Dimanche 23 février 7 23 /02 /Fév 22:41

Chapitre 6 : Soumise aux élèves

 

(Auteur: Edd)

 

Julie était étendue sur le lit, entièrement nue, le regard dirigé vers l’objectif du caméscope, exécutant les devoirs donnés par ses professeurs. Elle posa ses mains autour de la taille, les remonta vers sa poitrine avec une infinie lenteur, puis fit rouler la pointe de ses seins entre le pouce et l’index. Dès lors, elle se mit à gémir doucement. Elle descendit vers son ventre, s’attarda sur son nombril un moment, essayant de reprendre son souffle. Julie écarta les cuisses, glissa un doigt entre ses petites lèvres et le fit coulisser de façon très délicate. Elle évita tout contact avec son clitoris gorgée de plaisir, devenu très sensible depuis ses séances quotidiennes de masturbation.


Julie, les yeux mi-clos, la tête rejetée vers l'arrière, se mordilla la lèvre inférieure. Elle éprouva des frissons sous le poids de ses caresses, faisant des va-et-vient à l’intérieur de sa chatte qui mouillait de manière très abondante. Puis, elle retira son doigt pour le porter à sa bouche. Elle écarta les lèvres, savoura son jus intime et manifesta son plaisir en laissant échapper un gémissement plus fort que les précédents. Finalement, elle attrapa le godemichet qui se trouvait à ses côtés, le glissa dans son vagin et se branla après avoir guidé son autre main vers sa poitrine. Elle lorgna la caméra un moment quand une décharge la souleva du lit, lui ravissant un petit cri de plaisir, à peine audible mais qui sembla durer une éternité. Elle venait de goûter à son premier orgasme. Le premier d’une longue série car la leçon ne faisait que commencer. Elle ramena les genoux contre sa poitrine, lécha le godemichet sur toute sa longueur et le glissa à nouveau dans son vagin...

La jeune adolescente passa une nuit relativement courte, réveillée par le son du réveil posé sur la table de chevet. Elle poussa un long bâillement, quitta le confort de son lit et s’en alla vers la salle de bain pour faire sa toilette. Durant cet intervalle, elle reçut un message du proviseur. Il s’agissait des dernières instructions avant de partir pour le lycée. Elle ouvrit le tiroir de la commode, laissa choir la serviette de bain et saisit les vêtements approuvés par ses maîtres. On avait jeté son ancienne garde-robe à la poubelle. Cela faisait bientôt deux semaines mais le souvenir d’une quarantaine de bites la prenant aux quatre coins de la maison était encore très présent. Julie termina l’habillage. Puis, elle observa son reflet dans le miroir. Elle portait une jupette qui moulait parfaitement son petit cul rebondi, un tee-shirt dont le tissu très fin laissait entrevoir la pointe de ses seins, des bas résilles qui mettaient en valeur ses longues jambes fuselées et des talons hauts. Julie, pute de l’école. Elle se détourna de la glace, honteuse.

Julie n’avait plus beaucoup de temps pour se rendre au lycée. Elle remonta la mini-jupe autour de la taille, écarta les fesses et enfonça un sex toy à l’intérieur de son fondement sans même avoir besoin de lubrifiant. Cela faisait un moment que le proviseur la contraignait à cet exercice. Pareillement, on lui avait interdit le port de sous-vêtements. Et c’est sous une pluie torrentielle que la petite lycéenne franchissait les barrières de l’établissement scolaire, trempée jusqu’aux os. Elle se présenta devant le bureau du proviseur, frappa à la porte et patienta jusqu’à ce que ce dernier daigne la faire entrer.


– Tu as l’air frigorifiée, déclara le proviseur, installé derrière son bureau. Je vais jeter un coup d’œil à tes devoirs pendant que tu prends ton petit-déjeuner. Viens te placer entre mes jambes… et plus vite que ça !


– Oui, maître. Tout de suite.


Julie se glissa immédiatement sous le bureau du proviseur, baissa le pantalon et pompa le gourdin avec une docilité surprenante. De son côté, le proviseur visionnait les devoirs de son élève, laissant échapper un râle satisfait quand une main experte lui caressa les testicules. Soudain, le téléphone sonna. Le principal prit l’appel sans éprouver la moindre gène, se fichant complètement de son élève.


– Lycée Condorcet, que puis-je pour vous ? fit-il d’une voix ordinaire. Ah, monsieur Jouannot. Quel plaisir.


Julie cessa toute activité mais le proviseur s’en rendit compte, la forçant à continuer son ouvrage.

 

Elle ne tenta pas de se dégager quand une main la saisit par derrière, sentant la bite de son bourreau glisser lentement dans sa gorge, les yeux emplis de larmes. Pendant ce temps, le proviseur avait activé le haut-parleur.


« Je me fais beaucoup de soucis pour Julie. Elle a un comportement très étrange ces derniers temps… »


La jeune fille avait du mal à se concentrer sur la voix de son père, tâchant de conserver son souffle alors qu’on lui baisait la bouche.


« Je l’ai encore entendu l’autre soir… elle s’adonnait à des choses. Vous voyez de quoi je parle... »


Le principal écoutait d’une oreille, sans attention soutenue.


– Je vois très bien… J’ai moi-même une fille, vous savez. Je suis confronté aux mêmes difficultés.
« Je ne sais plus comment la gérer… »


– Il n’y a vraiment pas de quoi s’alarmer, monsieur Jouannot. C’est normal à son âge de se livrer à des expériences. Vous devriez la laisser faire… Pour son propre bien. Faîtes-moi confiance.


« Vous avez raison, monsieur le directeur. Vous êtes de bon conseil. Toujours. Je tiens à vous remercier.


– C’est très naturel. Nous sommes pères, tous les deux. Au-revoir, monsieur Jouannot.


Le proviseur raccrocha.


– Tu arrêtes que si je te l’ordonne, dit-il en la tirant par les cheveux. C’est bien compris ?


– Oui, maître.


Il la plaqua contre le bureau, écrasa sa poitrine sur les dossiers répandus sur la surface de travail et retroussa la mini-jupe sans la moindre délicatesse. Il avait tout le temps pour admirer ce petit cul.


– Je vois que tu es très appliquée dans ton apprentissage, continua le proviseur en voyant le plug enfoui dans son anus.


Julie ne put retenir un gémissement quand elle sentit l’objet bouger à l’intérieur de son fondement.

 

Le proviseur réagit aussitôt, lui envoyant une décharge dans le collier.


– Je ne veux pas un seul bruit. On consomme en silence.


La jeune fille serra la mâchoire très fort, la douleur encore présente. Elle ne dit rien quand le principal lui adressa un coup de pied pour écarter ses jambes.


– Je vais t’apprendre les bonnes manières. Pas comme ton abruti de paternel. Remercie-moi.


– Je vous remercie, maître.


Le proviseur la saisit par la taille, plongea à l’intérieur de son vagin et la pilonna sans vergogne.

 

Julie encaissa les coups, le souffle court, muette. Elle pouvait sentir les couilles de son précepteur claquer contre ses fesses, toujours plus fort. Finalement, il se retira des entrailles de la fillette. Il continua de se branler de façon énergique, poussa un grognement satisfait et arrosa copieusement le postérieur de sa soumise.


– Relève-toi.


Julie s’exécuta. Elle en profita pour ajuster sa jupe, les fesses complètement trempées.


– Tu vas mettre ça dans ta chatte, expliqua le proviseur, en sortant un objet qui ressemblait beaucoup à un œuf.


L’adolescente croisa le regard du principal mais n’insista pas plus longtemps, sans doute par crainte d’une nouvelle décharge électrique. Elle écarta les jambes et glissa l’œuf dans sa fente, surprise par sa texture à la fois lisse et souple.


– Tu donneras également ce pli au professeur de biologie, ajouta le proviseur. Et maintenant file rejoindre tes petits camarades.


Julie attrapa la grosse enveloppe, fit demi-tour et quitta le bureau du directeur.

La jeune lycéenne se dirigeait vers la classe de biologie, baissant les yeux quand elle croisait un élève. Et malheureusement pour elle, le couloir était bondé. Elle pressa le pas pour ne pas subir cette humiliation plus longtemps, les jambes ruisselantes de sperme. Les moqueries fusèrent de partout.


– Tu vas sucer qui aujourd’hui ? demanda une fille sur un ton méprisant.


– On laisse vraiment entrer n’importe qui dans cette école, railla un garçon de terminale.
Julie tourna au croisement suivant pour se réfugier dans la classe de biologie. Elle se présenta devant le bureau du professeur de SVT et lui confia le pli.


– Tu peux aller à ta place, dit-il après avoir lu le mot du proviseur, affichant un sourire narquois.


Julie rejoignit son poste de travail alors que la sonnerie retentissait dans les couloirs. Les élèves firent leur entrée, rejoignant leur table sans lui prêter la moindre attention. Le professeur de SVT leva les mains pour avoir un peu de calme.


– Le cours d’aujourd’hui portera sur la disparition des reliefs. Veuillez sortir votre manuel. Page quarante-deux.


