Chapitre 1: Les deux miliciennes
Les deux miliciennes arrêtent leur voiture au pied de l'immeuble à moitié désaffecté. Manuella s'avance vers l'escalier suivi de sa Capo, Jùlia une jeune femme sportive et déterminée. Elle est entièrement dévouée à Manuella à qui elle voue une admiration absolue. Sa chef, de dix ans son ainée, est une femme sublime, altière qui suscite le respect. Son élégance fascine Jùlia. C'est une femme juste qui sait récompenser mais également punir. Jùlia en a fait les frais. Plusieurs fois elle s'est retrouvée sous les coups de fouets impitoyables de Manuella. Mais elle en est certaine, c'est pour son bien, tout ce qu'elle veut, c'est satisfaire sa chef. Il fait une chaleur étouffante. "Sûr, il va faire un orage cette nuit" se dit Manuella. La tunique grise qu'elles portent leur colle à la peau. Un courant d'air dans l'escalier délabré fait voler la poussière. La plupart des logements sont vides ou squattés par des junkies qui dorment, anéantis. Elles montent jusqu'au 8eme étage et frappent à la seule porte encore fermée.
Leur mission est simple : une expédition punitive contre une certaine Paloma Solen. Manuella et Jùlia servent la milice pour les interrogatoires de femmes. La porte s'ouvre sur une toute jeune fille.
– Nous cherchons Mme ou Mlle Paloma Solen demande Manuella.
– C'est moi, je suis Paloma, ma mère n'est pas là, elle rentrera très tard.
Manuella est surprise. Elle vérifie ses documents et pose quelques questions à Paloma pour s'assurer qu'il s'agisse bien de la bonne personne. "Qu'a bien pu faire cette gosse pour qu'on nous envoie lui rendre visite" se dit-elle intriguée et en même temps séduite par cette mission qui prend une allure particulière. Jùlia toise Paloma et espère qu'il n'y a pas de malentendu. Paloma est une jolie petite brunette, très fine, avec de grands yeux noirs. Elle se chargerait bien de s'occuper de cette jolie petite poupée. Elle a déjà châtié des gamines, et même des plus jeunes, et elle s'avouait y prendre un certain plaisir.
Paloma comprend qu'il se passe quelque chose d'anormal. Elle veut refermer la porte, mais Jùlia la retient avec le pied. Son œil cruel parcourt Paloma. Elle porte un débardeur blanc qui serre son corps frêle ainsi qu'un short beige dont les plis sur les cuisses excitent l'œil de Jùlia.
– Si tu es Paloma c'est bien toi qu'on vient voir.
Paloma se glace. Elle a déjà entendu parler des descentes de la milice et plus particulièrement d'histoires concernant le sort réservé aux femmes. Jùlia la pousse dans la pièce. Le vieux papier peint est à moitié décollé et des plaques de peinture se détachent du plafond. Un vieux canapé, une table et des chaises dépareillées meublent la pièce. Dans le coin une vieille baignoire a été rajoutée et fait office de salle de bain.
***
– Tu sais pourquoi nous sommes ici ?
– Uhm... non
– Ta maman a oublié de nous dire quelque chose de très important alors on va te donner une petite leçon et tu iras tout bien lui raconter après ok ?
– ...
– Jùlia adore donner la fessée aux petites filles pas sages. Et tu n'es pas sage n'est-ce-pas ?
– ...
– Dis-le, que tu n'es pas sage, menace Manuella
– ... je... je ne suis... pas sage, bredouille Paloma
Jùlia renchérit :
– Je donne toujours la fessée cul nul et j'utilise ceci, dit-elle en tirant un chat à neuf queux de son sac. Je l'ai déjà gouté, c'est ma chef qui me l'a administré. Je n'ai pas pu m'assoir de trois jours.
Paloma se fige d'effroi. Un frisson glacé lui parcours le ventre. Elle serre les cuisses mais ne peut pas se retenir. Manuella regarde l'urine couler le long de ses jambes. La petite fille devient rouge, humiliée.
