Dimanche 24 juillet 7 24 /07 /Juil 14:22

- Aah... mmm... oui... hmmm

J'étais seule, cul en l'air, les bras dans le dos, menottée, à moitié écrasée sur une table branlante, un gode vibrant dans ma moule, et je n'éprouvais aucune honte, ne cherchant qu'à intensifier le plaisir qui montait de mes reins, serrant et desserrant les jambes en rythme. Je parvins à glisser le doigt d'une main menottée juste sur mon petit trou souple, et l'y fis pénétrer, décuplant les sensations déjà fortes. Un filet de bave coula de mes lèvres souriantes.

- Eh, les tourtereaux, vous venez manger ?

Dehors, Vincent avait la voix amusée.

- Vous terminerez de dévorer les seins de Sarah après le repas, Jean, vous verrez qu'elle est bien plus cochonne avec un coup dans le nez !

Le plaisir montait, j'étais au seuil de la jouissance, puissante, douloureuse. Je gémis, priant pour qu'elle explose au plus vite, mais elle se dérobait. Si seulement j'avais pu me masturber, je serais venue très vite ! Je me redressai, serrant les genoux sur la table branlante, ce qui déclencha des vagues de spasmes hurleurs dans mon ventre.  Mains dans le dos cherchant toujours à explorer ma raie le plus loin possible, j'écartai les jambes et m'empalai sur le godemichet enragé tâchant de guider sa course vers le paradis,

- Aah ! Aah ! Mmm ! Oui !

- Je vais chercher le pain, je reviens.

Sarah entra dans le mobil-home, nue, magnifique. Elle sourit en me voyant me tortiller sur le gode, seins étouffés sous le haut de soie et visage tourné vers le ciel.

- Vincent t'a prêté mes jouets préférés, à ce que je vois... Il est très coquin, parfois...

Je la suppliai:

- Sarah ! Aah ! Aide-moi ! Mmm ! Aah ! Aide-moi à jouir ! Branle-moi !

Elle s'approcha, caressa mes nichons dardant sous la soie et plongea la main vers ma chatte, où elle actionna quelque chose sur le godemichet, qui se mit à vibrer deux fois plus vite. Je me noyais dans une agonie de plaisir.

- Tu verras, me chuchota Sarah, c'est meilleur quand ça vient très lentement... Baisse-toi.

Reconnaissante, j'obéis, me recouchant à moitié sur la table, croupe en l'air. Elle fouilla dans la boîte un instant et me montra un godemichet plus fin, en métal doré. Elle m'embrassa l'oreille en chuchotant:

- Tu le veux, celui-là aussi ? Tu veux jouir vraiment ?

- Aah ! Oui ! Je t'en prie !

Elle caressa mes épaules, mon dos, flatta ma croupe, je gémis plus fort encore, puis elle écarta mes fesses et planta le gode doré dans mon anus, l'y enfonçant d'un coup. J'ouvris grand les yeux en hurlant. La main apaisante de Sarah vint caresser mes seins.

- Désolée si je t'ai fait un peu mal, ça va passer - je te parle en toute connaissance de cause, ma chérie, tu verras...

Elle actionna le gode doré, qui vibra de concert avec celui planté dans mon vagin. La douleur se transforma en plaisir, qui irradia dans mes reins, je haletai en couinant d'une voix aigüe:

- Oui ! Oui ! Ouiouiouiouioui !

Sarah me donna un dernier baiser, puis sortit, le pain à la main, me laissant lutter dans la tornade de sensations violentes qui m'assaillait.

Je ne pouvais plus bouger, affalée sur la table, prisonnière des deux godes et des menottes, perdue dans un ouragan de plaisir diabolique, qui crissait sur mon système nerveux, incapable de mener la jouissance à son terme, je restais là, pleurant d'un plaisir douloureux, suppliante, implorante. Je ne sais combien de temps s'écoula avant que j'entende Vincent revenir, manifestement ravi du spectacle que je lui offrais.

- Tu es en avance sur le programme, ma belle... Viens là !

Il attrapa ma tête à deux mains et glissa sa bite dans ma bouche. Je le suçai en soufflant comme une furie, désespérée de ne pas trouver le chemin de l'orgasme qui n'en finissait pas de se refuser à moi. Je saisis le gode qui me sodomisait et essayai d'accentuer la jouissance qu'il me procurait.

Vincent se retira de mon étreinte buccale, vint se placer derrière moi et arrêta la vibration des deux godes. Je gémis:

- Nooon, s'il-vous-plaît, laissez-moi jouir !

- On y vient, on y vient...

Il sortit les deux objets de mes orifices, je frissonnai d'aise quand il plaça le plus gros des deux, le gode bite-de-Loïc, à l'entrée de ma rondelle, tout en la mouillant avec le jus de ma chatte. Je ne pouvais imaginer comment il comptait faire entrer un si gros objet par mon petit trou, mais, lorsqu'il se mit à me masturber, trois de ses doigts se démenant comme des diables sur mon clitoris, je me penchai davantage en couinant comme un hamster, priant silencieusement pour qu'il me le mette bien profond.

Il poussa sur le gode lentement. Mon anus embrassa le bâton de caoutchouc et lui céda le passage sans protester, je ne ressentis aucune douleur, juste un plaisir démultiplié, chaque centimètre parcouru m'électrisant les reins. Ses doigts tournaient toujours sur mon clitoris, et je sentis enfin que la délivrance arrivait, une vague lointaine qui viendrait déferler de la pointe de mes pieds jusqu'à la racine de mes cheveux.

- Ah ! Oui ! Plus loin !

Je poussai sur mon cul, et sentis bientôt les couilles du gode XL buter contre mon vagin. Vincent actionna le bouton magique et l'engin vibra dans mes boyaux, déclenchant un tremblement de nerfs dans tout mon être.

- Suce !

Je n'avais pas réalisé qu'il était passé à côté de moi. Je tournai la tête en pleurant de joie et, tandis qu'il me masturbait toujours et me pressait les seins avec force à travers le haut de soie blanche, je l'engloutis tout entier en soufflant par le nez. Il enfonça ses doigts dans mon vagin, accentuant la déferlante. Je jouis en hurlant contre la bite bloquée au fond de ma gorge, remuant le cul et la chatte pour guider les sensations qui s'entrechoquaient entre mon ventre et mes reins, et ne fus pas surprise lorsqu'il attrapa ma tête à deux mains et éjacula dans ma trachée, étouffant mes hurlements de bonheur.

Il sortit lentement sa pine de ma bouche, je laissai ma langue sortie en gémissant, accueillant les jets de sperme chaud avec une joie salace. Il se branla avec douceur, guidant la crème juteuse sur mes lèvres et mon nez, amenant sa queue jusque sur mon palais pour que je le pompe encore et encore.

- Relève-toi, vite.

Il m'aida à me mettre à genoux, je dus écarter les jambes pour que le gode ne me déchire pas le derrière, j'oscillais toujours entre plaisir et douleur. Il se souleva sur la pointe des pieds et frotta sa bite dans ma fente rasée, tout en fourrant son visage dans mes seins, qu'il renifla à travers le haut de soie blanche.

- Vincent est là ? demanda une voix d'homme au-dehors.

- Dans le mobil-home, oui, répondit Sarah, un sourire dans la voix.

L'homme entra, et s'immobilisa sur le seuil.

S'il était étonné, il ne le montrait pas. Vincent me mordilla les deux seins, avant de me laisser, et de venir lui serrer la main.

- Elle est à toi.

Je protestai.

- Quoi ? Non !

L'homme, plutôt bedonnant, me sourit, me retourna sur la table, me fit descendre, dos à lui, enleva le gode de mon cul, sans ménagement et y fourra sa pine déjà dure sans prononcer un mot. Il m'attira à lui par les menottes, et me malaxa les seins à travers la soie tout en me limant férocement, sous le regard appréciateur de Vincent.

- Arrêtez ! Aah !

Après le contact âpre et caoutchouteux du gode, la texture soyeuse du sexe qui allait et venait dans ma voie étroite avait quelque chose d'infiniment agréable, couplé aux caresses appuyées sur mes nichons. Je rejetai la tête en arrière en haletant, écartant le cul pour mieux ressentir le chibre qui l'explorait.

- Aah, oui...

Il lâcha mes seins et s'activa sur mon clitoris lové au creux de mes lèvres rasées. La sensation était orgasmique, je me mordis les lèvres en couinant de plaisir. J'essayai de tourner la tête pour embrasser l'inconnu, et vis qu'il regardait son sexe entrer et sortir de mon cul d'un air ravi. Il m'attrapa la tête à deux mains et fourra sa langue dans ma bouche en jouissant bruyamment. Je sentis son sperme chaud inonder mes intestins et serrai les fesses pour lui donner un maximum de plaisir tout en continuant à l'embrasser goulûment.

Il retira sa bite mollissante de mon cul et la glissa dans ma chatte, ses doigts chatouillant toujours mon petit bouton rose. Je sentis Vincent s'approcher de moi. Il m'ôta les menottes - mes bras et  mes épaules me faisaient mal - et passa la main sous la soie pour caresser encore mes seins. Je remuai le cul en rythme, j'espérai pouvoir déclencher un nouvel orgasme - l'idée de ces deux hommes qui s'occupaient de moi et y prenaient un plaisir certain me faisait partir à nouveau, je me concentrai sur le sexe qui se réveillait dans le mien, sur les deux doigts qui faisaient rouler délicieusement mon clito, et sur la main qui pinçait mes tétons sous la douce soie du haut trop étroit.

- ouiouiouiouioui !

Les mains sur mes seins se firent plus pressantes.

- Elle aime ça la cochonne...!

Je m'empalai sur la bite en souriant, au bord de la jouissance. Sylvie entra dans le mobil-home.

- Tu as fait connaissance avec mon mari, à ce que je vois...

J'écoutais à peine, donnant des coups de reins de plus en plus marqués, m'abandonnant à la levrette et aux mains sur mon corps.

Sylvie vint me caresser le visage et les cheveux, je mordillai ses doigts en gémissant, accélérant encore mes ondulations. Sa bouche rencontra la mienne, une onde de jouissance me traversa le corps de la croupe aux lèvres, je criai de plaisir dans le baiser saphique de la jolie brune.

Son mari ne mit pas longtemps à venir, il éjecta son sexe de mon vagin sensible et Sylvie branla sa semence sur ma croupe rebondie - j'accompagnai l'éjaculation avec douceur, me frottant à la bite écarlate, qui déversait des larmes de sperme blanchâtre et épais sur le haut de mon cul.

Sylvie me serra dans ses bras, je l'embrassai encore, avant de prendre Vincent par la main et d'échanger un nouveau baiser avec lui.

- Merci, dis-je sincèrement. C'était une expérience... intéressante...

Il me bécota dans le cou et exposa mes seins en tirant le haut de soie. Il les téta un moment avant de dire:

- Deux beaux gros seins, un cul à faire se venir dessus un moine tibétain, une chatte toujours bien mouillée  prête à engloutir une bonne pine, une vraie petite bouche de pute, tu me fais penser à Sarah il y a 30 ans... Si tu veux passer tes vacances dans notre mobil-home, tu es la bienvenue.

Je lui caressai la joue en souriant.

- Nous verrons...

Je ramassai les deux godes et les menottes, puis enlevai le haut de soie à regrets. Je les lui tendis.

- Garde-les précieusement, j'aurai peut-être encore des occasions de les utiliser...

Il me fit un clin d'œil. Je pris Sylvie par la main et sortis du mobil-home, sans faire attention au sperme qui coulait de mon cul. J'étais la gentille pupute du camping, comme disait mon mari, tout le monde le savait, un peu de sperme en plus ou en moins sur mon corps nu ne ferait pas une grande différence.

Je remarquai à peine Jean qui se faisait sucer intégralement par Sarah pendant qu'un autre type - le voisin ?- la baisait par derrière. Je croisai les doigts dans ceux de Sylvie et dit:

- je meurs de faim !

Je me servis un morceau de viande grillée et le dégustai en regardant mon amie se faire baiser. Même prise par deux hommes, et avec une pine dans la bouche, elle gardait sa grâce naturelle, une princesse aux courbes parfaites accordant ses faveurs à deux serviteurs indignes de ses charmes si sensuels. Les deux garçons le sentaient, manifestement, et essayaient donc de se surpasser, tant en douceur qu'en qualité, pénétrant ses orifices avec attention, caressant son dos, ses seins ou sa croupe, tâchant de donner plus de plaisir qu'ils n'en ressentaient eux-mêmes. Je me promis de travailler cette attitude lors de mes prochains ébats, presque surprise de les attendre avec impatience...