Le professeur se plaça devant le bureau de Julie.


– Commence la lecture.


Elle inclina doucement la tête. Puis, elle prit la parole :


« Les chaînes de montagnes anciennes ont des reliefs moins élevés que les plus récentes. On y observe à l'affleurement une plus forte Oooh !... »


Julie tressaillit quand une décharge de plaisir satura son bas ventre, risquant de la faire tomber de son tabouret. L’œuf. Il émettait des vibrations.


– Poursuis la lecture, s’il te plaît.


Elle adressa un regard apeuré au professeur, le suppliant de ne pas continuer. L’enseignant glissa une main dans la poche de sa blouse, attrapa la télécommande et augmenta le niveau au maximum. Julie reprit la lecture alors que les vibrations se faisaient plus fortes.


« …proportion de matériaux transformés et… et formés en profondeur. Hmmm ! »


Julie avait beaucoup de mal à ne pas gémir, sachant pertinemment qu’elle ne pouvait pas lutter avec cet œuf coincé dans son intimité.


« Les parties superficielles… aaaaah ! Je veux dire… les… les reliefs tendent… Oooh ! »


Penchée en avant, elle se servait du tabouret pour calmer sa chatte en chaleur, faisant lentement onduler son bassin sur la surface en bois.


« Les produits… sous forme solide… Je… Hmmm ! Des phénomènes tecto… tectoniques AAAAH ! »


– Julie !


Elle leva yeux vers le professeur de SVT, revenue soudain à la réalité. L’œuf ne vibrait plus. Depuis combien de temps ?


– Nous devons parler. Suis-moi dans la réserve.


Julie se redressa lentement, le regarde vide. Elle se dirigea vers la pièce voisine, manquant de perdre l’équilibre à plusieurs reprises. Les autres élèves ricanaient à voix basse.

Le professeur de SVT la laissa entrer en première. Il ne ferma pas complètement la porte pour que toute la classe puisse entendre leur entretien. Julie attendait au fond de la réserve, sachant parfaitement ce qui allait suivre.


– Ce comportement est inadmissible, dit-il en s’approchant de la jeune fille. Je vais devoir en référer au proviseur.


Le professeur abaissa son pantalon, saisit la jeune fille par les cheveux et la tira en avant.


– AAAAH !


Julie posa sa langue sur le membre en érection, avala les testicules et remonta lentement vers le gland. Elle effectua des va-et-vient avec sa bouche, lui titillant le bout avec la langue. De son côté, le professeur de SVT sentait qu’il n’allait pas tarder à jouir.
– C’est bon, tu peux lâcher ma bite, finit-il par dire, bien décidé à ne pas en rester là. A présent, je vais casser ton petit cul. Penche-toi en avant.


L’adolescente tourna le dos au professeur, se posa contre le meuble le plus proche, redoutant la suite des évènements.


– C’est un joli jouet que tu as là, déclara-t-il une fois le plug extrait. Tu dois vraiment être une grosse salope pour te promener avec ça dans le fion.


Il l’a pénétra d’un seul coup, peu disposé à lui faciliter la tâche. Et puis, ce n’était pas la première fois qu’elle se faisait enculer à sec.


– Je veux t’entendre crier, lui dit-il à voix basse. Que toute la classe puisse profiter.


Le professeur la sodomisa encore plus fort, la traitant de tous les noms. Il lui donna même des claques pour la rendre plus coopérative. Julie essaya de résister mais cet effort ne dura qu’une fraction de secondes.


– Oh, mon dieu ! Oui ! OUI ! dit-elle à voix haute, ballotée dans tous les sens.


Elle cria si fort que tout le lycée devait être au courant de ses agissements. Le professeur de SVT en parut satisfait car il quitta son petit trou pour lâcher son jus sur le visage de Julie. Elle en avait partout. Les vêtements. Les cheveux. Mais il refusa qu’elle s’essuie. Il l’a raccompagna dans la salle de classe.


– Ton argumentation plaide en ta faveur, Julie. Je fermerais les yeux pour cette fois.


Le professeur caressa une dernière fois les fesses de son élève, la laissant retourner à son poste de travail.

Julie profita de la récréation pour se rendre aux toilettes. Elle venait de finir son affaire quand il lui sembla entendre des bruits provenir du compartiment voisin. Intriguée, elle s’approcha de la cloison pour satisfaire sa curiosité. Il y avait un trou un peu plus bas. Et quelle ne fut pas sa surprise quand le sexe d’un homme en émergea. Elle poussa un petit cri.


– Tu en as vu d’autres, déclara le garçon situé de l’autre côté. Mais tu n’as pas encore goûté à la mienne.


– Pas question, répondit la lycéenne.


– Mais je ne t’ai rien demandé, dit-il en retour. Pas encore.


Il s’écoula un moment avant que l’occupant de la cabine voisine ne prenne à nouveau la parole.


– Tu vas faire tout ce que je dis… ou je te balance sur Internet.


Julie resta de marbre. Le lycée était déjà au courant mais les professeurs faisaient en sorte que l’information n’aille pas au-delà des murs de l’établissement. Cependant, ils n’avaient aucun contrôle sur Internet. La nouvelle ferait l’effet d’une bombe. Elle serait la risée du pays. Et même plus. Le monde entier saura.


– J’ai la bite qui me démange… si quelqu’un pouvait me la branler.
A contrecœur, elle saisit la verge en érection, puis dans un mouvement de va-et-vient elle le masturba. Le garçon grogna de satisfaction.


– C’est pas mal. Mais ça ne vaut pas une bonne pipe.


Julie entreprit de lécher le bout du gland gonflé par le sang. Continuant ses mouvements de va-et-vient elle glissa le sexe dans sa bouche, avalant les dix-neuf centimètres de chair. Elle pompa son dard durant cinq bonnes minutes, se demandant à quel moment il lui enverrait son jus pour que cette histoire prenne fin.


– A présent, je me paierais bien ta chatte.


Julie ne dit rien. Elle remonta sa jupe, puis se prépara à recevoir le membre de son maître chanteur. Le gland se faufila entre ses lèvres, allant jusqu’à effleurer son clitoris gonflé de plaisir. Et finalement, elle s’empala complètement sur la tige.


– Aaaaah !


– C’est assez confortable, ajouta le garçon d’une voix rauque. Un garage à bites de première classe.
Julie ignora les louanges de son partenaire, remuant le bassin pour mieux sentir son engin frétiller à l’intérieur de son vagin. Pour tout dire, il n’avait pas besoin de faire quoique ce soit. Elle s’occupait de tout.


– Je vais pas tarder à jouir…


Julie se balançait toujours d’avant en arrière, laissant échapper des petits cris excités. Soudain, elle sentit le sexe se contracter, puis lâcher une grosse quantité de semence dans son ventre.


– Je me suis bien vidé, conclut le maitre chanteur avant de quitter les toilettes. On remet ça quand tu veux.


Julie resta à l'intérieur du compartiment, assise dans une flaque de sperme. Elle avait du mal à avoir les idées claires. Finalement, elle réalisa. Elle n'était plus uniquement la cible des professeurs. Les élèves s'y mettaient aussi.


Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Julie, pute de l'école - Communauté : Soumissions féminines
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Dimanche 23 février 7 23 /02 /Fév 22:35

Chapitre 5 : Julie soumise chez elle

 

(Auteur: Ojoussama)

 

Durant toute l'après-midi, les autres élèves se sont moquées de son visage barbouillé de bave, de sperme et d'un reste de maquillage.


Après la fin des cours, le proviseur lui envoya un SMS l'autorisant à se refaire belle.


La réunion avec les parents d'élèves avait lieu dans la grande salle d'études mais le prof de SVT l'intercepta dans les couloirs pour l'emmener dans le bureau du proviseur. Son père était déjà là, assis en face du proviseur. Il était installé dans le fauteuil où elle avait sucé son bourreau ce matin.


"Ah Julie, vient donc t'asseoir avec nous. Comme je l'expliquais à ton père, nous avons décidé de t'accompagner un peu plus dans tes études. Cela se traduit par exemple par des devoirs supplémentaires le soir ou à des heures d'études le midi."


"Je vous suis très reconnaissant pour ce que vous faites pour ma fille. Avec ma femme, on a déjà pensé à l'inscrire à des cours du soir ou des cours par correspondance mais Julie a refusé à chaque fois"


"Vraiment? Ça n'est pas bien Julie. Écoutez Monsieur Jouannot, je vous propose de me laisser organiser des cours de rattrapage certains soirs et les week-ends. Bien sûr cela dépendra de la disponibilité des professeurs"


"Ça serait formidable, vous avez toute ma confiance. J'espère que cela lui permettra d'obtenir le bac en fin d'année."


"Oui, naturellement, c'est le but. Cependant cette prise en charge va avoir un coût que vous devrez assumer, je ne peux pas mobiliser des professeurs gratuitement. Je pense que nous serons aux environs de 150 euros la semaine"


"Oui, aucun problème." le père se retourna vers Julie "tu vois l'effort que l'on fait tous pour toi?

