Samedi 23 juillet 6 23 /07 /Juil 09:26

- Coralie ?

Je me réveillai doucement. Le chuchotement venait d'interrompre mon rêve, dans lequel la petite Véronique et moi nous embrassions sur la scène des animations du camping devant une foule de mecs qui se masturbaient les uns les autres. Le baiser était agréable et frais, mais la branlette collective me laissait un arrière-goût de sperme du gros José dans la bouche - qui persistait à mon réveil, vivement ma brosse-à-dents.

- Coralie ? Tu es réveillée ?

La voix chuchotante venait de l'extérieur de la tente.

- Mmm

La veille au soir, après que le campeur et Sarah soient repartis - Sarah voulait que j'aille "dire bonjour" à son mari et "faire connaissance avec lui", mais franchement, mon cul avait besoin de passer quelques heures loin des hommes - nous avions dîné et discuté avec Jean, une discussion normale, si l'on exceptait le moment où je lui avais lancé:

- Si tu as encore la force, je te dois une fellation, je m'appliquerai, tu verras.

Il avait paru étonné.

- Tu ne me dois rien - le gros ne t'a pas... euh... pénétrée.

J'avais souri.

- Lui, non, mais le masseur m'a "pénétrée" bien profondément. Il m'a baisée, avec ma participation pleine et entière, il a une queue phénoménale, j'ai joui comme rarement !

Jean avait hoché la tête, choqué. Ses yeux lançaient des éclairs.

- Oh. Je vois. Tu me suceras demain, alors. Et tu vas bien sentir passer ma queue à moi, même si elle n'est pas "phénoménale".

Je lui avais déposé un baiser furtif sur les lèvres en souriant.

Puis nous nous étions couchés, après un passage par les toilettes. Là, j'avais vu Véronique, avec son frère. Je leur avais fait un petit signe, mais n'avais pu leur parler, Laëtitia étant aux lavabos. En sortant des toilettes, j'eus la surprise de voir que Véronique attendait juste devant ma porte. Elle me repoussa dans le cabinet, un doigt sur la bouche me faisant signe de me taire. Elle avait refermé la porte, s'était tournée vers moi et avait chuchoté:

- Il faut que je vérifie quelque chose.

J'avais hoché la tête, un tremblement impatient dans le ventre, mon cœur s'emballant sans que je puisse me contrôler.

- Moi aussi, je crois.

Elle m'avait serrée dans ses bras, en m'embrassant. Le baiser m'avait fait partir totalement, je fouillais sa bouche avec ma langue, me délectant de la sienne, j'avais eu l'impression qu'il n'y aurait jamais rien de plus délicieux au monde que les lèvres légères et sucrées de mon adolescente blondinette. J'avais glissé les mains sous sa robe courte et lui avais griffé les fesses et caressé ses petits seins ronds, souhaitant que ce baiser ne cesse jamais.

Quand nos bouches s'étaient séparées, elle m'avait effleuré la chatte avec sa main et m'avait murmuré:

- Demain, mon père et mon frère vont pêcher toute la journée. Ma mère va faire les courses l'après-midi. On peut se voir après déjeuner pour continuer cette conversation ?

Son doigt était entré dans mon vagin. Je l'avais embrassée à nouveau, en hochant la tête, puis elle avait quitté discrètement le cabinet, dans lequel j'étais restée, pantelante, pendant encore quelques minutes.

J'avais dormi comme un bébé.

- Coralie, c'est Loïc.

Loïc ! Mon scout masseur ! Avait-il réussi à baiser Laëtitia, déjà ?

Je me glissai hors de mon duvet, nue, et ouvris la fermeture éclair de la tente sans faire de bruit, pour ne pas réveiller Jean. Je sortis la tête par l'ouverture et me retrouvai devant un sexe en érection, une bite de trente-cinq ou quarante centimètres tendue devant mon nez.

Loïc me sourit.

- Bonjour Coralie, "à toute heure du jour ou de la nuit", tu n'as pas oublié ?

Mon bel ado voulait me sauter à 7h du matin. Avec Jean dans la tente. L'idée était amusante... Si Jean se réveillait, il aurait sa récompense ! Je pris son membre dans ma bouche en écartant encore les mâchoires au maximum, et avalai sa bite à moitié, forçant ma gorge à s'ouvrir. Je restai ainsi quelque secondes, puis libérai le sexe, dégustant la raideur ferme au goût de savon. Si Jean s'éveillait, il aurait une vue imprenable sur mon cul ! Je glissai ma main sur ma minette et me caressai le clitoris pendant que je le suçai, profitant de chaque coup de langue que je prodiguais. Je lâchai finalement sa bonne glace et posai la question qui me brûlait la langue.

- Tu as pu masser Laëtitia ?

- Oui, m'dame ! Et j'ai même un petit film pour toi !

Il me tendit son portable.

- Cool, je peux le voir ?

- Tourne-toi, à quatre-pattes, et regarde pendant que je m'occupe de ta belle chatte toute rasée. Tu n'as qu'à appuyer sur "lire".

- Suce-moi un peu avant de me pénétrer, je ne suis pas bien réveillée. Et n'oublie pas de me caresser un peu - et pas que la moule !

Je n'arrivais pas à croire que je venais de prononcer cette phrase. J'étais si timide en arrivant au camping... Ce changement me plaisait, c'était si simple de dire les choses crûment ! Je rentrai dans la tente, laissant dépasser mon cul, genoux écartés, de manière à ce qu'il me prenne par derrière après avoir bien humecté mes lèvres encore toutes endormies.

Jean dormait comme un bébé. Je tirai le duvet jusqu'à ce qu'il m'apparaisse, nu, sexe en érection dans son sommeil. Si Loïc me sautait bien, je pourrais le réveiller en le suçant... je sentis la langue du beau scout lécher mon abricot, et ses mains merveilleuses me caresser le dos et les fesses. Je me cambrai, oubliant le film de Laëtitia, me laissant emporter dans la tourmente de sensations, ses doigts sur mes nichons, sur mes reins, mes épaules, sa langue sur mon clito, le long de ma fente, dans mon vagin, sur mon périnée. Je recommençai à me masturber, en donnant des coups de reins, sa langue pénétrant dans mon anus, comme une mini sodomie très douce. Je gémis quand son majeur entra dans mon vagin, et son pouce dans mon petit trou. Je me laissai faire quelques instants avant de protester, en chuchotant toujours:

- Eh, pas dans le cul, tu as d'abord un travail à faire pour moi...

- Ne t'inquiète pas, je mets juste le pouce... Tu aimes ?

Il m'enfonça les doigts plus profondément dans les deux trous, tout en me passant son autre main le long de mon dos, en une caresse intense et divine.

Je l'incitai à continuer, me sentant partir comme la première fois qu'il m'avait touchée.

- Je ne sais pas comment tu fais ça, c'est trop boooon... Mmm...

Loïc retira ses doigts de mes orifices et les inversa. Son majeur et son index forcèrent l'entrée de mon trou du cul tandis que son pouce explorait mon vagin. Il entama un lent va-et-vient, me plantant les doigts dans l'anus quand son pouce sortait de ma chatte, et l'y remettant bien profond lorsque des doigts libéraient mon cul. Il ajouta son annulaire à la sodomie, ses trois longs doigts me pénétrant avec douceur, m'écartelant presque au maximum de ce que je pouvais supporter.

- Eh, pas trop à la fois, tu vas me faire mal...!

Je sentis le sourire dans sa voix.

