Samedi 22 mars 6 22 /03 /Mars 21:50

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Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Housewives at play - Communauté : Soumissions féminines
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Vendredi 21 mars 5 21 /03 /Mars 21:48

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Vendredi 7 mars 5 07 /03 /Mars 22:02

Chapitre 24: Tatouages 2

 

Comme on  ne lui avait pas demandé d’arrêter, l’adolescente continua hypocritement à se faire du bien pendant que sa Maîresse faisait le tour de la voiture pour lui ouvrir la porte.

— Maintenant, lèche ton doigt, petite chienne. Mais attention, je veux que tu continues à te caresser à travers ton caleçon pendant que nous marcherons.

Des sentiments contradictoires s’opposaient dans l’esprit d’Allie. Elle était excitée tout en regrettant de l’être. Une petite voix au fond de son cerveau lui criait d’arrêter mais la petite esclave lesbienne qu’elle était devenue l’empêchait de désobéir à sa Maîtresse. Elle porta son doigt luisant à sa bouche et le suça avec application pendant que Nicole l’aidait à s’extraire de la voiture. Elle suivit Nicole vers l’entrée du salon sans omettre de replonger sa main dans son caleçon.

Alors qu’elle atteignaient l’entrée, deux jeunes femmes sortirent. Reconnaissant l’une d’entre elles, Nicole s’immobilisa.

— Bonjour Janet, contente de te voir. Dit-elle en s’adressant à la grande brune.

Janet lui présenta l’autre femme, une blonde splendide, et elles se mirent à discuter sans s’occuper d’Allie. Toute à son plaisir, l’adolescente resta debout à côté de sa Maîtresse en continuant à se caresser.

— La petite salope qui t’accompagne est adorable, Nicole. Je me sens toute chose, rien qu’à la regarder. Déclara soudain Janet, rompant la conversation.

— Merci ma chérie, cela fait maintenant quelques mois que je la dresse et je dois avouer que ses progrès sont très satisfaisants. Elle est à ton entière disposition si tu veux prendre un peu de bon temps.

— Excellente idée, j’ai une soirée bientôt et elle serait parfaite pour ça… Je t’appelle la semaine prochaine.

Elles se dirent au-revoir, puis se séparèrent.

Lorsqu’elles pénetrèrent enfin dans l’institut, Allie était à la fois sur le point de pleurer et de jouir en même temps. Son humiliation était à son comble mais comme cela faisait près de dix minutes qu’elle se masturbait, elle était proche de l’orgasme.

Nicole s’approcha de la réceptionniste et Nicole lui tendit le document que l’adolescente avait reçu en cadeau pour son anniversaire. La jeune femme qui avait participé à la fête jeta un coup d’œil sur l’attestation de soins et sourit. Elle jeta un regard méprisant à Allie et se leva de son siège pour mieux la détailler.

— Sarah m’a demandé de la prévenir de votre visite, permettez-moi de l’appeler. Dit-elle en décrochant son téléphonne.

Quelques instants plus tard, la patronne de l’institut fit son apparition. Elle était resplendissante, vêtue d’un pantalon serré et d’une chemise blanche.

— Contente de te voir Nicole. Elle s’approcha et les deux femmes s’enlacèrent. Alors, ça y est, tu m’amènes cette petite salope pour son tatouage. Est-ce que tu as choisi le motif ?

Elle s’attarda sur Allie avec un sourire, observant sa main qui était toujours active à travers le petit caleçon blanc. Un petit bruit de clapotis provenait d’entre les jambes de l’adolescente tant l’excitation qu’elle ressentait la faisait mouiller.

— Oui Sarah, j’ai choisi et je pense que ça va être tout simplement délicieux.

Alors Sarah les guida jusqu’à l’arrière-salle dans laquelle Allie et quelques autres esclaves recevaient leur traitement. Elles passèrenet devant plusieurs femmes très élégantes qui se faisaient manucurer ou bien coiffer. Sarah les connaissait toutes par leur nom et salua chacune d’entre elles. L’adolescente eut du mal à continuer à se caresser tout marchant devant ces inconnues, mais elle se garda bien de s’interrompre. Son caleçon était maintenant trempé par ses sécretions.

Dès qu’elles eurent franchi le rideau qui masquait la pièce qui lui était réservée, Allie fut accueillie par Jackie. Sans aucune cérémonie, celle-ci lui baissa son minuscule caleçon et lui ôta son haut avant de la faire asseoir sur le fauteuil de soins. L’adolescente ne tenta pas de se débattre, elle savait que cela ne pouvait qu’empirer les choses. Résignée, elle se contenta de replacer sa main entre ses jambes dès qu’on lui en laissa le loisir. Son sexe était complètement détrempé et son doigt glissait facilement entre ses chairs lubrifiées. Rendue impatiente par les évênements, elle ne pouvait s’empêcher de donner de petits coups de poignet dans le cadenas qui ornait sa fente imberbe.

— Est-ce que je peux jouir maintenant, s’il vous plait Maîtresse ?

L’orgasme qui montait du fond de ses entrailles était si imminent qu’elle ne se préoccupait plus des deux autres femmes. Elle voulait seulement jouir avant qu’on l’attache sur cet horrible fauteuil dans lequel elle n’avait aucune idée du temps qu’elle allait passer.

— Non, non ma fille. Arrête donc de te donner en spectacle, on dirait une chienne en chaleur. Aide plutôt Jackie à faire son métier et prépare-toi pour le taouage.