 

Il était presque 14h30 et Véronique ne se montrait toujours pas. J'avais déjeuné rapidement, la compagnie de Vincent, de Sylvie et Rémi, son mari, et de Sarah s'était avérée très sympathique. Nous avions parlé des pratiques sexuelles préférées des deux filles, et, en dehors du fait que je n'avais jamais expérimenté la moitié d'entre elles (comme de se mettre nue à la vitre d'une voiture et de laisser les hommes qui le voulaient se masturber et étaler leur semence sur les carreaux, et parfois ouvrir la vitre et sucer tous ceux qui se présentent...!), j'avais promis de m'initier avec elles et de partager leurs pratiques favorites. Jean n'avait pas protesté, il avait passé le gros du repas à malaxer la poitrine opulente et parfaite de Sarah, et semblait maintenant impatient de me voir retourner chez elle. Il était d'ailleurs resté 'pour la sieste' ce qui m'arrangeait bien pour la suite de mon après-midi.

J'étais revenue à la tente, espérant déjà y trouver Véronique, ma blondinette. Mon cœur se mit à battre plus fort. Et si Laëtitia n'allait pas en courses ? Je respirai plus difficilement. Et si Véronique avait réfléchi et réalisé que son petit ami avait mieux à lui proposer que moi ? Je voulais explorer le sentiment que j'avais ressenti en l'embrassant, en plongeant ma langue entre ses lèvres au goût de pêche, en écrasant son clitoris sur mes papilles émoustillées... Je déglutis, ravie et effrayée par l'excitation qui me fit tourner la tête à ces pensées coupables.

- Coralie.

Le chuchotement venait des thuyas. La voix de Véronique.

- Viens, je suis seule !

Elle apparut. Elle était vraiment magnifique, dans son petit bikini vert amande, ses deux seins pointant à travers l’étoffe, ses longs cheveux blonds tombant en cascade sur ses épaules, sa bouche rose tendre, sa taille mannequin… des papillons se mirent à voler dans mon ventre, mon cœur battit la chamade… je marchai vers elle comme sur un nuage. Nos nez frottèrent l’un contre l’autre. Je me noyai dans ses yeux bleus. Elle m’embrassa, troublée. Pris un de mes nichons dans sa main aux doigts fins. Le baiser se prolongea, infini, je fermai les yeux et me laissai porter par les sensations très exotiques que je ressentais.

Je la respirai dans le cou, elle eut un petit rire coquin en mordillant une de mes oreilles.

- On va à la plage ? demandai-je.

- Je te suis, juste une seconde.

Elle s’écarta, et ôta son haut de maillot, puis tira sur la cordelette de son string, qui tomba à ses pieds. Sa nudité angélique m’émoustilla. Je la regardai sans comprendre.

- Et voilà, dit-elle. Je suis aussi une miss camping maintenant… tu viens ?

 

Nous sortîmes de mon emplacement et prîmes le chemin de la plage, nues sous le soleil.

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : L'asservissement de Miss Camping, par Alexis - Communauté : Soumissions féminines
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Dimanche 24 juillet 7 24 /07 /Juil 14:20

- Viens manger avec nous !

Sarah se faisait insistante. Nous étions allongées, nues, avec Sylvie, à côté de Jean. J'avais la tête lovée sur son pectoral gauche, je sentais sa poitrine se lever et s'abaisser au rythme de sa respiration. Mes doigts étaient croisés dans ceux de Sylvie, sur sa bite au repos. Loïc avait dû partir, me promettant de repasser dans la soirée pour me montrer ce qu'il aurait filmé de la séance de massage avec Laëtitia. Sarah voulait absolument m'inviter à déjeuner.

- Tu verras, mon mari est charmant. Viens avec ton Jean !

J'hésitai. Je me sentais vidée, mais un peu mieux qu'après mon viol matinal. Je savais que si j'acceptais, Sarah voudrait "m'offrir" à son mari, selon ses propres termes, et, si elle avait profité du mien par deux fois déjà, je n'étais pas sûre de vouloir ajouter une nouvelle pine à mon tableau de chasse - ou plutôt à mon tableau de chatte - de la journée.

En même temps, Sarah était si adorable... Je me retournai, la pris dans mes bras et l'embrassai sur les lèvres, un baiser sincère et tendre. Nos seins se touchaient délicatement, nos langues de trouvèrent, et je m'abandonnai aux caresses de ses doigts sur mes fesses.

Elle relâcha son étreinte et me dit:

- Dois-je prendre ça pour un oui ?

Je hochai la tête timidement, cherchant à nouveau ses lèvres. Elle me mordilla la langue. Ses doigts glissèrent vers mon entrejambe moite. Elle fourra son pouce dans mon vagin entrouvert, je fermai les yeux, profitant de la douce volupté qui m'envahissait.

- Tu vas te montrer gentille avec mon mari, n'est-ce pas ?

Je n'ouvris pas les yeux, je me concentrai sur les sensations que me procuraient son doigt en moi et ses gros seins contre les miens. Je la serrai plus fort et lui mordillai le nez, les joues, le menton, en ondulant mes hanches doucement pour mieux me planter sur son pouce dressé. Je sentis Jean se tourner vers moi, peut-être pour reluquer le divin échange, peut-être pour mieux entendre ma réponse. Sarah insista encore.

- Dois-je aussi prendre ça pour un oui ?

Je souris et hochai à nouveau la tête discrètement. Jean soupira. Sarah voulait m'entendre dire clairement que j'avais bien compris le sous-entendu.

- Tu seras gentille-gentille ?

La pensée que Jean pouvait encore éprouver de la jalousie me fit chaud au cœur. Je décidai de contenter la belle princesse.

- Si ton mari me trouve à son goût, il pourra m'avoir toute à lui, promis. Je le laisserai même me prendre devant toi, si tu veux. J'écarterai les jambes comme jamais je ne les ai écartées pour te faire plaisir.

- Tu sais que je t'adore, toi ?

Le pouce de Sarah accéléra sa course folle dans ma chatte, et c'est elle qui m'embrassa avec fougue, cette fois. Je sentis que Jean se détournait de moi et j'entendis bientôt les gémissements satisfaits de Sylvie tandis qu'il la suçait ardemment.

 ***

- Viens, ils vont nous attendre !

Jean traînait des pieds. Il était bientôt 12h00 et je ne voulais pas arriver tard - j'avais rendez-vous avec la petite Véro en début d'après-midi, et, si je devais manger et baiser avec le mari de Sarah, il ne fallait pas que j'arrive trop tard. Mais Jean ne semblait pas très chaud pour me donner à un inconnu.

- Pourquoi n'y vas-tu pas toute seule ? Tu n'as pas besoin de moi pour faire la gentille pupute avec ce connard.

Je ne relevai pas l'insulte.

- Tu as baisé sa femme, à ce Monsieur, ne l'oublie pas... si j'y vais seule, je risque de me faire sauter sur le chemin, tout le camping a l'air de vouloir me passer dessus, je te le rappelle. Et si tu as besoin qu'on te rafraîchisse la mémoire, c'est toi qui insistais pour que je fasse la pupute sur le podium, lors de ce concours imbécile. 'Vas-y à fond, Coralie, tu peux faire mieux, montre tes seins Coralie, allume-les tous, montre ton cul, Coralie, promets-leur de te ballader nue, suce-les sur la scène s'il le faut, je n'ai pas d'argent pour payer le camping, ne fais pas ta timide, ouvre bien la chatte...' ça te rappelle quelque chose ? Oh, et l'animateur m'a sautée ce matin, au fait, il a dit qu'il rêve de moi depuis le concours. Il a une toute petite bite, tu le croirais pas.

Je souris. Jean parut choqué, mais il me suivit. Je pris sa main dans la mienne, et nous nous dirigeâmes vers le mobil-home de Sarah, nus sous le soleil. Plusieurs ados me reluquèrent sur le chemin, deux voitures nous klaxonnèrent, mais personne ne nous aborda.

Sarah était en maillot devant un barbecue qui sentait bon la viande grillée. Elle eut un sourire radieux en nous voyant, et appela son mari dans le mobil-home.

- Vincent ! Coralie est là !

Le mari de Sarah sortit et mon cœur manqua un battement. C'était mon violeur scatologique. Je me mis à trembler involontairement. La tête me tournait. Je voulais m'enfuir. Ce n'était pas possible !

Il serra la main de Jean.

-  Vincent, enchanté.

Il se tourna vers moi avec un sourire neutre.

- Vous savez, Coralie, j'avais hâte de vous rencontrer enfin, Sarah me dit beaucoup de bien de vous !

J'avais envie de hurler. Il faisait comme s'il ne me connaissait pas, comme s'il ne m'avait pas forcée à le sucer sous la menace pendant que je déféquais, comme s'il ne m'avait pas sodomisée en groupe, comme s'il ne m'avait pas imposé une double-pénétration, le salaud ! J'étais paralysée, je ne pouvais tout de même pas dire à mon amie que son mari était un salopard, mais en même temps, je ne pouvais pas faire comme si de rien n'était !

- Coralie ? ajouta Vincent. Tout va bien ?

Sarah me regarda d'un air curieux. Jean fronça les sourcils.

- Non... Je... veux dire... oui, j'ai... juste... un peu chaud, c'est ça, il fait une de ces chaleurs...

Les yeux de Vincent brillèrent de plaisir.

- J'ai un excellent remède pour les jeunes femmes qui se sentent chaudes !

- Ah ? dis-je d'une voix faible, tremblant devant le sous-entendu grossier.

Il me fourra un verre empli de glaçon dans les mains.

- Un petit apéritif de ma composition, délicieux, vous verrez...

Je bus à petites gorgées. J'étais désespérée. J'avais promis à Sarah de me montrer gentille avec lui, je ne pouvais plus reculer. Je me sentais prise au piège.

- Coralie, tu veux bien aider Vincent à mettre la table pendant que je te prends ton Jean qui va couper la viande pour moi ?

Je tressaillis. Je ne voulais surtout pas me retrouver seule dans le mobil-home avec ce violeur ! Il me prit par la main et m'attira à lui, passant négligemment un bras autour de mes épaules, laissant sa main retomber sur la naissance de mes seins.

- Venez, c'est par là !

Sarah me fit un clin d'œil. Je ne pouvais pas me défiler.

A peine entré dans le mobil-home, il me prit par les fesses et me força à l'embrasser, en frottant son caleçon sur ma chatte rasée. Je le repoussai de toutes mes forces et dis entre mes dents:

- Ne me touchez pas !

Il prit une grande cuillère en bois sur la table et m'en donna un coup sur le haut des fesses. Je sursautai de douleur, mais ne criai pas.

- Arrête de faire ta vierge effarouchée. Monte sur la table à quatre pattes, on va faire un petit jeu. Vite !

- Il n'en est pas question ! sifflai-je rageusement. Vous m'avez assez maltraitée ce matin ! Je n'ai encore rien dit à votre femme, mais...

Il rit.

- Qui te dit qu'elle ne le sait pas déjà ? Allez, monte, et tends-moi ton petit trou.

Je reculai d'un pas, respirant difficilement. Sarah ne pouvait pas savoir, elle pensait que je ne connaissais pas son mari !

- Non !

Il avança sa main et saisit un de mes seins par le téton.

- Très bien, disons donc à Jean que je t'ai vu chier parterre et baisée dans ta merde ! (il se pencha à la fenêtre) Sarah, Jean, venez voir !

Je ne pouvais pas le laisser tout raconter à Jean ! L'humiliation serait trop grande !

- Non, s'il vous plaît, ne dites rien !

Au dehors Sarah répondit:

- Une minute, j'arrive !

Il me regarda d'un air narquois.

- À quatre pattes sur la table.

J'obéis. La table n'était pas très grande, je dûs me cambrer pour y tenir sans me casser la figure. Ma croupe se trouva face à lui, j'étais à sa merci.

Il se pencha à nouveau à la fenêtre:

- Je n'ai plus besoin de vous, j'ai ce que je cherchai. On vient dresser la table dans une minute.

Il humecta ses doigts dans ma chatte ouverte et fourra sa langue dans mon anus.

Sarah répondit de loin:

- Ok, ne traîne pas trop, c'est presque cuit.

Il me caressa le bas du dos, la croupe, le haut des cuisses. Puis il fit couler un filet d'huile le long de ma raie et y fit courir un  doigt  en tournant délicatement sur ma pastille tendre. Le doigt trouva son chemin sans difficulté, pénétrant le trou douillet sans souci, et, couplé avec le pouce tendu entre mes petites lèvres qui malaxait mon clitoris, il provoqua une sensation que j'eus honte de trouver plus qu'agréable.

- Je t'explique les règles du jeu.

- Mmm, oui... s'il-vous-plaît, non, arrêtez...