- Tu m'as promis que je pourrai te prendre dans le cul dès que j'aurai fait sa fête à ta copine. Mon sexe est bien plus gros que ces trois doigts...

C'était vrai. Je ne savais vraiment pas comment un rapport anal avec cette bite terrible allait se terminer pour moi... Elle me déchirerait probablement l'anus... Peut-être qu'avec beaucoup de vaseline, ça passerait mieux ? Je préférais ne pas y penser et changeai de sujet:

- Viens en moi, j'ai envie de ta queue - et ne te trompe pas d'orifice ! Continue à me masser partout pendant que tu me prends, j'adore.

- Partout ?

Je compris sa question et ne pus m'empêcher de sourire.

- Oui, même dans le cul, coquin. Allez, viens !

Il frotta sa bite sur mes fesses quelques minutes en soufflant, amenant son gland aux bords de mon orifice anal, et tournant dessus comme pour le pénétrer. Les lobes de mes fesses s'écartaient pour laisser passer son sexe énorme. Ma pastille céda une seconde et je sentis son gland entrer légèrement, mais j'eus un sursaut et le repoussai hors de mon cul.

- Pas maintenant, petit malin.

- J'ai envie de toi.

- Alors viens dans ma chatte. Elle est trempée. Dès que tu me touches, je mouille comme une ado.

Il glissa son sexe dans ma minette, d'un seul coup. J'eus l'impression qu'il voulait me transpercer jusqu'à la gorge. C'était  rude, mais la sensation était délicieuse. Il me caressait le dos et les seins, me pinçait les tétons, me branlait le clitoris. Puis il me mît son pouce dans mon cul en me tenant fermement une hanche. Il m'empalait sur sa queue, de plus en plus fort, de plus en plus vite, me plantant à nouveau trois doigts dans l'anus et les maintenant enfoncés pendant qu'il me limait. Je fermai les yeux, et, dans un réflexe, attrapai la bite de Jean, toujours endormi, et le branlai sauvagement, ne désirant rien tant que de la prendre dans ma bouche. Il se réveilla en sursaut et comprit tout de suite que je me faisais sauter, le cul hors de la tente. Loïc accélérait le rythme, ajoutant son auriculaire aux autres doigts qui me fourraient le cul, me déchirant les parois. Je couinais comme un hamster et donnai des grands coups en arrière pour qu'il me prenne plus loin, plus fort.

Jean me donna une claque sur la joue que je sentis à peine.

- T'es vraiment une pauvre salope ! Tu baises comme ça, ici, alors qu'on s'est même pas encore levé ! J'te déteste, t'es une pauv' pute !

Je haletais, je gémissais, je tirais sur sa pine dure entre mes doigts, sans me soucier de sa colère.

- Oh oui, je suis... oh... une méchante fille... aah... Viens dans ma bouche pour... oui... me punir... Je suis méchante, méchante, méchante... aah

Jean mit sa bite dans ma bouche violemment me l'enfonçant dans la gorge, toute entière, en regardant mon cul se faire défoncer par les doigts de Loïc. Il attrapa ma tête et maintînt sa bite au fond de ma gorge en m'appuyant très fort sur la nuque. Je ne pouvais plus respirer. Il donna des coups de reins, comme s'il me baisait, maintenant sa pine dans ma trachée. J'allais étouffer, j'étais sûre qu'il voulait me tuer, me suffoquer. Je le griffai, je hurlai. Enfin sa bite quitta ma gorge, ma langue, mes lèvres. Il me donna une nouvelle claque, plus forte. Je respirai un grand coup, crachant un flot de bave sur sa bite, avec un haut-le-cœur. Loïc me limait toujours ardemment.

Jean me prit l'arrière de la tête et força l'entrée de ma bouche, me baisa de nouveau jusque dans la gorge et tapant plusieurs fois dans ma trachée jusqu'à ce que je sois sur le point de m'évanouir par manque d'air. Il ressortit sa bite, me frappa à nouveau, me laissa prendre une inspiration, et baver sur son membre, et de nouveau il me viola la gorge.

Loïc me caressait le dos, me touchait les seins, me fourrait le cul avec ses doigts. Jean m'étouffait avec son sexe, le visage dur, en m'insultant de temps à autre.

- Tu aimes la bite, pauv' salope. Avale ça tout entier !

Il me donnait une claque chaque fois que sa bite sortait de ma bouche, mais je ne pleurai pas. Au contraire. Je lui souriais et ouvrais grand la bouche pour qu'il me l'enfonce au plus profond, espérant que ça le rendrait encore plus furieux. J'encourageais Loïc par des grands coups de reins, ses doigts dans mon cul faisaient des merveilles. Jean finit par éjaculer dans ma gorge, je bus son sperme à la source, avec un haut-le-cœur tant j'avais besoin de respirer. Il me libéra après que la dernière giclée ait fait son chemin, et me donna une dernière claque, moins appuyée. J'avais les joues en feu. Je serrai ma chatte sur la bite de Loïc qui la sortit d'un coup et jouit entre les doigts qui écartaient mon anus. Je sentis le liquide chaud entrer partiellement et couler le long de mes fesses, et me retournai rapidement pour prendre son sexe dans ma bouche et boire les quelques gouttes du nectar qui en sortaient encore. J'offrais ainsi à Jean une vue imprenable sur mon cul dégoulinant de sperme, sur mon anus écartelé par les quatre doigts du scout. Je pris mon temps pour nettoyer le sexe immense, en me masturbant sous le nez de Jean, bien cambrée. Je me concentrai sur les sensations que me procuraient cette belle bite, sur le corps musculeux de mon jeune amant, et je me fis jouir, bruyamment, sous les regards de mes deux hommes du matin.

Je pris une serviette et la mis sur mon duvet, pour m'asseoir sans le tacher de sperme. Je tirai Loïc dans la tente en l'attrapant par sa belle tige.

- Loïc, je te présente Jean, mon mari. Jean, je t'ai parlé de Loïc hier soir, et de sa queue très longue.

Loïc avait l'air gêné, et Jean était furibard. Je me massai les joues qui me brûlaient, bien décidée à me venger immédiatement - ce ne serait pas difficile.

- Loïc m'aide à régler le problème que j'ai avec Laëtitia. Moyennant quoi, il peut me faire l'amour quand il en a envie.

Je me tournai vers Loïc:

- Pour tes vingt copains, je suis d'accord pour les dépuceler. Tu me montreras ton emplacement, je les amuserai le soir, en en prenant quelques-uns à la fois. Je pense que ça se passera plutôt ici, c'est plus calme.

Loïc hocha la tête en souriant. Jean serra les poings. S'il ne m'avait pas frappée, j'aurais peut-être dit non aux petits scouts puceaux, mais là...

- Alors, on se le regarde, ce petit film de Laëtitia ?

J'appuyai sur la touche "lire" et le petit film commença. On y voyait Laëtitia, allongée sur le ventre, avant que Loïc ne la masse. Elle avait les yeux curieux, essayant de mater le bel ado, son mètre-quatre-vingt-dix, ses épaules larges et musculeuses, sa peau bronzée et fine. Elle souriait en le déshabillant du regard.

- Il ne s'est rien passé cette fois, me dit Loïc. Mais je pense qu'elle va me sauter dessus sans que je n'aie aucun effort à faire...

Lorsque le massage débuta, les mains de Loïc parcoururent le dos de la belle brune de quarante ans, des épaules jusqu'à la naissance des fesses. Elle ouvrit grand les yeux, respiration coupée. Puis elle fondit littéralement sur la table.

- Apparemment, tu lui as fait le même effet qu'à moi...

