajouta le professeur d’une voix lasse, après avoir enfoncé l’aiguille d’une seringue dans le bras de Camille.


La jeune fille laissa échapper un cri de surprise, repoussa l’homme et examina son bras. Elle posa ensuite son regard sur la seringue, interloquée. La réaction fut immédiate. Elle tomba sur les genoux, le regard vitreux, inconsciente au moment de toucher le sol.


– Maître… balbutia Julie, les yeux fixés sur le corps inanimé de Camille. Qu’est-ce que…


Le professeur ne la laissa pas finir. Il planta une autre seringue dans le bras de Julie.


– Tu croyais échapper à ma surveillance ?...


Elle glissa le long du mur, lentement, jusqu’à perdre connaissance.

Julie ouvrit les paupières, tâchant de rassembler les derniers souvenirs. Elle avait été droguée. Mais le temps écoulé était un facteur inconnu. Elle tourna la tête pour identifier les lieux, malgré sa vision encore troublée. Il lui fallut un moment pour reconnaître la classe de technologies. Les rideaux avaient été tirés, plongeant la salle dans la pénombre. Les éclairages avaient été baissés de moitié. Julie essaya de respirer mais une charge anormale comprimait sa poitrine, rendant la tâche plus difficile. Elle essaya de bouger sur le côté pour déterminer la cause de cette gêne. Elle toucha quelque chose à la fois brûlant et humide. Et cette odeur légèrement sucrée…


– La pause est finie…


Julie reconnut la voix du professeur. Mais elle fut encore plus surprise de voir une chatte frétiller au-dessus de son nez. Il devait probablement s’agir de Camille. En effet, la fille du proviseur était positionnée à quatre pattes au-dessus de Julie, tête bêche. Elle était toujours inconsciente. Les deux lycéennes étaient complètement nues.


– Inutile de te débattre, expliqua le professeur. Tu risquerais de te faire mal…


Julie sentit la pression d’une corde sur son corps, faite de plusieurs nœuds compliqués, limitant ainsi ses mouvements. Pareil pour Camille.


– Debout là-dedans.


Le professeur adressa une petite tape sur le visage de Camille. Cette dernière produisit un gémissement au moment de reprendre connaissance. La fille du proviseur bafouilla quelque chose au professeur avant de réaliser dans quelle situation elle se trouvait. Elle laissa exploser sa colère, gesticulant dans tous les sens.


– Mon père te foutra au chômage, pervers !


Julie pouvait sentir la corde frotter contre son corps nu. La douleur était intenable. Elle supplia Camille de se calmer.


– Tu peux crier autant que tu veux, répondit le professeur. Les cours sont finis. Il n’y a plus personne.


Camille gesticulait toujours, et ce malgré les liens qui devaient meurtrir sa peau. Puis elle poussa un cri quand une décharge électrique la traversa. Julie en fit également les frais.
– Je vais te faire un cours en accéléré… déclara le professeur de technologies. J’ai placé un dispositif autour de ton cou. Un collier comme celui de ta camarade. Ainsi, je peux épier tes mouvements. Et aussi tes conversations. Enfin, si jamais tu ne te montrais pas obéissante… je serais obligé de libérer une décharge électrique. C’est plutôt douloureux. Voilà pourquoi tu vas être une gentille fille.


– Va te faire voir, sale ordure !


Camille fut interrompu par une nouvelle décharge. Elle se résigna au bout de la troisième.
– Maintenant que j’ai ton attention... Le cours peut enfin commencer.


Le professeur plaqua sa main droite sur la chatte de Camille. Elle voulut protester mais se rétracta aussitôt en voyant son tortionnaire agiter la télécommande du collier. Il glissa deux doigts à l’intérieur de son sexe, les bougea un peu, et en introduisit un troisième.


– Tu apprends vite, ajouta l’enseignant, très fier des progrès de son élève. Attends un peu… mais on dirait bien que tu mouilles.