À contre-coeur, la jeune fille retira sa main avec un gémissement de frustration et rampa sur le fauteuil qui ressemblait plus à ceux qu’on rencontrait chez les gynécologues qu’à celui d’un salon de beauté.
Jackie y attacha la jeune fille tout en discutant avec les deux autres femmes. Elle lui fit tendre ses bras derrière sa tête et immobilisa ses poignets dans des menottes. Puis, elle fixa ses chevilles dans des bracelets. Enfin, appuyant sur le bouton qui commandait le mécanisme, elle la força à écarter les jambes jusqu’à ce que son entrecuisse soit totalement exposé. L’écartèlement était tel que les tendons de ses cuisses saillaient, durs et tendus, à travers sa peau fine. Ignorant magnifiquement les gémissements de l’adolescente, les trois femmes continuèrent leur conversation, ne lui accordant pas plus d’importance que s’il s’était agit d’un morceau de viande ou une toile étirée sur son canevas. Pourtant, le sexe de chacune d’entre elle frémissait à l’idée de ce qui attendait Allie.
L’adolescente se raidit lorsque Jackie extirpa le gadget anal qui obstruait son anus et y inséra l’embout du tuyau de son premier lavement. Les restes de lubrification qui subsistaient permirent à Jackie de l’enfoncer intégralement d’un seul mouvement. Elle sourit et s’amusa à le faire aller et venir entre les fesses de sa victime pendant quelques secondes.

— Tu aimes ça, petite salope ! Dit-elle en se penchant sur sa proie sans défense et en insérant deux doigts dans le sexe trempé de l’adolescente.

— Oui… mmmh… oui.

L’estheticienne continua à agiter l’embout quelques instants avant de le renfoncer complètement. Puis elle ouvrit le petit robinet de plastique et libéra le liquide chaud dans les intestins de l’adolescente. Elle continua à la pénétrer avec deux doigts pendant que son ventre se remplissait. Allie se cambra dans ses liens en gémissant de plus belle.

— Maîtresse !!! Cria-t-elle, lorsque Jackie retira ses doigts.

Ses yeux roulaient dans leurs orbites tandis que son plaisir s’interrompait, la laissant pantelante sur le siège gynécologique.
Sarah et Nicole gloussèrent en constatant la frustration de la jeune fille.
L’estheticienne attendit que le liquide ait fini de couler avant de retirer brutalement l’embout, permettant à l’adolescente de se vider bruyament dans le seau qui était disposé sous son entrejambe. Se bouchant le nez entre le pouce et l’index dans une mimique comique qui fit rougir Allie, elle alla le vider. Puis elle réinséra le manchon, se délectant de la grimace qui se dessinait sur le visage de sa victime.
Soudain, il y eut de l’agitation à l’entrée de l’arrière-salle, le rideau fut tiré et un groupe de sept femmes pénétra dans la petite pièce. Allie se tétanisa lorsqu’elles entrèrent, découvrant la vue imprenable qu’elles avaient de ses jambes écartelées qui offraient son intimité à la vue de toutes et du tuyau du clystère qui perforait son anus.
Sarah se tourna vers Nicole et dit :

— J’espère que ça ne te dérange pas, mais j’ai invité une équipe d’apprenties à assister à la séance.

— Bien sûr que non. Répondit Nicole.

— Bienvenue Rebecca. Je suis contente que vous ayez pu venir.

Et elle embrassa la jeune femme qui semblait mener le groupe.

— Répartissez vous autour de la pièce, les filles. Déclara Rebecca.

Et, à son plus grand désapointement, Allie assista, impuissante au déploiement des jeunes filles autour d’elle. Certaines d’entre elles se glissèrent derrière Jackie et se penchèrent en avant pour mieux la voir retirer le tuyau. Au comble de la honte, l’adolescente ferma les yeux avant de relacher ses sphincters, ejectant le liquide savonneux qui tinta au fond du seau dans un bruit retentissant. L’adolescente était effarée, mais elle ne put rien faire pour échapper à sa tourmenteuse. Désespérée, elle se mit à sangloter tandis que les jeunes filles emettaient des commentaires dégoûtés sur son impudeur et son manque de tenue.

— Ehhhh, mais regardez-moi ça !

— Mais c’est un lavement !

— Mon dieu, regardez son sexe, on dirait un petit cadenas !

Nicole fit quelques pas en avant et sourit.

— Les filles ! les filles ! Ne vous laissez pas impressionner par cette petite vicieuse obscène.

Elle contourna l’assemblée et se plaça de façon à être vue de toutes. Elle sourit, tandis que Jackie se frayait difficilement un chemin pour aller vider son seau. Elle se tenait devant son esclave et jouait négligemment avec le petit cadenas.

— Allie n’est qu’une petite salope lesbienne et nymphomane. Elle ne mérite même pas votre mépris, ce n’est qu’un jouet sexuel. Ajourd’hui vous allez assister à une nouvelle étape dans sa déchéance. Il est vrai qu’elle est entièrement nue et complètement immobilisée, mais c’est ce qu’elle souhaite et en plus, elle adore ça.

Nicole sourit en voyant plusieurs filles acquiescer de la tête et les autres se calmer.

— Bien ! Maintenant, laissons les professionnelles travailler.

Jackie revint avec une poire vaginale.

— Désolé mesdemoiselles, mais c’est le dernier soin avant que nous puissions commencer le tatouage.

Allie tenta de s’imaginer que tout cela ne lui arrivait pas vraiment. Elle s’efforça de garder les yeux fermés et rêva qu’elle se trouvait ailleurs. Elle poussa un glapissement à travers ses dents serrées lorsque la poire glissa entre les lèvres de son sexe et propulsa le liquide sentant l’eau de rose au fond de son vagin. Elle gémit de sentir son sexe violé devant toutes ces inconnues. Une nouvelle fois Jackie vida le réservoir au fond du ventre de l’adolescente et se retira, laissant le liquide s’évacuer dans le seau.

— Ok, nous pouvons commencer. Dit-elle en revenant vers le siège, rapportant une boite d’équipement avec elle.

— À quel motif as-tu pensé Nicole ? Demanda Sarah en observant Jackie œuvrer entre les cuisses de la jeune fille, essuyant son entrecuisse avec une serviette mouillée pour la préparer.

— Oui, bien sûr.

Elle fixa Allie droit dans les yeux en expliquant son idée.