 

Aussi bien tes professeurs que ta mère et moi. Ne nous déçois pas !" Mais un détail retint son attention. "Qu'est-ce que c'est que ce foulard rose?! Retire-moi ça tout de suite!"


Julie était apeurée, Si elle retire le foulard, son père verra le collier en métal que lui a accroché le proviseur.


"Euh je je" bégaya Julie


"Calmez-vous Monsieur Jouannot, vous savez à notre âge il y a des choses que l'on a du mal à comprendre chez les jeunes, notamment leurs habitudes vestimentaires."


"Oui mais là, quand même"


"Nous sommes très ouverts dans ce lycée, et Julie est beaucoup mieux habillée que la plupart de ces camarades. Je pense d'ailleurs que c'est pour cela qu'elle a du mal à s'intégrer. Nous devrions lui laisser plus de liberté."


"Je suppose que vous avez raison, d'autant plus que ma femme et moi lui en demandons beaucoup..."


"Exactement. Laissons-lui carte blanche sur son apparence, l'important pour le moment c'est les études. Bien, revenons au sujet principal: les prochaines vacances"


"Oui, comme je vous l'avais expliqué au téléphone, nous sommes très intéressé par votre proposition."


"Parfait, voici une autorisation de sortie du lycée, vous savez, pour tout ce qui est assurance... Car je ne l'ai pas précisé mais ces 2 semaines ne se dérouleront pas au lycée, ce sera dans un centre à quelque kilomètres de là."


Soudain le téléphone du proviseur vibra. "mmm? Un SMS? Je vois... Julie, pourrais-tu aller donner cette clé à Monsieur Racot, ton prof de sport?"


Julie prit la clé et sortit, rapidement suivie par le prof de SVT qui était resté près de la porte depuis le début.


Arrivée à la salle de sport, le prof de SVT la tira par les cheveux jusqu'aux vestiaires des hommes où l'attendait le prof de sport.


"ahh je n'en pouvais plus!" soupira le prof de SVT


"Elle est finie la réunion avec son père?"


Alors qu’ils discutaient, Julie était déjà à genoux pour les sucer. Ils s'étaient contentés de baisser leur pantalon pour que Julie comprenne sa mission.


"Non, ça prend des plombes. Qu'est ce qu'il est con ce type, il n'a même pas lu ce qu'il a signé. A la place d'une autorisation de sortie, Jean lui a fait approuver le contrat d'esclave de notre sac à foutre"


"ahahah"


"Et tu sais la meilleure? On va être payé pour lui péter la rondelle!"


"Sérieux? Tu es sûr que Jean va nous lâcher un bout du magot?"


"Je sais pas, il doit avoir quelque chose en tête. Ça n'était pas prévu de le faire payer l'autre. Hey petite pute, tu ne pourrais pas y mettre un peu plus de volonté? Innove, titille nous le gland avec ta langue, lèche nous les couilles, lèche nous le cul... Si tu prends ton temps, ton père va se poser des questions"


Julie entreprit de leur gober les couilles, mais ça n'était pas facile de mettre en bouche des boules de la taille d'un kiwi.


Mais après 10 bonnes minutes de dur labeur, les 2 étaient prêts à jouir. Le prof de sport enfonça sa bite au plus profond de la gorge de Julie, presque dans l'oesophage, et largua tout son foutre. Le prof de SVT fit de même mais en pinçant le nez de Julie. Privée de respiration, elle essayait d'aspirer de l'air par la bouche mais cela avait plutôt pour effet d'aspirer un peu plus la queue dans son oesophage. D'un coup, le foutre se déversa, puis le prof se retira, la queue toute molle et pendante. Julie toussait bruyamment et avait du mal à reprendre son souffle.
"Hé béh, ça va au-delà de mes espérances. Non seulement le manque d'air a aspiré ma bite plus loin, mais quand elle avale des gorgées, les ondes de son oesophage sont comme un massage."


"Tu comptes vraiment l'utiliser pour tes expériences?"


"Bien sur, c'est un cobaye parfait." puis, se tournant vers Julie "tu devrais te dépêcher de retourner avec ton père, sinon ils vont se poser des questions"


"Oui" dit Julie en se levant. Mais alors qu'elle avançait vers la porte, elle reçue une décharge électrique.


"Tu n'aurais pas oublié quelque choses ?" dit le prof de SVT


"Euh merci maîtres, pour ce délicieux goûter"


"Voilà, c'est mieux comme ça. Si en plus on doit la dresser, heureusement qu'on est payé"


Julie passa par les toilettes pour se remaquiller avant de retourner voir le proviseur. Quand elle arriva, ils étaient en train de se saluer devant la porte.


"Ah te voilà enfin!" s'exclama son père "tu en as mis du temps"


"J’étais ... aux toilettes"


"Voilà un bel exemple Monsieur Jouannot, comme je vous le disais, de nos jours les jeunes mangent n'importe quoi et se rendent malades. C'est bien pour cela que nous essayons de privilégier des repas riches en vitamines et des produits laitiers pour tenter de préserver leur santé. N'est ce pas Julie ?"


Julie n'eut pas le temps de répondre, son père regarda sa montre. "Déjà 19h! Dépêchons nous Julie, ta mère nous attend"


Sur le trajet, son père expliqua à Julie ce qu'il attendait d'elle qu'elle fasse de grands efforts pour avoir de meilleures notes. En plus, comme sa mère était cardiaque, il fallait vraiment qu'elle réussisse les prochains partiels. Une fois à table, les éloges sur le proviseur continuaient.


Après une bonne nuit de sommeil, Julie fut réveillée par ses parents à 10h du matin, ils devaient partir la journée pour rendre visite aux grands parents de Julie. Ils ne rentreront pas avant 19h. 


Chouette se dit Julie, une journée enfin seule! Après leur départ, elle alla prendre un bon bain chaud. Tout en se prélassant dans l'eau, elle réfléchit tout haut à ce qu'elle ferait ensuite. "Ah, ça fait du bien d'être tranquille, qu'est-ce que je vais bien pouvoir faire après... Il est déjà 11h? Je vais aller chez Amélie, ça me fera du bien de parler à quelqu'un."


Julie sortit de l'eau et pris une serviette de bain pour se sécher. Mais 5 minutes après, quelqu'un sonna. "Qui ça peut être ?" Elle enroula la serviette autour d'elle et ouvrit la porte.


"Alors comme ça on se la coule douce au lieu de faire ses devoirs ?"


Les jambes de Julie commencèrent à trembler, c'était le proviseur et le prof de SVT. Ils entrèrent et le proviseur referma la porte derrière lui.


"Tu as du temps libre et tu ne veux pas nous en faire profiter?"


"Je je je"


"N’oublie pas qu'il y a un micro et un émetteur sur ton collier. Bien, on a donc la journée devant nous" dit-il joyeusement.


"ohhh en plus tu es déjà prête on dirait" dit le prof de SVT en lui arrachant la serviette de bain.


"Je vais chercher le caméscope, Robert tu peux commencer sans moi" dit le proviseur qui partit dans la chambre de Julie. Quand il revint, le prof était affalé dans le canapé et Julie lui taillait une pipe.


"J’ai fouillé dans tes armoires, passe toi ça."


Julie ramassa les vêtements que le proviseur lui avait jetés. C'était des affaires de collège, elle les enfila avec difficulté. Elle se retrouvait avec une jupe en Jean tellement courte que même debout on pouvait voir la raie de son cul, d'un T shirt rose 10 fois trop petit qui était tendu par sa poitrine et qui n'arrivait même pas au nombril. 


Le proviseur s'approcha d'elle pour faire 2 couettes avec des élastiques à cheveux bleu ciel, et la maquilla grossièrement avec du rouge à lèvres rose bonbon. 


Une fois fini, il installa le caméscope et expliqua : "j'ai vu des films porno d'un mec qui s'appelait Max Hardcore, je me suis dis que ça serait amusant de faire quelque chose de similaire"


"C’est bien sympa tout ça, mais c'est pas son déguisement qui va me vider les couilles"


"Attend, ne sois pas si pressé. Mets ce masque de Mickey, ça nous permettra de rester anonyme sur la vidéo."


"Ah je vois où tu veux en venir. Allez, lance la camera, on tourne"


Affublés de leurs masques de Mickey, les 2 compères commencèrent à ramoner la gorge de Julie, puis le proviseur bougea la camera et il retroussa la jupe pour s'affairer sur la chatte jusqu'à jouir en elle. 


Tandis que le prof de SVT s'attaquait à sa chatte, la sonnerie retentit. Julie voulut se relever mais le prof la retint et continua son affaire. Le proviseur alla ouvrir, c'était le prof de techno et celui de sport qui venait prendre part à cette orgie. Ils enfilèrent chacun un masque de Mickey que le proviseur leur tendit et se déshabillèrent.


Julie avait maintenant les 2 mains et la chatte occupées. Le proviseur, quant à lui, filmait la scène et donnait des ordres à chacun tel un producteur de porno "Julie écarte les jambes, sourit un peu plus, pompe la queue de gauche mieux que ça!"