De son côté, Camille sentait une vague de chaleur lui monter aux joues. Elle ne pouvait pas le voir et pourtant… c’est comme si le professeur se tenait devant elle et la fixait de façon très intense. Elle ferma les yeux pour échapper à son regard. Mais le sentiment de honte qui la rongeait de l’intérieur ne semblait pas diminuer pour autant. Puis elle laissa échapper un gémissement très vite étouffé.


– Tu aimes ça, pas vrai ? ajouta le professeur, ne cessant de la branler. Je sens ta mouille autour de mes doigts. Oh, oui… tu as vraiment l’air d’aimer ça.


Julie pouvait sentir le souffle chaud de sa camarade sur sa chatte. Et il devenait plus rapide quand l’enseignant accentua la cadence. Si bien que Camille ne pouvait plus dissimuler son plaisir.


– Ça suffit pour le moment, fit le professeur avant de quitter le vagin de son élève.


Il dirigea ses doigts englués de cyprine vers la bouche de Julie. Puis les y enfonça.


– Goûte-moi ça.


Julie exécuta les ordres de son maître. Elle n’avait jamais goûté la semence d’une autre fille. A l’exception de la sienne. Elle léchait encore les doigts de l’enseignant quand ce dernier passa à la leçon suivante.

Le professeur s’en alla à l’autre bout de la classe, accordant un moment de répit à ses deux élèves. Il revint quelques secondes plus tard, accompagné d’une autre personne. Camille manqua de s’évanouir lorsque son regard croisa celui du black. Le lycéen affichait un sourire qui en disait long sur ses attentions.


– Ce jeune homme s’est porté volontaire pour parfaire ton éducation.


Le professeur adressa un clin d’œil à Camille, puis invita le black à se rapprocher.


– Monsieur… implora Camille. Je vous en prie…


Le black plongea une main à l’intérieur de son pantalon, faisant un jaillir un sexe de belle taille. Il tira dessus pour lui donner un peu plus de raideur.
– Je promets de ne rien dire…


Julie regarda le lycéen écarter les fesses de sa camarade, puis positionner son énorme gland à l’entrée de son orifice.


– S’il vous plaît, professeur… Aaaah !


Le black donna un grand coup de bassin pour élargir le passage. C’est la première fois qu’il voyait un trou aussi étroit. Mais cela ne semblait pas l’inquiéter. Il continua de pousser malgré les supplices de Camille.

De son côté, Julie imaginait sans peine les souffrances de Camille. Elle pouvait voir la verge du garçon faire des va-et-vient dans le croupion de sa rivale. Le professeur de technologie en profita pour la pénétrer à son tour. Julie retint un gémissement lorsqu’il força son petit trou.


– Aaaah ! Arrêtez-ça !... s’écria Camille. Ça me fait trop mal !


Le professeur n’avait pas l’air disposé à entendre les pleurnicheries de la jeune fille. Il saisit la tête de Camille avec une seule main et la plongea entre les cuisses de Julie.


– Pas de bavardage en classe.


Camille releva la tête pour reprendre son souffle mais la main du professeur la bloquait toujours. Finalement, elle ouvrit la bouche et aspira une grande bouffée d’oxygène. Julie laissa échapper un gémissement quand la langue de Camille s’enroula sur son clitoris.

Le black quitta les entrailles de Camille au bout de quelques minutes. Il arrosa copieusement les fesses de l’adolescente, laissant exploser un grognement de plaisir. Julie sentit également le professeur tapisser l’intérieur de son fondement, faisant jaillir son sperme par saccades. Il resta figé une vingtaine de secondes, complimenta le lycéen pour son travail et quitta les deux filles pour arrêter l’enregistrement d’une caméra posée sur une étagère. Camille avait toujours la tête entre les cuisses de sa camarade, le visage barbouillé de mouille. Elle avait un trou béant à la place de son anus. Et son état de fatigue était tellement grand qu’elle ne remarqua pas les manigances de l’enseignant.


– C’est de l’excellent travail.