— J’ai pensé à deux choses. Tout d’abord, je souhaite qu’il puisse être évident qu’Allie m’appartient corps et âme. Je veux que ça soit mentionné au niveau de son sexe, juste au-dessus de son adorable petite fente. Il faut qu’il soit mentionné : "Propriété de Maîtresse Nicole" sur une ligne et juste ne dessous : "Réservé aux femmes". Comme ça, tous ceux qui pourront voir son sexe sauront que cette petite pute lesbienne est ma possession.

— C’est relativement simple. Dit Jackie tandis qu’Allie refusait en remuant convulsivement la tête de droite à gauche.

Desespérée, elle tendit le cou et baissa les yeux sur son corps nu qui faisait face au spectatrices.

— Je vous en prie Maîtresse, pas ça.

Nicole l’ignora. Elle se contenta d’encourager Jackie d’une caresse sur l’épaule et s’approcha de la tête de l’adolescente. Jackie comprit immédiatement ce que Nicole attendait d’elle et s’empara d’un boule en plastique rouge qu’elle força entre les lèvres de la captive avant de la maintenir en place à l’aide de couroies qu’elle referma sur sa nuque.

— Maintenant, si nous ne sommes plus dérangées…

Elle décrocha un regard courroucé à Allie qui baissa humblement les yeux en reposant sa tête sur le siège.

— J’ai aussi pensé à une chaîne autour de sa cheville, une chaîne identique à celles que portent beaucoup de jeunes filles de nos jours. Elle eut alors une moue machiavellique. Cependant, celle d’Allie sera constituée de maillons un peu particuliers. Je veux qu’elle ait une chaîne de lesbiennes en train de bouffer des chattes autour de sa cheville. Ça sera génial.

Allie ferma ses yeux aussi fort que possible.

Jackie exhiba l’aiguille électrique et commença à dessiner l’inscription sur le pubis d’Allie. Elle suivait les instructions de Nicole à la lettre. L’adolescente tressaillit lorsque la pointe commença à faire son chemin autour de son sexe.

— Plus près, enroule le " Réservé aux femmes " autour de ses lèvres, juste à l’extérieur des lèvres.

Jackie s’exécuta.

— Maintenant. Continua Nicole, pique le "Propriété de Nicole" un peu plus haut, centre le au milieu du pubis, à l’endroit ou elle pourrait avoir des poils si je le lui permettais.

Jackie fit ce qu’on lui demandait.

— Plus gros.

L’estheticienne augmenta la taille des lettres.

— Comme ça, parfait.

Elle s’appliquait du mieux qu’elle pouvait, prenait toutes les précautions.
Allie sursauta une nouvelle fois lorsque l’aiguille commença son travail. La peau de son entrecuisse était en feu lorsque les premières lettres du mot "Maîtresse" se gravèrent sur son pubis.
Jackie prit son temps, s’interrompant parfois pour expliquer aux spectatrices comment il fallait tenir l’aiguille et quelles précautions prendre pour appliquer l’encre indélébile.
Lorsqu’elle en eut terminé avec le premier tatouage, elle se déplaça un peu et s’attaqua à la cheville de l’adolescente pour entreprendre un travail encore plus minutieux. De petites pointes de sang perlaient par endroits sur le pubis d’Allie, mais la douleur qu’elle venait de ressentir n’était rien comparé à celle qui venait de naitre sur sa cheville.
Elle prévint l’assemblée qu’il allait lui falloir un bon moment pour le deuxième tatouage. Les dessins étaient beaucoup plus complexes que les quelques mots qu’elle avait inscrit sur le pubis de la jeune fille.
Comprenant qu’il était temps pour elle de s’en aller, Rebecca et les jeunes filles s’en allèrent. Sarah les accompagna jusqu’à l’entrée et rabattit le rideau derrière elles.
Puis elle fit volte-face et déclara :

— Mon dieu, je n’en pouvais plus d’attendre qu’elles s’en aillent.

Elle contourna le fauteuil et s’approcha d’Allie dont elle s’empressa d’ôter le baîllon boule qui obstruait sa bouche.

— Merci Maîtresse. Répondit l’adolescente.

— Oh la ferme petite salope, je veux seulement que tu lèches ma chatte. Dit-elle d’un ton autoritaire.

Puis elle se tourna vers Nicole et lui demanda avec un petit gloussement :

— Tu permets Nicole ?

Nicole fit un petit signe de la tête pour acquiescer, mais Sarah n’avait pas attendu sa réponse et avait déjà déboutonné son pantalon qu’elle avait fait glisser sur ses genoux, exhibant son sexe adorable. Elle enjamba délicatement la tête de la jeune fille et, sans autre forme de procès, s’assit sur sa bouche.

— Maintenant suce-moi bien, petite pute. Et je ne veux pas t’entendre.

Distraitement, Nicole regarda un instant son amie enfourcher le visage de son esclave et reporta son attention sur le travail de Jackie. Celle-ci progressait lentement sur la cheville étroite d’Allie dont les jambes écartelées tremblaient de honte et de douleur. Elle trouvait ce spectacle exquis.
Allie commença à lécher le sexe de Sarah, s’appliquant à sucer et donner de petits coups de langues. C’était devenu une seconde nature pour elle, si elle savait faire quelque chose correctemement, c’était bien ça. Même entravée et torturée par la douleur, elle restait capable de sucer un sexe et mener sa propriétaire au septième ciel en un temps record. Sarah saisit chacun des tétons de l’adolescente entre le pouce et l’index et s’en servit pour maintenir son équilibre pendant qu’elle agitait son bassin sur le visage d’Allie.
Insensible à la douleur qu’elle lui occasionnait, sarah gémissait en frottant furieusement son sexe contre la bouche de l’adolescente. Elle tirait si fort sur les tétons qu’elle en arracha presque les anneaux lorsqu’elle atteignit son orgasme en tremblant convulsivement.
Allie poussa un cri lorsqu’elle sentit les anneaux étirer les pointes de ses seins, les allongeant de plusieurs centimètres.
Alors Sarah s’écroula sur son corps dénudé.

