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Une association américaine a enfin trouvé une solution simple et efficace pour augmenter les dons:
Les soumises peuvent aussi avoir un rôle social!
Vous venez de lire de 2eme chapitre des "Miliciennes". Aussi chaud que le 1er!
Ces chapitres me rapellent par leurs thématiques et leurs style la BD "Woman's hell in paramundo" édité chez Fansadox. C'est dire!
Et que de possibilités de suites pour creuser cet univers de la perversion: ces jeunes espionnes doivent bien être mises en prison ou il doit se passer de bien vilaines choses . . . ces implacables miliciennes soivent être formées dans une école . . . Il n'y a plus qu'à espérer que Machine s'attelle vite à ces suites!
Le vieux bus roule sur la route défoncée depuis plus d'une heure. Les jeunes filles pensionnaires de l'Institut rentrent en week-end. Au fur et à mesure des km le bus se vide. Mia Almira, le front appuyé sur la vitre somnole au gré des mouvements du bus, un livre posé sur les cuisses. C'est une jolie lycéenne de 16 ans. Elle est brune et ses cheveux assemblés en une queue de cheval lui donnent un air sage compensé par quelques cheveux fous qui ondulent sur ses tempes. Elle a le visage fin et son cou élancé lui donne une grâce très féminine contrebalancée par des joues encore rondes qui ajoutent un coté enfantin à son charme. Ses grands yeux noirs lui donnent un côté innocent. Elle porte l'uniforme beige des jeunes filles de l'Institut. C'est une simple robe légère, boutonnée sur le devant et serrée par une ceinture assortie.
Le bus arrive dans la zone contrôlée par la Milice. Une barrière et un barbelé barrent la route. Comme chaque semaine, le bus longe le poste en béton et s'arrête à la hauteur du bâtiment en faisant monter la poussière de la route brulante.
Le bus est contrôlé à chaque passage. Mais cette fois Mia ne semble pas rassurée. Il y a quelque chose qui n'est pas habituel. D'abord il y a cette femme-officier de la milice qui monte dans le bus. D'habitude elle reste à l'entrée du poste à superviser le contrôle. Mia l'a remarquée car elle la trouve si magnifique qu'elle ne peut s'empêcher de l'admirer à chaque fois qu'elle passe. Elle a une allure naturellement autoritaire qui la fascine, "j'aimerais lui ressembler" envie Mia.
- Tu as oublié tes papiers? Ne t'inquiètes pas ce n'est qu'un contrôle, la rassure une camarade.
- Non non ça va...
Elle reprend son livre et fait mine de reprendre sa lecture. Elle est angoissée à l'idée que l'on trouve la clé usb qu'elle porte aux agents infiltrés chez les miliciens.
L'officier est accompagnée d'un sergent féminin. Elles montent dans le bus et s'avancent dans l'allée centrale. Elles examinent chaque élève minutieusement avec suspicion. L’air grave de l'officier ajoute à sa prestance un côté cruel qui donne des frissons dans le dos de Mia. Elle passe devant la jeune fille, puis revient vers le chauffeur où elle échange des mots avec sa collaboratrice. En la voyant faire demi-tour Mia s'est détendue. Mais d'un coup elle s'aperçoit que les deux femmes se parlent à l'oreille en regardant dans sa direction. Elle détourne vite le regard et replonge dans son livre. Mais bientôt les femmes reviennent et l'officier fait un signe à Mia. La jeune fille se glace et sans un mot elle se lève, et, comme hypnotisée suit les deux miliciennes. C'est inutile de résister et elle ne veut pas être prise de force devant ses camarades.
*****
Les trois femmes traversent le poste de sécurité et pénètrent dans un genre de bunker sans fenêtre où de simples meurtrières laissent passer la lumière. Mia réalise la gravité de la situation. Elle se dit qu'elle a bien fait de se débarrasser de la clé usb. Elle va jouer la jeune fille innocente. La porte du bunker se referme dans un bruit sourd. Le béton a emmagasiné la chaleur et il fait une chaleur oppressante.