Le professeur passa une main dans les cheveux de Camille, écarta une mèche trempée à cause de la sueur et ajouta :


– Ton ami va te raccompagner chez toi. Pas un mot de ça à quiconque. Je te laisse imaginer les conséquences si jamais on apprenait que la fille du proviseur s’adonnait à de telles pratiques…


Julie observa le black prendre Camille dans ses bras, puis s’en aller vers la sortie.

 


– Mademoiselle Jouannot… intervint le professeur après avoir verrouillé la porte. Votre comportement laisse vraiment à désirer ces derniers temps. Je vais devoir y remédier. Ça tombe assez bien car j’ai plein de nouveaux gadgets à vous faire essayer.

 
Julie n’était pas prête de rentrer à la maison…

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Dimanche 23 février 7 23 /02 /Fév 22:46

Chapitre 8: Le contrôle

 

(Auteur: Lovesex69)

 

Le professeur de sport caressait la petite chatte gonflée de Julie tout en lui pinçant le téton de l'autre main. Puis il dirigea sa main trempé de mouille vers la petite rondelle toute serrée de Julie et toucha avec sa bite l'orifice de la pauvre jeune fille qui voulait protester, mais elle n'en avait pas la force. Alors, totalement soumise, elle laissa le professeur de sport l’empaler d'un coup sec, et elle poussa un petit cri de surprise. Pourtant, elle n'eut pas mal car elle était maintenant habituée à de tel traitement. Le professeur l'encula violemment, faisant des vas-et-viens rapides. Pendant ce temps, le proviseur, toujours assit à son bureau, tenait la tête de Julie alors que celle-ci lui taillait une pipe. Il l'obligea a garder dans sa bouche son gland, bien qu'elle ait du mal tandis que le professeur continuait ses affaires dans le cul de Julie.

 

Dans une position des plus inconfortables, Julie suçait et massait les couilles, tout en se faisant ballotter par son professeur qui lui malaxait les fesses. Puis, le professeur de sport ralenti ses coups de boutoir, et commença a l'enculer doucement. Il enfonça sa bite profondément dans l'anus de Julie, mais très lentement. Julie soupira de plaisir en sentant le professeur entré totalement en elle, alors qu'au fond d'elle cela la répugnait. Mais elle était dans un état second, et elle savait que si elle résistait elle allait recevoir une décharge électrique de par son collier imposé par ses tortionnaires.

 

Le professeur éjacula dans le cul de Julie, et elle sentit du sperme couler le long de sa raie et de ses jambes. Le proviseur pris la tête de Julie et lui imposa un rythme. Elle suça d'une langue experte la queue du proviseur, tout en lui massant les boules. il enfonça se bite dans sa gorge et Julie sentit du liquide chaud et visqueux sur sa langue. Mr Bertrand retira sa queue et Julie garda le sperme dans sa bouche.


"-Avale, ma chérie. Et surtout, souri."


Julie s’exécuta, tout en essayant de ne pas croiser le regard des hommes. Elle senti une main lui caresser la chatte. Elle commença a onduler le bassin, n'étant plus maître de ses actes, et vit son professeur de sport en train de lui masser les lèvres et de titiller son clitoris. Il lui demanda de se relever et caressa les contours de son trou trempé de mouilles et de sperme qui avait coulé.


"-Assis toi sur le bureau et écarte bien tes cuisses." ordonna le proviseur.


Il s'assit sur une chaise, en face de Julie pour ne rien manquer du spectacle, et fit signe au professeur de sport de s’asseoir sur un fauteuil a côté de lui et aussi en face du bureau.


"-Ma petite Julie, caresse toi. Et masturbe-toi bien. Je veux pouvoir te voir. Et surtout, je veux t entendre prendre du plaisir.


- Oui maître."


Julie commença à se caresser sur le bureau, alors que le proviseur et le prof parlait comme si de rien était. Quelqu'un toqua à la porte au moment où Julie gémissait en faisant glisser un doigt dans sa fente. Le proviseur cria "entré" et le professeur de SVT entra. Il sourit en découvrant Julie et s’avança vers les hommes.