— Oh mon dieu… C’était carrément génial.

Lentement, elle descendit du siège et reprit pied par terre, s’écartant d’un pas mal assuré.

— Hmm ma chérie, je te récompenserai pour ce merveilleux service. N’est-ce pas Nicole. Demanda-t-elle en remontant son pantalon et en l’agraffant sur sa taille.

— Bien sûr Sarah, j’ai énormément aprécié le spectacle. Répondit Nicole en souriant.

Sarah quitta brièvement la pièce et fut de retour après une petite minute. Elle arborait un grand sourire et portait un godemiché ceinture. Elle l’agita devant les yeux de l’adolescente. Ceux-ci s’écarquillèrent. L’engin était monstrueux et mesurait près de vingt-cinq centimètres. Sa couleur était d’un noir profond.

— J’ai dû emprunter celui de Corinne. Elle s’approcha de Nicole et commença à enfiler le harnais. Ça ne te dérrange pas Nicole ?

— Pas du tout ma chérie !

— J’espère que le nouveau tatouage de cette petite pute ne signifie pas qu’il est interdit de la baiser avec un gode en plastique.

Les deux femmes éclatèrent de rire.

— Non, tant que la personne qui la baise à une chatte, c’est OK pour moi. D’autre part, son trou du cul est libre, il y aura peut-être un mec chanceux qui réussira à la sodomiser.

Elles rirent à nouveau pendant que Sarah finissait d’ajuster le harnais autour de sa taille, faisant bouger le sexe factice dont le poids occasionnait un lourd mouvement de balancier.

Elle s’approcha de la tête de la captive et appuya le gland en plastique contre ses lèvres.

— Embrasse-le.

Allie obéit. Un éclair de frayeur passa dans ses yeux. La taille du membre était vraiment impressionnante.

— Demande-moi de te sauter, espèce de petite salope.

Allie savait qu’elle n’avait pas le choix. Elle allait être baisée et ne pouvait rien faire pour y échapper. Soit elle le réclamait, soit Nicole la punirait plus tard.

— S’il vous plaît Maitresse Sarah, baisez-moi…

Elle avait employé une petite voix timide mais cela suffit pour faire naitre un grand sourire sur le visage de Sarah.

— Jackie, est-ce que tu as quelque chose pour lubrifier ici ? Je ne pense pas qu’elle soit assez mouillée pour m’accueillir comme il se doit.

— Si nous avons du lubrifiant ? Bien sûr… Elle tendit le doigt vers un placard.

Sarah y trouva un tube de gel intime et revint vers Allie. Elle se positionna entre les jambes écartelées. La position forçait les lèvres sexuelles à s’entrouvrir, comme dans une invite destinée à son énorme phallus noir. Elle ouvrit le tube et en répandit une grande partie sur la fente imberbe de l’adolescente. Celle-ci sursauta lorsque le gel froid s’étala sur son sexe torturé. Ensuite, la femme enduisit le godemiché dans une parodie de masturbation masculine.

Allie regarda Sarah positionner l’engin à l’entrée de son sexe. Elle procéda avec une délicatesse qui l’étonna, plaçant habilement la tête entre ses lèvres sexuelles, maintenant parfaitement lubrifiées.

— J’adore vraiment ton nouveau tatouage, ma chérie. Comme ça toutes celles qui te baiseront sauront à qui tu appartiens et quel genre de fille tu es.

Et elle s’enfonça dans le ventre de l’adolescente, écartant les lèvres intimes sur son passage, sur une profondeur d’une dizaine de centimètres. La jeune fille ne put retenir ses larmes lorsque Sarah se retira pour se renfoncer plus loin encore. À la troisième poussée, Sarah s’était enfoncée à fond. Elle s’immobilisa. Le cuir du harnais était appuyé contre la peau nouvellement tatouée du pubis de sa victime. La douleur était telle que celle-ci se mit à pleurer à chaudes larmes.

— Nicole, est-ce que ça te dérangerai de lui remettre son baîllon s’il te plait ?

Nicole retira sa main de sa culotte, s’empara de la boule de plastique et réduisit son esclave au silence avec une science consommée. Allie ferma ses paupières, les serrant si fort que les larmes s’écoulèrent par les coins de sees yeux. Sarah se mit à aller et venir entre les cuisses de l’adolescente sans défense.

L’agitation de sa patronne obligea Jackie à stopper son travail sur la cheville que les secousses faisaient trembler trop fortement. Elle se redressa, s’étira et regarda le spectacle, se délectant de voir la petite pute se faire ramoner.

Sarah imposa un rythme féroce à sa victime qui gémissait à chaque poussée. Chaque fois qu’elle s’enfonçait à fond, son bassin heurtait les chairs rendues sensibles par le tatouage, envoyant des milliers de décharges électriques dans son pubis. Chaque coup de rein lui occasionnait une douleur aigue qui se mélangeait au plaisir qu’elle ressentait au même moment.

Elle commença à perdre pied. Il lui semblait que la douleur était un complément indispensable à son plaisir, qu’elle alimentait l’orgasme qui commençait à poindre au fond de son ventre. Bientôt le timbre de ses gémissements changea. Elle arqua son dos à chaque fois que Sarah s’enfoufrait implacablement dans son vagin. De la transpiration ruisselait sur sa cage thoraxique et gouttait sur le vinyl noir du siège gynécologique. Ses sens étaient submergés par les sensations dans lesquelles la douleur se mélait au plaisir. Sa poitrine se soulevait et s’abaissait à un rythme infernal qui s’accordait à celui que lui imposait Sarah.

Les trois femmes s’emmerveillèrent de la réaction de l’esclave qui se convulsait de plus en plus sauvagement dans ses liens.