Les deux femmes poussent Mia jusqu'à la pièce du fond. Elle est meublée d'un bureau métallique au bord duquel s'assied l'officier. Sa subalterne, le sergent Penelope, assied Mia sur une chaise bancale en métal rouillé. Il y a également une armoire en métal déglinguée pourvue d'une seule porte, une baignoire en émail complètement écaillée rempli d'une eau boueuse. Enfin une grande table en acier attire le regard de la jeune fille et la glace de terreur : dessus sont posés divers instruments. Elle remarque d'abord un chat à neuf queues. Penelope suit son regard :
- Il est magnifique n'est-ce pas ? C'est un modèle unique. Les esclaves devaient le fabriquer eux-mêmes, et le donner à leur maitre pour être châtié. Le manche est en ébène, il tient très bien dans la main. Neuf cordes, neuf nœuds par cordes et neufs coups. Je l'ai subi le mois dernier, j'ai fauté alors notre officier me l'a fait subir. Le premier coup m'a fait tressaillir, j'ai eu le souffle coupé et je suis tombée au sol. Après j'ai juste eu l'impression de survivre, la tête me tournait c'est comme si j'étais brulée ou mordue par un fauve. Chaque coup m'arrachait un bout de peau. A un moment j'ai sursauté et je me suis retournée, les nœuds mon arraché la peau du sein, j'ai encore la cicatrice.
- Montre-lui ! ordonne l'officier
Penelope déboutonne le haut de sa chemisette sur un bustier noir. D'un geste précis, elle passe ses doigts dans le vêtement sous ses aisselles et en fait sortir deux beaux seins magnifiques, bien dressés.
- C'est ici montre-t-elle en faisant la moue. Elle montre une cicatrice blanche qui remonte sur le côté comme pour souligner le galbe du sein.
Mia a la gorge serrée. Elle sait pourquoi elle est là et elle commence à avoir peur. Une question l'obsède : "qui a bien pu savoir? Peut-être personne, c'est peut-être juste une coïncidence" espère-t-elle.
Penelope reste seins nus et attrape un autre instrument.
- Ceci est plug anal en ivoire, un petit bijou, il pénètre jusqu'à ce sillon où l'anus se resserre pour éviter qu'il ne s'éjecte. Au bout c'est une tête de démon sculpté. Une fois inséré il donne l'impression que le diable est en toi. Compte tenu de son diamètre et des petites entailles qui l'ornent, celui qui le porte a un petit goût d'enfer.
Mia regarde l'engin avec effroi, un "plug anal", quelle horreur.
Penelope continue :
- Ce plug va avec cet autre gode en ivoire, mais pour la chatte. Ce petit appendice heurte le clitoris quand il est enfoncé assez profond.
- Ici c’est un nerf de bœuf, et çà ce sont des menottes de pouces du siècle dernier. Cà c'est une pince pour émasculer, mais ça marche très bien pour les seins des filles ou les clitoris. Elle est très usée, tellement elle a servi.
- voilà, le reste est plus moderne, ici des pinces électriques et ça c'est un gode à deux bouts en caoutchouc.
Mia commence à comprendre qu'il s'agit d'une vraie menace. Ses grands yeux noirs trahissent sa peur. L'officier la regarde assez séduite par cette jeune fille en état de détresse. Elle s'avance et commence à s'éprendre de ses charmes.
- Tu sais des choses, et je sais que tu sais chérie. On peut en finir rapidement ou on peut discuter plus longtemps c'est toi qui décide.
A ce stade en général les prisonnières avouent tout. Au lieu de cela Mia, malgré la peur qui la serre, veut résister :
- Vous devez vous tromper de personne, essaie-t-elle.
"Elle me résiste" se dit l'officier "qu'elle effrontée", "sans doute un reste d’innocence et d'inconscience". Mais elle aime ça. Elle fait signe à sa collaboratrice.
Penelope passe derrière elle et lui attache un gros collier en cuir autour du cou. Stupéfaite, Mia porte aussitôt ses mains à son cou. C'est la première fois qu'on la violente. Elle cherche de l'air. Sa bouche ouverte excite l'officier.
- C'est une petite chienne ! C'est une vrai petite chienne regarde-moi ça !
Elle passe ses mains sur l'uniforme d'écolière de Mia et d'un geste brusque écarte les pans de la robe, des boutons s'arrachent et volent dans la pièce.
Les yeux exorbités, à moitié dénudée, Mia se tend et s'accroupit en tenant ses seins.
- je..non..pourquoi !? Tente-t-elle
-chut! Petite chienne, ordonne Penelope qui l'attrape par le collier, la redresse et la plaque contre elle. Ce contact l'excite.
- On se tient droite pour parler à l'officier !