Le cul de Laëtitia se soulevait légèrement, à chaque passage des mains, et elle se mordait les lèvres, fermant les yeux, morte de désir. À un moment, Loïc lui tourna le dos pour prendre un peu d'huile, elle ramena ses bras le long de son corps et releva sa culotte, façon string, invitant le divin masseur à l'explorer plus avant. Elle ferma les yeux. Loïc sourit, et tira légèrement sur son short pour montrer son érection, bien moulée maintenant. Laëtitia s'en aperçut bien vite et ne quitta plus l'engin des yeux.

Loïc l'invita à se retourner, pour lui masser les épaules, le buste et les jambes. Elle ôta son haut de bikini. Le massage ne prit pas un tour plus sexuel par la seule volonté de mon ado masseur - qui, sans en avoir l'air, lui effleurait les nichons à chaque passage de ses grandes mains, et qui n'aurait eu aucun mal à répondre à la demande des tétons dressés. Laëtitia avait même écarté les cuisses légèrement lorsque Loïc lui avait massé les jambes !

Je hochai la tête, satisfaite.

- C'est parfait ! Mais pourquoi ne l'as tu pas sautée ? Elle n'attendait que ça !

Il jeta un coup d'œil nerveux à Jean.

- C'est à dire... Je venais de faire l'amour et je n'avais pas envie d'avoir une queue un peu molle...

- Tu la revois quand ?

- Comme tu lui offres dix séances, je la revois en fin d'après- midi, elle a des courses à faire avant, apparemment. Vers 17h à son mobil-home.

- C'est parfait ! Bon, je sais pas vous, messieurs, mais moi, je vais encore dormir un peu !

 

Je me rinçai le cul avec du PQ et de l'eau, et me lovai dans mon duvet. Je trouvai le sommeil immédiatement.

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : L'asservissement de Miss Camping, par Alexis - Communauté : Soumissions féminines
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Vendredi 22 juillet 5 22 /07 /Juil 20:25

Je manquai d’éclater de rire. Sarah eut un petit soupir amusé. Je la regardai en coin, puis m’approchai de Jean, et, faisant comme si rien d’anormal ne se produisait, je saluai le campeur.

- Bonjour ! Il travaille bien ?

Le jeune homme cessa de s’activer sur sa pine, l’air gêné.

- Euh… oui…

- Il a été coopératif avec vous ?

- Euh… très coopératif, oui. Il m’a expliqué pourquoi il était à poil dans le camping, et j’ai demandé si je pouvais le regarder travailler… Je crains d’avoir un peu dépassé le stade de l’observation… Faut dire que vous êtes bien isolés des regards, ici…

Il montrait les thuyas hauts, et les oliviers qui ornaient notre nouvel emplacement de camping. Jean semblait avoir avalé un litre d’acide chlorhydrique.

- Allons, ne soyez pas gêné par nous, faites comme si nous n’étions pas là. Vous êtes plutôt homo ?

Jean sursauta.

- Euh… non, pas vraiment. Mais j’ai toujours rêvé de… euh… de masturber un autre homme, et là, comment dire, l’occasion… euh…

Je souris férocement. Mon esprit humilié, mon corps maltraité, mes seins molestés, griffés, mon cul violé sans concession, ma minette fourragée et souillée, tout en moi criait vengeance.

- Ne vous gênez pas, surtout, si vous avez envie de masturber mon mari, servez-vous, approchez, il ne vous mangera pas. Il en tirera peut-être même quelque plaisir…

Jean, penché sur les sardines qu’il plantait, ferma les yeux, et serra son maillet en tremblant, mâchoires serrées. Sarah se tortilla derrière moi en chuchotant à mon oreille :

- Dommage, la place est prise…

Je lui serrai la main brièvement, lui faisant comprendre que je voulais qu’elle reste pour le spectacle.

Mais le jeune homme hochait la tête négativement.

- Oui, je sais, il se laisse bien faire, j’ai essayé tout à l’heure, mais impossible de le faire bander, son… pénis… reste tout mou.

Je regardai Jean d’un air de reproche.

- Oh, Jean, ce n’est pas bien de ne pas assister Monsieur dans son fantasme ! C’est vrai que tu as eu plusieurs rapports sexuels aujourd’hui, mais tout de même, tu pourrais faire un effort ! Tu as vu ceux que j’ai faits avec le gros porc, quand même !

Jean hésita, puis finit par répondre, d’une voix atone.

- Je… j’ai tout fait comme tu as demandé, Coralie, mais ça ne marche pas avec un homme, et je ne m’en plains pas vraiment…

Sarah avança vers mon mari. Elle dégrafa son paréo, dénudant son superbe corps bronzé. Elle ne portait pas de string.

- Je peux peut-être aider… ça ne te dérange pas, Coralie, si je m’octroie un petit plaisir avec ton mari ?

Je n’étais pas trop heureuse qu’une si belle femme puisse s’occuper de Jean, mais après Loïc et sa queue phénoménale, et la perspective de me taper ses vingt petits camarades, je pouvais bien fermer les yeux…

- Sers toi, du moment que notre ami réalise son fantasme…

Sarah m’envoya un petit baiser coquin avec sa bouche parfaite, puis elle prit la main du campeur, qui bandait de plus belle en la voyant nue devant lui. Elle fit s’agenouiller Jean, bite en avant, dans la main du jeune homme.

Puis elle enjamba Jean, plaçant sa chatte rasée et bien dessinée devant son nez, jambes écartées. Il devait avoir une vue en contre-plongée de son beau minou bronzé et de sa poitrine de déesse, et ne pas en croire ses yeux…

Elle était magnifique, je n’en revenais toujours pas. Un vrai mannequin de 50 ans, les dents éclatantes, le cul rebondi sans un gramme de cellulite, des seins fermes, généreux, la peau douce et le sexe glabre, que le gros José aurait adoré… Et ses avec quelques rides, plus charmantes que dégradantes, au coin de ses yeux, sur son cou et sur les côtés de ses nichons, elle était à croquer.

Elle caressa ses seins parfaits d’une main, et écarta son minou de l’autre, se baissant pour que les lèvres de Jean l’effleurent. Elle se masturbait, se frottait sur sa bouche, malaxait ses gros lolos, le tout dans un déhanchement sensuel. Les doigts du campeur s’activaient sur la queue de mon mari, il n’avait d’yeux que pour le sexe qui gonflait, lentement, dans sa main, et ne faisait pas attention aux fesses rebondies de Sarah. Elle avait un tatouage à la naissance de ses fesses, un petit papillon bleu foncé, qui invitait à explorer la raie plus avant, qui semblait demander à ce que les doigts ou la langue – ou un membre masculin – viennent révéler le petit orifice appétissant qui se cachait au creux de ces divins lobes.

Elle haleta discrètement quand la langue de Jean plongea au creux de sa chatte, la baisant aussi sûrement qu’une bite aurait pu le faire. Il ouvrit la bouche au maximum, essayant de planter sa langue jusqu’aux tréfonds de la belle moule avide, la léchait comme un veau tête sa mère, cou tendu, menton en avant, yeux fermés, nez dans son clito. Toujours à genoux, il prit les fesses délicieuses dans ses mains, et les caressa méticuleusement, pouce par pouce, se délectant de leur texture soyeuse et de leur fermeté rebondie. Sarah attrapa sa tête, et enfila la langue plus loin, en gémissant de plaisir. Jean donnait des coups de queue sans s’en rendre compte, oubliant que c’était un homme qui l’astiquait.