Ses doigts se firent plus brutaux, son pouce pénétra mon vagin, le plaisir s'intensifia.

- Mmm... non... s'il-vous-plaît...

- Tu vas rester sagement sur cette table pendant tout notre repas. Je viendrai te voir régulièrement, et, si tu es bien sage, je te donnerai du plaisir. Sinon...

Il se pencha sur ma croupe et me mordit la fesse jusqu'au sang, en me pressant un sein avec sa seconde main. J'eus envie de hurler, mais seul un gémissement plaintif sortit de ma gorge, je ne pouvais pas risquer que Jean apprenne ce que j'avais accepté de subir le matin - accepté jusqu'à un certain point... mais accepté tout de même.

- C'est bien. Je ne sais pas si j'ai eu l'occasion de te dire que j'adore tes gros nichons... J'ai un traitement spécial pour eux. Reste comme ça, je reviens.

Je tremblais, à quatre pattes sur la table, cul relevé en arrière, seins pendouillant, jambes légèrement écartées. Vincent pris des assiettes et des couverts et descendit mettre la table. Je pensais qu'il n'allait rien dire à Jean et Sarah. Je me trompais.

- Coralie n'a pas voulu attendre la fin du repas pour se montrer gentille avec moi, je m'amuse un peu avec elle, ça ne vous embête pas trop, Jean ?

J'entendis mon mari émettre un grognement incertain. Vincent parut ravi.

- Je vois que vous profitez des charmes de mon épouse, c'est donc parfait ! Sarah, puisque tu es déjà à moitié nue sur lui, autant enlever ton string aussi... Tu sais combien le voisin aime te mater !

Sarah gloussa. Je fermai les yeux, mes genoux commençaient à me faire mal. Vincent remonta, passa devant moi sans me toucher, alla dans la petite chambre et revint une minute plus tard. Il posa une boîte au pied de la table et en tira une étoffe soyeuse.

- Enfile ça.

Il me passa un petit haut en soie blanche, qui me parut très petit.

- Je... Je n'ai pas le droit de porter de vêtements. C'est le règlement de miss camping...

- Allons, ne sois pas ridicule, tu dois te balader cul nul dans le camping, mais à l'intérieur, tu fais ce que tu veux. Enfile ce haut, grouille !

Je m'exécutai. Le haut était bien trop petit, ma poitrine étirait le tissu d'une façon telle que j'avais du mal à respirer. Le frottement de la soie sur mes seins était terriblement sensuel, érotique, mes tétons durcirent au contact frais, et je me surpris à attendre la suite avec, sinon délice, du moins curiosité. Vincent sembla lire dans mes pensées, il abaissa son caleçon, plaça sa bite sous ma main, sur la table, et caressa mes nichons enveloppés de soie tout en m'embrassant avec une certaine tendresse. L'étreinte fit grimper le plaisir d'un degré. Je branlai le sexe en le malaxant sur la table, encouragée par les coups de langue plus prononcés de mon violeur délicat. Je ne voulais plus que ce baiser cesse. J'entendais Sarah gémir à l'extérieur, j'essayai d'accrocher mes sensations à l'unisson des siennes.

Nos lèvres se séparèrent.

- De beaux gros seins, ouais.

Je souris en gonflant ma poitrine, clairement provocante, cherchant à nouveau sa bouche, trouvant ses joues rasées de frais.

- Tu vois que tu es une gourmande... Vite effarouchée, vite chaude ! J'ai quelque chose pour toi, ma belle, tu veux voir ?

Je tortillai le cul et projetait mes nichons en avant, et hochai la tête d'un air faussement timide.

 Il fouilla une seconde dans la boîte, en tira un objet long couleur chair. Un godemichet. Énorme. Long. Large. Veiné. Avec une paire de couilles moulées tout au bout. La bite de Loïc en latex.

- Ecarte les jambes.

Je ne protestai pas. Le haut soyeux m'avait comblée, le baiser aussi, je décidai de lui faire confiance. Gardant mes genoux pliés, je posai ma tête et mes seins sur la table, et cambrai mes hanches au maximum pour accueillir le gode géant. Il sembla apprécier la soumission.

- Je vois que tu commences à comprendre, Coralie.

Je remuai le cul, anticipant la pénétration. Il sourit, vint derrière moi, et me suça complètement, du clito à l'anus, introduisant longuement sa langue épaisse et humide dans mes deux orifices. Quand il me suçait l'intérieur de la chatte, le bout de son nez titillait mon petit trou d'une manière divine. Je me donnai un peu plus, desserrant les fesses autant que je le pouvais en m'aidant de mes mains. Je haletai des encouragements sincères.

- Oui... oui, comme ça, encore, mmmm, oui... encore...

Il me dégusta comme une grosse glace, j'étais parcourue de frissons incontrôlables, cul en l'air, genoux en feu, tête et seins écrasés inconfortablement contre la table.

Il s'affaira plus précisément sur mon anus offert, et pressa le godemichet taille XL dans ma chatte, sans prévenir. L'engin me déchira les lèvres, déclenchant des éclairs dans mon clitoris tendu.

- Aïe ! Aah ! Oui ! Aah !

Plaisir et douleur s'entremêlèrent. Il se releva, et remua le gros gode dans ma chatte, tirant un nouvel objet de la boîte.

- Mets les mains dans le dos.

- Aah oui tout ce que vous voulez !

Il me passa un bracelet autour d'un poignet, puis un autre autour du deuxième. Des menottes ! La position était terriblement inconfortable, je tentai de me relever mais il m'appuya sur les épaules pour m'en empêcher.

- Ne bouge pas.

Il actionna quelque chose sur le godemichet, qui se mit à vibrer dans mon vagin. Je serrai les jambes incapable de me contrôler.

-Aaah oui ! Aaah !

Il vint placer sa bite à hauteur de ma bouche, je la happai sans me poser de question, toute au mélange de sensations qui s'entrechoquaient dans mon corps, douleur dans mes genoux, sur mes épaules tirées par mes bras prisonniers des menottes, dans mon cou, sensualité de la soie sur mes tétons dressés et dans mon dos, et plaisir intense dans le ventre, dans la chatte, dans la bouche. Je soufflai par le nez en couinant, je sentis la cyprine couler le long du gode endiablé.

- Oh, belle Coralie, suce-la bien, c'est ça...

Je redoublai les coups de menton, désireuse de l'avaler tout entier, pleinement consentante, cette fois. Sa bite était dure et gonflée sur ma langue, une sensation que je commençais à connaître mieux, et à apprécier énormément. Il se pencha vers mon cul, toucha le gode une seconde et le rythme s'accéléra encore dans mon vagin. Je crachai la pine écarlate en criant:

- Aah oui !!!

Il remonta son caleçon et sortit du mobil-home en disant:

 

- Chauffe-toi bien, je reviens bientôt.

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : L'asservissement de Miss Camping, par Alexis - Communauté : Soumissions féminines
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Dimanche 24 juillet 7 24 /07 /Juil 14:18

J’étais assise sur les toilettes.

La tête dans les mains.

Je m’étais réfugiée là après m’être nettoyée, porte fermée, respirant à peine, espérant échapper pour un temps aux mains et aux sexes qui se faufilaient en moi dès que je montrais un téton ou la rondeur de ma croupe. Sarah et Sylvie attendaient dehors, que je me remette. Nous avions expérimenté des baisers et des doigtés intéressants pendant la douche, j’avais appris qu’une langue de femme pouvait procurer autant de plaisir que celle d’un homme… et que deux langues… mmm…

Mais là, j’avais besoin d’être seule.

Il fallait que je me ressaisisse. Que je sorte de cette situation.

J’étais tellement sûre, la veille, que je pourrais tout maîtriser, prendre du plaisir dans ce qui n’était qu’une parenthèse dans ma vie. Mais j’avais toujours le problème de Laëtitia, qui ne manquait pas de m’humilier chaque fois que l’occasion se présentait. De ce point de vue-là, le séjour me paraîtrait certainement très long. Du moins tant que je n’aurai pas le film de Loïc.

J’avais aussi le problème des adolescents en pleine puberté pour qui j’étais une aubaine, un terroir de découverte sexuelle, ouverte à toutes les bites, baisable par tous les orifices, toujours mouillée, toujours disponible, toujours consentante. Et souvent excitée, je devais bien l’admettre. Je ne voyais pas comment les éviter, sinon en m’enfuyant définitivement du camping, à poil s’il le fallait, pour…

Pourquoi ? Pour quel avenir ? Ma chef avait un film sur moi, qu’elle montrerait à mon patron si je ne la satisfaisais pas. Tant que je n’avais pas ce film, j’étais coincée ici.

Et j’avais aussi le problème de mon violeur, celui qui aimait la pisse et la merde, et qui m’avait sodomisée si brutalement. Lui non plus ne me lâcherait pas. Je ne pouvais pas commander les moments où j’avais envie d’aller au petit coin…

Je pouvais porter plainte, évidemment.

J’enfouis ma tête entre mes mains. Impossible. Quel juge me donnerait raison, je me baladais à poil dans le camping, je me rasais la minette, je me laissais tripoter et baiser par tout le monde, même par des femmes, même en public… Le juge me ferait venir à la barre et me condamnerait à rester Miss Camping à perpétuité… s’il ne décidait pas de me condamner à me taper toute la cour pour diffamation, et à me faire emprisonner dans une prison d’hommes en laissant ma cellule ouverte pour qu’on puisse me baiser à toute heure…

Non, surtout pas de plainte.

Plus que trois petites semaines, et le calvaire serait terminé.

En attendant, je trouverais bien du réconfort quelque part… En m’abandonnant aux désirs de Loïc. En me laissant aller avec Sarah et Sylvie. En explorant plus avant les sentiments que je commençais à éprouver pour la petite Véronique, la fille de Laëtitia, ma petite vengeance, ma belle blondinette… Et qui sait, peut-être que me taper les vingt petits copains de Loïc me serait agréable… Les jets de sperme n’étaient pas si mauvais que ça, et déclenchaient au moins des vagues de plaisir en moi…

Et Jean, dans tout ça ?

Nous nous étions mariés trop vite, je m’en rendais compte maintenant. Une prise de conscience cruelle. Question baise, il n’arrivait pas à la cheville du fils de Laëtitia, Axel, avec sa bite pourtant fine, et encore moins à celle de Loïc, et sa queue de trente-cinq centimètres… Je me demandais ce qui allait advenir de notre couple après ce séjour. J’imaginais bien Laëtitia m’obliger à faire le trottoir pour elle… Est-ce que Jean me protégerait ?

Je fermai les yeux et essayai de me raisonner. Non, trois semaines s’écouleraient, je changerais de boulot, on déménagerait, et basta, on n’en parlerait plus. Je respirai un grand coup. Je ne pouvais pas rester planquée dans les toilettes indéfiniment. De toute façon, le risque que je croise un mâle en manque était moindre, avec le nombre de types que j'avais essorés un peu plus tôt. Je poussai le loquet des cabinets le plus silencieusement possible et entrouvris la porte, jetant un œil prudent à l'extérieur.

Personne en vue.

Je quittai les sanitaires sur la pointe des pieds, consciente de ma nudité, et fus à moitié surprise et soulagée de voir que Sylvie et Sarah m'attendaient encore. Sarah m'attrapa par le coude et Sylvie me prit une main, croisant ses doigts dans les miens. Les tétons bruns de ses seins étaient visibles par transparence à travers son bikini blanc. Nous marchâmes ainsi vers mon emplacement de camping.

- On se demandait ce que tu faisais là-dedans, si tu n'étais pas encore en train de te taper un mec sans qu'on le sache !

Je secouai la tête, éblouie par le soleil. Avant que je puisse répondre, Sarah enchaîna d'une voix coquine:

- Mon mari adore que je le suce quand je suis sur les toilettes, si possible quand j'ai quelque chose de pressant à y faire...Si tu as envie d'expérimenter ça, il en sera ravi.

Je pensai au type qui m'avait sodomisée après m'avoir obligée à chier devant lui sous les lauriers et frissonnai de dégoût. Sarah interpréta mal ma répulsion.

- Oh, ne t'inquiète pas ma belle, je ne serai pas jalouse, nous sommes un couple très libre, je baise aussi d'autres hommes, parfois devant lui, parfois non. La plupart du temps je lui raconte mes petites aventures, et je sais qu'il te trouve à son goût... Je voudrais bien t'offrir à lui.

M’ « offrir » à son mari ? Je n’étais pas un sex-toy qu’on emballe pour « offir », bon sang ! J'allais répondre vertement, mais nous arrivions à destination, et les couinements d'une femme qui faisait l'amour nous parvinrent à travers les thuyas qui entouraient ma tente. Nous approchâmes en silence, et découvrîmes la raison de ces gémissements.