Elle maintient le collier par l'anneau et de l'autre main elle dégrafe le soutien-gorge de la jeune fille et le fait coulisser sur les bras de Mia qui essaie de le retenir. Elle lui attrape les mains et lui coince dans le dos, exhibant des seins bien dressés. "Son soutien-gorge ne sert à rien, ses seins se tiennent tout seuls" jalouse l'officier. Elle fixe les auréoles encore bombées d'adolescente. L'officier a envie de les mordre de les pincer de les violenter. Elle se retient. Elle s'avance excitée par le corps frêle de la jeune fille maintenue par les bras musclée de Penelope. Elle s'agenouille, et sans merci descend la culotte de la jeune fille qui pousse un cri d'indignation. Elle serre les genoux.
- Uhm, bien, on va pouvoir discuter maintenant n'est-ce pas ?
*****
Un quart d'heure plus tard Mia est à quatre pattes comme un chien.
Penelope s'est armée d'une trique. Un trait rouge sur les reins de Mia atteste qu'elle s'en est déjà servie. La jeune fille a les yeux rouges, elle a pleuré.
- Je repose ma question, chienne, où est la clé ?
Mia se glace. Ses tortionnaires savent donc qu'elle transportait des documents compromettants.
- ...mais je vous dis que je ne sais pas de quoi vous parlez ! Essaie-t-elle malgré tout.
Le sergent Penelope cingle la chair tendre de la jeune fille qui se tend instantanément en avalant un cri suraigu.
- lèche-moi les pieds !
Mia ose hésiter mais un sifflement dans l'air lui enseigne qu'elle a tort. La trique heurte ses fesses. Elle entend d'abord le claquement de la trique avant de sentir la déchirure sur sa chair. Elle se cabre de douleur et pousse un cri. Ses seins ondulent au gré de ses mouvements. L'officier a envie de les saisir, de les pincer, de les torturer.
-obéis !! hier platz !
Mia rougit de honte, ses joues sont mouillées de larmes. Elle doit respirer par la bouche tellement sa gorge est nouée. Alors elle se voit embrasser les pieds du sergent Penelope sans vraiment réaliser ce qu'elle fait. C'est ainsi que commence la dégradation de la jeune fille. En baissant son visage jusqu'au sol, son derrière s'est levé, ses fesses blanches d'adolescente se sont écartées dévoilant la rondelle de l'anus juste au-dessus de son sexe lové entre ses cuisses.
- lèche moi les jambes, les genoux..uhm c'est bien, tu aimes ça!
Elle la tire contre elle par le collier.
- Tu en veux plus! tu es une petite chienne qui aime renifler les culs. Tiens approche !
Elle trousse sa jupe sur de magnifiques jambes musclées. Tous les jours elle va au sport pour entretenir sa silhouette. Elle tire le visage de Mia dans sa raie. Sentir la respiration de la jeune fille dans son cul la parcourt d'un plaisir infini. Mia étouffe et veut repousser sa bourrelle. Mais ses gestes de défenses sont vains. Au contraire, elle s'excite du corps agitée et innocemment provoquant. Penelope se caresse sur le visage de Mia. La jeune fille est à bout de souffle et pousse des petits jappements. Ses mouvements de défenses sont des caresses pour sa tortionnaire qui sent la jouissance pénétrer tout son ventre.
- lèche-moi le cul ! Sale petite chienne ! Allez, ouvre moi cette bouche. Elle lui assène un coup de trique sur les cuisses. Mia pousse un hurlement étouffé faisant vibrer le clitoris de Penelope. Encouragée, elle recommence. Mia ne peut plus respirer. Son visage est cramoisi. L'officier fait un signe à sa subalterne qui frustrée relâche la contrainte.
- Je, je, je vais parler ! Geint la jeune fille.
*****
Mia est dans le fond de la pièce depuis 3 heures. Elle est allongée sur le béton poussiéreux. Elle pleure, souillée, humiliée. Elle n'arrête pas de se passer sa main sur la figure comme pour se laver de la façon on lui a violé le visage. Elle voudrait s'arracher la peau. La trique lui a laissé des plaies qui l'élancent à chaque mouvement.
Maintenant elle a peur. Elle sait que son répit sera de courte durée et que les tortures vont reprendre dès que ses tortionnaires se seront aperçues qu'elle a menti.
*****
Deux heures plus tard, la porte s'ouvre avec fracas. L'officier est furieuse. Elle déteste par dessus tout que l'on puisse lui tenir tête, surtout une adolescente effrontée. La jeune fille est recroquevillée, sa respiration s'est accélérée. L'officier la pousse du pied et la fait rouler sur le dos. Mia sert les genoux et les bras sur sa poitrine. Sa peau est tachée par la poussière du bunker.