– C'est une petite cochonne constate Jùlia.
– Nous allons devoir la laver.
Jùlia n'a aucun mal à tirer la fillette jusque dans la baignoire et la maintenir tandis que Manuella tire le zip de son short et le jette à terre. La petite fille déshabillée, bat des pieds en criant pour se défendre. Elle ne se rend pas compte que de bouger comme ça, toute nue sur le corps qui la maintient commence à exciter sérieusement les deux femmes.
– Uhm que dis-tu d'une bonne douche écossaise pour bien se détendre ?
Paloma est un peu interloquée de la question toute occupée qu'elle est à dissimuler sa nudité. D'une main Jùlia l'immobilise dans la baignoire. De l'autre elle caresse le débardeur. Son vice c'est le travail des seins. Elle sait comme ils peuvent devenir sensibles lorsqu'ils sont tourmentés. Pour elle c'est toujours une expérience différente que ce soit de gros seins bien lourds, très généreux ou des tétons de petites filles. Paloma regarde horrifiée les mains de Jùlia la parcourir.
Manuella a pris le pommeau de la douche et a ouvert l'eau froide à fond et le dirige sur le visage de Paloma qui suffoque de surprise. Elle veut prendre sa respiration mais elle s'étrangle. Jùlia aussi est éclaboussée jusqu'à la poitrine. Sa tunique colle contre ses seins. Elle apprécie la fraicheur de l'eau qui caresse sa peau. "Elle n'a pas mis de soutien-gorge" se dit Manuela.
Manuella ouvre l'eau chaude et coupe l'eau froide d'un coup et asperge les cuisses de la jeune fille qui fait un bond contre Jùlia et pousse un cri de frayeur. Manuella coupe l'eau et remet l'eau froide sur son visage.
Elle s'étrangle à nouveau et a du mal à reprendre sa respiration. Elle essaie de se débattre. Jùlia est excitée par les mouvements de Paloma. Ses fesses tapent la baignoire, ses hanches, ses bras rebondissent dans les bras de Jùlia qui la retiennent. L'eau inonde les deux filles. Manuella est fascinée par le spectacle. Elle observe sa capo. L'eau ruisselant sur son corps met en valeur ses formes. Ses cheveux mouillés la rendent absolument désirable. Avide de plaisir Jùlia relève le débardeur de Paloma et fait rouler les tétons entre ses doigts. Maintenant elle va pouvoir s'occuper de ses seins. Elle est experte. D'abord elle caresse, elle masse, elle les fait rouler entre ses doigts.
– Il ne sont pas bien gros, mais tu vas voir comme il vont gonfler...
Elle pince la pointe, elle tire dessus, elle les fait à nouveau rouler et les tire chaque fois un peu plus fort. Quand la chair est sensibilisée elle les pince avec ses ongles et recommence à les étirer. Les tétons enflent, deviennent rouges.
– Une vrai petite femme, admire Jùlia
Manuella fait un signe à Jùlia qui passe une jambe dans la baignoire entre celles de Paloma afin de lui ouvrir les cuisses. Manuella ouvre l'eau chaude en positionnant le jet entre ses cuisses, inondant ses fesses et son sexe. D'abord l'eau est tiède et Paloma a deux secondes de répit avant de bondir de douleur. L'eau à près de 50 degrés vient mordre ses fesses d'autant plus sévèrement que la pression de l'eau lui ouvre le sexe. La douleur décuple ses forces et en poussant un hurlement la jeune fille réussit à s'extraire de l'étreinte de Jùlia.
***
Manuella excitée feint la colère :
– Capo, vous ne pouvez pas retenir une petite prisonnière de trente-cinq kg ?
Quand elle commence à être excitée, Manuella devient une véritable dominatrice sadique. Elle se lève et majestueuse domine de sa prestance les deux filles. Paloma pose les mains sur son bas ventre complètement effrayée. Manuella menace Jùlia :
– Je vais te fouetter jusqu'au sang !