- Oh oui, baise bien Nadine, grosse queue, baise-moi bien profond !

Jean était allongé sur le matelas gonflable, devant la tente. La marchande de poisson le chevauchait, son vagin, qui ressemblait à deux escalopes à la crème collées sous un oursin grisâtre, englobant entièrement le sexe dressé de mon mari. Elle appuyait ses mains boudinées sur son torse, s'en servant d'appui pour remonter son cul graisseux et s'empaler à nouveau sur la pine.

- Plus fort, prends-moi les nichons, ta femme n'a pas des loches comme les miennes, régale-toi !

Jean, pâle comme la mort, obéit. Il se saisit des seins tombant en gouttes grasses sur les bourrelets d'un ventre énorme, et les malaxa avec dégoût.

Je sentis Sylvie se serrer derrière moi, ses petits seins nus contre mon dos. Elle m'embrassa dans le cou et sur les épaules, tandis que Sarah me tenait la main tendrement. Nous étions hors de vue de quiconque, j'étais au moins sûre que, cette fois, aucun ado ne glisserait sa bite en moi sans que je ne l'y invite. La marchande de poisson semblait en avoir particulièrement après Jean, je ne comprenais pas pourquoi. Elle dégagea le chibre de son vagin-escalope et ordonna:

- Reste allongé ! Tu vas sucer Nadine !

Elle se retourna, et vint coller sa chatte sur la bouche de mon mari. Elle s'allongea lourdement sur lui, et prit la pine gonflée dans sa bouche, incapable d'en avaler ne serait-ce que le gland.

La tête de Jean disparut entre les grosses cuisses qui l'entouraient, et, prenant des respirations de plus en plus difficiles, il fouilla les escalopes crémeuses avec sa langue. Nadine gémit, mordant le sexe qu'elle tenait entre ses gros doigts, ondulant lourdement sa croupe flasque pour engloutir le visage entier de sa proie dans son vagin, menaçant de le noyer dans la cyprine rance.

Je baissai les yeux, surprise de sentir une langue entre mes cuisses. Sarah était à genoux et me suçait en me couvant de ses yeux verts magnifiques. Je lui rendis son sourire et écartai un peu les jambes, pour lui faciliter l’accès à mon intimité. Elle approcha sa main de ma chatte, et y introduisit un objet. Elle me pistonna quelques instants avant que je ne réussisse à voir qu'elle me pénétrait avec un tube de crème solaire au bout arrondi. Il glissait tout seul entre mes lèvres, me pénétrant agréablement. C'était la première fois que je me faisais goder, et, comme toujours avec Sarah, je ne protestai pas, attentive aux baisers de Sylvie et aux caresses crapuleuses de la belle princesse.

- Viens dans la bouche de Nadine, grosse-queue, tu sens comme j’aime te lécher la bite !

La marchande de poisson transpirait dans la chaleur, les poils sous ses bras ruisselaient, je ne sais pas comment mon pauvre mari pouvait survivre dans la moiteur de la chatte qui l’étouffait, comment il pouvait encore bander sous cette montagne de chair qui le clouait sur place.

Des jets blanchâtres aspergèrent le menton de Nadine, qui entrouvrit la bouche et recueillit la crème gluante sur sa langue, laissant parfois échapper quelques gouttes de ses lèvres ouvertes. Elle roula sur le côté et vint embrasser Jean sur la bouche, partageant le sperme avec lui dans un baiser fougueux.

Sarah accéléra le rythme du tube dans ma moule ouverte, je haletai en silence, me balançant pour qu’elle me pénètre plus avant, en ne perdant pas une miette du baiser prolongé que Nadine imposait de force à mon mari. Sylvie me prit une main et la mena vers son bas de maillot, l’écartant légèrement pour que j’y fourre les doigts. Je découvris une grotte humide, qui engloutit mes doigts en quelques ondulations de hanches bien mesurées. J’approchai ma bouche de la sienne, et nous échangeâmes un baiser sucré, tendre, qui eut pour effet de me faire mouiller davantage. Je sentis les doigts de Sarah au bout du tube qu’elle enfilait en totalité dans mon vagin détendu, je gémis discrètement en me régalant de la langue de Sylvie. J’essayai de la masturber aussi expertement que possible – et je ne devais pas être loin d’y parvenir si j’en croyais ses propres couinements.

Je l’embrassai encore un instant, avant de chuchoter :

- Tu aimes ?

Elle cligna des yeux en souriant.

- Oui…

La voix de Nadine me fit froid dans le dos.

- Oh mais regardez qui voilà ! Miss Salope en personne ! Et en belle compagnie !

Sarah ôta lentement le tube de ma chatte, et je sortis mes doigts de la culotte de Sylvie en rougissant légèrement – je m’étonnai de rougir encore après tout ce que j’avais traversé ces derniers jours. Nous approchâmes de la tente. Jean paraissait mortifié, nu, couvert de sueur et de jus féminin, de salive, de sperme, piteusement allongé sur le matelas gonflable. Il s’assit et se prit la tête dans les mains, l’air désespéré.

Je souris en regardant la marchande de poisson.

- Bonjour. Il a été sage avec vous ?

Nadine plissa les yeux, exprimant une haine terrible que je ne comprenais pas.

- Ne t’adresse pas à moi, Miss Salope ! Je viens de me taper ton mari, et de l’humilier en public. Je l’ai forcé à baiser des vieilles mémés devant tous les campeurs, et ensuite je l’ai amené ici pour me le faire, il vient juste de finir de boire son propre sperme dégueu de con de mari de grosse pute bimbo. Je suis vengée !

J’étais trop fatiguée pour m’étonner véritablement d’une telle hostilité.

- Vengée de quoi ?

Elle hurlait maintenant.

- Comme si tu ne le savais pas, espèce de trainée ! Tu t’es tapée mon mari, je me suis tapée le tien !

Je secouai la tête.

- Je ne sais pas qui est votre mari, et, honnêtement, s’il m’a sautée c’est plutôt lui qui était demandeur… Depuis mon arrivée j’ai plutôt subi que provoqué la…

- TU L’AS CHOISI ! Il était à la piscine, et ton mari est venu le chercher pour qu’il te baise dans la douche ! Je le sais, il me l’a avoué, le cochon !

Et là, je tiltai. C’était la femme du gros José !

Elle avait raison… Je faillis éclater de rire. J’avais dû supporter les assauts du gros José pour me venger de Jean, et j’avais effectivement provoqué la scène sous la douche, qui avait abouti à me voir lécher son sperme sur le carrelage – son sperme, et celui d’un inconnu qui s’était soulagé dans la douche plus tôt dans la journée… Jean n’avait pas connu un sort meilleur que le mien avec la grosse Nadine !

- Oh… je suppose qu’on est quitte, maintenant…

- Ne crois pas ça, sale pute, je vais encore m’occuper de ton mari dès que je pourrai me le choper seule dans un coin. Tu n’as pas fini de souffrir, Miss Salope !

Elle ramassa son maillot de bain par terre et s’en fut d’un air furieux. Je ris ouvertement, vite imitée par Sarah et Sylvie. Si la grosse Nadine avait su comme elle me rendrait service en traumatisant Jean, elle aurait été très déçue ! Le pauvre avait toujours la tête entre les mains, et était secoué de spasmes nauséeux de temps à autres.

- Coralie ?

Je me retournai. Loïc était là, son sexe formidable formant une bosse dans son caleçon.

- Sylvie, Sarah, je vous présente mon scout Loïc. Nous avons un petit contrat tous les deux. Loïc, voici Sarah et Sylvie. Je suis sûre qu’elles te plairont beaucoup.

Loïc fit la bise à mes deux amies, impressionné par leur beauté. Il se pencha vers moi et je l’embrassai sur la bouche, en un baiser langoureux, glissant la main dans son maillot de bain et me saisissant de son engin délicieux.

- Tu as encore envie de moi ?

Je pressai sa bite entre mes doigts. Il se mordit les lèvres en fermant les yeux.

- Oui, je bande dès que je pense à tes seins. Je venais pour te voir. Te caresser. Pour bien m’exciter avant de masser Laëtitia cet après-midi.

Je souris, flattée, consciente de la présence de Jean, toujours prostré sur le matelas pneumatique. Je sortis sa queue de son caleçon.

- Tu veux me prendre ici, devant mon mari ?

Il fit un petit signe de tête que je pris pour un « oui ».

- Tu feras attention de ne pas venir, je veux que tu aies la pêche avec ma meilleure ennemie tout-à-l’heure…

Je m’agenouillai devant lui, et fus surprise de voir Sarah et Sylvie m’imiter.

La belle princesse me sourit en disant :

- Une queue comme ça, ça se partage…

Je léchai le gland, et le présentai devant la bouche de Sylvie qui le goûta avec beaucoup de soin. Le paréo de Sarah glissa de ses épaules, révélant ses deux superbes seins. La bite de Loïc enfla d’un coup, et se retrouva bien vite devant la bouche pulpeuse de la belle de cinquante ans, qui l’engloutit lentement. Ses mâchoires s’écartèrent, les lèvres pressèrent le sexe excité, et je fus estomaquée de voir que Sarah parvenait à gober la totalité du membre énorme, jusqu’à lécher les couilles du grand ado.

Voir cette bouche si charmante s’élargir pour avaler une queue si immense fut un choc, mais aussi un défi. Je glissai la main sur le membre avant que Sylvie , qui avait déjà tendu sa langue vers le gland luisant de la salive de Sarah – qui bavait abondamment – ne se le gobe à son tour. J’amenai le sexe chaud devant mes lèvres, écartai les mâchoires et me l’enfonçai en forçant au-delà de mon palais, de ma luette, de ma gorge. Je crus étouffer, mais je parvins à l’emboucher plus loin que les fois précédentes, pour son plus grand plaisir – et le mien. Je fis quelques allers et retours mêlés de salive bouillonnante, sans toutefois réussir à l’engloutir aussi nettement que la belle princesse. Je sentis Jean passer derrière moi et frotter sa bite molle sur mon cul. Je le laissai faire, libérant ma gorge, et tendant le beau sexe à Sylvie, qui l’avala avec grâce. Jean suivit le mouvement, et se plaça derrière Sylvie. Il dénoua son bikini et son string blanc, et lui empauma les seins en frottant sa pine fatiguée entre les lobes généreux du derrière de la petite brune. Elle suça Loïc ardemment, remuant les fesses en rythme, essayant clairement de réveiller la queue de mon mari, avec succès, semblait-il. Je repris le membre en bouche, tentant encore de l’engloutir complètement. La bite battait sur ma langue, Loïc gémît, il attrapa ma tête et m’encouragea à l’avaler plus loin. Ma gorge céda d’un coup, je sentis le membre gonflé dans ma trachée, déclenchant un haut-le-cœur incontrôlable. Je recrachai le sexe, l’inondant de bave transparente, visqueuse, et le menai vers la bouche experte de Sarah, qui le dégusta lentement.

Sylvie se retourna, à quatre pattes, présentant son gros cul à Loïc. Elle entreprit de sucer Jean, à genoux devant elle, qui ressemblait à un petit oiseau blessé, et caressait tour à tour les fesses de Sarah et les miennes. Loïc glissa ses doigts dans la chatte presque rasée de Sylvie, qui se cambra de plaisir en gobant totalement la bite de mon mari.

Je suçai le bel ado avec enthousiasme, essayant à chaque coup de gorge de le prendre plus loin en moi, désirant plus que tout toucher son pubis de mes lèvres avec son énorme engin tout entier dans ma bouche. Cela venait doucement, l’excitation que je ressentais faisait mieux passer le côté désagréable de cet étouffement que je m’infligeais, et les spasmes de régurgitation limite nauséeux quand je libérais la belle bite, la mordillant tout du long avec gourmandise.

- Tu ne veux pas baiser un peu ? demanda Sylvie, qui astiquait toujours Jean.

Elle ne s’adressait pas à moi, mais à Loïc, lui tendant son beau derrière rondelet, une main sur sa minette.

L’ado ne se le fit pas dire deux fois. Il plaça ses genoux entre les jambes de la brunette, et plaça son gland taille XL à l’entrée de sa grotte inondée. Sylvie reprit Jean dans sa bouche, et ondula le cul de manière à engloutir peu à peu le sexe dressé, sa petite chatte s’étirant à rompre au passage du boa affamé. Elle avala Jean jusqu’à la garde, en haletant d’extase à mesure que Loïc accélérait le rythme, encouragé par les caresses de Sarah, qui collait ses gros seins contre son dos, et par mes baisers répétés, auxquels il répondait avec une ardeur touchante.