Je regardais le spectacle avec un plaisir inouï. Le campeur, souriant comme un ange, se branlait en même temps qu’il masturbait Jean, qui avait maintenant la trique des bons jours, rouge et gonflée d’une semence prête à être récoltée. Plus ça allait, plus le visage du campeur s’approchait de la bite au garde-à-vous, et je voyais arriver le moment où il allait la goûter, emmenant son fantasme vers d’autres horizons.

Mais Sarah en décida autrement. Elle quitta sa place de choix, laissant les deux hommes à leur affaire. Elle me prit la main, et m’attira vers les garçons. Jean semblait moins enthousiaste à la vue du campeur excité qui lui serrait la bite en essayant d’en tirer son précieux jus. Cela ne dura pas. Sarah enjamba de nouveau Jean, lui présentant son cul, cette fois, et m’invita à la rejoindre. J’enjambai mon mari à mon tour, face à la belle princesse, et acceptait son baiser, pendant qu’elle me caressait les seins et la chatte, s’abandonnant aux sensations que lui procuraient ma langue dans sa bouche et celle de Jean dans son cul et dans sa minette offerte.

Le campeur astiquait toujours Jean, mais ne semblait plus vouloir le sucer. A la place, je sentis sa langue sur mes fesses, et son autre main sous mon ventre, doigts entremêlés avec ceux de Sarah, si bien que je ne savais plus lequel des deux me pénétrait ni lequel me caressait. Je malaxai les beaux seins bronzés de Sarah, et, décidée à en profiter au maximum, m’empalait sur les doigts mêlés, en accentuant la force du baiser que j’échangeai avec elle. Elle embrassait vraiment très bien, sa langue était agréable dans ma bouche, elle souriait, heureuse, son parfum enivrant emplissait mes narines. Son expérience de femme d’âge mûr se ressentait dans ses caresses, dans son baiser, dans cet abandon incroyablement simple qu’elle me faisait partager. Ses doigts (ou ceux du campeur ?) tournaient sur mon clitoris, s’enfonçaient délicatement en moi, m’effleuraient les lèvres rasées, tâtaient mon périnée et se permettaient d’entrer dans mon petit trou, que j’offrais de bon cœur aux caresses appuyées.

Jean se tendit, et éjacula dans les doigts du campeur, qui vint dans un râle, projetant du sperme jusque sur la bite qu’il venait de faire jouir, éclaboussant mes jambes au passage, quelques gouttes atterrissant sur les pieds de Sarah.

Nous enjambâmes les deux hommes, et je laissai Sarah s’agenouiller, leurs bites entre ses mains, récoltant le sperme avec les lèvres, la langue, et me présentant sa croupe attirante, parfaite,  jambes écartées. J’y glissai mes doigts, et la pénétrait sans hâte, avec douceur, n’espérant pas lui procurer une grande jouissance, plutôt un doux plaisir. Elle léchait les membres ratatinés et souillés avec méthode, s’attardant sur les poils, sur le gland, sous les couilles, jusqu’à ce qu’ils soient parfaitement nettoyés. Elle m’encouragea à la fourrer plus fort, mais j’avais peu d’appétit pour les femmes, et je continuai quelques minutes à aller et venir entre ses lèvres, hasardant un doigt dans son anus, par curiosité. Elle donna un grand coup de reins et mon doigt pénétra jusqu’à la paume. Elle se tourna et me regarda pendant que je jouai dans son cul de déesse, en souriant, bouche entrouverte. Elle entama un va-et-vient plus rapide, et me dit en haletant :

- Il faudra que l’on se fasse une petite séance de massage toutes les deux. Tu ne crois pas ?

Je vis Jean lever les yeux au ciel, désespéré.

- J’ai hâte d’y être, dis-je pour le titiller. Tu es si belle que je deviendrai presque lesbienne rien qu’à te regarder.

Elle rit et reprit l’exploration des bites molles en susurrant :

- Ne te prive pas des hommes, une bonne queue dès qu’on le peut, il n’y a rien de tel pour garder la forme…

Je me dis que si baiser à ce rythme pouvait me donner son corps de déesse, je resterais miss camping pour le restant de mes jours sans hésiter…

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : L'asservissement de Miss Camping, par Alexis - Communauté : Soumissions féminines
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Vendredi 22 juillet 5 22 /07 /Juil 20:24

Jean me réveilla peu avant la séance de massage. Nous avions mangé en silence, une salade et deux sandwiches, accompagnés d'une bière fraîche, puis je m'étais allongée à l'ombre, à côté de la tente, légèrement cachée par les arbustes secs qui bordaient notre parcelle, mais suffisamment visible pour que les vacanciers qui passaient sur le chemin puissent me mater. Jean ne m'avait pas demandé de le sucer, après l'épisode de la douche, mais je ne savais pas si c'était parce qu'il ne pouvait plus bander après deux rapports sexuels dans la journée, ou parce que, techniquement, le gros José ne m'avait pas sautée. Un doigt dans le vagin, une branlette, une fellation et des bouillons de sperme rance avalés de force n'étaient pas de la baise à proprement parler. Ou peut-être était-il trop dégoûté pour vouloir que je le prenne en bouche... Il n'était pas au bout de ses peines, dans ce cas !

Je m'étais vite endormie, pendant que Jean faisait le tour du camping à la recherche d'un emplacement isolé pour notre tente - afin que je puisse y recevoir discrètement les messieurs et les demoiselles que j'inviterais à disposer de moi au calme.

Avant qu'il ne parte, il m'avait raconté que plusieurs campeurs l'avaient abordé, lui demandant pourquoi il se baladait à poil, et qu'il n'avait pas trop su répondre.

- Si on te pose la question, avais-je dit, tu répondras que tu es le mari de miss camping, et que tu partages sa nudité, parce que je ne veux pas être seule à me faire peloter par tout le monde. Tu leur diras - hommes ou femmes - qu'ils peuvent te toucher comme ils le souhaitent et que si tu n'obéis pas, ils n'ont qu'à me le dire, je ferai ma valise immédiatement. Et s'il y en a un qui t'encule dans une douche ouverte devant une dizaine de campeurs, tu auras une idée de comment je me suis sentie ce matin !

 

Il avait hoché la tête, docile, et était parti, cul nu, pine à l'air, dans son exploration du camping.

Je m'étirai, bien en vue, plus reposée que je ne l'aurais cru possible. Jean déplantait les sardines de la tente. Les sacs étaient déjà chargés dans le coffre de la voiture grand ouvert.

- J'ai trouvé un emplacement qui te conviendra, je pense. C'est le numéro 1. Il est en plein milieu du camping, le long du chemin qui mène à la plage, à côté de sanitaires.

Je ne comprenais pas comment la tente serait isolée dans ces conditions, mais je lui faisais confiance, il avait, lui aussi, toutes les raisons de s'abriter des regards. Je me montrai conciliante.

- Je vais au massage. Prends les sous, tu me montreras en chemin.

Nous arrivâmes vite à l'emplacement qu'il m'avait décrit. Effectivement, il était à peu près au centre du camping, tout proche du chemin de la plage et à dix mètres des douches. C'était une parcelle complètement invisible, entourée de grands thuyas, et ornée de deux oliviers énormes, qui prodiguaient une ombre bienvenue. On y entrait par une trouée dans les thuyas, mais en garant la voiture juste devant, les arbustes protègeraient totalement notre intimité.

- C'est parfait, dis-je sincèrement. Tu peux installer la tente, je te rejoins après la séance de massage - je serai peut-être accompagnée, ne sois pas étonné.