Une lumière blanche explosa dans l’esprit d’Allie. Elle laissa son orgasme éclater contre le sexe en plastique de Sarah et hurla de plaisir malgré le baîllon en plastique qui obstruait sa bouche. Et le néant s’empara d’elle.

*********************************

Lorsqu’Allie se réveilla, elle était étendue sur le sol de la chambre de sa Maîtresse.

Une douleur sourde tourmentait sa cheville et son pubis. Les souvenirs de son tatouage s’imposèrent à son esprit. Elle était marquée à vie. "Propriété de Nicole" Ces quelques mots tournaient dans sa tête. Elle tendit la tête et regarda son entrecuisse. Un bandage recouvrait son pubis, masquant le tatouage.

Un autre pansement entourait sa cheville.

Des larmes perlèrent à ses yeux.

Comment avait-elle pu en arriver là, elle voulait seulement être une fille sage

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Allie et Nicole, par Annie The Slick - Communauté : Soumissions féminines
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Vendredi 7 mars 5 07 /03 /Mars 21:55

Chapitre 23: Tatouages 1

 

Allie se réveilla avec le bras de Nicole en travers de son buste. Elle avait du mal à se souvenir de la dernière fois qu’elle avait dormi dans un lit. Est-ce que ça remontait à des semaines ? Ou bien des mois ? Elle aprécia son confort et la sensation du corps de Nicole, nue contre son dos.

 
Alors la douleur se réveilla.

 
Ses poignets la faisaient souffrir, à force d’avoir été attachés à la tête du lit et les marques sur ses fesses la cuisaient, mais le souvenir du plaisir qu’elle avait éprouvé la nuit dernière était encore plus fort que toutes les misères qu’elle pouvait ressentir.

 
À ce souvenir, son sexe se mit à mouiller.

**********************************************

Après qu’elle soit rentré à la maison, Nicole l’avait harcelé pour qu’elle lui raconte comment ça s’était passé. Elle avait tout raconté dans les détails : Maîtresse Alex et sa fille Lauren, comment elle avait été forcée à donner du plaisir à l’adolescente récalcitrante, comment elle l’avait préparée à devenir une bonne petite fiancée lesbienne. Nicole avait paru très satisfaite de sa perfomance et de la façon dont elle avait obéi à Maîtresse Alex.
Elles regagnaient la chambre pour se coucher, Allie sur le sol et Nicole dans le lit, quand Nicole l’avait arrêtée et lui avait demandé combien de femmes elle avait sucé ce jour. Habituellement elle dépassait facilement les trois imposées, arrivant même assez souvent à cinq ou six mais aujourd’hui… Le service pour lequel elle avait été vendue n’en comprenait qu’une.Nicole lui jeta un regard assassin. Allie se défendit en prétextant que ça n’était pas de sa faute, qu’elle n’avait pas eu d’autre opportunité. Le revers de la main de Nicole contre sa joue la projeta sur le sol.

— Il y a toujours une possibilité.

Elle se redressa, surplombant l’adolescente entièrement nue de toute sa hauteur. Agrippant l’anneau du collier qu’elle avait autour du cou et le tira méchament.

— Et d’après toi quelle devrait être ta punition pour avoir désobéi à la règle numéro trois ?

— Je vous en prie Maîtresse, rien. J’ai été gentille, j’ai fait mon possible pour faire tout ce qu’on me demandait.

Allie commença à pleurer. Elle s’agenouilla aux pieds de sa Maîtresse et entoura ses bras autour de ses jambes vêtues d’un superbe pantalon en soie.

— Les règles sont claires ma petite lécheuse de chatte, même si je te permets de compter l’adorable petite foufoune de Josie ce matin, il t’en manque quand même une.

Nicole adressa un sourire carnassier à son jouet préféré. Elle attrapa l’adolescente par les cheveux, s’assura que sa prise était suffisament ferme et commença à traîner la jeune fille suppliante et pleurant de toutes ses larmes à travers la chambre.

— Je pensais avoir été suffisamment claire sur les règles. Tu dois les suivre "à la lettre". Masturbation tous les matins au réveil. Épilation intégrale. Respect inconditionnel envers tes supérieures et trois chattes par jour. Tout ça est très important pour ton éducation.

Un sourire condescendant sur les lèvres, Nicole parlait lentement, détachant ses syllabes pour accentuer ses paroles, tout en tirant l’adolescente qui faisait son possible pour échapper à son châtiment.

— Tu aurais du plaider ta cause auprès de Maîtresse Alex, tu aurais du lui expliquer ta situation, je suis sûre qu’elle t’aurait autorisée à sucer une autre paire de chattes.

Elle propulsa la jeune fille par-terre. Allie s’écroula, prostrée, en sanglotant. Nicole se lécha les lèvres, Allie paraissait si vulnérable. Elle mourait d’envie de la prendre sans délai. Lentement, Nicole déboutonna son pantalon et le fit glisser sur ses jambes. Elle baissa sa culotte noire et enjamba l’adolescente en pleurs.

— Retourne-toi et agenouille-toi immédiatement !

Allie se retourna et vit sa Maîtresse au-dessus d’elle, toujours aussi majestueuse avec son entrecuisse luisant d’excitation, prête à être servie. Elle obéit rapidement et enfouit son visage entre les cuisses de sa dominatrice, léchant furieusement, espérant que si elle satisfaisait suffisamment sa Maîtresse, sa punition serait plus légère.

— Bordel, petite pute ! Hurla Nicole. — Tu sais vraiment comment bouffer une chatte maintenant.

Allie poussa sa langue la plus profondément possible au cœur de l’intimité de sa Maîtresse. Elle lécha, suça, aspira les chairs, se régala de la saveur du vagin qu’elle était forcée de vénérer. Elle mordilla le clitoris, faisant pousser un cri de bonheur à sa dominatrice au moment ou l’orgasme la submergeait. Celle-ci écrasa sa tête entre ses cuisses et s’agenouilla de part et d’autre de sa tête, la chevauchant comme s’il ne s’était agit que d’un vulgaire objet sexuel, la clouant contre le sol à l’aide de son sexe, écrasant le visage de l’adolescente, dirigeant elle-même son orgasme contre la langue de l’adolescente.