C'est alors que la sonnerie retentit encore. Cette fois ci c'était un livreur de pizza que le proviseur avait appelé. Choqué par la scène, il ne savait pas trop quoi faire. Le proviseur lui tendit un masque "vous voulez vous joindre a eux?"


"Avec plaisir monsieur !"


Julie essaya de dire non, les professeurs représentaient déjà un risque pour les MST, mais avec des inconnus, c'était encore plus dangereux. Mais les professeurs ne la laissèrent pas réagir.


Le livreur sortit sa queue et remplaça directement le prof de SVT qui était parti jouir dans les cheveux de Julie. Il ne mît que 3 minutes avant de gicler dans sa chatte. 


Alors qu'il remontait son pantalon, le proviseur l'interpella "c'était un peu rapide non?"


"Oui désolé, si vous voulez je peux faire venir des amis."


"Ça serait formidable, autant que vous voulez, mais dites leur de ramener des bières en échange."


"OK, et pour le règlement..."


"Il y a un portefeuille sur le meuble d'entrée, servez-vous dedans"


"Merci, et bon appétit"


Le livreur s'approcha de la porte d'entrée et prit le portefeuille. Julie le surveilla du mieux qu'elle pouvait. Elle le vit sortir 2 billets de 50 euros et les mettre dans sa poche. 100 euros la pizza, s'était pire qu'un resto de luxe. 


"Laissez la porte contre, je n'ai pas envie d'aller ouvrir à chaque fois, mettez donc une chaussure pour caler." dit le proviseur au livreur


Le prof de techno qui ramonait la chatte de Julie pendant de longues minutes se mit à jouir lui aussi.


Il ne restait plus que le prof de sport, il décida de s'attaquer au cul encore vierge de Julie. Il pressa lentement son gland sur la rondelle, mais il avait du mal à rentrer dedans. Alors que ses collègues s'attaquait à la pizza, il attrapa de la sauce tomate avec ses doigts et l'étala sur l'anus de Julie. Sa queue arrivait à rentrer un peu plus mais il manquait encore du lubrifiant. Il ouvrit un sachet d'huile et le versa sur l'anus et sur sa queue. Puis il recommença à pousser sur la rondelle et enfonça plus facilement sa queue jusqu'à la garde, tout en arrachant un hurlement de Julie. Il lui tira les cheveux en arrière et lui chuchota "sois un peu plus discrète, je te rappelle qu'il y a des voisins autour de chez toi et la porte est entrouverte"


Julie plaça sa main devant sa bouche pour étouffer ses cris, sous les coups de boutoir qu'elle subissait.


Elle vit alors une, puis 2 puis 3 bites noires s'aligner devant elle. Elle releva la tête: 3 blacks avec des masques de Mickey, elle se tourna vers le proviseur qui lui fit signe de pomper. Elle prit alors une queue dans chaque mains et les branla. Le 3e type ne semblait pas prêt à attendre, il attrapa Julie par les couettes et lui fourra sa grosse bite dans la bouche et lui fit un deepthroat. Le prof de sport se finisaits dans son cul avant de rejoindre ses collègues assis près de la porte avec des bières.


Le proviseur demanda aux 3 blacks de changer de position. L'un assis dans le canapé tandis que les 2 autres soulevèrent Julie pour la placer sur sa queue, un autre lui fourra dans le cul et le 3e se mis debout sur le canapé pour occuper sa bouche. Au bout de quelques minutes ils échangèrent leurs places, Julie en profita pour jeter un oeil à ses professeurs qui se taillaient un festin avec les provisions du frigo. Elle vit aussi d'autres types rentrer dans l'appart, des blacks, des arabes, des pakistanais... Toute la cité allait lui passer dessus cet après-midi!


Soudain le téléphone sonna. Silence complet, tout le monde arrêta de bouger. Puis le répondeur se lança : "bonjour, la famille Jouannot est absente mais vous pouvez nous laisser un message après le bip. *Biiiip* Julie, c'est ta mère. Nous allons être retenus un peu plus longtemps que prévu, je pense que l'on sera de retour tard ce soir. Repose toi bien et surtout ne fais pas de bêtises."


Tout le monde éclata de rire en entendant le message et ils recommencèrent à pistonner Julie de plus belle.


Quelques types demandèrent à Julie de leur lécher le cul. L'un d'entre eux incita Julie à aller toujours plus loin avec sa langue, avant de lui larguer une caisse à la figure. Ca n'était même pas le plus écoeurant pour elle. Ce qu'elle détestait le plus, c'était l'hygiène des bites qu'elle acceptait dans sa bouche : il y en avait beaucoup de mal lavé et puant la pisse.


"Quand vous giclez, faites le sur son visage, ça manque un peu depuis le début du film" dit le proviseur.


Aussitôt dit, Julie fut mise à genoux et 4 queux se succédèrent pour larguer un paquet de sperme sur son visage et notamment ses yeux. Elle sentit quelques choses de métallique raclait son visage, c'était le prof de svt qui collectait le sperme dans un saladier. Puis le manège recommença, Julie n'avait aucune idée de l'heure qu'il était, ni du nombre de bites qui la visitaient, ni même du visage de ses bourreaux car tous portaient un masque de Mickey.


Un pakistanais qui se faisait sucer lui arracha le devant du Tshirt, faisant automatiquement bondir les 2 seins prisonniers jusque-là. A ce moment-là, l'arabe qui s'affairait dans le cul de Julie sortit un couteau à cran d'arrêt. Les professeurs devinrent tous pâles, mais le type se contenta de découper la jupe en 2 pour s'en débarrasser.


Le prof de SVT dit avoir un voix inquiète "Elle a l'air de perdre de rythme, rechargeons lui les batteries" et lui balança une décharge électrique qui eut pour effet d'accélérer la cadence de Julie.


Le prof de techno passa la porte d'entrée en criant "il y a de la clientèle qui fait la queue jusque dans l'escalier, il faut accélérer !"


"Il ne vont pas pouvoir tous passer, il faut qu'il viennent juste se branler dessus pour finir sur un bukkake" fit le proviseur, "je n'ai presque plus de place sur cette cassette et c'est la dernière"
Les professeurs firent rentrer presque 40 personnes en même temps dans l'appart pour se branler sur Julie sans pouvoir la monter. En partant, certains volèrent des objets de valeur, de l'argenterie, des manteaux...


"Voilà voilà, merci d'être venu, bon week-ends à tous" dit le prof de sport en raccompagnant les derniers jeunes qui remontaient les pantalons.


"Tu n'as pas mangé de la journée" dit le prof de SVT, le saladier plein de foutre à la main. "ouvre la bouche et fait ahh" 


"aahh" dit Julie en recevant une cuillère à soupe de sperme


Le proviseur de rapprocha avec la camera devant le visage de Julie. "Souris un peu voyons, tu ne vas pas nous obliger à tout recommencer?" lui dit il avec un sourire carnassier. 


Julie avala plusieurs cuillères de la mixture mais cela prenait trop de temps, ils lui firent boire le reste avec une paille. "coupez" cria fièrement le proviseur en éteignant le caméscope. "on a 6h de rush, il va falloir éditer ça pour n'en garder qu'une heure"


"Bon, c'est pas tout ça mais il est tard, on vous laisse" dirent les 3 profs, mais le proviseur les arrêta.


"Non non, ça n'est pas fini, j'ai ma petite idée, on a encore le temps avant le retour de ses parents, il n'est que 17h" puis se tournant vers Julie : "dépêche-toi de ranger tout ça, imagine la tête de tes parents si ils voyaient l'état de leur appart, je ne parle même pas du film"


Julie essaya de se lever mais elle retomba sur les genoux. Ils lui avaient complètement labouré le cul. Elle essuya les traces de sperme sur le sol et le canapé du mieux qu'elle pouvait mais ses cheveux dégoulinant de foutre resalissaient au fur et à mesure. Le proviseur et les profs semblaient y mettre du leur en ramassant les cadavres de bière et en rangeant les chaises. Puis ils aérèrent la pièce qui puait le foutre.


Une fois tout nettoyé, le proviseur aida Julie à se doucher rapidement puis lui passa un jogging. Elle s'endormit à terre, exténuée par cette journée. Mais elle ne se rendait pas compte de ce qu'il lui arrivait alors...


Elle se réveilla, hurlant de douleur à la fesse gauche. Les 4 compères la maintenèrent et un 5e type lui administra un piqûre de tranquillisant. Julie se réveilla plus tard chez elle, sous les yeux bienveillant du proviseur.


"Écris ce que je te dicte sur ce postit : j'ai fait venir des amis et on a fait la fête toute la journée, désolée pour la casse et les vols, je le paierai avec mon argent de poche"


Puis le proviseur reprit le stylo et alla mettre le postit dans la cuisine.