Ce qui excite le plus Manuella c'est la sensation d'emprise absolue qu'elle a sur les femmes. Jùlia l'excite terriblement il faut maintenant qu'elle exerce sa domination sur elle.
– Capo à genoux !
Jùlia s'exécute habituée à la sévérité de sa maitresse. Elle sait qu'elle va dérouiller. Ce qui la fâche le plus est de se retrouver asservi devant une gamine alors que quelques minutes plus tôt c'est elle qui la dominait. A chaque fois elle déteste sa Maitresse mais elle sait que dès que sera fini elle désirera que ça se reproduise un jour. Manuella a appris à très bien connaitre "sa Jùlia" et sait exactement jusqu'où la conduire. Une véritable relation sado-maso lie les deux femmes. Elle peut aller très loin et c'est ce qui ravit Manuella. Avec le temps une véritable relation de complicité s'est installée entre elles deux. Manuela fait signe à Paloma :
– Toi approche !
Paloma sort de la baignoire ruisselante, les yeux ouverts de stupeur.
– Dégrafe lui sa robe !
La gamine reste interdite, Manuella s'approche et lui décoche une gifle qui la fit tituber. Elle pousse un cri. Elle lâche son entrejambe pour se tenir l'oreille. Manuella n'a pas besoin de relever la main, Paloma entreprend de défaire les boutons de la robe de Jùlia. A genoux, Jùlia se sent humiliée. C'est la première fois que Manuella lui impose ça. A genoux, le corps frêle de Paloma la dépasse d'une tête. Elle la regarde la déboutonner, elle regarde les petits seins rougis et gonflés par le traitement qu'elle lui a infligé quelques minutes auparavant. Maintenant c'est son tour. Elle est rapidement déshabillée. Elle remarque la surprise de Paloma lorsqu'elle s'aperçoit qu'elle ne porte pas de culotte.
– Fais lui ce qu'elle t'a fait !
Paloma a un haut le cœur. Elle est tétanisée. Mais Manuella lève la main. Alors Paloma pose la paume de ses mains sur les seins de Jùlia qui a la chair de poule instantanément. Ses tétons se durcissent et l'auréole rosit. Devant cette gamine. Elle a honte.
– Fait les rouler entre tes doigts.
Alors Paloma s'exécute elle se voit obéir comme si elle était dépossédée de toute volonté. Elle a la gorge nouée.
– Pince-les maintenant. J'ai dit pince-les ! Tu n'as pas à hésiter elle adore ça. N'est-ce pas Capo que vous aimez ça ! ?
– Oui, j'aime ça !
Manuella, approche derrière Paloma et se penche par-dessus son épaule. De ses mains finement manucurées elle caresse les cuisses juvéniles. Penchée en avant ses seins caressent la nuque de la fillette. Jùlia redresse le regard. Devant elle les mains de Manuela caresse le ventre de la petite fille.
– Pince la plus fort !
Pour éviter la gifle elle enfonce les ongles dans les tétons excités de Jùlia, laissant une marque sur la chair. Jùlia pousse un cri strident.
– Aïe Salope ! ! Aïe ! ! !
Elle recule.
– Excellent ! ! Très bon début !
Manuella caresse toujours le corps pâle de Paloma. Ses abdo se tendent quand elle passe sur son pubis. Jùlia peut voir les doigts approcher de son sexe.
– Maintenant tu vas la mordre !
Avec les doigts de Manuella sur son intimité, Paloma trouve trop risqué de résister. Elle avance la bouche sur les seins de Jùlia. Elle n'ose pas immédiatement, ses lèvres glissent sur sa peau. Pour Jùlia, cette hésitation est comme un baiser. La bouche de la jeune fille la fait frissonner. Jùlia s'abandonne au plaisir masochiste qui la pénètre. Les doigts de Manuela caressent le sexe de la petite fille qui serre les cuisses pour se protéger. Manuella aime qu'on lui résiste. Elle n'a pas besoin de forcer beaucoup pour glisser la main entre les cuisses et de remontrer ses doigts sur la fente. Manuella est excitée, elle a besoin qu'on la caresse aussi.