Il laboura la petite moule un long moment, répondant aux sollicitations pressantes de Sylvie, ses cuisses tapant contre le cul rebondi, battant régulièrement la mesure, à l’unisson avec les couinements aigus de mon amie, en pâmoison.

Sarah avait quitté le dos du bel ado pour s’occuper de Jean, qu’elle avait pris par la main et emmené sous la tente, où je les entendais baiser bruyamment.

Je m’approchai du cul de Sylvie, et entrepris de le mordiller, au plus près des abdos de mon scout,  qui avait un pouce perdu dans la pastille étroite de mon amie. Elle semblait avoir complètement oublié  le monde alentour, je craignais que ses gémissements très sonores n’attirent les curieux.

Loïc sortit brusquement sa pine de la petite chatte et me la fourra dans la bouche, m’aspergeant le nez d’un grand jet de sperme au passage. Je le suçai ardemment, consciente de son pouce toujours dans l’anus de Sylvie, qui continuait à gémir comme s’il la baisait encore. Je bus son sperme avec le même plaisir que la première fois qu’il m’avait gratifiée de sa semence, m’appliquant à lui faire ressentir un maximum de sensations durant son orgasme généreux. Un trop plein de jute crémeuse déborda bien vite de mes lèvres, je levai les yeux et vis qu’il ne perdait pas une miette du spectacle, yeux souriant allant et venant successivement de ma bouche au cul de Sylvie, qui jouissait toujours de la mini-sodomie qu’elle subissait.

Je branlai le reste de sperme sur mon visage, embrassai la belle pine encore une fois, et, menton dégoulinant, je les laissai s’amuser tous les deux. J’entrai dans la tente. Sarah était à quatre pattes, ses seins bondissant au fur et à mesure que Jean la gamahuchait, en levrette. Elle ouvrit les yeux en souriant.

- Je… aah… croyais que le petit… aah… ne devait pas venir… sur toi… aah.

 

Je me mis à genoux devant elle et l’embrassai sur la bouche. Elle lécha le sperme sur mon menton et sur mes joues en haletant, et le partagea avec moi, nos langues s’entremêlant dans le jus onctueux. C’est ce moment-là que choisit Jean pour venir enfin, projetant de petits jets sur les fesses de la belle princesse. Je m’approchai de sa pine et la gobait pour la nettoyer, puis échangeai un baiser avec lui, qu’il me rendit avidement. Peut-être restait-il un peu d’amour entre nous, finalement…

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Samedi 23 juillet 6 23 /07 /Juil 09:44

Je ne sais pas combien de temps je pleurai ainsi, recroquevillée sur le sol jonché de feuillages, sous les buissons de laurier, mais je finis par me calmer. Je respirai un grand coup, ramassai le rouleau de papier-toilette et essuyai le sperme mêlé d'excréments qui dégoulinait de mon cul le long de mes cuisses, luttant contre la nausée qui menaçait de me submerger.

Mon cul me brûlait là où Laëtitia m'avait battue, et où mon violeur m'avait fessée.

La salope.

La conne de pute de salope !

J'enrageais de me retrouver à sa merci, un joujou en sa possession, une fifille sans volonté, sans courage.

Je serrai les dents en quittant l'abri relatif des lauriers. Je me dirigeai vers la tente.

Cette poufiasse.

Vivement que Loïc la baise et me donne le film, même si cela signifierait que je doive supporter une nouvelle sodomie, plus un gang-bang avec ses copains scouts. Ma vengeance serait terrible, cul vendu au plus offrant ou non. Je commençai à entrevoir la punition que je lui infligerai, et souris sombrement.

Personne n'osa me toucher pendant mon trajet. La colère devait se voir sur mon visage. J'étais tellement furax que si un homme me touchait maintenant, je me sentais capable de lui exploser les couilles.

Jean n'était toujours pas à la tente. Laëtitia s'était marrée en me disant qu'il était occupé aux chiottes. Je pris ma trousse de toilette, ma serviette et allai voir ce qu'elle avait voulu dire.

- Te voilà, Coralie !

La belle Sarah et sa copine Sylvie, aux petits seins et à la bouche adorable, m'accueillirent à l'entrée des douches.

Sarah eut l'air inquiet en me regardant de plus près.

- Tu as une mine épouvantable ! Que s'est-il passé ? Tu es couverte de terre !

Je secouai la tête en prenant conscience du fait que mes seins, mes genoux et mes bras étaient striés de traces noires.

- Rien d'important. Je... Je suis tombée.

- Oh. Je vois. Apparemment ta chute t’a vrillé la poitrine et le popotin… Il faudra que tu me racontes en détail ce que tu as enduré durant cette culbute... Viens avec moi, il y a un spectacle à ne pas manquer aux lavabos du fond ! J’espère que tu ne seras pas trop fâchée.

Je la suivis autour du bâtiment, me demandant vaguement ce qui pourrait me fâcher plus que ce que je venais de subir. J'entendis des rires et des éclats de voix venant des sanitaires. Une femme scandait quelque chose, comme sur un marché. Je saisis les mots peu à peu, à mesure que j'approchais.

- Qui veut toucher, qui veut, elle est belle, elle est grosse, profitez mesdames ! Vos maris sont gras et mous ? Vous n'avez pas eu une bonne trique entre les doigts depuis 30 ans ? Venez venez, elle est belle elle est grosse, venez la laver au savon et la tâter, la goûter et la mordre, en boire le jus crémeux, dégustation gratuite !

Je jetai un œil à travers la petite fenêtre. Un attroupement d'une quinzaine de femmes et de quelques hommes s'était formé autour d'un lavabo. OU plus précisément, autour de Jean, adossé au mur, la bite en érection blanche de savon, un air de bête traquée sur le visage. Il se laissait masturber par l'oratrice qui ressemblait à une marchande de poisson, de gros seins nus tombant sur un ventre aux plis de chair nombreux, le teint rougeaud, gras, les cheveux filasse, gris serpillère. Sa main boudinée pressait le sexe de Jean, qui émettait des gémissements de peur étranglés. La belle Sarah gloussa derrière moi et se serra contre mon dos, ses mains se promenant sur mon ventre et mes cuisses, remontant le long de ma chatte. Le contact était tendre, je la laissai faire sans protester.

- Alors, pas trop fâchée ?

La voix était coquine. Je ne répondis rien, absorbée par la scène qui se déroulait de l’autre côté de la fenêtre. Les doigts de Sarah se firent plus précis. Je dus m’avouer que les caresses étaient très plaisantes…

La marchande de poisson continuait de dégoiser:

- Allons, mesdames, lancez-vous, une petite branlette ça vous réchauffera les boyaux ! Pressez-la, sucez-la, le bon jus en sortira !

Une vieille dame toute maigre, au visage sévère s'avança. La marchande de poisson lui céda la place en graillant:

- Ah, voilà ce qu'il lui faut, une femme d'expérience, allons, osez, régalez-vous !

La vieille ôta sa chemise légère, exposant ses deux nichons flapis à la vue de tous. Sa peau, sous laquelle on voyait ses côtes, était ridée, flasque. Sa maigreur n'en paraissait que plus maladive.

- Touche-moi les seins, pendant que je me rappelle comment on utilise un engin comme le tien. Ça doit bien faire quinze ans que je n'en ai pas touché une aussi jeune !

L'assistance éclata de rire. La vieille rinça la bite de Jean à grandes eaux et la masturba avec agilité, de ses vieux doigts abîmés, un sourire pincé aux lèvres. Mon mari tâta les seins ratatinés, ne cachant pas son dégoût. La vieille se lova contre lui et l'embrassa sur la bouche.

- Mets ta langue, grosse-queue, je ne vais pas te mordre !

Nouveaux rires.

Jean ouvrit la bouche et partagea le baiser humide. Un froid morbide m’envahit. Je n’étais pas sûre que le sort de mon mari fût plus enviable que celui qui m’avait été réservé quelques minutes plus tôt. La vieille y prenait goût, les yeux fermés, la respiration rapide, les hanches ondulant sur la cuisse de mon mari, elle frottait son entrejambe ridée en un mouvement lascif – la vieillesse du corps ne semblait pas émousser les sensations du clitoris de la mémé.

Sylvie se serra à son tour contre moi, empaumant mes nichons et m'embrassant le cou en haletant légèrement. Le caresses de Sarah sur ma chatte se firent plus appuyées, ses doigts exploraient mon vagin encore gluant de sperme. Je me laissai porter, enlaçant Sylvie, pétrissant sa grosse croupe rebondie, ce qui eut pour effet de redoubler ses baisers. Elle pinça mes tétons, les fit rouler entre ses doigts, pour les sentir darder dans sa paume. Elle jouait avec la rondeur généreuse de ma poitrine, sans doute parce qu'elle n'avait elle-même que deux petites mandarines. Je dénouai son haut de bikini, et l'imitai, pressant ses tétons et empaumant délicatement les petits seins blancs. Je revins à la scène qui continuait dans les sanitaires.

La vieille s'agenouilla devant mon mari. Elle enleva son dentier, le posa sur le lavabo, et entreprit de sucer le membre gonflé, sous le regard horrifié du pauvre Jean. La marchande de poisson applaudit à tout rompre, vite suivie par l'assemblée que le spectacle excitait.

- C'est bien, venez faire sa fête à mister-camping-grosse-queue ! Si vous vous appliquez, vous verrez de belles giclées ! D'autres volontaires pour pétrir le beau robinet de notre lavabo ??

Deux campeuses avancèrent d'un pas hésitant, une femme grassouillette d'une trentaine d'année, aux cheveux roux, et une grande nana ressemblant à un mec avec des nichons, cheveux ras, hanches anguleuses, pas de cul... Elles embrassèrent Jean sur le visage et dans le cou, flattèrent ses bras musculeux, et, sans se concerter, firent glisser leurs culottes au sol. La marchande de poisson exultait. Pas Jean.

- Parfait mesdames, voyons ce que grosse-queue sait faire de ses doigts ! Enfonce-les bien profond, grosse-queue ! Je veux les entendre jouir bruyamment !

Jean obéit. Ses deux mains, qu'il avait inconsciemment placées sur la tête de la vieille qui lui dévorait la pine avec ses gencives édentées, descendirent vers les chattes touffues des deux filles, qu'il masturba en cadence. Les gens applaudirent encore.

Sylvie m'embrassa sur la bouche, incitant ma main à explorer son string blanc, ce que je fis. Je gardai un oeil sur Jean tout en me délectant des caresses saphiques de Sarah et du baiser délicat de son amie.

- C'est coooool.

La voix avait chuchoté. Je ne relâchai pas l'étreinte de Sylvie, mais jetai un œil en biais. Quatre ou cinq ados nous regardaient en se caressant la bite sous leur short. Le paréo de Sarah glissa à ses pieds. Le contact chaud de ses gros seins nus contre ma peau me fit frissonner, je sentis une vague de jus intime humidifier ses doigts dans mon vagin, et le plaisir envahir mes reins.

- Trop belle, la nana ! Vous nous faites une place, les filles ?

Les ados se rapprochèrent de nous, rouges d'excitation.

Je serrai Sylvie contre moi, une main écartant son string, la limant avec trois doigts dans une étreinte délicate. Je ne quittai pas Jean des yeux ; il était maintenant entouré de deux autres vieilles dames toutes ridées qui se déshabillaient devant lui. Elles s'adossèrent aux lavabos, jambes écartées. Leurs vieilles moules se ressemblaient, la peau des lèvres détendue, des poils gris-blancs épars, un air de viande ayant passé trop de temps à l’air libre... La marchande de poisson les imita, après avoir fait glisser sa grosse culotte à ses pieds. Sa chatte avait l’aspect d’un assemblage de deux escalopes rougeâtres collées sous une noix de coco grisonnante.

- Moules à volonté ! Viens téter, belle-bite ! Chacune notre tour, on va bien écarter nos chattes pour ta langue !

La vieille qui suçait Jean se releva et suivit l'exemple des autres femmes. Les deux nanas qu'il baisait avec ses doigts se dégagèrent et entreprirent de le masturber tandis qu'il se retournait, s'agenouillait et léchait les vieilles tour à tour, suçant leurs chattes périmées avec une ardeur très modérée. Les trois vieilles dames nues ne boudèrent pas leur plaisir quand mon mari plongea sa langue dans leur abricot ridé, elles se caressèrent les seins en cadence et se branlèrent en attendant le baiser vaginal qui réveillerait leur sexualité éteinte. Jean passa à l'intimité peu appétissante de la marchande de poisson, il eut un haut-le-cœur lorsqu'il enfouit son nez dans les deux escalopes rougeâtres. Elle lui attrapa le dos de la tête et le maintint enfoncé sous les plis de son ventre, en l'encourageant d'une voix salace:

- Oh oui, remue la langue dans la fente de Nadine, c'est ça, le gros bouton rose, lèche-le bien, grosse-queue, voilà, bien au fond, encore, plus loin...