Il hocha la tête, et marcha à mes côtés, sans un mot de plus, jusqu'à la piscine.

Quelques femmes faisaient la queue, installées sur des bancs, près de deux grandes tentes blanches. Parmi elles, Laëtitia, Véronique, et, juste devant, Sarah, toujours aussi belle dans un paréo bleu nuit, qui discutait avec l'une des filles que j'avais vues aux lavabos, après que le gros porc se soit soulagé sur moi.

Sarah m'aperçut, elle sourit en scandant:

- Faites place à notre miss camping ! Viens, Coralie, à toi l'honneur du premier massage !

Je me frayai un chemin, seins hauts, démarche chaloupée, mes belles fesses - marquées des coups de cravache - attirant les regards curieux ou voyeurs des campeuses et de leur maris, mais ce fut ma minette rasée qui contribua certainement à l'effet enivrant que je provoquai sur mon passage. Quand je fus à hauteur de Laëtitia, qui me gratifia d'un "sale pute" très audible, je pus voir le regard intense de Véronique, auquel je répondis par un petit clin d'oeil mutin. Elle eut un sourire en coin, et mon ventre me chatouilla agréablement.

Sarah m'accueillit à bras ouvert, en me faisant deux bises légères.

- Ça n'a pas encore commencé, tu seras la première à te faire dorloter, je te conseille la tente de gauche, le gars qui y est entré est à croquer !

Un panneau à l'entrée indiquait que les scouts du coin massaient pour quinze euro la demi-heure, pour financer un voyage en faveur d'enfants d'une œuvre catholique. Au moins, je n'avais pas trop à m'inquiéter: un massage de scout catho, il y avait sans doute plus érotique...

Elle me fit une place à côté d'elle et me présenta à sa copine, Sylvie, enseignante, une jolie femme, la quarantaine, aux yeux très doux, sourire coquin avec la langue qui tâtait souvent ses dents, en un tic adorable. Je ne pus que remarquer ses petits seins ronds, un peu molassons, et ses fesses amples, rebondies mais pas grosses, dans un maillot de bain blanc très serré. Elle était gentille et agréable, et je passai ainsi les minutes avant 19h à discuter gaiement, oubliant ma nudité.

A l'heure dite, Sarah me fit une bise plus appuyée en me murmurant à l'oreille:

- Si tu le trouves à ton goût, goûte-le, surtout.

Elle me fit un petit clin d'oeil et me poussa à entrer dans la tente de massage.

Un jeune homme finissait de ranger ses crèmes et ses bouteilles d'huiles essentielles - cela sentait très bon déjà. Pour un scout, il était effectivement magnifique !

Il mesurait plus de 1m90, tout en longueur, une musculature très fine mais impressionnante, celle d'un nageur, ou d'un basketteur peut-être. Il portait un short rouge mi-long et un foulard de scout autour du cou.

Il s'aperçut de ma présence et sourit, intimidé par ma nudité.

- Bonjour... Euh... Vous n'êtes pas obligée de vous déshabiller totalement, vous savez...

Je lui expliquai rapidement l'histoire du concours des miss.

- Oh, je comprends.

Il ne semblait pas très à l'aise. Je m'allongeai sur la table, sur le ventre. Il vit les marques rouges sur mes fesses.

- J'ai un onguent pour ce type d'irritation. Ça chauffe un peu mais vous n'aurez plus rien au bout de quelques heures.

Je hochai la tête.

- Avec plaisir, alors. Tu m'en étaleras aussi sur les seins, j'ai quelques griffures très désagréables, et c'est une zone assez sensible chez moi... Fais-moi ce qui te paraît le mieux pour me détendre, je suis toute à toi.

Il sourit gentiment et posa ses mains sur mon dos. Et là, ce fut le choc: Ses mains étaient divines, elles m'électrisaient totalement ! Il parcourut mon dos, lentement, massant avec douceur. Mon rythme cardiaque s'accéléra, ma respiration se fit plus rapide, je me sentais mouiller comme une adolescente au printemps. J'essayai de me contrôler, j'avais eu plus de sexe dans cette seule journée qu'en un mois de temps avec Jean, question intensité, je ne pouvais tout de même pas avoir encore envie de me faire prendre ici !

Sans se rendre compte de rien, le scout masseur prit une pommade, s'en mît un peu sur les mains et l'appliqua sur mes fesses blessées. Je grimaçai. Il s'en aperçut et me dit doucement:

- La crème va vous brûler un instant, mais ça ne va pas durer.

Je fermai les yeux. Ses mains me malaxaient les fesses, et la sensation de chaleur s'estompa, pour laisser place à une fraîcheur réparatrice. Les caresses se firent plus prononcées, il s'attardait sur mon cul, ses pouces entrouvrant ma raie, ses mains continuant d'affoler mes sens. J'écartai un peu les jambes, l'incitant à laisser promener ses doigts un peu plus loin entre mes cuisses, consciente d'exposer mon petit trou à son regard.

Il me massa les jambes, les mollets, les pieds, et remonta vers mes fesses, mon dos, je m'abandonnai totalement, gémissant parfois, lorsque, passant sur mes omoplates, ses doigts effleuraient mes seins. Il passa sur le devant de la table, à hauteur de mon visage, pour me masser le cou. Je rouvris les yeux. Son sexe dépassait légèrement de son caleçon, un gland énorme, de la taille de mon poing. Mon ventre se tordit de désir en constatant la force de son érection.

- Je te plais ? demandai-je d'un ton léger. Si j'en juge par ton engin, je dirais que oui...

- Oh je suis désolé, dit-il d'un air gêné, je n'ai pas l'habitude de masser des filles nues... Et vous êtes très belle.

- Ce n'est rien. Tes mains sont merveilleuses, je me demande ce qu'elles me feraient dans des endroits plus intimes... Je peux te toucher pendant que tu me masses ?

Il déglutit. Je pris ça pour un 'oui'. J'abaissai son caleçon, et libérai une bite énorme qui se déroula comme la trompe d'un éléphant. Je la pris à deux mains, mais sa verge était si longue qu'un bon morceau dépassait encore de celles-ci. Je le branlais lentement pendant que, penché sur moi, il me massait le bas du dos. Je l'attirai au bord de la table, et pris son gland dans ma bouche, ouvrant grand les mâchoires pour y parvenir sans qu'il sente mes dents... Ses mains malaxèrent mes fesses, j'écartai les jambes, et sentis ses doigts glisser vers ma chatte trempée, puis la pénétrer toujours avec douceur. Je soulevai les fesses pour m'empaler plus profond sur ses doigts et poussai sa longue bite au fond de ma gorge. Elle était trop grosse, mais je la dégustai réellement, au sens propre du mot, ressentant un plaisir indicible à sentir ce gros membre battre et glisser sur ma langue, taper sur ma gorge, essayant de se frayer un chemin dans ma trachée. Je libérai le sexe délicieux, crachait dessus un flot de salive et le happai à nouveau, mâchoire écartelée, langue enveloppante, toutes papilles dehors. Je ne pouvais pas en avaler plus de la moitié, mais je m'activai pour le branler en l'enfonçant le plus loin possible dans ma gorge. Ses doigts faisaient des merveilles dans ma chatte, je voulais qu'il me prenne et me mette son bâton de joie bien profondément dans mes entrailles, qu'il me lime avec ardeur, qu'il me fasse jouir comme jamais. Je crachais encore un flot de bave sur son sexe immense, et lui souris, haletante, titillant sous le méat avec le bout de ma langue.