"Comme on a peur que d'autres personnes tentent de profiter de toi, on a fait comme pour n'importe quel objet, regarde ta fesse dans le mirroir"


Julie se leva et tituba jusqu'au miroir. Elle se tourna légèrement et vit une marque noir sur la gauche de son cul, puis elle s'écroula en larmes. Sur un rectangle de 15cm sur 5cm, il était tatoué :

 


PROPRIETE
DU LYCEE
CONDORCET 

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Dimanche 23 février 7 23 /02 /Fév 22:29

 

Chapitre 4 : Le collier

 

(Auteur: Ojoussama)

 

A la fin du cours de français, Julie rangea ses affaires rapidement et sortit du lycée au plus vite. Elle voulait rentrer chez elle et oublier cette nouvelle journée de soumission. Arrivée à son arrêt de bus, juste en face du lycée, son téléphone vibra. En le sortant de son sac, elle vit "un mms reçu". Elle valida pour le consulter, c’était une photo, une photo d'elle, ou plutôt de son anus bariolé de rouge à lèvres. Un SMS arriva: "n'as tu pas oublié la règle N*9? tu as 5min avant que tes parents reçoivent la vidéo complète".


Julie prit peur. Le bus marqua l’arrêt, de nombreux élèves montèrent mais elle, le regard absent et le visage pale, resta sans bouger avant que le bus ne redémarre. "il faut que j'y retourne absolument" se dit-elle. Elle traversa la rue en courant, sans prêter attention aux voitures qui durent piler juste devant elle. Elle ne pensait qu'a rejoindre le lycée et éviter l’irréparable.


Essoufflée par les 3 étages qu'elle venait de gravir en trombe, elle entre dans le bureau du proviseur sans frapper.


Celui-ci leva les yeux, "de justesse, à quelques secondes près, j'allais appuyer le bouton envoi" dit-il avec un air grave. "bref, passons cet incident, néanmoins que cela ne se reproduise plus"


"Oui..." murmura Julie


"Je n'ai pas très bien entendu, oui qui?"


"Oui... Maître"


"Plus fort! Bon dieu mais vous n’êtes pas si silencieuse quand je vous entends jacasser avec vos camarades!"


"Oui maître" dit Julie d'une voix plus assurée.


Le proviseur se pencha pour ouvrir un tiroir. "bien, je dois faire vite, ce soir c'est l'anniversaire de ma fille et je n'ai pas l'intention de le rater"


Il sortit alors une boite, qu'il ouvrit après l'avoir poser sur son bureau. "afin de t'aider dans ta formation, nous t'avons préparé un peu de matériel. Voici un caméscope numérique et un god."


Julie ne comprit pas tout de suite le lien entre ces 2 objets.


"Tous les soirs à partir de maintenant, tu vas te masturber avec ce god et te filmer. 1h tous les soirs. Chaque lendemain matin, je vérifierai si tu as bien fais tes exercices."


Julie écouta sans réagir.


"Ah, il faudra aussi qu'on ait le son. Et n'oublie pas de mettre une petite feuille avec la date du jour, il serait fâcheux que tu tentes de tricher en copiant la même vidéo plusieurs fois."


Le proviseur lui tendit la boite. "mets le dans ton sac, il y a plusieurs disques d'avance, je t’échangerai celui du jour contre un nouveau chaque matin."


Julie ouvrit son sac et le glissa dedans.


"Tu m'apporteras le disque de la veilles chaque matin à 7h pour que je le contrôle. Si ça te parait tôt, ne t'en fais pas, désormais tu prendras ton petit déjeuner ici."


Julie acquiesça, elle ne pouvait rien dire après tout.


"Allez file maintenant"


Sans demander son reste, Julie quitta le bureau. En marchant dans le couloir, elle croisa le prof de biologie.


"Bonne soirée ma chérie" lui dit il avec un grand sourire.


"Merci maître, bonne soirée à vous aussi maître" Elle savait ce qu'il sous entendait par bonne soirée, toute rouge elle se mit à courir pour attraper son bus.


Le prof de bio entra dans le bureau du proviseur, celui-ci était en train de fermer sa mallette et s’apprêtait à partir.


"Tout à l'heure, quand on attendait de rentrer dans ton labo, on a vu la quantité de foutre que tu lui as fait boire. Comment fais-tu ça? On a les couilles à sec nous, à force de se faire pomper chaque jour"


"Hehe" fit le prof avec un air fier, "vous avez remarqué. En fait je prends des pilule chaque soir qui multiplient la production de sperme. J'ai trouvé ça sur un site américain."


"Mais c'est pas dangereux?"


"Je sais pas, j'ai commencé il y a quelques jours, et je n'ai pas eu encore d'effets secondaires. A part mon liquide séminal qui est d'un verre complet chaque jour."


"Ouah, tu pourrais nous donner le nom de ce produit?"


"Bien sur, passe-moi un postit. Si tu veux je t'en file 3 pour ce soir"


"3? Mais c'est pas trop? Tu m'as dit que tu n'en prenais qu'un"


"Oui, mais pour avoir un effet efficace dès le début, 3 pilules ça sera pas mal"


Le prof de bio découpa 3 gélules de la plaquette qu'il sortit de sa poche. "en ce qui concerne le prix, c'est pas donné, il faut donc veiller à ce que notre petit sac à foutre ne gâche pas notre précieux nectar."


"Ne t'en fais pas sur ce point. Sinon tu voulais me voir pour quelque chose?" demanda le proviseur


"Oui, le prof de techno a eu vent de nos occupations. Il a une chose à nous montrer


"Robert? Ce vieux pervers? Ça me plaît pas trop de le mettre dans le coup, j'ai eu du mal à étouffer l'affaire des caméras qu'il avait placé dans les toilettes des filles"


"Oui je me souviens, mais je vais quand même passer le voir juste après. Qui sait, il a peut-être quelque chose d’intéressant à nous proposer"


"Comme tu veux, mais méfie-toi de lui"


"Pas de problème. Pour Julie, tu lui as donné le matos?"


"Oui, elle doit repasser demain matin. On va prendre le petit dej ensemble, enfin elle va surtout boire elle"


"Hahaha, en plus avec ces gélules, tu crois pas si bien dire"


Ils sortirent du bureau, prenant chacun une direction différente.


Le lendemain, Julie entra dans le bureau. Il n’était que 7h35. Elle avait des grosses cernes, qu'elle avait tenté de masquer avec du maquillage. Elle avait en effet peu dormi car en plus du TP que le proviseur lui avait donné, elle avait du faire ses devoirs et rattraper le cours de français qu'elle avait partiellement raté la veille.


"tu as la disquette? Parfait, donne-la moi. Tiens, mais tu t'es maquillée? On t'a dit qu'il fallait une validation de notre part. Bref, tu le regretteras rapidement".


Il prit la disquette quelle lui tendait, et se leva pour la mettre dans le lecteur à coté de la télé. Puis, la télécommande à la main, il s'avachit dans le fauteuil en face de la télé après avoir baissé son pantalon.


"Pourquoi tu restes plantée là? Dépêche toi, à genoux et pompe moi!"


Julie s'agenouilla devant lui, et commença à le branler.


"Du nerf! Et masse moi les couilles, elles me démangent depuis que je me suis levé."


En les prenant de sa main gauche, Julie remarqua que les couilles étaient anormalement gonflées, la peaux était toute tendue et semblait avoir du mal à contenir les 2 grosses boules, à peine plus petites que des boules de pétanques.


Pendant ce temps, le proviseurs regardait la vidéo en avance rapide. On y voyait Julie allongée sur le dos dans son lit, la tête appuyée sur le mur, jambes écartées, face à la caméra. Elle avait pensé à mettre un carton blanc à coté d'elle avec la date du jour. Le god que lui avait donné le proviseur allait et venait dans son intimité. Au fil des minutes, on voyait le visage de Julie rougir, avec quelques gouttes de sueur.... Elle prenait son pied.


Pendant ce temps, Julie continuait de sucer dynamiquement la verge du proviseur. Il n'allait pas tarder à venir.


Après avoir éteint la télé, il se pencha sur la droite pour attraper un verre à whisky, poussa Julie violemment pour se lever et éjacula dans le verre. L’éjaculation dura près de 10 secondes. Il poussait de grands râles, signifiant à la fois du plaisir et de la douleur.


"waouh! Tiens, tu n'as pas déjeuné ce matin? Prends donc des forces, c'est bourré de vitamines" lui dit-il en tendant le verre plein à ras bord.


Julie tendit les mains pour saisir le verre, elle était choquée par la quantité de sperme.


"allez allez, et n'en laisse pas une goutte"


Julie approcha ses lèvres du verre et but une première gorgée. Le foutre était encore tiède, son goût était très acide contrairement à d'habitude.


"Plus vite! Tu ne vas pas y passer la matinée"


Julie enchaîna les gorgées jusqu’à plus soif. Elle finit le verre et racla même le fond avec son doigt.


Le proviseur passa sa main dans ses cheveux, et la félicita. "souris un peu, ça te fait plaisir non"
Julie esquissa un sourire forcé, "oui maître". Il essuya alors sur son front le reste de sperme qui perlait au bout de son gland. Julie continua d'afficher le même sourire.


"File en cours maintenant"


"Oui maître" puis elle sortit du bureau pour rejoindre la salle de classe.


Peu après son départ, les prof de bio et de techno entrèrent dans le bureau.