Jean passa à la vieille qui l'avait happée goulûment. Elle souriait béatement, de sa bouche édentée.

D'autres mains vinrent me caresser le corps. Les adolescents avaient baissé leurs shorts et frottaient leurs bites sur nos cuisses et nos culs.

- Y'en a bien une qui va nous sucer, hein, les filles ?

Sarah sourit en branlant deux des ados. Sylvie l'imita, offrant sa chatte aux mains curieuses des jeunes. J'attrapai le sexe fin du dernier du groupe, qui me touchait les seins timidement.

- Trois salopes rien que pour nous !

Les ados exultaient. J'étais contente de partager ce moment avec deux amies. Les jeunes étaient plutôt mignons, pas trop d'acné, des corps fins et bien faits, bien qu'encore pâles - sans doute venaient-ils d'arriver dans le camping. La queue de celui que j'astiquais enflait sous mes doigts, je me sentais mouiller, et attendais la sensation de désir maintenant familière qui ne manquerait pas de venir de mes reins... Je jetai un coup d'oeil vers Jean en ondulant des hanches, pour inciter la main de l'ado qui explorait timidement ma petite minette à se montrer plus entreprenante.

Les cinq femmes lui présentaient leurs culs, courbées sur les lavabos, cambrées, jambes écartées, alignées comme des juments dans un corral attendant la saillie de l'étalon. La marchande de poisson allait et venait, en donnant des tapes appuyées sur le cul ridé des vieilles, en s'adressant au public hilare - certaines nanas de l'assistance avaient la main dans leur culotte, ou dans le slip de leur compagnon.

- Laquelle va se faire baiser en premier ? Cette grande fille ? (une tape sur la croupe plate de la nana qui ressemblait à un homme) Ou peut-être sur cette pute bien replète ? (elle fesse la petite grassouillette) Une femme d'âge mûr ? (elle caresse les vieilles fesses tombantes de la vieille au dentier) Non, je sais ce que le public veut ! Tu vas toutes les sauter tour à tour, et interdiction de jouir, tu dois aussi t'occuper de ma moule ! Allez, baise-les ! Baise-les ! Baise-les !

L'assistance scanda en chœur:

- Baise-les ! Baise-les ! Baise-les !

Jean se plaça derrière la vieille au dentier, qui se cambra davantage, ce qui accentua sa maigreur maladive. Il se laissa guider dans la vieille moule par la marchande de poisson, et, attrapant les hanches squelettiques, lima la mémé en fermant les yeux, l'écoutant gémir pitoyablement. La marchande de poisson l'arrêta au bout de quelques minutes et l'emmena au cul suivant, celui de la petite grosse, qu'il fourragea avec application pendant que Nadine la fessait durement.

- Ah, elle aime ta bite, la rouquine ! Regarde comme ses lobes rougissent sous mes mains !

Les claques tombaient sur le gros cul plein de taches de rousseur, Jean semblait aimer davantage cet orifice un peu plus jeune et replet, il la gamahuchait avec un plaisir évident – plaisir partagé, manifestement. La rouquine appréciait la fessée administrée, elle se mit à exprimer sa jouissance entre cris et gémissements.

Je sentis une pine s'introduire dans mon vagin. Les cinq ados m'entouraient complètement, leurs sexes collés à moi. L'un d'eux avait réussi à me pénétrer et me baisait debout, face à moi, en s'accrochant à mon cul pour que je ne puisse pas me dégager. Ses copains m'embrassaient partout, les épaules, la nuque, les joues. Une queue se frayait un chemin vers mon anus, accessible facilement avec mes lobes écartés par les mains de l'ado qui me sautait par devant. Je paniquai, cherchant Sylvie et Sarah du regard. Elles étaient là, assistant à la partouze qui débutait en souriant gentiment. Je suppliai:

- Ne me laissez pas seule !

Sarah secoua la tête d'un air désolé.

- On ne peut pas se taper ces gamins en public, on pourrait avoir des problèmes... Tandis que toi, tu es miss camping ! Comme je t’envie…

Elle me sourit. Sylvie vint m'embrasser sur la bouche en passant par dessus l'épaule du jeune qui me limait en émettant des bruits de gorge rauques.

- Profites-en bien !

J'acquiesçai, incertaine. Sarah pouvait me faire faire n'importe quoi, elle était tellement gentille et pleine d'attention. D'une certaine façon, elle me dominait bien plus que Laëtitia, je lui résistais beaucoup moins, je faisais  ce qu'elle attendait de moi. Et avec joie…  Deux mains me pétrissaient les seins, une autre m'invitait à me pencher pour faciliter un peu plus l'accès à mon petit trou, tandis que le premier ado cherchait ma bouche avec ses lèvres. J’avais vaguement conscience des trois bites qui se frottaient sur moi - sans compter celle qui essayait de me sodomiser - et des quelques campeurs qui s'étaient attroupés non loin, et qui me reluquaient sans honte. Je répondis au baiser du jeune fougueux qui fourrageait ma chatte - il avait la langue fraîche  mais épaisse - et poussait un peu vers l'arrière pour décourager le prétendant qui voulait me prendre par le cul. Cela eut l'effet inverse. Mon petit trou s'écarta sous la poussée, et la bite entra comme dans du beurre après le viol du matin. Je ne sentis presque rien, si ce n'est les mains du petit gars qui glissait en moi accentuer leur pression sur mes seins, son visage qui se lovait dans mon cou, sa bouche qui me mordait de plaisir. J'accompagnai la bite dans mon cul par des coups de croupe lascifs, m'accrochant à la jouissance que je sentais monter de mon ventre, de mes reins. Je pris la tête du jeune qui me baisait par devant entre mes bras et lui chuchotai des encouragements pervers - mais sincères.

- C'est booon, continue, oui, là, comme ça, enfonce-la bien, ouiii, mmmm.

- Franchement, t'es trop bonne, miss camping !

Je me laissai prendre au jeu, caressant les deux mecs qui frottaient leurs pines sur mes cuisses pendant que celui qui m'avait pénétrée la première éjaculait dans ma chatte, corps tendu, sa bite butant dans mon vagin contre celle qui me sodomisait toujours, son sperme m'emplissant d'une chaleur agréable. L'ado quitta ma grotte intime en me remerciant, remplacé immédiatement par un autre qui me prit en deux coups de reins, et jouit sans attendre, se faisant charrier par ses potes.

- Oh l’bâtard, p'tite bite, pas foutu de sauter une gonzesse pendant plus de trois secondes, un vrai lapin !

- Pas besoin de traîner, cette tepu est dispo quand j'veux ! Je me la fais encore c't'après'm, v'verrez.

- Parle pas comme ça, Tony, elle est trop bonne, la miss camping, t'es un croco ou quoi ?

Tony laissa sa place en pestant, je guidai un troisième  ado dans ma minette. Sa queue était fine et veineuse, je le branlais en l'introduisant en moi, jouant avec son gland entre mes petites lèvres gluantes de sperme. Il sembla apprécier la caresse, m'embrassant en soufflant par le nez, puis, n'y tenant plus, il souleva mes cuisses dans le creux de ses coudes, et m'emmancha sur sa pine excitée. La position était douloureuse, la queue dans mon cul me déchirait l’anus, je criai, consciente des regards salaces que me jetaient les campeurs qui assistaient au spectacle, certains se masturbant ouvertement. En un éclair je me vis sucer tous ces mecs après que les ados en aient fini avec moi, et tremblai de désir à cette idée. Les deux gamins me prenaient en sandwich, je ne maîtrisais plus rien, et, croisant les yeux de Sarah, toujours doux et souriants, je me laissai aller complètement, appelant la jouissance, la cherchant, l’amplifiant. Des éclairs me vrillèrent les intestins quand  le jeune derrière moi m’inonda les boyaux de sperme. Il resta à l’intérieur quelques instants en râlant, m’embrassa tendrement dans le coup en me disant « merci, miss salope, trop bon » et céda la place à son dernier pote, que je ne pris même pas la peine de repousser. La pine me pénétra le cul durement, je sursautai, et me cambrai, arrondissant ma croupe et aidant le garçon à se frayer un chemin en moi sans trop me faire mal.

Je donnai des coups de reins en couinant et sentis enfin la délivrance de la jouissance m’emporter, tant dans le cul que dans le vagin, une vague qui déferlait de mon ventre, de mes reins, de mes seins. Je criai de bonheur en mordant le cou du gamin qui me baisait la chatte, lui demandant d’aller plus vite, plus vite, et plus loin, plus loin, encore et encore. Sarah et Sylvie applaudirent en riant, imitées par quelques hommes, et l’orgasme continuait, et des bouches m’embrassaient, des queues se collaient à moi, du sperme jaillissait sur mes cuisses et sur mon cul, celui des deux ados qui se finissaient à la main, en me portant toujours dans leurs bras, celui de trois hommes qui m’avaient admirée pendant que je me donnais aux ados, qui mêlaient leur semence et leurs caresses à celles prodiguées par mes jeunes baiseurs. Je me masturbai avec eux, et geignis de bonheur jusqu’à ce qu’ils me reposent au sol, ou je m’affalai, à quatre pattes devant l’assistance euphorique.

J'étais dans un état second. Le plaisir me vrillant la chatte s'éternisait.  Je me relevai légèrement, à genoux sur le sol sec, et me masturbai pour prolonger l'extase dans laquelle j'étais plongée. Il me fallait encore des hommes, le besoin me prenait le ventre, me chatouillait le cul, un désir bestial, grossier, salace. Je me tournai vers les campeurs qui me reluquaient et les interpelai d'une voix vulgaire, en gémissant comme une droguée en manque:

- Encore des queues ! Vite ! Venez jouir dans ma bouche ! J'ai soif de bites !

Je fus vite entourée de pines dressées, que je gobai avec avidité, une petite épaisse toute veinée, une grande longue très foncée, une bite complètement rasée au goût de beignet, une trique moite et rose aux poils blonds, une autre blanche et ridée, à peine dure... Mon horizon était composé de queues, ma vie ne tenait qu’à ces bites, il me fallait de l’homme, je ne pourrais plus vivre sans baiser, sans sucer, sans me vendre comme la dernière des filles de joie… l’ivresse m’emportait aux portes de la folie.

Des encouragements mêlés de caresses résonnaient à mes oreilles, auxquels je répondais en gémissant, ouvrant ma chatte aux mains inconnues qui la flattaient.

- Suce encore, miss, suce.

- Ah mmm oui !

- Avale bien jusqu'à la dernière goutte !

Je léchai les queues, les branlai avec énergie, aspirai leur sperme âpre et amer, chaud et salé, ou gluant, presque gélifié.

- A mon tour, miss, lèche bien.

 Une pine noire comme l'ébène me fit lever les yeux vers un grand black très musclé, mes mains caressèrent ses abdominaux et ses fesses, et je l'avalai tout entier dans ma gorge, ou je le maintins jusqu'à ce qu'il y éjacule en gros bouillons délicieux.

- Aah oui...

La ronde des bites continua, mes mâchoires me faisaient mal, ma gorge brûlait, mais il m'en fallait encore et encore.

Bientôt, un paréo bleu-nuit se présenta devant moi, après que la plupart des queues m'aient gratifiée de leur chaude semence, je levai les yeux perlant de jute vers Sarah, qui me souriait tendrement. J'écartai le tissu et plongeai ma langue dans sa fente mais elle recula doucement, et me releva. L'attroupement de campeurs avait diminué. Quelques applaudissements retentirent, beaucoup de sourires et d'éclats de voix. Les ados tapaient leurs clés sur des bouteilles de bière pour faire un maximum de bruit.

- Merci, Miss, c'était top !

- Tu baises trop bien !

Je me sentais perdue, ailleurs, comme si cela n'arrivait pas dans la réalité, que la personne qu'ils acclamaient n'était pas Coralie la timide, qui n'avait quasiment pas connu d'autres expériences que Jean avant cette élection stupide. Quelques jours avaient suffi à me transformer en objet sexuel consentant. Je souris aux campeurs, un sourire mécanique, lointain. Mes pensées se fixèrent sur les traces de l'orgasme que je ressentais encore dans ma chair meurtrie.

- Pour la Miss au cul d'enfer, hip hip hip...

- Hourra !

- Trop bonne ! Trop bonne ! Trop bonne !

- Comment je l'ai enculée, c'était de la bombe, j'te l'dis !

- Et t'as vu ses gros seins, trop géants !

- Et comment elle suce !