— BORDEL !! Hmmmm !!!

Elle grogna pendant que les vagues de plaisir parcouraient son corps. Elle adorait maltraiter sa petite salope soumise.

Nicole reprit lentement ses esprits et se dégagea de l’adolescente, s’étendant contre elle de façon à ce que son sexe trempé repose contre l’entrecuisse imberbe de l’adolescente. Elle prit sa tête entre ses mains et se mit à embrasser son adorable visage souillé par les sécretions. En état de choc, Allie ne se déroba pas aux baisers délicats de sa Maîtresse. Il fallut que leurs lèvres se soudent pour qu’elle rende le baiser, d’abord timidement, puis passionnément lorsque la main gauche de Nicole glisse entre leurs deux corps, puis entre ses jambes. Elle poussa un gémissement lorsque les doigts impérieux s’emparèrent de son sexe trempé.

Elle écarta ses jambes et se concentra sur les sensations incomparables que lui procurait sa Maîtresse.

— Ouais, tu y es presque ma petite, supplie-moi de te faire jouir.

Elle la pénétra, enfonçant entièrement son majeur entre les parois lubrifiées par le plaisir, écrasant le cadenas contre son clitoris.

— Adjure-moi de te faire prendre ton pied, petite salope.

Nicole s’écarta un peu, prit appui sur son coude et regarda l’adolescente fermer ses adorables yeux et commencer à gémir.

— Hmm Maîtresse, Oh ! OOh! OOH !! Maîtresse !!! Hmmmmm.

Allie releva ses jambes, mit ses mains derrière ses genoux et écarta les cuisses au maximum de ses possibilités, s’ouvrant comme un livre, faisant preuve de toute la souplesse que lui conférait son âge, livrant toute son intimité à Nicole.

— OOOHH !!! MAÎTRESSE !!! S’il vous plait ! Est-ce que je peux jouir s’il vous plait !

Nicole ne répondit pas, se contentant de continuer à pistonner lentement le sexe de l’adolescente.

— S’IL VOUS PLAIT MAITRESSE !!!! Hmmmm !!! OOOOHHHHH JE VOUS EN PRIE MAÎTRESSE !!!! HMMMMMM !!!

Nicole introduisit un deuxième doigt dans la gaine qui se contractait spasmodiquement. Un clapotis accompagnait le mouvement de ses doigts à l’intérieur du sexe détrempé.

— HHHHMMMMM !!! Maîtresse ! OOOHHHH !!! Maîtresse, MAÎTRRRESSSE !!!!!! AAAAHHHHH !!!

Et un orgasme d’une violence inouie la poussa au paroxisme du plaisir. Un orgasme qui semblait ne jamais vouloir finir ; elle attrapa les bras de sa Maîtresse et s’en servit comme point d’appui pour agiter son bassin contre les doigts qui lui donnaient ce plaisir si violent.

Nicole se s’extirpa de l’adolescente agitée de derniers soubressauts et se releva. Elle se dirigea vers l’armoire placée contre la fenêtre. Elle y prit de la corde et revint près d’Allie qui gémissait toujours. Elle s’empara de ses poignets et les attacha rapidement ensemble. L’adolescente sortit ausstôt de sa torpeur.

Maîtresse ??? Non s’il vous plait ! Je vous en prie ! permettez-moi de vous lécher encore mais ne me punissez pas ! Je ferai tout ce que vous voudrez !

Mais elle ne se débattit pas, se contentant de renifler silencieusement.

— Jeune fille, non seulement tu as enfreint la règle numéro trois en ne bouffant pas ton quota de chattes aujourd’hui, mais pour couronner le tout, tu viens de jouir sans ma permission…

Tirant sur la corde, elle la la tira jusqu’à la tête du lit et y attacha ses poignets. 

— Je pense que tu as besoin que je te rafraichisse un peu la mémoire en ce qui concerne ta condition dans ce monde.

Abandonnant l’adolescente prostrée au pied du lit, elle retourna à l’armoire devant laquelle elle resta un moment, étudiant son contenu et ignornant les plaintes d’Allie. Elle sourit en voyant le godemiché-ceinture que Betsy lui avait offert tant de semaines auparavant et l’enfila. Elle adorait ce moment. Puis elle s’empara de son instrument de coercition préféré, une cravache d’environ un mètre vingt de long, facile à manier, très cinglante qui n’occasionnait pas facilement des blessures permanentes. Elle ôta son chemisier en soie et la suspendit à la porte de l’armoire. Puis elle revint vers sa victime agenouillée, avançant à petits pas pour faire durer son plaisir, s’amusant du sexe factice qui balançait obscènement sur son bas-ventre à chaque pas.

TCHAC !

Sans un avertissement, elle abattit la cravache sur les fesses de l’adolescente.

AAAIIIEEE ! Je vous en prie, Maîtresse, dites-moi ce que je peux faire !

CLAC !!

Elle frappa à nouveau les fesses d’Allie.

— AAIIE ! AAHH !! WOUAAAHHH !

À présent, l’adolescente pleurait à chaudes larmes.

— Je crois que tu mérites dix coups pour chaque chatte que tu n’as pas sucé aujourd’hui et dix coups supplémentaires pour avoir joui sans ma permission. Pour finir je veux que tu me supplie de te fouetter à chaque coup si tu ne veux pas que je double la punition.

À ce moment, Allie avait parfaitement intégré les règles. Aussitôt, d’une petite voix, entre deux sanglots, elle supplia entre ses dents serrées :

— S’il vous plait Maîtresse cravachez-moi.

TCHAC !

— AAIIE ! UN ! S’il vous plait Maîtresse, cravachez-moi.