"Jean, tu vas voir ce que robert a inventé, c'est du tonnerre de dieu!"


Le proviseur incrédule s’avança vers ses collègues.


Le prof de techno posa quelque chose sur la table. "vous avez déjà vu le film battle royale?" lança t-il "et bien voici une version adaptée à nos désirs"


Le proviseur se saisit de l'objet et l'examina avec méfiance.


"Mettez ce collier au cou de votre esclave et vous aurez un contrôle total sur elle. Avec la télécommande que voici, vous pourrez lui infliger des décharges électriques à intensité variable, vous voyez il y a une molette sur la télécommande. Sur ce collier il y a aussi un micro, un émetteur pour que vous entendiez ce que votre esclave dit. On le verrouille par l’arrière, et comme il est étanche, on peut faire sans jamais l'enlever"


"Alors tu en penses quoi? C'est génial non?"


Sceptique, le proviseur posa quelques remarques: " mais ça n'est pas très discret"


"Ça n'est pas un problème, il suffit que la personne porte un petit foulard noué autour"


"Les décharges ne sont pas mortelles?"


"Pas le moins du monde, la charge maximale sera très douloureuse, pas plus."


"Bon, je vais y réfléchir. Tu veux quoi en échange?"


"Profiter un peu, ça devrait pas trop vous poser de problèmes?"


"Non non, pas de soucis. Je vais installer ça ce midi. En attendant regardez donc ses devoirs d'hier soir" ...


A midi, la sonnerie retentit et tous les élèves sortirent en criant vers la cantine. Julie faisait partie de ceux-là. Comme personne n’était venu lui réclamer une pipe à la pause du matin, elle pensait être tranquille pour la journée.


"Julie, tu peux venir?" le prof de sport était venu la chercher alors qu'elle faisait la queue avec les autres élèves.


"Mmm, tu vas te régaler aujourd'hui", "ne sois pas trop gourmande" ou encore "pour toi, ça sera encore sous la table on dirait" tous les élèves se moquaient d'elle, mais elle était obligée de suivre son prof.


Il la fit entrer dans une des salles que les professeurs utilisaient le midi pour leur repas. Ils étaient là: le prof de bio, le proviseur, et ... Le prof de techno? Julie fut surprise de voir ce vieux fou avec eux.

 

Le prof de sport la poussa dans la salle et referma la porte derrière lui.


"Viens ici Julie, n'ait pas peur. Mets toi à genoux"


Le proviseur s'approcha, et lui attacha le collier rapidement. Il eut un peu de mal à verrouiller l’arrière. Il lui attrapa les cheveux violemment et approcha son visage: "maintenant tu es vraiment notre chienne. Tu vas nous obéir au doigt et à la bite"


Julie était morte de peur, mais les larmes n’arrivaient pas à couler. Puis il attacha un petit foulard hello kitty pour cacher le collier.


"Tu pourras enlever le foulard quand tu prendras une douche, sinon garde le au-dessus. Au fait, avec ce collier on entend tout et on peut te punir de cette manière" et le proviseur lança une petite décharge électrique. Julie sursauta et plaça ses mains au niveau du collier. Mais évidemment il était bien attaché.


"Bien, maintenant à table. Enfin, pour toi. C'est sous la table, et pas de gaspillage!"


"Oui maître" dit Julie en avançant sous la table. Elle suça alors ses 4 maîtres les un après les autres.

 

En gros obsédé, le prof de techno lui fit un deepthroat qui lui donna des hauts le cœur et fit couler de grosse larme. Une fois soulagé, il étala toute la bave sur le visage de Julie. Son maquillage devait à coup sûr la défigurer. Contrairement aux autres, le prof de bio ne gicla pas dans sa bouche. Il se leva et largua tout son foutre dans son verre. La faisant s’asseoir à table, il versa une partie du foutre sur les restes de son assiette.


"Croquettes de poisson avec sa sauce" annonça t-il fièrement.


Julie dut manger le reste de l'assiette et boire le verre à moitié rempli de foutre refroidit.


Le prof de sport se leva et demanda le portable de Julie. Il pianota un peu dessus et invita chacun à poser avec elle pour une photo, mais de manière un peu spéciale. Chacun leur tour, ils devaient enjamber la tête de Julie, toujours à genoux, et s’asseoir légèrement dessus. Le résultat était que leurs couilles situées au-dessus du front de Julie, leur bite descendait du front jusque nez (ou à la bouche, pour les mieux montés). Pour compléter la photo, Julie devait loucher sur la bite qui passait devant ses yeux et afficher un très large sourire.


"Haha formidable, on va mettre ces photos la pour chacun de nos numéro sur ton téléphone.

 

Maintenant que tu connais bien nos bites, plus la peine d'afficher nos noms lorsque l'on t'appellera"

 

Ils étaient tous les 4 hilares. "file en cours maintenant, la sonnerie ne va pas tarder. Et ne te lave pas le visage tant que l'on ne t'en a pas donné l'autorisation."


Julie allait sortir quand le proviseur lui rappela "oublie pas que ton père passe me voir ce soir."


Julie marqua un arrêt, puis sortit. Elle avait complètement oublié. Qu’allait-il lui dire ce soir?

 

 

Tentant d'oublier cela, elle fonça aux toilettes pour se voir dans un miroir...

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Dimanche 23 février 7 23 /02 /Fév 22:27

Chapitre 3 : Le contrat

 

(Auteur: ?)

 

 

Cela faisait 2 jours que Julie avait été prise devant tous ses camarades. Ses copines, avec lesquelles elle gardaient les meilleurs souvenirs de collège, la traitaient de grosse truie, de garage à bite... Une vulgarité inimaginable il y a encore quelque jours.

 

Mais ce fut différent cette fois ci. A peine eut elle avalé sa dose de foutre bien chaud, que le proviseur et le prof de sport entrèrent dans la salle de cours. Julie prit peur, elle craignait ce qui allait arriver: allaient ils la baiser maintenant? Ce qui voulait dire quelle arriverait en retard pour le cours de français. Elle savait que sa réputation était déjà anéantie, et que toute la classe savait pourquoi elle était absente à chaque recréation. Mais quand même, elle voulait limiter la casse.

 

"Julie" commença le proviseur. "nous nous sommes réunis ce matin,et nous avons conclu que cette situation ne peut plus durer"

 

Julie n'en revenait pas, ils allaient décider d’arrêter là leur folie, leur délire sexuel. Une bouffée de joie explosa dans sa tête: tout est fini, enfin!!!

 

Le professeur de svt continua "oui, comme monsieur le proviseur le dit, cela ne peut pas durer, aucun contrat. Ne formalise notre relation, je ne peux m'y faire."

 

"c'est pourquoi nous allons établir un accord écrit entre nous, un pacte formalisant notre relation entre nous 4, et définissant ton statut de pute du lycée Condorcet de sac à foutre je dirais même, et bientôt de garage à bites" ajouta le prof de sport avec un large sourire.

 

Le visage de Julie se décomposa, tout s'effondra autour d'elle. Elle qui pensait, encore 5 secondes avant, que ce cauchemar allait prendre fin....

 

Le matin même, dans le bureau du proviseur, nos 3 complices c’étaient réunis.

"ça ne peut pas durer Michel, on est marié, si elle parle on est fichu. J'ai pas envie de gâcher ma vie juste pour m'avoir vidé les couilles une dizaine de fois." s’énerva le prof de svt.

 

"il a raison" enchaîna le prof de sport, "on risque gros là. En plus elle est mineure cette pute"

 

"oui, je comprends votre inquiétude, j'y ai aussi pensé"

 

"et donc? On fait quoi maintenant?" s'énerva le prof de svt

 

"on ne peut pas s'arrêter en si bon chemin. En plus, vous n'en avez pas déjà assez de cette routine? Une pipe par jour..., ça fait à peine une semaine et je m'en lasse déjà. Il faut aller plus loin"

 

"Je suis d'accord mais comment

 

"un contrat écrit. On lui fait signer un contrat d'esclave et on menace de tout balancer à ses parents si elle parle. Je suis sur que ça suffira pour obtenir son silence"

 

"ok, je suis partant, et toi Jules?"

 

"moi aussi, je vous fais confiance. Et si ça me permet de la défoncer cette salope!!!"

 

"ok, on se voit cet aprem dans ton labo. Moi je m'occupe de rédiger le contrat, vous aller voir ce qu'on va lui mettre. Hahaha"

 

Julie était toujours à genoux devant ses trois tortionnaires, abattue par ce qu'on venait de lui balancer.

 

Le proviseur s'approcha de son sac qui traînait à terre. Il le renversa sur l'une des tables. Il poussa à terre les livres et cahiers, ça n’était visiblement pas ce qu'il recherchait. Après avoir fouillé les autres poches du sac, il sortit fièrement une trousse et la vida sur la table. Il ramassa le tube de rouge à lèvres et le brandit fièrement.

 

"voila ce que je recherchais!"

 

Il sortit alors de sa poche un papier plié en quatre. "voici ton contrat, je vais te le lire, et tu n’auras plus qu'à le signer."