- j'te nique encore quand tu veux d'la vraie pine, Miss !

Sarah me prit la main et me fit signe de la suivre. J'obéis sans résister, sous les applaudissements des campeurs excités.

Du sperme coulait de mes lèvres, de mon cul, de ma chatte. J'en avais sur les cuisses, sur le dos, sur le visage.

Dans le nez.

Sur les dents.

Je me léchai les lèvres. Je voulais encore baiser ! Ma chatte lançait des appels désespérés. J'y mis les doigts tout en marchant. Sarah et Sylvie m'emmenèrent dans une douche. Jean n'était plus aux lavabos. Je me demandai vaguement s'il aurait la force de me sauter si je le suppliai de me prendre. Elles se dévêtirent complètement et me lavèrent en me caressant et m'embrassant avec douceur. Je répondis aux baisers et acceptai toutes les attentions de leurs mains, les guidant profondément dans ma chatte, pleurant en silence sous l'eau chaude qui coulait.

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : L'asservissement de Miss Camping, par Alexis - Communauté : Soumissions féminines
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Samedi 23 juillet 6 23 /07 /Juil 09:38

Je me réveillai une heure plus tard, de très bonne humeur. Loïc était l’amant parfait – j’avais presque envie qu’il soit de nouveau là, à l’extérieur de la tente, à me donner son énorme engin à lécher en guise de petit-déj. Je m’étirai. Jean n’était pas à mes côtés. Je sortis de la tente, avec une envie terrible d’aller aux toilettes pour « la grosse commission ». Et Jean qui n’était pas dehors non plus – j’aurais préféré qu’il m’accompagne, pour éviter d’être retardée en chemin si des campeurs matinaux avaient envie de profiter de mes charmes. Je haussai les épaules, les sanitaires étaient tout proches, je ne risquais pas grand-chose… je pris le rouleau de PQ, et me dirigeai d’un pas décidé vers les toilettes. Il faisait frisquet ce matin, je frissonnai. Mes seins encore un peu rouges des coups de baguette de Julie, sur la plage, malgré l’onguent de Loïc, avaient la chair de poule. Je lui demanderai de m’en étaler à nouveau, avec ses grandes mains… l’idée me fit sourire.

- Ah, voilà ma petite pisseuse… je t’attendais.

Je grimaçai. Le gars de la veille, qui m’avait demandé de faire le poirier devant lui, et de me pisser dessus – ce n’est pas que l’expérience avait été désagréable, mais je me voyais mal déféquer en faisant des acrobaties. Il m’embrassa sur les lèvres en m’entourant de ses bras, et me tâta les seins, tout dressés dans le matin frais. Il sentait le café. Il me glissa un doigt dans la fente, insistant sur mon clito.

- Viens, petite Miss, je veux te voir pisser.

- Oh… je suis désolée… (je montrai le rouleau de PQ)… je ne vais pas faire pipi…

Il sourit, agrippant mes fesses. Un campeur matinal nous regardait, intéressé. Son majeur remonta ma raie, et toucha mon anus.

- C’est encore mieux ! Viens, tu vas chier devant moi.

J’avais mal au ventre, j’avais vraiment besoin d’aller aux toilettes, et vite ! Je secouai la tête en protestant, mais il m’avait attrapé la main et m’emmenait vers les buissons de lauriers roses bordant le chemin de la plage, qui passait tout à côté. Je murmurai :

- Je ne peux pas faire ça ! Non ! Mais lâchez-moi ! Voyons, monsieur !

Il m’attira dans un grand buisson touffu. Je voyais le chemin à l’extérieur, à travers les feuillages, et les sanitaires du camping, mais personne ne pouvait nous voir – du moins au premier coup d’œil.

- Allez, arrête de faire ta mijaurée et soulage-toi, belle demoiselle. Et pousse bien !

Je secouai encore la tête en soupirant. Décidément, ce séjour dans le sud n’était pas ce que je préférais en matière de vacances.

Je m’accroupis, et écartai les jambes. Mon ventre se tordait de douleur. Je fermai les yeux pour me concentrer. Comme la veille, l’homme commença à me pétrir les seins, très sensibles ce matin, puis passa derrière moi, et me toucha le sexe, délicatement. Je ne dis rien, sachant qu’il ne me lâcherait pas tant que je n’aurais pas fait ce qu’il désirait. Je me concentrai et poussai sur mon ventre, laissant échapper un gaz odorant. Je rougis en murmurant « pardon ».

- C’est bien, chuchota le gars, pas de fausse pudeur . . . laisse toi aller . . . montre-moi ta merde, je veux voir comment ton cul s’écarte quand tu chies.

Ses caresses s’accentuèrent. Je sentis qu’il se relevait, et qu’il enlevait ses vêtements. Il frotta sa bite en érection sur mon dos et mes épaules, sur mon front et sur mon nez, et la présenta devant ma bouche. Je détournai le visage.

- Non.

- Allons, petite Miss, je t’ai vue te faire niquer par le vieux dans la douche hier. Tu ne tailles pas de pipes ? Tu aimes juste qu’on te la mette dans le cul ?

- Non, pas seulement, j’aime bien… euh..je veux dire…ce… c’était un accident.

- Non, non, tu aimes la pine, ça se voit. Allez, suce

Il me força à tourner la tête, et mit sa bite sous mon nez. Elle avait une odeur épicée, pas désagréable. Il fallait que je me soulage, mon ventre gargouillait sombrement. J’ouvris la bouche et avalai son gland gonflé, au goût légèrement salé. Je le suçai sans conviction, en poussant sur mon ventre. Je sentis que ça venait, et commençai à déféquer, en m’arrêtant à mi-chemin sur la bite de l’inconnu, ma langue continuant de titiller son gland, au rythme des crottes qui sortaient de mon cul. Le gars se pencha au-dessus de mes épaules. Il avait une vue de choix sur mes fesses, et sur leur production matinale.

- C’est bien, c’est bien, vide-toi, comme ça. Tu as un cul de princesse.

Il sortit sa bite de ma bouche et me regarda chier sous toutes les coutures, me caressant ça-et-là, tantôt le clitoris, tantôt les seins, tantôt les lobes rebondis de mon cul. Son attitude était étrange, il avait un ton autoritaire, qui ne souffrait pas la discussion, mais sans brutalité, il me flattait la croupe avec douceur, me pressait les seins sans me faire mal. Je sentais que si je n’obéissais pas, les choses pourraient vite déraper, mais ne le craignais pas, malgré tout.

La douleur de mon bide s’estompa, les dernières boulettes finirent de quitter mon rectum. Je pissai un peu par-dessus le tas de merde, sans me soucier du doigt du type qui me tâtait les grandes lèvres.

J’attrapai le rouleau de PQ, mais le gars me le prit des mains.

- A quatre pattes. Je vais te nettoyer.

J’obéis. J’avais fait un gros étron presque noir, qui ne sentait pas bon du tout. Plus vite nous sortirions du buisson, mieux je me porterais.

Il glissa ses genoux dans les miens, et frotta son sexe sur mon abricot intime. Je remuai les fesses en protestant.

- Non ! Essuyez-moi, et qu’on en finisse ! Vous avez eu ce que vous vouliez, laissez-moi maintenant, mon mari m’attend.

Le gars s’introduisit partiellement dans mon vagin, sans forcer.

- Je n’ai pas eu ce que je voulais, petite.

Je hochai la tête. Il allait et venait déjà dans ma chatte, comme si elle lui appartenait. Je n’osais pas me dégager.

- Arrêtez-ça tout de suite, c’est dégoûtant. Essuyez-moi, branlez-vous, aspergez-moi de sperme, et laissez-moi partir. Vous ne serez pas le premier.

Ses va-et-vient se firent plus insistant. Je mouillai malgré moi.

- Tu ne veux pas qu’on baise un peu avant ?

- Non.

- Tu veux que je te nettoie, et basta ?

- Oui. S’il-vous-plaît.

Le sexe sortit de mon vagin.

- Ok.

Il cracha sur mon anus sale, y appuya sa bite en un mouvement brutal, et me pénétra d’un coup, jusqu’à la garde, en me plaquant contre le sol. Ses mains attrapèrent mes poignets, et les maintinrent complètement en arrière, s’en servant d’appui pour me transpercer plus profond. Je criai de douleur, sa pine, clouée dans mon cul sans aucun moyen pour moi de me dégager, me vrillait les sphincters.

- Et un bon ramonnage pour nettoyer la petite Miss!, s'écria mon bourreau.

Je hurlai :

- Non ! Non, lâchez-moi, vous me faites mal ! Au secours ! Quelqu’un !

L’homme me mordit l’oreille en soufflant d’excitation, m’écrasant de tout son poids contre les feuilles de lauriers et les brindilles séchées jonchant le sol, qui me rentraient désagréablement dans la peau. Il continuait à me gamahucher à grands coups de reins. La douleur était terrible.

- Oui, crie encore, peut-être que quelqu’un viendra pour m’aider à te baiser, deux, trois garçons de plus pour Miss-J’aime-La-Pine ! Tu la sens, la mienne ?

Je savais qu’il avait raison, mais je hurlai à nouveau. C’était trop douloureux, trop humiliant, son sexe qui glissait sans entraves entre mes fesses souillées de merde noire, je ne pouvais pas accepter, pas me laisser faire passivement, malgré toutes les inhibitions que j’avais pu dépasser jusqu’à présent, cette fois, c’en était trop..

- AAAH ! AIE ! JEAAAN ! JEAAAN !

J’entendis des pas précipités. Quelqu’un venait. Mon violeur ralentit le rythme dans mes boyaux, la douleur sourde me coupait la respiration. Je criai encore :

- PAR ICI !

Les pas venaient vers les lauriers. Deux personnes entrèrent dans le vaste buisson, je ne voyais que leurs pieds, un homme et une femme.

- Qu’est-ce qui se passe ici ? Oh, sympa…

Mon violeur se souleva légèrement, en me tenant toujours les poignets.

- Miss Camping avait un besoin pressant, que je m’emploie à satisfaire. Mais une bite ne lui suffit pas, elle a de grosses envies, la coquine.

Je relevai la tête, en commençant à protester, et en essayant de me dégager de la poigne de fer du type, mais ma voix s’étrangla dans ma gorge et les larmes me vinrent aux yeux sous le coup de la panique. Laëtitia se tenait là, comme un chat devant une bonne grosse souris. A ses côtés, je reconnus l’animateur du camping, qui m’avait pelotée comme une bête de foire le jour du concours.

Laëtitia s’accroupit et me caressa les cheveux. Je me sentais vidée. Je la suppliai.

- S’il-vous-plaît, laissez-moi partir, mon mari m’attend, je vous en prie…

Mon violeur me relâcha les poignets, je pus me mettre à quatre pattes. La douleur de son chibre dans mon anus s’atténua, mais aucun plaisir ne vint la remplacer. J’essayai encore de le sortir de moi, sans succès, ses mains me retinrent par la taille avant que je ne puisse éjecter son gland. Il soupira d’aise et me lima de plus belle.

- Allons, allons, Coralie, tu te souviens que tu dois être bien obéissante… J’ai vu ton mari dans les toilettes, il est très occupé, tu iras le retrouver après, dit-elle en éclatant de rire, mais je suis sûre que nos deux amis vont bien te satisfaire.

L’animateur ôta son caleçon et son maillot de bain et passa une main sur son sexe aux poils roux qui se dressait déjà.

- Je rêve de toi toutes les nuits depuis cette fameuse soirée, mais je ne pensais pas que tu étais aussi ouverte après t’avoir vue timide et réservée sur la scène. (il sourit) La blonde Julie était la plus belle, avec ses cuisses puissantes, son cul rond et ses deux jolis petits seins, mais tu étais ma préférée, j’aurais voulu pouvoir te faire me sucer devant le public, t’asperger de sperme, te voir le partager avec les autres miss… Le directeur du camping voulait que ça reste soft… tu n’as même pas protesté quand j’ai passé un doigt dans ta fente de déesse… Je vais te sauter avec joie, belle Miss, j’espère que tu aimeras !

- Non, je vous en supplie…

- Suce, tu ne le regretteras pas, c’est tout frais sorti de la douche…

 Il s’agenouilla et plaça son bâton de joie devant mon visage. Je secouai la tête en pinçant mes lèvres, refusant de prendre en bouche le gland rose. Je détournai le regard, et vit ma chef de rayon me reluquer la croupe, une main dans son string rouge. Mon violeur continuait son va-et-vient. Elle s’aperçut qu’il me prenait dans le cul. Elle ramassa une branche de laurier et me la passa sur le dos.

- Oh, je vois que tu aimes de plus en plus te faire prendre par derrière…Tu es vraiment la dernière des salopes!