"-Je voudrais vous parler du... Contrôle des secondes 3.


-Ah oui! Eh bien je suis d'accord. A la condition que je puisse y assister, bien entendu." répondit le proviseur avec un petit sourire dans la direction de la jeune fille.


Celle-ci se posait des questions. La seconde 3 était sa classe, et il était vrai qu'ils avaient un contrôle sur l'éducation sexuelle l'heure d'après. Elle se souvint des cours sur cette leçon et pris peur. Elle continua pourtant de se masturber sous l’œil avare des hommes. Elle glissa un deuxième doigt dans sa chatte et se les enfonça doucement. Avec l'autre main, elle commença a se caresser les seins et elle fit rouler son téton entre ses doigts fins. Puis elle sorti les doigts de son sexe et se toucha les lèvres de haut en bas. Elle passa un doigt sur son clitoris et jouit fort. Puis Julie écarts ses lèvres pour montrer a ses professeurs son trou bien dilaté et dégoulinant de mouille. Le professeur de SVT s’avança vers elle et pénétra d'un coup sec un doigt dans la chatte de Julie. Celles-ci se cambra presque instantanément et jouit de plaisir. Il lui ordonna de se rhabiller puis l'incita a la suivre jusqu'à la salle de classe où elle fut accueilli par des railleries de ses camarades: "alors tu as bien mangé?" ou encore "c'était quel prof cette fois? Ils vont tous te passer dessus!". Mais elle était habituée et elle ne broncha pas. Elle alla s’asseoir à une table au fond de la salle, isolée. Le professeur alla derrière son bureau et demanda l'intention des élèves.


"-Aujourd'hui, comme vous le savez, il y a contrôle de prévu. Seulement, après les cours que nous avons eu..."


Il marqua une pause et Julie vit toute la tête se tourner vers elle en ricanant.


"-Donc, après les cours que nous avons eu, qui tenaient principalement sur la pratique..."


Nouveau ricanements. Julie baissa la tête en priant pour se faire oublier.


"-Je me suis dit, et avec l'approbation du proviseur, que le contrôle se basera lui aussi sur de la pratique."


Il y eut un court silence, puis les garçons commencèrent a rire.


"-Et bien sûr, puisqu'il n'y a pas de raison que nous changions, Julie va nous servir de cobaye. Je propose pour les filles, qui ne peuvent décemment pas faire l'exercice, de prendre des notes de ce qui va se passer, et ce sera noté, évidemment."


Julie sortit de son hébétude et supplia le professeur du regard. Les élèves s’étaient lever et les garçons commençaient a faire une queue devant le bureau du prof. Celui-ci ordonna a Julie de se lever et de s’asseoir sur le bureau. Puis il donna des conseils au premier garçon qui lui passa dessus, Jonas Guilleret.


Jonas souleva sa jupe et découvrit sa chatte. Il passa une main dessus, caressa les lèvres de Julie et chatouilla son clitoris. Il passa lentement ses doigts le long de son trou et effleura l'entrée de son anatomie. Puis, Jonas se baissa et donna des petits coups de langue le long de sa chatte. Elle étouffa un gémissement en serrant les lèvres, ce que le professeur remarqua. Il sourit, passa une main sur la chatte de Julie et ricana tout en portant son doigt a sa bouche et le lécha.


Puis le professeur s'exclama:


"-Regardez tous! Notre petite salope mouille déjà!"


Julie était honteuse alors que la classe s’exclamait. Jonas lui ordonna de s’agenouiller et il fit pénétrer sa bite dans la bouche de Julie. Il bandait, au bord de l’érection, et son engin ne mesurait que 12 cm a peine. Julie suça cette nouvelle bite, massa ces couilles pleine de spermes et aspira son gland. Jonas poussa un râle de satisfaction et demanda a Julie de le masturber un peu. Puis il la fit se rasoir sur le bureau et la pénétra violemment.