– Tu n'as pas besoin de tes mains pour mordre, mets les là, ordonne-t-elle en tirant les bras de paloma en arrière jusqu'à ce qu'ils touchent son sexe. Et toi, caresse-moi les fesses ordonne-t-elle à Jùlia qui enlace les deux corps pour atteindre les fesses musclées de Manuela.
Les caresses juvéniles et désordonnées de la jeune fille contrastent avec les gestes précis de Jùlia. Manuella est enivrée de plaisir. Paloma ne cherche plus à résister. Ses larmes coulent sur les seins de Jùlia tandis qu'elle enfonce ses dents dans ses tétons à chaque fois qu'on lui ordonne et les desserre dès que Jùlia hurle en l'insultant et en la menaçant. Manuella se dit excitée qu'il ne vaut mieux pas la laisser seule avec la gosse qui risquerait de subir toute sa rancœur. Ou au contraire se dit-elle perverse, "uhm j'aimerai voir ça".
Pendant ce fantasme, Jùlia caresse les hanches jusqu'à la raie de Manuella et descend très bas entre ses fesses jusqu'à l'entrée du vagin. Elle rencontre les doigts de Paloma qui sursaute pour le plus grand plaisir de Manuella complètement épanouie par tant de caresses. Manuella emprisonne les mains de paloma et de Jùlia en serrant les jambes. Elle contracte ses cuisses ainsi plusieurs fois. Jùlia est entrée en elle, Paloma la caresse le mieux qu'elle peut. Avec tous ses doigts elle décrit tantôt des caresses sur toute la peau et tantôt sur le clitoris et la vulve. Manuela frissonne, sa respiration s'accélère, elle se retient de crier. Quand elle jouit, elle ferme les yeux, serre les cuisses le plus fort possible et s'immobilise un instant. Elle jouit d'une dernière caresse avant de se reculer et de redevenir professionnelle. Elle se recoiffe et réajuste sa jupe. Jùlia en profite pour jeter Paloma au sol effrayée par ses yeux brillant de colère.
***
– Ah ma salope tu as cru pouvoir jouer avec moi !
Jùlia plaque Paloma contre le sol le ventre contre le carrelage. Le sol froid sur ses seins endoloris lui fait du bien, mais elle n'a pas le temps de reprendre ses esprits que Jùlia lui a saisi les fesses dans la main. Manuella s'est assise au bord de la baignoire. Elle observe la main musclée agripper sans merci la chair blanche et douce de l'enfant. Paloma essaie de la repousser. "Pauvre enfant se dit-elle, elle croit pouvoir résister".
– Tu vas voir le plaisir que l'on peut prendre avec le cul petite salope ! Menace Jùlia.
Sans merci elle s'agenouille à califourchon sur une de ses jambes et tire l'autre sur son épaule. Les jambes écartées, Paloma se cambre d'effroi, s'offrant malgré elle à la vue et aux désirs des deux femmes. Manuella sent déjà le désir la parcourir à nouveau. C'est le moment qu'elle préfère quand, après avoir fait l'amour une première fois, le désir revient plus intense et plus profond.
Ces mots raisonnent dans la tête de la petite fille "le plaisir que tu vas prendre avec le cul". Elle est horrifiée. Toute écartée, les doigts de Jùlia caressent la raie et la fente de son sexe. Paloma serre les fesses, voudrait fermer les cuisses, en vain. Jùlia ferme les yeux. La douceur de la peau d'enfant, la douceur de son sexe, son anus serré, transporte de désir la jeune Capo. Paloma se débat pour échapper à l'étreinte de Jùlia mais le seul effet est d'agiter le petit corps pour son plus grand plaisir. Paloma essaie de retenir ses larmes.