- Je ne savais pas que les scouts avaient des bites aussi grosses ! Tu as beaucoup de copains à me présenter ?

Il m'embrassa. Puis Je le repris dans ma bouche, en un baiser passionné. Il hésita et chuchota, excité:

- On est une vingtaine dans ma patrouille...

Je ris en le libérant lentement, évacuant la salive en bavant sur son gland gonflé.

- Baise-moi, déjà, on verra plus tard pour les autres !

Je m'allongeai sur le dos, jambes écartées, chatte ouverte, offerte, abandonnée. Il se mit un peu de crème sur les doigts et malaxa mes seins griffés, qui paraissaient minuscules dans ses grandes mains, en frottant son membre sur ma fente rasée et mouillée, écartant les lèvres, s'humectant de mon jus généreux. C'était divin. Je pensai à Laëtitia et eut une idée démoniaque. Mes seins brûlèrent sous la crème, puis se rafraîchirent, me procurant une sensation très intense, qui se répercuta dans tout mon corps, mon clitoris battant au rythme de mon cœur emballé. Il me fallait ce sexe dans ma chatte, vite !

- Viens !

Je saisis son membre à deux mains et le plantait en moi, en gémissant de bonheur. Je sentis l'énorme engin pénétrer au plus profond dans la chaleur moite de ma minette, puis ressortir presque entier, avant de revenir, puissant et doux à la fois, dans une extase jouissive, je mouillai comme lors de ma première fois. Je lui attrapai les fesses et le tirai en moi, contemplant son corps musculeux, ses traits fins, je le baisais, je le sautais, je m'en servais comme d'un gode vivant, accueillant sa bite divine au fin fond de mon corps, minou déchiré mais affamé.

Je me masturbai, ma main tournoyant sur mon sexe rasé, tandis qu'il me prenait par les hanches et m'empalait, me transperçait, me libérait et m'empalait encore sur son membre énorme dans un va-et-vient bestial et joyeux.

- Viens dans ma bouche, je veux te boire tout entier.

Il sourit, accéléra la cadence dans ma chatte, sortit tout entier et, bite à la main, vint vers mon visage. J'ouvris la bouche en grand et accueillis les jets chauds et odorants sur ma langue, avalant de grosses gorgées crémeuses, gluantes, au rythme de son éjaculation bouillonnante et interminable. Pas de haut-le-coeur cette fois, je buvais son nectar comme un bon vin, me délectant de la moindre goutte, essayant d'en extraire davantage en pressant son sexe entre mes doigts et en le branlant sans répit. Je le suçai encore longtemps après le dernier jet, la dernière gorgée, satisfaite et heureuse, jambes écartées, tandis qu'il me masturbait lentement, tout à son plaisir, à son désir étanché. Je le serrai dans mes bras, pressant mes seins contre son corps musculeux.

- C'était magique.

- Pour moi aussi.

Je pensais un instant à ce que j'allais dire, comment j'allais amener mon idée, et je me lançai, en jouant encore avec son sexe incroyable.

- J'ai un marché à te proposer. Si tu me rends un petit service, tu pourras m'avoir tous les jours si tu le veux.

Il hocha la tête, impatient.

- Quel service ?

- Il y a une nana dehors, brune-rousse, la quarantaine, jolis seins, taches de rousseur.

Il entrouvrit la tente et jeta un oeil.

- Je la vois.

- Elle s'appelle Laetitia, et je voudrais que tu lui fasses dix séances de massage. Tu lui dis que je lui offre pour me faire pardonner.

Il parut étonné.

- C'est tout ?

- Non. Je voudrais que tu la séduises, avec ton beau corps et tes mains merveilleuses, et que tu lui fasses l'amour. Et que tu en aies une preuve, photo ou film. Elle a un film sur moi et m'a violentée, je veux me venger. Avoir un moyen de pression sur elle.

- Je peux faire ça. Mon téléphone permet de filmer, ça peut faciliter les choses.

Je jubilai.

- Si tu essayes, tu me montres les films chaque jour. En échange, tu peux me prendre où tu veux, quand tu veux, à toute heure du jour ou de la nuit. Je suis à l'emplacement numéro 1 pendant encore trois semaines et je serai heureuse de te retrouver !

Il semblait tout excité.

- Si tu arrives à la baiser, et à avoir le film, je t'offrirai mon petit trou. Une belle sodomie, tu pourras me mettre ta bite entière dans l'anus, et me fourrer jusqu'à ce que tu aies la trique qui fume !

Il déglutit. Aux anges. Je ne savais pas comment je pourrais me faire prendre par une aussi grosse et longue tige, mais je le ferais.

Il réfléchit un instant, et me dit:

- Je suis d'accord, mais je voudrais que tu acceptes aussi de t'occuper de mes copains de la patrouille.

Mon cœur manqua un battement. Vingt mecs ! Il eut un regard d'excuse et expliqua:

- Beaucoup sont encore puceaux, ce serait vraiment sympa...

- Je...

Vingt mecs ! Je pensai à Laetitia, à la cravache, au concours des miss, à Jean, au gros porc, à ma vengeance. Vingt mecs !

- Ils sont majeurs ?

- Si tu veux vraiment savoir, je ne le suis que depuis dix jours.....

Je tressaillais. t:

- Mais... Tu n'es pas obligée, tu sais. J'accepte le marché tel quel: toi à n'importe quel moment, où et quand je veux, et, si j'y arrive, tu m'offres ton... cul. C'est déjà génial pour moi !

Je ne répondais toujours pas. Il était à peine majeur, avec ce corps, ces muscles, cette bite formidable...  Et il voulait que je me tape ses copains, vingt mecs...! Mais en même temps, il n'en faisait pas une condition, et ma minette en avait vu d'autres depuis quelques jours.

J'hésitai.

- Pour tes copains, je vais réfléchir. Si j'accepte, ce ne sera pas les vingt en même temps, en tout cas. Et aucun ne me la mettra dans le cul. Toi seulement. Ok ?

Il exultait.

- Oui, tout ce que tu veux.

- Et aucun de moins de 18 ans.

- Ok.

- C'est important. A cet âge ils sont capables de comprendre ce qu'ils vont faire... C'est à cet âge que j'ai eu mon premier rapport, et je savais très bien ce que ça impliquait...

- ok, ok, tout ce que tu voudras, vraiment.

Il m'embrassa.

- Je m'appelle Loïc, au fait. Et toi ?

On avait baisé comme des bêtes sans même connaître nos prénoms !

- Coralie. Enchantée. Je me mis à genoux, fis un dernier baiser sur son sexe et remontait son caleçon. Rappelle-toi: je veux voir les films, même s'il ne se passe rien, et que tu me racontes tout !

Il me sourit, me passa la main sur les seins, et m'attira à lui en me prenant par les fesses.

- Emplacement numéro 1 et sodomie, je n'oublierai pas.

Je sortis de la tente, un peu désorientée, une douce torpeur dans tout le corps. Sarah m'attendait.

Elle marcha à mes côtés tandis que Laëtitia entrait dans la tente de Loïc. Mon cœur battait dans mon ventre...

- Je me suis fait masser dans l'autre tente, expliqua-t-elle. Approche.

J'obéis. Elle me montra une goutte blanchâtre sur sa langue, et m'embrassa. Je lui rendis son baiser léger et goûtai le sperme qu'elle m'avait gardé sous sa langue.

Je lui souris en disant:

- J'ai été plus gourmande que toi, avec mon scout... J'ai tout avalé...!