Julie leva la tête pour exprimer un cri de plaisir et de tristesse, et elle aperçut a travers ses larmes le proviseur qui filmait tout la scène.


Jonas éjacula sur le ventre de Julie et se retira, laissant la place à un autre gaz de la classe, qui s’appelait Romain Blanchars. Celui-ci enleva le haut de Julie et commença à masser ses seins. Le professeur avait pris un pot en verre et il essaya de ramasser le sperme qui était sur le ventre de Julie. Le pot était froid et le contact avec sa peau donna un frisson à Julie. Romain l'interpréta comme un frisson de plaisir dût aux massage et il commença a caresser Julie partout. Puis il l'a fit agenouiller et lui demanda de le sucer. Étant devenu une experte, elle commença par donné des tout petits coups de langue sur son gland. Puis elle lui pris les boules et commença a en suçoter une. Mais Romain lui pris la tête violemment et inséra sa bite dans la bouche de Julie qui cria de surprise. Elle essaya de se dégager, car elle étouffait, mais elle reçut une décharge électrique plus forte que les précédentes. Elle leva les yeux vers le professeur de SVT qui jouait avec la télécommande du collier. Il la réprimanda:


"-Tu dois toujours faire ce que l'on te dit, ma belle. Ok?


-Oui maître. bafouilla Julie."
Julie reprit la bite de Romain en bouche et se laissa diriger par les mains de celui-ci qui lui tenait fermement la tête. Au bout de quelque minutes seulement, alors qu'il allait éjaculer, le professeur lui demanda de le faire dans le pot en verre qui contenait déjà le sperme de Jonas.


Les 10 autres garçons de sa classe lui passèrent dessus, et Julie reçut deux décharges électriques.

 

Puis lorsque ce fut fini, le professeur leur demanda a tous de se rasoir et Julie resta recroquevillé par terre, complètement épuisée et humiliée.


Le professeur fit comme si de rien était, enjamba Julie et alla se poster devant le tableau. Puis il informa les élèves qu'il ne restait plus que cinq minutes avant la pose de midi et tous poussèrent un soupir triste.


"-Mais, continua le professeur, comme vous avez été très sage, j'ai un cadeau pour vous."


Il ordonna a Julie de se relever et de se mettre en face de lui. Elle se releva, nue, tremblante et pourtant couverte de sueur, et alla devant le professeur. Il sortit les pots en verres et les posa tous sur la table. Il y en avait trois, tous remplient du sperme des élèves et étaient à raz-bords. Le professeur ordonna à Julie de boire le premier. Elle ne bougea pas.


"-Aller les autres, encourager votre salope de camarade."


Toute la classe se mit à hurler et à rire. Julie prit fébrilement le verre en main et commença a boire le sperme refroidit. Lorsqu'elle eut fini le premier verre, le professeur lui dit:


"-Celui-là, je vais le garder. Et il reste le troisième maintenant."


Il s'empara du troisième verre plein de sperme et en versa sur la chatte et le cul de Julie. Il coulait le long de ses jambes. Puis il en mit dans sa bouche et dans ses cheveux. Elle se retenait difficilement de pleurer. Ensuite le professeur ouvrit un tiroir de son bureau et en sortit un énorme godemichet qui faisait la largeur de trois bite de black a lui seul. Le professeur de bio le fit tourner entre ses mains et demanda a la classe ce que c'était, arrachant un sourire gêné aux élèves. Le professeur réitéra sa question en s'adressant cette fois ci à Julie. Elle baissa la tête et murmura:


"C'est un gode, monsieur.


-Bien, s'exclama le prof. Et comme il ne nous reste que très peu de temps, je vais juste vous montrer comment on le met. Julie, écarte un peu les cuisses."


Ceci dit, il écarta avec les doigts les lèvres humides de spermes et pénétra d'un coup sec le gode dans la chatte de Julie, qui hurla de douleur alors que tout le monde riait aux éclats.