 

Il commença la lecture:

 

"moi, Julie Jouannot, je m'engage à devenir un objet sexuel et à appartenir entièrement au lycée Condorcet. Je m'engage donc à respecter scrupuleusement les règles suivantes:

- obéir à tous les ordres de mes professeurs

- obéir aux personnes auxquelles mes professeurs m'auront prêtée ou louée

- assouvir au maximum tous les désirs des personnes qui profiteront de moi

- faire valider par mes professeurs tous les vêtements, tenues, accessoires, bijoux, et maquillages que je voudrai porter

- faire valider toute nourriture ou boisson avant consommation

- demander l'autorisation avant de quitter le lycée chaque soir, ainsi que pour chaque sortie non accompagnée par un de mes professeurs (pour partir en vacances, sortir le soir, partir en week-end même avec mes parents)

- ne plus avoir de contact avec mes anciens amis

- ne pas parler de mes activités scolaires ou extra scolaires à quiconque.

Lu et approuvé"

 

Julie bégaya quelques mots incompréhensibles, elle était devenue toute pâle. Pourquoi? Pourquoi cela lui arrivait elle?

 

"tiens voici un stylo, signe ça tout de suite histoire que l'on soit débarrassé de la paperasse"

 

" j-j-je-... Non, je"

 

" voyons, soit raisonnable, tu ne voudrais pas que ton père voit les photos et les vidéos où tu étais recouverte de sperme ou alors celle où tu as avalé sans broncher une belle dose de foutre"

 

Elle était piégée, ils la tenaient.

 

"tiens, prends ce stylo et ce beau contrat, tu n'as qu'un petit gribouillis à faire en bas à droite"

Julie posa la feuille à terre et se pencha pour la signer.

 

"poses ton index là dessus et fait une belle empreinte à coté" lui dit le prof de svt en lui jetant un tampon-encreur.

"bien, maintenant lève toi, relève ta jupe, et penche toi. Les coudes sur la table !"

 

Julie comprit tout de suite qu'ils allaient la baiser.

 

"vois tu ma petite Julie, le rouge à lèvres que tu as là n'es pas validé, je vais te montrer ce qu'il se passera si tu enfreins les règles de notre accord"

 

Le proviseur enleva le capuchon et le jeta à terre, puis il tartina de rouge l'anus de Julie.

 

"on va quand même l'utiliser avant, non ?"

 

Il ramassa le papier qu'elle venait d'approuver et pressa le coin gauche sur son anus repeins. Une sorte de grosse tache rouge était maintenant présente à côté de sa signature.

 

"même ton cul l'a validé, tu n'as plus d'excuses"

 

Le prof de svt ramassa le rouge à lèvres, tira Julie par les cheveux : "on va quand même pas gâcher ça, croque un coup dedans"

 

Hésitante, Julie approcha fébrilement sa bouche du tube et croqua un petit centimètre.

"pas plus que ça? Bon tanpis, mâche bien"

 

Au fur et a mesure, Julie comprenait quelle allait avoir la bouche et les dents toutes rouges. Puis elle avala, le goût était horrible, pire que du sperme!

 

Le prof de svt écrasa Julie à plat ventre contre la table et lui écarta les fesses.

 

"puisque tu rechignes à le manger par la bouche, ça va passer par l'autre trou"

 

Il enleva la partie fixe du tube et enfonça le rouge dans le cul de Julie, en poussant bien au fond avec son majeur.

 

La sensation fut très déplaisante pour Julie, c'était quand même plus gros qu'un suppositoire.

 

le professeur de sport pris le portable de Julie qui traînait parmi ses affaires étalées sur la table et se mit à pianoter dessus. Les téléphones des 3 bourreaux bippèrent, signalant un SMS.

 

"j'ai vidé ta liste de contact, après tout ces personnes ne te seront plus très utiles à partir de maintenant. Je les ai quand même transféré à chacun d'entre nous, tu comprendras qu'il serait dommage qu'ils reçoivent les vidéos de tes exploits si tu romps notre contrat" dit il en continuant de pianoter. "j'ai laissé les téléphones de tes parents au cas où et rajouté les nôtres."

 

Le proviseur prit alors la parole: "vas en cours maintenant, tu es assez en retard comme ça!"

 

Julie ramassa sa trousse et ses cahiers et les mis dans son sac. Au moment de ranger ses affaires de maquillage, le proviseur lui donna une tape assez forte sur la tête: "tu n'as pas très bien compris on dirait, si on ne valide pas, tu n'y as pas droit. A partir de maintenant fini le maquillage, jusqu'à ce que l'on te fournisse un kit approuvé. Tu as compris? qu'on ne t'y reprenne pas"

 

Elle fit un signe de la tête

 

"ça n'est pas une réponse. Décidément, il faut tout leur apprendre à ces ados... on dit oui maître"

"oui... maître" murmura Julie

 

"plus fort, on a rien entendu!"

 

"oui maître"

 

"bien, dépêche toi maintenant."

 

Julie s'avança de la porte mais avant de l'ouvrir, elle demanda "je peux boire un peu d'eau?" demanda t'elle timidement

 

 

Le professeur de sport se retourna vers le proviseur: "fantastique, elle a tout compris", puis il se tourna vers Julie : "oui bien sur, attend 2 secondes". Il prit un bécker sur la paillasse, versa un fond d'eau du robinet dedans, puis le porta à sa bouche, racla bruyamment sa gorge et cracha un énorme mollard dedans. Il le tendit à ses 2 compères qui firent de même. Il y avait maintenant plus de cracha que d'eau dans le bécker. Julie, tremblante, hésita à le prendre. Elle n'avait que droit à ça pour rincer le rouge à lèvres qui lui colorait les dents, et surtout qui lui démangeait la bouche. Elle prit une gorgée et se fit un bain de bouche. Elle avait des hauts de cœur à l'idée d'avaler cette mixture, mais sous le regard imposant de ses tortionnaires, elle dû s'y résoudre. Elle but tant bien que mal le reste de la mixture et sortit rapidement pour rejoindre le cours de français qui était déjà bien entamé.

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Dimanche 23 février 7 23 /02 /Fév 22:25

Chapitre 2 : Cours d’éducation sexuelle

 

(Auteur: Sherkaan)

 


Julie est mortifiée lorsqu’elle rentre à la maison. Pendant tout le repas, elle ne dit mot, pensant déjà à la journée du lendemain. La voyant si triste, son père lui dit qu'il a été convoqué par le CPE et que celui-ci propose qu'elle parte une semaine en camps aéré. Julie refuse en pleurnichant, arguant qu’elle veut rester avec sa famille, notamment le plus grand de ses trois frères, qu’elle ne voit presque plus depuis qu’il a quitté la maison pour aller étudier à Paris.

Mais le père de Julie, soutenu par sa mère insistent: « Il faut t’ouvrir aux autres ma puce, partager des moments avec tes camarades, t’émanciper de la famille. C’est important à ton âge, tu as seize ans désormais. Ta maman et moi avons chacun participé à ce genre de camps, nous en avons gardé de merveilleux souvenirs. Nous ne t’avons pas inscrite pour rien dans ce lycée privé, il faut profiter des activités qu’ils offrent. Je vais appeler ton directeur pour lui confirmer ta participation ». Résignée, sans voix, ne pouvant rien dire, Julie laisse son père se lever et appeler le CPE. Celui-ci ne répondant pas, il lui laisse un message.

Lorsque Julie arrive à l’école, elle n’a que le temps d’entrer dans la classe avant d’entendre la voix du CPE dans les haut-parleurs: « Julie Jouannot est priée de se rendre immédiatement dans le bureau de la direction ».

 

 

Elle sort sous les railleries de ses camarades: « Tu vas prendre ton pet-déj! », « Mmmm, une bonne grosse saucisse à la crème ». Le prof de français qu’elle croise au moment où elle franchit la porte ne peut s’empêcher de sourire et de rajouter « Bon appétit! ».

Lorsqu’elle entre dans le bureau, le CPE n’est pas seul, le prof de biologie et le prof de gym sont là. « Entre Julie. Ton père m’a laissé un message pour me dire que tu viendrais avec nous cet été, quelle bonne décision. Les deux professeurs qui vont encadrer ce camp sont ravis, n’est-ce pas messieurs? Je vais le rappeler de suite. Viens sous le bureau pour me sucer pendant ce temps. »

Julie s’exécute après un instant d’hésitation, sans jeter le moindre regard aux trois hommes: elle s’agenouille, sort la queue du CPE de son pantalon et se met à le sucer.

« Bonjour M. Jouannot, j’ai eu votre message, c’est une excellente et sage décision. Je suis sûr que ce stage va permettre à Julie de s’ouvrir … Oui, absolument, c’est cela … Oui … Oui, elle est dans mon bureau, elle ne dit pas grand-chose comme de nature, mais elle semble ravie ». Pendant ce temps, Julie continue à sucer à contrecœur la grosse queue du CPE, qui lui maintient fermement la tête.

