Jeudi 29 décembre 4 29 /12 /Déc 22:12

Chapitre 1 : Dans le bureau de la Directrice



Une de mes expériences les plus mémorables en matière de punition fût celle que j’ai administré à Sarah McCluskey, qui à l'époque était une étudiante fraîchement transférée d'un autre établissement. Une école religieuse catholique réputée pour sa discipline et ses principes éducatifs particulièrement rigides.

 

Sarah était un véritable petit « bonbon », une fille sans prétention, bon élève et sans aucun problème de comportement. Elle eu simplement la malchance de ne pas être au courant de certaine règles de l'école, certes assez nombreuses, rigoureuses, et à vrai dire complexifiées à loisir, et peut-être plus important, de ne pas avoir répondu favorablement aux avances pressantes d'un de nos jeunes instructeurs de sexe masculin troublé par ses charmes.


Ma philosophie en matière d'éducation des jeunes filles est simple: une jeune fille fera toujours son bénéfice d'un peu de discipline, même si elle n'a pas commise de faute particulière. Je dirai même, surtout si elle n’a pas commise de faute particulière ! Après tout, toutes les filles sont fautives à un moment ou l'autre, en acte ou en pensée. Et il serait injuste de ne punir que celles qui se font prendre! Sarah devait donc être punie pour les fautes dont elle était accusée, mais aussi pour celles qui n’avaient pas été découvertes! En plus, je soutiens que toute élève punie doit subir sa punition sans réserves, en faisant preuve de la plus absolue obéissance. Cette soumission est la manifestation que l’élève a intériorisé la nécessité de la punition. Quelle la considère comme juste ou non. Cette totale soumission est évidemment d’autant plus importante lorsque l’élève n’a pas véritablement commis de faute !


Au début de chaque année, les filles de notre école reçoivent chacune un exemplaire des règles de l'établissement. C'est une liste assez longue, et les jeunes filles apprennent vite qu'il est dans leur propre intérêt à l'étudier de très près. Même alors, il est impossible d'éviter de contrevenir un jour ou l'autre au règlement intérieur. Les filles transférées en cours d'année reçoivent une copie du document. L'instructeur chargé du suivi de leur classe doit veiller à leur en transmettre une. Pour le malheur de Sarah, l'instructeur en question était celui que j'ai mentionné plus haut, et pour se venger, il ne transmit pas l'exemplaire du règlement.


Le résultat fut que, après deux semaines, Sarah réussit à amasser une véritable collection de contraventions aux règles de l'institution. Pourquoi les choses ont-elles ainsi dérivées pendant deux semaines? Je dois supposer que notre instructeur aux pulsions bafouées voulait que sa vengeance soit particulièrement cuisante. Je n’allai pas le décevoir : elle allait l'être!


En tout cas, lorsque notre malheureuse Sarah entra dans mon bureau pour honorer son rendez-vous, j'avais devant moi l'un des pires dossiers de que j'avais vu dans ma carrière. Je l'examinai quelques instants seulement avant son arrivée et je savais que ce serait un vrai défi de s'assurer que la jeune Sarah soit vraiment punie avec toute la rigueur qu’elle méritait tout en l’amenant à accepter cette punition comme nécessaire.


Mon excitation redoubla quand la coupable est entrée dans mon bureau sur mon ordre. La jeune fille était vraiment l'incarnation de la beauté et de l'innocence. D’origine irlandaise par sa mère, c’était une vraie rousse à la peau blanche couverte de taches de rousseur sur tout le corps. Cependant ses traits étaient d'une délicatesse que j'ai rarement trouvée chez les filles aux cheveux roux. Ses yeux étaient d'un bleu profond, ses lèvres étaient rouges et pleines. Elle avait des manières agréablement humbles et elle avait un air plus innocent et réservé que ce à quoi l'on s'attendait de la part d'une jeune fille de 17 ans.


Son uniforme scolaire réglementaire moulait sa taille au plus près. La veste tombait de chaque côté des seins que l'on devinait somptueux et qui poussaient contre le tissu blanc, bien repassé, de la chemise. La cravate rouge rayée passait entre les deux globes de chairs, soulignant encore leur volume. Sa jupe plissée lui tombait à mi cuisses et dévoilait ainsi de grandes jambes superbement galbées.