Puis la sonnerie retentit et les élèves partirent tout en rigolant. Julie se laissa tomber par terre, le gode toujours dans son ventre, et le corps souillé de sperme, de sueur et de mouille. Elle soupira, laissa couler une larme qu'elle essuya aussitôt et commença à se rhabiller. Le professeur d'SVT l'interpella:


"Julie, ma petite Julie, que compte tu faire? N'ai-je pas le droit de profiter de toi, moi aussi?"


Il lui demanda de s’agenouiller. Elle sortit la bite de son pantalon et commença a le sucer. Le prof lui caressa les cheveux. Il trouvait cela si bon. Et elle suçait si bien. Elle faisait des vas-et-viens lents, et fermait les yeux pour pouvoir s'appliquer. Ensuite, il lui demanda de s’asseoir sur la table et il s'empara du gode, en lui faisant faire des vas et viens. Il la baisait avec un gode énorme, ce qui arrachait à Julie des petits cris de douleurs, et aussi de plaisir.


Le téléphone du professeur sonna.

 

Il demanda à Julie de continuer de se masturber toute seule avec le gode et décrocha. C'était le proviseur.

 

Julie enfonçait le gode dans son minois défoncé tout en écoutant la conversation.


"-Oui, elle est avec moi.... Nan... Ok ben oui... Viens... Oui on t attend... A tout de suite."


Julie sentît le professeur reprendre le gode et l'enfoncer dans la chatte de Julie jusqu'à disparaître dans son ventre.. Le proviseur arriva et salua le prof. Puis il demanda a Julie de se lever et de venir le sucer lui. Elle s’exécuta. Elle avait perdu toute dignité et toute volonté. Les professeurs parlèrent longtemps alors que Julie suçait et branlait. Elle reçut deux fois du sperme. Puis sous la demande du proviseur, elle se releva difficilement car le gode qu'elle sentait au fond d'elle la gênait et lui faisait mal.


Elle n'eut pas le temps de réagir. Il l'avait prit par surprise. Le proviseur, pendant que Julie se relevait, lui prit la tête et l'embrassa, tentant d'introduire sa langue dans sa bouche.

 


Elle ne réfléchit pas. Malgré tout ce qu'elle pourrait endurer par la suite. Elle repoussa violemment le proviseur.

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Dimanche 23 février 7 23 /02 /Fév 22:44

Chapitre 7 : Soumission de groupe

 

(Auteur: Edd)

 

Dix-sept jours. Le proviseur et ses complices avaient débauché une élève modèle en dix-sept jours. Une élève qui les satisfaisait de manière très docile, répondant à chacune de leur attente. Mais le pire était à venir…

Le garçon qui l’avait prise dans les toilettes des filles s’était empressé de répandre la nouvelle. Et c’est la raison pour laquelle elle se trouvait au même endroit, vingt-quatre heures plus tard. Mais ils étaient trois, contrairement à la dernière fois. Trois lycéens assez costauds. Un black. Un blond. Et un type à lunettes. Elle ne se faisait pas beaucoup d’illusion quant à la raison de leur présence. Il y avait aussi cette fille – Camille – adossée au mur, les jambes croisées. Julie évitait de croiser son regard, devinant le fort sentiment de haine à son égard. Et pour cause, elle était la fille du proviseur.


– Vas-tu enfin te décider à les enlever, tes putains de vêtements ? répéta le black, d’une voix autoritaire. Nous allons te baiser, de toute façon. Je commence à en avoir marre… et je peux très bien te niquer au milieu de la cour. Ça ne me pose aucun problème.


Julie frissonna à cette perspective. Elle ignora les ricanements des deux autres garçons, puis enleva les boutons de sa chemise, très lentement.


– Tu en mets du temps ! déclara le black, impatient. Je ne me souviens pas avoir demandé un numéro de strip-tease. Mets-toi à poil !


Le lycéen se précipita vers elle, écarta violemment les pans de la chemise, faisant sauter les derniers boutons. Par la suite, il laissa échapper un sifflement admiratif.