TCHAC !

La punition continua jusqu’à ce qu’elles aient atteint dix coups.

— C’est bien ma fille, c’était la première partie de ta punition.

Et Nicole enjamba les fesses de l’adolescente, présenta le sexe factice à l’entrée du vagin et poussa.

— Nous allons agrémenter la punition avec un petit plaisir entre chaque session. Je tiens absolument à ce que tu apprécies cette expérience puisqu’une grande partie de ta vie consiste dans les punitions, c’est la moindre des choses de la part d’une esclave.

Le sexe de l’adolescente était encore lubrifié par les manipulations de sa Maîtresse, aussi Nicole la pénétra aisément et commença à aller et venir fermement, propulsant le corps entravé de la jeune fille contre le matelas à chaque poussée.

— Souviens-toi ma fille, la prochaine fois que tu seras sur le point de jouir, demande-moi la permission auparavant, il ne faudrait pas que je sois obligée d’augmenter le nombre de coups encore une fois.

Allie s’arque-bouta dans les cordes reliant ses poignets au lit et s’offrit aux coups de reins de sa Maîtresse, accueillant le sexe factice qui la pilonnait profondément dans son sexe. À chaque poussée, elle se sentait glisser vers l’orgasme. Bientôt, elle accompagnait le mouvement en plaquant son dos contre le bas-ventre de Nicole.

— Hmmm ! Oh ! OOOH ! MMMMH ! Maîtresse… HHHMMMM !

Nicole sentit l’adolescente se tendre, son dos s’arquer.

— Je vais jouir Maîtresse, s’il vous plait… hhhmmm !

C’est le moment que Nicole choisit pour se retirer.

— Pas encore petite chienne.

Allie grogna de frustration :

— Non, s’il vous plait Maîtresse ! Continuez à me baiser !

La frustration était telle qu’elle avait encore plus arqué son dos, comme pour aller à la rencontre du plaisir qui lui était refusé. Le contact avec le bout de la cravache lui fit reprendre sa position. L’adolescente se crispa et serra les dents.

— S’il vous plait Maîtresse, cravachez-moi !

 

— Brave fille !

CLAC !

— OUAAAIIIIE !!! UN ! S’il vous plait Maîtresse, cravachez-moi.

Les larmes se remirent à couler sur les joues de l’adolescente.

— TCHAC !

 

— AIIE-AAIIE-AAAIIIE ! DEUX ! MMhh… S’il vous plait Maîtresse, cravachez-moi !

À nouveau, Nicole frappa son esclave dix fois, dix coups cinglants qui la firent hurler, avant de la prendre à nouveau en levrette, rapidement et violemment jusqu’à ce qu’elle soit sur le point de jouir. Puis, elle se retira une nouvelle fois, abandonnant la jeune fille frustrée par le vide qu’elle ressentait, la suppliant de continuer à la pénétrer avec son phallus si dur et si bon.

De la sueur ruisselait sur son dos, la douleur et la frustration d’être abandonnée au bord de l’orgasme la rendait folle, elle souhaitait que la correction reprenne aussitôt pour endurer aussi vite que possible les dix coups afin que sa Maîtresse la pénètre encore avec son gros sexe bien dur.

— Maîtresse, cravachez-moi s’il vous plait.

TCHAC !

— Un, s’il vous plait Maîtresse, cravachez-moi !

À présent, elle ne criait plus, la douleur n’était plus qu’un passage obligé vers le plaisir, chaque coup de cravache la rapprochait de l’orgasme qu’elle espérait si intensément, chaque coup la rapprochait de la pénétration du merveilleux phallus de sa Maîtresse.

TCHAC !

— Ahhh… Deux, Maîtresse. S’il vous plait cravachez-moi.

CLAC !

La douleur était un passage incontournable vers la délivrance.

— Trois, Maîtresse, s’il vous plait cravachez-moi !

TCHAC !

— Ohhh… Quatre, Maîtresse cravachez-moi s’il vous plait !

Sa délivrance.

TCHAC !

— Cinq, Maîtresse, cravachez-moi s’il vous plait !

CLAC

— Six, Maîtresse s’il vous plait cravachez-moi !

À cet instant, les marques rouges s’entrecroisaient sur son dos.

TCHAC !

— MMHHH !! … Sept, Maîtresse s’il vous plait cravachez-moi !

Elle arqua son dos.

TCHAC !

— AHHHH !! … Huit, Maîtresse s’il vous plait cravachez-moi !

CLAC !

— NEUF !! Allie cria le numéro. NEUF, MAÎTRESSE S’IL VOUS PLAIT CRAVACHEZ-MOI !

Nicole était folle de désir en se repaissant de son esclave sexuelle entravée.

CLAC !

— DIX !

Nicole jeta la cravache et s’accroupit derrière l’adolescente, la pénétrant entièrement d’un mouvement doux mais ferme. Immédiatement, elle se mit à pistonner violemment la jeune fille.
Allie hurla tant son extase était forte, de se faire empaler par sa Maîtresse.
Elle jouit presque instantannément, ses yeux roulaient dans ses orbites. Elle se mit à pendre dans ses liens, s’accrochant fermement à la corde qui la liait à la tête du lit et se concentra sur les vagues de plaisir qui parcouraient son corps à chaque aller-retour du sexe en plastique.
Puis elle s’évanouit.

*********************************

Nicole s’était endormie sans quitter le godemiché. Elle se blotit contre le dos de l’adolescente et joua délicatement avec l’un de ses tétons, lui laissant le temps de bien sentir la pression de son phallus contre le bas de ses reins. Le sexe d’Allie s’humidifia encore plus. Elle pencha sa tête en arrière vers sa Maîtresse et l’embrassa de tout son cœur, y mettant une telle fougue qu’elle finit par la réveiller complètement.

— S’il vous plait Maîtresse, pénétrez-moi encore avec votre merveilleux sexe. Quémanda-t-elle en ouvrant ses jambes pour s’offrir.