« A propos M. Jouannot, nous avons demain samedi une journée d’information sur différentes activités que nous souhaitons promouvoir dans le cadre du lycée. Les meilleurs élèves et leurs parents sont conviés. Il serait bien que Julie et vous-même y participiez, afin de construire un cursus intéressant durant les trois années qu’elle va passer parmi nous … Oui … Tout à fait … Demain matin, 9h au lycée … Parfait. Au revoir M. Jouannot, à demain ».

« Et bien voilà qui est fait, nous allons ainsi avoir le temps pour compléter ton éducation. D’ailleurs, il faut commencer tout de suite et retourner en classe » dit le CPE en retirant sa queue sans avoir craché son sperme. Julie se lève, remet un peu ses habits en place … « Arrêtes-toi! Dorénavant je veux que tu ne portes aucun sous-vêtement lorsque tu viendras au lycée. Enlève-les !» Julie reste interdite, n’osant se déshabiller devant eux … « Veux-tu que je demande à ton père de t’aider? » demande le CPE d’un ton menaçant. Au bord des larmes, Julie commence timidement à déboutonner le chemiser blanc de son uniforme. Le CPE allume la webcam et la braque sur Julie. Celle-ci tente maintenant de dégrafer son soutif sans enlever son chemisier … « Pas de ça! Tu te déshabilles, complètement! Pas de triche, sinon …! ».

Julie est résignée. Elle enlève son chemisier, sa jupe marine puis, après une hésitation, ses sous-vêtements. Puis elle se rhabille rapidement sous les rires des trois hommes, qui s’emparent des vestiges intimes de sa tenue. Le prof de biologie ouvre la porte et l’accompagne en classe, suivi du CPE.

Ses camarades l’accueillent avec des insanités « Alors c’était bon?! ». Le CPE intervient: « Silence! Julie n’a encore rien fait ce matin. Julie va t’asseoir ». Julie est inquiète, tant par les mots du CPE (que veut-il dire par « encore rien fait ce matin » …) que par sa présence inhabituelle.

Le prof de biologie s’avance vers le tableau. « Il y a quinze jours nous avons parlé des rapports sexuels bucco-génitaux à risque. Cette semaine, nous allons nous intéresser aux rapports vaginaux. Julie, vu tes performances de la dernière fois, je pense que tu es la plus appropriée pour illustrer cette leçon ». Julie s’avance, la peur au ventre.

« Ainsi que vous le savez déjà sans doute tous, l’être humain doit s’accoupler pour se reproduire, comme tous les mammifères. Pour cela, le mâle doit pénétrer le vagin de la femelle avec son pénis et déverser son sperme au fond de celui-ci pour permettre au spermatozoïde d’aller fertiliser une ovule. »
- « Avez-vous déjà vu une chatte, pardon un vagin, de près? »
- « Nooooooooooooon » hurlent les élèves.
- « Julie viens ici, enlèves ta culotte, couches toi sur le dos sur le pupitre et écartes les jambes. »

Julie se lève, mécaniquement. Arrivée devant le pupitre elle reste interdite.
- « Enlève ta culotte je t’ai dit ».
- « Je n’en ai pas …» répond Julie d’une voix presque inaudible.
- « Tu n’as pas de culotte? Avec une jupe aussi courte?!» dit le prof à haute voix.
- « Mais tu es vraiment une salope! En tout cas cela prouve que tu es toute désignée pour l’exercice! Couches-toi sur le dos maintenant.»

Le prof rabat complètement sa jupe sur son ventre, lui écarte les jambes avant de passer ses doigts sur sa chatte. Julie tente de refermer ses cuisses, mais le prof a prévu le coup et les maintient fermement.
- « Approchez-vous! »
- Passant ses doigts sur la chatte de Julie il précise: « Vous voyez, il y a là à l’extérieur les grandes lèvres, puis à l’intérieur les petites lèvres, qui assurent l’étanchéité avec la queue du mâle lors du rapport ».
- « Avant tout rapport, afin de ne pas blesser la femelle, il est important de la stimuler afin de la faire mouiller pour que la bite du mâle puisse coulisser sans brûler les chaires. Il y a pour ça plusieurs techniques: la première consiste à caresser les lèvres de haut en bas ». Julie est horrifiée, elle se tortille mais ne parvient pas fermer les jambes. Le prof de biologie commence à caresser Julie.
- « La seconde consiste à stimuler le clitoris », joignant les actes à la parole. Julie n’ose rien dire, espérant que cela ne dure pas trop longtemps.
- « Pour vérifier si le traitement est efficace, il suffit d’introduire un doigt dans la chatte ». Aussitôt le prof de biologie enfonce son majeur dans la chatte de Julie et ajoute: « Avec de bonnes salopes comme Julie, il ne faut pas longtemps pour la faire mouiller. Voyez comme elle est déjà luisante ». Julie est morte de honte … elle mouille alors qu’elle se fait pour ainsi dire violer devant une vingtaine de camarades …
- « Enfin, si cela ne suffit pas, vous pouvez donner quelques coups de langues, l’effet est immédiat ». Julie sent alors une langue chaude remonter le long de sa chatte. Elle ne peut réprimer un petit soupire qui provoque l’hilarité générale. Julie aimerait pouvoir se cacher sous terre.

« Une fois la femelle préparée, le mâle n’a plus qu’à la pénétrer ». Julie prend peur et crie «Noooooooon », vite interrompue par le prof: « Julie quand on mouille comme tu le fais, refuser de se faire baiser est vraiment ridicule ». « Monsieur le Proviseur, à vous l’honneur ».

Julie tente de crier, mais le prof met sa main sur sa bouche. Le CPE s’approche, baisse son pantalon et sort sa queue déjà toute dressée. Il l’enfonce lentement mais profondément dans la chatte de Julie, qui essaie de se débattre, en vain. Il commence à faire des aller-retours de plus en plus puissants, qui finissent par arracher à Julie des gémissements qui se mêlent à ses sanglots.

Le prof commente:
- « Cette position, quand la femelle est sur le dos, s’appelle le missionnaire. Elle est très classique, mais elle apporte quand même beaucoup de plaisir ».
- « Par contre, M. le Proviseur a commis une erreur. Laquelle? »
- Les élèves, en cœur: « Il n’a pas mis de capote! »
- « Absolument! Et c’est très dangereux pour lui, car avec un garage à bite comme celui-ci, qui peut savoir combien de mecs sont ou vont passer dessus. Mais c’est vrai que c’est tellement plus agréable. N’est-ce pas Julie »?
- Alors que le CPE commence à haleter de plus en plus fort, le prof précise: « Au bruit, on peut savoir que le mâle va bientôt éjaculer dans le vagin de la femelle. Cela peut durer longtemps avant que cela ne se produise, mais ici comme la femelle est jeune, sa chatte est très serrée et il est difficile pour le male de se retenir longtemps. » Soudain, le CPE pousse un lourd cri et éjacule dans la chatte de Julie, qui crie « nonnnnnnnnnnnnnnnn ».
- « Voici encore une faute grave de M. le Proviseur: il ne faut jamais éjaculer dans le vagin de la femelle sans son consentement et sans savoir si elle prend une méthode de contraception. Toutefois, ici encore, la question ne se pose pas car une salope pareille aime forcément cela et prend forcément la pilule, n’est-ce pas Julie? »
- « Oui … Mais c’est pour mes règles … ».
- « Les petites salopes disent toutes ça! ».

Le CPE se retire, Julie tente de fermer les jambes, mais le prof la contre. « Regardez comme la chatte de Julie est ouverte désormais. Elle serait prête à recevoir n’importe quelle bite, mais malheureusement nous n’en n’avons pas le temps, car la cloche va bientôt sonner. »

Julie essaie de se redresser pour fuir mais en est empêchée par le prof: « Regardez bien la chatte de Julie, on aperçoit le sperme de M. le Proviseur qui commence à sortir ». Il appuie sur le ventre de Julie et un gros paquet de sperme visqueux commence à couler le long de sa chatte.
- « Tu peux aller te rasseoir Julie ».
- « Je voudrais aller aux toilettes … » dit-elle timidement.
- « Tu iras à la pause comme tout le monde. ».

Julie regagne sa place en baissant la tête. Elle sent le sperme du CPE couler le long de ses jambes. Elle prend le plus discrètement possible un mouchoir et commence à s’essuyer, mais elle se rend compte que tout le monde la regarde de manière méprisante et ironique.

« Voici la fin des cours d’éducation sexuelle, le programme ne nous permet malheureusement pas d’en faire plus cette année. Vous serez interrogés dans deux semaines sur ces leçons. » Julie ressent un soulagement, elle qui craignait que ce calvaire se prolonge sur plusieurs semaines encore.

Les exercices pratiques du cours d’éducation sexuelle font le tour des élèves de l’école en moins de cinq minutes. Julie se terre en classe le reste de la journée, fuyant les regards moqueurs de ses camarades. Elle ne mange pour ainsi dire rien le soir en rentrant, allant se coucher inhabituellement tôt et s'endormant aussitôt pour oublier cette horrible journée.

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Julie, pute de l'école - Communauté : Soumissions féminines
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