– C’est bon… vous n’allez pas la reluquer toute la journée, lança Camille, qui avait du mal à ne pas cacher son irritation. Tringlez-moi cette pute, qu’on en finisse.


Le black regarda une dernière fois la poitrine de Julie, se sentant plutôt à l’étroit dans son pantalon.


– Tu veux peut-être un coup de main pour enlever ta jupe ?


Julie retira le vêtement sans plus attendre. Puis elle regarda ses maîtres-chanteurs enlever leurs habits, perplexe en voyant leur attribut se balancer entre les jambes, dont un qui retint son attention. C’est la première fois qu’elle en croisait un de cette taille. Cela dépassait l’entendement. Mais ça ne pouvait pas être plus difficile qu’une saillie à domicile, défoncée à la chaine par quarante bites.

Julie était encore plongée dans ses pensées quand le black la fit s’agenouiller, la positionna à hauteur de son membre, et lui baisa la bouche en donnant des coups de reins très violents. Elle laissa échapper un cri de surprise, à moitié étouffée par cet engin monstrueux. Les deux autres complices ne furent pas longs à venir, bien décidés à profiter de la situation.


– Tu vois… ce n’était vraiment pas difficile, avoua le black entre deux grognements. Il fallait juste y mettre un peu du tien.


Julie se donnait de la peine pour contenir le sexe à l’intérieur de sa bouche. Mais la tâche se révélait impossible. Elle réalisa avec effroi que la majeure partie était encore à l’extérieur. Et qu’il n’avait pas encore atteint sa taille maximale.
– Et nous alors ? gronda le blondinet.


Julie lâcha prise, adressa un dernier regard à cette chose issue d’une œuvre de science-fiction, et se consacra à une bite plus ordinaire. Elle lécha les couilles du garçon à lunettes, remonta le sexe en y baladant une langue experte, puis aspira son gland en laissant échapper un filet de salive. Le lycéen exprima un grognement de plaisir. Puis elle passa au troisième.


– C’est ça… suce-moi la bite, salope, explosa le blondinet, la forçant à prendre son membre jusqu’à la garde.


Elle alternait les partenaires à une vitesse incroyable. Une queue dans la bouche. Et une autre dans chaque main. Il lui arrivait parfois de cracher dessus pour mieux les faire glisser, toujours suivis par quelques compliments acerbes. Mais les garçons furent très vite lassés de ce petit jeu. Le black la fit s’allonger au bout de cinq minutes, les jambes largement ouvertes, maintenue par les chevilles.


– Je vais bien m’occuper de toi…


Julie regarda le morceau de chair se profiler à l’horizon, pareil à un serpent sur le point de fondre sur sa proie. Elle ne fit rien pour fuir ses ravisseurs, redoutant les conséquences d’un tel acte. Mais s’agissait-il de l’unique raison ?… ou désirait-elle vraiment se faire prendre par ces types ? Et cette simple pensée lui glaça le sang. Mais elle fut très vite ramenée à la réalité.


– Aaaaah !


Le black la pénétra d’une traite, peu disposé à lui faciliter la tâche. A cet effet, il augmenta très vite la cadence, toujours plus profond. La malheureuse fut ballotée de gauche à droite, incapable de retenir ses gémissements.


– Qu’est-ce que je disais… grogna le garçon, ayant sorti son membre pour le plonger à nouveau dans le con de sa soumise. Elle aime vraiment ça.


Il se retira au bout de cinq minutes, aussitôt remplacé par le blondinet.

Camille s’approcha de la mêlée pour filmer la scène avec son portable, ne manquant pas de féliciter la performance des trois lycéens. Elle se pencha en avant puis effectua un gros plan sur Julie, actuellement prise en levrette par le blondinet.


– Ça te plaît de faire la pute ? demanda Camille, sarcastique.


Julie ne répondit pas à la question, ne sachant où donner de la tête. Camille lui pinça un téton.


– Aïe !... cria Julie. Oui… J’aime ça !


Camille étira les lèvres, satisfaite. Elle recula pour ne pas gêner les garçons, escalada le rebord d’un lavabo et se délecta du spectacle.