Elle rit de bon cœur et m'accompagna un moment, en discutant gaiement, me racontant par le menu ce qu'elle avait fait avec son scout, un blond aux yeux bleus qui avait bandé hors de son caleçon dès qu'elle avait ôté son paréo, et s'était retrouvée nue devant lui. Il ne s'était pas fait prier pour que le massage devienne plus intime !

- En parlant de ça, me dit-elle, comment ça se fait que ton mari se promène le zguègue à l'air ?

J'éclatai de rire et lui expliquai.

- Il a accepté ? Il est plus ouvert qu'il n'en a l'air... Ça ne t'embête pas si je viens le titiller un peu ?

- Pas du tout ! On arrive à mon nouvel emplacement, viens avec moi !

Nous passâmes l'entrée de thuyas et constatâmes que Jean n'était pas seul à monter la tente. Un campeur le matait à poil, son sexe en érection dans sa main...

 

Par histoires-erotiques-de-soumission-feminine - Publié dans : L'asservissement de Miss Camping, par Alexis - Communauté : Soumissions féminines
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Vendredi 22 juillet 5 22 /07 /Juil 19:58

Je pris ma trousse de toilette, mon rasoir et mon savon intime, et suivis Jean hors de la tente, nue, serviette de bain dans la main. Le soleil était haut dans le ciel, les cigales chantaient, l'air sentait bon les essences du sud, j'eus soudain l'impression de respirer enfin.

Jean, qui attirait les regards plus que moi sur le sentier qui menait aux sanitaires, semblait moins à son aise, avec son sexe à l'air et ses fesses blanches.

Arrivée à la douche sans avoir subi de sollicitations, je décidai de tester le petit contrat que je venais de passer avec lui.

- Va chercher le gros porc à la piscine, celui qui voulait me "glisser les doigts dans la moule". Tu attendras qu'il n'y ait personne pour vous voir, tu entreras dans ma douche avec lui, et tu me regarderas me soumettre a lui. S'il me baise, tu auras ta récompense, si tu es encore capable de bander aujourd'hui.

Il eut un mouvement de recul. Me fixa un instant, implorant. Je haussai un sourcil. Il hocha la tête et sortit.

Je n'avais aucune envie de toucher au type de la piscine, l'idée me donnait envie de vomir. Mais je voulais me venger de Jean, et ne reculerais devant rien.

Je fis couler l'eau de la douche, froide sur ma peau, me savonnai le sexe, et passai le rasoir une première fois, avec méthodologie et précaution. Je commencai juste à la naissance des poils , une main sous le nombril. Ma minette était peu fournie et le rasoir ne rencontra pas de résistance. Puis la lame longea mes grandes lèvres, en remontant des fesses vers le clitoris, et s'affaira sur les bords intérieurs, le long de ma vulve. Mes doigts écartaient bien mes petites lèvres et glissaient parfois, pénétrant mon vagin irrité.

Je me rinçai. Ma chatte était toute douce, je me rappelai l'abricot délicat de Véronique et sa saveur salée, ressentant une vague de désir dans le bas-ventre. Il faudrait que je parle avec elle au plus tôt, pour comprendre cette attirance et voir si elle était partagée.

Jean chuchota à la porte.

- Coralie, ouvre, vite...

Une onde de dégout m'étreint l'estomac, mais je respirai par le nez, et entrouvris la porte. Le type aux yeux porcins entra en premier, suivi de mon mari.

- Je le crois pas ! chuchota le gros (manifestement Jean lui avait demandé de rester discret) Miss Camping s'est rasé le minou pour José !

Je me demandai si j'allais réellement vomir.

- J'ai fait ce que vous m'avez demandé.

Jean ferma les yeux, au désespoir. Le gros souffla bruyamment, mais il se rappela de chuchoter.

- Oh la jolie salope, elle est bien obéissante n'est-ce-pas ? Montre-moi ton gros cul, ma beauté.

Je collai mes seins contre le carrelage blanc de la douche, retenant ma nausée et tendit mes fesses rouges, cambrée, prête a accueillir sa bite, soumise. Il me reluqua, et se pencha pour me lécher. Sa langue était chaude et grasse, son haleine lourde. Il soufflait, devenant presque violet d'excitation.

- À genoux, maintenant, et monte tes seins bien hauts en te léchant les lèvres.

Je m'agenouillai en silence, la bonne élève obéissant au maître, et le regardai, sentant la bile monter dans ma gorge. Je me caressai les seins et jouai de ma langue sur mes lèvres, craignant qu'il ne me demande une fellation. Je titillai mes tétons et me les pinçai sans exprimer le moindre sentiment, passive.

- Aaaah que tu es gentille, petite Miss. Debout, montre-moi la moule que tu m'as préparée.

Jean me fixait des yeux. Il transpirait presque autant que le gros porc. Je le regardais sans ciller, impavide.

Je me relevai et appuyai mon dos contre le carrelage blanc. L'eau de la douche coula sur mes épaules, mes seins, mon ventre, mon sexe nu et ma fente fine, bien dessinée. Là encore, je me cambrai pour qu'il me prenne devant Jean. J'écartai les lèvres rasées de ma chatte, attendant le sexe du maître avec soumission, exposant mon clito rose à sa vue.

Les yeux porcins me reluquèrent encore, mais le type ne semblait pas vouloir me baiser tout de suite. Il prenait son temps. Il abaissa son maillot et en sortit un petit boudin rose, dépassant a peine des plis de son ventre, qu'il commença a masturber.

- C'est ca, ma belle, touche-toi. Branle-toi devant José, et jouis pour moi.

Je caressai mes seins d'une main et explorai ma minette soyeuse de l'autre, surmontant à peine mon aversion pour ce gros pervers. Mes doigts vinrent chatouiller mon clitoris, index et majeur tournoyant dessus à l'unisson. Je ne ressentais rien, comme si mon minou était soudain devenu insensible. Le gros s'astiquait joyeusement, son morceau épais disparaissant dans sa main boudinée. Son autre main approcha de ma vulve.

- Cambre-toi encore, et griffe-toi les seins pendant que je t'emmène au ciel.

Je déglutis, au supplice, mais je fis ce qu'il me demandait. Jean fulminait, poings serrés.

Je plantais mes ongles dans mes nichons avec force, espérant que la douleur me ferait moins ressentir le boudin quand il me pénétrerait, et les griffais, des mamelons jusqu'aux côtes.

Mais le gros ne me sautait toujours pas. Il écrasa mon clito entre son pouce et son index, et m'empala sur son majeur qui entra dans ma minette en me faisant un mal de chien. Il se masturbait en soufflant, enfonçant son doigt avec violence entre mes lèvres épilées. Les allers et retours se succédaient, sans douceur, durs et violents, me vrillant la chatte à chaque passage. Le gros soufflait de plus en plus fort.

- À genoux, chuchota-t-il, ouvre ta bouche et montre-moi comment tu te branles.

J'obéissai. Je me campai bien droite, sur mes genoux, cuisses écartées, une main sur ma minette. J'approchai mon autre main de sa bite, pour l'aider à se finir, mais il la repoussa, à mon grand soulagement.

- Non ma belle, je connais mieux ma queue que toi - tu ne me branleras jamais aussi bien que moi ! Ouvre grand la bouche, je vais te la remplir jusqu'à ras-bord ! Ta langue, vite !