Nicole sourit :

— C’est d’accord, ma petite salope préférée, comme tu veux.

Et elle attrapa l’objet et le réinséra à l’entrée du sexe de l’adolescente, força un peu jusqu’à ce que l’épais gland en caoutchouc jusqu’à ce qu’il fasse son chemin. Elle l’enfonça d’une dizaine de centimètres et se mit à aller-et-venir délicatement. Elles continuèrent à se caliner et à faire l’amour pendant environ vingt minutes, chacune profitant de l’autre à sa manière.
Finalement, Nicole chuchotta dans son oreille :

— Est-ce que tu as apprécié ta punition la nuit-dernière, ma petite pute adorée ?

Allie avait les paupières closes.

— Oui Maîtresse, vraiment.

*********************************

Conformément à l’ordre de sa Maîtresse, Allie était agenouillée, les genoux écartés, exhibant son petit cadenas qui pendait librement le long de son sexe. Ses fiers petits seins pointaient, mettant en valeur les petits anneaux qui les ornait et, comme d’habitude, un gadget en caoutchouc obstruait son anus.

— Tu te souviens de ça ma fille ?

Nicole tendit une feuille de papier à la jeune fille nue à ses pieds.

Allie y jeta un coup d’œil. C’était le document qu’elle avait eu comme cadeau pour son anniversaire. Il y était renseigné qu’elle avait droit à un tatouage gratuit. Son cœur fit un bon. Elle avait oublié ce présent singulier. Sans quitter sa position agenouillée, elle leva les yeux vers sa Maîtresse et lui rendit le document.

— Oui Maîtresse. Répondit-elle d’une toute petite voix.

Elle souriait mais au fond de son ventre, son estomac faisait des nœuds, redoutant la journée qui l’attendait et qui venait à peine de commencer.

— Non garde-la. Finalement, je me suis décidée pour un tatouage approprié… ou deux.

Elle eut un petit sourire diabolique vers sa "pupille".

— Je t’ai pris un rendez-vous dans une demi-heure. Il faut qu’on se presse si nous ne voulons pas être en retard.

Elle se pencha, attrapa Allie par la nuque et força ses lèvres contre les siennes, embrassant passionnément sa fille-objet. Allie rendit le baiser avidement tandis que sa Maîtresse s’emparait d’un des anneaux qui pendaient à ses tétons et se mettait à jouer avec lui. Nicole rompit le baiser et se leva en tirant sur l’anneau dans le même mouvement, étirant le téton douloureusement, puis elle sortit de la cuisine. Pour Allie, cela signifiait qu’il était temps de nettoyer les restes du petit-déjeuner puis d’aller mettre les vêtements de la journée que sa Maîtresse avait choisi pour elle. L’adolescente s’empressa de mettre la vaisselle dans le lave-vaisselle et trottina, toujours nue, vers son ancienne chambre.

Elle trouva une paire de caleçons blancs très légers posés sur le lit. Un débardeur tout simple, des chaussettes blanches et une paire de chaussures de tennis. Elle commença par enfiler le caleçon. C’était un peu comme si elle ne portait rien, son sexe imberbe était presque aussi visible que s’il avait été nu, tant il était moulé par le vêtement léger. Allie se dit que sa taille était au maximum du huit-ans pour la serrer autant, sans compter que le tissu était presque transparent. Il épousait les formes de ses fesses, révelant leurs courbes à qui voudrait bien les regarder. Son caleçon descendait à peine en dessous de son entrejambe. Allie savait bien qu’il ne lui servirait à rien de discuter avec sa Maîtresse à propos de ce qu’elle était supposée porter. Après tout, pour positiver, au moins elle ne l’obligeait pas à sortir entièrement nue…
Elle enfila le mini-débardeur. Le tissu était fait dans une matière rappelant celle des bas-résilles. Ses tétons et leurs anneaux étaient clairement visibles à la lumière du jour. Elle se dépêcha de mettre les chaussettes et les chaussures.

— Allons-y petite chienne, ne soyons pas en retard.

L’adolescente s’avança sous le regard de se dominatrice qui la détaillait des pieds à la tête.

— Je te prendrai bien encore tout de suite et sur place, tu es si sexy.

Elle attira la jeune fille contre elle, forçant la jambe de son jean entre les cuisses de sa soumise et l’embrassa impérieusement sur la bouche, écrasant le piercing contre son clitoris.
Allie haleta lorsque leurs lèvres se séparèrent, Nicole ne laissa pas reprendre ses esprits et la guida hors de la maison en lui prenant la main.
Une fois dans la voiture, elle ordonna à sa soumise de se caresser à travers son caleçon.

— Je veux que tu mouilles un maximum pendant le trajet jusqu’au salon.

Allie posa sa main sur son sexe et se mit à frotter lentement le petit cadenas. À l’usage, elle avait remarqué que le meilleur moyen et aussi le plus rapide pour se donner du plaisir était de caresser le piercing qui perçait le capuchon de son clitoris. Le tirer et lui donner de petites pichenettes l’excitait énormément, quel que soit le degré d’avilissement qu’elle subissait.

— Ecarte l’empiècement de ton short et mets-toi un doigt en même temps.

 Allie s’empressa d’obéir, faisant pénétrer son index entre les tendres parois de son vagin, sans cesser de jouer avec son petit cadenas.

— Attention ! Interdiction de jouir tant que je ne t’y aurais pas autorisée.

Ouu… Ouuiii… Maîtresse. Répondit Allie.

Les manipulations auxquelles elle se livrait commençaient à la faire mouiller.

Elles arrivèrent au salon et Nicole se gara sur le parking réservé aux clients.

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Allie et Nicole, par Annie The Slick - Communauté : Soumissions féminines
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Lundi 3 mars 1 03 /03 /Mars 22:35

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Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Fansadox: Confiscated Twins - Communauté : Soumissions féminines
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