Julie laissa échapper quelques râles de plaisir quand la langue du black se glissa dans sa raie, puis s’attarda au niveau de son petit trou. Par la suite, elle sentit un doigt humide tenter une percée. Elle se cambra un peu plus pour favoriser son insertion mais le black avait une autre idée en tête.


– Non. Jamais ça ne pourra… Aaaah !


Elle poussa un cri quand le black disparût à l’intérieur de son fondement, craignant qu’il ne la déchire en deux. Elle avait les larmes au bord des yeux. Mais le garçon resta indifférent. Il la saisit par la taille, poussa davantage pour la pénétrer tout en longueur, se faisant toujours plus brutal. Puis la douleur diminua. Progressivement. Julie finit par éprouver une sensation de bien-être. Elle le supplia même de continuer.


– Tu es la plus grande salope que j’ai jamais vue, dit-il en la voyant écarter les fesses.


Julie ne contrôlait plus son corps. Elle était comme possédée, criant son plaisir à n’en plus finir. Elle sembla encore plus survoltée quand le black la gifla au postérieur. Et voyant cela, il lui donna encore la fessée.

Entre-temps, le blondinet s’était glissé sous le ventre de Julie. Il lui administra un coup de rein assez violent, la faisant sursauter, puis commença les mouvements de va-et-vient à l’intérieur de son vagin. De son côté, elle avait bien du mal à ne pas manifester son plaisir. Elle pouvait sentir les deux sexes coulisser à l’intérieur de son corps, ne laissant aucune place supplémentaire. Elle adressa un sourire au troisième garçon, tendit le cou pour atteindre son engin et le goba sur toute sa longueur. Et finalement, elle fut encerclée par les trois lycéens. Ils déchargèrent toute leur semence sur son joli minois. Puis elle les regarda s’éloigner.

Julie finit par baisser les yeux. Trop honteuse.

Les garçons enfilèrent leurs vêtements. Camille les rejoignit quelques secondes plus tard. Elle avait enregistré la scène avec son téléphone.


– A quand mon tour, bébé ? déclara le black, qui caressait les cuisses de la jeune fille.


Camille lui saisit les mains avant qu’il ne remonte complètement sa jupe.


– Pas maintenant.


– J’ai sauté cette salope uniquement pour toi, gronda le lycéen. Et ensuite, je couchais avec toi.

 

C’était le deal.


Camille se glissa dans les bras du black, frotta sa jambe gauche tout près de l’entre-jambes et ajouta d’une voix mielleuse :


– C’est vrai. Mais pas devant elle.


Le black sembla se détendre. Puis il quitta les toilettes. Les autres firent de même.

Julie se retrouva toute seule. Elle observa son reflet dans le miroir. Il y avait une quantité impressionnante de sperme sur son visage. Et même dans ses cheveux. Le nettoyage dura une éternité. Et quand bien même, elle avait ce sentiment étrange d’être toujours sale. Mais elle en ignorait la raison. Au bout d’un moment, elle quitta les toilettes. Elle marchait dans le couloir quand elle fut interceptée par le professeur de sport.


– Je te trouve enfin, dit-il après l’avoir coincé dans un coin. Le proviseur te cherche partout.


Julie ne dit rien. Elle se contenta de suivre l’enseignant jusqu’au bureau du proviseur.

Le proviseur consultait les dossiers des élèves quand Julie entra dans le bureau. Le professeur de sport ferma la porte derrière lui.


– Je t’attendais… J’ai des projets pour toi. Tu es réquisitionnée pour le week-end à venir. Travaux pratiques…


Julie resta silencieuse. Que pouvait-elle faire d’autre ?


– Enlèves tes vêtements. Et rejoins-moi.

 


Elle s’exécuta. Le proviseur laissa échapper un grognement quand elle saisit son sexe à pleine bouche. Entre-temps, le professeur de sport s’était glissé dans son dos. Il insinua deux doigts dans sa fente gorgée de mouille… 

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