– Tu es à ma merci salope, je vais te baiser. Et tu vas voir comme c'est bon !
Manuella voit les yeux de Paloma exorbités par la peur, elle respire par la bouche, sa respiration saccadée fait onduler son ventre sur le sol. Les pointes de ses seins embrassent le carrelage au rythme de sa respiration. Jùlia écarte la raie, les lèvres s'entrouvrent. Sans détour les doigts viennent pincer les petites lèvres pour faire sortir le clitoris du capuchon. Paloma bondit. C'est comme si son ventre se déchirait.
– Elle est toute mouillée ! Salope ! Je vois que tu aimes çà !
Son autre main agrippe toujours la fesse, le pouce dans la raie, sur son anus. Jùlia adore déflorer les culs des toutes jeunes filles. Paloma est complètement crispée et c'est exactement ce qu'aime Jùlia. Elle humecte son pouce et revient la masser lentement mais avec dureté. Elle est tellement serrée que Jùlia a même du mal à repérer l'entrée. Mais en appuyant sur la tendre chair elle repère la petite boutonnière. Tout en comprimant la fesse de ses doigts, elle fouille l'entrée de son pouce. Elle tire les chairs pour l'ouvrir. Paloma geint et pleure en silence. A chaque poussée sa bouche s'ouvre. Manuella trouve cela très excitant. Toujours avec le pouce Jùlia presse le cul de la fillette et augmente la pression lentement. Paloma sait qu'elle se s'arrêtera plus maintenant. Elle préfèrerait qu'elle en finisse un bon coup, mais Jùlia est sadique et ne veut pas bâcler la défloration de la fillette. Le bord du pouce commence à la pénétrer difficilement. Les yeux écarquillés, paloma hurle de douleur. Mais Jùlia encouragée accentue encore son effort. Manuella voit le pouce pousser tellement fort qu'il déforme la forme des fesses. Puis la pression est telle que le pouce finit par s'enfoncer dans le cul. Empalée, Paloma pousse des cris inhumains mais Jùlia veut aller profond.
A chaque phalange qui la pénètre les cris deviennent plus aïgues. Le rectum s'est complètement tétanisé sur le doigt, provoquant une douleur déchirante dans le ventre de la fillette. Elle rue, elle pousse pour l'expulser.
– Tu vas le garder en toi un moment, explique Jùlia qui sait que la douleur des premières sodomies s'intensifie encore pendant les minutes qui suivent la pénétration lorsque le corps réagit en contractant tous les muscles du bas ventre.
Elle sait que le rectum vierge a le réflexe naturel de se fermer et de vouloir expulser ce qui est en lui. Le rectum veut reprendre sa place alors qu'un corps étranger l'écarte et le viole. Alors Jùlia fait quelques va-et-vient dans les reins de Paloma. Bien enfoncée en elle, elle retire un plaisir absolu à sentir la succion de l'anus sur son doigt. C'est le plaisir que lui procurent ses petites vierges. C'est comme si elle lui suçait le doigt avec ses fesses. Jùlia ferme les yeux de plaisir tout en jouissant du va-et-vient dans ses fesses.
Tout en l'agrippant toujours par la fesse, Jùlia tire la gamine sous elle pour la prendre en ciseaux. Elle se cambre pour embrasser la fente de Paloma avec son sexe. Elle s'ouvre sur la vulve douce et chaude de la fillette. Elle ondule du bassin et se caresse langoureusement. Elle frissonne de plaisir. Elle jouit.
Paloma est épuisée, elle a la joue collée au sol, la bouche grande ouverte, elle geint, humiliée.
Jùlia se recoiffe devant un miroir piqueté. Les femmes s'apprêtent à partir.
– Tu devras bien dire tout ce qui s'est passé chérie. Conseille Manuella.
– N'oublie pas que nous avons été très indulgentes, tu es toujours vierge.
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