- Non ce n’est pas…

Un coup de cravache me fouetta le cul. Laëtitia m’avait frappée ! Elle sourit, innocente.

- Tais-toi, douce Coralie. Tu ne parles que quand je t’y autorise. Tu as bien compris ?

Je pleurai de plus belle, rageant de mon  impuissance. Un autre coup suivit, plus fort encore.

- Je t’ai posé une question. Tu as compris les règles ? Parle !

J’acquiesçai en sanglotant, incapable de me contrôler.

Un nouveau coup me vrilla les lobes.

- J’ai dit : Parle !

Je fermai les yeux et hoquetai :

- Oui !

Un nouveau coup me cingla les fesses.

- Oui qui?

- Oui Laetitia!

Un nouveau coup me cingla le cul.

- Un peu de respect!

- Oui, maitresse!, hurlais-je.

- Parfait. Si tu es sage, tu n'auras que cinq coups de baguette à la fin de notre conversation. Si tu n’es pas sage… tu sais ce qui arrivera.

Je déglutis en hochant la tête. Les larmes coulaient de mes yeux sans que je ne puisse rien y faire.

L’animateur rouquin s’affairait. Il m’empaumait les seins en frottant son petit braquemart sur mes yeux mouillés, sur mes joues et mon nez. Il regardait Laëtitia se masturber lentement en me passant la branche de laurier sur le corps, et fixa un instant l’autre homme qui me sodomisait en me tenant les hanches. Sa pine enflait. Laëtitia retira sa main de son string, et prit le membre taille réduite entre ses doigts, l’appuyant contre ma bouche fermée.

- Douce Coralie, sois bien sage. Ouvre la bouche pour faire plaisir au monsieur…

Elle branlait l’animateur, ravi, qui se pencha vers elle, lui embrassa l’épaule et tira la ficelle de son haut de bikini, révélant deux seins fermes et bronzés, aux mamelons brun foncé. Il les caressa avidement. Je gardai les lèvres fermées, les yeux baignés de larmes d’impuissance. Elle allait me frapper jusqu’à ce que j’obéisse, mais je ne pouvais pas accepter une humiliation pareille. Mon violeur accéléra le rythme derrière moi, un plaisir diffus commençait à monter de mes reins. La pine devant mon nez sentait le gel douche. Deux coups de branche de laurier s’abattirent sur mon cul.

- Obéis, gentille Coralie, obéis…

Deux nouveaux coups de cravache me vrillèrent le bas du dos, m’arrachant un cri de détresse. Je ne pouvais pas lutter. J’avalais le sexe roux, en pleurant. Je le suçai avec application, essayant d’écouter le vague plaisir qui envahissait lentement mon ventre.

Laëtitia sourit. Elle posa sa baguette de laurier et s’allongea sous moi, perpendiculairement, comme un garagiste sous une voiture. Elle me mordit le téton droit très fort et, avec sa main gauche, me pinça l’autre téton. La douleur était insupportable, je me crispai sur la bite au fond de ma gorge, sanglotant et hurlant de désespoir. Elle relâcha la pression et me mordilla les mamelons sans hâte.

La pine dans mon cul sembla doubler de volume, je savais que le type n’allait pas tarder à me libérer, après avoir vidangé sa jouissance mêlée de merde au fond de mes boyaux. J’ouvris les yeux d’un coup : la main droite de Laëtitia avait parcouru mon ventre et s’était arrêtée sur mon clitoris, qu’elle masturbait avec habileté. Le plaisir naissant dû à la sodomie très active se transforma en vague cruelle, un besoin de jouir qui se heurtait à l’humiliation que je subissais, à la soumission dont je faisais preuve. J’aspirai plus fort la bite de l’animateur qui m’attrapa la tête et se servit de moi comme d’une poupée gonflable, me faisant aller et venir sur son sexe court, en gémissant de plaisir.

Le gars dans mon cul ralentit, et s’arrêta complètement, Laëtitia continuait de me branler, deux doigts dans mon vagin, et je m’activais toujours avec vigueur sur la pine du rouquin. Je n’avais pas senti mon violeur se vider en moi, je fronçai les sourcils, étonnée, mais soulagée que ce soit bientôt fini. J’accélérai la cadence sur le sexe dans ma bouche, espérant en boire rapidement la crème, et me sauver de cette situation désespérante.

Mon violeur extirpa lentement son chibre de mes lobes, et me tapota les fesses.

- On se fait une double pénétration ?

Laetitia sortit ses doigts de mon vagin et se releva, souriant toujours. Elle reprit sa cravache, prête à me dominer si je n’obéissais pas. Je crachai la pine de l’animateur en secouant la tête :

- NON !

Deux coups de lauriers s’abattirent sur mon cul, suivis de deux autres. Laëtitia me caressa là où elle venait de me frapper, et glissa deux doigts dans mon anus, en faisant une grimace.

- Ce n’est pas très propre, tout ça… Petite Coralie, tu vas laisser ces messieurs se soulager, n’est-ce pas ? Tu peux parler.

- Laëtitia, je vous en prie…

Un coup sur mon cul. Puis un second. Suivi d’un troisième, une main de mon violeur qui me fessait !

- Mauvaise réponse. Dis-moi que tu veux qu’ils te baisent en même temps.

Je geignis à nouveau.

- Laëtitia… je peux les sucer, ils peuvent me sodomiser et venir en moi… je vous en supplie, pas ça… !

Un coup de laurier, une nouvelle tape sur les fesses, plus forte, suivie d’une autre. Le gars s’extasiait sur mes fesses rouges. Nouveau coup du plat de la main.

- Elle aime qu’on la fesse, la salope … !

-Oui, vous avez parfaitement deviné, elle aime se faire corriger la garce!, commenta Laetitia avec perfidie.

Un énième coup me cravacha le cul.

- Coralie, demande gentiment à ces messieurs de te prendre tous les deux en même temps.

Elle accentua la pression dans mon petit trou, et introduisit son pouce dans ma chatte. Je gémis. Le plaisir revenait, malgré moi. Il augmenta quand je reçus deux nouvelles tapes sur les fesses. Je ne voulais pas obéir. Mais j’étais seule, abandonnée. Si j’appelais à l’aide, d’autres coups viendraient et qui sait si le prochain sauveur en herbe ne serait pas le gros José ou le vieux qui servait d’homme à tout faire dans le camping… Toute honte bue, je cédai.

- Je… je veux que vous me preniez tous les deux en même temps. S’il-vous-plaît.

Laëtitia ôta ses doigts de mes orifices. Elle se déshabilla complètement, exposant son intimité aux deux mâles qui me consommaient, sans doute pour leur redonner de l’ardeur s’ils en manquaient. Elle se caressa les seins, ostensiblement, les empaumant par-dessous, pouces et index titillant ses tétons, essayant de les faire darder vers le ciel. L’animateur s’allongea sur le sol jonché de brindilles et je me laissai guider sur lui, l’esprit embrumé, ma volonté brisée. Je sentis à peine son petit engin tendu glisser dans ma minette trempée de cyprine. Les attentions de Laëtitia avaient produit leurs effets… Mon violeur se remit en selle, me pénétrant brutalement, comme la première fois. Je sentis les deux bites s’entrechoquer en moi et entamer leur va-et-vient synchronisé. La vague de plaisir déferla, inattendue. Prise en sandwich, complètement prisonnière des deux verges qui m’empalaient, je haletai, en profitant de l’orgasme que je sentais monter dans mes reins, m’arc-boutant sur la bite qui me trouait le cul sans concession, écrasant mes seins contre le torse frêle de mon amant vaginal, et appuyant ma chatte sur sa courte pine qui la visitait intensément. Je frottai mon clitoris sur les poils roux, irritant le bouton délicat, pour augmenter la charge déferlante qui menaçait d’emporter ma dignité dans une tempête jouissive incontrôlable. Je me sentis partir, et gémis plus fort, me retenant de crier pour éviter d’avoir à affronter les queues de tous les pervers du camping. Je me cambrai encore, sentant les deux membres gonflés me limer les entrailles, et je jouis, sans retenue en mordant l’oreille de l’animateur rouquin qui murmurait des « oui oui oui » saccadés dans mon cou. Laëtitia s’accroupit à hauteur de mon visage et approcha sa moule fine, presque glabre. Je tendis le nez en haletant, l’effleurant au passage, tirant la langue lascivement pour essayer de la goûter. Elle restait tout juste hors de portée, suffisamment proche pour que je sente son excitation mouillée, mais trop loin pour que j’y fourre ma langue avide. Elle trempa les doigts dans sa chatte, en se masturbant mécaniquement, et me fit sucer le jus intime sur son majeur à plusieurs reprises.

Les coups de boutoirs dans mon anus prirent brusquement fin, mon violeur vint en longues saccades, au fond de mes intestins, un flot de sperme chaud que j’imaginai se mêler aux résidus de merde sombre. L’image me donna la nausée. Je suçai le doigt de Laëtitia avec un haut-le-cœur. Elle pensa que ma réaction était due à son petit manège.

- Douce Coralie n’aime pas le jus de sa chef ? Goûte mieux…

Elle me plaqua la tête contre sa chatte, que je léchais avec envie en sentant que l’animateur arrivait au bout de son plaisir, le nez dans le cul de Laëtitia. Il gémit en se vidant, m’emplissant le vagin d’une petite quantité de crème épaisse et chaude, que je sentis à peine – après la queue de Loïc, le petit asticot de l’animateur ne faisait pas le poids.

Mon violeur anal retira sa pine souillée de sperme et d’excréments de mon cul, je restai lovée dans les bras du rouquin, léchant toujours l’abricot ouvert de Laëtitia. Ma langue traçait le chemin de ses petites lèvres, récupérant le jus intime dans sa vulve et l’étalant jusque sur son clitoris, en un coup de langue appuyé, je la lapai avec délices, étonnée de l’énergie que j’y mettais – je n’étais pas portée sur les femmes, exceptée Véronique, sa fille, peut-être. L’animateur me labourait toujours dans le vide de sa queue qui avait débandé immédiatement, en continuant de lécher le périnée de la belle brune, le nez entre ses deux lobes bronzés – sans doute faisait-il semblant de me baiser juste pour continuer son festin de roi. Nos langues se touchaient de temps à autres, se mêlaient sur les atours délicieux de Laëtitia, qui nous regardait, comme une araignée peut regarder deux mouches se débattre dans sa toile, souriante, haletant discrètement.

Mon violeur vint se tenir debout devant elle, espérant qu’elle le sucerait. Elle sourit plus largement encore, et se releva.

- Coralie, nettoie le sexe de ces messieurs.

Le rouquin sourit et me fit rouler sous lui. Mon violeur se tint debout au-dessus de moi, et l’animateur le rejoignit, queue dans la main. Je me mis à genoux. Fermais les yeux. Et nettoyai les deux sexes enduits de sperme. Je m’attardai sous les plis de chaque gland, et récupérai la semence mêlée d’excréments jusque dans les poils de mon violeur. Les bites enflèrent à nouveau sous mes coups de langue et mes pincements de lèvres, je fis donc ce qu’on attendait de moi. Je les suçai tour à tour, branlant avec agilité les deux sexes dressés. L’animateur vint très vite, aspergeant mon visage de sperme presque transparent. Mon violeur mit plus de temps à craquer sous mes caresses insistantes, je l’enfournai au fond de ma gorge et l’aspirai littéralement, en me masturbant comme une damnée, la main sur mon sexe rasé, le suppliant de m’éjaculer sur le nez, ce qu’il finit par faire dans un râle rauque.

Laëtitia me tapota la tête.

- C’est très bien, Coralie. Tu es une bonne petite pute! Penche-toi, je ne veux voir que ton cul.

Je pleurai à nouveau, je tremblai de peur.

- S’il-vous-plaît, je vous en supplie…

Un coup de baguette me fouetta les seins.

- Obéis, ou je double le tarif!

Je m’enfouis la tête dans les bras, cul en l’air, chatte au grand jour, seins plaqués contre le sol, en pleurant convulsivement. Les cinq coups tombèrent, sévères, intransigeants, me zébrant le cul d’une morsure brûlante, plus difficile à supporter à chaque fois qu’ils s’abattaient.

Laëtitia me caressa le cul affectueusement.

- C’est très bien, douce Coralie. Tu as été très obéissante. Tu peux rejoindre ton mari. Venez Messieurs.

Je les entendis sortir du buisson. Je restais là, cul en l’air, pleurant toutes les larmes de mon corps.

La salope.

J'étais bien décidée à lui faire payer cette humiliation et chacun des coups qu’elle venait de me donner au centuple!.

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : L'asservissement de Miss Camping, par Alexis - Communauté : Soumissions féminines
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