L'officier la redresse et la tire par le collier vers les instruments de torture. Elle approche la chaise, s'y assoit et fait avancer la jeune fille à quatre pattes. Elle lui coince le cou entre ses cuisses, le visage très proche de sa chatte. Elle suit le regard de Mia constater qu'elle ne porte pas de dessous.
D'une main elle lui caresse les cheveux et joue avec sa queue de cheval, et de l'autre elle lui coince les mains dans le dos en lui appuyant sur les reins pour lui cambrer le dos et offrir son derrière à Penelope qui s'est baissée sur elle en tenant le phallus en ivoire. Elle lui caresse la raie et la fente avec.
Mia sursaute entre les cuisses de l'officier comme un animal coincé.
- Les chiennes adorent se faire prendre par derrière !
Mia veut se défendre, mais tous ses mouvements sont vains. Sa respiration est difficile étranglée par les cuisses de l'officier.
- arrête d'aboyer veux-tu !
Penelope promène encore un moment l'instrument sur sa raie puis pousse le bout rond sur son anus. Mia pousse un râle. Sa chair d'adolescente excite Penelope qui se penche sur le petit trou pour l'humecter de sa langue. Elle ferme les yeux s'emplissant de toute la sensualité et de la douceur de la jeune fille. Elle caresse sa joue sur ses fesses et glisse ses doigts sur son sexe :
- elle est toute mouillée ! Elle crie mais elle adore ça! la bête !
Privé d'oxygène le sexe de la jeune fille s'est gonflé bien malgré elle.
- non non, stop arrêtez!
Quand le gode touche le clitoris, Mia se tend. Penelope cherche à ouvrir le vagin. En même temps son autre main la caresse entre les cuisses et tire sur les petites lèvres pour l'écarter. Sa langue est toujours sur l'anus. Bien excitée, elle veut maintenant la pénétrer. Elle appuie le bout rond du gode sur le sexe de Mia qui comprend que l'inéluctable arrive maintenant. Pendant ce temps, l'officier lui caresse la bouche et la langue de ses longs doigts manucurés.
- non, non s'il vous plait pas ça !! Essaie-t-elle malgré tout.
- je crois que nous avons affaire à une petite vierge ! observe Penelope.
- uhm, apprend lui ce qui est bon ! ordonne l'officier.
Mia cherche à lutter une dernière fois en vain. Au moment où elle comprend qu'elle est obligée de se résigner elle sent le bout rond glisser sur sa vulve, puis inéluctablement s'enfoncer en elle mais rapidement elle sent son corps coincer l'objet. Experte, Penelope pousse un peu plus fort sur l'hymen qui se déchire et laisse l'instrument glisser en elle. Elle hurle. Elle a l'impression qu'on la déchire, qu'on lui ouvre le ventre. Mais l'instrument continue de la pénétrer plus profond. Au bout d'un temps qui lui semble interminable le gode butte sur col de l'utérus lui arrachant un cri inhumain :
- ARhhhhhhhhhhh! Arhhhhhhhh!
Mais les miliciennes sont impitoyables. Penelope fait maintenant des va et viens dans sa chatte meurtrie.
- tu aimes ça n'est-ce-pas petite salope !
Mia essaie maintenant de ne pas trop bouger pour éviter de souffrir davantage. Mais les femmes font comme si Mia prenait du plaisir. Mia est contrainte de subir son viol, mais les femmes ont d'autres ressources pour l'humilier davantage :
- Elle va bientôt jouir !
- Regarde comme elle aime ça ! Elle est détrempée !
- ARhhhhhhhhhhh! Arhhhhhhhh! j'ai trop mal
L'officier caresse toujours le visage larmoyant de la jeune fille, ses lèvres, sa langue. Elle attrape l'autre gode à deux bouts.
- suce !
Elle lui glisse dans la bouche.
Mia veut serrer les dents, mais le gode a déjà atteint sa gorge.
- mmhhhmmmmmmmmmmmm !
Ses yeux sont exorbités par la peur. "Je vais étouffer avec ce truc dans la bouche", appréhende-t-elle.
Comme pour lui donner raison, l'officier lui soulève le menton et dans un geste précis et impitoyable pénètre l'instrument dans la gorge de la jeune fille. Il provoque des spasmes incontrôlés mais l'officier très experte sait qu'il faut relâcher la pression pendant le spasme et l'accentuer pendant le reflux pour pratiquer un bon deepthroat. C'est ainsi qu'en quelques mouvements, le gode lui a enculé la gorge sur 30 cm, lui redressant le cou dans une position inhumaine. Mia ne respire quasiment plus et ne prend que quelques inspirations insuffisantes par le nez.