Sarah venait clairement de pleurer. Ses yeux étaient rouges et il y avait des traces de ses larmes sur ses belles joues. Elle faisait de son mieux pour réprimer les larmes résiduelles, mais ne pouvait s'empêcher de sangloter.

 

Elle entra, ferma la porte, puis hésita, ne sachant que faire. Elle était visiblement impressionnée par la solennité de l’accueil. Il faut dire qu’assise derrière mon bureau, habillée comme d’habitude de façon assez stricte avec une jupe marron qui me tombait à mi-cuisses et d’une veste assortie et d’une chemise blanche, j’impressionnai facilement. Ma peau mate, mes cheveux noirs rehaussés d’un chignon, mes lunettes fines, n’aidaient pas à me rendre plus affable. Du haut de mes 40 ans, j’étais pourtant encore assez belle.


«Viens ici, ma jolie », dis-je d'une voix aussi amicale que possible.

 

« Prends un siège », ajoutais-je en indiquant une chaise devant mon bureau.


Elle semblait reconnaissante envers moi. Elle a rapidement glissé vers l'avant et assis son postérieur sur le bord de la chaise. Il était évident que la pauvre fille avait besoin de réconfort en ce moment de crise. Peut-être qu'elle espérait que je sois de quelque façon cette source de réconfort,
même si elle n'avait vraiment pas d'autre raison de le penser hormis le fait que je lui parlais d'une manière conviviale.


«Sarah McCluskey?"

«Oui Madame."

« Madame la Directrice, je te prie », ai-je de suite corrigé.


«Sais-tu pourquoi tu es ici?"


«Oh, oui . . . Madame la Directrice, mais, vous voyez . . . je ne connaissais pas toutes ces règles. Vous voyez, on ne m'a pas donné le règlement et ... "


«Bien sûr, je comprends, mais les règles sont les règles, et elle doivent être respectées. Nul n’est censé ignorer la loi ! Il n'y a aucune échappatoire possible. N’es-tu pas d'accord? "


«Oh, oui Madame la Directrice, mais je ne les connaissais pas! Je n'aurai jamais volontairement violé les règles de l'école!"


«Eh bien, je l'espère. Cela aggraverait encore ta situation ! Hmmm ... oui, c'est une situation bien malheureuse. Je rappellerai à l’ordre l’instructeur concerné. Mais tu vois, mes mains sont liées, pour ainsi dire. Je ne peux pas juger de la question qui m'est envoyée. C’est ton instructeur qu’il fallait essayer de persuader de ne pas transmettre ton dossier . . . ». Il n’y avait pas de formulation plus claire pour lui faire comprendre que la prochaine fois elle devait accepter de passer à la casserole . . . ce qui ne la dispenserait pas de punition, mais cela il était inutile de le préciser pour l’instant !

 

« Je ne peux que remplir mes fonctions », repris-je. « Cependant, permet-moi de te donner un conseil. Je te conseille de m'obéir instantanément et complètement, sans hésiter, peu importe ce que je pourrais te dire de faire. Sinon, tu ne feras qu'aggraver la punition. Comprends-tu? "


Dès que j'eu prononcé les mots ci-dessus d'une voix maternelle, la pauvre Sarah fut déchirée entre la terreur et les conséquences sinistres de ce que je disais et l'espoir, contre toute espérance, qu'elle pouvait me pousser vers la clémence. Elle fit un signe de tête affirmatif avec empressement.


"Bien. Maintenant, as-tu déjà reçu des punitions corporelles?"


Son teint déjà naturellement pâle devint plus blanc encore: "Non, Madame la Directrice." dit-elle doucement.

Son institution religieuse ne pratiquait en effet que les punitions morales ! Les institutions religieuses ne sont plus ce qu’elles étaient.


«Et les autres filles t-ont donné une idée de ce à quoi tu peut-attendre? »


"Non, Madame la Directrice, sauf que certaines ont ri et m'ont dit que je serais une fille beaucoup, beaucoup plus sage après."

 

Elle a réussi à émettre un faible sourire. C'était un charmant sourire.


«Et bien Sarah, tout cela est regrettable, car tu as violé un grand nombre de règles de cet établissement. J'ai le regret de t-informer que la punition sera assez sévère. "


Sarah reprit son souffle: «Oh! Oh, s'il vous plaît, non, Madame la Directrice!"

 

 

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : Sarah: La punition de Sarah, par Alexis - Communauté : Soumissions féminines
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