J'approchai, langue dehors, mais bouche fermée, il colla son gland sur mon visage et vint dans un râle. Un gros bouillon de sperme jaillit sur mes lèvres, suivit d'un second, qui m'entra dans les narines. J'ouvris la bouche pour respirer, un troisième jet finit sur mon palais, baignant mes dents d'une crème gluante. Je tournai la tête, avec un haut-le-coeur. Il éjacula sur mes joues, mon nez, mes yeux, mes lèvres, ça n'en finissait pas. Des gouttes de sperme coulaient de mon visage sur mes seins, il les regardait avec lubricité. Un dernier spasme, une coulée de sperme sur sa main, qu'il essuya dans mes cheveux, sans tendresse, comme on s'essuie sur un kleenex.

- Tu n'as pas bien ouvert la bouche, méchante fille, tu en as partout sur ta frimousse. Récupère le sperme de José et avale-le jusqu'à la dernière lichette. Et n'arrête pas de te fouiller la moule, j'adore voir les putes se caresser toutes seules.

Je ne cachai plus mon dégout, mais j'obéissais, sous les yeux de Jean, qui ne bandait pas, et qui avait des envies de meurtre dans les yeux.

J'essuyai le sperme de mon front et de mes joues avec les doigts, aspirai la récolte avec les lèvres, et eus un haut-le-cœur en avalant. Son sperme avait un goût rance de poisson pas frais. J'introduisis mon majeur dans mon vagin sec, cambrée en avant, comme une pisseuse. Je récupérai la semence glauque sur mon menton et la portait a la bouche, avec un nouveau haut-le-cœur en fixant mon mari des yeux. J'avalais encore. Le gros frottait sa bite sur mon visage, raclant son sperme et l'offrant à mes lèvres. Je léchai son gland collant, espérant que ma nausée n'allait pas me voir vomir à ses pieds.

- Sur tes seins, regarde.

Je grattai les gouttes agglomérées sur mes nichons et les gobai a contre-cœur.

- Et sur le carrelage, là, dans le coin.

Quelques jets jaunis étaient collés là, mais je n'étais pas sure qu'il s'agissait de son foutre à lui - plus probablement celui d'un ado qui s'était soulagé en prenant sa douche plus tôt dans la journée. Le gros semblait penser de même, se repaissant d'avance de mon refus, espérant peut-être me frapper si je ne me soumettais pas à ses désirs. Mais je ne protestai pas, et ramassai un peu du liquide à moitié congelé et très gluant sur un carreau, puis le portai à mes lèvres. Pas le même goût. Ce sperme n'était pas le sien. Je fis une grimace en l'avalant.

- Oh la coquine, elle aime le foutre...! Il en reste, régale-toi !

 Je me baissai, et léchai le mur, fesses en l'air, jusqu'à ce qu'il n'y ait plus de traces jaunâtres sur les carreaux blancs. Mes doigts tournoyaient dans mon vagin, bien en vue sous mon cul, plus pour faire enrager Jean que pour plaire au gros pervers. Je me remis à genoux, toujours aussi soumise.

 Il me présenta encore sa queue boudinée, que je nettoyai totalement avec ma langue, retenant la bile qui menaçait de jaillir de ma gorge. Il remonta son maillot mouillé en me tapotant la tête comme à une bonne petite chienne.

- C'était parfait, tu es une belle salope bien sage, tu as bien sucé José.. Tu y reviendras, tu verras !

Il se pencha en avant, me saisit les seins et m'embrassa brutalement. Le baiser souillé dura une éternité. Il se redressa en tapotant ma joue.

- Bonne petite salope, ouaip.

Il me fit un clin d'oeil porcin et il quitta la douche avec Jean, discrètement.

Je m'appuyai contre le carrelage frais, en respirant difficilement. J'entendis Jean parler au type en chuchotant toujours:

- Si je te revois parler à ma femme ou même la regarder, je t'emmène dans un coin et je t'explose les couilles. Compris ?

Je n'entendis pas la réponse du gros porc, mais je souris intérieurement. Ça, c'était mon Jean !

Je me lavai les dents plusieurs minutes, pour éliminer les relents d'haleine et de sperme pas frais du gros José. Je me nettoyai aussi complètement, et pensai avec soulagement au massage aux huiles essentielles que j'allais me faire payer dans la soirée. En attendant, j'allais manger et passer le reste de l'après-midi à faire la sieste.

Je sortis de la douche, ma serviette autour de moi, et me rendis aux lavabos pour me maquiller un peu. Trois femmes étaient là. Elles me virent, me reconnurent et me sourirent avec bienveillance - ces sourires me firent le plus grand bien. Je commençais à me refaire une beauté quand je vis l'une des femmes se pencher vers moi en susurrant a mon oreille:

- Miss camping doit être nue en toute circonstance...

Elle me sourit gentiment et ouvrit ma serviette. Elle contempla mon minou rasé et mes seins, sans hâte, sans jugement, sans perversité. Elle était très belle, la cinquantaine, très peu ridée, très bronzée, et habillée d'un paréo magnifique, rouge-orange. Elle avait un sourire de publicité, une grande bouche aux dents très blanches. Des cheveux bruns, mi-longs. Et des yeux en amande, bruns et verts, très jolis.

Elle fit glisser la serviette à mes pieds.

Me passa la main dans les cheveux en disant:

- Alors, cette expérience de miss, c'est comment ?

Je balbutiai, ne sachant trop que répondre, les images de cravache, de pénétration anale, de sperme dans ma chatte, dans mon cul, sur mon visage, sur le carrelage, et de sexes d'hommes et d'ados me prenant dans toutes les positions assaillirent mon esprit, mais elle retira la main de mes cheveux, une goutte collante entre ses doigts. Elle la porta à sa bouche.

- Mmmh. Apparemment, ça se passe plutôt bien... Ce n'est pas avec du shampooing que tu t'es lavée les cheveux... Encore que celui-ci n'avait pas très bon goût

Les deux autres femmes présentes gloussèrent sans malice, d'un air complice.

- Je crois que toi, c'est Coralie ? Je suis Sarah. Ravie de faire ta connaissance.

Elle sourit en passant la main sur mes seins et la laissant glisser vers mon ventre, tâtant mon sexe épilé.  Je me sentis rougir mais ne reculai pas, certaine qu'il ne s'agissait pas d'une avance, plutôt de curiosité.

- Tu peux aussi me regarder et me toucher, Coralie. Tu as de sacrés seins, je comprends que mon mari craque pour toi.

Son mari ?

Elle dégrafa son paréo et me montra sa poitrine, énorme et parfaite. Ses gros seins étaient bronzés, les mamelons brun foncé. Leur galbe appelait la main, la caresse, elle avait les nichons que toute nana rêve d'avoir, que tout homme rêve de peloter.

Son paréo tomba à ses pieds, elle ne portait pas de culotte, et exhiba sa chatte rasée de frais, bronzée intégralement. Une de ces femmes qui écartent leurs jambes sur la plage à la vue de tous, les hommes qui la croisaient devaient se venir dessus rien qu'à la regarder !

J'en eus le souffle coupé et, à en juger par leur silence, les deux autres femmes aussi.

- Vous êtes magnifique, Sarah.

- Merci. Mais c'est toi, la miss camping, c'est toi que nous envions toutes.

Ses paroles me laissèrent sans voix. Elle posa un baiser chaste sur mes lèvres, et réajusta son paréo, avant d'entrer dans une douche.

Je sortis des sanitaires, perplexe, et trouvai Jean, en pleine discussion avec un campeur. Ils se turent à mon approche.

- Allons manger, dis-je d'un ton léger.

Jean me pris la main, et nous revînmes à la tente, nus sous le soleil.

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Jeudi 21 juillet 4 21 /07 /Juil 21:43

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