L'officier admire le visage complètement déformé par l'instrument qui l'empale. Ce qui l'excite le plus est ce petit détail : la langue de la jeune fille est coincée entre le gode et sa lèvre inférieure, embrassant l'instrument comme si elle lui faisait une fellation.
Quand le visage de Mia est cramoisie, elle retire le gode. Mia inspire un râle rauque pour tirer tout l'air de la pièce. Elle tousse, elle inspire tout l'air qu'elle peut. Au bout de quelques minutes elle peut à nouveau geindre. Mais l'officier ne lui laisse pas de répit, elle glisse l'instrument en une seule fois jusqu'au fond de sa gorge. Voyant l'objet arriver, Mia pousse un hurlement très vite éteint par la pénétration de l'instrument.
- Arrhh...ssssssss...sssssssss..... . . . . . . . .
Pénélope observe complètement excitée la jeune fille empalée par les deux extrémités.
- sergent, ce n'est fini ! lui fait signe l'officier en désignant le cul de Mia.
Ravie, Penelope s'empare du plug anal. Maintenant elle est trop excitée pour travailler avec soin. Elle approche la forme près de l'anus déjà humecté par sa salive et, sans détour, elle pousse dessus sans merci pour pénétrer la jeune fille. De toute façon elle sait que moins le cul est préparé et plus le supplice est efficace. L'officier regarde l'instrument qui semble démesuré à côté du petit cul qu'il a la prétention de pénétrer. Mais Penelope n'a plus de retenue. Elle pousse aussi fort qu'elle peut. Son seul souci est désormais de réaliser sa tâche le plus rapidement possible. Les cris inhumains de la jeune fille ne font que décupler son plaisir sadique et lui prouver qu'elle est dans la bonne voie.
L'officier regarde sa collaboratrice, elle est si magnifique, si délicieuse quand elle excitée. Ses cheveux se sont décoiffés, ses yeux transpirent la jouissance, sa peau lui donne envie de la prendre et de la baiser sur le champ. C'est ce qu'elle fera dès que le travail sera fini se raisonne-t-elle.
Elle s'avance sur le bord du siège pour allonger son dos sur le dossier et redresse son sexe juste sous le visage de Mia. Elle retire le gode de la bouche de la jeune fille et se le pénètre dans la chatte complètement offerte. Elle fait quelques aller-retours fébriles et tire le visage de Mia sur l'autre extrémité du gode :
- suce moi la bite ordonne l'officier en tirant Mia par le collier et en l'empalant à nouveau sur le gode
L'instrument pénètre profond dans sa gorge si bien que la bouche de la jeune fille coulisse sur le gode jusqu'à la vulve de l'officier.
Elle ne se retient plus de geindre de plaisir. Penelope veut accompagner la jouissance de sa maitresse. Son excitation décuple sa force. Elle appuie sur le plug. Les fesses de la jeune fille se serrent. Les sphincters se ferment complètement. "Elle est complètement vierge" se dit Penelope, "elle ne s'est même jamais mis un doigt dans les fesses". Elle pousse encore, sans merci. Un hurlement strident lui apprend que l'anus est en train de céder. Il est tellement tendu que la chair est blanche et veinée de sillons cramoisis. "Elle est si étroite" se dit-elle attendrie.
Mia hurle la bouche empalée. Elle se cambre de douleur. Le plug entre en elle, et glisse dans ses entrailles jusqu’au sillon où l'anus se coince, empêchant le gode de ressortir. La douleur est insupportable. La jeune fille se cabre dans un geste désespéré. L'officier geint de plaisir. En se caressant fébrilement sur le visage de Mia, le Gode va et vient en elle. Elle glousse de plaisir, ses mouvements deviennent plus intenses, quand son clitoris touche la bouche de Mia elle jouit au rythme de quelques ultimes caresses sur la bouche de la jeune fille.
Penelope surveille l'anus excessivement tendu avoir des tremblements nerveux. "Ça va craquer" se dit-elle. Les fesses de Mia tremblent, puis c'est tout son corps qui est pris de soubresauts. Les femmes décident de l'abandonner.
- Au fait, la clé on l'a trouvé tout à l'heure cachée dans le bus. C'était malin !
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